Syrie: près de 80 “rebelles” pro-turcs tués dans des frappes imputées à Moscou

Dans la guerre complexe en Syrie, la Russie aide militairement le régime de Bachar al-Assad et la Turquie soutient des groupes rebelles dans la province d'Idleb (nord-ouest), ultime grand bastion jihadiste et rebelle.

Les frappes aériennes, attribuées à Moscou par un responsable rebelle et l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), ont visé un camp d'entraînement de Faylaq al-Cham, un des principaux groupes de rebelles syriens soutenus par la Turquie voisine.

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"Risque élevé"

Pour l'analyste Nicholas Heras, la Russie envoie un "message" à la Turquie, les deux pays soutenant également des camps rivaux en Libye et au Nagorny-Karabakh.

Elle montre qu'elle "peut frapper les supplétifs syriens (d'Ankara) autant qu'elle le souhaite, si la Turquie n'engage pas une désescalade des activités militaires allant à l'encontre des intérêts russes en Libye, en Syrie et dans le Nagorny-Karabakh", a-t-il dit.

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Environ la moitié de la région d'Idleb est sous contrôle des jihadistes de Hayat Tahrir al-Cham (HTS), l'ex-branche syrienne d'Al-Qaïda présente également dans des territoires adjacents, dans les provinces voisines de Lattaquié, Hama et Alep.

Lundi, HTS a déploré "un massacre" contre "nos frères de Faylaq al-Cham" et le "peuple syrien".

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Le Point

A lire également :

Le groupe rebelle syrien Faylaq al-Cham, le petit « favori » d’Erdogan

France : Aux cris d’ “Allah Akbar”, des Turcs tentent de terroriser des Arméniens

En réponse au blocage de l’A7 mercredi matin, une centaine d’extrémistes turcs ont mené une expédition punitive à la recherche d’Arméniens dans l’agglomération lyonnaise.

Le conflit s’intensifie du côté de Lyon. Dans la soirée du mercredi 28 octobre, des membres du groupuscule ultranationaliste turc, les Loups gris, ont envahi les rues de Vienne, puis de Décines. Ces extrémistes défilaient pour interpeller la communauté arménienne. Ils n’ont pas hésité à scander des menaces envers leurs rivaux : « Allah Akbar » ou encore « Vous êtes où les Arméniens ?! », « Ici, c’est la Turquie » et « Nique l’Arménie, on va vous baiser », pouvait-on entendre.

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Valeurs Actuelles

 

 


 

Selon nos confrères du Dauphiné Libéré, des membres de la communauté turque étaient également sur place et des affrontements auraient éclaté entre les deux camps, entre plusieurs dizaines de personnes. Quatre blessés à l’arme blanche (marteau et couteau) seraient à déplorer. Parmi eux, un homme de 23 ans, qui a reçu un coup de marteau, a été transporté à l’hôpital pour blessures légères. Un adolescent de 16 ans fait également partie des victimes, annonce France Bleu, il aurait reçu plusieurs coups de poing dans les côtes.

“On veut que ça s’arrête. On veut la paix”, a indiqué le manifestant. “On n’est que trois millions en Arménie et on se bat contre trois pays, la Turquie, l’Azerbaidjan et la Syrie – sans compter les Israéliens qui fournissent les drones” servant à bombarder les positions arméniennes, a dénoncé ce manifestant, alors que d’autres scandaient derrière lui “reconnaissance!”.

www.leprogres.fr

 

 

 

 

Des membres de la communauté arménienne ont manifesté dès 7h30 ce matin sur l’autoroute A7, reliant Lyon et Marseille. Plusieurs blessés sont à déplorer après des affrontements avec des Turcs. Coupée pendant plusieurs heures, la circulation a pu reprendre sur l’A7, aux alentours de 10 heures.

 

 

Ce mercredi soir, en plein couvre-feu, des dizaines de membres de la communauté turque se sont rendues à Décines.

Dans les rues du centre-ville, ils ont scandé des slogans pro-Erdogan et des menaces en direction des Arméniens. “Allah Akbar”“Vous êtes où les Arméniens ?!” ou encore “Nique l’Arménie, on va vous baiser” sont autant de phrases entendues sur les nombreuses vidéos relayées sur les réseaux sociaux.

Des membres de la communauté arménienne manifestent depuis 7h30 ce matin sur l’autoroute A7, reliant Lyon et Marseille. Plusieurs blessés sont à déplorer après des affrontements avec des Turcs.

Lyon Mag

 

 

 

 

Via Fdesouche

“Il y a aujourd’hui en France 151 imams issus de la Turquie, dont 65% se trouvent être des fonctionnaires de ce pays”

Pour l’ancienne journaliste Nahida Nakad, consultante en relations internationales au sein du think tank Public Diplomacy et spécialiste du Moyen-Orient, le président turc est engagé dans une politique délibérée d’entrisme et de déstabilisation dans plusieurs pays du monde, dont la France. La Turquie, note-t-elle, est « le premier pays en matière de financement de l’islam ». Si le président turc « soutient l’islam politique en Libye et des mouvements islamistes en Syrie », il est surtout « un leader expansionniste qui utilise la religion pour intervenir dans différentes régions du monde et chercher à les contrôler ».

