L’Allemagne demande à ses habitants de faire des réserves pour faire face à un conflit

Rappel: Nos médias se moquaient du responsable de notre armée, André Blattmann lorsque celui-ci mettait en garde et parlait de procéder à des réserves.

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Le pays veut se préparer à l'éventualité d'une menace. Un plan de défense civile va ainsi être adopté. Il encourage notamment la population à faire des réserves d'eau et de nourriture.

Si le document explique qu'«une attaque sur le territoire allemand qui réclamerait (le recours à) une défense conventionnelle soit peu probable», il préconise que le pays soit «suffisamment préparé à l'éventualité de la concrétisation d'une menace», selon des extraits cités par le journal.

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L’État islamique au pape François : « Nous faisons une guerre de religion et nous vous haïssons »

L’État islamique a répondu publiquement aux déclarations du pape François selon lesquelles la guerre menée par les terroristes islamiques n’est pas religieuse de nature. L’article assure le pontife que leur seule et unique motivation est religieuse et approuvée par Allah dans le Coran.

« Une guerre divinement cautionnée »

À la une du dernier numéro de Dabiq – le magazine de propagande officielle de l’État islamique –, le groupe terroriste critique notamment la naïveté du pape François qui se cramponne à la conviction que les musulmans veulent la paix et la coexistence pacifique et que les actes de terreur islamique sont motivés par des raisons économiques. Dans l’article intitulé « By the Sword » (« Par l’épée »), les auteurs déclarent catégoriquement : « Ceci est une guerre divinement cautionnée entre la nation musulmane et les nations infidèles ».

L’État islamique s’en prend directement au pape qui affirme que « le véritable islam et la lecture correcte du Coran s’opposent à toute forme de violence ». Selon la publication, il s’agit en réalité d’un piège. Ce faisant, « François continue de se cacher derrière un voile trompeur de “bonne volonté”, dissimulant ses intentions réelles de pacifier la nation musulmane » déclare l’article. Le pape François « combat contre la réalité » quand il s’efforce de présenter l’islam comme une religion de paix, insiste à plusieurs reprises le dernier numéro de Dabiq. En même temps, le magazine de l’État islamique exhorte tous les musulmans à tirer l’épée du jihad, « la plus grande obligation d’un vrai musulman contre les infidèles ».

« Tuez les mécréants partout où vous les trouverez »

L’article déplore qu’en dépit de la nature clairement religieuse de leurs attaques, « beaucoup de gens dans les “pays des croisés” (pays occidentaux) » expriment un choc et même un dégoût parce que la direction de l’État islamique « utilise la religion pour justifier la violence … En effet, le djihadla diffusion de la règle d’Allah par l’épée – est une obligation que l’on trouve dans le Coran, la parole de notre Seigneur », rappelle le magazine. « Verser le sang des incroyants est une obligation commune. Le commandement est très clair : tuez les mécréants, comme Allah l’a dit, “tuez les mécréants partout où vous les trouverez”. »

« L’essentiel de la question est qu’il y a une rime à notre terrorisme, à notre guerre, à notre cruauté, à notre brutalité », affirment-ils, ajoutant que leur haine de l’Occident chrétien est absolue et implacable.

« Chaque religion veut la paix » 

Le fait est que « même si vous (les pays occidentaux) arrêtiez de nous bombarder, de nous jeter en prison, de nous torturer, de nous humilier et de vous emparer de nos terres, nous continuerions de vous haïr, parce que le motif premier de notre haine ne disparaîtra pas tant que vous n’aurez pas embrassé l’islam. Même si vous deviez payer le jizyah [impôt pour les infidèles] et vivre sous l’autorité de l’islam dans l’humiliation, nous continuerions à vous haïr ».

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Ansbach: le terroriste était un blessé de guerre de l’état islamique, arrivé en Europe comme réfugié pour se faire soigner

Le 24 juillet, un Syrien se fait exploser à l’entrée d’un concert en plein air dans la ville bavaroise d’Ansbach. Il s’appelle Mohamed Daleel (ou Abou Youssef pour Daesh). Au moyen d’une bombe, cachée dans son sac à dos, il fait quinze blessés mais il est le seul à perdre la vie. Depuis, son profil et son parcours interrogent les autorités allemandes. Une enquête du New York Times lève à présent une partie du mystère.

