Philippe Goujon, le maire du XVe arrondissement, n’était même pas au courant. « J’ai appris fortuitement qu’un camp de 500 migrants allait s’installer sur mon arrondissement, sur un site universitaire. Un camp avec des tentes de la Croix Rouge comme en Syrie ou au Liban ! Le préfet de région m’a dit qu’il n’avait pas trouvé d’autres sites en Île-de-France », a déclaré le maire LR du XVe au Parisien.
Ce camp, installé rue Lacretelle, près de la porte de Versailles, a été mis en place pour désengorger celui de la porte de la Chapelle, dans le nord de la capitale. L’opération a été minutieusement préparée. Ce matin, vendredi 18 août, près de 350 policiers ont évacué dans une trentaine de bus le millier de migrants qui stationnaient à la Chapelle. La veille, des ouvriers de chantiers installaient les toilettes dans le nouveau camp du XVe arrondissement.
Officiellement, les migrants ne devraient rester que 15 jours. « C’est ce qu’on m’a dit en tout cas, mais est-ce pour me rassurer ? » se demande le maire Philippe Goujon. Selon Le Parisien, la mairie du XVe est assaillie de coups de téléphone d’habitants vent debout contre cette installation. La mairie de Paris, également mise en cause, rétorque quant à elle que le terrain appartient à l’État, et que la décision ne lui revient pas.
D'après la porte-parole du département de l’emploi, des affaires sociales et de la santé, citée par «Le Matin», «il s’agit pour la plupart de migrants, pour beaucoup des déboutés de l’asile».
Elle rappelle que «50% à 60%» des individus dont la demande est rejetée passent dans la clandestinité.
A noter qu'à l'heure actuelle, les médias romands n'ont toujours pas publié l'information.
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Milan, 19 juil - Si vous êtes italien et que vous manifestez contre le business de l'immigration illégale en Italie, vous vous retrouvez en prison. Par contre, si vous êtes un migrant clandestin qui a "seulement" poignardé un agent de police, après 36 heures vous êtes libre.
C'est la décision déconcertante de la magistrate de Milan, Maria Vicedomini, de libérer Saidou Mamoud Diallo, le migrant clandestin de 31 ans originaire de Guinée, qui a poignardé lundi dernier un policier à la gare centrale de Milan.Pour lui donc, pas de prison mais seulement l'obligation de signer, puisque selon ce qui a été décidé par la juge qui l'a interrogé ce matin dans la prison de San Vittore à Milan, le coup de couteau ne serait pas considéré comme une tentative d'homicide mais comme la conséquence de l'échauffourée entre le migrant et les forces de l'ordre.
"Nous sommes tous en danger. Un clandestin a poignardé un policier: il est libre après 36 heures."
L'avocate Nicoletta Collalto a donc eu beau jeu en réussissant à lui faire obtenir seulement l'obligation de signer, en réussissant pratiquement à le faire rester libre. Diallo est désormais pris en charge par le bureau de l'Immigration de la Préfecture de police de Milan qui s'occupe de lui parce qu'il est illégal sur le territoire italien. Les scénarios possibles sont le placement au Cpr (Centre de permanence pour le rapatriement) ou une expulsion éventuelle sur la base d'une décision qui pèse sur sa tête depuis un certain temps et qui n'a jamais été exécutée. Et selon l'avocate de Diallo, le crime présumé de tentative d'homicide a été "absorbé" en résistance à l'officier public. En outre, le jeune Guinéen est aussi accusé de menace aggravée et de détention illégale d'arme.
Le clandestin, tel que rapporté par de nombreux voyageurs présents, a crié « Je veux mourir pour Allah. » pendant qu'il essayait de poignarder l'officier.
À l' heure actuelle cependant, il ressort de l'enquête que l'homme n'aurait aucun lien avec des organisations terroristes. L'expression a été jugée par les détectives et les enquêteurs comme étant une phrase prononcée par un excité au bénéfice d'un casier judiciaire très chargé. La procureur Paola Pirrotta, titulaire du dossier, avait demandé la validation de l'arrestation et la mesure de sauvegarde pour Diallo, accusé de tentative d'assassinat et de résistance à un officier public.
