Berlin : Des habitants se sentent menacés par des anarcho-féministes. Les politiciens de gauche répondent qu’ils ne changeront rien.

Note : La lettre de protestation de ces habitants s'intitule "Solidarité pour Liebig34, une gifle pour nous". Liebig34 est le mouvement anarchiste que les habitants dénoncent et qui est soutenu par la gauche.


Berlin - Fin juin, les habitants des nouveaux bâtiments situés entre la Rigaerstraße 22 et la Liebigstraße 1 ont écrit une lettre de protestation aux politiciens du quartier, comme la maire de Kreuzberg, Monika Herrmann (56 ans, membre des Verts).

Ils se sentent menacés et demandent de l'aide.

Voici la réponse insolente ! Elle a été signée par Annika Gerold et Julian Schwarze des Verts et par Katja Jösting et Oliver Nöll du parti Die Linke (La Gauche).

La lettre indique notamment : "Il s'agit d'un "projet de maison anarchiste, queer et féministe", où "il est possible de vivre ensemble comme un collectif sans structures patriarcales ou discriminatoires". Nous ne voulons rien en retirer".

Les responsables politiques soulignent l'importance des squatters pour l'image de Friedrichshain-Kreuzberg ... "Ils font partie de notre identité, que nous puissions ou non nous identifier aux discours qui y sont tenus."

Les habitants se sentent véritablement harcelés par ces mêmes squatters. Un graffiti "Les Yuppies doivent mourir" a été étalé sur une vitre. Un autre graffiti souhaite que les habitants attrapent le coronavirus "dans la gorge". Des pierres auraient été jetées dans des chambres d'enfants et dans une garderie.

 

 

Les responsables politiques concluent : "A notre avis, une expulsion ou un départ du collectif Liebig34 ne changerait rien à cette situation. Au contraire, cela servirait probablement de prétexte ou de justification à une nouvelle escalade".

Pour les auteurs de la lettre "Solidarité pour Liebig34, une gifle pour nous", cette réponse est une seconde gifle. "C'est une insulte", se plaint un habitant indigné.

Car les politicien du parti de la Gauche et des Verts ont introduit une résolution au niveau du Conseil municipal. Dans ce document, ils se sont prononcés contre l'expulsion ordonnée par le tribunal du projet de logement alternatif Liebigstrasse 34. Et l'appel à l'aide lancé par la suite par les résidents a été presque simplement étouffé.

C'est un fait : depuis des années, de violentes émeutes éclatent autour de la scène des squatters à Friedrichshain. Ce n'est que dans la nuit du 30 juin que le chaos de l'extrême gauche a provoqué une coupure de courant entre la Liebigstrasse et la Zellestrasse, érigeant des barricades, barbouillant les façades des maisons de peinture et démolissant des voitures.

L'opposition a de nouveau vivement critiqué le Sénat. L'alliance "Rouge-Rouge-Vert a affaibli l'État constitutionnel pendant des années avec une fausse tolérance et de l'inaction", a déclaré le chef de faction de la CDU, Burkhard Dregger.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de / Bz-berlin.de

 

Berlin : Attaque brutale dans le S-Bahn – une femme demande désespérément de l’aide

Ce sont des scènes qui vous laissent stupéfaits : Un homme attaque une femme dans un train de banlieue de Berlin. D'abord verbalement, mais ensuite la situation s'aggrave et il la pousse hors du wagon. Une vidéo montre l'agression. L'homme a déjà été identifié.

On peut voir un wagon du S-Bahn presque vide. La séquence commence lorsque l'homme se tient déjà agressivement devant la femme alors que celle-ci s'agenouille par terre à côté d'un chien. Il crie et hurle. Ce qu'il dit n'est pas clair.

Pendant ce temps, la femme essaie de l’éviter, se tenant le bras devant le visage en se protégeant. De plus, elle demande de l’aide aux quelques autres occupants à plusieurs reprises : "Pouvez-vous m’aider ?" Ça semble de plus en plus désespéré.

Un homme arrive et essaie de calmer l'individu agressif - ce qui n’empêche pas celui-ci de continuer à crier.

La femme veut descendre au prochain arrêt. Au moment où elle se tient à la porte, l'agresseur la pousse sur le quai. Ensuite, il la suit et il y a une échauffourée. Cela prend quelques secondes, puis il lâche, et il continue à se tenir sur la plate-forme, en la grondant.

La femme demande à nouveau de l’aide : "Pouvez-vous m'aider s'il vous plait? On me frappe" Alors que des témoins s’occupent d’elle, l’agresseur monte l’escalier à grands pas - loin du quai.