Quelle est l’influence de la Turquie en France ?

NAHIDA NAKAD. C’est le premier pays en matière de financement de l’islam. Car son président, Recep Tayyip Erdogan, a mis au cœur de sa politique étrangère un islam conquérant. Il y a aujourd’hui en France 151 imams issus de la Turquie, dont 65% se trouvent être des fonctionnaires de ce pays. Ils suivent donc à la lettre l’idéologie décrétée par les autorités. A titre de comparaison, il y a 120 imams venus d’Algérie et 30 du Maroc. Des pays dont les ressortissants sont pourtant bien plus nombreux sur notre territoire.

(…) La France dispose de la plus grande communauté musulmane en Europe. C’est pour cela qu’Erdogan accorde autant d’importance à notre pays. Souvenez-vous de sa visite officielle à Paris en janvier 2018. Il en avait profité, en marge d’une rencontre à l’Elysée, pour mobiliser la communauté turque avant l’élection présidentielle.

(…)

Le Parisien

Via Fdesouche

Un responsable de la présidence turque aux Européens : “Les musulmans ne partiront pas parce que vous ne voulez pas de nous. On ne vas pas tendre l’autre joue quand vous nous insultez.”

Un responsable de la présidence turque a affirmé dimanche que les "caricatures offensantes" du prophète Mahomet étaient utilisées pour intimider les musulmans en Europe sous le prétexte de la liberté d'expression, alors que la tension monte entre Ankara et Paris.

 

 

 

"Voici ce que ces Européens doivent comprendre : Les musulmans ne partiront pas parce que vous ne voulez pas de nous. On ne vas pas tendre l'autre joue quand vous nous insultez. Nous nous défendrons et nous défendrons les nôtres à tout prix."

 

 

Fahrettin Altun, directeur de communications à la présidence, a accusé l'Europe de diaboliser les musulmans, comme les juifs l'avaient été dans les années 1920. "La politique insidieuse des caricatures offensantes, des accusations de séparatisme contre les musulmans et des perquisitions de mosquées ne sont pas liées à la liberté d'expression", a affirmé M. Altun en anglais sur Twitter. "Il s'agit d'intimider les musulmans et de leur rappeler qu'ils sont les bienvenus pour continuer à faire fonctionner l'économie de l'Europe, mais qu'ils n'en feront jamais partie - sur fond de de discours sur l'intégration", a-t-il ajouté. Il a soutenu que cette attitude à l'égard des musulmans était "étrangement familière" et ressemblait à "la diabolisation des juifs européens dans les années 1920".

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Lorientlejour.com

Erdogan : «Emmanuel Macron a besoin d’un traitement mental»

Le président turc a critiqué samedi avec virulence l’attitude de son homologue français envers les musulmans, allant jusqu’à mettre en question sa «santé mentale».

«Tout ce qu’on peut dire d’un chef d’Etat qui traite des millions de membres de communautés religieuses différentes de cette manière, c’est: allez d’abord faire des examens de santé mentale», a déclaré M. Erdogan, dans un discours télévisé.

 

 

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20min.ch

Turquie : Erdogan condamne une perquisition “islamophobe” et “raciste” dans une mosquée allemande après des soupçons de fraude aux subventions Covid-19

“Je condamne vigoureusement l’opération de police qui fait fi complètement de la liberté de religion et qui relève de l’islamophobie et du racisme qui renvoient l’Europe aux ténèbres du Moyen Age”, a déclaré le chef de l’Etat turc sur Twitter. La police allemande avait perquisitionné mercredi plusieurs entreprises et la mosquée Mevlana, situées à Kreuzberg, quartier de Berlin majoritairement peuplé des habitants issus de l’immigration turque.

L’opération était due aux soupçons de fraude aux subventions publiques accordées aux entreprises pour les soutenir pendant la pandémie du Covid-19. […]

L’Orient-Le Jour

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« Je condamne fermement l’opération de la police qui se nourrit du racisme et de l’islamophobie et ignore entièrement la liberté de croyance » a déclaré Erdogan dans un message publié sur Twitter.

Selon le président turc, aucun motif ne peut constituer de base à la profanation d’un lieu sacré.

Erdogan a déploré que l’Europe, berceau de la démocratie, des droits de l’Homme et des libertés durant des années, soit devenue une structure qui combat les diversités.

La police avait mené une perquisition à la mosquée de Mevlana ainsi qu’à 4 commerces accusés d’avoir bénéficié à tort de l’aide financière consacrée aux petits commerces affectés par le coronavirus.

Lors de la perquisition réalisée mercredi matin avec la participation de 150 policiers, plusieurs d’entre eux ont marché sur les tapis de la mosquée avec leurs bottes.

