La RTS ne changera jamais

Les Suisses feraient bien d’y faire attention, nombre de politiciens sont en train d’utiliser la guerre en Ukraine pour se redorer le blason. Surtout, ne pas tomber dans ce piège. Des politiciens comme Ignazio Cassis ou Cédric Wermuth, que l’on voit partout sur nos écrans, n’ont aucune légitimité à se présenter aujourd’hui en défenseurs de la démocratie. Leur ardeur à soudain défendre la souveraineté nationale de l’Ukraine ne doit tromper personnes. Ces politiciens sont des traîtres.

Si non, comment faudrait-il alors appeler ces politiques qui au moment de l’élection jurent bien haut de respecter notre Constitution et qui après confisquent sournoisement le vote sur l’immigration de masse ? Celui qui vole le vote de son concitoyen n’a aucune légitimité à faire des discours sur la démocratie et la souveraineté dans le monde. Ça, ce n’est pas possible. Et cela concerne dans notre pays l’ensemble de la classe politique et des journalistes mis à part l’UDC.

Notre paysage politico-médiatique est devenu un grand bal de Tartuffes qui n’a plus aucune crédibilité éthique. Il suffit de voir ces jours les journalistes de la RTS et de la presse mainstream qui se précipitent pour profiter de la guerre et se présenter en sauveurs de la démocratie. Comme on les admire. C’est à qui dénoncera le plus haut la censure des médias en Russie. Mais comme pour les politiques ils n’ont strictement plus aucune légitimité pour ça.

Pour pouvoir se présenter en parangons de la démocratie il faudrait qu’ils en aient les vertus. Or c’est l’exact inverse qui est vrai, ils n’ont plus aucune éthique et sont définitivement corrompus. Si non, il faudrait qu’ils nous expliquent comment ils font pour passer sous silence que l’article constitutionnel sur la migration UE est confisqué et inappliqué par le parlement et le Conseil fédéral depuis maintenant huit ans ! Si non, il faudrait qu’ils nous expliquent comment ils font pour ne diffuser que des informations catastrophiques sur le Brexit tout en passant soigneusement sous silence les bénéfices qu’en retirent les citoyens Britanniques ?

Oh oui, dénoncer le terrible drame de la guerre, le malheur, la censure de l’Etat russe, encore et encore, le faire plutôt deux fois qu’une pour que l’on ne voit plus qui ils sont vraiment, pour qu’on les prenne pour des âmes saintes.

Mais les faits sont là et nous ne les oublierons pas.

A la faveur de la guerre en Ukraine, en profitant comme d’une aubaine, tous ces gens se présentent aujourd’hui comme des hérauts de la démocratie et de la souveraineté. Il y en a même tellement qu’ils défilent dans les rues. Alors qu’ils sont les agents, les activistes, et les soutiens zélés d’une désinformation désormais systématique dans notre pays. Nous en avons aujourd’hui les preuves.

Ces gens se présentent en dénonciateurs héroïques de la guerre et de la censure en Russie. Vous ont-ils dit qu’ils trompent et désinforment depuis des années nos concitoyens sur le Brexit ? Vous l’ont-ils dit ? Vous ne le saviez pas ? Il est peut-être encore temps de vous informer, et mieux encore de le vérifier par vous-même.

Depuis bientôt cinq ans tout ce que la RTS et la presse mainstream ont produit comme informations sur le Brexit l’a été dans le but d’en peindre un tableau effrayant pour les Suisses. Tapez « rts brexit » dans votre navigateur et vous n’y trouverez que des articles aux contenus négatifs et alarmants, de pénuries provoquées par le Brexit, de contraintes comme "seul impact détectable", de bilan négatif, d’inflation, et ainsi de suite.

Et la vérité est alors ici toute entière décrite. Parce que cette manière unilatérale de peindre sans cesse le diable sur la muraille et de noircir gravement le tableau relève de la propagande et de la désinformation, de la manipulation de l’opinion publique. Parce que contrairement à ce que racontent ces journalistes de la RTS et de la presse mainstream le Brexit a aussi amené de sérieux avantages aux citoyens Britanniques, et pas des moindres. Mais ça, n’est-ce pas, il ne faudrait surtout pas que les Suisses l’apprennent. Ces gens sont odieux.

Depuis le Brexit le salaire médian britannique a augmenté, le taux de personnes sans emplois a diminué, la progression de la hausse des loyers s’est ralentie, la qualité de vie a continué d’y progresser, contrairement à celle de la France.

Depuis le Brexit pour la première fois depuis trente ans le taux de chômage du Royaume-Uni est passé en dessous de celui de la Suisse… ! Mais, chuut, il ne faut surtout pas que cela se sache et que les Suisses l’apprennent. (Un mini dossier Brexit figure à la fin de cet article). La tromperie et l’hypocrisie des médias helvétiques atteint désormais des proportions stratosphériques.

La RTS et la presse mainstream de notre pays ne changeront jamais. Depuis l’initiative No Billag la RTS a été copieusement remise en cause, de même la presse mainstream par les subventions supplémentaires qui viennent de lui être refusées, les coups de semonce n’ont cessé de voler au-dessus de leurs têtes depuis au moins une décennie, et qu’est-ce qui a changé ?

Rien, strictement rien.

Ces journalistes et ces politiciens continuent à se pavaner dans leurs positions de toute puissance et à désinformer le peuple. Pire, ils en arrivent aujourd’hui à vouloir nous faire croire qu’ils sont les saints gardiens de la démocratie et de la souveraineté. C’est tout simplement insupportable.

Il ressort à l’évidence que ce problème relève désormais d’une mentalité profondément ancrée qui se croit tout permis, d’une absence désormais grossière de toute éthique dans notre système politico-médiatique.

Et que l’on ne vienne pas nous raconter que le journaliste ou le politicien qui s’abstient de dénoncer la confiscation de 1.4 millions de voix, que le journaliste ou le politicien qui trompe le citoyen en passant sous silence les effets positifs du Brexit, sont des personnes qui ont une conscience politique éthique. C’est exactement l’inverse qui est vrai.

Les citoyens suisses ne doivent pas laisser la guerre en Ukraine masquer cette réalité politique dans notre pays, ils doivent dénoncer à leur tour avec la plus grande fermeté ces profiteurs de morale qui tentent maintenant à bon compte de se revêtir de manteaux de vertus qui ne leur appartiennent pas, qui plus est, en tirant profit du malheur des autres. Nous sommes ici désormais face à un problème politique majeur qui est celui d’une désinformation qui non seulement est devenue systémique et massive mais qui en plus n’a plus aucune limite.

Cette désinformation et cette absence d’éthique doivent absolument être dénoncées avant les élections fédérales de 2023. Il faut absolument faire sortir du bois cette corruption massive de l’éthique politique et journalistique dans notre pays et la dénoncer au grand jour, que l’ensemble des citoyens comprennent enfin et une bonne fois pour toutes qui est qui et qui fait quoi. C’est capital.

Un ouvrage sur le nécessaire renforcement de notre Constitution est en préparation. Il pose des questions fondamentales sur la classe politique et journalistique de notre pays et sur sa crédibilité face au respect de nos institutions, il propose parmi d’autres comme solution de sortir complètement le débat politique de la toute-puissance de ces politiciens et journalistes actuels, qui non seulement ont confisqué le vote fédéral sur l’immigration mais qui confisquent désormais tout ce que le citoyen doit croire ou ne pas croire.

Si vous pensez que nous n’en sommes pas déjà là alors expliquez-nous seulement comment il se fait que vous n’ayez jamais entendu parler des aspects positifs du Brexit ? Expliquez-nous pourquoi vous n’en trouverez pas une ligne ni à la RTS ni dans la presse mainstream de notre pays ?

Demandez-vous qui vous cache une partie de cette réalité et pourquoi ? Qui viole la souveraineté de notre peuple et maintenant confisque notre neutralité ? Demandez-vous pourquoi c’est toujours le fait des mêmes partis politiques soutenus par les mêmes complices de la RTS et de la presse mainstream qui sont à leur service ?

Posez-vous la question. C’est votre liberté et votre indépendance, celles de vos enfants, qui sont en jeu.

La désinformation systémique ne changera jamais d’elle-même en Suisse. C’est à nous désormais de prendre les mesures qui s’imposent.

Michel Piccand

DOSSIER BREXIT

UNE DESINFORMATION SYSTEMIQUE

Cette désinformation de la RTS dont nous parlons dure maintenant depuis plus de deux décennies et a commencé lors de notre rapprochement avec l’Union européenne. Et le problème est identique avec la presse commerciale dont on vient de nous demander de lui augmenter une fois de plus les subventions, ce que par bonheur le peuple a refusé. Cette désinformation est aujourd’hui le problème politique numéro un de notre pays. Sans vérité dans l’information il n’y a pas de démocratie possible.

Nous ne pouvons avoir aucun espoir que cela change un jour, ces journalistes et ces rédactions politiques ne cesseront jamais d’eux-mêmes de manipuler l’opinion publique. Le mal est désormais ancré bien trop profondément dans notre système.

Nous sommes face à un problème littéralement structurel dans la fabrication et la diffusion de l’information. Comment est construite notre information et qui la contrôle ? Et nous voyons bien que nous sommes ici arrivés à un stade où le peuple n’a plus le contrôle de l’information, que c’est toute la structure juridique et institutionnelle de la RTS et de ses pratiques qui doivent être changées. C’est une question primordiale qui doit être traitée avant les élections fédérales de 2023.

Le problème est devenu systémique avec pour cadre désormais une incroyable consanguinité journalistique entre RTS et médias commerciaux sous la tutelle de l’Agence Télégraphique Suisse, un système dans lequel on a l’impression que ces journalistes font désormais tous partie d’une même organisation dont le but est de diffuser la même information politique.

A quoi bon un secteur commercial et un secteur public s’ils répètent tous en boucle les mêmes contrevérités pour donner l’illusion au téléspectateur que c’est là une marque de crédibilité puisque tous les journalistes disent la même chose, comme par exemple lorsque les journalistes de la RTS invitent gracieusement et régulièrement leurs amis journalistes de la presse commerciale pour raconter les mêmes contrevérités qu’ils énoncent eux-mêmes sur le Brexit. En Suisse-romande le monde de l’information est une fabrique de pensée unique qui se moque du peuple et le manipule.

Nous ne pouvons plus rien attendre d’un système qui désinforme à ce point et qui en plus à l’audace de venir désormais s’ériger en juge et arbitre des vraies et fausses informations. Le changement ne peut plus venir que du peuple et d’une réforme institutionnelle profonde sur la manière dont est produite l’information dans notre pays.

Cette question de réforme dans l’information et de réforme de la RTS et des solutions possibles est évoquée en détail dans l’ouvrage à paraître sur le besoin de renforcer notre Constitution. Substantiellement, la réforme de l’information fait partie intégrante de la réforme constitutionnelle nécessaire dont notre pays a besoin pour sortir des graves dysfonctionnements politiques et informationnels dont nous souffrons maintenant depuis plus de deux décennies.

Michel Piccand

DOSSIER BREXIT

23.01.2022

Le PIB du Royaume-Uni est reconnu (pour l’instant) comme vraisemblablement moins élevé que si le pays n’avait pas quitté l’Union européenne. Les investissements étrangers au Royaume-Uni ont baissé. Mais qu’est-ce que cela montre en réalité ? Pour bien le comprendre on rappelle que le PIB et les investissements étrangers dans un pays sont complexes et difficiles à interpréter, spécialement du point de vue de leur qualité (et non de leur quantité). On se gardera donc bien de cette croyance économique superficielle qui consiste à croire, comme cela est devenu un dogme politique dans notre pays, que si le PIB et les investissements étrangers augmentent alors tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Qu’à l’inverse s’ils baissent tout va mal.

On rappelle ici le cas d’école bien connu que si l’on rasait toutes les cathédrales de Suisse pour les remplacer par des décharges publiques alors le PIB augmenterait, mais sans qu’il n’y ait en réalité aucun gain global désirable pour la société. C’est toute la question de la différence entre une croissance en qualité et une croissance en quantité du PIB. Si grandir et croître c’est dégrader notre qualité de vie, dilapider nos actifs et péjorer notre compétitivité et nos acquis, alors cela n’a du point de vue global économique aucun sens.

Pour reprendre avec le Royaume-Uni, en sortant de l’UE ce pays a perdu des investissements étrangers, et de la progression de PIB en même temps, par exemple parce que certains exportateurs automobiles asiatiques localisés chez lui se sont relocalisés sur territoire UE pour pouvoir continuer de vendre plus facilement en Europe à partir d’un Etat-membre. La première réaction c’est d’y voir une perte pour le Royaume-Uni. Peut-être.

Considérons maintenant l’UE qui va se frotter les mains ces prochaines années en voyant par exemple les investissements étrangers augmenter chez elle, mettons à cause d’investissements chinois qui ont l’intention de venir vendre sur le marché européen des voitures électriques moins chères que les producteurs européens. On voit donc bien que se réjouir d’une telle augmentation immédiate du PIB peut aussi être une très mauvaise idée, les investissements étrangers pouvant tout aussi bien amener un désenchantement à long terme si les producteurs locaux s’effondrent et perdent leurs parts de marché. Il faut donc rester extrêmement prudent avec ce type de notions et d’analyses. La prise de contrôle d’un marché national par l’étranger se fait aussi par les investissements directs étrangers, elle engendre aussi des augmentations de PIB, la Suisse en a d’ailleurs fait l’amère expérience dans certains de ses secteurs (lire La croissance économique de la Suisse un drame politique caché, Michel Piccand, 2013). On verra ce qu’il en sera globalement du Royaume-Uni comparé à d’autres nations de l’UE dans 20 ou 30 ans.

C’est à vrai dire ici toute la question que pose le souverainisme à l’économie et que l’on peut résumer ainsi : Vous vous réjouissez d’une augmentation du PIB et des investissements étrangers, d’une forte croissance économique qu’il faut alimenter par une croissance démographique et une immigration dérégulée, mais qu’en sera-t-il de la qualité de vie, de l’équilibre des finances publiques, de vos actifs, de la richesse et de la souveraineté du peuple d’ici 30 ans ?

Pour ma part, mon opinion, mais les faits le montrent, c’est que cette manière unilatérale d’être obnubilé uniquement par une croissance quantitative et dérégulée, soit par une croissance à n’importe quel prix et non maîtrisée, est en train de détruire nos sociétés et nos structures, le système même et la sécurité de nos nations.

Le Royaume-Uni a donc fait un choix, qui est celui de redevenir parfaitement souverain et maître chez lui. Cela a bien évidemment eu des conséquences négatives sur les échanges avec l’UE, mais il en a aussi eu de positives, et pas des moindres.

Et passer sous silence les effets positifs du Brexit, comme le font la RTS et la presse d’intérêt dans notre pays, c’est tout simplement désinformer, c’est manipuler l’opinion publique pour lui faire choisir ce modèle de croissance incontrôlée qui détruit la structure de nos nations. Et les effets positifs du Brexit présentés ci-après le démontrent pour l’instant assez largement.