(...)
Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Le garçon rentrait chez lui en traversant un parc lorsqu'il a été entouré par les étrangers qui l'ont attaqué. Soigné, il s'en est tiré.
Sale aventure pour un étudiant de 22 ans originaire d'Abruzzo, qui a été blessé à la gorge par trois voleurs étrangers qui l'ont menacé avec des couteaux vers les 2h20 lundi matin dans le Parc Solaire de Milan. Selon la police, tard durant la nuit, trois étudiants étaient en train de rentrer à la maison. L'un d'entre eux a coupé à travers le parc lorsqu'il a été encerclé par trois jeunes. L'un d'eux pointait un couteau dans son dos, l'autre à la gorge pendant que le troisième lui fouillait les poches de la veste. Après lui avoir volé la montre et le portefeuille, les trois individus se sont éclipsés.
Le jeune homme de 22 ans a appelé le numéro d'urgence 112 avec son téléphone mobile, que les criminels n'avaient pas trouvé. Grâce à la description très précise des voleurs donnée par la victime, les carabiniers ont intercepté peu de temps après les trois voleurs sur la Piazza del Rosario.
Il s'agit de trois Egyptiens, criminels et en situation irrégulière en Italie et donc clandestins, de 20, 21 et 25 ans, qui ont tenté de se débarrasser de trois couteaux à cran d'arrêt et qui ont été trouvés en possession des biens volés. La pression exercée par la lame sur la gorge de la victime durant le vol a provoqué une coupure et l'étudiant a été soigné aux urgences de l'Institut Sant'Ambrogio de Milan. (...)
Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Les bénévoles de Médecins sans Frontières font actuellement l'objet d'une enquête judiciaire en Italie en raison de leur "soutien à l'immigration illégale".
Des membres d'équipage d'un bateau MSF auraient secourus des migrants en mer Méditerranée sans en avertir les gardes-côtes, écrit jeudi la Corriere della Sera. Mercredi, le procureur de Trapani (Sicile) avait indiqué, devant le parlement à Rome, qu'une enquête ciblant des ONG avait été lancée pour diverses raisons.
Le journal stipule que les secouristes de Médecins sans frontières ont appelé les migrants secourus à ne pas collaborer avec l'agence européenne Fontrex et les autorités italiennes.
Les images sont impressionnantes. La Gare du Nord a été évacuée peu avant minuit pour permettre à la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) de fouiller un train en provenance de Valenciennes. Les forces de l’ordre suspectaient de la présence de trois personnes activement recherchées. Une opération de vérification, au final sans résultat, qui s’est achevée peu avant 2 heures du matin.
De quoi inquiéter certains voyageurs présents sur place. Il faut dire que les passagers du train en question ont longtemps été confinés avant de sortir les mains en l’air, d’être largement fouillés et d’être mis à l’abri dans un café.
Le journal de 7h : Gare du Nord évacuée et voyageurs confinés pendant une opération de police
Les forces de l’ordre ont en effet été prévenues de la présence suspectes de trois individus à bord du train en provenance de Valenciennes. Si leur nationalité n’est pas confirmée, il pourrait s’agir d’un Belge et de deux Afghans.Trois hommes, susceptibles de commettre un attentat en France, que les services de renseignements recherchent depuis plusieurs jours. Dans la nuit, l’AFP évoquait en revanche le signalement d’une guichetière de la SNCF qui a déclenché cette importante opération de « levée de doute ».
La gare a été évacuée lundi soir, à partir de 23 heures, par de nombreux policiers armés et des voyageurs ont été confinés dans un train. L'opération s'est terminée vers 1 h 50. Selon nos informations, la police recherchait trois hommes dangereux.
Paris - Évacuation de la Gare du Nord, gros dispositif sur Place et arrivée à l'instant de la BRI. pic.twitter.com/TMceSIJwIn
La Gare du Nord à Paris a été évacuée lundi soir vers 23 heures pendant près de trois heures, selon des témoins. Plusieurs voyageurs ont indiqué sur Twitter qu'ils étaient bloqués dans les trains avant l'arrivée en gare.