L’homme arrive en Europe en avril 2013, en Bulgarie plus précisément. Il se présente quelques mois plus tard, en novembre, à Ilana Savova qui dirige à Sofia une organisation de défense des droits de l’Homme. Près de trois ans plus tard, elle se souvient bien de lui:

"On ne voit pas gens avec des éclats d’obus dans la jambe tous les jours!"

Il lui explique qu’il est blessé depuis qu’un obus est tombé sur sa maison tuant sa femme et ses enfants et qu’il a fui la Syrie pour se faire soigner et échapper à la guerre.

D’après l’organisation djihadiste, il rejoint les rangs de l’EI en Irak avant de se battre en Syrie, à Alep. C’est là qu’il est blessé par un shrapnel. Il cherche alors à se faire soigner en Europe pour mieux revenir sur le front. Pour d’obscures raisons, il n’aurait pu satisfaire cet objectif, décidant alors de passer à l’acte en Allemagne.

BFM

Déclarer la guerre au terrorisme sans la faire

EI-9

   
Michel Garroté - D'après le général Vincent Desportes, au lieu de rester sur la défensive, le gouvernement devrait envoyer des soldats au sol combattre l'Etat islamique et imposer le respect des principes républicains à tous, musulmans compris. Le général Vincent Desportes est ancien commandant du Collège interarmées de défense. Il est notamment l’auteur de La dernière bataille de France (Gallimard, 2015).
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Daoud Boughezala : Les attentats de Nice et de Saint-Etienne-du-Rouvray survenus en juillet révèlent-ils l’inefficacité de l’état d’urgence et de l’opération Sentinelle planifiant des patrouilles militaires à l’entrée de certaines zones sensibles ?
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Vincent Desportes (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) La succession des attentats en France montre clairement que le système mis en place ne fonctionne pas. Les choses auraient-elles été pires si ces mesures n’avaient pas été mises en place ? Je n’en sais rien. En tout cas, il faut se poser la question de la nécessaire évolution du système. On emploie à contre-emploi les faibles moyens militaires dont nous disposons et notre stratégie globale est déficiente.
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Daoud Boughezala : Nos soldats employés à garder des synagogues ou des mosquées sont-ils sous-exploités ?
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Vincent Desportes : L’opération Sentinelle a été lancée il y a un an et demi après les attentats de Charlie hebdo et de l’Hyper cacher. Il était parfaitement compréhensible que le Président de la République fasse quelque chose. Cette réaction était assez raisonnable mais cela n’était qu’un dispositif lancé immédiatement qui devait évoluer. Or, il n’a ni évolué ni répondu aux attentes puisqu’il n’a pu empêcher l’attentat du Bataclan. Après les attaques du 13 novembre, on a ajouté trois mille hommes au dispositif, passant de 7 000 à 10 000 soldats mais cela n’a pas empêché les attentats suivants à Nice et ailleurs. Il était évident qu’on n’arriverait pas à faire avec dix mille hommes ce qu’on ne parvenait pas à faire avec sept mille hommes. Cette utilisation des armées sur le territoire national était avant tout une mesure anxiolytique vis-à-vis de la population et une réponse politique instantanée, comme disait Michel Rocard, mais cela ne fonctionne pas.
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Daoud Boughezala : En l’employant à des tâches de dissuasion, a-t-on fait de l’armée une force supplétive de la police ?
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Vincent Desportes : Comme l’exécutif ne sait pas quoi faire, il a fait appel à la seule force corvéable à merci : les militaires, qui ne renâclent jamais, arrêtent leurs permissions et font ce qu’on leur demande. En effet, ils sont un peu les supplétifs des forces de police. Je dis bien un peu parce que les militaires ne savent pas faire le travail des policiers. Un soldat déployé coûte beaucoup moins cher qu’un policier déployé. Pour parvenir au même temps de travail, il faut deux policiers pour un soldat. Mais les militaires ne font aucun travail, sauf de faire accroire que le gouvernement s’occupe de l’énorme problème auquel il doit faire face. C’est une gabegie budgétaire et une gabegie de nos capacités opérationnelles.
