Trump et la Davos Connection

Depuis le bureau de la rédaction, Michael Matt jette un coup d'œil sur les bonnes nouvelles concernant le taux de récupération de Covid avant d'explorer ce qui se passe réellement avec la pandémie mondiale.

Pour le comprendre, il nous emmène en Suisse, au Forum économique mondial, où les décideurs du monde entier se réunissent régulièrement, en particulier depuis janvier 2020, pour planifier "la grande réinitialisation" lors du sommet de Davos en janvier 2021.

À l'aide de nombreux clips vidéo, Michael montre comment tous, de Soros à Gates, en passant par Schwab et Al Gore, ainsi que le secrétaire général des Nations unies, ne sont que trop prompts à admettre que le Covid leur offre une rare occasion de "réinitialiser" l'économie mondiale, le contrôle de la population, le commerce mondial, la régulation du changement climatique, l'éducation et les objectifs de développement durable des Nations unies afin de "réorganiser", "réimaginer" et transformer fondamentalement chaque aspect de la vie telle que nous la connaissons.

Est-ce là le reste de l'histoire derrière l'intox sur l'ingérence russe, l'Ukraine, l'impeachment bidon et toutes les autres tentatives de l'État profond de saper les efforts de Trump pour "rendre sa grandeur à l'Amérique" ?

Les gens de Davos veulent un nouvel ordre mondial, et leur seul obstacle en ce moment, c'est les États-Unis. Et s'ils obtiennent leur "nouvelle normalité", rien ne sera plus jamais comme avant... sauf peut-être si Donald Trump gagne en novembre.

Traduction Cenator

Davos : discours de Donald Trump, de Simonetta Sommaruga et les commentaires de Ruth Dreifuss au 12h30

Discours de Donald Trump: "Nous sommes au milieu d'un boom économique"

Donald Trump s'est autocongratulé à Davos pour la réussite de sa politique économique. "Nous sommes au milieu d'un boom économique comme le monde n'en a jamais vu", a déclaré mardi le président américain au début du Forum économique mondial (WEF) à Davos (GR).

Il s'est aussi félicité de l'accord conclu récemment avec la Chine, un "nouveau modèle" pour le 21e siècle. "Malgré tout le cynisme, je n'avais jamais été aussi optimiste pour l'avenir des Etats-Unis", a-t-il affirmé, deux ans après son premier discours dans la station grisonne.

Longue liste de réussites

Après avoir débité sur un ton plutôt monocorde une longue liste de réussites économiques et sociales, ayant valu aux Etats-Unis "un boom comme on n'en a jamais vu auparavant", le président américain a vanté l'abondante production d'hydrocarbures des Etats-Unis, "numéro un mondial du gaz et du pétrole", et leur indépendance énergétique. Sans jamais mentionner les énergies renouvelables.

Donald Trump a fustigé les "prophètes de malheur" et les "prédictions d'apocalypse" lors de son discours auquel assistait la militante du climat Greta Thunberg.

"Nous devons rejeter les éternels prophètes de malheur et leurs prédictions de l'apocalypse", a-t-il dit peu après que la jeune Suédoise eut regretté que "rien n'ait été fait" pour enrayer le changement climatique.

La peur et le doute, pas de bons modes de pensées

Au terme de ce véritable discours de campagne, le milliardaire, qui brigue sa réélection et qui fait face à un procès pour destitution, a estimé que "la peur et le doute (n'étaient pas) de bons modes de pensée", louant l'innovation technologique plutôt que la régulation.

Difficile de ne pas voir dans son allocution un message aux activistes de l'environnement et en particulier à Greta Thunberg, qui, selon le New York Times, devrait, elle, répéter dans l'après-midi dans une allocution qu'il est temps de "paniquer" parce que la "maison brûle".