 

 

https://youtu.be/RYfDNiC1Ewo

 

 

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bz-berlin.de

Berlin : la gauche veut obliger la police à prouver son innocence en cas de soupçon de racisme

Signal de la "ville arc-en-ciel" [NDLR : Berlin s'est engagée dans le cosmopolitisme, l'acceptation et le respect mutuel. L'arc-en-ciel est devenu un symbole de liberté et d'égalité pour les homosexuels et les transsexuels du monde entier.] : le Sénat de Berlin rouge-rouge-vert veut faire passer une loi contre la discrimination par les pouvoirs publics. Elle inverse la charge de la preuve : à l'avenir, par exemple, les policiers devront prouver leur innocence si un citoyen soupçonne un acte de racisme.

A la mi-mai, le sénateur de la justice de Berlin Dirk Behrendt (Les Verts) a posté une image aux couleurs vives sur Twitter. On peut voir le sénateur debout à côté d'un drapeau arc-en-ciel hissé. La "ville arc-en-ciel de Berlin" met en place des "signes clairs contre la discrimination, contre la violence et contre l'invisibilité", a écrit le sénateur. Il ne s'agit pas seulement de symboles, mais également de politique concrète : avec une "loi d'Etat contre la discrimination", l'objectif est de créer des faits juridiques pour les personnes touchées.

Cette loi est au cœur des préoccupations de Dirk Behrendt. L'objectif de la loi est de combler les prétendues lacunes dans la protection des personnes touchées. À l'avenir, les citoyens devraient avoir davantage de facilité pour se défendre légalement s'ils se sentent discriminés par les autorités publiques. Cela créerait "une culture de valorisation de la diversité", a déclaré M. Behrendt.

Mais cette culture de l'estime n’est pas pour tout le monde. La police est en colère.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Welt.de / Voiceofeurope.com


Rappels :

Allemagne : Les clans arabes font la loi. La police avait décidé de ne pas réagir pour éviter de se faire traiter de xénophobe.

Berlin : Grâce à la gauche, de plus en plus de demandeurs d’asile déboutés ne quittent plus le pays

Berlin : une église protestante ouvre ses portes aux musulmans pour leur prière du vendredi

Berlin : Une étude révèle que 92 % des militants de gauche vivent avec leurs parents

Berlin : Des musulmans salafistes ont abusé de l’aide d’urgence dédiée au coronavirus

Berlin : des journaliste agressés et gravement blessés lors des manifestations d’extrême gauche du 1er Mai

Berlin : un migrant insulte, frappe et crache sur les policiers, puis il s’enfuit (Vidéo)

Berlin : Seyran Ateş, imame « Cet appel à la prière islamique n’est pas un signe de solidarité mais une provocation envers les infidèles »

Berlin : 50 à 60 membres d’un clan arabe provoquent des troubles aux urgences

Allemagne : Le sénateur Dirk Behrendt (Verts) veut que les minorités puissent facilement porter plainte contre les forces de l’ordre pour « discrimination »

 

Berlin : Grâce à la gauche, de plus en plus de demandeurs d’asile déboutés ne quittent plus le pays

De nouveaux chiffres montrent comment les lois sur l'asile sont sapées. L'alliance "rouge-rouge-vert" accepte les coûts de ce développement. C'est irresponsable, déclare le journaliste Gunnar Schupelius.

Le Sénat de Berlin s'est fixé pour objectif d'expulser le moins possible de demandeurs d'asile déboutés, même si la loi l'exige.

C'est ce que dit l'accord de coalition du SPD, des Verts et du Parti de gauche de 2016, et le sénateur de l'Intérieur Andreas Geisel (SPD) s'en tient à cet objectif. Ainsi à Berlin, de plus en plus de personnes, qui n'ont pas droit à l'asile politique ni à la protection en tant que réfugiés de guerre civile, restent.

Le nombre de demandeurs d'asile légalement déboutés a augmenté de 7380 en trois ans (depuis le 30 avril 2017), selon une déclaration faite par le sénateur de l'Intérieur à Marcel Luthe (FDP) [...].

À l'heure actuelle, 13 440 demandeurs d'asile déboutés sont "contraints de quitter le pays" (au 31 mars 2020). Cela signifie que tous les recours devant les tribunaux administratifs ont été rejetés.

Cependant, 12 461 de ces 13 440 étrangers "peuvent néanmoins rester à Berlin pour une durée indéterminée. Leur séjour est toléré parce qu'ils n'ont pas de passeport ou sont enregistrés comme malades ou "pour d'autres raisons" que le Sénat n'explique pas en détail.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bz-berlin.de

Berlin : une église protestante ouvre ses portes aux musulmans pour leur prière du vendredi

‎Une église de Berlin a ouvert ses portes aux fidèles musulmans qui ne pouvaient trouver place dans leur mosquée en raison des nouvelles règles de distanciation sociale.‎

‎L’Allemagne a autorisé la reprise des services religieux le 4 mai, mais les fidèles doivent maintenir entre eux une distance de 1,5 m .‎

‎En conséquence, la mosquée Dar Assalam, dans le quartier de Neukölln, n’a pu accueillir qu’une partie de sa communauté.‎

