Valls lance le débat sur la suppression du mot « race »

Christian Hofer: Rappel sur la novlangue, langue officielle d’Océania, inventée par George Orwell pour son roman 1984:  "Ne voyez-vous pas que le véritable but du novlangue est de restreindre les limites de la pensée ? Chaque année, de moins en moins de mots, et le champ de la conscience de plus en plus restreint."
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[...] Le Premier ministre Manuel Valls a annoncé ce mercredi lors du dîner annuel du Conseil représentatif des Français d’Outre-mer (Créfom) qu’il était « prêt à regarder » la suppression du mot « race » dans la constitution.

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Interrogé à ce sujet par Patrick Karam, le président du Créfom, Manuel Valls a affirmé que la suppression du mot permettra d’enlever des arguments à ceux qui « hiérarchisent ». « Face à ceux qui voudraient réduire la France à un pays de race blanche, nous devons affirmer que Marianne n’a pas de race, pas de couleur » a-t-il ajouté avant de se dire prêt à « regarder de près comment évoluer ensemble sur le plan législatif ».

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Plus surprenant, le Premier ministre a affirmé « prendre la main que nous a tendue Nicolas Sarkozy». L’ancien chef de l’État, qui s’était exprimé juste avant, avait jugé « complètement stupide », «l’idée de réduire la France à une race » avant de lancer que « toute personne qui assimilera la race blanche à la France ne portera pas l’étiquette de (son) parti politique ». […)

Valeurs Actuelles

Nouvelle reculade de Valls sur la loi El Khomri

Nous vous l’annoncions dans le bulletin de réinformation hier : Manuel Valls a présenté les corrections apportées au projet de réforme du code du travail en fin de journée.

On peut clairement dire qu’il s’agit d’une reculade de l’exécutif

Sarkozy avait d’ailleurs prophétisé que la montagne accoucherait à nouveau d’une souris. En effet les mesures visant clairement à flexibiliser le code du travail ont été abandonnées. On peut citer notamment l’abandon du caractère obligatoire du barème prud’homal dont les indemnités de plafonnement ne seront désormais plus qu’indicatives. Les mesures permettant les licenciements économiques ont, elles aussi été abdiquées.

Comment ont réagi les différents acteurs du débat ?

Le patronat a dit que c’était trop et les partenaires sociaux que ce n’était pas assez. Le Medef reproche à l’exécutif d’avoir dénaturé la loi en ayant abandonné les deux mesures phares qui étaient susceptibles de créer de l’emploi. Les syndicats sont divisés, mais L’UNEF la CGT et Force Ouvrière ont quant à eux appelé à poursuivre la mobilisation. A l’exception de la CFDT qui s’est réjouie de l’évolution sur les indemnités prud’homales, les syndicats dénoncent des corrections à la marge ou attendues.

S’agit il donc clairement d’une défaite politique pour le couple Hollande Valls ?

Pour le savoir, il faudra attendre plusieurs choses. Tout d’abord il faut attendre de voir quelle tournure prendra le débat au Parlement. En effet l’obstacle fait par la CGT et FO importe peu : ce sont les parlementaires qui voteront le texte, pas les syndicats. Mais beaucoup de députés socialistes sont très proches des positions de la CFDT. Les déclarations positives de Laurent Berger sont donc une bonne nouvelle pour le gouvernement. S’agissant de l’opinion publique Valls semble avoir déçu les uns sans avoir pour autant convaincu les autres : sans doute a t il oublié que plaire à tout le monde c’est plaire à n’importe qui et in fine ne plus plaire du tout.

Source

Terrorisme. Valls : il y aura d’autres « attaques d’ampleur » en Europe, « c’est une certitude »

En déplacement à Munich, le premier ministre a affirmé ce matin qu'il y aura d'autres attentats "d'ampleur" en Europe, "c'est une certitude".

Manuel Valls a fait cette déclaration lors de la Conférence sur la sécurité de Munich, en estimant que le monde était entré dans une époque d'"hyperterrorisme".

"Nous devons cette vérité à nos peuples: il y a aura d'autres attaques, des attaques d'ampleur, c'est une certitude. Cet hyperterrorisme est là pour durer, même si nous devons le combattre avec la plus grande détermination", a dit Manuel Valls.