(1)

La hausse du salaire médian britannique en valeur réelle (soit compensée de l’inflation) a été plus grande après 2016 année du Brexit qu’avant.

Mais les journalistes de la RTS et de la presse d’intérêt s’acharnent à vouloir nous faire croire que les Britanniques ne cessent de s’appauvrir et sont particulièrement à plaindre.

(2)

La progression annuelle des loyers au Royaume-Uni a chuté drastiquement après le référendum de 2016 et l’arrêt de principe de la libre immigration UE.

Cette progression des loyers dont chacun connait les effets néfastes sur le porte-monnaie des citoyens (mais aussi sur les coûts de production) a littéralement été diminuée par deux après le Brexit. Cette diminution de la progression des loyers semble clairement durable et structurelle si on l’a compare à la chute conjoncturelle de l’indice lors de la crise financière de 2008-2010.

(3)

Depuis le Brexit le taux de sans-emplois au Royaume-Uni a continué de baisser.

(N.B. Dans tous les graphiques qui suivent il y a des variations de courbes en 2020 qui sont dues à la pandémie de COVID, ces variations ont eu lieu dans toutes les nations, et l’on ne peut donc en tenir compte à ce stade pour l’analyse d’un pays particulier).

Le Royaume-Uni a voté le Brexit en 2016 (droite rouge). La baisse du taux de sans-emploi dès 2013 est vraisemblablement due à la baisse du taux d’intérêt directeur de la Banque d’Angleterre qui est passé d’un taux moyen de 5 % durant la décennie 1999-2009 à 0.5 % dès 2009 et n’a plus dépassé 0.75 % depuis lors et a donc favorisé l’investissement et une partie de la croissance et le retour à l’emploi.

Entre 2016 et 2019, et donc malgré le Brexit… environ 300'000 britanniques ont pu retrouver un travail. (N.B. La remontée de la courbe bleue des sans-emplois en 2020 est due à la pandémie de COVID).

Pour se donner un ordre d’idée, 300'000 personnes de retour sur la marché du travail au Royaume-Uni, c’était en 2021 sur la base du salaire médian, environ 7.26 milliards de masse salariale réelle versés en plus aux résidants britanniques (9 miards de CHF).

Du point de vue étatique c’était 300'000 personnes sorties du chômage et de l’aide sociale, soit une réduction des coûts sociaux à la charge de l’Etat (et donc de la collectivité) d’au moins 3 milliards et de nouvelles rentrées fiscales pour au moins 1.45 milliards (impôt de base sur les personnes physiques à 20 %). S’y ajoutent les 8 milliards de contributions nettes que le Royaume-Uni n’a plus à verser chaque année à l’UE. Soit, pour l’année 2021, selon ces seules considérations, un surplus dans les caisses de l’Etat de 12.45 milliards par rapport à la situation précédant le Brexit et du seul fait de ce retour à l’emploi.

Vouloir décrire le Brexit comme une catastrophe sans mentionner cet aspect relève de la désinformation.

N.B. Les résultats cinq ans après la sortie du Royaume-Uni de l’UE vont donc exactement dans le sens de la solution au problème que décrivaient des membres du parti conservateur qui décriaient la libre-circulation avec l’UE comme une cause d’appauvrissement global de l’économie britannique, du fait que la sous-enchère salariale et la concurrence extrême avec les migrants UE conduisait l’Etat britannique à devoir payer et compenser par l’aide sociale les manques de revenus des résidents britanniques sans emploi ou sans salaires suffisants.

Une idée qu’en bons conservateurs ils comprenaient comme un risque avéré de devoir augmenter ensuite les impôts pour financer une aide étatique devenant incontournable et croissante et qui en termes politiques se traduirait par l’ouverture d’une voie royale au socialisme.

En réalité, mais il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour s’en apercevoir, la sous-enchère salariale et l’extrême concurrence entre salariés européens engendrée par le marché unique de l’UE amène de fait un appauvrissement et des conditions dégradées pour les couches salariales les moins qualifiées, ce qui bien évidemment profite au socialisme, puisque les premières victimes de la sous-enchère vont se tourner vers ce parti, demandant plus d’aide sociale, plus d’aide sociale nécessitant plus d’impôt ou d’endettement, soit pour un conservateur contemporain la roue qui tourne dans l’autre sens. Un système d’ultra-concurrence européenne qui au lieu que le marché enrichisse les salariés les appauvrit.

CONCLUSION INTERMEDIAIRE.

Les trois tableaux précédents, contrairement à ce que voudraient nous faire croire les journalistes de la RTS et de la presse d’intérêt, montrent que la situation de base du citoyen britannique depuis le Brexit s’est notablement améliorée sur certains aspects, contrairement à celle du citoyen helvétique toujours soumis, lui, à la libre-circulation européenne.

Une hausse du salaire médian couplée à une baisse de la spirale de hausse des loyers et à une amélioration des finances publiques est très loin d’être négligeable. Seul un fou ou quelqu’un qui veut désinformer pourrait le prétendre.

Depuis le Brexit sur la période 2015 - 2020 le salaire médian en valeur réelle du résident britannique a augmenté de 12.7 % alors que l’évolution de l’ensemble des salaires réels en Suisse n’a progressé que de 2.6 % avec des baisses de 0.1 % en 2017 et 0.4 % en 2018 ! (Bien que les chiffres britanniques et suisses ne soient pas directement comparables ils sont cependant ici sans ambiguïtés quant à l’évolution générale des salaires).

On se demande ici pour qui travaillent la gauche et les Verts, et les syndicats, qui violent à Berne notre Constitution pour que la libre concurrence avec les salariés européens puisse continuer de s’appliquer de manière totalement dérégulée en Suisse. Leurs ersatz de contrôles sans effectivité n’y changent rien. En ce qui concerne la RTS et la presse d’intérêt chacun sait depuis longtemps que ces entités ne travaillent plus ni l’une ni l’autre pour le citoyen suisse.

On se demande combien de temps encore il faudra, ou ce qu’il faut faire, pour que l’ensemble des citoyens se demandent comment et pourquoi on peut leur cacher des faits aussi essentiels que des hausses de salaires, des baisses de la progression des loyers et des améliorations des comptes publics dans un pays qui vient de se séparer de l’Union européenne.

Pour ceux qui ne seraient encore pas convaincus voici encore quelques données établies par la Banque mondiale et dont le mérite est de ne pas comparer des pommes et des poires et de n’avoir aucun intérêt ici à influencer spécialement les données d’une nation.

(4)

La situation globale de la Grande-Bretagne ne s’est en rien dégradée depuis le Brexit si l’on considère le PIB par habitant (qui montre la performance économique d’un pays par rapport à sa population) et qui au Royaume-Uni a continué sa progression, malgré toutes les prédictions contraires des experts pro-européens.

(Encore une fois les baisses de courbes dès 2020 sont dues à la pandémie de COVID).

(5)

Depuis plus de 30 ans (et après le Brexit !) pour la première fois le taux de chômage du Royaume-Uni est passé en dessous de celui de la Suisse ! Cherchez l’erreur ! Faut-il encore vous en donner l’explication ?

(6)

Depuis le Brexit le taux de chômage du Royaume-Uni a rejoint celui de l’Allemagne.

(7)

En matière de chômage le Royaume-Uni a laissé loin derrière ces défenseurs de l’UE et de la porte ouverte migratoire que sont les gouvernements socialistes de la France et de la Suède.

Taux de chômage Royaume-Uni / France.

Taux de chômage Royaume-Uni / Suède.

(8)

Globalement les exportations de biens et de services du Royaume-Uni ont continué à progresser depuis le Brexit en 2016. Contrairement à celles de la Suisse qui ont stagnées.

(9)

L’épargne domestique britannique ne s’est pas effondrée.

(10)

Si l’on prend l’indice de développement humain qui mesure la qualité de vie moyenne de la population, depuis le Brexit l’écart favorable du Royaume-Uni par rapport à la France s’est encore accentué… tandis que cet indice du premier état-membre de l’UE qu’est la France a stagné voire régressé… !

Mais les journalistes et les rédactions politiques de la RTS et ceux de la presse d’intérêt vous informent depuis avant 2016 que le Brexit, donc la sortie de la libre-circulation avec l’UE, serait une monumentale erreur économique qui ne peut amener que d’effroyables désavantages et des pénuries… !

Une telle manière de faire unilatéralement de l’information porte un nom. Cela s’appelle de la DESINFORMATION !

Et devant le monopole de ces grands médias qui désinforment l’on doit désormais admettre que le citoyen suisse ne jouit plus d’une véritable capacité de se former librement son opinion. Ce qui par ailleurs viole les principes de notre Démocratie et de notre Constitution.

ANNEXE

Exemple de désinformation de la RTS.

Et le comble c’est que les citoyens sont obligés de payer…

Du point de vue de l’information nous vivons dans une dictature.

Si non, comment faudrait-il appeler un système qui désinforme et que le citoyen est obligé de payer ?

Eclairage UW – RTS. Médialogues: “Media Crash : Qui a tué le débat public”, 15.02.2022. Ndlr: Tout ce qui n’est pas de gauche est d’esstrèème droite!

 

Ci-dessous, l'émission de Médialogues concencée : "Media Crash : Qui a tué le débat public", 15.02.2022.

https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/medialogues/12831152-medialogues-du-15-02-2022.html

 

Le nouveau Superman sera bisexuel et impliqué dans la défense du climat et des réfugiés

Dans un nouvel album qui s’apprête à paraitre, Superman va entamer une relation homosexuelle avec un jeune journaliste.

Le super héros américain va ainsi assumer son «identité» de « bisexuel » selon son éditeur.

Dans une bande dessinée qui sortira en novembre, le nouveau Superman, le fils de Clark Kent, va tomber amoureux d’un homme et assumera son « identité » de « bisexuel », a annoncé le 11 octobre l’éditeur DC Comics, filiale de Warner Bros.

« J’ai toujours dit que chacun avait besoin de héros et avait le droit de se représenter dans ces héros », a expliqué l’auteur de la BD, Tom Taylor, cité dans un communiqué illustré par un dessin de l’artiste John Timms, où le fils de Superman, Jon Kent, embrasse sur la bouche un jeune homme, journaliste, nommé Jay Nakamura.

L’annonce de DC Comics est ainsi titrée : « Jon Kent a trouvé son identité (…) Le nouveau Superman s’affiche comme bisexuel. » Tom Taylor estime que « le symbole de Superman a toujours été l’espoir, la vérité et la justice. Aujourd’hui, ce symbole est quelque chose de plus (et) davantage de gens peuvent se reconnaître dans le super-héros le plus puissant de la bande dessinée. »

Dans un numéro de Superman paru en août, Jon Kent, fils de Clark Kent et de la journaliste Lois Lane, se liait d’amitié avec le reporter Jay Nakamura. Dans le numéro à paraître le 9 novembre aux Etats-Unis, cette relation va se muer en romance amoureuse.

« Les super-héros ont toujours été, potentiellement, un peu « queer » »

Cet été, les rumeurs d’un « Superman gay » et d’un « coming out » du super-héros avaient agité les publications spécialisées et les sites de fans.

Et ce n’est pas la première fois que la BD américaine fait évoluer la sexualité de ses personnages : la série Aquaman avait mis en avant cet été un super-héros noir et gay, tandis que dans la dernière édition de la BD Batman, Robin s’affichait lui aussi comme bisexuel. [...]

article complet: https://www.anguillesousroche.com/actualite/le-nouveau-superman-sera-bisexuel-et-implique-dans-la-defense-du-climat-et-des-refug

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Albert Coroz: Désormais, les forces marxistes ont mis en place une propagande massive en continu pour la déconstruction des genres depuis l'enfance.
Tout doit servir à la chasse aux stéréotypes jugés sexistes, toxiques, afin d'éliminer tout ce qui ne correspondrait pas au catéchisme dominant. Et le bonheur brille au bout du chemin.

La RTS remet régulièrement au programme des émissions concernant le trouble de l’identité de genre chez les très jeunes, et le problème est toujours présenté sous un angle humaniste, comme étant facilement résolu avec un peu de tolérance de l'entourage.

La propagande présente son produit toxique comme si changer de genre était vraiment possible et permettrait enfin de se sentir bien aux lésés de la nature, nés dans le mauvais corps.

La devise: "Changer de genre vous rendra libre!"

Ce "produit" serait comparable au port d'un appareil dentaire pour corriger les dents de travers, aux méthodes qui éliminent les bourrelets en trop, petits coups de pouce contre les affronts de mère nature, censés donner de grands résultats, éliminer les complexes, avec images "avant" et "après" à l'appui.

Le web se regorge de suiveurs et de suivis qui exhibent les transformation du corps comme un destin en soi; et parmi tous ces suiveurs et ces suivis, les trans excellent le plus.

Sur le plan politique, la cause des transgenres est accaparée par la gauche, qui la revend par la propagande des opprimés minoritaires, auxquels les opposants à la tolérance, - qu'ils nomment l'extrême droite, - chercheraient à refuser l'égalité des droits. De cette manière réductrice, les médias éjectent toute approche critique sur cette folie destructrice, qui exerce une mainmise sur notre civilisation et sa jeunesse.

Ce samedi, la RTS1 va diffuser un Xe  film qui en est un parfait exemple. La fiction parle d'un ado mal dans sa peau de garçon.

Que faire lorsqu'on est parent, et que son enfant est instrumentalisé par le lobby LGBT, qui plante ses griffes dans sa chair?
Qu'y a-t-il de pire que de voir son enfant s'engager dans ce processus suicidaire, où tout un système cherche à l'arracher à son avenir, à l'autorité parentale, à l'influence de sa famille ?
Notre compassion s'adresse à ces parents, mais ceci reste bien maigre, car il n'existe aucun contre-pouvoir, aucun média qui soit efficace contre la propagande actuelle, nul endroit vers lequel ces familles puissent se tourner en cas de malheur.

***

ll est elle (1/2) -  "Juju fille dans un corps de garçon",  Fiction - France 2020

Film de 2x 43 min:

https://www.youtube.com/watch?v=yiM7CZ6SeH4

Né dans un corps qu’elle n’accepte pas et qui va se battre pour affirmer son identité aux yeux de tous, et particulièrement sa famille…

https://www.rts.ch/programme-tv/#/schedules/2021-10-16 > RTS1 21:10

 

RTS: Pour un futur meilleur, il faut nous libérer entièrement de cet enfermement dans une identité de genre

Cenator: En écoutant l’émission ci-dessous, nous nous sommes dit que si la crétinerie pouvait être quantifiée, le plancher de la RTS devrait céder sous un tel poids et traverser les étages de la tour pour s’encastrer dans ses profondeurs.
Vous connaissez certainement les dons de Greta Thunberg, qui voit le
CO2 à l’œil nu.
Eh bien, vous allez à présent comprendre les hypersensibles que sont les grands hommes, les grands scientifiques, les grands philosophes, les grands en tout, à condition de ... dégenrer la société.

*

Interview de l’invité hypersensible Fabrice Midal, philosophe, conférencier, spécialiste de l’hypersensibilité.

