Bienne. Grosse opération antidrogue : Une famille albanaise appréhendée.

Le locataire a été emmené, ainsi que sa femme qui logeait dans un appartement du cinquième étage. Leurs deux enfants et deux personnes présentées comme la soeur et le frère de l'épouse ont quitté librement l'appartement du cinquième vers midi.

Le suspect albanais louait l'appartement depuis plus d'une année.

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Nos remerciements à Wilhelm's Back

Deal de rue à Lausanne : le monde du cinéma et les élèves de la Haute Ecole d’art critiquent vivement Fernand Melgar

Fernand Melgar n’est plus le bienvenu à la HEAD, où les élèves paraissent faire front commun contre lui.

Jeudi, la HEAD a réagi par un communiqué. «Les prises de position de Fernand Melgar et surtout l’usage fait par le cinéaste de photographies volées de personnes présentées comme des dealers sur Facebook ont suscité un émoi et une indignation forte, notamment au sein des milieux culturels, très largement partagés au sein de l’école» (...)

Lettre ouverte

D’autant plus qu’en parallèle, une lettre ouverte, cosignée par des étudiants en cinéma de la HEAD et de l’ECAL, des alumnis et des professionnels du cinéma, en réponse à la tribune de Fernand Melgar sur le deal de rue à Lausanne, nous est parvenue dans la journée. On y retrouve, parmi 209 signataires, des personnalités connues comme Nicolas Wadimoff, Jean-Stéphane Bron, Lionel Baier, Antoine Jaccoud, Claude Barras, Francis Reusser, Frédéric Choffat, Christian Lutz ou Quentin Mouron.

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Lausanne: Pierre-Antoine Hildbrand, municipal de la Sécurité, banalise la présence des dealers.

Lundi soir, le Collectif Vinet-Beaulieu invitait les habitants de St-Roch à une séance d’information et de discussion sur la vie de quartier et le deal de rue. Une ambiance électrique n’a pas tardé à s’installer.

Les dealers sont désormais souvent titulaires de titres de séjour européens, une interpellation ne peut se faire qu’en présence d’un acheteur et d’un vendeur.

Sans nier que la présence de dealers dans les rues lausannoises était problématique, il a rappelé à l’assemblée qu’à «Lausanne, la consommation de drogue est équivalente aux autres grandes villes de Suisse. Il n’y a ainsi pas ici de parc d’attractions de la consommation

À la sortie de la séance, au Cazard, on croise ceux dont il a tant été question quelques minutes auparavant.

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Rappels:

Lausanne: «Les dealers de drogue demandent même à nos enfants d’être remboursés en nature!»

Lausanne: Une mère de famille harcelée par des dealers en plein après-midi: « Allez dégage ! Pute ! »

Lausanne: L’UDC Jean-Luc Chollet traite Résistance Helvétique de « nazillon » (Vidéo)

Lausanne: Pierre-Antoine Hildbrand s’oppose aux rondes de Résistance Helvétique. « C’est un trouble incontestable. »

Lausanne: Un socialiste inquiet des rondes effectuées par Résistance Helvétique. Il va déposer une interpellation urgente.

Suisse. Thurgovie: des Turcs transportant 14 kilos d’héroïnes arrêtés.

Dans la voiture d'un Turc âgé de 42 ans venant d'Allemagne, ils ont découvert 4 kg d'héroïne, ont indiqué lundi la police thurgovienne et le Ministère public.

Un autre Turc, âgé de 43 ans possédait une voiture en Suisse qui a été saisie. Dedans, les enquêteurs ont trouvé 10 kg d'héroïne.

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Suisse. Valais: Un Irakien tente de livrer de la drogue à son fils en prison

Un père irakien a été condamné par la justice valaisanne pour avoir tenté de livrer à son fils en prison de la drogue cachée dans des fruits.

Après une maman condamnée l’an dernier pour avoir livré de la drogue à son fils en prison, cette fois c’est un papa ayant fait de même avec son fiston qui vient d’être puni par une peine similaire de dix jours-amende avec sursis, une amende de 400 francs et de 450 francs de frais de justice.

