Autriche : le chef de la police conseille aux femmes de « ne pas sortir seules » à cause des agressions des réfugiés

Le chef de la police de Vienne a déconseillé aux femmes de s’aventurer seules dans les rue après les agressions sexuelles hautement médiatisées en Autriche et en Allemagne.

Le patron de la police Gerhard Pürstl est maintenant accusé de faire porter aux femmes la responsabilité des agressions, plutôt que de cibler les hommes qui commettent des crimes sexuels.

M. Pürstl a dit : « Les femmes devraient, en général, ne pas sortir dans les rues la nuit seules, éviter les zones suspectes et aussi, dans les pubs et les clubs, n’accepter de boissons que de personnes qu’elles connaissent. » [...]

Traduction Fdesouche

The Independent

Agressions de femmes en Allemagne par des immigrés : réaction de Frank Franz

Les tensions sont vives en Allemagne, en particulier à Cologne qui a fait la une de la presse mondiale suite à l’agression en masse de jeunes femmes à Nouvel an (voir l’article de LaPravda.ch). Entretien avec le président du Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD) qui critique fortement la politique migratoire du gouvernement Merkel.

Interview : Alimuddin Usmani

Alimuddin Usmani : Durant la nuit de la Saint-Sylvestre, de nombreuses femmes ont subi des harcèlements, des agressions sexuelles et des vols à Cologne. Des incidents similaires ont été rapportés à Hambourg et à Stuttgart.  Selon divers témoignages, les assaillants étaient des jeunes hommes d’Afrique du Nord. Quelle est votre réaction à ces événements?

Frank Franz : Ceci est la conséquence logique de l’entrée d’un certain nombre d’individus étrangers à notre culture sur le territoire de l’Allemagne, qui n’a même plus besoin d’être soumise. Dans le cas précis, nous ne parlons pas d’Européens qui ont les mêmes valeurs et les mêmes concepts juridiques que nous. Il s’agit de gens qui, dans leur pays d’origine, ont partiellement pour habitude de traiter les femmes comme des choses. Ils viennent en partie de pays où les femmes n’ont aucun droit. C’est une honte que la bourgmestre de Cologne, Madame Reker, veuille désormais formuler des règles de conduite pour les femmes au lieu de renvoyer ces criminels d’où ils viennent.

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L’orchestre symphonique de Téhéran censuré parce qu’il comprend des femmes

C'est ce qui s'appelle une fausse note. L'orchestre symphonique de Téhéran n'a pas pu jouer comme prévu lors d'une compétition internationale de lutte parce qu'il comprenait des femmes. La prestation de l'orchestre, qui devait toute de même jouer l'hymne national iranien, a été annulée au dernier moment, alors que «les chaises avaient été installées et que tout semblait bien se passer», a déclaré le chef d'orchestre, Ali Rahbari, cité par l'agence de presse Isna.

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Allemagne : Des migrants musulmans louent des femmes pour 10€ la passe (Vidéo)

Bienvenue en Allemagne!
Les migrants musulmans y vendent ou y louent des femmes pour 10€ la passe.

La violence est aussi un trait commun pour beaucoup de centres pour migrants.

Une révolte violente a été prise en vidéo avec un téléphone portable dans le camp de réfugiés de Wilhelmsburg, à Hambourg.

Des douzaines de réfugiés en provenance d’Albanie et d’Afghanistan ont brandi des bâtons et des armes. Il y a eu plusieurs blessés et un grand nombre d’arrestations.

https://youtu.be/KBqeWJfTej4

Source: The Gateway Pundit, le 16 octobre 2015 via NouvelOrdreMondial

État islamique : L’enfer des femmes et des enfants esclaves

Pendant six mois, des journalistes ont enquêté sur le sort de victimes de l’État Islamique. Chaque jour, des femmes et des enfants trouvent refuge au Kurdistan. Parmi eux, des jeunes femmes vendues comme esclaves sexuelles, et des garçons entraînés à devenir les « lionceaux du califat ».

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Les sauvages qui ont envahi l’Allemagne violent les femmes partout

Les sauvages du tiers-monde qui ont envahi l’Allemagne violent des femmes littéralement partout. Cela inclut de nombreuses femmes allemandes. Un rapport complet [en anglais] est en lien plus bas, avec un résumé sur ses découvertes.

Le fond de la chose est que ces sauvages musulmans ou africains ne peuvent pas contrôler leurs pulsions sexuelles et vont violer n’importe quoi pourvu que cela ait un trou.

Gates One Institute

Un nombre croissant de femmes et de jeunes filles logés dans des habitations pour réfugiés en Allemagne sont violées, aggressées sexuellement ou même forcées à se prostituer par les chercheurs d’asiles mâles, d’après des organisations allemandes de travail social avec une connaissance de première main de la situation.

Nombre de ces viols ont lieu dans les centre mixtes, où, du fait du manque d’espace, les autorités allemandes forcent des milliers de migrants hommes et femmes à partager les mêmes zones de sommeil et les mêmes infrastructures de repos.

