France Inter – gauche et extrême-gauche exclusivement

France-Inter-1

   
Michel Garroté - France Inter, radio publique, se contrefiche de son cahier des charges qui lui impose l'objectivité. Le CSA laisse faire, et même la droite parlementaire semble peu s'en soucier. Le régime socialiste et la pseudo-droite évacuent ainsi la droite libérale-conservatrice du débat national. La France n'est donc plus un Etat de Droit. La France est une République bananière. Et, surtout, la France est un pays que n'effraie pas le spectre du Califat islamo-gaulois.
-
Élisabeth Lévy - Toutes les personnalités que j’ai sollicitées pour parler de France Inter ont refusé de le faire ouvertement, sans doute parce qu’elles veulent continuer à être invitées. Vous avez accepté, est-ce parce que vous êtes tricard ?
-
Gilles-William Goldnadel - En tout cas, je ne suis presque jamais invité, et ceux qui ont tenté de le faire ont dû se faire rappeler à l’ordre car j’ai été désinvité. Il faut dire que je passe mon temps à les enquiquiner en pointant leurs divers manquements. Pendant l’affaire du « mur des cons », où je défendais mon ami Clément Weill-Raynal, une journaliste est venue m’interviewer, cela n’a jamais été diffusé. Et elle n’a pas eu le courage de répondre à mes nombreux appels. Bien sûr, ça n’a rien de personnel. Le même traitement est peu ou prou réservé à tous ceux que l’on considère comme des ennemis idéologiques. Ainsi, cela ne pose aucun problème à Ali Baddou de recevoir Badiou, stalinien-maoïste non repenti, mais Zemmour est interdit d’antenne.

Élisabeth Lévy - Peu de gens semblent penser, comme nous, qu’il y a un scandale de la radio publique ?
-
Gilles-William Goldnadel - Vous avez raison, le scandale, d’une certaine manière, c’est qu’il n’y ait pas de scandale, alors que même les responsables de Radio France reconnaissent que les antennes sont de gauche. Or il s’agit du service public, financé par la redevance de tous les Français. Le cahier des charges impose, théoriquement, l’objectivité, la neutralité et le pluralisme, sous le contrôle tout aussi théorique du CSA. Et nonobstant cela, on continue comme si de rien n’était. Et le plus scandaleux, c’est que même l’opposition de droite n’en fasse pas un sujet de réflexion. Ce qui prouve à quel point la droite n’a rien compris au combat des idées.
-
Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
-
http://www.causeur.fr/goldnadel-france-inter-gauche-41086.html#
-

Extrémistes et racistes – Sans rire qui sommes-nous ?