"Nous sommes entrés, nous tous le sentons bien, dans une nouvelle époque caractérisée par la présence durable de l'hyperterrorisme. Un hyperterrorisme qui se trouve à la confluence d'un pseudo-messianisme religieux et de l'usage de la terreur de masse", a ajouté le premier ministre.

Participant à une table-ronde où était présent le premier ministre russe Dmitri Medvedev, Manuel Valls a appelé la Russie a cessé ses frappes en Syrie touchant la population civile: "Je le dis sans aucune ambiguïté et en confiance, à Dmitri Medvedev: la France respecte la Russie et ses intérêts, (...) mais nous savons que pour retrouver la voie de la paix et de la discussion, les bombardements de la population civile doivent cesser".

Le premier ministre a également appelé à un sursaut européen: "Le projet européen peut reculer et peut même disparaître si nous n'y prenons garde".

Le Figaro

Zones de non-droit et guerre civile

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A part les bloc-notes d'Ivan Rioufol et de Gilles William Goldnadel publiés dans le Figaro (quotidien français de droite écrit par des journalistes de gauche), et, à part l'hebdo français Valeurs Actuelles, pratiquement aucun média français classique n'écrit la vérité sur les zones de non-droit de l'Hexagone (zones musulmanes de non-droit pudiquement appellées "quartiers sensibles"). Et pour se ré-informer, les Français se tournent, tout naturellement, vers les sites et blogues Internet francophones de droite, tels par exemple Riposte Laïque, Résistance Républicaine, Boulevard Voltaire ou Les Observateurs.
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Le problème des "quartiers sensibles" est né sous De Gaulle, n'en déplaise aux néo-gaullistes d'aujourd'hui. Ce qui est nouveau, ce ne sont pas les zones de non-droit. Ce qui est nouveau, c'est qu'avec l'afflux massif de clandestins illégaux musulmans -- surnommés "migrants" par la caste politico-médiatique -- et avec l'infiltration de ce flux massif par des terroristes de l'Etat Islamique, nous nous dirigeons, selon toute vraisemblance, vers la guerre civile en Europe et aux Etats-Unis entre autre.
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A cet égard, la persécution judiciaire dont font l'objet les sites et blogues Internet francophones de droite révèle l'impuissance de la caste politico-médiatique à gérer cette situation de crise. Au lieu de prôner l'envoi de l'armée dans les zones de non-droit, la caste politico-médiatique intente des procès à la blogosphère de droite et tente ainsi de l'asphixier financièrement. Le tandem Valls-Taubira est, en soi, une véritable caricature du pouvoir (du régime ?) en place à Paris. L'agité du bocal, je veux parler de Sarkozy bien sûr, ne vaut guère mieux. Il a semé le chaos en Libye et s'il est réélu en 2017, il sèmera le chaos partout où il pourra, car son état mental s'est aggravé.
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Daniel Pipes, dans The Daily Caller, a récemment publié une analyse (adaptation française de Johan Bourlard) sur le risque de guerre civile dû aux zones musulmanes de non-droit en Occident, zones musulmanes de non-droit pudiquement appelées "quartiers sensibles" dans la novlangue post-occidentale (extraits adaptés ; voir les liens vers sources en bas de page) : De la Méditerranée à la Baltique, les zones de non-droit partiel dans les quartiers à majorité musulmane font partie du paysage urbain. Rien que pour la France, les autorités du pays en dénombrent 751. Cette démission, présage d'une catastrophe, nécessite un revirement immédiat. Si j'appelle les mauvais quartiers des villes européennes zones de non-droit partiel, c'est parce que les gens ordinaires vêtus de tenues ordinaires en des moments ordinaires peuvent y entrer et en sortir sans aucun problème. Mais il s'agit de zones de non-droit dans ce sens où les représentants de l'autorité – au premier rang desquels la police mais aussi les pompiers, les préposés au relevé de compteurs, les ambulanciers et les travailleurs sociaux – ne peuvent y pénétrer que sous haute protection et pour une durée limitée. S'ils désobéissent à la règle de base, ils risquent d'être poursuivis, insultés, menacés voire agressés.
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Daniel Pipes : Cette situation ne devrait pas exister. Les sociétés d'accueil ont le pouvoir de dire non à l'apparition, en leur sein, de quartiers marqués par la pauvreté, le crime, la violence et la rébellion. Or, contrairement à ce qui devrait se passer, les gouvernements renoncent à leur pouvoir de contrôle dans l'espoir, fervent et un rien désespéré, d'éviter la confrontation. Les politiques multiculturelles entretiennent l'illusion en esquivant tout ce qui pourrait être interprété comme « raciste » ou « islamophobe ». Loin d'être une banale absurdité, cet abandon constitue une décision aux conséquences graves – bien plus profondes que, par exemple, le fait de ne pas tenir sous contrôle une ville américaine minée par le crime comme East St Louis. Et ce, en raison du fait que les zones musulmanes de quasi-non-droit s'inscrivent dans un contexte politique beaucoup plus large marqué par une une double dimension, occidentale et islamique.