‎Mais l’église luthérienne Marthakirche à Kreuzberg a offert son aide en hébergeant les prières du vendredi à la fin du ramadan.‎

[…]

‎Même la pasteure de l’église a pris part à l’office. ‎

« J’ai prononcé un discours en allemand », a déclaré Monika Matthias. « Et pendant la prière, je ne pouvais dire que oui, oui, oui, parce que nous avons les mêmes préoccupations et que nous souhaitons apprendre de vous. » […]‎

(Traduction Fdesouche)

BBC

Berlin : Une étude révèle que 92 % des militants de gauche vivent avec leurs parents

Les chiffres officiels ont révélé que la grande majorité des manifestants de gauche arrêtés pour des violences à caractère politique à Berlin sont des jeunes hommes qui vivent encore chez leurs parents.

Les données, compilées par l'Office fédéral allemand pour la protection de la Constitution (BfV) et publiées par le tabloïd Bild, ont été extraites de 873 suspects qui ont été arrêtés lors de manifestations politiques à Berlin entre 2003 et 2013.

Un peu plus de la moitié (58 %) des arrestations ont eu lieu dans les quartiers de Friedrichshain, Kruezberg et Mitte.

Sur les 873 suspects qui ont été identifiés, 84 % étaient des hommes et 16 % des femmes. 72 % étaient âgés entre 18 et 29 ans.

Alors que 92 % des suspects ont déclaré vivre encore chez leurs parents, un individu sur trois a déclaré être au chômage.

Les chiffres ont montré que la grande majorité (80 %) des crimes commis contre les personnes visaient des policiers, tandis que la plupart des actes de violence perpétrés contre les biens étaient des incendies criminels.

Les extrémistes de droite ont été la cible d'actes de violence dans quinze pour cent des cas.

Les actes de violence commis par des personnes de gauche sont en augmentation en Allemagne. Entre 2009 et 2013, les militants politiques de gauche ont commis au total 1 523 crimes violents, soit plus du double du nombre enregistré entre 2003 et 2008.

Frank Henkel, un politicien de la CDU et sénateur de l'intérieur, soutient que la plupart des crimes violents qui sont politiquement motivés proviennent de la gauche.

Au début de ce mois, des extrémistes de gauche qui manifestaient dans le quartier de Kreuzberg pour le 1er mai ont attaqué une équipe de télévision du journal télévisé Heute-Show (Today Show), comme l'a rapporté Voice of Europe. Quelques membres de l'équipe de télévision ont subi des blessures si graves qu'ils ont dû être hospitalisés.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Voice of Europe / Bild


Rappel :

Berlin : des journaliste agressés et gravement blessés lors des manifestations d’extrême gauche du 1er Mai

Berlin : Des musulmans salafistes ont abusé de l’aide d’urgence dédiée au coronavirus

Raid policier dans la scène salafiste berlinoise autour de la mosquée Fussilet, où l'assassin de la Breitscheidplatz, Anis Amri, était également actif ! Les salafistes auraient "frauduleusement demandé et reçu l'aide d'urgence de l'IBB dédiée au coronavirus". Une personne a été arrêtée.

Plusieurs véhicules et appartements de cinq suspects ont été fouillés. Ceux-ci feraient "partie du cercle restreint de la scène salafiste de Berlin". Elle concernerait notamment le cercle interne de l'ancienne mosquée Fussilet à Moabit.

Selon la police berlinoise, depuis ce matin une centaine de policiers ont fouillé des appartements et des voitures en plusieurs endroits de Berlin.

Des fonctionnaires ont fouillé un appartement à Berlin-Neukölln. Ils ont obtenu des preuves et ont arrêté un homme.

Selon l'Office pour la protection de la Constitution, les islamistes salafistes se sont rencontrés à la mosquée Fussilet. Le futur assassin, Anis Amri, a également fréquenté la mosquée à plusieurs reprises. L'association de la mosquée Fussilet avait été interdite en 2017.

Les salafistes auraient escroqué 94 000 euros

Selon les informations du Tagesspiegel, les recherches en cours se portent sur Walid S. : une ancienne connaissance de l'assassin de la Breitscheidplatz, Anis Amri. S., qui a tué douze personnes en décembre 2016 sur le marché de Noël de Berlin.

En avril 2018, S. a fait l'objet d'une enquête car il était soupçonné d'avoir planifié une attaque sur le semi-marathon de Berlin.

Abdul D. est également soupçonné de fraude. Selon le Tagesspiegel, il s'agit d'un ancien prédicateur de la mosquée Salafi Ibrahim-al-Khalil à Tempelhof.

[...]

"Le montant total des dégâts est d'environ 94 000 euros", a annoncé la police de Berlin. "Au total, un montant présumé frauduleux de 61 460 euros a été saisi.