Extraits résumés:

Fabrice Midal explique que c’est la structure sociale qui coupe les hypersensibles de pouvoirs quasi surnaturels.
Avoir un trop-plein d’émotions à gérer serait une bénédiction du ciel, leur pouvoir est IMMENSE!
Tout ce que vit l’hypersensible est intense et c’est un pouvoir, un atout dans la vie.

Cet homme est né extraordinaire et explique que déjà lorsqu’il était enfant, il lui était insupportable de dormir avec des chaussettes!

Et les auditeurs de la RTS doivent prendre connaissance du fait que ses états émotionnels sont extraordinaires. 
L’extraordinaire se manifeste par le besoin que ses relations humaines soient vraies. 
Midal, comme chaque hypersensible, a besoin parfois d’être seul, de calme, de silence. Il  précise que ce n’est pas par méchanceté.

Les hypersensibles sont créatifs, et ils ont toutes les qualités.
Midal pense que "tout  le monde doit advenir à devenir hypersensible".
Il cite comme exemples: Si vous-êtes cuisinier et que vous n’êtes pas hypersensible, vous n’irez pas très loin. Si vous êtes vigneronne et vous n’êtes pas hypersensible, vous n’allez pas faire un très bon vin. ...
Tout le monde doit développer une forme d’hypersensibilité.

Le philosophe explique: Il y a des gens hyper sympa, des hyper-chiants et des hypersensibles, comme il y a des homosexuels.
Comme l’homosexualité, l’hypersensibilité est une singularité normale.

Voici quelques perles:

On est hypersensible parce qu’on a un pouvoir, ça donne l’occasion de vivre une vie extraordinaire, mais si vous n’en faites rien, ça peut être douloureux.


La déconstruction du genre et du patriarcat, à mon avis, permet de poser la question de l’hypersensibilité, parce qu’au fond, l’hypersensibilité n’a pas été comprise, parce qu’on a enfermé la sensibilité comme étant liée à un certain état féminin. (23:00')

 

Et comme aujourd’hui, on est en train de se rendre compte du carcan du patriarcal, dans lequel les hommes sont enferrés dans une certaine conception de la masculinité et les femmes de la même manière, 

...Et le travail des ethnologues a montré que dans d’autres sociétés, il n’y avait pas du tout cette assignation à des rôles : l’hypersensibilité, on comprend que ce n’est pas un truc féminin, inférieur.

Le travail des neuroscientifiques c’est de réfuter l’opposition du corps, inférieur, à l’esprit, supérieur, et l’idée que les émotions et la sensibilité seraient non nécessaires.

Et là, il y a une remise en question de tout un schéma. Une réhabilitation de la sensibilité et de l’émotion qui permet de mieux comprendre l’hypersensibilité. D’ailleurs, Jeanne D’Arc a été brûlée parce qu’on n’a pas compris qu’elle était hypersensible.

 

Il faut nous libérer entièrement de cet enfermement dans une identité de ce que seraient la masculinité et le féminin. (26:36')

Nous ne nous étendons pas davantage sur l’auto-glorification du philosophe, qui dure encore une demi-heure, ni sur les questions de la journaliste, qui abonde d’admiration envers ce grand sensible hors du commun.

Emission: Egosystème 23.07.2021 RTS - La chance des hypersensibles

Présentation de la RTS: Souvent présentée comme une faiblesse, l’hypersensibilité est pourtant un pouvoir selon Fabrice Midal. Le philosophe propose un changement de regard sur cette particularité qui toucherait une personne sur cinq. Trop de pensées, trop d’empathie, trop d’informations, l’impression de ne jamais être au repos, les hypersensibles se sentent envahis. Pourtant, il est possible dʹen faire un atout, d’abord en la nommant et d’adopter quelques précieux changements.

Fabrice Midal : "Suis-je hypersensible?" Éditions Flammarion

https://www.rts.ch/play/radio/egosysteme/audio/la-chance-des-hypersensibles?id=12078626

Tout en bas, nous avons rapporté la liste des références de Fabrice Midal à la RTS, et c'est une vraie star de la pensée!
La RTS ressert  à gogo des semaines de Midal, les rétrodiffusions Midal.
Pour sa loyauté, il reçoit une formidable publicité pour son entreprise de développement personnel et pour la vente de ses livres.
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Les lobbys LGBT réclament la tolérance, mais en réalité, il n’y a plus de tolérance pour la normalité. La vidéo ci-dessous représente la nouvelle conception du genre que la bienpensance veut imposer comme norme, conception qui cherche à détruire la masculinité.

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La vidéo 'Feminist Boy' sur la prévention de la toxicité masculine de MAGA nous montre pourquoi la prochaine génération est foutue

La série Radical Cram School célèbre les garçons féministes avec une nouvelle chanson originale et un clip très original ! [...]

Ceci n’est pas une satire. Des garçons avec des bonnets roses dénigrent la "masculinité toxique de MAGA" et promeuvent leur côté "féminin" qui ne plaît à pratiquement personne d’autre que les "féminazis qui détestent l’Amérique".

Une vidéo intitulée «Feminist Boy», de la comédienne de gauche radicale Kristina Wong, est à son tour devenue virale en utilisant les pussy hats de la Marche des femmes et autres images anti-MAGA pour aider les enfants à rejeter la masculinité toxique.

La vidéo qui fait grincer des dents a fait ses débuts en janvier 2020 et provient de la série vidéo de Wong appelée « l’école radicale de Cram ». Wong en fait la promotion auprès des enfants américains d’origine asiatique âgés de 6 à 12 ans. On l’a surnommée « le Sesame Street pour la résistance ». Les vidéos cherchent à explorer la révolution, les identités et la justice sociale en utilisant la comédie, la narration communautaire et les marionnettes.

La vidéo présente plusieurs jeunes garçons prétendant être des « garçons féministes ». L’un porte un costume musclé, un autre une casquette MAGA et l’autre une chemise "Make America Drunk Again". La vidéo parvient en quelque sorte à faire rimer « étincelles » (sparkles) avec « patriarcal ». Elle utilise aussi des formules accrocheuses telles que "l’hyper-masculinité est la fragilité de l’ego, l’incapacité empathique, l’imbécillité". [...]

Tout en prétendant promouvoir la maîtrise de la langue, la série forme en fait des enfants à devenir des fanatiques anti-américains, des révolutionnaires radicaux et des soldats dévoués de la justice sociale. Selon The New American, Wong admet même que c’est de l’endoctrinement.

Wong est diplômée en « études asiatiques américaines » et certains lui supposent des liens avec le Parti communiste chinois.
[...]

"Les jeunes filles d’origine asiatique ne trouvent pas souvent des personnes qui les représentent dans la culture populaire américaine, ni dans les mouvements pour la justice sociale, et lorsqu’elles ne se sentent pas faire partie des mouvements sociaux, ou en être alliées, elles risquent de se désengager complètement", a  expliqué Wong au média asiatique-américain NextShark.

« Sans marginaliser davantage les personnes les plus touchées par l’oppression, la Radical Cram School offre aux jeunes filles asiatiques américaines un espace pour réfléchir à ce qu’elles vivent et apprendre à être des alliées d’autres mouvements sociaux. »

Sa série YouTube couvre des sujets tels que le transgenre, les camps d’internement japonais, l’activiste de Detroit Grace Lee Boggs, le suffrage féminin, l’élection à des fonctions publiques, le contrôle des armes à feu, l’immigration illégale et l’identité de genre.
Créée par Wong, la réalisatrice Jenessa Joffe et les producteurs Anna Michelle Wang et Theodore Chao, "Radical Cram School" est "destinée aux enfants de couleur, aux fans de comédie, aux communautés militantes, aux parents et aux éducateurs qui s’efforcent d’engager les enfants dans des discussions sur l’identité et la justice sociale."

[...]

La vidéo "Feminist Boy" est vraiment devenue virale. "Regardez-moi être un homme asiatique qui joue des rôles principaux", proclame une ligne dans les paroles de la vidéo, "car il n’y a pas seulement les mecs blancs qui peuvent être des héros."

« Nous avons coproduit cette série non seulement pour des gens comme notre fille, mais pour tout le monde », dit Theodore Chao, un professeur formé à Harvard qui dit avoir remarqué que sa fille de 6 ans et ses amies avaient intériorisé « la rhétorique raciste et misogyne » entourant l’élection présidentielle de 2016.
« Les vidéos sont d’excellents moyens d’engager des conversations difficiles sur le racisme, la misogynie, l’intersectionnalité et la résistance pour les jeunes. »

Le consensus sur Twitter est que la prochaine génération est fondamentalement foutue, mais au moins la vidéo a eu plus de vues que le débat public de Biden sur CNN - qui, lui, était scénarisé.

[...]

Article complet: https://www.bizpacreview.com/2021/07/23/feminist-boy-video-on-avoiding-maga-male-toxicity-shows-why-the-next-generation-is-screwed-1107687/

Traduction: Cenator

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https://twitter.com/6justincredible/status/1418361601577701380?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1418361601577701380%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_c10&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.bizpacreview.com%2F2021%2F07%2F23%2Ffeminist-boy-video-on-avoiding-maga-male-toxicity-shows-why-the-next-generation-is-screwed-1107687%2F

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la liste des références de Fabrice Midal à la RTS

Cenator: Les féministes de gauche imaginent qu'en émasculant l'homme et en détruisant le patriarcat, ce serait un monde meilleur pour elles.

En réalité la virilité de l'homme et le patriarcat assurent la survie d'une société.

Ci dessous, un exemple de ce qui se passe dans une société, où les hommes sont émasculés après avoir démoli, au nom de l'égalité, le patriarcat et la famille traditionnelle.
Et précisons bien que l'immigration de masse a amené des hommes, qui gardent leur patriarcat intacte sur nos sols, leur virilité sans freins, ces "richesses" que la bienpensance considère comme étant toutes victimes des Blancs colonisateurs. Ces derniers étant des exploiteurs faisant preuve d'injustes envers les plus faibles.

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Suède : Jeune femme lynchée dans le métro de Stockholm sans que personne ne réagisse…

[...] La scène s’est déroulée le 2 octobre vers 21 heures tandis que la victime est montée dans une rame de métro. C’est alors qu’un gang composé a priori de quatre personnes l’a repérée avant de l’attaquer. Un individu a commencé à s’asseoir sur elle pour la provoquer. Puis, face à la réaction de la jeune femme lui demandant de la laisser tranquille, le groupe, après l’avoir giflée, a alors commencé à l’insulter tout en proférant à plusieurs reprises des menaces de viol et de mort à son encontre.

Cernée par la bande de délinquants, la victime tentera de sortir de la rame mais ces derniers vont lui bloquer le passage et l’un d’entre eux commence à la frapper. La jeune femme crie à l’aide tout en essayant d’appeler la police avec son téléphone, ce qui fera que le groupe redoublera de violence et s’emparera du mobile avant de le projeter au sol. Pendant ce temps, leur proie est en position fœtale sur le sol et tente de se protéger des coups.

Cette agression sauvage s’est déroulée sous les yeux d’une cinquantaine de passagers dont aucun n’est intervenu durant tout le calvaire enduré par la jeune fille…[...]

La jeune femme, en pleurs et traumatisée, a précisé que le groupe d’agresseurs était composé de trois hommes d’origine arabe et un d’origine africaine, tous âgés d’une vingtaine d’années. Elle a notamment reçu des coups de pieds à la tête et dans les côtes, entre autres, et a dit souffrir de commotion cérébrale, n’entendant plus de l’oreille droite par ailleurs.

En outre, sur la cinquantaine de personnes ayant assisté passivement à la scène, seul un homme est venu voir la victime après l’agression pour lui donner ses coordonnées en assurant qu’il témoignerait contre le gang dans le cas d’un éventuel procès. [...] (source:)

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Liste de références RTS sur Fabrice Midal:

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (4/5) - rts.ch - A vue d'esprit

le 23 avril 2015 ... C’est la conviction que le philosophe Fabrice Midal partage avec nous toute cette semaine.

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (2/5) - rts.ch - A vue d'esprit

le 6 janvier 2016 ... C’est la conviction que le philosophe Fabrice Midal partage avec nous toute cette semaine.

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (5/5) - rts.ch - A vue d'esprit

le 8 janvier 2016 ... C’est la conviction que le philosophe Fabrice Midal partage avec nous toute cette semaine.

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (5/5) - rts.ch - A vue d'esprit

le 24 avril 2015 ... C’est la conviction que le philosophe Fabrice Midal partage avec nous toute cette semaine.

 

Fabrice Midal: cessons de nous torturer

Entre nous soit dit - Philosophe et écrivain, Fabrice Midal a fondé l'Ecole occidentale de méditation où il œuvre à transmettre la pratique de la méditation dans une perspective laïque.

 

Fabrice Midal: cessons de nous torturer

Entre nous soit dit - Philosophe et écrivain, Fabrice Midal a fondé l'Ecole occidentale de méditation où il œuvre à transmettre la pratique de la méditation dans une perspective laïque.

 

Les conseils du philosophe Fabrice Midal pour rester serein

le 8 février 2021 ... Savoir lâcher-prise, ne pas chercher à tout contrôler, telles sont les recommandations du philosophe français Fabrice Midal. Avec la crise sanitaire, il est plus que jamais important de créer ses propres rituels et activités pour trouver un peu de sérénité.

 

L'invité du 12h30 - Fabrice Midal publie "Traité de morale pour triompher des emmerdes"

Le 12h30 - Fabrice Midal, philosophe et écrivain.

 

MP3 - Les références musicales du jour de Fabrice Midal

La Matinale - - "Cantate 82 Ich Habe Genug Bach", interprété par Hans Hotter - "Common Tones In Simple Time", de John Adams

 

MP3 - Les références musicales du jour de Fabrice Midal

La Matinale - - "Moment musical n.3 par Radu Lupu", Schubert - "La flûte enchantée, Ach, ich fühl's par Stich Randall", Mozart

 

L'invité du 12h30

Le 12h30 - Interview de Fabrice Midal, philosophe et écrivain. En rediffusion.

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (1/5)

L’analyse, sans concession portée par Fabrice Midal sur notre époque témoigne surtout de la nécessité qu’il voit de redonner à l’être humain une place dans le monde. (Nouvelle diffusion de la série d'émissions du 20 au 24 avril 2015)

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (5/5)

Avec son livre "Frappe le ciel, écoute le bruit", Fabrice Midal se livre à un exercice autobiographique truffé d’hommages à ses maîtres.

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (3/5)

Fabrice Midal est un méditant au long cours. Fondateur et directeur de l’École occidentale de méditation, il nous propose de découvrir les contours de sa pratique et de son enseignement.

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (2/5)

Bien loin de l’idée que la philosophie est une discipline réservée à un groupe d’intellectuels détachés du quotidien, Fabrice Midal s’interroge sur l’expérience de ces grandes figures philosophiques au regard acéré et aux réflexions pétries d’humanité.