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Daoud Boughezala : Les terroristes de Nice et Saint-Etienne-du-Rouvray avaient, pour le premier, échappé aux radars des services de renseignement après avoir été condamné pour violence et larcins, pour les seconds, endormi leur vigilance alors qu’ils étaient fichés comme des djihadistes susceptibles de passer à l’acte. Est-ce un échec de nos services ou de l’appareil judiciaire ?
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Vincent Desportes : On est globalement devant une faillite de l’Etat régalien. Les services de renseignement, la justice ne fonctionnent pas et la Défense n’est pas utilisée comme elle devrait l’être. Non seulement les moyens dont dispose la nation sont mal utilisés mais ils sont beaucoup trop faibles. La part du budget de la France consacrée aux dépenses régaliennes reste tout à fait insignifiante – défense, justice, sécurité (2.7% du PIB) par rapport aux restes des dépenses budgétaires (57% du PIB).  L’Etat brade donc ses capacités budgétaires dans des fonctions qui ne sont pas les siennes et est devenu incapable de remplir les fonctions qui sont sa raison d’être. C’est un problème de fond qu’il faut traiter rapidement.
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Daoud Boughezala : Au lendemain des attentats de novembre 2015, vous critiquiez déjà la riposte des autorités au terrorisme après que l’exécutif eût annoncé le renforcement de la campagne de bombardements de l’Etat islamique. Cette stratégie vous convainc-t-elle davantage aujourd’hui ?
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Vincent Desportes : On a bien eu des effets de manche, un président Hollande nous expliquant dès le 15 novembre qu’il allait être impitoyable, qu’on était en guerre… mais on ne fait pas la guerre ! On dit qu’on fait les choses mais on ne les fait pas. On a assez bombardé Raqqa pour provoquer le massacre du Bataclan, mais pas assez pour l’éviter. Depuis l’attentat de Nice et le pauvre curé égorgé, on voit bien que la France est la première cible de l’Etat islamique en Occident. Or, que faisons-nous au Moyen-Orient ? Nous suivons la politique des Américains qui ont des intérêts assez sensiblement différent des nôtres : ils essaient de temporiser, agissent sans vraiment agir, font semblant de rattraper l’erreur gigantesque qu’ils ont faite en Irak en 2003, etc. Aujourd’hui, Daech terrorise la France qui est une des premières nations guerrières du monde. Cette situation doit s’inverser. Actuellement, nous subissons Daech et nous nous défendons. L’histoire du monde montre bien que dans la lutte éternelle entre la cuirasse et l’épée, c’est toujours l’épée qui a un coup d’avance et qui l’emporte.
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Daoud Boughezala : Il convient donc d’attaquer le vivier moyen-oriental de djihadistes. Mais nous le faisons déjà, par les airs…
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Vincent Desportes : Au lieu de porter véritablement le fer là où naît la violence djihadiste, c’est-à-dire au Moyen-Orient, nous répandons nos forces armées sur le territoire national. Vous aurez beau mettre un policier, un gendarme ou un soldat devant toutes les synagogues, devant toutes les mosquées, et devant toutes les églises que cela ne servira à rien. A chaque fois, on se protège contre l’attentat qui vient d’avoir lieu, jamais contre l’attentat qui va avoir lieu. C’est tout à fait normal, on ne peut pas faire autrement. Se défendre, c’est être condamné à prendre des coups sans jamais les rendre. A un moment donné, il faut changer de stratégie. C’est à nous de terroriser Daech au lieu d’être terrorisés par Daech. Nous consacrons un budget certes très insuffisant mais significatif en termes militaires à la lutte contre un adversaire. Cet adversaire, on doit aller l’attaquer avec nos moyens militaires. Cela fait longtemps que l’Etat islamique ne craint plus nos avions. Il nous a vu bombarder son territoire une fois par jour en moyenne d’après le colonel Michel Goya. Ce rythme n’est pas significatif. Il faut aller attaquer au sol, faire des raids avec nos hélicoptères d’attaque, terroriser Daech. Nous avons les moyens de le faire mais cela demande du courage politique : puisqu’ils nous attaquent, attaquons-les !