#GareduNord Intervention des services de police pour vérifications
On ne connaissait pas dans un premier temps les raisons de cette évacuation mais la Préfecture de police de Paris évoquait un peu avant minuit une opération liée à une «levée de doutes par les services de police».
Cette opération de vérification s'est achevée vers 1 h 50, sans résultat. «Fin des vérifications, retour progressif à la normale», a tweeté la préfecture de police.
Selon nos informations, les hommes de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) ont fouillé entièrement un TGV en provenance de Valenciennes (Nord), avec 211 personnes à son bord. Elle recherchait trois hommes dont les profils ont été signalés vendredi à la DGSI par un pays partenaire : ces suspects sont considérés comme dangereux. Depuis vendredi, ces trois hommes ont été signalés à Paris, Bordeaux et Marseille, déclenchant à chaque fois un important dispositif policier. En vain.
La tête d'une statue de Jésus prise dans le cimetière voisin et utilisée comme toilettes.
Vintimille - photo-choc avec la tête de marbre du Christ couverte d'urine et d'excréments, utilisée comme toilettes de fortune par les migrants illégaux, qui depuis des mois occupent tranquillement l'accès au-dessus du fleuve Roja, à la frontière italo-française de Vintimille.
Adieu donc l'époque où le fleuve était utilisé par les papas et leurs enfants: pour la pêche ou pour laver la voiture le week-end. Un fleuve qui alimente toujours en eau potable tant du côté italien que du côté français de la vallée (...)
Le conseiller régional de l'agriculture de la Ligue du Nord, Stefano Mai, a récemment effectué une inspection du site le long du fleuve, constamment violé par la négligence des personnes qui utilisent les deux berges comme des dortoirs abusifs, avec des cabanes entaillées dans la végétation dans lesquelles ils mangent, ils font leurs besoins, ils se lavent et ils dorment.
"Situation scandaleuse - tonne Le Conseiller Mai - sur la berge du fleuve, il y a une saleté incroyable, mais la chose la plus choquante est d'avoir trouvé une tête de marbre du Christ, pratiquement recouverte d'excréments (sur la photo, elle a été nettoyée). Selon vous, qui fréquente ce lieu? Cela me met terriblement en colère. Je n'ai pas de mots. Seulement des jurons.
Il est évident que je n'ai pas photographié les excréments qui sont présents sur toute la rive."
C'est une "bombe à retardement" sur le plan sanitaire.
(...)
SourceSource2 Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
On relèvera aussi le titre mensonger du 20 Minutes victimisant la socialiste au mépris de la vérité: "Députée condamnée pour avoir accueilli des réfugiés".
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La députée socialiste au Grand conseil tessinois Lisa Bosia Mirra a enfreint la loi sur les étrangers. Elle est condamnée à une peine pécuniaire de 80 jours-amende avec sursis pour avoir facilité l'entrée irrégulière en Suisse de migrants.
Mme Bosia Mirra a également écopé d'une amende et devra s'acquitter des frais de justice. L'enquête a révélé que la députée avait facilité l'entrée illégale à au moins neuf reprises entre août et septembre 2016, a indiqué jeudi le Ministère public du canton dans un communiqué.
Le groupe UDC a déposé deux interventions aux Chambres fédérales contre ce qu’il appelle «la Genferei Maudet».
«Cette pratique ne combat certainement pas le travail au noir, mais l’encourage au contraire et lui fait une belle publicité. De plus, alors que les entreprises qui ont besoin de collaborateurs hautement qualifiés se heurtent à des contingents très stricts en matière de pays tiers, le plan Maudet distribuerait des permis de séjour sans aucune limite à des étrangers illégaux de même provenance, mais très peu qualifiés».
«La Tunisie doit cesser de freiner les expulsions des sans-papiers, en particulier s’agissant de personnes liées à la mouvance salafiste», avait souligné la chancelière samedi dernier.