Un prêcheur de haine berlinois a volé 18 000 euros d'aide d'urgence dédiée au coronavirus

Au cours des recherches actuelles, le bureau du procureur général fait également référence au cas du prêcheur de haine berlinois Ahmad Armih (46 ans), qui est surveillé depuis des années par l'Office pour la protection de la Constitution et qui est classé comme une "menace". Il aurait obtenu frauduleusement 18 000 euros d'aide d'urgence.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bild.de


Rappel :

Berlin : un imam haineux au bénéfice de l’aide sociale détourne des fonds d’aide d’urgence pour le Coronavirus

Berlin : un migrant insulte, frappe et crache sur les policiers, puis il s’enfuit (Vidéo)

Berlin-Neukölln. Un migrant présumé s'oppose à un contrôle de police, insulte les fonctionnaires en les traitant de "nazis" et de "fils de putes", leur crache au visage.

Selon la police, le fonctionnaire aurait tenté de mettre l'homme au terre et de l'arrêter. Cependant, celui-ci aurait résisté et aurait par la suite frappé le policier. Le fonctionnaire aurait alors esquivé l'une des attaques et aurait donné un coup de pied à la jambe du suspect.

D'abord des crachats, puis du spray au poivre

Entre-temps, la policière est venue et a également demandé à l'homme de s'allonger sur le sol à plusieurs reprises. Ce dernier a continué à ignorer les demandes et aurait craché au visage de l'agent. C'est à ce moment que le policier aurait usé de son spray au poivre.

Malgré des injonctions répétées, l'homme ne voulait toujours pas s'allonger sur le sol. Au lieu de cela, il aurait attaqué l'officier à coups de poings. Au cours de l'incident, le policier aurait tenté de maîtriser le suspect par la force physique.

 

 

Bagarre et coups de poing

Des coups de poing auraient été échangés. Après une brève séparation entre les deux protagonistes, le fonctionnaire aurait donné deux coups de pied au suspect. Par la suite, le suspect a de nouveau été invité à s'allonger sur le sol, ce qu'il a encore une fois refusé de faire. Peu de temps après, l'homme s'est enfui par la Hermannstraße vers la Mahlower Straße et s'est échappé.

Le commissaire de police a été légèrement blessé. On ignore la gravité des blessures subies par le suspect. Des poursuites pénales ont été engagées à son encontre pour avoir agressé des agents de la force publique, pour avoir résisté, ainsi que pour avoir insulté et blessé les fonctionnaires. Après cet incident, l'officier de police fait également l'objet d'une enquête. Un porte-parole a déclaré que le problème était de savoir si la conduite du policier était appropriée.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bz-berlin.de/

Berlin : Seyran Ateş, imame “Cet appel à la prière islamique n’est pas un signe de solidarité mais une provocation envers les infidèles”

Article de Seyran Ateş, d'origine turque, avocate, féministe et imame.

Pendant le Ramadan, dans certaines villes, les muezzins sont autorisés à procéder à l'appel à la prière. Souvent, les imams déclarent que c'est un signe de solidarité avec les églises chrétiennes pendant la crise du Coronavirus.

[...]

Retransmission en direct sur le Facebook de la mosquée

Sur place, ils ont célébré le fait que l'appel du muezzin puisse enfin être entendu à Berlin-Neukölln. Le district a compris l'action telle qu'elle a été conçue - comme une provocation. Elle l'a interdite. Mais l'appel du muezzin à Neukölln n'était en aucun cas un phénomène nouveau ou un cas isolé. Il existe des exemples similaires dans d'autres villes, comme Duisburg-Marxloh ou Flensburg.

Les appels à la prière sont un signe de solidarité. Mais ce point de vue n'est partagé que par quelques-uns. Les organisateurs affirment également qu'il s'agit d'un symbole, mais la question centrale est de savoir comment une telle action est perçue par les musulmans qui entendent l'appel. Et tout le monde n'y est pas favorable. Car ce que nous voyons est le signe avant-coureur d'une guerre des cultures selon les lignes de conflit religieuses.

 

https://youtu.be/kD7ZiEwZPkY

 

Aucun signe de solidarité

L'appel du muezzin de la NBS (Association de la mosquée du Centre de Neukölln à Berlin) n'a pas amené la foule postée devant la mosquée à percevoir l'appel comme un lien entre chrétiens et musulmans durant les moments difficiles, mais comme une victoire sur les infidèles, les oppresseurs des musulmans. Du moins, c'est ce que disaient de nombreux commentaires dans les médias sociaux parmi les séquences vidéo postées.

Il y a même eu des enregistrements provenant d'Espagne soulignant que finalement, après 500 ans, on pouvait à nouveau entendre le muezzin et que la victoire des musulmans sur les infidèles n'était pas loin. Les musulmans reprenaient ce qui leur avait été enlevé.