TRT (Radio-Télévision d’État de la Turquie)

Via Fdesouche

 

Turquie : il étrangle son amie, brûle son corps et dit que c’était de la viande avariée

Metin Avci Cemal, 32 ans, est accusé d’avoir tué sa maîtresse de 27 ans, Pinar Gültekin, et la frappant et en l’étranglant.

A son frère qui s’inquiétait de l’odeur, il a dit que c’était de la viande avariée car le congélateur du bar dont il était propriétaire avait eu une panne.

Pinar avait disparu le 16 juillet. Cemal a avoué le meurtre et il a été arrêté le 21 juillet.

Cemal est marié et père d’une fillette. Sa femme a demandé le divorce, ne voulant plus rien avoir à faire avec « ce criminel ».

Pinar Gültekin militait contre les violences faites aux femmes, dans un pays où, durant le seul mois de septembre 2020, 27 femmes ont été tuées par des hommes et 23 autres sont mortes « dans des circonstances suspectes ».

Source : The Sun
Résumé Cenator

Plus d’informations ici (en anglais), sur ce meurtre prémédité et sur la situation des femmes en Turquie : The Sun

Le conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan est “une question de vie ou de mort” pour les habitants du Haut-Karabakh

Laurent Leylekian, spécialiste de l'Asie mineure et du Caucase du Sud, décrypte les enjeux géopolitiques de cette guerre, qui dure depuis plusieurs décennies.

Un appel unanime. Les présidents russe, Vladimir Poutine, français, Emmanuel Macron, et américain, Donald Trump, ont appelé, jeudi 1er octobre, dans un communiqué commun, à "la cessation immédiate des hostilités" dans le Haut-Karabakh, ce territoire azerbaïdjanais séparatiste soutenu par l'Arménie. Depuis cinq jours, les combats entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie sont sanglants. La reprise des affrontements, les plus graves depuis 2016, font craindre une guerre ouverte entre Bakou et Erevan, à même de déstabiliser une zone déjà fragile où les intérêts de nombreuses puissances sont en concurrence.

La Russie, la France et les Etats-Unis, qui coprésident le Groupe de Minsk créé en 1992 pour rechercher un accord entre les deux pays, ne sont pas parvenus à trouver un règlement durable du conflit dans ce territoire en majorité peuplé d'Arméniens et ayant fait sécession de l'Azerbaïdjan. Une guerre au tournant des années 1990 y avait fait 30 000 morts.

Laurent Leylekian, spécialiste de l'Asie mineure et du Caucase du Sud, fait le point pour franceinfo sur les enjeux géopolitiques de ce conflit et sur le rôle éventuel des acteurs internationaux dans la résolution de la crise.

 

 

 

 

Franceinfo : Quels sont les enjeux pour l'Azerbaïdjan et l'Arménie dans ce conflit ?

Laurent Leylekian : Pour l'Azerbaïdjan, c'est essentiellement une question de fierté. Tandis que pour les Arméniens qui vivent dans la région du Haut-Karabakh, c'est une question de vie ou de mort. On présente ce conflit entre deux Etats comme s'il avait lieu sur une terre qui serait vide de population. Or, des gens vivent au Haut-Karabakh. Il y a 150 000 habitants au total, et tous sont Arméniens. Ils se sont constitués en Etat indépendant après la guerre qui a eu lieu entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan, il y a trente ans (1988-1994).

Le choix pour ce territoire, c'était d'être indépendant ou d'être mort. Pour comprendre, il faut regarder l'exemple d'une autre enclave : le Nakhitchevan. L'Arménie et l'Azerbaïdjan s'en sont disputé le contrôle et ce territoire dépend aujourd'hui de l'Azerbaïdjan. Au début du XXe siècle, il y avait pas loin de 100% d'Arméniens sur cette terre. Comme au Karabakh. Et en raison d'un processus violent d'homogénéisation ethnique, il n'y a tout simplement plus d'Arméniens sur ce territoire. Ils ont été expulsés ou massacrés. Et c'est précisément cela que craignent les habitants du Haut-Karabakh. Les Arméniens ont gagné la guerre il y a trente ans et aujourd'hui, ils ne veulent absolument pas revenir dans le giron azerbaïdjanais. Ils ont construit un Etat plus démocratique que l'Azerbaïdjan, qui est, rappelons-le, une dictature. Et ils craignent pour leur vie. Car il s'est développé en Azerbaïdjan une rhétorique raciale anti-arménienne très claire.

 

Pourquoi la Turquie se mêle-t-elle du conflit ?

La Turquie soutient de manière claire et avérée l'Azerbaïdjan. Car il y a une vraie fraternité entre les Turcs et les Azéris. Ce sont des peuples cousins. Ils parlent la même langue et ont même un slogan pour montrer leur union : "Une nation, deux Etats".