 

MP3 - Les références musicales du jour de Fabrice Midal

La Matinale - - "Easter Hymn", G.I Gurdjieff - "Sonate D DUR K 208", Scarlatti - BO du film "Le Salon de musique", Satyajit Ray

 

MP3 - Les références musicales du jour de Fabrice Midal

La Matinale - - "Cathédrale engloutie", Claude Debussy - "Have You Seen but a Whyte Lillie Grow", Alfred Deller et Desmond Dupré

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (5/5)

Avec son livre "Frappe le ciel, écoute le bruit", Fabrice Midal se livre à un exercice autobiographique truffé d’hommages à ses maîtres.

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (4/5)

Quelques exemples tirés du dernier livre de Fabrice Midal, "Comment la philosophie peut nous sauver", permettent de mieux appréhender la pratique de la philosophie et ses implications. Il y est question d’éthique, de sagesse et d’esprit.

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (3/5)

Fabrice Midal est un méditant au long cours. Fondateur et directeur de l’École occidentale de méditation, il nous propose de découvrir les contours de sa pratique et de son enseignement. (Nouvelle diffusion de la série d'émissions du 20 au 24 avril 2015)

 

MP3 - Les références musicales du jour de Fabrice Midal

La Matinale - - "Fugue, presto", Jean-Sébastien Bach (par Anna Göckel) - "Solitude", Billie Holiday

 

L’invité du 12h30 - Fabrice Midal, philosophe et écrivain

Le 12h30 - Interview de Fabrice Midal, philosophe et auteur de "3 minutes de philosophie pour redevenir humain".

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (2/5)

Bien loin de l’idée que la philosophie est une discipline réservée à un groupe d’intellectuels détachés du quotidien, Fabrice Midal s’interroge sur l’expérience de ces grandes figures philosophiques au regard acéré et aux réflexions pétries d’humanité.

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (1/5)

L’analyse, sans concession portée par Fabrice Midal sur notre époque témoigne surtout de la nécessité qu’il voit de redonner à l’être humain une place dans le monde.

 

Philosopher pour changer, avec Fabrice Midal (4/5)

Quelques exemples tirés du dernier livre de Fabrice Midal, "Comment la philosophie peut nous sauver", permettent de mieux appréhender la pratique de la philosophie et ses implications. Il y est question d’éthique, de sagesse et d’esprit.

 

Fabrice Midal, écrivain " Sauvez votre peau " Ed. Flammarion

Entre nous soit dit - Philosophe et écrivain, Fabrice Midal est lʹun des principaux enseignants de la méditation en France. A travers lʹEcole occidentale de méditation, qui existe également à Genève, il sʹemploie à transmettre cette pratique comme une manière dʹexister pleinement au quotidien.

 

Fabrice Midal et Olivier Cavé se rencontrent pour la première fois

Premier rendez-vous - Pour la première fois Fabrice Midal, philosophe et écrivain, rencontre le pianiste Olivier Cavé

 

Livres: Fabrice Midal, "Devenez narcissique, sauvez votre peau"

Vertigo - Fabrice Midal nous conseillait de nous "Foutre la paix", dans son précédent livre. Aujourdʹhui, il revient pour nous enjoindre à "Devenir narcissique" (Flammarion) Et cʹest notre peau quʹil veut sauver.

 

Méditation, la quête du bien être à tout prix

. - Fabrice Midal, grand maître de la méditation occidentale, nous invite «à nous foutre la paix».

 

Fabrice Midal et Olivier Cavé se rencontrent pour la première fois. En nouvelle diffusion

Premier rendez-vous - Pour la première fois, Fabrice Midal philosophe et écrivain, rencontre Olivier Cavé, pianiste.

 

EN NOUVELLE DIFFUSION - Fabrice Midal, écrivain "Sauvez votre peau" Ed. Flammarion

Entre nous soit dit - Philosophe et écrivain, Fabrice Midal est lʹun des principaux enseignants de la méditation en France. A travers lʹEcole occidentale de méditation, qui existe également à Genève, il sʹemploie à transmettre cette pratique comme une manière dʹexister pleinement au quotidien.

 

Triomphez de vos emmerdes!

Trois conseils de Fabrice Midal pour transformer le crapaud en prince charmant (et surmonter vos emmerdes)

 

Devenez narcissique!

Egosystème - Après nous avoir encouragé à nous "foutre la paix", Fabrice Midal revient et nous invite à nous aimer plus, nous aimer mieux. A force de nous contraindre, nous avons oublié que notre meilleur ami cʹest nous!

 

Tantra et sexualité

Babylone - Le philosophe et spécialiste de la méditation Fabrice Midal regrette que la notion de plaisir sexuel soit aujourd'hui dévoyée. Pour lui, la recherche du plaisir à tout prix ne mène qu'au vide.

 

Triompher des emmerdes

Egosystème - Après nous avoir encouragé, dans ses précédents ouvrages, à nous foutre la paix puis à devenir narcissique, Fabrice Midal continue sur sa lancée en nous proposant "de triompher des emmerdes".

 

La Librairie Francophone

La librairie francophone - Jean Teulé " Entrez dans la danse" aux éditions Julliard Fabrice Midal pour "Sauvez votre peau! Soyez narcissique" aux éditions Flammarion Reportage avec Lise Tremblay au Zoo Ecomuseum de Saint Anne au Québec pour "L'habitude des bêtes" aux éditions Boréal

 

Foutez vous la paix!

Egosystème - Cʹest avec ce titre un brin provocateur que Fabrice Midal a revu sa copie… Philosophe et écrivain il est un des principaux enseignants de la méditation.

 

 

Tantra et sexualité

Avec le philosophe Fabrice Midal, le sexologue Stéphane With et le couple neuchâtelois, Prof.de tantra, Martine et Roger-Michel Berger.Une émission en direct de Jean-Marc Falcombello

 

La Matinale du 29.06.2018 -

le 29 juin 2018 ...

 

La Matinale du 28.06.2018 -

le 28 juin 2018 ...

 

 

Foutez vous la paix!

Egosystème - Cʹest avec ce titre un brin provocateur que Fabrice Midal a revu sa copie… Philosophe et écrivain il est un des principaux enseignants de la méditation.

 

Tantra et sexualité

Avec le philosophe Fabrice Midal, le sexologue Stéphane With et le couple neuchâtelois, Prof.de tantra, Martine et Roger-Michel Berger. Une émission de Jean-Marc Falcombello

 

La Matinale du 27.06.2018 -

le 27 juin 2018 ...

 

La Matinale du 26.06.2018 -

le 26 juin 2018 ...

 

La méditation : outil de performance ou d’apaisement ?

Reportage de Maria Nicollier suivi d’une discussion avec Fabrice Midal, philosophe et fondateur de l’Ecole occidentale de méditation et Fanny Parise, socio-anthropologue du religieux, UNIL.

 

Homosexuels pendant la 2ème guerre mondiale

1939 à 1945 se caractérise par une relative tolérance et un Code pénal qui masque les vécus quotidiens de l'homosexualité.Thierry Delessert s'est plongé dans les archives judiciaires de la justice militaire pour analyser discours, revendications et punition.Un entretien d'Anik SchuinA l’automne 2010, Fabrice

 

 

"Arrête de te plaindre !"

Avec son "Traité de morale pour triompher des emmerdes", Fabrice Midal, l'un des principaux enseignants de la méditation en France, nous explique comment faire face aux difficultés et reprendre sa vie en main.

 

L'attrait du Dalaï-Lama (3/5)

C'est le cas de Fabrice Midal, philosophe et écrivain, fondateur de l’Ecole Occidentale de méditation, auteur du livre interviewé par Jean-Christophe Emery.

 

L'attrait du Dalaï-Lama (4/5)

Suite de l'entretien avec Fabrice Midal, philosophe et écrivain, fondateur de l’Ecole Occidentale de méditation, il est au micro de Jean-Christophe Emery.

 

L'attrait du Dalaï-Lama (4/5) - rts.ch - A vue d'esprit

le 11 avril 2013 ... Le Dalaï-Lama est en Suisse du 13 au 17 avril 2013 pour un enseignement spirituel à Fribourg et la participation à un Forum universitaire à Lausanne. "A vue d’esprit" s'interroge sur l'attrait que suscite la figure du Dalaï-Lama et toute la tradition du bouddhisme tibétain.

 

La sélection

Dans Egosystème (La 1ère), Fabrice Midal explique pourquoi il vient dʹécrire le livre "Sauvez votre peau! Devenez narcissique". Dans la chronique de la Matinale "Ici la Suisse" (La 1ère), reportage dans lʹune des plus belles salles de concert du monde: la Salle de Musique de La Chaux-de-Fonds.

 

Programmes La Première

La Première contribue de façon centrale au mandat de service public en offrant un programme généraliste, axé sur l'information, l'offre sociétale, culturelle « grand public », l'offre de services et le divertissement.

 

Programmes La Première

La Première contribue de façon centrale au mandat de service public en offrant un programme généraliste, axé sur l'information, l'offre sociétale, culturelle « grand public », l'offre de services et le divertissement.

 

Sous le feu des critiques, le canton de Vaud assume sa stratégie

le 18 septembre 2020 ... - Même s'il est en plein regain d'épidémie, le canton de Vaud a revu sa pratique en matière de mise en quarantaine, s'attirant les critiques de certains, notamment en Suisse alémanique. Invitée dans Forum, la conseillère d'Etat Rebecca Ruiz défend la stratégie des autorités.- Face à l'augmentation des cas en Suisse, le comité directeur de la Conférence des...

 

Quel titre ? - Espace 2

Espace 2 est une chaîne culturelle et musicale. Elle offre un programme consacré principalement à la musique classique, au jazz, aux musiques du monde et à la culture au sens habituel du mot (arts, littérature, arts de la scène, sciences humaines etc.).

 

 

Des journalistes romands s’interrogent: faut-il interdire le terme d’islamo-gauchiste et ils expliquent ce qu’est la cancel culture

Cenator: Alors que la RTS ne cesse de dénoncer la manque de liberté de la presse en Hongrie, voici une parfaite illustration de ce que signifie la liberté des médias dans la tête des journalistes audibles en Suisse romande.

S'interroger sur l'interdiction du terme islamo-gauchisme, c'est comme se demander comment interdire le réel, comment le remplacer par un réel acceptable pour les médias mainstream, un réel qui permette de maintenir l'hégémonie culturelle.
Vouloir interdire le terme islamo-gauchisme, c'est nier l'existence des phénomènes sociétaux les plus brûlants qui préoccupent tous ceux qui échappent au contrôle mental de la bienpensance, c'est se préoccuper du moyen de réduire au silence ceux qui débattent de ce phénomène, c'est délibérer sur la manière de nier l’existence de tous ceux qui ne sont pas sous la domination de la pensée unique.

***

1er débat RTS (2:55)

En France, la notion d'"islamo-gauchisme" fait polémique dans le milieu universitaire

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/en-france-la-notion-dislamo-gauchisme-fait-polemique-dans-le-milieu-universitaire?id=11963024

Alexandre Habay en direct de Paris avec Renaud Malik

Pourquoi ce terme revient si souvent dans le débat politique.

Comment est-ce qu’on peut expliquer cette volonté de la part d’une ministre ?

En effet, elle a soulevé des émotions dans les universités qui seraient le nouveau terrain de chasse des islamo-gauchistes.

Sur CNews, qui serait le Fox News français, elle a annoncé cette enquête. Le CRNS va mener une enquête sur ce qui relève de la recherche et ce qui relève du militantisme et d’opinions.

Renaud Malik : Comment réagissent les milieux concernés ?

Alexandre Habay : Le CRNS s’est fendu d’un communiqué acerbe dénonçant une pseudo-notion, à laisser aux animateurs de CNews, ou plus largement de l’extrême droite, qui l’a largement popularisée.

Avant Frédérique Vidal c’est Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’éducation, qui s’est alarmé des ravages de l’islamo-gauchisme à l’université.

RM : Ce terme nous renvoie à quoi ? Qui sont au fond les IG ?

AH : C’est un vaste débat. A la base, une supposée convergence entre l’extrême gauche et les milieux islamistes, qui remonterait aux années 70, dont Pierre-André Taguieff, le premier qui l’ait utilisé dans les années 2000.

Aujourd’hui, il sonne  un peu comme un anathème, qui fait penser aux accusations de trotsko-fascisme, ou de judéo-bolchévisme d’un autre temps. Certains retournent le stigmate et se revendiquent islamo-gauchistes pour s’amuser et pour neutraliser son usage disqualifiant.

Renaud Malik : Il y a quand même des intellectuels qui disent que cela renvoie à une réalité ?

AH : Oui, et ce ne sont pas forcément des fous furieux ! Jacques Juillard, Gilles Kepel, Marcel Gauchet, Pascal Bruckner, ou encore Elisabeth Badinter utilisent ce terme, ils désignent ainsi les milieux progressistes, qui militent parfois aux côtés des mouvements qu’on peut qualifier d’islamistes. Les musulmans, remplaçant du coup le prolétariat de jadis dans une perspective révolutionnaire.

Alors, ils ont des combats en commun, pour la Palestine, contre l’impérialisme occidental, ou plus récemment, contre l’islamophobie. Et on arrive au cœur de ce qui fait tiquer en France, au gouvernement, parfois à droite, mais aussi à gauche, à savoir l’importation des USA des Critical Studies, des nouveaux champs de recherche sur le post-colonialisme, avec un intérêt toujours plus marqué pour la race.
Le spectre d’une diffusion de la cancel culture américaine plane sans doute et ça fait grincer des dents aux défenseurs de la tradition française qui se déclare universaliste.

*****

2e débat 21.02.2021

Faut-il interdire le terme d’islamo-gauchisme ?

L'islamo-gauchisme, fantasme ou réalité?

Débat entre Alexandre Habay, correspondant pour la RTS à Paris, Laure Lugon, journaliste au Temps et Philippe Bach, rédacteur en chef du Courrier.

Renaud Malik : Suite à la polémique déclenchée par Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, CNews a dit : Le gauchisme gangrène la société dans son ensemble et gangrène l’université, qui n’est pas imperméable, car elle fait partie de la société.

Renaud Malik : L'islamo-gauchisme, c'est cette prétendue complaisance d’une partie de la gauche à l’égard de l’islam radical. Pour la ministre, c’est pire qu’un problème, c’est une gangrène. Et elle veut enquêter dans le monde académique pour en mesurer l’ampleur. Stupeur, on l'imagine, dans le monde de la recherche, appel à la démission de la ministre Frédérique Vidal et le dossier est encore loin d’être refermé.

 

Renaud Malik à Laure Lugon : ce n’est pas la première fois qu’on entend ce terme IG. Vous-même, vous l’avez utilisé dans un de vos articles concernant la division au sein de la gauche genevoise.
Je vous pose la question très directement : L’IG, ça existe vraiment ?

Laure Lugon : OUI, je crois que ça existe vraiment, c’est une réalité politique. La gauche a été traversée durant ces 20 dernières années par les... Disons la gauche radicale, surtout, les socialistes un peu moins chez nous, mais tout de même, on voit avec certains dossiers actuels, politique d’actualité.
Elle est divisée entre ceux qui sont les tenants d’une laïcité très forte, nommés par les autres les laïcards et par ceux qui préfèrent soutenir une forme, disons, euh, de nouveau prolétariat, si vous voulez, qui seraient les musulmans et donc, faisant partie des musulmans aussi d’un certain mouvement plus fondamentaliste.