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Daniel Pipes : Dimension occidentale. Le fait d'éviter la confrontation reflète une ambivalence profondément ancrée au sujet de la valeur accordée à sa propre civilisation voire à la haine de la race blanche par elle-même. En 2006, l'intellectuel français Pascal Bruckner faisait remarquer dans son livre La tyrannie de la pénitence que la pensée gauchiste « s'épuise dans la dénonciation mécanique de l'Occident dont elle souligne l'hypocrisie, la violence et l'abomination. » Les Européens sont considérés comme « l'homme malade de la planète » dont la cupidité et les notions fallacieuses de supériorité sont la cause de tous les problèmes dans le monde non-occidental : « L'homme blanc a semé le deuil et la ruine partout où il a posé le pied ». Si la triade fatale formée par l'impérialisme, le fascisme et le racisme représente tout ce que l'Occident peut offrir, il n'est pas étonnant que les personnes qui migrent vers l'Europe, notamment les islamistes, soient considérées comme des êtres supérieurs à qui l'on doit une déférence passive. Ces derniers exploitent cette situation en agissant mal – des dealers de drogue font la loi, un gang viole 1400 enfants pendant 16 ans et fait la promotion d'idéologies violentes – avec une quasi-impunité car, après tout, les Européens n'ont à s'en prendre qu'à eux-mêmes.
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Daniel Pipes : Dimension islamique. Les zones de non-droit partiel sont aussi le résultat d'une tendance islamique à l'exclusion et à la domination. La Mecque et Médine constituent les zones officiellement, souverainement et éternellement réservées aux seuls musulmans. Depuis près de quatorze siècles, ces deux villes arabes sont formellement interdites d'accès aux kâfirs, qui ne peuvent s'y aventurer qu'à leurs risques et périls. Il existe, depuis des siècles et aujourd'hui encore, une foule de témoignages de non-musulmans qui racontent leur périple dans les zones saintes de l'Islam.
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Daniel Pipes : Il existe d'autres zones islamiques de ce type. Avant de perdre le pouvoir en 1887, les dirigeants musulmans du Harar en Somalie ont, pendant des siècles, mis l'accent (pour reprendre les termes d'un officier britannique) sur « l'exclusion de tous les voyageurs qui ne sont pas de confession musulmane ». Dans le même esprit, des femmes portant le hijab hurlent contre des non-musulmans en visite au Mont du Temple à Jérusalem pour leur faire sentir qu'ils n'y sont pas les bienvenus et pour ainsi les en écarter. En Occident, les enclaves légales réservées aux musulmans sont emblématiques d'un désir d'autonomie et de souveraineté des musulmans. Un autre exemple de ce genre de zones nous est donné par l'organisation Muslims of America [Musulmans d'Amérique], à la tête d'environ 15 zones de non-droit où grouillent les armes et l'hostilité, dans des propriétés privées disséminées aux quatre coins des États-Unis.
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Daniel Pipes : Contrairement à des endroits comme East St. Louis, les zones de non-droit partiel à majorité musulmane ont, pour les musulmans, une dimension profondément politique et hautement ambitieuse. En effet, il n'est pas exagéré de penser qu'elles deviendront des zones musulmanes autonomes dans lesquelles la loi islamique s'appliquera au nez et à la barbe des autorités locales. La faiblesse des gouvernements occidentaux combinée à la forte volonté de puissance des musulmans laisse présager une situation future marquée par les troubles, les crises, les ruptures, voire la guerre civile.
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Daniel Pipes : Certains pensent qu'il est déjà trop tard pour empêcher cette fatalité. Je ne suis pas de cet avis. Toutefois, si on veut éviter la catastrophe, il faut que le travail de démantèlement de toutes les zones de non-droit partiel soit entrepris sans tarder et conduit avec une détermination et une célérité fondées sur une estime de soi retrouvée. Deux principes universels devraient guider les gouvernements européens : l'exercice du monopole de la violence légitime et l'application des mêmes lois à l'ensemble des citoyens. La paix intérieure en Europe et peut-être dans d'autres contrées comme l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada et les États-Unis, est à ce prix, conclut Daniel Pipes (fin des extraits adaptés ; voir liens en bas de page).
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Michel Garroté
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Texte original de Daniel Pipes :
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http://fr.danielpipes.org/16408/europe-zones-non-droit
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Adaptation française de Johan Bourlard :
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http://www.danielpipes.org/16384/the-danger-of-partial-no-go-zones-to-europe
   