Mais pour l'instant, la Turquie se mêle du conflit de manière préventive, pour des raisons qui relèvent de sa politique intérieure. Car en 2023, il y aura des élections générales et Recep Tayyip Erdogan n'est pas du tout sûr de gagner, pour la première fois depuis vingt ans. C'est pour cela qu'il mène des guerres ou des bras de fer un peu partout (on l'a vu en Grèce, en Libye, en Syrie).

 

 

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Erdogan a donc poussé le dirigeant de l'Azerbaïdjan, Ilham Aliyev, à faire la guerre. Ilham Aliyev voulait la gagner rapidement. Ce qui était possible, en théorie, puisque le budget militaire total de l'Azerbaïdjan représente à lui seul celui de l'Arménie et celui du Haut-Karabakh. L'Arménie et l'Azerbaïdjan ne jouent pas dans la même cour de ce point de vue. Mais le Karabakh est un terrain montagneux, difficile d'accès. Donc le conflit s'embourbe.

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Francetvinfo.fr

Selon Macron, des djihadistes ont été envoyés par le biais de la Turquie pour attaquer les Arméniens

Les deux camps intensifiaient leurs combats au Nagorny Karabakh, où des combattants «djihadistes» auraient été déployés selon Emmanuel Macron.

Le chef d’Etat français a assuré, en arrivant à un sommet européen à Bruxelles, disposer d’informations «de manière certaine» sur le déploiement de «combattants syriens de groupes djihadistes» ayant transité par la Turquie, plus fidèle alliée de l’Azerbaïdjan, pour rejoindre ce territoire séparatiste soutenu par Erevan.

La Russie avait fait état d’informations similaires la veille, laissant craindre une nouvelle escalade du conflit.

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20min.ch


Rappels :

Erdogan lance de nouvelles menaces contre la Grèce

Témoignages exclusifs : les mercenaires syriens d’Erdogan se déploient au Haut Karabakh contre l’Arménie

Tensions Turquie/Grèce : l’Allemagne serait très discrète à cause de sa très forte communauté turque

Erdogan avertit Emmanuel Macron de ne pas « chercher querelle à la Turquie »

La Turquie condamne la republication des caricatures de Mahomet dans Charlie Hebdo

Après Sainte-Sophie, Erdogan transforme en mosquée le monastère du Saint-Sauveur-in-Chora

Erdogan s’offre une prière à Sainte-Sophie reconvertie en mosquée. Comble de la provocation, il invite le Pape à la prière musulmane.

 

Arménie : Cet été, Erdogan avait déclaré “‘Nous finirons ce qui a été commencé en 1915’ (le génocide)”

“Cet été, Erdogan a lui-même dit ‘Nous finirons ce qui a été commencé en 1915’ (le génocide). Ne le laissons pas faire et réagissons avec notre plus puissante arme qui est la prière.”

Union des Eglises Evangéliques Arméniennes de France et Espoir pour l’Arménie lance un appel à la prière en faveur de l’Arménie. Via le site Action Chrétienne en Orient, ils encouragent à prier pour “la cessation des combats entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie”.

Le texte transmis commence par rappeler le contexte et l’instauration de la loi martiale, qui oblige tous les hommes de moins de 55 ans à partir au front.

“Dimanche matin 27 septembre, l’Arménie a été la cible d’attaques de son voisin azéri. D’abord, à la frontière du Karabagh, puis, depuis lundi, dans la ville de Vardenis, sur le territoire même de l’Arménie. La loi martiale a été décrétée et les hommes de moins de 55 ans sont appelés sur le front. Depuis, le peuple entier, qui luttait déjà avec le Covid, vit dans la sidération d’une guerre.”

Puis, rapidement, l’émotion se mêle à l’urgence.

“Les mots me manquent pour vous dire ce qu’il se passe là-bas. Au moment où j’essaie d’écrire ce message, je reçois des demandes de prière d’amis sur place pour des étudiants des GBU (Groupes Bibliques Universitaires), pour des frères, pour des amis qui sont partis sur le front, et dont on n’a pas de nouvelles. Comme vous pouvez l’imaginez, ce sont des jeunes qui n’ont jamais combattu et qui se trouvent face à des mercenaires syriens. Ce pourrait être l’un de nous aujourd’hui. Les mots me manquent.”

Une “mobilisation intense dans la prière dans le monde entier” est demandée. L’auteur de la lettre rappelle les mots de Recep Tayyip Erdogan :

“Cet été, Erdogan a lui-même dit ‘Nous finirons ce qui a été commencé en 1915’ (le génocide). Ne le laissons pas faire et réagissons avec notre plus puissante arme qui est la prière.”

Infochretienne.com


Rappel :

La Turquie a toujours refusé de reconnaître le génocide arménien, en prenant clairement les chrétiens pour des imbéciles.