Donc, oui, je crois que l’IG est une véritable réalité. Et qu’il y a un fort militantisme dans les structures universitaires notamment, comme sur d’autres dossiers par ailleurs, parce que les universités sont aussi les creusets des contestations sociales,... des éventuelles révolutions...   et là, la gauche tient peut-être une autre nouvelle forme de, euh ...un dossier disons qui pourrait, disons qui l’intéresse et sur lequel elle se fonde.

à Philippe Bach: Pourtant on entend dire que parler d’IG, ce serait presque aussi absurde qu’à l’époque des années trente quand certains parlaient du complot judéo-maçonnique. On est dans le phantasme ou dans la réalité ?

Philippe Bach : Concept flou ou fourre-tout comme bobo. Ce n’est pas pour rien que la ministre avait été appelée par le chef CRNS, qui est chargé de l’enquête, a sévèrement remballé la ministre d’arrêter de braconner sur le terrain de l’extrême droite.

Le terme IG est sociologiquement un peu flou, fourre-tout, pas complètement faux, ça date de la révolution iranienne. Comment on se positionne par rapport à Khomeiny, au Forum Social Mondial, Est-ce qu’on s’ouvre à l’alter-mondialisme musulman, ou à la théologie de la libération ?

Islamo-gauchisme nous renvoie aux concepts assez dangereux comme judéo-bolchévisme, ou les communistes après-guerre utilisaient le terme hitléro-trotskysme, des concepts qui fleurent assez bon l’extrême-droite.

De voir la macronie triomphante s’engouffrer dans cette brèche, ça m’inquiète beaucoup, c’est dangereux et révèle un certain moment de panique.

 

Renaud Malik à Alexandre Habay: Est-ce que ce terme renvoie à une réalité ? Le CRNS a dit que le terme IG ne correspond à aucune réalité scientifique. C’est difficile à se faire une idée.

Alexandre Habay : 4 :16 C’est un débat qui aurait pu être intéressant, mais on mélange les notions. [...] Déjà enquêter sur le travail des universitaires est un problème en soi. Ce n’est pas au gouvernement de distribuer les bons et les mauvais points dans ce domaine.

C’est plus intéressant de parler d’autres phénomènes, des courants identitaires venant des universités américaines, donc « l’identity politics », comme la pensée décoloniale, l’indigénisme, le racialisme.  Ces phénomènes qui arrivent en France et qui créent des tensions dans les  universités. Alexandre Habay donne l’exemple du racisme: spectacles annulés pour dépression à la Sorbonne pour racisme, sujet PMA bloqué par l’extrême gauche, les sujets sur l’identité, les rapports aux minorités qui sont des nouveaux champs de recherches, parfois, c’est vrai très orientées, parfois, très militantes dans les universités. Ça vient des Etats-Unis. Ç'aurait été là le débat le plus intéressant. Du coup, le terme islamo-gauchiste est un  peu fourre-tout, peut-être aussi un dérapage de Frédérique Vidal, mais aussi... une manière de parler à un certain électorat de l’aile Droite du gouvernement, Darmanin, ce sujet les intéresse.

Renaud Malik : Il y a peut-être une évolution, on peut dire une dérive au sein des universités ? Vous en  parliez tout à l’heure Laure, Lugon. Commanditer une enquête, mesurer la réalité du phénomène, ce n’est pas peut-être complètement absurde.

Laure Lugon : Effectivement, pas forcément absurde, on peut le faire. Est-ce que cette enquête va réellement donner des résultats ? Laure Lugon trouve problématique que dans certaines facultés de sciences sociales , le militantisme et l’idéologie prennent le pas sur la recherche la plus neutre possible, sachant qu’on n’est jamais neutre et qu’on a toujours une orientation quelle qu’elle soit.

Tout ce qui est doctrinaire dans les universités, spécifiquement chez les gens qui sont censés réfléchir et observer les phénomènes sociaux. S’il y a la doctrine et la doxa, ça donne forcément une forme d’atrophie de la pensée. Une forme de difficulté à exprimer un certain concept parce que tout à coup, ils ne sont plus audibles par une majorité. Et ça me paraît vraiment redoutable. Parce que l’esprit critique, c’est quand même ce qui devrait prévaloir dans nos universités, dans le monde politique en général, et dans la société tout entière. C’est cela qui fait la démocratie.

Renaud Malik  à Philippe Bach: Un enquête pourrait permettre de couper court au fantasme? (C’est-à-dire que le fantasme "islamo-gauchisme" existe.)

Philippe Bach : On peut toujours rêver, cette enquête va accoucher de rien du tout. Le problème est qu’il y a certaines réalités sociales et que certains ne veulent pas en prendre compte. Est-ce qu’ils sont correctement traités par certains chercheurs (Philippe Bach parle de l’islamo-gauchisme) ?
La langue de bois, le jargon a toujours existé, les chercheurs utilisaient des concepts un peu abscons.
Une fois que tout cela sera cristallisé, que l’écume sera un peu tombée on y verra plus clair. Les gens qui critiquent le fait de parler de race ne veulent simplement pas admettre qu’il y a cette réalité sociale. Et ça leur pose problème. C’est la même chose avec le langage épicène. Il y a eu une mini-polémique autour des nouvelles directives épicènes de la RTS, mais c’est très bien. Toutes les évolutions ont parfois certains excès, après on rectifie.

Renaud Malik à Philippe Bach : Revenons au terme islamo-gauchiste qui a émergé vers les années 2000.  La gauche est divisée sur la religion et l’islam en particulier depuis la révolution iranienne.

Philippe Bach : Foucault a été probablement un peu complaisant avec une réalité qu’il ne connaissait pas très bien. Ce n’est pas nouveau, comme avec la révolution des Khmers rouges ou la Révolution vietnamienne.  L’oppressé d’hier se mue en oppresseur. Il y a toujours un moment de flottement.

Le nouveau est que le rapport de la gauche à la religion a évolué. Il y a une trentaine d’années, même au PS, c’était, disons, euh, même la gauche chrétienne était mal vue. La jeunesse chrétienne ouvrière était plutôt au POP. Aujourd’hui, nos sociétés se sont sécularisées, les choses évoluent.

Laure Lugon : Mais paradoxalement, cette même gauche brocardait les religions, et tentait d’abord de prôner l’égalité, 9:55 et ensuite de se débarrasser de la religion dans l’espace social. Aujourd’hui, cette même gauche, une certaine partie de la gauche reprend une nouvelle religion à son compte, disons pas si nouvelle, et défend certains éléments d’une autre religion et ça, pour cette gauche traditionnelle, c’est quand-même problématique. C’est comme un dévoiement de l’esprit de la base,... parce que voilà, la religion, c’est l’opium du peuple. Ce n’est quand-même pas quelqu’un d’extrême-droite qui l’a dit ?

Renaud Malik à Laure Lugon: Vous avez écrit que cette division entre la ligne dure face à la religion et ceux qui dénoncent l’islamophobie est particulièrement marquée à Genève ?

Laure Lugon : On se jette des anathèmes et c’est assez problématique car derrière des termes islamo-gauchisme ou islamophobe, il y a quelque chose de négatif là-derrière. On sent dans la gauche romande qu’il devient extrêmement compliqué, par exemple, l’initiative sur la burqa : les gens de Gauche, les politiciens de Gauche qui pourraient éventuellement être d’accord avec cette initiative, pour certains, ont beaucoup de difficulté à le dire parce que, précisément, dès qu’on dit quelque chose dans un certain sens, qui veut, qui pourrait être un critique, euh, d’un islam, euh, on est traité d’islamophobe. Et ça, c’est vraiment, vraiment problématique. Parce qu’il y a, il y a cette espèce de, de, de dictature de la bienpensance. Donc il vaut mieux ne pas aborder les sujets. Euh, les passer plutôt sous silence plutôt que d’être taxé d’islamophobe. Or, il y a quand même des sujets qui doivent être portés dans le champ public, parce que ça intéresse la société dans son ensemble.

Renaud Malik à Philippe Bach : La gauche est divisée, c’est une réalité ?  Il y a des socialistes, comme par exemple Pierre-Yves Maillard, qui a montré de la sympathie pour l’initiative sans aller jusqu’à dire qu’il allait voter Oui. L’autre partie de la gauche votera Non en dénonçant justement un texte, l’islamophobie... Toujours la même ligne de fracture ?

Philippe Bach: Oui et non. Les socialistes comme Pierre-Yves Maillard ou Géraldine Savary, qui n’étaient pas opposés à l’initiative, n’ont pas été traînés dans la boue, ils n’ont pas été traités d’islamophobes. C’était admis qu’on pouvait être contre.

Renaud Malik à Alexandre Habay: La gauche française est divisée depuis des décennies sur la question de l’islam mais depuis 2015, cela est devenu un sujet littéralement explosif ?

Alexandre Habay : Oui, c’est vrai. Il y a un changement de logiciel dans une partie de la gauche. Dans une partie de la gauche très visible, pas seulement avec Tarik Ramadan, qui évolue dans les sphères intellectuelles et qui est invité sur les réseaux sociaux. On a vu la manif contre l’islamophobie avec la lutte ouvrière qui criaient Allah akbar dans les rues. Cela aurait été impensable il y a quelques années. L’évolution de Mélenchon est aussi très parlante : avant, un Républicain très raide sur ces questions, qui traite maintenant Charlie Hebdo de torchon d’extrême-droite. Une partie de la gauche radicale, comme les macronistes, cherchent à capter un électorat, c’est quelque chose dans l’air du temps.

Renaud Malik : Chez nous le débat est plus apaisé qu’en France, malgré les mêmes lignes de fracture. Pourquoi ? Parce qu’il y a eu l’expérience des attentats en 2015 ? Ou parce que c’est que le débat politique est plus explosif en France ?

Alexandre Habay : Les attentats de Charlie Hebdo ont créé une déchirure. Manuel Valls a parlé d’une gauche irréconciliable après ces attentats. Sur le voile on a ce débat éternel. Car la France, c’est aussi l’universalisme, le féminisme universaliste et féminisme intersectionnel ça crée des tensions.
Je crois qu’on mélange un peu en France les histoires de terrorisme et de ce qu’on appelle le séparatisme islamiste. Je ne sais pas jusqu’à quel point on peut séparer les deux choses. On a vu avec l’assassinat de Samuel Paty qu’il y avait tout un écosystème islamiste, où des gens pas forcément liés aux activités terroristes pouvaient créer une atmosphère qui faisait en sorte que ce genre d’acte pouvait plus facilement être commis. Donc, effectivement, la France est un peu traumatisée sur ces questions et a tendance peut-être un peu à mélanger les phénomènes.

Renaud Malik à Laure Lugon : Pour apaiser un petit peu le débat, est-ce qu’il ne faudrait pas bannir l’utilisation,  le terme un peu réducteur et un peu insultant aussi, comme l’islamo-gauchisme, justement ?

Laure Lugon : Certainement pas. Je m’oppose à toute forme de censure. On doit pouvoir parler, débattre et rire de tout.

Il faut qu’on arrête d’interdire, de légiférer le vocabulaire parce que c’est légiférer la pensée.

Au contraire, il faut aborder ces sujets de fond.

En Suisse on le fait dans un climat beaucoup plus apaisé qu’en France.

Il faut pouvoir parler et je pense que même si certains mots peuvent paraître dénigrants ou insultants, il faut arrêter de faire de la correction politique à longueur de journée.

Renaud Malik à Philippe Bach : Vous seriez pour bannir ce terme d’islamo-gauchisme à jamais dans le débat politique ?

Philippe Bach : Je pense qu’il déshonore surtout ceux qui l’emploient. Moi, quand on me traite d'islamo-gauchiste, ou de...

Intervention pressée de Laure Lugon : « Comme  islamophobie, par ailleurs »

Philippe Bach continue : ... ou de bienpensant, ça me fait plutôt rire. Je pense que c’est creux, ça ne reflète rien. Donc, il ne faut pas bannir les termes, il faut oser le débat.

Mais le mot islamophobie, pour moi, il y a quand même la haine du musulman, notamment en France, qui manifeste... ça recoupe une réalité sociologique, alors que l’islamo-gauchisme, c’est un peu du vent.

Forum des médias - L'"islamo-gauchisme", fantasme ou réalité? - Radio - Play RTS

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La preuve scientifique en laboratoire médiatique que cette chaîne est composée non de journalistes mais de petits voyous islamo-gauchistes

(G-W Goldnadel)

 

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La stratégie islamo-gauchiste et  les liens de la Gauche occidentale avec les Frères musulmans, les organisations terroristes, le Qatar et l’islam radical

https://www.youtube.com/watch?v=S76lkwrTcAQ £

Si vous zonez sur le net vous êtes déjà surement tombés sur une vidéo d’AJ+. Elles ressemblent comme deux gouttes d’eau à un média d’infotainment classique qui inonde les réseaux sociaux. Pourtant, AJ+ , c'est @AlJazeera الجزيرة , le média du soft power qatari.

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Mosquée financée par la mairie de Strasbourg : "une traduction de l'islamo-gauchisme" (vidéo 1:39)

Europe 1

Le financement de la mosquée de Strasbourg par la mairie écologiste de la ville dénoncé par le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, a été également pointé du doigt par David Lisnard, le maire de Cannes, mercredi matin dans la matinale d'Europe 1. Il s'agit "manifestement là d'une traduction de l'islamo-gauchisme", a-t-il indiqué au micro de Sonia Mabrouk.

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Des Dômes & Des Minarets

16 oct. 2017 (5:11)

Cérémonie de pose de la première pierre de la grande mosquée Eyyûb Sultan de Strasbourg

qui sera la plus grande de France et l'une des plus grandes d'Europe occidentale.

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Voir aussi: Le nom de la mosquée Eyyûb Sultan de Strasbourg fait référence à une figure du siège de Constantinople : « Pénétrez profondément dans le territoire ennemi, aussi loin que vous pouvez aller ! »

Mais quelle bonne nouvelle: le PLR Nicolas Jutzet annonce sa retraite politique!

Cenator: Bien entendu, étant libéral, et militant, Jutzet a également rendu de grands services à notre pays, mais pour nous il restera tristement célèbre pour les dégâts qu'il a causés à la liberté de penser en Suisse romande.
En effet, après l'échec de l'initiative No Billag, l'uniformité médiatique est devenue pire et pour maintenir en vie ces machines à propagande, les subventions coulent à flot. Quant à la RTS, elle s'est retrouvée plus décomplexée et toute-puissante que jamais pour diffuser la pensée unique.

Exemple du talent de Jutzet pour se saborder dans les débats:
Forum, 11.01.2020:
Le PLR dépose une initiative pour l’âge de la retraite à 66 ans.
Invités: Nicolas Jutzet, vice-président des Jeunes libéraux-radicaux suisses, et Samuel Bendahan, conseiller national socialiste.