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Daoud Boughezala : À supposer qu’un envoi de troupes au sol démantèlerait le territoire de l’Etat islamique en Syrie et en Irak, en quoi cela endiguerait-il le péril terroriste dans l’hexagone ? Les djihadistes français semblent être bien souvent des auto-entrepreneurs du djihadisme sans liens structurels avec Raqqa ou Mossoul…
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Vincent Desportes : Cette réponse est nécessaire mais très largement insuffisante. Puisqu’on ne peut pas attaquer en aval pour empêcher tous les passages à l’acte, il faut attaquer en amont sur le territoire national, là où se crée la nocivité djihadiste. On doit avoir une action de long terme en amont, en rappelant un certain nombre de règles républicaines. La République française a fait preuve d’un laxisme qui s’est révélé mortifère envers un certain nombre de pratiques que la République condamnait auparavant. Un vieux principe démocratique veut que la liberté de chacun s’arrête là où commence celle de l’Autre. Faire en sorte que chaque Français puisse être libre signifie que les libertés d’un certain nombre d’individus doivent être mesurées. Je pense par exemple aux signes ostentatoires de religion que l’on ne devrait plus être autorisé à exhiber. Puisque nous sommes une République laïque, que personne ne porte la burqa, le voile islamique, la kippa ou la croix, et que chacun redevienne Français. Je cite un inventaire de mesures à la Prévert : que dans les écoles, comme on le fait aux Etats-Unis, on demande aux enfants intégrés de connaître l’hymne national, qu’on exige des gens qui habitent en France qu’ils aiment la France et qu’ils la respectent. Ce sont des choses simples qui s’apprennent à l’école. Et si on sait pas un certain nombre de choses, on n’est pas autorisé à être Français, ce n’est quand même pas compliqué de faire comme aux Etats-Unis qui sont une nation fortement démocratique. La République doit aussi empêcher les prêches radicaux dans les mosquées. Quand vous avez peu de moyens, il faut les utiliser comme des effets de levier.
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Daoud Boughezala : Manuel Valls vous a d’ailleurs emboîté le pas en réclamant une énième réorganisation de l’islam de France. La relance de ce serpent de mer contredit quelque peu le discours officiel anti-amalgamiste selon lequel le djihadisme n’a « rien à voir avec l’islam »…
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Vincent Desportes : Aujourd’hui, la communauté musulmane doit se sentir profondément responsable de ce qui arrive. La vie en société et l’intégration médiocre, mais qui existe néanmoins, des musulmans de France, vont se détériorer rapidement à leur détriment s’ils ne se prennent pas rapidement en main et n’organisent pas eux-mêmes leur propre police. La difficulté, pour une religion sans clergé, c’est qu’elle n’est pas organisée de manière hiérarchique, aussi ne va-t-on pas exiger de solution rapide. Mais ces gens-là se connaissent, et si la majorité des musulmans qui aiment la France veulent continuer à y vivre, ils doivent bien comprendre que la solution passe par leurs propres comportements vis-à-vis des dérives terroristes, conclut Vincent Desportes (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.causeur.fr/vincent-desportes-daech-islam-laicite-39476.html
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Islam: Voler les biens des mécréants est pur et vertueux