Les conditions pour les femmes et filles dans certains centres sont tellement périlleuses que les femmes sont décrites comme un « jeu sauvage » combattant les prédateurs musulmans. Mais de nombreuses victimes, craignant des représailles, restent silencieuses, disent les travailleurs sociaux.

Dans le même temps, des nombres croissants de femmes allemands dans les villes au travers du pays sont violées par des chercheurs d’asile d’Afrique, d’Asie et du Moyen-Orient. Nombre de ces crimes sont minimisés par les autorités allemandes et les médias nationaux, apparemment pour éviter d’alimenter le sentiment anti-immigration.


Cette situation est écoeurante.

Elle rappelle celle de la Suède, où les taux de viols ont en deux décennies sous l’impact de l’immigration atteint des niveaux 10 à 15 fois supérieurs à ceux des autres pays européens, en partant pourtant de taux parmi les plus faibles au monde.

Source

Traduction de l’article d’infostormer

Sévices et viols très répandus dans les camps de réfugiés

Les quelques femmes et enfants qui se trouvent dans les camps de réfugiés sont utilisés comme boucliers humains et comme miroir aux alouettes pour conforter les bien-pensants dans leur idéologie. Ces femmes et ces enfants sont violés et maltraités par les "réfugiés" dans les camps. La police allemande a déclaré que cette pratique était très répandue.

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Les étrangères sont les plus exposées à la violence domestique

Selon l'Office fédéral de la statistique, les actes de violence sexuelle grave ont atteint leur plus haut niveau depuis 2009: elles ont augmenté de 11% (40 cas).

Les femmes lésées étrangères sont surreprésentées au niveau des infractions de violence domestique grave. Et cela surtout dans le couple: leur taux est ici cinq fois plus élevé que celui des femmes suisses. De manière générale, les femmes sont le plus exposées entre 25 et 29 ans. La violence domestique exercée par les parents est le plus souvent dirigée contre les filles mineures.

 

Source

Tahani Abou Jazar, lectrice à l’université islamique de Gaza : l’islam défend les droits des femmes

Dans une interview diffusée sur Al-Aqsa, la chaîne télévisée du Hamas, le 8 mars 2015 à l’occasion de la Journée de la femme, Tahani Abu Jazar, lectrice sur la Loi islamique à l’université islamique de Gaza, a défendu le statut de la femme dans l’islam, précisant : « Les femmes n’ont pas les mêmes besoins que les hommes. » Elle a expliqué que « l’homme se sert de l’hémisphère gauche de son cerveau » tandis que la femme « se sert des deux hémisphères ». Selon elle, « c’est là la preuve que le témoignage d’un homme vaut celui de deux femmes »....

Extraits en français : suite

Le sort fait aux femmes révèle la liste des peuples maudits

Par Kamel DAOUD

Farkhunda. Le prénom, presque, d’une terre. Ou d’un royaume ? Ou d’une légende ? C’est le prénom de la femme afghane lynchée par la foule, filmée, puis jetée au fleuve Kaboul, dépecée et brulée, il y a une semaine.
Il fallait voir ces images sur Internet : des policiers qui se croisent les bras, un Afghan qui filme, une meute qui s’acharnait sur une masse sombre : la femme accusée d’avoir brûlée un coran. A un moment, un homme arrive et se met à la frapper avec un sceau. Un autre avec une planche. Poussière. Atroce. Sentiment de terreur et de honte.
Plus tard, quand retombera la poussière, le ministère afghan de l’Intérieur précisera qu’elle n’était coupable de rien : ni d’avoir brûlée, ou piétinée ou déchirée un Coran. Juste d’avoir été une femme. Farkhunda. On tente d’imaginer ses derniers moments, sa douleur sous le piétinement, ses cris, sa sombre solitude.
Puis on recule : cela est atroce et impossible à la fois de se représenter l’atrocité de l’intérieur. De la rage au cœur alors. Presque de la haine pour ces peuples. Il fallait voir ces images et cette horde d’animaux qui s’est abattue sur elle au nom d’un livre ou d’un Dieu.
De la sauvagerie à vous faire vomir. De l’inhumain. Il fallait imaginer la vie de cette femme, dans ce pays vidé où les femmes sont traitées comme des organes honteux, une vie sans sens, sans liberté, sans désir, pour finir sous les pieds de ce troupeau, au nom d’un livre.
Le monde feuillète. En Egypte : Essissi, le Général-président, accueille une femme qui a été obligée de se déguiser, pendant 43 ans pour contourner l’interdiction « sociale » de travailler. Sisa Abou Daooh, 65 ans, admirable, nourrissant impotent et enfants. Une vie entière en clandestine sous sa propre peau, dans son pays, parmi les siens.
C’est l’état de notre monde : la femme sous la loi de l’enterrement du vivant. Partout chez nous la femme est coupable. De son corps, de sa féminité, de sa condition. Avilie, chassée, pourchassée, harcelée, accusée, honnie ou aliénée au point qu’elle se retrouve à haïr les autres femmes au nom de l’homme ou de Dieu.
Cela ne change pas : entre le sort de Sisa Abou Daooh, ou celui de Farkhunda jetée brûlée dans la rivière Kaboul ou celui des autres, il n’y a que de degrés de dépossession ou de lynchage. La femme est coupable et son procès est ouvert par la meute qui la lynche, les hommes qui lui interdisent de travailler ou ces rats qui, à l’APN algérienne, ont grimacé à propos de l’amendement de la loi sur le harcèlement sexuel (la femme étant coupable parce qu’impudique). Même sort, mort ou corps. Partout où on parle du ciel, on commence par piétiner la femme. Et c’est terrible.
Car JAMAIS un peuple ne marchera sur la lune, ne sera puissant, honoré et respecté tant qu’il traite la femme, sa moitié vivante qui donne vie, son lieu de désir et d’imaginaire, son champ d’amour et d’acceptation, comme une « honte ». JAMAIS un peuple ne connaîtra la paix et la puissance tant qu’il traite la femme comme un animal ou une esclave ou une impudeur à cacher. JAMAIS un peuple qui parle de la femme comme d’un préservatif vivant, ne connaîtra la sérénité, le partage et la quiétude.
Un peuple qui veut cacher les femmes comme une honte, enterre la moitié de sa force économique, méprise la moitié de ses forces, ne peut prétendre être un peuple ou avoir un vrai pays.
Il sera une honte à vivre et une misère à subir. C’est la loi de la vie. Le sort de l’Afghanistan est dans le sort de Farkhunda. La misère de l’Egypte et dans le sort réservé à Sisa Abou Daooh. La tristesse et l’échec de l’Algérie sont à lire dans la bouche de ces députés islamistes qui ont accusé la femme d’être coupable « d’impudeur ». Vous voulez lire l’avenir de certains peuples ? Regardez alors le présent qu’ils font subir à leurs femmes.