France – au service d’ambitions personnelles démesurées

France-humour
Sur 'La faute à Rousseau', Hilaire de Crémiers écrit (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Les dernières élections ont révélé un mécontentement profond dans le peuple français. Il devrait s’ensuivre des réactions en chaîne . Quant au système, il se défend. Comme toujours ! Ce fut comme une répétition générale, vécue comme telle par tous les acteurs. Les dernières élections n’avaient plus de régionales que le nom. Il n’était question que de 2017 dans toutes les arrière-pensées politiciennes.
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Hilaire de Crémiers : Avec le schéma le plus simple qui soit : l’unique but, élevé au rang d’unique stratégie et donc d’unique programme – du moins sur le territoire métropolitain –, se réduisait à battre le Front national. Hystérie et absurdité ! Comme déjà en 2002, mais en pire, dans la mesure où les répercussions des violences idéologiques ébranlaient la France profonde : chaque village, chaque électeur était sommé de choisir. La grosse presse, l’ensemble des médias qui relèvent de l’État ou des financiers mondialistes et gauchards, donnèrent leur lourde artillerie sans aucun scrupule.
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Hilaire de Crémiers : Après l’enfer des attentats, l’enfer des manœuvres électoralistes où le système en place tentait de tirer profit, pour imposer sa loi diabolique, des peurs, des misères, des malaises, des deuils, dans une atmosphère étouffante de guerre civile, d’ébranlement social, de désordre généralisé que lui-même avait créés, suscités, exaspérés, au point qu’il devient légitime de se demander si, pour partie, il ne les a pas voulus. Qui ne l’a senti, vu, compris au cours de ces derniers jours ? Nos institutions qui n’en sont plus, ne fonctionnent que par et pour l’esprit de parti au service d’ambitions personnelles démesurées, prêtes à tout pour s’assouvir. Un petit pour cent de la population qui vit des prébendes de la République et en fait vivre sa clientèle, attise les haines les plus inexpiables pour s’assurer les places, les carrières, les bénéfices. Qu’ont donc fait ces gens pour la France ? Ont-ils jamais vraiment travaillé ? Leur vie se résume à des discours, conclut Hilaire de Crémiers (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté, 7 janvier 2015
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http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/01/06/lueur-a-l-horizon-5740774.html
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Le FN «peut conduire à la guerre civile», dit Valls

Avant ce déplacement, Manuel Valls a affirmé sur France inter que le Front national pouvait conduire à la "guerre civile". Interrogé à ce sujet, le Premier ministre a réitéré ses propos.

Évoquant des «ferments de guerre civile», Manuel Valls estime qu’il y a une nécessité de «protéger» les musulmans en priorité

A quatre jours du second tour des régionales, le Premier ministre est monté au créneau mercredi pour défendre la laïcité et délivrer un message aux musulmans, auxquels la République doit « protection ».

Alors que pendant la campagne pour les élections régionales, l’extrême droite a multiplié les attaques contre les musulmans, Manuel Valls s’est adressé directement à eux, mercredi, à l’occasion de la deuxième journée nationale de la laïcité à l’école.

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L’Etat, la République, protègeront les musulmans a promis en substance le Premier ministre, très engagé dans le barrage contre le Front national. [...] « Dans la remise en cause de ce qui fonde notre pacte, de ce qui fonde la laïcité, d’une certaine manière de vivre ensemble, il y a les ferments de la guerre civile« , a ajouté Manuel Valls. Le choix de ces mots entre les deux tours d’une élection marquée par la poussée du Front national, c’est bien sûr un signe aux musulmans. Un message de mobilisation, en particulier dans les banlieues où l’abstention atteint des records.