"Le jugement sur le fait de s’approprier les biens des mécréants en Dar al-Harb."

Le jugement sur le fait de s'approprier les biens des mécréants en Par al-Harb.

Shaykh Anwar al-Awlaki

Toutes les louanges sont à Allah et que la paix et les bénédictions soient sur son
Messager Mohammed (SalAllah 'aleyhi Wa Sallam).

L'Islam prescrit certaines conditions sur le fait de prendre les biens des mécréants.
Selon nos savants anciens, il est permis de prendre les biens des mécréants pour un
but lié au jihad même si l'on est sans armée ou sans Imam ; et même en cela il y a des
restrictions. Du fait de l'étrangeté de certains par rapport à ce sujet, j'ai senti le besoin
de le clarifier.

Le Messager d'Allah (sws) a dit : « J'ai été envoyé avant l'heure avec l'épée, ma
subsistance est à l'ombre de ma lance, et l'humiliation et l'avilissement est le destin
de quiconque défie mes commandements. » [1]

Ce grand hadith révèle quelques aspects importants à propos de notre religion :

* Mohammed (sws) a été envoyé avec l'épée : Le Messager d'Allah et les
moujahidin après lui portent la lumière de l'Islam à l'humanité en combattant
pour la cause d'Allah.

* La plus grande forme de revenu se fait par le butin de guerre et la plus grande
profession est d'être un soldat sur le voie d'Allah. Le revenu généré par le butin
pris de force sur les ennemis d'Allah est plus pure et plus vertueux que le revenu
généré par un homme d'affaire, un ingénieur, un physicien ou un fermier, tout
simplement parce que c'était la source de revenu qu'Allah a destiné pour son
Messager Mohammed (sws). Travailler en tant que Moujahid est une sounnah.

* Finalement tous les ennemis du Messager d'Allah (sws) et de sa Oummah
seront honteux et humiliés.

Source et suite de l'article

France. Patrick Calvar (DGSI) : « Nous sommes au bord d’une guerre civile »

Le diagnostic n’est pas établi par une poignée d’illuminés en mal de scénarios catastrophe mais par le patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), Patrick Calvar. «Nous sommes au bord d’une guerre civile», a-t-il déclaré récemment aux députés de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats du 13 Novembre présidée par le député (LR) du Rhône Georges Fenech.

L’homme à la tête des services secrets ne faisait qu’enfoncer le clou. Quelques semaines plus tôt, il avait déjà averti les députés de la commission de la défense [...]

D’où viendrait l’étincelle qui mettrait le feu aux poudres, transformerait la France en territoire incontrôlé où des groupes prendraient les armes et se feraient justice eux-mêmes? Qui verrait une nation en décomposition où alterneraient violences et vengeances du camp d’en face. Où la spirale des affrontements ne s’arrêterait plus. Rien n’est à exclure dans un pays aussi éruptif que la France d’aujourd’hui. Beaucoup pensent d’abord à un nouvel épisode de terrorisme islamiste où, cette fois, sa confiance dans les services d’élite émoussée, la population verserait dans l’autodéfense. Mais l’élément déclencheur peut aussi surgir d’une manifestation débordée par les casseurs, tel le triste saccage de la façade de l’hôpital Necker, d’une razzia de hooligans, d’une expédition punitive dans les banlieues ou pour prendre un exemple plus lointain, d’un viol collectif comme celui commis par des immigrés maghrébins à Cologne lors du Nouvel An… Parmi toutes ces sources de dérapage, la plus redoutée reste l’attentat dirigé contre des enfants, la prise d’otages dans une école qui susciterait en retour un déferlement de violence. Le plus haut niveau sur l’échelle de l’insupportable… [...]

Parmi les groupes extrémistes, le patron de la DGSI expliquait surveiller de très près «l’ultradroite». Cette mouvance aux multiples ramifications est très active sur les réseaux sociaux. «Ils ont la volonté de mettre le feu, c’est certain, mais passeront-ils à l’acte?», interroge l’avocat Nicolas Lerègle, spécialisé dans les domaines de la sécurité et de l’intelligence économique. Plus généralement, tous les éléments sont réunis pour qu’un foyer éclate » [...]

Face aux menaces, la volonté de quadriller au mieux le terrain est toujours présente. Ainsi, au sein de la Défense, plusieurs voix plaident pour que les soldats de «Sentinelle» ne se contentent pas de patrouiller dans les rues mais exercent une mission de «contrôle de zone». En d’autres termes qu’ils fassent aussi du renseignement.

Source

France : déjà la guerre civile entre musulmans et non musulmans?

Après le double assassinat à Magnanville, Matthieu Chaigne analyse les conséquences possibles de l'accroissement des fractures françaises, notamment culturelles et religieuses.

Est-ce que la France peut s'enfoncer dans une guerre civile, le pays se déchirer entre ses communautés?

Est-ce qu'une escalade incontrôlable de violence pourrait, demain, pousser des individus à prendre les armes?

 

Alain Juppé : « Si on considère que l’islam est insoluble dans la République, c’est la guerre civile »

L’ancien Premier ministre Alain Juppé a estimé dimanche sur TF1 qu’il « peut » et qu’il « doit y avoir « une lecture du Coran et une pratique de la religion compatibles avec les lois de la République ».

Il y a « deux attitudes possibles » sur l’islam, a expliqué ce candidat à la primaire de la droite lors de la première de l’émission « Vie politique ».

« Si on considère que l’islam est par construction incompatible, insoluble dans la République, c’est la guerre civile » ou « il peut y avoir aujourd’hui, il doit y avoir, une lecture du Coran et une pratique de la religion qui soient compatibles avec les lois de la République et avec tous nos principes y compris l’égalité entre les hommes et les femmes ».