Suisse. Rixe sur la place fédérale : la Verte Sibel Arslan s’énerve contre l’UDC Andreas Glarner

Alors que des slogans de la grève du climat étaient scandés sur la Place Fédérale, mardi 22 septembre, les conseillers nationaux Sibel Arslan (Les Verts) et Andreas Glarner (UDC) ont eu un échange verbal musclé devant les médias. «Ce n'est pas parce que les choses ne vont pas dans votre sens qu’il faut râler. Écoutez simplement ce qu'ils ont à dire», a dit la Bâloise au Glaronnais à propos des militants qu’elle soutient. Ce dernier a répondu: «C'est la loi et l'ordre, Madame Arschlan». Si le ton et la réponse n’ont rien d’impoli, c’est plutôt le «jeu de mots» du nom de son interlocutrice qui ne passe pas. En effet, littéralement, le mot «arsch» désigne vulgairement «cul» en allemand.

 

 

 

Retirez ça! C’est inacceptable!»

Sibel Arslan, conseillère nationale.

Insulte déguisée ou regrettable lapsus? Impossible de dénouer le vrai du faux dans cet échange qui a vu Andreas Glarner ajouter: «Cela (ndlr: la loi et l’ordre) n'existe peut-être pas dans votre État (ndlr: en référence aux origines turques de la Bâloise), mais ici, ça existe.» Un complément qui a fait bondir la conseillère Verte: «Retirez ça! C’est inacceptable!»

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Sur les réseaux sociaux, Sibel Arslan a reçu des messages de soutien jusqu’au sein même de l'UDC. Le jeune Zurichois Michael Frauchiger, membre de la direction de la section UDC de Dielsdorf, a critiqué Andreas Glarner avec des mots clairs.

«Tu es le dernier, écrit-il. Sibel Arslan est une Suissesse! Un exemple d'intégration réussie et toi, Andy, tu ne sais rien faire de mieux que de l'aborder d'une manière profondément raciste.»

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20min.ch


Note : Cette femme est évidemment musulmane (Alevi) et a milité contre l'initiative sur l’interdiction de la burqa. C'est sans doute ce que "l'UDC" Michael Frauchiger qualifie de femme intégrée.

 

Rappels :

Sibel Arslan (Verts/BS) demande la libération immédiate du capitaine du Sea Watch3

Sibel Arslan milite pour que la Suisse continue à financer l’UNRWA, l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens.

Aline Trede (BE) et Sibel Arslan (BS), toutes deux des Verts, s’attaquent aux pendulaires automobilistes: « La déduction pour les pendulaires ne doit à l’avenir être accordée qu’aux personnes qui se servent d’un véhicule à émission CO2 ».

Sibel Arslan  a travaillé comme traductrice pour des femmes réfugiées. Elle connait parfaitement ses priorités et ce n'est en aucun cas la Suisse.

Des juges étrangers protègent des criminels dangereux contre l’expulsion : Un Kosovar continue de vivre en Suisse – et il y restera. La responsabilité en incombe à la Cour de Strasbourg qui a cassé un jugement suisse, ce que des politiciens de gauche comme la conseillère nationale des Verts, Sibel Arslan, ont salué bruyamment.

 

 

Sociétés de mercenaires et “ONG d’Allah” : les milices privées turques au service de l’impérialisme d’Erdogan

Par Alexandre del Valle

Dans quelques jours, se tiendra, à Bruxelles, le prochain Conseil européen (extraordinaire, 24-25 septembre), convoqué par son président Charles Michel dans un contexte de crise sanitaire et de menaces turques croissantes et Méditerranée. Face à la l'indifférence de plusieurs pays européens qui rechignent à se montrer solidaires de la Grèce et de Chypre, menacés par la Turquie dans leurs zones économiques exclusives regorgeant de gaz, Alexandre del Valle revient sur les liens ambigus que le régime d'Erdogan entretient avec le jihadisme international via d'étranges sociétés de mercenaires privées.