Discours de haine des musulmans conservateurs

Je ne pense pas que les représentants de la NBS soient simplement mal compris. Je crois encore moins qu'ils ne connaissaient pas les gens qui se trouvaient devant la mosquée, qui ne se tenaient pas à distance les uns des autres et qui agressaient la police lorsque celle-ci a tenté de disperser la foule en criant "Allah est grand !

En ce qui concerne le contenu de ces transmissions, nos services de sécurité de l’État doivent être informés au plus vite. Il leur suffit de lire les commentaires et les histoires que j'ai mis en ligne et de suivre les auteurs, ils verront alors de quoi sont capables les musulmans dits conservateurs. Bien sûr, ils se cachent derrière de faux comptes. Le fait que j'ai été accusée de sympathiser avec l'AfD et d'être "dangereuse pour le public" est l'un des commentaires les plus bénins.

Alors qu’en temps de crise, il faudrait combler les fossés et resserrer les liens entre la société - quel que soit le contexte social ou confessionnel - je crains que ce ne soit souvent le contraire qui se produise. Nous assistons à une polarisation accrue, et je crains que les récentes émeutes violentes à Paris ne soient les premiers signes de l'accroissement des forces sociales centrifuges et que nous nous dirigeons vers des temps plus "extrêmes". L'impact négatif de la crise sur la vie quotidienne de nombreuses personnes sera trop important dans les années à venir.

Néanmoins, nous espérons et souhaitons que la majorité des musulmans en Allemagne célèbrent le Ramadan de la même manière que les chrétiens ont récemment célébré Pâques et que les juifs ont célébré la Pâque. C'est-à-dire de manière pacifique et contemplative et dans le respect des règles en vigueur - dans l'intérêt de tous les habitants de l'Allemagne. Peut-être que nous, musulmans, pouvons même faire un usage positif du premier "Ramadan numérique" et faire entrer les aspects pacifiques de notre religion dans quelques salons de nos amis juifs et chrétiens via l'internet. De cette manière, nous pourrions même, dans une certaine mesure, contrecarrer la division prévisible de notre société. La question de savoir si cela peut réussir est une autre question. Je reste optimiste.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Cicero.de

Berlin : 50 à 60 membres d’un clan arabe provoquent des troubles aux urgences

50 à 60 membres d'un clan se sont rassemblés devant l’hôpital de Berlin

Le chagrin et la colère suscités par la perte d'un être cher peuvent mettre les proches en état de crise - mais ce qui se serait passé à Berlin à cause de cela va manifestement trop loin. Selon les informations de RTL, 50 à 60 membres du clan criminel Remmo se sont rassemblés devant les urgences de l'hôpital de Kreuzberg am Urban dans la nuit de mardi à lundi.

La mère du chef du clan est admise à l'hôpital et y décède

Peu de temps auparavant, un membre âgé du clan avait été admis à l'hôpital et y était mort. Selon les informations de RTL, il s'agit de la mère du chef de clan Issa Remmo. Sur le chemin de l'hôpital, deux autres membres du clan auraient franchi à toute allure un contrôle de vitesse effectué par la police - l'un des agents n'aurait pu se sauver qu'en sautant sur le côté, selon la police.

Apparemment, la police a ensuite effectué une poursuite des deux véhicules. L'un des deux conducteurs se serait échappé dans sa Porsche. Un autre homme aurait été arrêté près de l'hôpital après une collision entre sa VW avec une voiture de patrouille.

Pendant ce temps devant la clinique, plusieurs policiers étaient occupés à calmer les membres présumés du clan et à s'assurer que les règles de distance concernant le coronavirus étaient respectées.

[...]

Le syndicat de police parle de tentative de meurtre

Un porte-parole du syndicat de la police de Berlin a déclaré que l'incident était une tentative d'homicide. "Avec toute ma compréhension pour la perte douloureuse d'un être cher - dans notre pays, il y a des lois que tout le monde doit respecter. Quiconque fait obstacle aux services de secours risque des vies humaines. Toute personne qui échappe à un contrôle routier et qui n'hésite pas à renverser quelqu'un commet une tentative d'homicide. Quiconque voit les choses différemment et parle avec mépris, cultive précisément la tolérance déplacée qui nous a amenés aux problèmes actuels avec les clans arabes dans le crime organisé".

La plupart des familles arabes nombreuses donnent beaucoup de travail à la police qui travaille à Berlin, dans la région de la Ruhr ou en Basse-Saxe - parfois, elles contrôleraient même des rues entières.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Rtl.de

 

Berlin : un imam haineux au bénéfice de l’aide sociale détourne des fonds d’aide d’urgence pour le Coronavirus

Berlin - Cette affaire est vraiment incroyable : le prêcheur de haine berlinois Ahmad Armih (46 ans), surveillé depuis des années par l'Office de protection de la Constitution de Berlin et classé comme un danger, a récolté 18 000 euros d'aide d'urgence contre le Coronavirus !

Et ce malgré le fait que le salafiste soit bénéficiaire de prestations sociales, selon le ministère public de Berlin.