« Il va falloir construire avec les responsables musulmans un accord entre la République et eux », notamment sur le financement des lieux de culte et la formation des imams, a-t-il dit.[...]

le Point

Rappel: France: Le maire de Tourcoing craint la guerre civile entre musulmans et non musulmans

France: Le maire de Tourcoing craint la guerre civile entre musulmans et non musulmans

Christian Hofer: Ce qui signifie que tous les politiciens européens savent ce qu'ils ont fait en ouvrant nos frontières aux musulmans. Ils n'ont pas la moindre circonstance atténuante. Pire que cela, ils continuent à imposer une propagande multiculturelle en faveur des migrants, avec notre argent, ils doublent les budgets de l'asile tout en prenant à la gorge l'Européen!

Enfin, cela explique évidemment pourquoi l'UE veut désarmer le citoyen européen et pourquoi Sommaruga est satisfaite de cette décision. Ce n'est nullement en raison de l'accès des armes pour les terroristes puisque ces derniers peuvent se fournir illégalement et connaissent les filières adéquates. Mais c'est parce que l'Européen pourrait se rebeller et menacer les plans de ces "dirigeants". Nous avons été sacrifiés comme des animaux sur l'autel du multiculturalisme.

En Suisse, pour acquérir une arme, il faut passer par une enquête de police et une vérification du casier judiciaire. Qui peut croire un seul instant qu'un terroriste va passer par cette procédure, à part nos gauchistes illettrés?

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Islam en France - Darmanin souhaite "une concorde religieuse pour éviter la guerre civile"

Le maire de Tourcoing craint une guerre civile en France. Face à la montée des communautarisme, il souhaite "une concorde religieuse", un encadrement de l'Islam en France par un clergé. Il regrette par exemple que les mosquées soient dans la majorité des cas financés par des pays étrangers, ou que les imams soient trop peu souvent liés à la culture française. Selon lui, l'Etat doit porter des actes d'autorité pour que la laïcité soit respecté mais aussi que les musulmans de France puissent suivre leur religion sans encombre.

Source

Guerre en Syrie : un conflit appelé à durer ?

Nous nous étions réjouis de la nouvelle de la récupération de Palmyre par les troupes syriennes. Voilà qu’hier, on apprend que Palmyre est encerclée de toute part par Daesh. Ce conflit terrible, qui a déjà fait plus de 260 000 morts, semble donc ne jamais devoir s’arrêter.

Mais quel est donc l’état actuel du conflit ?

Il faut savoir quels sont les principaux belligérants. La Syrie d’el Assad doit faire face à l’Etat islamique, mais aussi aux opposants à son régime, bénignement appelés « rebelles », qui sont souvent des dérivés d’Al Nosra et Al Qaeda. Daesh, ou état islamique on l’a compris, est l’ennemi de tout le monde. Assad est quant à lui soutenu par ses alliées, à savoir la Russie, l’Irak, l’Iran et le Liban. Les autres ennemis de Daesh, ce sont la coalition US, qui rassemble les pays européens dont la France et les pays du golfe. Cette coalition frappe Daesh, mais soutient aussi les rebelles.

On comprend donc mieux pourquoi l’armée syrienne peine face à Daesh

« Cela fait cinq ans que le peuple syrien meurt » s’écrit Riad Hijab coordinateur de l'opposition, « Nous voulons des actes, et non plus des paroles, de la part de nos amis ». La complexité de ce conflit, dû à la multiplication toujours croissante du nombre d’acteurs, prolonge le conflit, et donc le nombre de morts et de destructions de villes.

Pour illustrer le coup de poignard dans le dos que représentent les rebelles, il suffit de regarder les nouvelles d’hier :

Un raid rebelle a tué plusieurs soldats de l’armée syrienne et enlevé des civils, à Alep, les combats ont repris entre armée syrienne et rebelles et cela malgré la trêve.

"Ma priorité est de régler cette crise à travers un dialogue politique" a annoncé hier le secrétaire général des nations unies. Néanmoins, résoudre ce conflit "pourrait prendre du temps", a t il ajouté. Vladimir Poutine a pourtant dû essuyer le refus d’ajouter sur la liste noire de l’ONU certains groupes rebelles. Le paradoxe de la position américaine est saisissant.