Les autorités turques, le Qatar et nombre de pays occidentaux dénoncent régulièrement le violation de l'embargo sur les armes en Libye, notamment l'envoi par la Russie, via la société de sécurité WAGNER, de mercenaires russes et syriens dans ce pays en appui à l'Armée Nationale Libyenne du maréchal Khalifa Haftar. Alliée des Émirats, de la Russie et de l'Egypte, l'armée de Haftar, liée aux autorités de Benghazi et au Parlement de Tobrouk (légitime, contrairement à celui périmé de Tripoli), a elle-même recruté de mercenaires au Soudan et au Tchad. Les médias occidentaux déplorent et rappellent en permanence la présence de mercenaires syriens ou vétérans de l’armée russe recrutés en acheminés en Libye par le groupe Wagner, et financés en grande partie par les Émirats, estimés par l'ONU à un millier. Ces combattants russes et syriens pro-Assad, engagés contre les islamistes de Tripoli, les Frères musulmans et les jihadistes internationaux, ont été notamment chargés d’opérer les batteries antiaériennes Pantsir, armement russe payé et livré par les Émirats. Sur la base d’Al-Joufra, à 650 kilomètres au sud-est de Tripoli, la Russie a également déployé des chasseurs Mig 29 et Su24 pour dissuader les forces loyales à Tripoli de progresser vers l'est. Tout cela est attesté et connu. En revanche, l'activisme militaire illégal et bien plus massif de la Turquie en Syrie, en Irak et depuis 2019 en Libye, via des milices islamistes fidèles à Erdogan, encadrées notamment par la société de mercenaires (SMP) turque SADAT International Defence consultancy, sous la supervision de l'armée, des services spéciaux et de la présidence turque elle-même, l'est beaucoup moins, voire pas du tout. Cette omertà des médias et politiques occidentaux est pour le moins étonnante, même si elle s'explique en partie par le refus américain et atlantiste de reconnaître officiellement quoi que ce soit qui pourrait aller dans le sens des 'diables' Poutine et Assad, car dans le cas turc, les mercenaires islamistes enrôlés par SADAT et l'armée turque ne sont pas seulement des combattants non-conventionnels, mais des combattants islamistes et jihadistes internationaux et liés au terrorisme international, donc qui menacent, à quelques kilomètres de l'Italie (Lampedusa) et de Malte, la sécurité même des pays de l'Union européenne ainsi que celle des pays d'Afrique sahélo-saharienne gravement déstabilisés par le terrorisme jihadiste depuis la fin des années 2000.

Le "national-islamisme turc" et ses dispositifs paramilitaires

Comme le rappelle l'analyste Alain Rodier, ancien de la DGSE et membre du Centre Français de Recherches sur le Renseignement (CF2R), Adnan Tanriverdi a déclaré dans les colonnes du quotidien turc Khabar Tork que la SMP SADAT a organisé des missions en Syrie dès 2013 puis ensuite en Libye, dans le cadre d'une coopération islamiste-jihadiste syro-libyenne.

Le 17 décembre dernier 2019, Adnan Tanriverdi déclarait ainsi dans un quotidien turc que son pays avait « besoin de sociétés sécuritaires privées pour employer des mercenaires » et que « Si la Turquie envoie des mercenaires en Libye, ça sera plus efficace que les sociétés Wagner ou Blackwater ». Dans ses écrits officiels, SADAT appelle sans complexe aucun à la création d'une « armée internationale de l’Islam » composée de « volontaires » du jihad contre les « ennemis de l'islam » qui pourrait devenir à terme supérieure à celle de « l'entité sioniste », Tsahal, et qui viendrait « au secours » des musulmans et des minorités « turco-ottomanes opprimées » du monde entier. Le général Tanriverdi, d'accord en cela avec la pensée profonde de son mentor Erdogan, rêve d'ailleurs non seulement de voir l’État d’Israël définitivement détruit mais ne se cache pas de son ambition de créer un peu partout des "comptoirs" et "protectorats" néo-ottomans partout dans les pays arabes et en Europe orientale ou au Caucase et jusqu'aux frontières de l'Inde où des populations furent soumises au joug ottoman. Comme le parti AKP du président Erdogan et maintes ONG d'Allah ou organisations islamistes turques, la SMP de Tanriverdi est bien évidemment très active à Gaza et en Palestine, notamment en soutien au mouvement terroriste-jihadiste HAMAS, qui bénéficie de nombreuses facilités en Turquie même, où ses cadres ont trouvé refuge depuis qu'ils ont été renvoyés de Syrie lors du printemps arabe, vite devenu un « hiver islamiste ». SADAT soutient également en Irak et en Syrie des groupes jihadistes internationaux utilisés pour combattre les Kurdes, ennemis internes et externes existentiels des nationalistes et islamistes-fréristes au pouvoir à Ankara.

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Valeursactuelles.com

Tensions Turquie/Grèce : l’Allemagne serait très discrète à cause de sa très forte communauté turque

L'Allemagne est très discrète à cause de sa très forte communauté turque."

Après la violation de la souveraineté grecque, Merkel ne s'oppose pas à l'islamiste Erdogan à cause de la communauté turque en Allemagne !

 

 

 

 

Via Fdesouche

Soutenu par Merkel et l’UE, Erdogan insulte la France et menace la Grèce

Pour bien comprendre le conflit territorial maritime actuel, qui oppose la Turquie à la Grèce, écoutez cette remarquable vidéo.

https://www.youtube.com/watch?v=MKo9vpEN74c

En Méditerranée orientale, il est clair que le va-t-en-guerre Erdogan n’a pas de meilleure alliée qu’Angela Merkel, qui se couche systématiquement devant le belliqueux sultan islamiste d’Ankara.

L’orgueilleuse chancelière, qui fait la pluie et le beau temps au sein de l’UE,  n’apprécie guère les gesticulations militaires de la Grèce et de la France, en réponse aux provocations turques.

C’est donc en toute impunité qu’Erdogan peut déployer ses navires de guerre et narguer la Grèce, Chypre et une Union européenne totalement divisée.