Pour lui et sa femme, il s'était adressé à la Banque d'investissement de Berlin sous de faux prétextes. L'argent s'est retrouvé sur son compte rapidement et sans bureaucratie, comme des milliers d'autres Berlinois indépendants.

Mais évidemment à tort !

"Le prévenu de 46 ans Ahmad A. est soupçonné, avec sa compagne, d'avoir profité de la situation de crise du Coronavirus afin d'obtenir 18.000 euros de subventions de la Banque d'investissement en faisant de fausses déclarations concernant une activité commerciale, alors que tous deux ont reçu des prestations sociales", a déclaré Martin Steltner, porte-parole du bureau du procureur général de Berlin.

Armih prêche la haine contre les "mécréants" depuis des années

Jusqu'à mi-2018, Ahmad Armih a prêché dans une mosquée de la Torfstrasse sous le pseudonyme d'Ahmad Abul Baraa. Il est considéré comme l'un des rares prêcheurs salafistes qui ont une grande influence non seulement au niveau local mais aussi national.

Dans ses discours, il divise le monde entre les bons musulmans et les méchants infidèles. Armih a condamné à plusieurs reprises les atrocités de l'Etat islamique. En revanche, il a qualifié le combat des groupes proches de l'organisation terroriste Al-Qaïda de "djihad béni". Il a également "prié" que "Dieu tue les ennemis d’Allah un par un".

Il a sans cesse incité ses auditeurs, pour la plupart jeunes, à se tenir à l'écart des "infidèles" et à affronter avec "hostilité et haine" les gens qui combattent l'Islam.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

Berlin déjoue des projets d’attentats islamistes

Cinq personnes originaires du Tadjikistan ont été interpellés ce mercredi matin. Elles préparaient des actes terroristes sur des sites militaires allemands notamment.

Les suspects, dont quatre ont été interpellés mercredi matin dans l'État régional de Rhénanie du Nord-Westphalie (ouest), prévoyaient également «des attaques meurtrières» contre des personnes parmi lesquelles une voix critique de l'islam qu'ils avaient commencé à espionner, a indiqué le Parquet fédéral, compétent en matière d'affaires de terrorisme.

[...]

Ils avaient également récolté de l'argent en Allemagne, transféré ensuite à l'organisation via la Turquie.

[...]

Certains des attentats ou tentatives ont été commis par des demandeurs d'asile --un Tunisien, un Syrien et un Afghan-- arrivés en Allemagne à la faveur de la crise migratoire de 2015.

La chancelière Angela Merkel avait alors ouvert les portes du pays à quelque 900'000 demandeurs d'asile surtout venus des zones de conflit de Syrie et d'Irak.

[...]

20min.ch

Berlin : des centaines de musulmans transgressent l’interdiction de regroupement aux cris d'”Allahu akbar”

Berlin. 300 musulmans sifflent les règles de confinement et se sont pressés devant une mosquée de Neukölln vendredi, en criant "Allahu akbar", alors que le Sénat de Berlin a interdit toute réunion de plus de 2 personnes.

La police qui s'approche de la foule est tout simplement ignorée.

 

 

 

Politikversagen.net

Berlin : Le père turc a poignardé sa fille car elle parlait aux hommes

Sükrü K. (aujourd'hui âgé de 77 ans), originaire de Berlin-Neukölln, voulait poignarder sa fille à mort. Lors d'un premier procès en décembre 2018, le tribunal régional l'a condamné à quatre ans de prison pour tentative d'homicide involontaire. Le ministère public avait exigé une peine deux fois plus élevée. Pour lui, il s'agissait d'une tentative de meurtre.

Le ministère public a fait appel. [...] Depuis jeudi, le retraité turc est de nouveau sur le banc des accusés à Moabit (quartier de Berlin).

Sükrü K. (trapu, crâne chauve) n'a jamais fréquenté une école et ne sait pas écrire. Il vit en Allemagne depuis 1972, dont 36 ans à Berlin. Il a travaillé pendant de nombreuses années dans la construction. Il parle à peine l'allemand, il a besoin d'un interprète. Sa fille, l'une des six enfants, travaillait dans le centre commercial comme vendeuse dans un magasin de chaussures.

Il a poignardé sa fille (47 ans) au Wutzky-Center (Gropiusstadt) le 17 avril 2018. Sa "condamnation à mort" : La vendeuse a discuté avec les pères d'autres enfants à l'école de sa fille (âgée de 7 ans) ! Ainsi, pour le père turc "sa fille n'avait plus de valeur pour lui et méritait de mourir", affirme l'accusation.