Source

Les chefs militaires européens se préparent à la guerre

Le Chef de l’armée norvégienne Odin Johannessen (photo) avertit que les pays européens doivent être en train de se préparer et être prêts à se battre contre l’islamisme radical afin de préserver les valeurs qui unissent le continent.

« Je pense que nous devons être prêts à se battre, à la fois avec des mots, des actions – et si nécessaire avec les armes – pour préserver le pays et les valeurs que nous avons en commun », a déclaré Johannessen dans un discours à la Société militaire Oslo lundi.

Suite

Daniel Pipes : «Les tensions entre chrétiens et musulmans en Occident portent les germes d’une guerre civile»

Pour l’universitaire américain, l’exacerbation des tensions entre chrétiens et musulmans dans les pays occidentaux porte les germes d’une guerre civile.

Daniel Pipes, 66 ans, titulaire d’un doctorat en islam médiéval de l’université de Harvard

À chaque attentat, des citoyens changent d’avis sur l’islam. De leur côté, les musulmans se sentent très forts, et ils vont encore étendre leur influence.

Le rejet de l’islam ne cesse de monter en Europe et aux États-Unis. Cela a commencé en 1989 avec l’affaire Salman Rushdie au Royaume-Uni, et avec le débat sur le port du foulard en France. Aujourd’hui, les partis politiques qui prospèrent sur le rejet de l’islam représentent partout de 20% à 30% de l’opinion. Un consensus prétend que ça va s’arrêter là, mais je ne le crois pas du tout. Ces mouvements peuvent grandir jusqu’à prendre le pouvoir. [...]

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Guerre de l’information – Qu’est-ce que c’est ? Qui fait ça? Et qui en profite ?

De plus en plus de personnes ont peur d’une nouvelle grande guerre sur le sol européen. Sans l’accord du peuple on ne peut pas faire des grandes guerres. C’est pourquoi il faut reconnaitre qu’avant chaque grande guerre, il y a une guerre de l’information. Guerre de l’information – Qu’est-ce que c’est ? Qui fait ça? Et qui en profite ?
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Merci à Lucie

Un journaliste à propos des requérants d’asile: “Nous risquons une guerre civile avec ces jihadistes infiltrés”

Christian Hofer: Nous avions déjà traduit l'article du 20 Minutes.ch en allemand. La RTS décide enfin de publier aussi ce scandale dont Sommaruga porte la pleine responsabilité.

Un journaliste allemand a séjourné incognito dans le centre d'enregistrement de Kreuzlingen (TG). Shams ul-Haq s'y est présenté comme un requérant d'asile.
(...)

Lors de son reportage, Shams ul-Haq a côtoyé des combattants du groupe Etat islamique. Il détaille comment il a pu les identifier. "On le remarque aux discours, aux comportements de la personne, mais il faut tout d'abord gagner la confiance des gens. Aller manger avec, passer du temps ensemble, écouter les problèmes, proposer un peu d’argent."

Puis une fois que le journaliste repère un sympathisant de l'EI, il s'en approche et entame la discussion.  "Le truc c’est d’abonder, pour le convaincre. "Tu as complètement raison. Les Suisses ici sont sans foi, il faudrait tous les tuer..." C’est comme ça qu’on repère un extrémiste, mais de là à savoir à 100% que c’est un combattant de Daech, c’est difficile à estimer."

Nourriture meilleure en Suisse

Shams ul-Haq s'est également infiltré dans des centres d’accueil en Allemagne, où il a pu faire des observations similaires. "Daech a des membres qui font de la propagande en Allemagne. Là-bas, le grand problème des centres de requérants, c’est la nourriture. D’ailleurs, je dois dire qu’en Suisse, la nourriture était très bonne. En Allemagne, les repas sont vraiment mauvais et la viande n’est pas abattue comme le veut l’islam, elle n’est pas halal. Et là les islamistes en profitent pour dire: "voyez comme ils veulent vous convertir au christianisme."

Le journaliste pose un regard sans appel sur la situation. "Ces gens-là n’ont rien à faire ici, ils doivent quitter immédiatement, la Suisse, l’Allemagne, l’Europe. Sinon, je suis convaincu que l’année prochaine il y aura en Suisse, ou en Allemagne une guerre civile."