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Discours d'ouverture de Simonetta Sommaruga

La nature doit rester au-dessus de l'économie

Simonetta Sommaruga demande de ne pas placer l'économie au-dessus de la nature. "Le monde est en feu", a déclaré mardi la présidente de la Confédération en ouvrant le 50e Forum économique mondial (WEF) à Davos (GR).

"Les conséquences pour les êtres humains et la nature sont désastreuses", a affirmé Mme Sommaruga devant les participants, en référence notamment aux récents incendies en Amazonie et en Australie. Et d'appeler l'ensemble des acteurs de la société à se mobiliser pour ne pas laisser les pompiers seuls face à ces catastrophes. "Nous ne pouvons nous tenir de côté et regarder".

Autre "équilibre" à trouver, celui des sociétés. Certaines "émotions" utilisées pour des raisons politiques inquiètent Mme Sommaruga. Et de cibler les discours qui divisent.

Klaus Schwab remercie la Suisse

De son côté, le fondateur du WEF Klaus Schwab a remercié la Suisse et les Suisses. "Sans votre soutien, ces 50 dernières années n'auraient pas été possibles". Davos reflète "la tradition suisse" d'établir des plateformes qui permettent de dialoguer, a-t-il encore dit.

source:

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Ruth Dreifuss commente le discours de Donald Trump et celui de Simonetta Sommaruga :

Résumé Cenator : On voit la différence entre un homme de TV et une femme politique. Le discours de Trump est ridicule. Il plaide pour détruire ce qui est justement la base du bien-être et du progrès économique que l’Amérique vit. 

Il y a moins de chômage depuis qu’il est au pouvoir ? C’est grâce à ce qui a été fait avant lui, la croissance a été lancée par Obama ! Et le risque de chômage est là. 

lien vers l’émission:

https://www.rts.ch/play/radio/le-12h30/audio/le-discours-de-donald-trump-au-wef-a-davos?id=11010814

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Les invités du 12h30 - Ruth Dreifuss et Robert Bouvier présentent "Nous l'Europe - Banquet des Peuples"

Interview de Ruth Dreifuss, première présidente de la Confédération (PS/GE) et de Robert Bouvier, directeur du Théâtre du Passage de Neuchâtel, comédien et metteur en scène.

Résumé Cenator: Ruth Dreifuss explique que le danger pour l’Europe (sous-entendu l’UE), c’est le nationalisme à l’Est, le groupe de Visegrad, en particulier la Hongrie et la Pologne. Un retour du religieux et du populisme. Parce que ça, c’est vraiment la fin du rêve. Ces peuples se détournent ce qui fait l’Europe, c’est-à-dire les valeurs de la démocratie.

Ruth Dreifuss et Joseph Deiss vont jouer au Théâtre du Passage à Neuchâtel une pièce à la gloire de l’Union Européenne. Nous pouvons encore tenter notre chance mais le guichet affiche déjà complet.

Robert Bouvier, directeur du Théâtre du Passage, comédien et metteur en scène : l’UE, ce n’est pas que l’économie. La pièce parle aussi de la question migratoire, de l’Europe qui a été colonialiste, de notre façon de consommer. En Pologne, par exemple, on est confronté tous les jours à la montée du national-so... (se reprend), du naci... (se reprend de nouveau), du nationalisme.

Le journaliste sert la soupe avec ses questions qui contiennent la réponse : Est-ce que la nouveau rêve, le nouvel élan de la construction européenne n’est  pas à rechercher dans les revendications actuelles des sociétés, les activistes du climat, la Grève des femmes ?

Réponse de Ruth Dreifuss : Bien sûr. C’est là que palpite la cœur de l’Europe, dans toutes ces manifestations des jeunes. Ce souffle, on y assiste sans arrêt, lorsque les gens voyagent, étudient, se sentent unis par ces causes.

Quand la recherche, les études sont mises en difficulté parce que la Suisse n'est pas membre de l'UE, les gens sont démunis, car les Suisses perdent leurs liens avec leur patrie qui est autant européenne que communale et cantonale.