Régulièrement, les autorités allemandes dénoncent le manque d’empressement des autorités tunisiennes, mais aussi marocaines et algériennes, à rapatrier leurs ressortissants.
Des mois durant, Tunis avait ainsi bloqué l’expulsion d’Anis Amri, le djihadiste qui avait tué 12 personnes lors d’un attentat au camion bélier sur un marché de Noël à Berlin.
Le président menace de couper les vivres aux villes qui refusent de coopérer avec la police fédérale sur l’immigration.
Depuis l’investiture de Donald Trump, Greisa Martinez sait qu’un couperet risque de tomber d’un jour à l’autre. « Je me réveille, je ne sais pas comment ma vie va changer. » Responsable d’une association de défense des immigrants, elle est l’une des quelque 740 000 « dreamers », de jeunes étrangers qui sont arrivés enfants aux Etats-Unis et n’ont jamais obtenu de papiers d’identité.
En 2012, Barack Obama avait régularisé leur situation par décret. Avant de quitter la Maison Blanche, le 20 janvier, il a mis en garde son successeur contre la tentation de le révoquer. Mercredi 25 janvier, Donald Trump n’a pas directement modifié la situation des « dreamers » dans sa série de mesures sur l’immigration. Mais il a décidé de s’en prendre aux « villes sanctuaires », ce qui pour les jeunes immigrants, revient à s’attaquer à leurs parents.
« Trump dit qu’il ne va expulser que les criminels, mais il lui suffit de déclarer que nos familles sont en infraction. Une attaque contre l’un de nous est une attaque contre tous », dénonce Greisa Martinez, la responsable de l’association United we Dream à Washington.
300 villes et quatre Etats « sanctuaires » aux Etats-Unis
Les villes « sanctuaires » sont quelque trois cents aux Etats-Unis, dans vingt-cinq Etats. Ces localités protègent les immigrants sans papiers en refusant de coopérer avec la police fédérale, qui est l’autorité chargée de l’immigration. Dans ces villes (ou comtés), les agents municipaux ont interdiction de vérifier le statut des habitants au regard de l’immigration. Un policier appelé dans un foyer pour une question de violence domestique, par exemple, n’est pas censé contrôler les titres de séjour.
Les autorités locales estiment que cette mesure permet d’améliorer la confiance de la population dans la police. Les immigrants n’ont pas peur d’inscrire les enfants à l’école ou de signaler les crimes dans leur quartier. Quatre Etats – démocrates – sont entièrement « sanctuarisés » (Californie, Connecticut, Nouveau-Mexique et Colorado). Un choix décidé pour nombre de municipalités sous l’administration Obama pour faire face à l’intensification des expulsions (2,5 millions entre 2009 et 2015). Les maires ont alors ordonné à leurs polices de ne pas servir d’auxiliaires aux forces de l’ordre chargées de l’immigration (ICE), sauf dans le cas d’affaires criminelles.
Pendant sa campagne, Donald Trump a fait de la lutte contre ces « sanctuaires » une priorité. Dès juillet 2015, six mois avant le début de la primaire, il avait saisi le prétexte du meurtre d’une promeneuse à San Francisco par un sans-papiers mexicain, qui avait déjà été expulsé cinq fois des Etats-Unis, pour dénoncer les immigrants qui apportent « la drogue, le crime et les viols ». L’affaire avait entraîné un débat dans la ville californienne sur les excès de prudence et de rétention de l’information dus à la « sanctuarisation ». Au plan national, les collectivités « refuges » ont rejeté depuis 2014 plus de 21 000 demandes de la police de l’immigration de détenir des clandestins accusés de crime ou considérés comme des menaces.
Les faits remontent à la fin août 2016, quand Cassandra*, qui se trouve gare du Nord à Paris, tente de regagner le domicile de ses parents en Seine-Saint-Denis. L'adolescente, placée sous tutelle, ne trouve pas son train. Elle est abordée par un inconnu qui insiste pour la déposer chez elle en voiture. La jeune fille finit par accepter.