Face aux arguments hors sol et dogmatiques de Bendahan, Jutzet aurait dû pouvoir remporter aisément le débat.
Malheureusement, comme souvent, Jutzet déverse ses arguments, ici très valables, dans un flot tellement rapide, et en plus peu audible, que Bendahan, dont l'intervention est audible et compréhensible, emporte la mise, malgré ses arguments totalement prévisibles et son raisonnement qui ne tient pas debout.
Le jeune PLR aurait dû se débrouiller pour être présent dans le studio, ou du moins s'assurer préalablement d'être bien audible, et dans tous les cas s'efforcer de ralentir son rythme de parole par respect pour les auditeurs, ou encore envoyer quelqu'un d'autre à sa place.

Lien vers le débat: https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/le-plr-soutient-une-initiative-pour-lage-de-la-retraite-a-66-ans-debat-entre-nicolas-jutzet-et-samuel-bendahan?id=10985415

Par ailleurs, dans beaucoup de ses interventions médiatiques, Jutzet a trop mis l'accent sur l'aspect économique des problèmes soulevés, au détriment de la souveraineté du pays. En épousant des causes à la mode, sans tenir compte des enjeux civilisationnels, Jutzet est devenu une valeur sûre pour la RTS, lorsqu'elle devait faire appel à un représentant de la Droite… qui cherche à plaire avant tout.

Jutzet a contribué à rendre la RTS toute-puissante, grâce à l'échec de l'initiative No Billag, rejetée à 71,6%

Nicolas Jutzet est devenu célèbre après avoir dirigé la campagne de l'initiative No Billag en Suisse romande. Le jeune cadre PLR s'est concentré sur le montant de la redevance, sans attaquer le problème primordial, à savoir l'abus du monopole de la RTS par lequel elle déverse un militantisme qui la met en position d'être le premier parti de Suisse.

Un exemple illustrant Jutzet dans notre souvenir est celui où il se trouve dans le train, assis en face du journaliste Pierre Nebel, filmé par la RTS. Au lieu de sortir ses griefs contre la RTS, Jutzet rassure Nebel en disant qu'il aime bien la RTS, et pointe comme problème le fait que Nebel porte une cravate, pour souligner la différence de génération entre eux.

Cette année, Jutzet s'est également fait remarquer en prônant le polyamour, en ces temps où l'institution de la famille est si violemment attaquée par la Gauche et toute la bienpensance.
Jutzet soutient que le droit et la morale ne doivent pas être liés.

https://lesobservateurs.ch/2021/03/07/mariage-pour-tous-stop-a-la-tactique-du-salami-signez-le-referendum/

Utilisé par les médias comme représentant des idées de la Droite, son départ sera un soulagement pour la vraie Droite.

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arcinfo.ch: Le Rochefortois Nicolas Jutzet se retire de la vie politique. Le vice-président des JLRS l’a annoncé ce samedi à Berne. Il désire «passer plus de temps à s’engager pour la liberté».

[...]

A 26 ans, il part avec «le sentiment du devoir accompli»

[...]

Nicolas Jutzet souhaite investir son temps dans ses engagements à Liber-thé, «le média qui infuse la liberté», et à l’Institut Libéral, basé à Lausanne.

Le jeune homme a notamment présidé le comité de campagne romand «No Billag» en vue de la votation fédérale sur l’initiative du même nom. Celle-ci a été rejetée le 4 mars 2018 par 71,6% des votants.

RTS: Diane Bolet, docteure en sciences politiques: Fermer des pubs ou des bistrots amène l’essor de l’extrême droite

RTS: Diane Bolet, docteure en sciences politiques: La fermeture des pubs britanniques est à l’origine de l’essor de l’extrême droite.

Interview de Diane Bolet, docteure en sciences politiques et chercheuse au King’s College de Londres*, par Mehmet Gultas.

lien vers l'audio: https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/la-fermeture-des-pubs-britanniques-est-a-lorigine-de-lessor-du-parti-ukip?id=12306000

*Le King’s College de Londres est réputé pour son virage à l'extrême gauche: 
https://thecritic.co.uk/how-kings-college-london-has-become-cancel-college/

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C'est une honte absolue que la RTS fasse croire que Diane Bolet représente autre chose qu'une vision extrêmement biaisée et politisée de la sociologie. 

Son mépris du bas peuple, qu'elle projette de canaliser par l'ouverture de centres socio-culturels pour éviter que les gueux soient tentés de voter "extrême droite", sa vision hors sol et son univers mental vicié de bobo gauchiste, sont présents en filigrane tout au long de l'interview.

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Cenator: "La fermeture des pubs britanniques est à l’origine de l’essor du parti UKIP", parti d'extrême-droite, selon la chercheuse suisse. Et elle a bien l'intention de rapatrier sa science en Suisse: une idée de génie, ça ne peut se perdre. Probablement elle fera beaucoup de dégâts jusqu'à sa retraite, si toutefois la Suisse survivra à ce genre d'élites.

Mais comment Mehmet Gultas et son équipe ont-ils dégoté cette nouvelle "Stéphanie Pahud" ? Comment ces "scientifiques" ont-elles été mises au menu du jour?
S'expatrier à Londres pour se wokiser un peu plus, et avec un doctorat à la clef, cela ne se refuse pas! Nous aurions également voulu savoir qui finance son séjour d'Erasmusienne de luxe dans une université militante woke à Londres?

Tout comme nous aimerions savoir comment cette intelligentsia marxiste est programmée quasiment quotidiennement pour expliquer à la population comment elle doit comprendre le monde, pour former son opinion et pour éviter qu'elle ne tombe dans le camp de "l'extrême droite" – c'est-à-dire tous ceux qui ne sont pas politiquement corrects.

Ici, la chercheuse en sciences sociales, dans le cadre de son doctorat, a émis l'hypothèse qu'il suffit de donner au peuple du pain et des jeux pour calmer les esprits et éviter qu'ils ne tournent rances et virent extrême droite.

Pour la RTS, il suffit  d'être conservateur, souverainiste, pour être taxé d'extrême droite.
Cette technique de manipulation cherche constamment à amalgamer les conservateurs et les patriotes avec l'extrême droite. Et puisque les néo-nazis sont également appelés d'extrême droite, toute opposition à la bienpensance peut être par ce moyen diabolisée, ostracisée. Ainsi, toute personne qui s'oppose à l'immigration de masse ou à l’islamisation sera classée d'extrême droite et, au final, de nazie.

Et voici la science de Diane Bolet: Le lien entre la politique et les pubs

Gultas affirme d'emblée que l'étude de Diane Bolet a démontré que lorsque les pubs ferment, le bon peuple devient d'extrême droite.

Diane Bolet va expliquer comment la fermeture des pubs influence le comportement des électeurs.

«Le football, la bière et, surtout, le jeu, formaient tout leur horizon et comblaient leurs esprits. Les garder sous contrôle n'était pas difficile.» George Orwell

 

Diane BoletSi un électeur britannique voit son pub fermer, cela augmente de 4 points ses chances de voter UKIP, c'est-à-dire extrême droite.

La chercheuse a rejoint une équipe universitaire à Londres pour tester la théorie du capital social sur la fermeture progressive d'espaces socio-culturels et l'impact de ces fermetures sur l'électorat d'extrême droite.

Gultas: Pourquoi aller voir des pubs, et pas des bistrots ou des bureaux de poste, qui ferment également en Suisse?

Bolet répond à côté et avec une hypocrisie absolue: L'emblème de l'espace socio-culturel en Grande-Bretagne, c'est le pub. Et il y avait plus de "données locales".

En fait, avoir fait son doctorat dans une université britannique ou d'un autre pays étranger occidental est un "must"; aussi nul que soit le résultat, cela offre au CV un prestige qui ouvre la voie vers une carrière académique.
Étant donné que les sciences humaines sont déjà toutes infestées par l'idéologie marxiste et n'engagent plus que ce genre d'apparatchik, sa place est assurée.

Gultas sert la soupe à Diane Bolet: Vous avez établi une corrélation mais pas vraiment une causalité? Vous n'êtes pas au point de dire, voilà en fait, pourquoi ces gens votent UKIP? Parce qu'on leur a fermé leur pub? Simplement vous constatez qu'il y a une corrélation. Et Gultas demande des éléments d'explication.

Diane Bolet:
- 1ère hypothèse ou mécanisme:
La fermeture de ces pubs contribue à un isolement social. Donc la solitude pousse les gens à voter pour des partis plus extrêmes

- 2ème hypothèse-mécanisme: perte d'héritage culturel.
Ces individus des classes populaires - ce sont eux qui se rendent aux pubs populaires - voient leur statut être remis en question.
Ils voient dans la fermeture des pubs une menace de leur culture identitaire.

Et ce que les partis d'extrême droite ont réussi à faire ces cinq dernières années, notamment avec Trump, ou avec Brexit, c'est qu'ils ont pu glorifier en fait le statut perdu de ces individus qui sont remis en question et donc, qu'ils leur ont offert une sorte de renouveau en leur parlant d'une nostalgie de rendre à nouveau l’Amérique grande, où ces individus étaient le pilier de la société.

Gultas: Est-ce que ces conclusions, qui sont propres à la Grande-Bretagne, sont transposables à d'autres pays?

Diane Bolet: Oui, et Diane Bolet rassure Gultas: rien n'est perdu pour la Suisse, c'est ce qu'elle est en train de faire, transférer l'étude en Suisse, en France, en Allemagne. En contact avec des collègues suisses et français, elle va reproduire cette étude en Suisse, avec notamment ses bistrots de village, et en France, avec ses bars.
Diane Bolet essaye de généraliser cette idée, cette théorie, et on va faire en sorte que cette hypothèse marche et qu'on puisse trouver des corrélations dans d'autres pays que le Royaume Uni.

Très bien, conclut Gultas.

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voir aussi: Angleterre : étudiants mobbés sur les campus parce qu’ils sont de droite

https://lesobservateurs.ch/2018/05/20/angleterre-etudiants-mobbes-campus-quils-de-droite/

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Le King’s College de Londres va remplacer les portraits de ses fondateurs blancs et barbus par un «mur de la diversité»

https://lesobservateurs.ch/2017/07/16/le-kings-college-de-londres-va-remplacer-les-portraits-de-ses-fondateurs-blancs-et-barbus-par-un-mur-de-la-diversite/

En Asie, 600 projets de centrales à charbon menacent les objectifs climatiques

20minutes.ch - 30 juin 2021 (AFP)

[...]

La Chine, l’Inde, l’Indonésie, le Japon et le Vietnam ont au total plus de 600 nouvelles centrales à charbon en projet, selon un rapport du centre de réflexion Carbon Tracker, publié mercredi. Ces cinq pays asiatiques comptent pour 80% des nouvelles centrales au charbon prévues dans le monde et menacent les objectifs de limitation du réchauffement climatique. [...] limiter le réchauffement des températures à 1,5 degré [...].

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/en-asie-600-projets-de-centrales-a-charbon-menacent-les-objectifs-climatiques-285673964350

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Cenator: Pendant que le monde réel, qui n'est pas infesté par le néo-marxisme occidental, mise sur le nucléaire pour parer au manque d'énergie mondial, nos Khmers Verts proposent des mesures irréalistes et autopunitives, qui vont gravement nuire à l'avenir de la Suisse.
La votation sur les Multinationales responsables, qui n'a pas obtenu la majorité des cantons, a laissé beaucoup d'amertume à notre jeunesse endoctrinée par l'idéologie des Verts.
Et comme les signatures sont faciles à récolter pour cette population majoritairement oisive, estudiantine, disponible en temps et débordante de convictions, il y a déjà trois nouvelles initiatives climatistes dans leur pipeline, toutes aussi extrêmes et fanatiques les unes que les autres.
De toute évidence, rien ne pourra leur suffire, leur combat est sans limite, quelles que soient les mesures infligées aux habitants de la Suisse. D'autant plus que l'impact de leurs mesures déjantées ne sera jamais mesurable, ni satisfaisant.
Ce qui signifie que ces politiciens hors sol vont continuer sans fin à combattre pour que la population suisse passe à la caisse.
Se servant du changement climatique pour justifier leurs revendications anticapitalistes, comme tout mouvement de Gauche qui prend de l’ampleur, ils vont devenir de plus en plus incontrôlables, à moins que les citoyens ne les arrêtent par les urnes.
Mais pouvons-nous encore espérer que nos citoyens refusent de voter pour des Adèle Thorens, des Lisa Mazzone qui savent si bien, via des médias complices, capter l'attention des gens naïfs et crédules ?

voir aussi: Des indices suggèrent que la Chine augmente significativement la taille de son arsenal nucléaire

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RTS  - Le grand débat - Faut-il verdir nos investissements?

30.06.2021

Débat entre Adèle Thorens, conseillère aux Etats verte vaudoise, 

Christian Lüscher, conseiller national PLR genevois (rappel: Le PLR était favorable à la loi sur le CO)

et Vincent Kaufmann, directeur de la fondation Ethos, qui promeut les investissements socialement responsables.

Adèle Thorens: La place financière suisse est l'une des plus importante au monde et elle impacte via ses investissements le changement climatique.

Il y a eu plusieurs propositions au Parlement pour verdir nos investissements.

La place financière ne s'est pas opposée activement à tenir compte des risques climatiques.

Le changement climatique aura un effet extrêmement néfaste sur notre économie. On voit par les pics de chaleur que nous en sommes déjà à un stade avancé (ndlr: nous avons eu un mois de juin spécialement frais). Les investissements dans le carbone vont rapporter de moins en moins. La communauté internationale a pris des engagements lors des accords de Paris. et maintenant c'est les clean tech qui ont le vent en poupe.

Il faut une transparence au niveau européen, et les produits financiers doivent être suivis par les acteurs, caisses de pensions, banques et assurances, investisseurs privés, et par les organes de surveillance, qui les désapprouvent lorsqu'ils prennent trop de risques.

Il faudrait fixer des objectifs de réduction de l'impact climatique, grâce à la transparence : le système de l'Office fédéral de l'environnement permet de poser des diagnostics climatiques. Thorens souhaite que ce système devienne contraignant.

Elle veut également, en tant que législateur, que le système contrôle la compatibilité climatique des investissements avec des objectifs fixés, sinon il faudrait des sanctions, et qu’il y ait un monitoring pour vérifier que ces objectifs soient atteints.

Vincent Kaufmann : Ethos sensibilise et négocie avec les conseils d'administration pour verdir les investissements.

Christian Lüscher: Il ne faut pas forcer mais "inciter" fiscalement les investisseurs à miser sur les investissements "cleans".

La Suisse investit déjà 717 milliards dans les produits qui sont gérés dans les règles ESG (règlesenvironnementales, sociales et de gouvernance)

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/le-grand-debat-faut-il-verdir-nos-investissements?id=12296977

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Forum, 27.06.2021

Les crédits énergétiques, nouveau credo de la lutte contre le réchauffement climatique en Suisse? (2:10)

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/les-credits-energetiques-nouveau-credo-de-la-lutte-contre-le-rechauffement-climatique-en-suisse?id=12289742

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Forum, 27.06.2021

Une nouvelle loi CO2 basée sur l'incitation peut-elle séduire les entreprises?  (3:12)

Interview de Christophe Reymond, directeur du Centre patronal.