Ivan-Rioufol-1

   
La gauche politico-médiatique parisienne -- cette caste arrogante et inculte -- nous taxe "d'extrémistes racistes". Sans rire, qui sommes-nous vraiment ? Nous ne sommes ni extrémistes, ni racistes. Nous sommes de droite, un point c'est tout. Ci-dessous, je publie les extraits de deux chroniques, celle d'Ivan Rioufol ('Le Figaro', un journal centriste) et celle d'Elisabeth Lévy ('Causeur', un hebdo de centre-droit).
-
Ivan Rioufol écrit : L’Agence France Presse classe votre serviteur, dans une dépêche, parmi les "figures idéologiques majeures de l’extrême droite". Cette caricature est d’habitude utilisée par les sectaires et leurs censeurs, quand ils veulent faire taire un indésirable. Que le procédé soit repris par une institution publique réputée objective est une anecdote qui illustre le noyautage de l’information officielle par le camp du Bien. Être classé à l’extrême droite signifie rejeter les valeurs de la démocratie et de la liberté, pour leur préférer l’autoritarisme, la violence, la rupture.
-
Ivan Rioufol : Pour le libéral que je suis, dénonciateur de la pensée totalitaire qui progresse à gauche, le coup de pied de l’AFP est celui de l’âne. S’affirme, chez les "progressistes" en déroute, une montée de l’intolérance et des anathèmes. Ces maux ont les traits du véritable extrémisme. D’ailleurs, si la CGT ne se réclamait de la lutte des classes et du communisme, idéaux qui lui valent l’attendrissement des médias, elle mériterait d’être comptée dans les mouvements fascistoïdes. Le mépris qu’exprime le patron du syndicat, Philippe Martinez, pour la démocratie, y compris dans l’entreprise, a les caractéristiques d’un comportement factieux.
-
Ivan Rioufol : Il n’y a pas que ses bacchantes qui le rapprochent de Staline. Martinez est l’hériter d’une idéologie dictatoriale. Il s’emploie à le démontrer en recourant, en dépit de sa dérisoire représentativité, au chantage, à la prise d’otages d’usagers, à la censure de journaux, à la violence syndicale. Pierre Gattaz, patron du Medef, a raison quand, dans Le Monde de mardi, il dénonce la "dérive" de la CGT et fait remarquer : "On ne peut pas laisser une minorité agissante, révolutionnaire, paralyser l’économie". En réalité, l’étiquetage "extrême droite" est un fourre-tout utilisé par la gauche pour poursuivre son œuvre de déconstruction, conclut Ivan Rioufol.
-
De son côté, Elisabeth Lévy écrit : Le problème de la droite, comme celui de la gauche de gouvernement, est d'abord politique: à elles deux, elles peinent à séduire plus de la moitié des électeurs. Et cela traduit bien sûr une déroute idéologique. La droite aurait dû être capable de repenser la nation, de reposer la question des frontières et, plus profondément, d'élaborer une nouvelle synthèse entre l'héritage et le nouveau pour refonder ou réaffirmer notre identité collective. Au lieu de quoi elle se contente de faire de l'accompagnement de circonstances qui lui échappent.
-
Elisabeth Lévy : Et tandis que certains courent après la gauche pour avoir l'air plus moderne qu'elle, d'autres croient trouver dans le seul passé les forces pour l'avenir. On peut se demander si la droite, après la gauche, n'est pas en train de se terranoviser et de renoncer aux classes populaires qui, comme chacun sait, ont tendance à mal voter. Je suis allée à Béziers assister aux rencontres organisée par Ménard. J'ai été frappée par l'état de colère, d'exaspération et d'inquiétude de la salle. Or, quoi qu'en pensent mes amis qui, comme vous, cher Alexandre, souffrent peu ou prou d'économisme, ces gens peuvent supporter le chômage et l'appauvrissement, pas la perspective de la disparition comme peuple.
-
Elisabeth Lévy : À tort ou à raison, une partie de la France invisible décrite par Guilluy se sent menacée dans son identité collective, par l'immigration de masse et par la progression d'un islam séparatiste. Certes, l'économie c'est important, mais les questions identitaires sont brûlantes et il faut les traiter au lieu de se payer de bons sentiments. L'urgence aujourd'hui n'est même pas de décider ce que nous voulons faire mais de savoir qui nous sommes, conclut Elisabeth Lévy.
-
Michel Garroté
-
http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/06/gros-plan-sur-les-extremistes.html
-
http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/06/04/31001-20160604ARTFIG00068-elisabeth-levy-la-droite-se-terranovise-et-renonce-aux-classes-populaires.php
-

