Allemagne : Une adolescente de 15 ans aurait été abusée par plusieurs réfugiés dans un centre d’hébergement.

Plusieurs résidents d'un centre pour réfugiés auraient agressé sexuellement une élève de 15 ans. Deux suspects sont déjà en détention.

Les résidents du centre d'asile ont-ils commis un abus sexuel sur une adolescente droguée? L'enquête criminelle suit actuellement cette piste.

Elle fait l'objet d'une enquête pour des allégations de viol dans le foyer d'accueil de Proviantbachstraße. Selon l'enquête, une fille âgée de 15 ans a été abusée par plusieurs résidents. Deux suspects sont en détention depuis plusieurs semaines.

L’élève de 15 ans d’Augsbourg avait rencontré un Afghan âgé de 17 ans. Ils se sont donné rendez-vous le 2 juillet et se sont rendus dans une chambre située dans l’hébergement de la rue Proviantbachstraße à Augsbourg.

Après la consommation d'un joint de haschisch, l'adolescente de 15 ans est tombée dans un trou noir et a tout oublié, selon les conclusions des enquêteurs.

La jeune fille a été retrouvée après l'acte présumé, en état de détresse, à Lechhausen par des passants. La jeune fille a été conduite à l'hôpital pour enfants. Outre le soupçon de consommation de drogue, le soupçon d'abus sexuel a été confirmé ont déclaré la police et le procureur.

On ne sait pas combien de suspects auraient été impliqués.

Augsburger-allgemeine.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Rappels :

Allemagne : La télévision ZDF incite les jeunes filles et les enfants allemands à passer du temps avec les migrants. (Vidéo)

Allemagne. Chemnitz : L’un des agresseurs était un migrant délinquant qui aurait dû être expulsé depuis longtemps.

Allemagne. Francfort : Une bande de 15 à 20 réfugiés syriens attaquent les clients d’un bar aux cris de « Allahou akbar »

Allemagne. Chemnitz : le parti d’Angela Merkel et la gauche soutiennent les antifas face aux patriotes allemands.

Allemagne : un Afghan de 10 ans a violé un camarade de classe lors d’une sortie scolaire, un Irakien et un Afghan âgés de 11 ans ont tenu la victime durant le viol

Un Allemand raconte le meurtre de son fils par un Syrien : des antifas et des migrants le traitent de « nazi »

Allemagne. Saxe-Anhalt : nouveau meurtre d’un Allemand par des Afghans

 

Autriche. Tulln: Viol collectif d’une jeune fille de 15 ans par des réfugiés afghans et somaliens avéré.

Nous parlions déjà de cette affaire en primeur ici. La culpabilité des "réfugiés" pour ce crime immonde est à présent avérée.

Bien évidemment, aucun politique de gauche ne s'en émouvra, nos médias francophones regarderont ailleurs et l'extrême gauche continuera à faire sa loi dans nos rues, exigeant l'accueil immodéré de ces gens.

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Selon le porte-parole du poste de police de Tulln, Johann Baumschlager, a indiqué que le viol d’une jeune fille de 15 ans s’était déroulée le soir du 25 avril. La victime, dont le nom n’a pas été révélé pour des raisons légales, rentrait chez elle quand elle a été traînée dans les buissons par trois migrants, dont deux la tenaient tandis qu’un troisième la violait. La victime parvint une première fois à s’enfuir avant d’être rattrapée et à nouveau violée.

 

 

Baumschlager a confirmé qu’un migrant d’Afghanistan de 19 ans est actuellement en détention. La police cherche un somalien de 19 ans et une enquête est diligentée pour identifier le troisième agresseur.

(Source : Krone.at) Via Breizatao.com

Lausanne: L’Érythréen, déjà coupable d’autres délits, avait violé une adolescente de 15 ans lors d’une fête de Noël

Le Tribunal correctionnel vient de condamner à 5 ans de prison sans sursis un homme de 25 ans, reconnu coupable de quatre chefs d'accusation sur une fille de 15 ans lors d'une fête de Noël.

La Cour n'a aucune raison de douter du témoignage de la victime ni de la connaissance de l'accusé, présente dans l'appartement quand le viol et la contrainte sexuelle se sont produits, à Romanel-sur-Lausanne, dans la nuit du 24 au 25 décembre 2015. C'est ainsi que la présidente du Tribunal correctionnel de Lausanne a fait comprendre, ce jeudi après-midi, au prévenu, un Erythréen de 25 ans, et à son avocate que les quatre infractions au Code pénal requises par le Ministère public après enquête seraient bien retenues contre lui au moment du verdict.

Et comme le risque de récidive est «patent», il demeure privé de liberté durant les 10 jours qu'il a pour faire recours.

De plus le sursis de deux ans dont l'individu bénéficiait pour une condamnation passée (180 jours de détention pour lésions corporelles graves, lors d'une bagarre) est révoqué.