Source

Le Chef de l’armée suisse met en garde contre les troubles sociaux en Europe

Le chef de l'armée suisse André Blattmann a mis en garde dans le journal Schweiz am Sonntag contre les troubles sociaux en Europe. Il voit une agression croissante dans le discours public et une situation de risque d'explosion.

Blattmann écrit que la situation de risque est considérable: La montée de la menace terroriste, les guerres hybrides menacent la paix dans le monde. En outre, il existe une crise économique. Blattmann perçoit également un danger dans l'immigration de masse des réfugiés et des migrants.

Blattmann déclare: "L'agitation sociale ne peut pas être exclue", le vocabulaire dans le discours public est "dangereusement agressif". Le mélange devient de plus en plus dégoûtant"(...) Il rappelle la situation autour des deux guerres mondiales du siècle dernier et conseille à la Suisse de s'armer.

Les hommes politiques suisses ont réagi avec incompréhension à la contribution du chef de l'armée et tiennent ses avertissements pour exagérés.

L'armée suisse avait déjà tenu il y a plusieurs années une manoeuvre dont la base était les désordres sociaux en Europe. Le journal L'Economist avait mis en garde depuis longtemps déjà contre les tensions sociales.

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Myrisa Jones

L’image du jour: Des musulmans attendent avec impatience la guerre civile en Europe contre les non musulmans

Il est bien clair aujourd'hui qu'un énorme abcès s'est formé et qu'aucune propagande socialiste du "vivre ensemble" ne pourra effacer ce que les peuples européens supportent depuis des décennies. Nos gouvernements qui nous traitent continuellement de racistes ont démontré leur mépris total vis-à-vis de peuples qu'ils étaient censés défendre.

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Source

On notera que pour lui, il suffit d'une fusillade contre une mosquée pour "mettre les compteurs à zéro".

Il semblerait que ce personnage soit très mal informé sur les agressions contre les non musulmans.

Petit rappel:


Procession perturbée à Concelice par de jeunes musulmans

Allemagne : des réfugiés chrétiens persécutés par des musulmans

70% des prisonniers en France sont musulmans

90% des inculpés pour viol sur des jeunes filles sont musulmans en Grande-Bretagne (Sun News)

Les musulmans violent des sœurs chrétiennes

Pakistan : une chrétienne handicapée violée en réunion par des musulmans

Un islamiste requérant d’asile soigné à nos frais: « Les Suisses sont des «fils de chiens» et des «ânes», ils ne méritent même pas d’être convertis à l’islam, ils doivent être décapités »

Danemark : Des réfugiés chrétiens violentés par des réfugiés musulmans


Asile: Des islamistes font régner leur loi dans les structures suisses

Un couple chrétien brûlé vif dans un four au Pakistan

Sang chretien vendu 100 000 $ la fiole en Arabie saoudite

etc. etc.

Le FN «peut conduire à la guerre civile», dit Valls

Avant ce déplacement, Manuel Valls a affirmé sur France inter que le Front national pouvait conduire à la "guerre civile". Interrogé à ce sujet, le Premier ministre a réitéré ses propos.

Évoquant des «ferments de guerre civile», Manuel Valls estime qu’il y a une nécessité de «protéger» les musulmans en priorité

A quatre jours du second tour des régionales, le Premier ministre est monté au créneau mercredi pour défendre la laïcité et délivrer un message aux musulmans, auxquels la République doit « protection ».

Alors que pendant la campagne pour les élections régionales, l’extrême droite a multiplié les attaques contre les musulmans, Manuel Valls s’est adressé directement à eux, mercredi, à l’occasion de la deuxième journée nationale de la laïcité à l’école.

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L’Etat, la République, protègeront les musulmans a promis en substance le Premier ministre, très engagé dans le barrage contre le Front national. [...] « Dans la remise en cause de ce qui fonde notre pacte, de ce qui fonde la laïcité, d’une certaine manière de vivre ensemble, il y a les ferments de la guerre civile« , a ajouté Manuel Valls. Le choix de ces mots entre les deux tours d’une élection marquée par la poussée du Front national, c’est bien sûr un signe aux musulmans. Un message de mobilisation, en particulier dans les banlieues où l’abstention atteint des records.

Source via Fdesouche.com