Source via Fdesouche.com

Après le raid sur Saint-Denis la confusion règne



L'assaut conjoint du groupe Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion (RAID), du GIPN, de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) et de la sous-direction antiterroriste (SDAT), cet assaut s'est achevé à Saint-Denis l’après-midi du mercredi 18 novembre 2015. Les forces de l'ordre restent sur place « pour sécuriser encore la zone ».

Il y a eu sept arrestations, dont trois personnes qui se trouvaient dans un appartement. Ces trois individus ont été extraits par le RAID, puis placés en garde à vue. Le RAID est une unité d'élite de la Police nationale française, à ne pas confondre avec le GIGN, qui dépend de la Gendarmerie nationale.

Outre le RAID, une cinquantaine de militaires ont été déployés à Saint-Denis. Le GIGN est donc l'équivalent du Raid chez les gendarmes. La distinction porte sur le théâtre d’intervention : la gendarmerie est meilleure en zone rurale, la police en zone urbaine. C'est pourquoi le GIGN était intervenu à Dammartin-en-Goële en janvier 2015, quand les frères Kouachi s'étaient retranchés dans une imprimerie, et n'est pas intervenu au Bataclan le vendredi 13 novembre 2015.

A noter également que le Raid et le GIPN dépendent de la même Force d’Intervention de la Police Nationale (FIPN). Quand le GIPN et le Raid agissent ensemble, c’est le chef du Raid qui prend le contrôle des opérations. La Brigade de Recherche et d'Intervention (BRI), le RAID et le GIPN sont les trois composantes de la FIPN. On le voit, en France, ces structures sont excessivement complexes.

Elles sont complexes car elles sont le résultat d’innombrables « réformes » introduites au cours des quarante dernières années, sans compter les rivalités entre les chefs de tous ces groupes. « Il peut y avoir aussi le risque d’armes chimiques ou bactériologiques », a déclaré, jeudi 19 novembre 2015, le Premier ministre français Manuel Valls, en demandant et obtenant, lors d’un discours à l’Assemblée nationale, la prolongation de l’état d’urgence pendant trois mois. Et les recherches sur l’identification d’un des kamikazes du Stade de France et de l’un des assaillants du Bataclan sont toujours en cours…

Michel Garroté, 19 novembre 2015

http://www.slate.fr/story/58145/toulouse-raid-gipn-gign

   

Valls : « il peut y avoir aussi le risque d’armes chimiques et bactériologiques »

 

Information déjà relevée auparavant par le site EuroCalifat.com

Le Ministère français de la Santé a ordonné hier dans une circulaire « confidentielle » aux services hospitaliers et de secours d’urgence de mettre à jour leurs stocks d’atropine et de s’en munir en toute circonstance.

L’atropine est un produit utilisé en traitement contre les gaz de combat. Il est donc clair que le gouvernement envisage la possibilite d’attaques chimiques en France.

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Attentats – Quelques réflexions personnelles



J’ai préféré attendre cinq jours -- avant de publier mes petites réflexions personnelles sans prétention aucune -- sur les récents attentats islamiques survenus à Paris. Oui, j’avais maintes fois écrit que ces attentats allaient se produire. Et non, je ne suis pas du tout content d’avoir eu raison. Je suis au contraire très triste et très en colère d’avoir eu raison. Je ne peux pas me réjouir d’avoir eu raison de prévoir, de prédire, un tel carnage. Je suis triste et je suis en colère. Je suis triste car il y a eu des morts, il y a eu des blessés, dont certains très graves, il y a les familles et les amis des victimes, il y a la peur et le désarroi. Je suis en colère, car l’on aurait pu éviter cet abominable carnage.

L’on aurait pu éviter cet abominable carnage, en révisant de fond en comble notre politique étrangère et notre politique de défense, envers les Etats musulmans. L’on aurait également pu éviter cet abominable carnage, en maîtrisant les flux migratoires, au lieu de laisser, cette année, un million de musulmans converger vers l’Europe, sans faire le tri, sans vérifier les identités, sans mettre à contribution l’ensemble des services de renseignements des Etats européens. Les experts nous avaient pourtant prévenus : 10% des migrants arrivés chez nous en 2015 sont des terroristes islamiques.