Ruth Dreifuss confirme : elle veut toujours que la Suisse adhère à l’Union Européenne, car nous sommes « partis dans une mauvaise direction » concernant la migration.  Il faut une collaboration et une coopération, et nous ne devrions plus être « une forteresse qui se cadenasse face au monde ».

Ruth Dreifuss : « Je n’aime pas les gens qui regardent un chantier du dehors et qui ne mettent pas la main à la pâte. »

lien vers l’émission:

https://www.rts.ch/play/radio/linvite-du-12h30/audio/les-invites-du-12h30-ruth-dreifuss-et-robert-bouvier-presentent-nous-leurope-banquet-des-peuples?id=11010826

Boris Johnson va boycotter le Forum économique de Davos : «Notre priorité est de répondre aux priorités des gens, pas le champagne avec les milliardaires»

«Notre priorité est de répondre aux priorités des gens, pas le champagne avec les milliardaires», a déclaré une source gouvernementale au tabloïd «Daily Mail».

«Orgies mutuelles d’adulation»

Il revendique être à la tête d’un «gouvernement du peuple» pour répondre, dit-il, aux aspirations des Britanniques en matière de services publics, de justice sociale ou encore d’infrastructures.

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Lematin.ch

Nos remerciements à Wilhou

Le principal JT allemand reconnaît avoir « modifié le son » pour amplifier les huées lors du discours de Trump à Davos

Il fallait qu’on entende nettement les huées : le « Tagesschau » [principal journal télévisé allemandreconnaît avoir modifié le son lors d’un reportage sur Donald Trump. Les critiques parlent d’une manipulation inadmissible.

Jeudi dernier, lors de sa conférence de presse au Forum économique mondial de Davos, Trump a parlé d’une presse « sournoise, méchante, malveillante et fausse », et les personnes présentes dans la salle ont répondu à cela par des huées. Mais elles n’étaient manifestement pas assez bruyantes pour l’émission d’information.

« Nous avons en effet monté un peu le son à la fin pour qu’on entende les huées. Ce n’est qu’ainsi que nous pouvions refléter ce que rapportaient nos correspondants. Le micro dans la salle a surtout enregistré Trump et fort peu l’atmosphère de la salle », a déclaré le « Tagesschau » dans un message sur Twitter pour justifier sa façon de faire.

Mais des critiques reprochent à l’émission vedette de l’ARD [première chaîne publique] une manipulation inadmissible. « […] Vous confirmez exactement ce que Trump vous reproche à tous« , a commenté un utilisateur […]

(Traduction Fdesouche)

