Roman Polanski, brûleras-tu en Enfer ?

   
La Cour suprême de Pologne a refusé, mardi 6 décembre 2016, de rouvrir la procédure d'extradition vers les États-Unis contre le franco-polonais Roman Polanski, pédocriminel et cinéaste, poursuivi par la justice américaine pour le viol par sodomie d'une mineure âgée de 13 ans, Samantha Gailey.
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La décision rejetant le pourvoi en cassation met un terme définitif à la procédure d'extradition entamée à la demande de la justice américaine. Après 42 jours de prison, puis sa libération sous caution, le cinéaste pédocriminel s'était enfui des États-Unis avant l'annonce du verdict, craignant d'être lourdement condamné. Roman Polanski, brûleras-tu en Enfer ?
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Rediffusion : « Nous arriverons en Europe avec les bateaux et ce sera un enfer. »

Nos lecteurs nous demandent de reprendre l'avertissement que nous avions publié en janvier 2015 :

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TRIPOLI - Isis compte sur la Libye pour rejoindre le sud de l'Europe dans les bateaux des migrants. Ils attaquent Tripoli, revendiquent l'assaut sur l'hôtel Corinthia qui, en plus de diplomates et de travailleurs étrangers, héberge le gouvernement parallèle d'Omar al Hassi, qui n'est pas reconnu par la communauté internationale.

L'assaut avait commencé par une auto-bombe dans la cour suivi d'une fusillade dans le hall avec une prise d'otage qui s'est mal terminée. La reconstitution des évènements est encore confuse, y compris au sujet du nombre de victimes, mais il y en aurait au moins 12. Trois gardes libyens auraient été tués par les terroristes qui ont tiré comme des fous dès qu'ils sont entrés dans le hall, et 5 étrangers, après avoir été séquestrés. Parmi eux se trouvait un Américain et un Philippin. Les 4 (ou 5) terroristes seraient morts. Ils se seraient fait exploser quand ils se sont vus cernés. Il y aurait aussi des dizaines de blessés.

Tout de suite après l'attaque, la soi-disant "province de l'Etat islamique de Tripoli" a revendiqué l'attentat en guise de représailles pour la mort le 3 janvier dernier dans une prison américaine, d'un leader d'Al Quaïda. [...]

Selon un rapport de l'Etat Islamique repris par les médias libyens, "ISIS considère la conquête de la côte libyenne hautement stratégique à cause de son voisinage avec l'Europe méridionale, facilement joignable avec des simples bateaux de migrants. "Si nous réussissons à exploiter ce canal, la situation des villes européennes se transformera en un enfer" conclut le rapport, jetant de l'huile sur le feu [...]

Pourtant, selon le chef de la sécurité centrale de Tripoli, Omar Khadrawi, Isis n'a rien à voir avec l'attaque de l'hôtel Corinthia. Ce responsable, fidèle à Hassi, a accusé les ex représentants de la garde révolutionnaire de Kadhafi, qui s'emploieraient à miner la réputation de Tripoli comme étant une ville "tranquille et sûre". Selon des sources des services maltais (l'hôtel est une propriété maltaise), l'attentat pourrait provenir du gouvernement basé à Tobruk (gouvernement reconnu par l'Occident) justement pour causer du tort à son rival Hassi. [...]

Pendant ce temps, à Genève, s'est conclu le deuxième round de négociations entre les groupes rivaux, même s'il ne sont que partiellement représentatifs du panorama libyen. Ils ont unanimement condamné le terrorisme et se sont dit déterminés à trouver une solution au conflit qui est en train de déchirer la Libye.

Laurence Figà-Talamanca, ANSA

Source en italien (trad. D. Borer)

État islamique : L’enfer des femmes et des enfants esclaves

Pendant six mois, des journalistes ont enquêté sur le sort de victimes de l’État Islamique. Chaque jour, des femmes et des enfants trouvent refuge au Kurdistan. Parmi eux, des jeunes femmes vendues comme esclaves sexuelles, et des garçons entraînés à devenir les « lionceaux du califat ».

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La Suède : nouvel enfer pour les femmes

Explosion de viols en Suède: « c’est le nouvel enfer pour les femmes »

Stockholm, 20 septembre 2014 :

Une jeune femme de 21 ans sort du métro, le soir à Örnsberg, un quartier situé au sud de la ville, quand elle est attaquée par un inconnu. Elle le mord et se met à crier si fort que les gens du quartier sortent dans la rue, et attrapent le violeur, qui tentait de s’échapper en courant, un homme de 31 ans « de type européen du sud » parlant « suédois avec un accent ».

La Suède possède la triste place de second pays au monde pour le nombre de viols, juste derrière l’Afrique du sud.

Le criminologue suédois Jerzy Sarnecki, dans une interview pour Friatider ce 2 octobre, reconnait – fait rare en Suède où la critique de l’immigration est socialement peu appréciée – que « les immigrants son bien plus susceptibles de violer les suédoises ». Selon lui, si les immigrants sont sureprésentés dans les actes de viol, c’est en raison d’une « différence de classe sociale » (!).

Mais 85% des jeunes suédoises déclarent craindre de sortir seules le soir ou de ne plus du tout s’y risquer. 85% des Suédoises ne représentent pas la classe sociale supérieure.

Richard Jomshof, membre du parti Démocrate suédois et membre du parlement depuis 2010, expliquait à Avpixlat en janvier dernier qu’il existe un lien statistique entre l’immigration et le viol, ajoutant que « déclarer que le viol de femmes non musulmanes est ancré dans la culture islamique et fait partie des enseignements de l’islam est un langage tout simplement rude et généralisateur. »

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