Cela fait maintenant quarante ans que les Etats européens et les institutions européennes signent des accords avec le monde musulman ; accords qui valident l’islam comme une part intégrante de l’Occident ; et accords qui valident la condamnation de toute critique de l’islam. A partir de là, il était clair qu’un jour, nous allions le payer très cher. Ce jour est arrivé. Et néanmoins, nous n’allons pas réviser de fond en comble notre politique étrangère et notre politique de défense, envers les Etats musulmans. Bien au contraire, nous disons à ces pays musulmans que rien ne va changer dans nos rapports. Et nous disons à ces pays musulmans que nous allons continuer d’accueillir les migrants mahométans qui viennent chez nous.

Pour conclure, j’ajoute que la situation en laquelle nous nous trouvons depuis quarante ans c’est très fortement aggravée ces dernières années à cause de deux individus en particulier : Obama, qui n’est qu’un néo-musulman à la solde de l’Arabie saoudite et du Qatar, deux pays qui ne combattent pas, du moins pas sérieusement, l’Etat Islamique (EI) ; et Sarkozy qui, avec sa guerre en Libye, a fait de ce pays une voie de passage privilégiée pour les migrants musulmans africains, moyen-orientaux et proche-orientaux ; et un nouveau terrain de prédilection pour l’Etat Islamique (EI). Le mois de novembre 2015 est ainsi devenu le mois où débute, cette fois de façon incontestable, une très longue guerre mondiale de résistance au djihad. Ce djihad dont le but ultime est d’instaurer un Califat universel.

Michel Garroté

   

Valls veut « expulser tous ces imams radicalisés » et « déchoir de la nationalité ceux qui bafouent ce qu’est l’âme française »

 

Le Premier ministre Manuel Valls a affirmé ce soir sur TF1 qu’il fallait « expulser tous ces imams radicalisés » et « déchoir de la nationalité ceux qui bafouent ce qu’est l’âme française ». Il faut faire « vivre nos valeurs. Nous devons anéantir les ennemis de la République, expulser tous ces imams radicalisés, comme nous le faisons, déchoir de […]

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Extrait de: Source et auteur

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L’image du jour: La mosquée inaugurée par Valls veut “la victoire contre les infidèles”

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Rappel:

Manuel Valls – inauguration Grande mosquée de Cergy (Val-d’Oise)

Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a appelé vendredi lors de l’inauguration de la Grande mosquée de Cergy (Val-d’Oise), à la fin des «divisions» et à la mise en place d’un «dialogue serein» entre responsables du culte musulman et pouvoirs publics.

Cette mosquée d’une surface de 2 000 m2, pour coût total de 3,75 millions d’euros peut accueillir jusqu’à 1 500 fidèles.

La Grande mosquée de Cergy a été financée en fonds propres par la Fédération musulmane de Cergy, regroupement de dix associations musulmanes, issues de différentes communauté qui a bénéficié du soutien de la ville de Cergy.

La ville a garanti à hauteur de 50% l’emprunt de 2,2 millions d’euros souscrit et a consenti un bail emphytéotique de 99 ans sur le terrain qui accueille de la Grande mosquée de Cergy.

Mohammed Moussaoui, le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) était présent vendredi aux côtés du ministre de l’Intérieur.

M. Valls a indiqué « Je sais les liens qui existent entre de nombreux musulmans, souvent étrangers ou récemment naturalisés, avec leur pays d’origine. Mais notre responsabilité, c’est de progressivement construire un islam de France, un islam qui trouve pleinement ses racines dans notre pays».

Le ministre a ajouté « Les divisions, les égoïsmes, les concurrences ne peuvent pas différer plus longtemps le dialogue indispensable qui doit s’ouvrir sur les sujets cultuels», a-t-il ajouté en faisant référence aux dissensions internes au CFCM.

«Je veux avec le culte musulman un dialogue serein sur les sujets qui concernent réellement le culte musulman».

Source

France socialiste: Le fric avant les Droits de l’homme

Avec l'objectif de dépasser les dix milliards d'euros de commandes lors de sa visite de deux jours en Arabie Saoudite, entamée ce lundi, le premier ministre Manuel Valls confirme que le pays des droits de l'homme favorise aujourd'hui sans honte les relations sonnantes et trébuchantes.

Suite

De Villiers : « La classe politique est achetée par le Qatar et l’Arabie saoudite »

Valls annonce une vaste campagne contre le racisme et l’antisémitisme

Le Premier ministre Manuel Valls a estimé que le combat contre l'antisémitisme était "à reprendre", mardi soir lors de ses voeux avant le nouvel an juif, Roch Hashana, à la synagogue Nazareth à Paris.