Cette gauche répugnante et totalitaire

Hollande-3

   
Oui, la gauche, notamment la gauche française, est répugnante, méprisable, sectaire, médiocre, inculte et totalitaire. A défaut d'avoir quelques grandes qualités, elle a de nombreux défauts. Dans les années 1970-80, on vivait dans l'illusion que la gauche avait peut-être quelque chose à dire, à proposer. Mais aujourd'hui, en 2016, la gauche révèle son vrai visage : elle est nulle et liberticide.
-
Elle est capitaliste, et, en même temps, elle est islamo-gauchiste. Ses représentantes et représentants ne pensent qu'à leur propre carrière politique, et, ce faisant, ils se tirent abondamment dans les pattes. Les hommes politiques de gauche pensent que les femmes ne sont que des putes et des salopes. Les femmes politiques de gauche pensent que les hommes sont tous des cochons. Bonjour l'ambiance.
-
A ce propos, Elisabeth Lévy écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Nuit debout, c'est la fête de l'intransitivité : on parle pour parler, on lutte pour lutter. Et le bien commun dont il est question n'a, à mon avis, rien de bien et pas grand-chose de commun. Ces palabres n'ont rien de nouveau et sont d'un niveau accablant.
-
Elisabeth Lévy : Un ramassis de toutes les vieilles lunes de l'extrême gauchisme, accommodées dans un fond de sauce anti-colonial, anti-israélien, anti-occidental, le tout dans une langue et avec des « concepts » d'une telle pauvreté qu'en comparaison, les slogans de 1968 sont des chefs d'œuvre. Dans six mois, quand les révolutionnaires d'opérette et les vrais vandales auront plié bagage, les postiers, les pompiers, les infirmières et les ouvriers postés passeront encore leurs nuits debout, conclut Elisabeth Lévy (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
De son côté, Christian Vanneste écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Il y a un fond totalitaire chez les socialistes. Il y a une tendance générale dans les démocraties libérales à laisser s’imposer une pensée unique. La rencontre dans notre pays de cette double réalité a, depuis longtemps ruiné l’un des deux piliers de la démocratie, la liberté d’expression, sans laquelle les autres libertés ne sont qu’une apparence. L’origine du courant socialiste français dominant, c’est le marxisme, l’idée que l’appropriation collective des moyens de production est la condition d’une société juste, c’est-à-dire égalitaire, et qu’elle est de toute façon, une nécessité historique établie par la science économique, et non un choix.
-
Christian Vanneste : Le parti socialiste a certes évolué, mais il reste prisonnier de ce péché originel qui lui fait croire qu’il détient la vérité et qui lui donne dans les débats une arrogance qui devient grotesque à la mesure des catastrophes économiques ou simplement des mauvais résultats qu’il engendre. Loin de se corriger, il verse alors dans une agressivité qui est attentatoire à la démocratie. Par ailleurs, la majorité des médias a peu à peu suscité puis imposé un champ limité de ce qui pouvait être dit ou pensé. Les exemples de l’avortement, du Pacs, celui du mariage unisexe, la repentance historique, l’affirmation identitaire, offrent l’image d’un ralliement historique de la droite molle à des « progrès » ouverts par la gauche.
-
Christian Vanneste : Que dans ces domaines moins quantifiables que celui de l’économie, les avancées puissent être des reculs est passé sous silence. Les opposants, les résistants, les dissidents sont interdits de parole. Le mépris et l’insulte sont de droit à leur encontre. En fait, c’est sur ces questions où la discussion devrait être la plus ouverte qu’elle est proscrite au profit d’un véritable terrorisme intellectuel. La récente affaire de Black M à Verdun illustre ce paradoxe. En raison de propos antisémites, islamistes et homophobes, ce rappeur aurait du être banni par la gauche. Il a été choisi par un goût provocateur de promotion des minorités.
-
Christian Vanneste : Puis, il a été déprogrammé lorsque l’indignation justifiée s’est déployée. Mais, bien qu’ayant reconnu son erreur en annulant le concert, la gauche s’est une fois de plus abandonnée à son sectarisme en déversant un torrent de mépris et d’injures sur les contestataires. Cette contre-attaque a ciblé une fois encore le Front National qu’il s’agit évidemment de rediaboliser. Des élus « républicains », comme Apparu se sont joints à la meute des commissaires politiques alors que des membres de ce parti avaient pourtant dénoncé le choix du rappeur.
-
Christian Vanneste : L’exigence de dignité dans une commémoration patriotique devrait être spontanée chez tous. Elle devient aujourd’hui hérétique. Le sectarisme de la gauche, l’inconsistance de la prétendue « droite » sont des menaces pour la démocratie. Le pouvoir actuel qui tente d’introduire un peu de réalisme dans une politique économique calamiteuse, compense sur le terrain sociétal. Il faut mesurer le danger du processus pour la démocratie.
-
Christian Vanneste : Un gouvernement démocratique ne peut avoir pour ambition de changer les mentalités, d’imposer un vocabulaire où le genre remplace le sexe, où le mot race est interdit, où le patriote hostile à une immigration envahissante se voit traiter de fasciste.  C’est Albert Camus qui disait justement que « mal nommer les choses ajoutait au malheur du monde, conclut Christian Vanneste (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Michel Garroté, 17 mai 2016
-
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2016/05/14/31003-20160514ARTFIG00096-elisabeth-levy-de-nuit-debout-a-verdun-le-chantage-au-fascisme-ne-passera-pas.php
-
http://www.christianvanneste.fr/2016/05/17/la-gauche-totalitaire/
-