Le « bon samaritain » prétexte devoir « récupérer un ami » dans le XIXe arrondissement de Paris avant de contraindre la victime à le suivre dans une chambre d'un foyer. Là, Cassandra est abusée à plusieurs reprises par ce dernier et un complice. Au matin, la victime est relâchée. Sous le choc, elle rentre chez elle et révèle son calvaire.
C'est le hasard qui va permettre aux policiers d'interpeller les auteurs présumés des faits. Début janvier, l'adolescente se trouve dans les transports en commun à Paris lorsqu'elle croise la route de l'un de ses agresseurs. La jeune fille hèle aussitôt des policiers de la brigade des réseaux ferrés (BRF), qui arrêtent le suspect.
Placé en garde à vue, cet homme de 38 ans, originaire d'Epinay-sous-Sénart (Essonne) et en situation irrégulière sur le territoire, donne le nom de son complice. Les deux violeurs présumés ont été placés en détention provisoire.
«Je ne me souviens de rien»: Adama*, Ivoirien de 33 ans en Suisse sans statut depuis 7 ans, n'a rien avoué. Même si c'est son ADN que la police a retrouvé sur un couteau, il n'a pas dévié de son système de défense, mardi au Tribunal de Vevey. «J'ai été condamné à tort», dit-il également à l'évocation du fait qu'il purge actuellement 4 ans de prison pour trafic de stupéfiants.
Il était minuit ce 26 mai 2013 lorsque Adama a abordé Mohammed* sur les quais de Montreux pour lui demander une cigarette. Le Marocain, permis C travaillant dans l'hôtellerie, n'en avait pas à lui donner. L'Ivoirien a alors brandi un couteau et tenté de le frapper. Le Maghrébin réussissait à éviter l'attaque et à désarmer son assaillant d'un coup de pied. Il a même poursuivi son agresseur avant d'abandonner.
Mais Adama est revenu muni d'une imposante barre de fer et a cogné. Mohammed a évité les coups en se blessant: fracture du bras et de l'épaule.
Le groupe UDC a décidé de déposer une interpellation concernant la situation de plus en plus tendue dans le domaine de l'asile. Lors de leur séance de ce jour à Berne, les parlementaires UDC ont également discuté de la prévoyance vieillesse.
Durant la seule journée du 28 novembre 2016 et en l'espace de quelques heures 1400 migrants ont été recueillis sur la Méditerranée et débarqués sur la côte italienne. Le nombre de prétendus réfugiés arrivant en bateau en Italie depuis le début de cette année a atteint un nouveau record avec plus de 170 000. Parallèlement des milliers de personnes à la recherche d'une vie meilleure parviennent tous les jours à pénétrer illégalement dans l'espace Schengen par les Balkans et l'Europe de l'Est. La Bavière a décidé de renforcer les contrôles aux frontières vers l'Autriche et la Suisse. On peut en outre s'attendre à ce que la Turquie résilie bientôt l'accord conclu avec l'UE et envoie des dizaines de milliers de migrants vers l'Europe. Personne ne peut prédire la fin de cette gigantesque migration de la pauvreté depuis l'Afrique et le Proche Orient vers l'Europe de l'Ouest, un phénomène qui a des conséquences dramatiques notamment pour notre Etat social et notre sécurité.
Face à cette situation le groupe UDC invite le Conseil fédéral à répondre rapidement aux questions suivantes:
1. Le Conseil fédéral peut-il confirmer qu'il ne tiendra ses promesses faites dans le cadre du programme européen de redistribution des requérants d'asile que dans la mesure où les autres Etats européens participants assument pleinement leurs quotas?
2. Il est évident que cet afflux de migrants de la pauvreté, qu'il est impossible d'intégrer dans le marché du travail, durera encore des années. Où le Conseil fédéral voit-il une limite à cette immigration directe dans l'assistance sociale suisse? A 100 000, 200 000, voire à 500 000 personnes?
3. Le Conseil fédéral accepte-t-il enfin dans l'intérêt de la stabilité intérieure de la Suisse de fermer les frontières aux immigrants illégaux? Comment entend-il réaliser techniquement cette fermeture? A quels moyens envisage-t-il de recourir?
