Suède: Seuls 3% à 4% des migrants peu qualifiés sont intéressés à se former professionnellement

Le gouvernement suédois a constaté que seuls entre trois et quatre pour cent des migrants nouvellement arrivés avec une mauvaise qualité d'éducation sont intéressés à participer à poursuivre des études ou des formations.

Le nouveau rapport, qui provient du Service suédois de l'emploi, montre que seulement trois à quatre pour cent des migrants qui sont venus en Suède au cours des deux dernières années ont manifesté leur intérêt à participer aux cours pour développer leur éducation.

Selon Sveriges Radio, Annie Rubensson, directrice de l'intégration et de l'établissement au service de l'emploi, a déclaré que les chiffres pourraient avoir un impact considérable sur les chances des migrants en matière d'emploi.

"Cela signifie que leurs chances d'obtenir un emploi diminuent considérablement", a ajouté Rubensson, "nous travaillons beaucoup pour motiver et nous redoublerons nos efforts dans les conseils pour informer de ce qui est nécessaire sur le marché du travail suédois".

 "Il n'est pas certain qu'ils soient conscients qu'en principe, ils ont besoin d'une éducation secondaire pour obtenir un emploi permanent en Suède", a-t-elle déclaré.

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Source1 Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

8 commentaires

  1. Posté par hausmann conrad le

    Pourquoi se former??? Pour dire :  » je n’ai pas dé -problèmes puisque l’assistante sociale s’occupe dé Tout ! » Comme me l’a dit un africain…

  2. Posté par philippe le

    Ben Quoi ? ils ne s’en aperçoivent seulement maintenant, .Donc, le 95 % va arriver au social !L’État social va être vidé de ses disponibilités Le réveil sera brutal ! .

  3. Posté par Claude le

    Où sont les ingénieurs et docteurs qui nous étaient annoncés par tous les merdias ? On se rend compte que c’est de l’enfumage, la diffusion d’un mensonge milles fois répétés en espérant bien sûr que cela devienne une  »vérité » …

  4. Posté par Eddie Mabillard le

    Mais, mais mais, où va-t-on? pourquoi tourne-t-on tout d’un coup le char, mais c’est au Suédois de souche de prendre des cours pour comprendre les néo arrivants. Nous avons un Suisse qui a la vision juste des choses, c’est le grand, jeune et beau Cédric Wermuth qui a avancé l’idée la plus génial du siècle, je devrai dire du millénaire, il faut que nous autres Suisses de souche apprenions l’albanais et l’arabe. Cela est juste et bon pour nous autres sales racistes de suisses blancs!

  5. Posté par Le Taz le

    Seuls 3 à 4% des envahisseurs s’intéressent à se former serait plus juste! Aucun n’est qualifié, hormi en violes, agressions, deprédations de biens publiques et trafics divers et variés!

    Donc dans le but de détruire les pays européens, effectivement, Angela de Luxembourg a raison, pour cela ils sont parfaitement qualifiés…

  6. Posté par miranda le

    COMBIEN D’ENTRE EUX SONT VENUS AVEC L’IDEE DE S’ADAPTER A UN NOUVEAU SYSTEME?

    Car la raréfaction du travail en Afrique engendre la création de « petits boulots » qui ne demandent pas la même endurance, la même capacité d’adaptation que celle de l’adaptation à un rythme de travail à l’Européenne.

    Et cela nos dirigeants Européens,NE SE CONFRONTANT PAS A LA REALITE DES RUES DES GRANDES VILLES AFRICAINES où vivotent de simples citoyens africains grâce à ces petits boulots, ne pourront pas anticiper la réaction de ces africains quand ils seront confrontés au rythme de travail européen..

    LE TRAVAIL EUROPEEN C’EST RENTABILISER LE TEMPS.
    LE TEMPS EST UNE AUTRE REALITE EN AFRIQUE.

    Exemple d’un petit boulot en ville Africaine, qui demande peu d’effort :
    – avoir un téléphone portable et jouer le rôle de « cabine téléphonique »,
    pour les « consommateurs » qui n’en sont pas encore équipés.
    Ce petit boulot demande : une chaise, une petite table et un petit parasol.
    On peut y rester assis toute la journée ou la matinée ou la soirée.
    Et on ne rentre pas fatigué le soir en rentrant chez soi.
    Les « muscles cérébraux et ceux du corps » n’ont pas beaucoup travaillé.

    On pourrait citer plein de petits boulots comme ceux-là. Est-ce que les individus pratiquant ces petits boulots peuvent décemment s’adapter au rythme de travail en Europe?

    Au moins, dans les précédentes migrations, les patrons allaient chercher des gens des campagnes habitués à déployer une force de travail considérable.

    Aujourd’hui toutes sortes de gens peuvent venir en Europe et avoir ou ne pas avoir l’aptitude au travail à l’Européenne. Mais l’essentiel est de SATISFAIRE LE PLAN DE METISSAGE KALERGI.

    Il n’est que de voir la désolation de certaines femmes de chambre dans les chaînes d’hôtel bien connues en France. Elles ont l’air malheureuses et n’ont pas du tout envie d’être aimables. Il m’arrive de dire qu’elles font réellement « la tronche ». Forcément le rythme de vie et de travail parisien doit les « déstabiliser ».

    Elles pensaient pouvoir réaliser leurs rêves, mais c’est la réalité qui les attendait.

  7. Posté par Bussy le

    Comme il ne doit pas y en avoir beaucoup de qualifiés ou alors avec des qualifications obsolètes en Europe, on peut donc dire que 96 à 97% des migrants ne veulent pas travailler, par contre les Suédois vont devoir bosser dur pour leur payer leurs généreuses prestations sociales à vie !
    Et en plus, les boulets auront des exigences, étant tous des adeptes d’une secte spécialisée dans les revendications communautaires sans fin et sans relâche….
    Bravo les Suédois, vous faites preuve d’intelligence !!!!

  8. Posté par kitty le

    C’est bien, les Suédois viennent de s’en rendre compte. A présent, ils vont comprendre que sur ces 3 % , la moitié va glander aux cours . Au final, est ce bien la peine de mettre sur pied des infrastructures pareilles pour un si piètre résultat. Ils finiront quand même à l’assistance sociale. Comme tous les autres.

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