L'accusé l'aurait saisie par derrière et lui aurait tranché le cou avec un couteau de cuisine (munie d'une lame de douze centimètres) qu'il avait apporté. Puis il lui a enfoncé le couteau dans l'estomac. Les clients ont maîtrisé l'agresseur enragé qui, selon l'accusation, a proféré des menaces de mort et l'a traitée de "pute". La vie de cette femme n'a pu être sauvée que par une opération chirurgicale d'urgence.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bz-berlin.de

Coronavirus : Berlin parle de «pandémie mondiale». L’Italie va fermer toutes ses écoles.

Berlin parle désormais de «pandémie mondiale»

Le gouvernement allemand a estimé mercredi que le monde était désormais confronté à une «pandémie» de coronavirus et affirmé qu'il prenait la situation «très au sérieux», alors que le nombre de malades ne cesse de croître.

[...]

54 confirmés en Suisse

La situation du coronavirus en Suisse est jugée sérieuse, bien qu'il n'y ait pas encore de cas graves. La Confédération réfléchit aux mesures à prendre lorsque les seniors seront touchés par l'épidémie, a indiqué mercredi Daniel Koch, de l'OFSP.

[...]

L'Administration fédérale des douanes contaminée

Une personne de l'Administration fédérale des douanes au Tessin s'est infectée avec le coronavirus. Elle a été immédiatement mise en quarantaine, a annoncé mercredi le Département fédéral des finances (DFF). Dans ses fonctions, le malade n'a pas de contact avec des clients.

[...]

Un écolier tessinois contaminé

Un écolier a été infecté par le coronavirus au Tessin, a annoncé mercredi le département de la santé et des affaires sociales. Le canton compte désormais sept cas.

[...]

L'Italie va fermer toutes ses écoles et universités

[...]

TDG.ch / 20min.ch


Rappel :

Coronavirus : Un responsable de l’OFSP nous explique qu’il y a une pénurie mondiale de masques et qu’il n’a rien prévu

Berlin : les parents allemands évitent les écoles à forte immigration

Les parents berlinois évitent les écoles primaires de leur propre quartier. Pratiquement une famille sur deux veut envoyer son enfant dans une école en dehors de sa zone locale.

A peine la place de la garderie a-t-elle été trouvée que ces parents sont pris dans le tumulte suivant : La recherche de la bonne école primaire les rend fous.

En 2019, environ 45 % de tous les élèves de première année ont demandé à fréquenter une autre école que celle désignée par l'autorité de district respective. Pas moins de 60 % des demandes ont été acceptées. Ainsi près de 30 % des enfants ne se sont pas rendus dans leur école locale. [...]

Les écoles européennes publiques sont considérées comme des alternatives attrayantes à l'école de quartier en raison de leur éducation bilingue. Les raisons de ce changement varient selon les districts.

La plus grande proportion de demandes de changement a été enregistrée à Charlottenburg-Wilmersdorf avec 66 %. Le pourcentage le plus faible de demandes de changement a été enregistré à Marzahn-Hellersdorf (23 %) et à Spandau (25 %).

Les parents redoutent les inconvénients liés aux écoles en milieux difficiles

Il y a quelques années, le Conseil d’experts des fondations allemandes pour l’intégration et la migration avait commandé une étude visant à déterminer les raisons et les effets qui poussent à éviter l’école de Kiez.

Cette étude a confirmé l'hypothèse selon laquelle le choix des parents dépend de la proportion de migrants, car ils craignent que leurs enfants apprennent moins dans des écoles où se trouvent de nombreux migrants socialement défavorisés.

Dans ce contexte, les résultats scolaires plus faibles de certains groupes de migrants sont cités comme argument.

D’autres parents affirment qu’ils veulent épargner à leur enfant un rôle de marginal du moment que l’école de Kiez compte 60 %, voire 90 %, de migrants.

La ségrégation sociale s'accroît

Cependant, le comportement des parents exacerbe encore la ségrégation sociale. L'étude susmentionnée a montré que le quota de migrants d'une école de Kreuzberg différait de 500 % du quota de la zone de desserte.

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Tagesspiegel.de


Rappel :

France : "Pourtant je suis de gauche, je suis vraiment de gauche. Mais j'aurais du mal à scolariser mon enfant dans une classe peuplée à 80 % d'enfants dont la langue maternelle n'est pas le français, ça me pose vraiment un problème."

 

Berlin : arrestation d’un Syrien qui prévoyait de commettre un attentat à l’explosif, cet islamiste travaillait dans une école primaire

L'homme de 37 ans aurait commencé à se procurer les composants et les produits chimiques nécessaires à la construction d'un engin explosif depuis janvier 2019.

L'homme, qualifié "d'islamiste radical", aurait commencé à se procurer les composants et les produits chimiques nécessaires à la construction d'un engin explosif depuis janvier 2019, selon le parquet général fédéral de Karlsruhe, en charge des enquêtes liées au terrorisme.

"Tuer le plus grand nombre de personnes possible"

Il aurait eu l'intention d'allumer cet engin quelque part "en Allemagne à une heure inconnue afin de tuer et de blesser le plus grand nombre de personnes possible", a expliqué le parquet dans un communiqué. En août, l'homme aurait entre autres acheté de l'acétone puis en septembre une solution de peroxyde d'hydrogène.