Seule la France a manifesté un réel soutien à Athènes, avec une présence militaire maritime et aérienne au large de la Grèce, un soutien majoritairement désapprouvé par l’UE, qui s’obstine à vouloir dialoguer avec un énergumène arrogant, qui ne respecte que la force.

À ce jour, l’UE rejette toute idée de sanctions, malgré les ambitions démesurées d’Erdogan, qui se prend pour Soliman le Magnifique.

Ce soutien français exaspère le sultan, habitué aux capitulations de l’UE et de l’Otan, dès lors qu’il exerce son chantage à l’immigration ou qu’il intervient militairement en Syrie ou en Libye.

Traitant Macron de “petit caïd”, Erdogan se fait menaçant, invitant Macron “à ne pas chercher querelle à la Turquie”.

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-president-turc-erdogan-avertit-emmanuel-macron-de-ne-pas-chercher-querelle-a-la-turquie-20200912

Mais les conflits territoriaux entre Turquie et Grèce ne datent pas d’hier.

Rappelons que les Turcs occupent illégalement la partie nord de Chypre depuis 1974, sans que l’UE ni l’Otan n’aient mis un terme à cette colonisation d’un pays indépendant depuis 1960.

Il est vrai que les résolutions de l’Onu, face à un pays déterminé, ne sont que torchon sans intérêt.

Quant à l’Otan, sous commandement américain, elle ne bougera pas, car les États-Unis possèdent une base en Turquie, où sont entreposées des armes nucléaires.

Mais le conflit d’aujourd’hui est né de l’accord signé en 2019 entre la Turquie et la Libye, donnant aux Turcs un libre accès à des zones économiques maritimes revendiquées par la Grèce et par Chypre.

En effet, de riches gisements gaziers, équivalents à ceux de la Norvège, ont été découverts dans une zone maritime convoitée par la Turquie, qui conteste les frontières maritimes définies par le droit international.

Évidemment, outre l’enjeu économique considérable, Erdogan, qui fait face à une grave crise économique et monétaire, tente de faire diversion en faisant vibrer la fibre nationaliste du peuple turc, toujours à fleur de peau. Rien de bien nouveau chez les despotes contestés de l’intérieur.

Un navire sismique turc, protégé par des navires de guerre, opère dans la zone revendiquée par la Grèce, en attendant  l’arrivée prochaine d’un navire de forage turc.

La marine grecque reste en état d’alerte maximale. Des incidents entre navires turcs, grecs et  français ont fait monter la tension.

Pendant que l’UE temporise, en prêchant  le dialogue et la coopération, les esprits s’échauffent à Athènes.

Le parti  conservateur Solution grecque enjoint le gouvernement de “se préparer à la guerre sans tarder”.

Ce que fait le gouvernement grec, qui vient d’annoncer  d’importantes commandes d’armements, dont 18 Rafale, et qui va recruter 15 000 soldats supplémentaires.

Les tensions diplomatiques, c’est toujours bon pour le juteux marché de l’armement, qui bat record sur record chaque année dans le monde.

La Grèce devient ainsi le 4e client du Rafale, après l’Égypte, l’Inde et le Qatar.

Il est évident que ni la Grèce, ni la Turquie n’ont intérêt à envenimer la situation. Mais un grave dérapage est toujours possible.

Erdogan entretient les tensions. Un exercice naval a lieu ce WE au large de Chypre.

Mais quelle que soit l’évolution de la situation, l’UE se doit d’afficher un soutien sans faille à Athènes, avec sanctions économiques et réponses militaires  dissuasives contre Ankara si besoin.

Seule la détermination affirmée des 27 fera reculer le belliqueux sultan.

Jacques Guillemain

La Turquie condamne la republication des caricatures de Mahomet dans Charlie Hebdo

La Turquie a condamné la republication des caricatures de Mahomet par le journal satirique français et critiqué Emmanuel Macron pour avoir défendu le droit au blasphème, dans un contexte de vives tensions entre Ankara et Paris.

«Nous condamnons vivement la décision de Charlie Hebdo de republier les caricatures irrespectueuses envers notre religion et notre prophète», a affirmé le porte-parole du ministère turc des Affaires étrangères dans un communiqué le 2 septembre.

Ankara a aussi critiqué le président Emmanuel Macron pour avoir défendu «la liberté de blasphémer», estimant qu'il était «inadmissible» de justifier la publication des caricatures controversées au nom de la liberté d'expression.

La réédition en une de Charlie Hebdo des caricatures du prophète Mahomet à l'occasion de l'ouverture du procès des attentats djihadistes de janvier 2015 en France risquerait, selon Ankara, «d'encourager la haine contre l'Islam et les étrangers [et] de faire le jeu des racistes».

Charlie Hebdo était devenu la cible de djihadistes après avoir publié en 2006 12 caricatures de Mahomet, provoquant un tollé et des manifestations parfois violentes dans plusieurs pays musulmans. Les représentations du prophète sont considérées comme un blasphème dans l'islam traditionnel.