Kamel Daoud

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« Quel que soit votre degré de bonté envers une femme, son égoïsme la poussera à l’ignorer. Cela est vrai de toutes les femmes. »

L’imam Mohamed Khattabi de la mosquée Aïcha de Montpellier : Les femmes sont égoïstes par nature, elles nient le bien que les hommes leur font ; elles doivent reconnaître la supériorité de l’homme.

Dans un sermon du vendredi prononcé le 8 mars 2015 à la mosquée Aïcha de Montpellier, en France, l’imam Mohamed Khattabi (photo) a déclaré : « Quel que soit votre degré de bonté envers une femme, son égoïsme la poussera à l’ignorer. Cela est vrai de toutes les femmes. » Extraits du sermon (ndrl : un moment de franche rigolade !)

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Comment violer et battre des femmes : l’ignoble guide de l’Etat Islamique

Publié par le "Département des prisonniers et des affaires de la femme" de Daech, un document énonce les règles en matière d'esclavage sexuel, le sort réservé par les djihadistes aux femmes chrétiennes et yézidies du territoire. Parmi ces règles : le viol répété, même sur des jeunes filles vierges, et les coups.

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L’EI aurait exécuté 150 femmes qui avaient refusé de se marier avec des djihadistes

Le ministère des droits de l'homme irakien a annoncé, mardi 16 décembre, que l'Etat islamique (EI) avait exécuté 150 femmes, dont certaines étaient enceintes, parce qu'elles avaient refusé de se marier à des combattants du groupe terroriste, rapporte l'agence de presse turque Anadolu.
« Au moins 150 femmes, y compris des femmes enceintes, ont été exécutées à Fallouja par un militant appelé Abu Anas Al-Libi après qu'elles ont refusé d'accepter de se marier avec des djihadistes », indique le communiqué du ministère. Elles auraient été jetées dans des fosses communes situées autour de la ville de Fallouja, dans la province Al-Anbar.

« MENACES DE MORT »

« De nombreuses familles ont également été forcées de quitter la province au nord de la ville d'Al-Wafa après que des centaines de résidents ont reçu des menaces de mort », précise Anadolu. Le ministère irakien a ajouté que de nombreux enfants étaient morts dans le désert après avoir quitté la ville. L'Etat islamique a également exécuté, en public, la militante pour les droits des femmes Samira Salih Al-Nuaimi, à Mossoul, en Irak, après qu'elle avait critiqué le groupe terroriste sur sa page Facebook.

Le groupe djihadiste s'attaque régulièrement, et sauvagement, aux enfants et aux femmes, en particulier ceux de la minorité yézidi, dont le nombre est estimé à 600 000 en Irak. Au mois d'août, à mesure que l'EI gagnait du terrain, les Yézidis ont subi, dans la région du Sinjar, l'un des pires massacres de leur longue histoire.

Source

 

Erdogan : “La femme ne peut naturellement pas être l’égale de l’homme”

Le président islamo-conservateur turc affirme que "l'islam a défini une place pour les femmes dans la société : la maternité".

Le président islamo-conservateur turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé lundi sans détour que les femmes ne pouvaient pas être naturellement égales aux hommes et a critiqué vertement les féministes, les accusant d'être opposées à la maternité.

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