4. Le Conseil fédéral n'est-il pas aussi d'avis que cet afflux permanent de migrants économiques sans aucune qualification professionnelle, donc de personnes qui vivront toute leur vie aux frais des contribuables suisses, provoquera à moyen terme une hausse massive de la criminalité, également au niveau du crime organisé?
5. N'est-il pas prévisible dans ces conditions que la population décide de mettre fin à cette situation intenable provoquée par l'inaction du gouvernement et qu’elle renonce à la tradition humanitaire de la Suisse? Comment le Conseil fédéral entend-il prévenir une telle réaction?
6. Comment pourra-t-on supporter à long terme les coûts de cette immigration qui aujourd'hui déjà échappent à tout contrôle?
Le Conseil des Etats et le Conseil national ayant examiné chacun à son tour la réforme de la prévoyance vieillesse, cet objet est maintenant dans la procédure d'élimination des divergences. La commission préparatoire du Conseil des Etats est revenue sur plusieurs points à son projet initial, s'écartant du même coup de la version du Conseil national. Elle recommande à son plénum d'augmenter de manière forfaitaire toutes les rentes AVS de 70 francs afin de compenser la baisse du taux de conversion minimal dans la prévoyance professionnelle. Le Conseil national avait en revanche retenu un modèle qui procède à cette compensation à l'intérieur du 2e pilier. Pour l'UDC, cette dernière version doit être soutenue comme le réclame la minorité Kuprecht de la commission. En outre, la commission des Etats souhaite augmenter la TVA d'un point-%. Une hausse aussi massive de cet impôt est inacceptable pour l'UDC. La prévoyance vieillesse doit être assainie par une réduction des dépenses.
Les entrées irrégulières sont en augmentation par rapport au mois dernier. Des renvois ont été ordonnés dans un cas sur deux.
Durant le mois d'octobre, le corps des gardes-frontière a compté 6172 entrées irrégulières en Suisse, contre 5557 cas en septembre. Des renvois ont été ordonnés dans près de la moitié des cas (3402). Le Tessin reste le canton le plus concerné.
Depuis début 2016, les contrôles d'entrées irrégulières se montent désormais à 41'203, contre 31'038 pour l'année 2015.
Le Premier ministre s'est félicité de l'évacuation du bidonville de Calais, en clôture d'une cérémonie de remise de prix de la laïcité à la mairie de Paris.
"Demain, [les demandeurs d'asile de Calais] parleront français. Demain, ils porteront nos valeurs. Demain, certains seront députés, membres du gouvernement..." Le Premier ministre Manuel Valls a évoqué le récent démantèlement de la "jungle" de Calais, mercredi 2 novembre, à la mairie de Paris, en clôture d'une cérémonie de remise de prix de la laïcité. Il a notamment cité le cas d'une jeune Erythréenne rencontrée lors d'un déplacement le mois dernier dans la Marne, "qui va au lycée, qui parle français".
La Confédération a récemment averti les cantons qui rechignaient à expulser les requérants déboutés dans les délais qu'ils pourraient être soumis à des amendes. Ce changement de la loi sur l'asile est entré en fonction au début octobre, rappelle la Luzerner Zeitungdans son édition du 31 octobre.
Vaud, Genève et Neuchâtel
Ce changement de la loi pourrait coûter cher à certains cantons romands, Vaud en tête. Selon des estimations de la Confédération, le canton n'a pas expulsé dans les délais prévus 140 personnes entre mai 2015 et avril 2016. Loin devant Genève (47 cas) et Neuchâtel (17 dossiers).
"A Gorino dans la province de Ferrare, le gouvernement est venu saisir le seul établissement touristique dans ce domaine et le transformer en un centre d'accueil pour les migrants. Cela a suscité la protestation légitime des citoyens" relève dans une note Giorgia Meloni.