Stern

Décoiffant ! Le bilan médiatique de la présidence Trump

AFC Divisional Playoffs: Titans v Patriots

   
Michel Garroté  --  Dans les années 1970, la caste médiatique est devenue le quatrième pouvoir ; puis, au fil des décennies, elle est même devenue le premier pouvoir. A tel point que les politiciens n'ouvrent la bouche qu'en fonction de ce que les médias ont dit la veille et de ce qu'ils pourraient dire le lendemain. La seule chose que les médias n'avaient pas prévu, c'est qu'Internet deviendrait le cinquième pouvoir, véritable contre-pouvoir de ces mêmes médias.
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Un exemple de contre-pouvoir que j'apprécie tout particulièrement, ce sont les tweets sulfureux et provocateurs de Donald Trump, étant entendu que Trump ne se résume pas à ses seuls tweets. Pour tenter d'anéantir les sites et blogues de réinformation, la réinfosphère, le quatrième pouvoir devenu premier pouvoir a d'abord fait semblant de les ignorer. Puis, il les a calomniés. Puis, il leur a intenté des procès avec dommages et intérêts, espérant ainsi les ruiner financièrement.
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Et enfin, le quatrième pouvoir devenu premier pouvoir a allégué et allègue encore que les sites et blogues de réinformation publieraient, soi-disant, des fake news. Alors que le principal pourvoyeur de fake news, c'est, en réalité, le quatrième pouvoir devenu premier pouvoir. Sa dernière trouvaille en matière de lutte contre les sites et blogues de réinformation, contre la réinfosphère, c'est de demander aux patrons des réseaux sociaux de censurer les soi-disant fake news de cette réinfosphère.
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En clair, le pouvoir en place, à savoir la caste politico-médiatique, s'efforce actuellement de censurer les sites et blogues de réinformation. Mais revenons aux tweets sulfureux et provocateurs de Donald Trump, étant entendu, j'insiste sur ce point, que Trump ne se résume pas à ses seuls tweets.
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A ce propos précisément, le jeune philosophe Vivien Hoch dresse un intéressant bilan "médiatique" de la première année de la présidence Trump (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Un grand mérite de l’épopée Trump, c’est qu’il a, à lui seul, complètement dévalué la "valeur média" auprès de l’opinion mondiale. Il rappelle que tous les discours sont idéologiquement situés, et que le discours des médias dominants est univoque.
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Il pousse les médias à avouer clairement leurs présupposés et leur situation d’énonciation, c’est-à-dire le "point de vue" duquel ils parlent, et montre que ce point de vue est souvent profondément le même. Sous couvert d’être "ouverte aux tendances", la dialectique des médias revient en fait toujours au même : mêmes critiques, mêmes conclusions, mêmes idées. Donald Trump dénonce cette rigidité hypocrite des médias. Il réintroduit de l’herméneutique là où il n’y avait que de la répétition inlassable du même.
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Il montre que les médias sont enfermés dans un abject mimétisme. Il réintroduit de l’altérité là où il n’y avait que consanguinité d’intellects. Par là, il sauve la raison d’être du journalisme : en donnant en permanence à commenter des faits, des paroles et des actes qui sont totalement étrangers et répulsifs aux médias, il les réveille de leur sommeil dogmatique. Il permet à la démocratie de revivre, et de réaliser à nouveau son essence : assumer le conflit (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 26.1.2018
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/01/un-grand-m%C3%A9rite-de-l%C3%A9pop%C3%A9e-trump-est-davoir-d%C3%A9valu%C3%A9-la-valeur-m%C3%A9dia-.html
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«La Suisse accueille des nazis» : manifestation à Zurich contre la venue de Trump à Davos (IMAGES)

Plus d'un millier de personnes ont manifesté le 23 janvier à Zurich contre la venue du président américain Donald Trump au Forum économique mondial de Davos, qu'ils jugent sexiste et raciste.

Alors que la Maison Blanche a confirmé la participation de Donald Trump au forum économique de Davos, plus d'un millier de personnes sont descendues dans les rues de Zurich le 23 janvier pour signifier au président américain qu'il n'était pas le bienvenu. «Trump n'est pas le bienvenu : contre le racisme, le sexisme et l'exploitation», pouvait-on notamment lire sur une banderole brandie par les manifestants. «La Suisse accueille des nazis», affirmait encore une autre, alors que certains messages ne s'adressaient pas qu'au président américain : «Détruisez le Forum économique mondial.»

 

 

A partir de ce 23 janvier, l'élite économique mondiale se retrouve à Davos, en Suisse, pour trois jours. Les représentants des 1 000 plus grandes entreprises mondiales ainsi que 70 chefs d'Etats et de gouvernements enchaîneront les discours, avec un mot d'ordre : «Construire un avenir commun dans un monde fracturé.»

Source

 

Manif anti-Trump à Lausanne et dans plusieurs villes suisses: “Trump tu n’as rien à faire ici”

Entre 250 et 300 personnes se sont réunies mardi à Lausanne pour manifester leur opposition à la venue de Donald Trump au Forum économique mondial (WEF) de Davos en fin de semaine.