Source

Jura: Les Kosovars avaient violé une adolescente de 17 ans. Ils n’ont aucun remords et c’est la Suisse qui paiera l’essentiel des frais.

Christian Hofer: Agression sexuelle qui démontre ce que nous avons désormais dans notre pays par la faute de la gauche: une culture machiste, inégalitaire et arriérée qui considère nos filles comme des dévergondées parce qu'elles acceptent simplement de discuter avec ces barbares. C'est cela le progressisme socialiste.

Les juges sont totalement ignares de la situation: nos élites prônent le multiculturalisme en ne sachant absolument rien des us et coutumes de ceux qui viennent ici: Une fille qui monte dans le véhicule d'un inconnu est estampillée comme étant une pute. Chez eux, une épouse doit restée vierge pour le mariage. Par extension, nos filles ne sont que des jouets sexuels entre leurs mains qu'ils pourront jeter comme bon leur semble! Et ces juges attendent des "regrets" de leur part... quelle naïveté! Bien évidemment, aucune expulsion n'a été exigée malgré les casiers judiciaires fournis et bien évidemment encore, leurs avocats et les frais sont à notre charge.

Nos filles se font violer et nous payons leurs avocats ainsi que leurs frais: tout va bien en Suisse!

Pendant ce temps, la gauche féministe n'y trouve rien à redire. Admettre cette réalité signifierait écorner la propagande des cultures "qui se valent" et reconnaître un grave problème avec certaines ethnies. C'est une preuve supplémentaire de la superficialité de la propagande, juste bonne à accuser les Suisses de "populisme".

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"Que peut-on attendre de gens qui se considèrent comme des chiens? Les chiens, chez nous, on les tient en laisse!"

Le Tribunal pénal jugeait trois ressortissants kosovars établis à Porrenttruy prévenus de contrainte sexuelle pour l'un, de la même prévention avec en plus un viol de leur victime pour les deux autres.

Le premier a écopé d'un an d'emprisonnement et les deux autres de trois ans de prison chacun. Sans sursis, bien sûr, le président Pascal Chappuis rappelant que les antécédents des prévenus sont très mauvais.

L'histoire du chien se rapporte aux déclarations d'un des prévenus qui se comparait à un chien, pris par le feu, par un instinct primaire et animal.

Un viol durant la nuit de Noël

Durant la nuit de Noël de 2013, les trois hommes avaient fraternisé avec deux jeunes filles qui faisaient des courses en ville.

Les trois hommes ont ensuite ramené chez elle l'une des deux filles, puis ont profité du retour pour s'attaquer à la seconde. Là, "les masques sont tombés" a témoigné la jeune femme hors de la présence de ses bourreaux. Ce procès s'est tenu à huis clos mercredi et jeudi à Porrentruy.

Durant ce trajet, le premier homme l'a forcée à une relation sexuelle orale, a tenté d'aller plus loin alors qu'elle résistait.

Par moments, la victime était tétanisée. Frustré dans son désir, l'homme a abandonné ses deux comparses à Porrentruy.

"Il est passé directement de la séduction à l'action, sans autre forme de procès", constate le président Chappuis. Il y a bien contrainte sexuelle.

Les deux autres prévenus vont alors prendre le relai, s'acharnant en duo su leur victime, ajoutant viol à la contrainte sexuelle.

La fille crie, se débat, hurle sa douleur. Cela se passe devant les cabanes du Banné à Porrentruy, vers minuit, à l'heure où l'Ajoie fête la naissance d'un divin enfant.

L'un des deux auteurs dira plus tard de son complice "qu'il se comportait comme une bête".

Pas de regrets et pas de mots pour décrire la violence infligée.

Comme souvent, il y a deux versions.

Celle de la victime est précise, constante, observe le tribunal.

L'homme prévenu de contrainte niera tout jusqu'au bout. Il avait déjà utilisé cette ligne de défense en janvier 2015 lors d'un procès pour brigandage où il avait écopé de 2 ans de prison.

Les deux autres prévenus, dont un des frères du premier, nieront tout. Puis ils admettront leurs actes sexuels, mais en précisant que la victime était consentante.

"Une fille facile", dira l'un des prévenus. Cette appréciation fait bondir le président Chappuis. Ils n'ont pas hésité à commettre ces actes à l'insu de leurs épouses ou compagnes, l'un d'eux étant marié depuis 15 jours.

Difficile d'admettre qu'ils veuillent juger des mœurs de leur victime.

Composé encore d'Emilienne Trouillat et de Michel Rion, le Tribunal pénal est convaincu de la culpabilité des trois hommes. Ceux-ci ont agi égoïstement, sans empathie, pour leur victime, qui n'a jamais consenti à ce qui s'est passé.