Le chef du gouvernement a indiqué qu'"une vaste campagne de communication gouvernementale" serait lancée cet automne pour sensibiliser la population à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme, quelques mois après la présentation d'un plan de mobilisation sur ces sujets. "Chaque préfet, chaque procureur de la République a été chargé d'en mettre en œuvre le volet territorial, et en particulier sa dimension répressive, pour punir les délits, avec la sévérité de nos lois", a précisé le Premier ministre.

Manuel Valls participait pour la quatrième année consécutive à la cérémonie  annuelle des vœux du gouvernement à la première minorité juive d'Europe (un demi-million de membres), en présence notamment du ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve et du président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone. "Oui, mes chers compatriotes, la République, le gouvernement sont là, à vos côtés ! Nous ne pouvons tolérer aucune parole, aucun geste, aucun acte qui viendrait contester ce droit inaltérable qu'ont tous les citoyens de croire ou de ne pas croire, les juifs, les catholiques, les musulmans, les protestants, tous les fidèles, de croire et de pratiquer librement, sereinement", a affirmé  le Premier ministre.

Mais, a-t-il indiqué, face à un antisémitisme préoccupant (+84% d'actions et menaces antisémites entre janvier et mai par rapport aux cinq premiers mois de 2014), "aujourd'hui, le combat est à reprendre. La France doit avoir plus conscience de ce que l'on ne doit jamais oublier. Car, soyons lucides, nous avons oublié", a-t-il estimé en évoquant l'histoire, de l'affaire Dreyfus à l'attaque jihadiste de l'Hyper Cacher en janvier 2015, en passant par le meurtre d'Ilan Halimi (2006) et la tuerie de Mohamed Merah à Toulouse (2012).

"Cet antisémitisme qui ne dit pas son nom"

"Il y a cette négation rampante de la Shoah, cette haine des Juifs qui a grandi dans nos quartiers populaires (...), a contaminé les esprits d'une partie de notre jeunesse", a-t-il déploré. "Et il y a aussi cet antisionisme de façade, cet antisémitisme qui ne dit pas son nom", a-t-il poursuivi en allusion à "cette polémique insensée" lors de Paris-Plage qui, "derrière une condamnation sans fondement de la ville de Tel Aviv, cachait mal, pour certains en tout cas, une détestation de l'Etat d'Israël et du peuple juif".

"Je mets en garde ceux qui soufflent sur les braises et allument des feux qu'ils sont bien incapables d'éteindre", a-t-il enchaîné, relevant sans citer de noms que "quand on est responsable politique, quand on est un élu de la République, on doit mesurer la portée de ses déclarations". Manuel Valls n'a cessé ces derniers mois d'appeler à rester les Juifs qui seraient tentés de partir, notamment par peur de l'antisémitisme et des attaques djihadistes.

La France a été le premier pays pour l'aliyah (l'émigration vers Israël) en 2014, avec plus de 6.000 départs. La tendance est de nouveau à la hausse en 2015, avec 4.772 "olims" (ceux qui font l'aliyah) entre janvier et juillet (+11% en un an). "Ceux qui veulent partir en Israël", a dit le Premier ministre, "personne ne peut les condamner". "Mais leur place est ici", a-t-il réaffirmé.

Source

Pour Manuel Valls « les premières victimes de Daesh sont d’abord les musulmans »

Manuel Valls : « Il y a entre 10.000 et 15.000 salafistes en France »

Manuel Valls est l’invité du Grand Rendez-Vous ce dimanche, en partenariat avec Europe 1 et Le Monde. Le Premier ministre revient dans cette première partie sur l’attaque en Isère


Le Premier ministre a déclaré dimanche que la France mène une « guerre de civilisation » contre Daesh, qui veut « combattre les valeurs humanistes et universelles ».[...]

Pour Manuel Valls, « les premières victimes de Daesh, ce sont les minorités comme les Chrétiens d’Orient, mais ce sont d’abord les musulmans. Ce n’est pas une guerre entre Occident et Islam, c’est une guerre au nom des valeurs qui sont les nôtres, et que nous partageons au-delà même de l’Europe. » [...]

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Manuel Valls évoque une « guerre de civilisation » (Màj : Julien Dray fustige «l’amalgame idéologique»)

L’emploi de la notion de guerre de civilisation par Manuel Valls sur Europe 1, ce dimanche, fait craindre au secrétaire national du PS qu’elle encourage une division encore accrue de la société française.