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Nos remerciements à Info

Grisons. Coire: 14 Africains arrêtés pour trafic de drogues.

La police cantonale des Grisons a mené plusieurs actions contre le commerce de la cocaïne dans les rues de Coire l'année dernière. D'avril 2017 à avril 2018, elle a arrêté 14 Ouest-Africains et les a reconnus coupables de vente de cocaïne.

La majorité des ressortissants nigérians résidant dans les pays européens ont fait l'objet d'expulsions directes et d'interdictions d'entrée pour plusieurs années. Les mesures de renvoi et d'éloignement ont été prises par l'Office des migrations et le Secrétariat d'Etat aux migrations.

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Source Traduction libre Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Info

DROGUES : LES BOBARDS DES MÉDIAS-SOROS

STUPÉFIANTS, anticipation et autruches médiatiques

Par Xavier Raufer

Dix ans bientôt : le "Livre blanc de défense et sécurité nationale" paraît en juin 2008. Ces livres blancs sont d'usage sobres et lisses, mais avec véhémence, celui de 2008 appelle à l'an-ti-ci-pa-tion, saint-Graal de la défense à venir. "Anticipation... base de notre stratégie... très haute priorité... première ligne de défense... fondement d'une nouvelle doctrine" : hors de là, point de salut. Depuis, dans la vraie vie, notre appareil de défense-sécurité a-t-il appris à anticiper ?

Mohamed Merah et autres fanatiques, tueries de Charlie-Hebdo, du Bataclan, etc. ? Raté. Les blitzkriege de Poutine, Crimée puis violente reconquête de la Syrie ? Raté encore. La mutation du gang salafiste d'abu Musab al-Zarqawi en un terrible "Etat islamique" ayant, vers 2014, plus de blindés que l'armée française ? L'explosion ravageuse du cyber-crime ?

Rien vu ni prévu. Faute à qui ? D'abord, aux architectes du Livre blanc - ignorant que le besoin d'un dispositif ou produit nouveau, un vaccin contre le Sida par exemple, n'induit pas sa faisabilité rapide. Vouloir anticiper n'est pas savoir le faire - tant d'obstacles existent sur cette route-là.

Le premier pour mémoire, car souvent dénoncé par l'auteur : les cyber-arnaques du big data-police-justice prédictive, etc. Pas plus qu'à l'ère d'Aristote, l'incertitude n'est aujourd'hui modélisable. Un jour peut-être, grâce à la physique quantique, mais demain matin, non.

Reste l'obstacle majeur à l'anticipation, au décèlement précoce des dangers et menaces : l'aveuglement médiatique. Définissons-le à partir d'un exemple précis, les stupéfiants, la toxicomanie.

Sous la présidence Hollande, le gros de notre presse d'information fut bradée à deux milliardaires, menant désormais d'une main de fer des empires médiatiques Uberisés. Ce, non pour informer les lecteurs, mais pour leur vendre le capitalisme libertaire à la Soros, ici défini comme DGSI (Davos-Goldman-Sachs-Idéologie).

Pour pulvériser la société à leur profit, Soros, filou-financier souvent condamné et ses complices milliardaires-libertaires glauques, prônent la libéralisation des drogues. Leur plan : créer la panique médiatique autour du cannabis. Vite, libéralisons ! Demain sera trop tard. D'où, le matraquage du Monde et de Libération sur la toxicomanie galopante en France et en Europe, que seule la libéralisation du cannabis saurait contrôler et encadrer.

Or c'est faux : en Europe, l'usage de toutes les drogues, héroïne, amphétamines, cocaïne cannabis, etc., baisse désormais - surtout là où ses ravages étaient les pires. En septembre 2012, le Daily Mail titre - inutile de traduire "Drugs are going out of fashion dramatic fall in usage since 1996". En 2012 aussi, le World Drug Report signale qu'en Europe, l'usage de l'héroïne et de la cocaïne est en "baisse sensible", le cannabis étant, lui, "stable ou déclinant". Même constat dans le rapport Europe-2013 de l'Office français des drogues et de la toxicomanie (OFDT). En France ? Dès 2013, l'OFDT signale que, chez les jeunes de 17 ans, le cannabis recule. L'usage régulier (10 fois par mois) a même diminué de moitié de 2002 à 2011, de 12% à 6 % des 17 ans - signal fort : là sont les usagers de demain.