Ces deux produits chimiques sont "utilisés pour fabriquer le triperoxyde de triacétone (TATP), un composé hautement explosif", a expliqué le parquet.

Ledauphine.com

Via Fdesouche.com

Berlin. Violences entre clans : les hôpitaux veulent se prémunir contre les agressions

Alors que de plus en plus d'affrontements violents se produisent, certaines institutions sont à la recherche d'une solution.

En l’espace d’une semaine, la police a dû intervenir dans deux grands hôpitaux. Des bandes criminelles ennemies, en partie imputées au milieu clanique, se sont affrontées de manière sanglante dans les couloirs des hôpitaux. Même si la police ne donne pas de chiffres, la violence dans les hôpitaux est un problème croissant.

Dans un communiqué, l'Association fédérale des services de sécurité confirme que de plus en plus d’hôpitaux et de services d’urgence s'équipent de forces de sécurité.

Une vidéo qui vient d'être publiée montre l'un de ces incidents qui s'est déroulé la semaine dernière à l’hôpital St Joseph. Selon la police, une bagarre avait éclaté entre plusieurs hommes pour des raisons inconnues.

 

https://youtu.be/gdcpEvbYiXs

 

Intervention de 60 policiers et 3 blessés

Par la suite, le conflit s'est poursuivi dans la rue, devant la clinique. Jusqu'à 30 personnes se sont affrontées. Les forces de police déjà alertées à ce moment-là ont tenté de désamorcer la situation. Mais la vidéo montre que les bandes rivales ignorent dans une large mesure la police et que le conflit s’intensifie. Ce n’est qu'à l'aide de renforts massifs que les forces d’intervention ont finalement réussi à maîtriser la situation.

Selon la police, 60 agents ont été nécessaires. Trois personnes ont été blessées. Il n'y a eu aucune arrestation.

Dans la nuit de mardi, seulement quelques jours plus tard, un autre incident est survenu : après une attaque à l'arme blanche à Kreuzberg, deux protagonistes se sont rendus à l'hôpital avec des blessures.

Selon la police, "les proches et les connaissances des blessés sont arrivés petit à petit. Certains d'entre eux auraient été très agressifs. Ce n’est qu’avec l’aide d’autres agents que l’on a pu repousser ces personnes et que le fonctionnement du service d'urgence a pu être garanti.

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Situation dans les hôpitaux de plus en plus tendue

Personne n’est plus surpris de voir que "les forces de sécurité privées protègent les manifestations, les transports publics, les détaillants, les universités, les écoles ou les centres d’emploi". La nécessité de protéger les médecins et le personnel soignant est également une triste réalité, affirme Harald Olschok, directeur général et membre du bureau exécutif du BDSW (Association fédérale de l'industrie de la sécurité).

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Berliner-zeitung.de

 

Berlin : un affrontement dégénère entre 30 hommes d’origine arabe dans un hôpital

Mardi après-midi à l'hôpital Saint-Joseph de Tempelhof, une violente dispute entre les membres d'une famille a dégénéré. Selon la police de Berlin, 60 policiers sont intervenus pour mettre fin à la flambée de violences.

Les policiers ont également utilisé du gaz irritant pour séparer les 30 hommes qui se battaient. Un homme de 22 ans a souffert d'irritation oculaire et deux policiers ont également été légèrement blessés.

Vers 15h50, un conflit entre plusieurs hommes a éclaté dans une chambre de l'hôpital pour des raisons inconnues.

Par la suite, l'affrontement s'est poursuivi dans la rue. Selon un porte-parole de la police, il s'agit d'individus d'origine arabe. Les forces d'intervention ont ouvert une enquête pour atteinte à l'ordre public.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Morgenpost.de / Focus.de

Berlin : Les Verts proposent de dépénaliser partiellement l’usage des drogues dures

Catherina Pieroth (Verts) demande que les règles concernant la consommation personnelle soient également appliquées aux drogues dures. La limite pour la cocaïne ou l’héroïne pourrait par exemple se situer à trois grammes, a déclaré la porte-parole des Verts berlinois pour la santé et la politique sur les drogues […]

Les règles sur la consommation personnelle actuellement en vigueur à Berlin ne concernent que le cannabis. Le ministère public peut classer les procédures pénales jusqu’à une limite de 15 grammes.

Quand un toxicomane est pris avec une petite quantité d’héroïne et qu’il doit payer une forte amende, cela ne sert pas à grand-chose, a déclaré Pieroth à l’Agence de presse allemande. Il s’agit de trouver une régulation réaliste pour les drogues dures. […] Pour Pieroth, « ce serait un soulagement pour la police, pour la société et pour toutes les personnes concernées ».

(Traduction Fdesouche)

Die Welt