La cheffe des Frères d'Italie explique aussi: «Mais le ministre de l'intérieur Alfano vient de dire que cela, ce n'est pas l'Italie » et le préfet Mario Morcone invite les citoyens qui ont manifesté à aller« vivre en Hongrie. »
Elle conclut: «ce sont des paroles indignes: nous rappelons à Alfano et Morcone que leurs salaires sont payés grassement par tous les Italiens, y compris ceux qui protestent. Chaque Etat digne de ce nom doit se préoccuper d'abord de ses citoyens, ne pas dépenser des milliards d'euros pour accueillir des centaines de milliers de clandestins. Si quelqu'un doit aller vivre à l'étranger, ce ne sont pas les citoyens de Goro mais Messieurs Alfano et Morcone. S'ilsdécidentde le faire,l'Italies'en feraune raison.'
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Ouvrir son cœur et son esprit
Ouvrir les portes du paradis
A tous ceux
Qui ont l’enfer au fond des yeux
Ouvrir son cœur et son esprit
Ouvrir les frontières de son pays
A ceux qu’on a
Privé du droit de vivre heureux
Je ne peux plus voir tous ces gens
Mourir sous les roues d’un train
Partant pour le pays
Qui ne veut pas les recevoir
Je ne veux plus
Voir ces troupeaux d’humains
Dériver sur ces bateaux
Sous le regard de ceux qui ne veulent rien voir
Refrain :
Je veux chanter des mots d’enfants
A vous messieurs que l’on nomme grands
Quand on est grand
On ne peut pas ne pas savoir
Savoir ces femmes et ces bébés
Qui n’ont même plus d’eau pour pleurer
Le savoir et faire comme si
Les aider n’était pas un devoir
Car il y assez d’argent
Assez de terre pour tous les gens
Et pour qu’aucun ne soit jamais chassé
Du monde où il est né
Car il y a assez de temps
Pour que demain soit maintenant
L’univers dont tous les hommes
Ont toujours rêvé
Je fais ce rêve et je le dis
A tous ceux
Qui m’entendent et qui rient
Parce qu’ils croient
Que seul à raison le pouvoir
Et je sais que le jour viendra
Où ce rêve enfin deviendra la
Réalité que nous méritons tous d’avoir
Christian Hofer: On peut donc excuser aussi les viols, les agressions, les meurtres, les tabassages de routiers, la destruction des véhicules par le terme magique de "traditions". Ou comment une minable arrive à excuser l'inexcusable.
Quant à nos traditions européennes, chrétiennes, lorsqu'il s'agit de les fêter alors qu'elles sont pacifiques et pleines de joie, elles sont estampillées comme étant une preuve de "repli sur soi". La seule question qui se pose dans ce cadre est de savoir combien de temps l'Européen se laissera dépouiller par ses propres dirigeants devant une horde de barbares.
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Incendies dans la "Jungle" de Calais: 30 départs de feu dans la nuit
Dès le début de soirée mardi, plusieurs incendies ont été allumés au sein du bidonville en cours d'évacuation depuis lundi mais ces derniers se sont "intensifiés entre minuit trente et trois heures du matin, notamment dans la zone des commerces" à l'entrée du camp où se trouvent plusieurs restaurants, a ajouté la préfecture. Au total, une trentaine de départs de feu ont été enregistrés.
Ces incendies ont tous été combattus par les pompiers venus de Calais, Marck-en Calaisis, mais encore de Desvres et de Saint-Omer, accompagnés par des CRS. "Nous avons été caillassés et avons dû intervenir protégés par les forces de police", a expliqué un pompier sur place.
https://youtu.be/NDFJ4Nek_W0
"Dès 21 heures, des départs de feux malveillants se sont déclarés de part et d'autre de la Lande mais cela a pris une tournure plus sérieuse en seconde partie de nuit", a déclaré Philippe Mignonnet, adjoint au maire de Calais, sur les lieux.
"Il y a une tradition chez les migrants, c'est quand ils s'en vont, ils font brûler leur tente, leur cabane, a indiqué Fabienne Bucco, la préfète du Pas-de-Calais. On leur a bien dit qu'il ne fallait mieux pas le faire mais il y en a encore quelques-uns qui le font."
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