Conséquence du recul des drogues en Europe, marché mondial N°1, 24 milliards d'euros par an dit l'Office européen des drogues et de la toxicomanie (OEDT): pour les cartels et mafias, une baisse de 15% de ce marché signifie perdre 3,5 milliards d'euros par an. Or dans le féroce milieu criminel, le chef n'enrichissant plus sa meute est éliminé. Ainsi et dès 2012, les criminologues alertent : les "parrains" inventifs se ruent sur des trafics palliatifs, êtres humains, contrefaçons, cyber-crime, etc. De fait, ces activités criminelles ravageant la société, la santé publique, etc., explosent depuis lors.

Si, au lieu de gober les bobards-DGSI, notre appareil de sécurité avait ciblé à temps ces nouveaux périls criminels, il aurait attaqué le mal à sa racine - c'est cela, anticiper - au lieu d'attendre passivement, comme c'est le cas, que le mal soit fait.

Aujourd'hui, ce recul de la toxicomanie éclate au grand jour.

La 9e enquête OFDT-Escapad établit que, dans la cruciale catégorie des 17 ans, l'usage du cannabis est au plus bas depuis 2000 ; de 2014 à 2017, le nombre de ces jeunes fumant du hasch baisse de 9%. Les amphétamines et la cocaïne ? 8,8% en usent en 2014 chez les 17 ans, 6,8% début 2018.

Du bout des lèvres mais bien tard, les médias-DGSI l'avouent désormais.

Or pourquoi libéraliser des drogues dont l'usage baisse de lui-même ? Voilà la vraie question. Et la tâche des officiels est désormais claire : affronter les menaces criminelles émergentes, au lieu d'écouter des sornettes médiatiques.

Xavier Raufer

Suisse: Les Jeunes socialistes veulent libéraliser les drogues dures

Les Jeunes Socialistes veulent légaliser la consommation de cannabis mais aussi de toutes les drogues. Le sujet sera débattu lors de l'assemblée des délégués samedi, rapporte le journal dominical Zentralschweiz am Sonntag.

Fabian Molina confirme. «Il n'y a pas d'autres possibilité qu'une légalisation totale pour combattre le marché noir», affirme le président de la Jeunesse socialiste, pour qui il faut trouver d'autres solutions alors que la consommation de drogues augmente et que le trafic est complètement contrôlé par des groupes mafieux.

Source

 

Genève la multiculturelle: Les trafiquants des Balkans attaquent la coke

Bouleversement sur le marché des stupéfiants. Les dealers albanophones se lancent à la conquête du marché, tenu par des réseaux africains.

Le milieu albanophone, roi de l’héroïne depuis vingt ans, se diversifie. Il investit le marché de la cocaïne, dévolu jusqu’alors aux trafiquants de l’Afrique de l’Ouest, en Suisse romande du moins. Le mouvement, amorcé en 2013 selon Jean-Philippe Brandt, porte-parole de la police genevoise, est devenu visible ce printemps. Le commissaire d’Annemasse (F) Philippe Guffon confirme la chose.

Source

Bex est totalement dépassé par ses trafics de drogues

NDR: A noter que l'article évite soigneusement de parler de l'origine des dealers.

«Et si vous repoussiez ces dealers vers Monthey?» «Pourquoi ne pas autoriser le trafic dans une rue donnée?» «Est-ce que la population bellerine doit s’organiser en milices?» Jeudi soir, plus de 400 habitants ont tenté d’esquisser les solutions les plus variées au problème qui touche le village de Bex: le deal de rue.

Code de procédure pénal laxiste, bonne organisation des dealers, ressources insuffisantes, banalisation des sanctions, prévenus relaxés faute de place dans les prisons: le ton était loin d’être au triomphalisme.

Source via Suzy Desouche