Ndlr : Financement par incitations, par crédits, par des fonds comme le fonds "bâtiments", etc. : c'est surtout une question de vocabulaire pour renommer des choses qui restent identiques: l'Etat prend l'argent dans les poches des contribuables.
Les seules choses qui diffèreront, ce sont les variantes d'usine à gaz mises en place pour ces rackets, tous basés sur un même bobard CO2, et le nombre des fonctionnaires ou percepteurs qui vont en vivre.

Nous avons déjà en Suisse une taxe CO en Suisse de 96 CHF/tonne, qui est la plus haute au monde après la Suède.

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/une-nouvelle-loi-co2-basee-sur-lincitation-peut-elle-seduire-les-entreprises-interview-de-christophe-reymond?id=12289743

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Résumés et commentaires: Cenator

 

À la RTS, l’affaire de harcèlement prend de l’ampleur

Cenator: Pour un changement en profondeur, il faudrait supprimer la redevance obligatoire ou en tout cas créer enfin une concurrence et une vraie pluralité médiatiques. Les contribuables doivent-ils subventionner  même la continuelle propagande progressiste, antipatriotique et anti-UDC .

Cerise sur ce gâteau peu reluisant au regard de la concession, certains de ces éternels donneurs de leçons, se comportaient par ailleurs en goujats en ce qui concerne l’intégrité personnelle et sexuelle de leurs collègues.

Enfin, les enquêtes "indépendantes", aux frais des payeurs  que nous sommes, vont permettre à Monsieur Marchand, d’une part de dire que tout a été fait dans les règles de l’art pour remédier à la situation et d’autre part de lui permettre de continuer à percevoir son salaire annuel de plus d’un demi-million.

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Après avoir recueilli et analysé quelque 180 témoignages du personnel de l’audiovisuel public, le Collectif de défense prône l’ouverture de deux nouvelles enquêtes contre deux collaborateurs encore en poste [...]

article complet: https://www.letemps.ch/suisse/rts-laffaire-harcelement-prend-lampleur

La SSR annonce des mesures pour lutter contre le harcèlement

Audiovisuel

La SSR, qui tenait un Conseil d’administration ce mercredi, annonce 25 mesures fortes pour améliorer la protection de l’intégrité de son personnel. [...]

A lire aussi: Braises incandescentes à la RTS

Ce catalogue de mesures [...] Sur la base d’une trentaine de témoignages, notre média avait mis en lumière plusieurs cas de harcèlement et dénoncé la culture du silence qui les entouraient, [...] Une semaine plus tard, la SSR avait lancé trois enquêtes [...] Gilles Marchand, patron de la RTS à l’époque des faits, s’est vu réitérer la confiance du Conseil d’administration. [...].

La culture d’entreprise, un objectif stratégique

[...] A cet effet, la SSR compte développer, sur une base de collaboration avec le personnel, une «charte pour l’intégrité et la lutte contre les discriminations», cela dans toutes les unités de l’entreprise. Une réglementation prévoit des sanctions [...] Elle réorientera aussi sa plateforme pour les lanceurs d’alerte.

A lire aussi: Gilles Marchand: «Le service public ne doit jamais militer»

«Il me tient personnellement à cœur de tout faire pour qu’aucun collaborateur ou collaboratrice n’ait plus à vivre de situation inacceptable [...] président du Conseil d’administration Jean-Michel Cina.
«Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir afin que la culture d’entreprise change en profondeur, pour le meilleur», ajoute-t-il. Quant au directeur général, Gilles Marchand, il se déclare «convaincu que la SSR sortira de cette crise plus forte que jamais pour mieux remplir son mandat de service public».

[...]

https://www.letemps.ch/suisse/ssr-annonce-mesures-lutter-contre-harcelement

L’UDC aussi continue sa lutte contre l’islam politique

Forum, 20.06.2021

L’UDC veut contrôler le financement des mosquées et interdire le voile aux mineurs

Débat entre Elisabeth Baume-Schneider, conseillère aux Etats socialiste jurassienne, et Céline Amaudruz, vice-présidente de l'UDC et conseillère nationale genevoise.

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Tania Sazpinar: Après l’interdiction de la burqa dans l’espace public suisse, l’UDC devrait publier cette semaine un papier de position sur l’islamisme. C’est une information publiée aujourd’hui (20 juin) par nos confrères du Matin Dimanche. Le plus grand parti de Suisse souhaite entre autres interdire le port du voile aux mineures, expulser les imams qui appellent à la violence ou encore contrôler strictement le financement des mosquées.

Tania Sazpinar: Céline Amaudruz, après le succès de l’initiative pour l’interdiction de se voiler le visage, vous aviez dit que la lutte contre l’islamisme radical n’était plus forcément votre priorité, qu’est-ce qui a changé depuis début mars?

Céline Amaudruz: Je ne sais pas d’où vous tenez que ce n’est pas notre priorité. La priorité, nous avons plusieurs thèmes, et effectivement nous avons préparé un document de fond sur l’islam et l’islamisme en Suisse.

L’UDC souhaite par ce document apporter des réponses sur les dangers que l’extrémisme islamique peut faire peser sur un pays, à savoir qu’on perdrait peut-être notre état de droit, et on a pu voir cela dans certains pays, en France, en Angleterre mais aussi en Suède, où il y a des petits quartiers, ou des sociétés parallèles, plutôt, qui se créent, dans lesquelles la charia s’applique à la place de la Constitution. Et là, aujourd’hui, nous venons avec un document, qui entend répondre par cinq points très importants – ce n’est pas comme vous dites simplement sur le voile pour les mineures – et j’aimerais d’abord les citer:

1) l’interdiction de l’islam politique, parce que c’est bien ça qui est un problème,

2) l’oppression des femmes et des filles: nous voulons mettre un terme à la discrimination et à la maltraitance que les femmes subissent, et c’est là qu’il y a le point que vous venez d’évoquer,

3) les mosquées qui peuvent être incubateurs de l’extrémisme: nous voulons prévenir la radicalisation et faire très attention à ce qui se passe au sein des mosquées,

4) les plaques tournantes islamiques de la Suisse, donc prévenir les influences et les flux financiers, savoir d’où vient cet argent (on voit ce problème à Genève),

5) la difficile intégration des immigrés musulmans, donc la politique de tolérance zéro et renforcement des forces réformatrices.

Tania Sazpinar: Donc plusieurs angles. Elisabeth Baume-Schneider, qu’est-ce qui vous gêne dans ce papier de position de l’UDC?

Elisabeth Baume-Schneider: Bon, je n’ai pas passé mon dimanche à lire ce paquet de propositions, d’ailleurs je ne l’ai pas…

(Céline Amaudruz: Il va sortir cette semaine.)

Elisabeth Baume-Schneider: Oui, d’accord, mais j’ai écouté ce programme, qui ne m’étonne guère. Je rappelle à Mme Amaudruz, ce n’était pas une promesse, mais elle avait mentionné lors du débat sur l’interdiction de la burqa qu’il n’y avait pas de calendrier caché, qu’il y avait une volonté de répondre à chaque problématique en son temps, et là, après une victoire à une majorité assez modeste au mois de mars, on est reparti avec toujours cette même obsession de stigmatiser ou d’ostraciser.

Parce que je pense que cette question du port du voile chez les mineures est tout autre que le malaise qu’on pouvait ressentir (que moi je ne ressentais pas) par rapport à l’islam qui avait le visage caché, tandis que là, la Constitution suisse mentionne la liberté de croyance. La pluralité religieuse n’est pas dangereuse, et je pense que là, de nouveau, on fait un amalgame, parce que la tolérance zéro j’y suis également favorable, mais je ne vois pas de quel droit on pourrait affirmer qu’en interdisant le port du voile pour les mineures on protégerait les femmes de tous les malheurs du monde.

Donc je ne comprends pas, comme je disais, cette obsession à absolument stigmatiser une communauté et à vouloir éradiquer tous les signes d’appartenance à cette communauté religieuse en voulant protéger les personnes contre elles-mêmes.

[...]

Céline Amaudruz: […]

Tania Sazpinar: Gouverner c’est prévoir, ça vous convainc?

Elisabeth Baume-Schneider: Le fait d’anticiper me convainc tout à fait. Le fait de ne pas tolérer de maltraitance ou de soumission de la femme ni le radicalisme islamique, j’y souscris également. Par contre, cette médiatisation, cette volonté de faire peur, d’ostraciser avant de dialoguer avec les communautés pour trouver les bonnes solutions, là je ne signerais pas. Ce que je reproche à l’UDC, c’est de systématiquement médiatiser un programme politique avant de vérifier si véritablement problème il y a, si véritablement les communautés religieuses sont confrontées comme ils le disent aux difficultés mentionnées, parce que mentionner comme un mantra que la charia va remplacer la Constitution suisse, franchement ce n’est pas ce soir que je vais y croire. […] Il faut dialoguer avec ces communautés, il faut interdire, vous avez raison, ce risque que certains imams aillent trop loin. Je n’étais pas de votre côté pour la dernière votation – elle a été acceptée, ça veut dire qu’on a les outils à disposition pour agir par rapport au terrorisme, même de manière préventive. Donc, de grâce, attendez, et sortez vos papiers lorsque les faits sont documentés et pas uniqueent lorsqu’on redoute ce qui n’a encore pas lieu d’être redouté.

Tania Sazpinar: On verra si ce papier de position donne lieu à une initiative. Merci à toutes les deux.

***

P.S. Le papier de position de l’UDC a été publié le lendemain:

Défense de l’État de droit contre une idéologie totalitaire

RTS – Forum : deux professionnels du progressisme salissent de concert le gouvernement Orban et l’histoire de la Hongrie

La Hongrie veut interdire la « propagande homosexuelle »

Invités : Bernard Guetta : journaliste (Le Monde), eurodéputé, et spécialiste des questions européennes, et
Florian Irminger secrétaire général des Verts suisses, il a travaillé durant plus d’une décennie dans des ONG de défense des Droits humains en Europe centrale et orientale.

***

Renaud Malik, journaliste RTS plante le décor pour le débat :

Il a mis au pas les juges, il a limité la liberté d’expression : le président hongrois veut maintenant interdire la propagande homosexuelle, une loi adoptée cette semaine interdit les programmes éducatifs ou les publicités évoquant l’homosexualité. L’UE se dit très préoccupée.

Cenator : « Il » n’a même pas besoin d’être nommé, « il », c’est Orban, le diable en personne.

Les deux invités, des gauchistes professionnels, ont consacré leur vie à combattre toutes les valeurs que les souverainistes représentent : voilà la minute de haine orwellienne qui s’annonce.

Renaud Malik à Bernard Guetta : Vous suivez de près les questions européennes (sous-entendu : de l’UE). Vous partagez cette inquiétude ?

Bernard Guetta : Oui et non.
Je suis inquiet de voir adopter une législation aussi hostile aux homosexuels, qui les désigne comme pédophiles, c’est un amalgame inadmissible.

Cenator : De toute évidence, BG n’a pas lu cette loi de 17 pages, dont seule une infime partie concerne l’homosexualité.
L’UE et la bien-pensance s’opposent frontalement à cette loi, qui a été votée démocratiquement par le parlement hongrois ce mardi par 157 députés, avec une opposition et zéro abstention.
Il s’agit d’un changement de la Constitution pour élargir la sphère de protection des enfants contre la pornographie, et contre la propagande LGBT+, propagande importée, financée par l’idéologie néo-communiste occidentale et ses ONG.
Dorénavant, la promotion de l’homosexualité et du changement de genre sera interdite vis-à-vis de mineurs. Cela dans les écoles, les jardins d’enfants ; de plus, un tel contenu ne pourra passer à la télévision que dans des programmes destinés aux plus de 18 ans.
Nous joignons en fin d’article quelques vidéos qui ont alerté les Hongrois, et rappelons nos articles sur les réactions des Hongrois face à la promotion de l’idéologie LGBT destinée aux enfants, ici et ici
.
Ces éléments ont suscité des réactions et une mobilisation massive des familles hongroises, exigeant que le gouvernement élabore des lois pour interdire ce genre de propagande, afin de protéger la santé des enfants.

De quoi s’agit-il en réalité ?  [...] l’idée directrice de cette loi est que

« les enfants ont besoin d’être protégés et que les agresseurs doivent être frappés plus durement » : « Il n’y a aucune excuse pour les actes pédophiles. Ils doivent faire l’objet de représailles avec les peines les plus sévères, quelle que soit la manière dont ils sont commis ». (source)

Interdire la propagande homosexuelle à destination des enfants 

La loi que le Fidesz a fait adopter aujourd’hui prévoit ainsi de durcir les peines pour les actes :

  • commis à l’encontre d’enfants de moins de douze ans,
  • commis par des fonctionnaires
  • commis avec harcèlement et/ou violence
  • commis par des récidivistes.

De même les personnes condamnées pour pédophilie seront désormais exclues de toutes les professions ou emplois liés d’une manière ou d’une autre aux activités sportives, de divertissement ou de loisirs des enfants.

Mais ce qui a suscité le boycott de l’opposition et la mobilisation de la militance LGBT, c’est que, pour protéger les mineurs, cette loi vise aussi à interdire et réprimer la propagande homosexuelle à destination des enfants.
Ainsi, la promotion et l’affichage – y compris de manière indirecte par la publicité –, vis-à-vis de mineurs, de l’homosexualité ou des pratiques de « changement de sexe » seront interdits.
En conséquence, toute propagande LGBT sera totalement exclue des établissements scolaires.

Comme la Hongrie est membre de l’UE, sa souveraineté est piétinée, et l’UE peut invalider cette loi démocratiquement adoptée. En effet, la CEDH prime, actuellement, sur les lois nationales.

*

Suite de RTS - Forum, Bernard Guetta :
En même temps, cette loi traduit une panique chez M. Orban, car depuis des mois les sondages donnent la coalition des oppositions gagnante aux prochaines élections législatives dans un an.
[...]
Ces lois sont très choquantes mais rigoureusement inapplicables. Comment interdire l’évocation de l’homosexualité aux mineurs à l’heure d’Internet ?

Cenator : Le gouvernement ne croit pas pouvoir tout maîtriser mais il est décidé à limiter autant que possible les dégâts, car les dommages occasionnés par la propagande LGBT sont déjà amplement visibles sur la jeunesse occidentale.
Les Hongrois constatent aussi qu’en Occident, des pressions agressives sont exercées sur des personnes qui s’opposent à cette évolution malsaine, qui est un des éléments majeurs de la révolution woke néo-communiste.
En Grande-Bretagne, il y a eu, en 2018, une augmentation de 4'400% de filles teenagers qui se sentent du genre opposé à celui reçu par la biologie. Aux USA, chaque 6ème jeune, c’est-à dire 17% de la jeunesse, ne se considère pas comme hétéro. C’est le résultat des lobbys de « sensibilisation » à la cause LGBT.
Voir aussi :
 Face à la vague des transgenres, la Suède commence à douter.