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«Il faut éviter la peur. Parce que chacun va assimiler son voisin à un djihadiste présupposé, chacun va assimiler toute une communauté à une menace. [...] les première victimes du djihadisme, ce sont d’abord les communautés musulmanes dans différents pays», plaide d’abord l’ancien élu. Dans le collimateur de l’ex-député: l’emploi par Manuel Valls d’expressions à ses yeux inexactes et excessives comme «islamo-fascisme» et «guerre de civilisation». «C’est le plus grave des dangers. “Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde”, disait Camus», cite Julien Dray.

«L’utilisation des mots n’est pas neutre, l’utilisation des images n’est pas neutre», s’insurge-t-il. Et le socialiste de revenir sur la notion de «guerre de civilisation»: «Mais que l’on m’explique quelles sont les civilisations qui sont en guerre? J’ai un doute parce que je ne crois pas que la civilisation arabo-musulmane soit un risque pour la civilisation chrétienne (…) Je fais attention de ne pas tomber dans les amalgames. Pour combattre le salafisme, j’ai besoin des musulmans, et de toute la communauté française rassemblée», souligne-t-il.

[...]

Source via Fdesouche.com

France socialiste: Un entrepreneur molesté par la police pour avoir simplement voulu parler avec Valls

A 4′ sur la vidéo la belle réflexion d’un fonctionnaire de police de la république: « Enculé, arrête! »

Les mêmes fonctionnaires qui appellent « Monsieur » un délinquant dealer des cités, ça c’est du respect quand même…

Bravo la police française
ça donne une belle image de marque ça!

France: Une menace terroriste jugée sans précédent

Selon le Premier ministre français Manuel Valls, «le problème n'est pas de savoir s'il y aura un attentat à nouveau, en France et en Europe, mais de savoir quand et où».

Alerte au niveau maximum

Depuis les attentats de janvier, l'alerte est à son niveau maximum en France où l'armée et la police ont été déployées devant 830 sites «sensibles» (médias, synagogues, ...).

Pour les services antiterroristes cependant, ce dispositif ne suffira pas à empêcher une prochaine attaque.

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Manuel Valls : « Il y aura 10 000 djihadistes européens d’ici fin 2015″

Le Premier ministre français, Manuel Valls, a mis en garde dimanche contre l’explosion du chiffre des candidats européens au djihad en Irak et en Syrie d’ici la fin de l’année.

« Il y a 3 000 Européens aujourd’hui en Syrie et en Irak. Quand on se projette dans les mois qui viennent, il pourrait y en avoir 5 000 avant l’été et sans doute 10 000 avant la fin de l’année. Est-ce que vous vous rendez compte de la menace que cela représente? », a affirmé M. Valls, interrogé par des journalistes du journal Le Monde, de la chaîne iTélé et de la radio Europe 1.

« Dans le monde, ce sont les musulmans les premières victimes ! », a-t-il cru bon d’ajouter.

Mi-février, M. Valls avait affirmé que le conflit israélo-palestinien, est un des vecteurs responsables du phénomène djihadiste.

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Islam : Valls veut “des solutions” pour financer les lieux de culte et le développement de l’islam!

ND Ch. H. A noter que la séparation de l'Etat et de l'Eglise était une pierre centrale de la gauche pour combattre le Christianisme. Ici, c'est toute l'hypocrisie de la gauche et la haine des racines de la France qui se dévoilent.

Le Premier ministre veut aussi renforcer la formation à la laïcité des responsables religieux.

Manuel Valls veut combattre "tout ce qui retarde un islam de France", même si celui-ci est déjà une "réalité". "C'est là le grand défi auquel nous devons faire face", a déclaré le Premier ministre, qui s'est exprimé mardi à la Grande mosquée de Strasbourg.

"Nous souhaitons que tout le monde, vous les premiers, voie la profondeur des problèmes qu'il faut aujourd'hui traiter", a poursuivi Manuel Valls lors d'une rencontre avec des responsables musulmans. S'"il n'y a pas de recette miracle", "les choses petit à petit se structurent. Des mosquées plus grandes, plus dignes, se sont construites", a souligné le Premier ministre, pour qui "il y a en France toutes les énergies et les ressources nécessaires au développement de l'islam".

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