"Mais je crois que l'élément central est l'absence totale de regrets. Ils n'en ont jamais manifesté à l'égard de leur victime, ils n'ont jamais voulu entendre sa détresse. Face à cette violence, les mots viennent à manquer", continue Pascal Chappuis. La responsabilité des violeurs est particulièrement grave, puisqu'il y a contrainte sexuelle et viol et qu'ils ont agit ensemble.

Les deux frères, déjà condamnés à deux ans de prison chacun (dont un an de sursis pour l'un d'eux), ont déjà retrouvé la liberté.

Cette affaire de viol et de contrainte sexuelle s'étant produite avant leur procès pour brigandage, les peines infligées hier s'additionnent donc simplement. Le troisième homme avait déjà été condamné dans une affaire de stupéfiants. Le juge renonce à lui faire sauter le sursis, les deux délits étant très différents.

Et contrairement à sa décision de janvier 2015, le juge Chappuis n'a pas ordonné l'arrestation immédiate des prévenus, estimant notamment le risque de fuite peu élevé. Et il y aura sans doute recours.

Une jeune fille en partie détruite

Âgée de 17 ans au moment de son viol, la jeune fille a aujourd'hui de lourdes séquelles psychiques consécutives à cette affaire, est prise en charge par l'AI.

Le Tribunal pénal reconnaît l'existence de prétentions financières de sa part, mais préfère laisser aux juges civils le soin de les chiffrer. Les frais judiciaires dont devront s'acquitter les prévenus s'élèvent à 55'000 fr., que le tribunal a réparti en trois parts presque égales.

Leur victime recevra une indemnité de 14'000 fr. pour ses frais d'avocat. Il y a cependant une probabilité assez forte pour que l'essentiel soit assumé par l'État, par le biais de l'assistance judiciaire.

 

kosovar

 

Source: Le Quotidien Jurassien du vendredi 18.11.2016 page 7

Nos remerciements à 

Rappels:

Les Kosovars de Suisse remercient M. Calmy-Rey

Lorsque le PS suisse exigeait que la Suisse favorise l'arrivée des Kosovars

Allemagne : Une ado agressée sexuellement par un réfugié, le policier ne veut pas prendre la plainte

Un policier de la ville allemande de Rheinberg est sous le feu des critiques après qu’il ait été révélé qu’il a encouragé une jeune fille à ne pas signaler l'agression sexuellement dont elle était victime par un migrant.

Une jeune fille allemande âgée de 15 ans a affirmé avoir été agressée sexuellement par un requérant d'asile algérien âgé de 50 ans vendredi, mais quand elle et son père ont tenté de signaler l’incident, un policier leur a dit qu'il n’écrirait pas de rapport.

Après qu’un témoin ait fait pression sur l’agent de police en lui disant qu’il irait tout raconter à la presse, l’officier a dû enregistrer la plainte.

Rp-online

Londres: Violente agression d’une adolescente blanche par un groupe de filles noires. (Vidéo)

Vidéo horrible qui montre un gang d'écolières battre sauvagement une adolescente de 15 ans au sol lors d'une attaque gratuite.

L'adolescente a été attaquée par cinq autres jeunes filles qui lui avaient demandé de se battre avec elles contre une autre fille, mais elle a refusé et elles l'ont attaquée à la place.

Le crâne de l'adolescente a été ouvert et elle a subi deux yeux au beurre noir après avoir été battue par les cinq adolescentes, qui l'ont attirée dans un piège et l'ont attaquée "comme des animaux" avant de poster la vidéo sur Internet.

 

https://youtu.be/CeYt-H3jysM

La séquence montre Michelle subissant des coups de pieds à la poitrine, alors qu'elle se trouve au sol lors de l'agression.

La mère de Michelle, qui ne veut pas donner son nom, déclare : "Je suis dégoûtée et j'ai le coeur brisé".

"Je ne pouvais même pas regarder la vidéo, je ne pouvais même pas écouter ses cris et les coups de pied."

"L'attaque n'a duré que quelques minutes, mais Michelle a déclaré que c'était comme si c'était sans fin."

(...)

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Italie : après une agression sexuelle la population lance un raid punitif contre le centre d’accueil des clandestins à Salerne

(…) Tout a commencé avec un harcèlement subi par une adolescente de 14 ans à Salerne approché par un jeune migrant pakistanais arrivé par bateau il y a quelques mois. Quand la jeune fille a dit à la maison ce qui était arrivé, la population a exercé des représailles. Un groupe de personnes, dimanche soir, est allé devant le centre d’accueil, qui est situé dans le même quartier, essayant de briser la porte afin de lyncher le harceleur.

Les immigrés se sont barricadés à l’intérieur, attendant l’arrivée de la police, qui est arrivée peu de temps après l’assaut sur le site. En plus de nombreuses pierres, ils ont également tiré à plusieurs reprises sur le bâtiment.