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Francais.rt.com


Rappels :

Turquie. Basilique Sainte-Sophie : Le premier prêche musulman a été fait épée à la main et traitait de la conquête islamique

Erdogan lance de nouvelles menaces contre la Grèce

Après Sainte-Sophie, Erdogan transforme en mosquée le monastère du Saint-Sauveur-in-Chora

Erdogan s’offre une prière à Sainte-Sophie reconvertie en mosquée. Comble de la provocation, il invite le Pape à la prière musulmane.

Erdogan bloque la livraison de 200.000 masques de protection à destination de l’Italie

Erdogan menace de faire déferler 3,7 millions de migrants sur l’Europe

Erdogan lance de nouvelles menaces contre la Grèce

En faisant allusion à des zones maritimes disputées en Méditerranée orientale, le président turc a déclaré ce samedi que la Turquie est «assez forte» pour «déchirer les cartes et les documents immoraux».

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«Ils vont comprendre, soit par le langage de la politique et de la diplomatie, soit sur le terrain via d’amères expériences», a prévenu le dirigeant turc lors d’une allocution télévisée. «La Turquie et le peuple turc sont préparés à toute éventualité et à toute conséquence».

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TdG

En Turquie, l’avocate Ebru Timtik est morte après 238 jours de grève de la faim

Elle réclamait un procès équitable après avoir été emprisonnée simplement du fait de sa fonction.

TURQUIE - Elle était poursuivie pour ce qu’elle était. Jeudi 27 août, une avocate turque, Ebru Timtik, 42 ans, est décédée en prison dans son pays. Elle avait entamé une grève de la faim 238 jours plus tôt, pour réclamer un procès équitable.

C’est son cabinet qui l’a annoncé sur les réseaux sociaux, quelques heures après avoir indiqué que les médecins tentaient de la ranimer à l’aide d’un massage cardiaque.

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30 kilos à sa mort

Ebru Timtik a notamment défendu la famille de Berkin Elvan, un adolescent mort en 2014 des suites de blessures reçues lors des manifestations antigouvernementales de Gezi en 2013.

Le mois dernier, un tribunal d’Istanbul avait refusé de libérer Ebru Timtik, en dépit d’un rapport médical indiquant que son état de santé ne lui permettait plus de rester en prison. Une demande similaire avait aussi été déposée en août auprès de la Cour constitutionnelle, sans succès.

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Huffingtonpost.fr

Nos remerciements à Victoria Valentini

Après avoir déployé 2 navires de guerre en renfort des forces grecques, la France est fustigée par la Turquie

Depuis Genève où il est de passage, le ministre turc des Affaires étrangères fustige les manœuvres de la France, qui a déployé deux navires de guerre en renfort des forces grecques. La tension croît chaque jour

"La France, en particulier, devrait cesser de prendre des mesures qui accentuent les tensions. Ils n'obtiendront rien en se comportant comme des caïds", a déclaré vendredi le chef de la diplomatie turque Mevlüt Cavusoglu lors d'une conférence de presse avec son homologue suisse à Genève.

Jeudi, Paris a annoncé le déploiement de deux avions Rafale et de deux navires de guerre en Méditerranée orientale en signe de soutien à la Grèce, qui accuse la Turquie de mener des recherches énergétiques illégales dans ses eaux.

Mevlüt Cavusoglu a affirmé que la Turquie "ne souhaitait pas l'escalade", tout en rejetant la responsabilité des crispations sur Athènes qu'il a appelé à "agir avec bon sens".

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Le TempsLexpress.fr

Lyon : un milicien des « Loups Gris » demande au gouvernement turc de l’argent et des armes afin de « faire ce qu’il y a à faire, où que ce soit en France »

France 2020 (depuis Décines-Charpieu, dans le Rhône)

Des miliciens des "Loups Gris" (identifiables à leur signe de ralliement) réclament de l'argent et des armes au gouvernement turc afin de... "𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐜𝐞 𝐪𝐮’𝐢𝐥 𝐲 𝐚 𝐚̀ 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞, 𝐨𝐮̀ 𝐪𝐮𝐞 𝐜𝐞 𝐬𝐨𝐢𝐭 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞"

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=WisuOkTv2m4

 

Source Ring

Note : Les Loups gris (Bozkurtlar en turc), officiellement connus sous le noms de « Foyers idéalistes » (Ülkü Ocakları en turc), est une organisation armée ultranationaliste turque. Le mouvement est décrit comme néo-fasciste, anti-communiste, anti-grec, anti-kurdes, anti-arméniens, homophobe, antisémite et anti-chrétien.

Via Fdesouche


Rappels :

Suisse. 500 nationalistes radicaux turcs pourront se réunir sans restriction [MàJ vidéos de manifestations de Loups Gris]

Les autorités allemandes viennent de classer le mouvement ultranationaliste turc des « Loups gris » comme plus grande organisation d’extrême droite en Allemagne

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Autriche : Conflits violents entre Kurdes et Turcs à Vienne