D'autres villes de Suisse organisaient à la même heure des rassemblements identiques: Genève, Fribourg, Zurich, Neuchâtel et Bellinzone. Ils étaient plus de 1000 à Zurich.

(...)

Source et article complet

 

Davos: Alain Berset veut s’opposer au “repli sur soi” et au nationalisme

Christian Hofer: Le titre parle de "multilatéralisme" mais les termes employés par Berset appellent à une ouverture encore plus grande à tout ce qui provient d'ailleurs puisqu'il s'oppose au fameux "repli sur soi" et autre "nationalisme". La conséquence étant évidemment encore plus de multiculturalisme et d'immigration.

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L'année 2018 doit être celle où l'on réaffirme l'importance de la collaboration internationale et du multilatéralisme, a déclaré mardi Alain Berset en ouvrant le WEF à Davos (GR). (...)

"la tendance, dans différents endroits du monde, va dans le sens contraire, selon le socialiste: plutôt vers un repli sur soi, un regain des nationalismes et une certaine méfiance à l'égard du multilatéralisme et du libre-échange. Et ces évolutions contribuent à creuser les fractures plutôt que de les réduire."

(...)

Source et article complet

Rappels:

Allemagne: elle demande à un requérant d’asile s’il ne voudrait pas devenir Chrétien, il la tue devant ses enfants

Quand un Africain témoigne de sa reconnaissance envers son pays d’accueil, l’Italie [vidéo]

Allemagne : la ville de Cottbus va interdire l’arrivée de tout nouveau migrant afin d’endiguer la hausse des violences

Allemagne: Le violeur afghan de « 14 ans » s’est enregistré sous une autre identité en Suède

« On cache les choses pour ne pas affoler les gens » : pour les gardiens de la prison, l’agression contre deux des leurs est un attentat islamiste

Allemagne: Une assistante sociale frappée par un réfugié « Il voulait davantage d’argent. »

 

Suisse: La Présidente des Jeunes Socialistes veut qu’Alain Berset refuse la poignée de main de Donald Trump.

La demande, qui provient de la présidente des Jeunes Socialistes Tamara Funiciello, ne fait pas l'unanimité, même dans son parti. Le porte-parole du Conseil fédéral déclare: "La réunion respectera les pratiques diplomatiques"

BERNE - La présence de Donald Trump au Forum économique mondial de Davos (WEF) continue à faire débat et à faire couler des litres et des litres d'encre. Il y a ceux qui veulent le rencontrer - comme le conseiller fédéral Schneider-Ammann - pour débuter des relations économiques avec les États-Unis. Et ceux qui - comme les jeunes socialistes - lui refuseraient même l'entrée en Suisse.

 

tamara

Le président américain, malgré les palabres et les protestations, arrivera à Davos où il rencontrera Alain Berset. Un rendez-vous qui ne convient pas à Tamara Funiciello, qui souligne que le président de la Confédération "ne devrait pas serrer la main de Trump devant les caméras".

La présidente des JUSO estime que le Conseil fédéral devrait "se distancer clairement" du "sexisme et du racisme" représentés par Trump. "Une poignée de main avec quelqu'un qui a dit des phrases comme "Grab them by the pussy"est inacceptable."

"Trump n'est pas le bienvenu" - Le Parti socialiste des Grisons est également opposé à l'arrivée de Donald Trump au WEF. Pour cette raison, le groupe a décidé d'organiser une manifestation sur une place centrale de Davos. Mais la déclaration de Tamara Funiciello ne semble pas faire l'unanimité, même dans son parti.

Le conseiller national socialiste (et ancien diplomate) Tim Guldimann a déclaré au 20 Minuten que l'arrivée de Trump "est positive", puisqu'il représente "le président élu d'un pays ami".

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Source Source2 Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

Rappel:

Davos: Juncker n’a pas de temps pour le Conseil fédéral. «Pourtant même Donald Trump a du temps pour la Suisse.»