Source

Via civilwarineurope

Valais: Une ado de 13 ans abusée par un Macédonien : Sursis du Tribunal!

Il la menace afin qu'elle ne parle pas!

Une ado a été victime d'une agression sexuelle à Brigue, ce printemps. La fille s'était rendue au centre de jeunes de la localité haut-valaisanne lorsqu'elle a fait la connaissance d'un Macédonien de 22 ans. Après avoir échangé quelques mots avec lui, la Valaisanne lui a dit qu'elle devait rentrer à la maison pour ne pas arriver en retard pour le souper. Alors que tous ses amis étaient déjà rentrés chez eux, le jeune homme lui a proposé de la ramener chez elle en voiture, ce qu’elle a accepté, écrit ce vendredi le «Walliser Bote» sur son site.

Selon le quotidien, le Macédonien l'a touchée de manière inappropriée à plusieurs reprises alors qu'il était en train de conduire. Arrivé sur le parking situé juste devant le domicile de sa victime, l'homme a continué et l'a touchée à la poitrine et entre les jambes contre son gré. Lorsque l'ado a tenté de s'enfuir, il l'a retenue violemment à l'intérieur du véhicule. Ce n'est que lorsqu'elle s'est mise à hurler de toutes ses forces que son agresseur l'a laissée partir. Malgré ses menaces, l'adolescente a porté plainte contre lui le lendemain.

Le Ministère public du Haut-Valais a condamné récemment le Macédonien à une peine pécuniaire de 120 jours-amende à 45 francs. La peine a été assortie d'une période probatoire de 2 ans. Il a également été condamné à une amende de 350 francs et devra payer les frais de justice d'une valeur de 650 francs.

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Belgique: Des migrants syriens filment une adolescente de 15 ans à la piscine

Deux réfugiés syriens qui ont été accueillis à Dixmude (Flandre Occidentale) ne peuvent plus mettre un pied dans la piscine communale "De Kupe", apprend Het Laatste Nieuws. Mercredi soir, l'un d'eux a fait le guet pendant que l'autre entrait dans les vestiaires communs. Ce dernier a filmé avec son téléphone portable une jeune fille de 15 ans qui était en train de se changer.

Les faits se sont déroulés mercredi vers 19h30 dans la piscine communale "De Kupe". Un cours était donné par le club de natation local. Il y avait donc beaucoup de monde dans le bassin. La jeune fille de 15 ans, elle, avait terminé son cours un peu plus tôt que ses copines et est donc rentrée vers les vestiaires toute seule. Elle n'a pas remarqué qu'elle était suivie par l'un des deux Syriens. L'autre surveillait afin de s'assurer que la voie était libre. Quand elle a remarqué la présence de l'homme dans le vestiaire, l'adolescente a hurlé, ce qui a alerté le personnel de la piscine qui a pu maîtriser les deux individus.

"C'était une proie facile"
"Notre fille est très choquée par ce qui s'est passé", raconte le père dans HLN. "Quand elle a vu un homme en train de filmer avec son téléphone, elle a directement crié. Normalement, toutes les filles s'habillent dans le même vestiaire commun mais cette fois, elle était seule. C'est clair que ces hommes faisaient du repérage pour préparer leur coup. Le premier a dit au deuxième que notre fille était seule. Ils y ont vu une proie facile."

"Quand nous l'avons vue, notre fille était à bout de nerfs. Nous allons en discuter avec elle car nous ne voulons pas qu'elle ait peur d'aller nager ou de s'habiller. Nous espérons que cet incident ne va pas la poursuivre. Que quelque chose comme cela arrive, c'est exceptionnel. Malgré tout, nous avons déposé plainte auprès de la police et nous exigeons une enquête complète. Nous avons entendu que ce n'est pas la première fois que ces deux hommes se trouvaient dans cette piscine."

"Ils ne sont plus les bienvenus"
D'après les premiers éléments, les deux hommes sont des réfugiés syriens qui sont en Belgique depuis seulement 14 jours. Ils ont été accueillis dans un centre d'accueil à Dixmude. "Mais le personnel de la piscine a précisé qu'ils n'avaient pas encore causé le moindre problème jusqu'ici", rappelle l'échevin des Sport Marc De Keyrel (CD&V).

"Quoi qu'il en soit, nous avons bien réagi. Le personnel a interpellé les deux personnes et appelé la police. Nous leur avons interdit l'accès à la piscine. La semaine prochaine, nous en parlerons au Collège échevinal. Selon la procédure, nous allons également aussi leur interdire la piscine. Ils ne sont plus les bienvenus. Nous avons également averti le centre d'accueil. Pour l'heure, il n'est pas encore question de les mettre à la porte."

Les deux Syriens n'ont pas été arrêtés. L'enquête va désormais suivre son cours.

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