Ce printemps, un livre de Gergely Szilvai est paru en Hongrie pour défendre la normalité binaire, et porter un regard critique sur les objectifs réels de la révolution LGBT en cours.
De nos jours, il est impensable qu’un livre similaire puisse être publié dans les pays occidentaux : l’empire de la déconstruction le considérerait comme une offense homophobe, transphobe, incompatible avec les « Droits humains ».
Cette guerre, menée par la conquête du marxisme culturel via les minorités LGBT, s’inscrit dans un projet plus global qui vise la destruction de nos identités, de notre civilisation.

 

Renaud Malik : Orban agit ainsi parce qu’il se sent menacé, est-ce aussi votre analyse ?

Florian Irminger : Partiellement. A Budapest, région très urbaine, cosmopolite, européenne, avec un maire Vert, la Hongrie n’est plus celle d’il y a dix ans.
Des alliances se font entre l’ancien parti d’extrême droite, les partis de gauche, etc. Mais l’inquiétude, c’est que c’est un pas de plus après d’autres, des pas qui ont été systématiques : d’abord on prend le contrôle de la justice, pour qu’ensuite, quand une loi – sur les universités, sur les ONG, maintenant sur les LGBT – est attaquée en justice, la justice hongroise confirme leur validité.

Cenator : Tout cela n'est que calomnie/délire/propagande crasse, mais nous n’entrons pas dans ces détails. Bernard Guetta et Florian Irminger font partie de ceux qui se mêlent de la politique intérieure hongroise, y ont des liens avec les ONG et les gauchistes. De retour au pays, ils font fructifier leur militantisme en s’autoproclamant spécialistes. Les universités et les médias comme la RTS en raffolent, ce genre de personnages sont des valeurs sûres, il n’y a jamais aucune surprise à craindre dans leurs réponses.

 

Florian Irminger : Et quand la loi est portée devant la CEDH ou la CEJ, c’est la rhétorique d’Orban qui s’installe : les juges étrangers, le méchant cosmopolitisme de Bruxelles, allié à George Soros et à ses ONG, veulent prendre le pouvoir sur la bonne Hongrie.

Mêmes étapes en Pologne. C’est inquiétant car cela va renforcer le discours d’Orban, sa capacité à mobiliser sa base, et surtout c’est un signe de plus de la manière dont Orban joue dans le dictionnaire de Poutine. Cette loi est une copie de la loi russe anti-LGBT. L’internationale d’Orban est une internationale chinoise et russe et ça doit nous inquiéter car ça fragilise cet espace européen et le multilatéralisme.

Cenator : La Chine et la Russie respectent la souveraineté de la Hongrie, contrairement à l’UE, et ces pays semblent, pour le Hongrois moyen, moins dérangés, moins dépravés que la société occidentale, malgré le souvenir de la colonisation soviétique.
Le peuple hongrois regarde avec horreur la dégénérescence, l’autodestruction de l’Occident.
Les Russes, les Chinois veulent que leur civilisation survive, et pour cela, les Hongrois ont moins peur d’eux que de l’Occident islamisé avec ses mouvements qui enseignent aux Blancs la haine de soi.

Les émeutes antiracistes à la « Floyd », l’hystérie pour accueillir et entretenir une population inadaptable et souvent criminogène, l’islamisation de l’Occident, les pillages par la diversité, ne font pas du tout envie à l’Est. Jadis, l’Occident faisait rêver à l’Est comme modèle de société, aujourd’hui il ne reste plus grand-chose qui fasse rêver.

Les ONG de Soros notamment  et l’UE arrosent l’opposition hongroise, les médias de gauche, les partis, pour faire avancer leur agenda. En Hongrie, au niveau des courants politiques fondamentaux, il y a le parti d’Orban et une grande coalition des autres forces qui lui est opposée. C’est au moyen de cette alliance hétéroclite, allant de l’extrême gauche à l’extrême droite, créée sur les conseils de lobbys comme ceux de Soros, qu’un maire socialiste a été placé à la tête de Budapest.
C’est également cette stratégie qui sera utilisée pour les présidentielles de 2022.

 

Renaud Malik : Est-ce que ces étapes ont pu se produire parce que les Européens laissaient faire ?

Bernard Guetta : Ce n’est pas que les Européens laissent faire, mais dans l’UE il y a une loi, qui est l’unanimité : on ne peut pas exclure un pays ou lui imposer de véritables sanctions, car la Pologne défendrait la Hongrie et vice-versa.
Mais il ne faut pas confondre détestable et inquiétant. Ces nouvelles lois sont détestables, mais pas inquiétantes. J’y vois beaucoup plus un signe de panique et d’affaiblissement qu’un signe de renforcement de M. Orban.

Renaud Malik : Les Européens avaient une marge de manœuvre limitée, qu’est-ce que vous répondez ?

Florian Irminger : C’est vrai, mais l’erreur historique de l’UE et de ses pays associés (Liechtenstein, Norvège, Islande, Suisse), c’est de n’avoir pas réagi quand le révisionnisme historique a été mis en place, quand Orban a commencé à réhabiliter l’amiral Horthy, à construire les monuments aux victimes du nazisme hongrois, alors que la Hongrie de Horthy coopérait avec les nazis, livrait les juifs. Et ça, on a laissé faire.

Cenator : Florian Irminger est un idéologue ignare, qui ramène sa prétendue science sans savoir de quoi il parle.

Voici les réalités à connaître. Au sortir de la guerre de 14-18, la Hongrie s’est vu imposer le traité de Trianon, qui l’a amputée, grosso modo, des deux tiers de son territoire et d’un tiers de sa population.
Actuellement, cent ans plus tard, les Hongrois s’en souviennent amèrement, alors que c'est un non-sujet pour les institutions qui prétendent s’occuper de justice et de réparation des injustices historiques.

Horthy, régent de la Hongrie de 1920 à 1944, a :

- dans un premier temps, sorti son pays de l’état de délabrement économique et moral qui avait suivi l’application du traité de Trianon et ses très douloureuses « amputations », tant territoriales qu’humaines. Ces bienfaits apportés aux Hongrois lui ont valu une reconnaissance méritée de la population.

- dans un second temps, accepté d’entrer en guerre aux côtés de l’Allemagne nazie. Mais cela, moyennant la promesse de récupérer les populations et les territoires arrachés à la Hongrie par Trianon.

Dans ces temps troublés et périlleux, il était plus que difficile de savoir que faire pour le bien de son pays. Bien malin serait celui qui oserait prétendre le contraire.
Cela dit, Horthy a incontestablement démontré, tout au long de sa vie, qu’il n’était en rien antisémite et qu’il a fait tout son possible pour sauver les Juifs hongrois de la « solution finale ».

Miklós Horthy a été accusé d’être pro-juif par le Reich même, de nombreux documents d’archives l’attestent. Et lorsqu’il n’a plus pu repousser la date de l’invasion de la Hongrie par la Wehrmacht, en 1944, il a été capturé par les nazis, détenu en Bavière, et un gouvernement pro-nazi a été installé au pouvoir.
De nombreux documents prouvent que Horthy avait répété qu’il s’opposait, en tant que chrétien, aux atrocités commises sur les juifs.

Mais ce que la Gauche mondialiste ne pardonnera jamais à Horthy, c’est qu'en 1919, lorsque la révolution communiste sanglante de Béla Kun dévastait la Hongrie, Horthy a pris la tête d’un gouvernement contre-révolutionnaire et a balayé les communistes avec l’aide des troupes serbes, roumaines et françaises.
Horthy s’est battu dans les tranchées en 1914-18 aux côtés d’officiers et de soldats juifs et patriotes, qui ont donné leur vie dans cette guerre pour l’Empire.

 

Renaud Malik : Mais qu’est-ce qu’il aurait fallu faire ?

Florian Irminger : C’est là qu’il aurait fallu enclencher « l’article 7 », c’est-à-dire tout de suite mettre au pas Orban, l’amener devant les institutions, notamment la Cour européenne de justice…

Bernard Guetta : Avec quels moyens ?

Florian Irminger : … et ensuite introduire immédiatement la conditionnalité financière, par rapport à ces attaques qui sont au-delà des attaques sur l’État de droit, qui sont du révisionnisme historique. N’oubliez pas que financièrement, la Hongrie est absolument dépendante de l’UE, même dans son budget courant.

Cenator : La Hongrie n’est pas dépendante de l’UE, c’est plutôt le contraire. La Hongrie assistée par l’UE est un mythe.
Les usines et entreprises occidentales qui y sont délocalisées rapatrient leurs bénéfices sans limite selon les accords avec l’UE. L’Europe de l'Ouest y trouve une main-d’œuvre qualifiée et travailleuse à bon prix.

 

Bernard Guetta : Vous avez raison, il aurait fallu introduire plus tôt cette conditionnalité. Le problème, c’est qu’il y avait une majorité au Parlement européen qui ne soutenait pas cette démarche. Il y a eu depuis un an une évolution considérable du PPE, du grand parti conservateur européen, d’ailleurs largement dominé par la démocratie chrétienne allemande : maintenant, le PPE a exclu le Fidesz, le parti d’Orban, et il s’est rallié à cette idée de conditionnalité. On ne peut pas dire : « L’Europe aurait dû », il faut voir la situation politique, le rapport de forces. [...]

Renaud Malik (conclut) : C'est la difficulté pour les Européens de s’entendre sur une réponse commune et forte face à la Hongrie de Viktor Orban.

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Ces vidéos ont choqué les parents hongrois :

Un petit garçon append l’alphabet avec la propagande woke

Drag Queen Nina West 🏳️‍🌈 (Pride Song)

Le mois de « Kids Pride » (8:55, en anglais)

https://www.youtube.com/watch?v=EQsS2n-GLfw

Un garçon polonais crise contre sa mère qui veut l’empêcher de se vêtir de son training « propagande » arc-en-ciel d'Adidas lors de la manifestation de la Gay Pride...

 

L’évolution des personnages homosexuels dans les dessins animés pour enfants | Movies Insider (12:07)

Yves Nidegger clairvoyant sur les Verts à la RTS durant cette journée de votation

Yves Nidegger

https://www.rts.ch/play/tv/rtsinfo/video/rts-info?urn=urn:rts:video:1967124

15:24:07-15:25:05

RTS : Sur cette loi Covid, l’UDC était partagée ; vous, vous avez dit non, vous avez milité pour le non, vous avez fait une petite allusion sur Facebook en disant : « On nous prend pour des cons en toute saison », sur les mesures de gestion de la pandémie. Qu’est-ce que le Conseil fédéral fait encore de faux aujourd’hui, alors qu’on est en train finalement de revenir à la normale gentiment ?

Yves Nidegger : On ne revient pas à la normale.

Vous avez dit « donner des libertés », mais les libertés c’est pas un truc que l’État donne, c’est un truc que l’État respecte. Les libertés, elles appartiennent à la population, il faut donc une très bonne excuse pour les limiter, à des conditions restrictives.

Aujourd’hui, on a changé de paradigme mental, et je suis triste que les Suisses ne se soient pas rebellés.

Le génome de Guillaume Tell a l’air de se diluer (peut-être dans l’immigration, allez savoir), mais normalement on ne doit pas accepter de se faire dicter sa vie quotidienne, sauf motif hyper-impérieux du genre « la maison brûle » pendant que les pompiers sont là. On n’est pas du tout dans un cas comme ça.

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Les initiatives anti-pesticides sont balayées, la loi CO2 pourrait être rejetée

Les deux initiatives anti-pesticides sont rejetées à la majorité des cantons. Selon des projections SSR, le non s’élève à 60%. La loi CO2 serait rejetée à 51%, selon ces projections. La marge d'erreur est cependant de +/-3% et le résultat n'est pas encore définitif. Toujours selon les projections SSR, la loi Covid serait acceptée à 61% et celle sur le terrorisme à 57%.

A l'exception de Genève et Neuchâtel, qui ont dit oui à la loi CO2, tous les autres cantons dont on connaît les résultats définitifs ont glissé un triple non aux initiatives anti-pesticides et à la loi CO2: Valais, Lucerne, Obwald, Nidwald, Uri, Glaris, Zoug, Schaffhouse, les Appenzell et les Grisons ont voté 3 fois non.

Résumé RTS: Yves Nidegger: "Les Verts ne peuvent pas faire la pluie et le beau temps"

Si les résultats ne sont pas encore définitifs, les Verts semblent avoir perdu sur presque tous les tableaux dimanche.

Pour Yves Nidegger, ce constat est flagrant et part d’une "erreur d’appréciation", qui aurait vu le système politique et médiatique surévaluer l’influence de ce parti.

"On a l’impression fausse que les Verts, parce qu’ils ont gagné quelques sièges, avaient désormais une espèce de pouvoir important alors qu’ils restent une petite faction, qui ne peut pas faire la pluie et le beau temps à elle toute seule".

lien vers l'audio; ce que Nidegger a dit:
"On a eu l’impression fausse qu’après avoir gagné quelques sièges, les Verts avaient une sorte de pouvoir important alors qu’ils restent une petite faction, qui ne peut pas faire la pluie et le beau temps" / Journée Votations / 2 min. / aujourd'hui à 12:00

Pour l’élu UDC genevois, les partis se sont trompés en croyant que l’agenda vert était la première préoccupation des citoyens: "Il y  une sorte de caisse de résonance totalement disproportionnée de la part des médias autour des questions vertes qui, au fond, a renforcé cette impression que la population suisse serait derrière ce programme (…) les médias ont très peu d’influence sur les électeurs, mais ils en ont beaucoup sur les élus et c’est ce qu’il s’est passé avec le PLR. Voulant être dans le vent car il est un peu en perte de vitesse, il s’est aligné sur les idées à la mode. Mais être dans le vent, c’est un destin de feuille morte" explique-t-il.

Le conseiller national estime d’ailleurs que le PLR devra revenir "à ses fondamentaux", s’il entend conserver ses deux sièges à Berne dans deux ans et demi.

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Yves Nidegger:

"Les femmes de pouvoir, c’est soit l’animal alpha, soit un bête quota –
et pour les hommes, c’est l’inverse."

https://www.rts.ch/play/tv/tango/video/tango-yves-nidegger?urn=urn:rts:video:3778300

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En continu: Steven Tamburini, Grève du climat:

"Il faut que la fin du monde soit aussi importante que la fin du mois" (La loi CO2 est rejetée, 15h45)

https://www.rts.ch/play/tv/rtsinfo/video/rts-info?urn=urn:rts:video:1967124https://www.rts.ch/play/tv/rtsinfo/video/rts-info?urn=urn:rts:video:1967124

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L’acharnement de la RTS contre l’élue PDC Marianne Maret au TJ du 6 juin 2021

L’acharnement de Fanny Zürcher contre l’élue PDC Marianne Maret, dans son interview au 19h30 le dimanche 6 juin 2021.

Les Observateurs ont déjà parlé ici de cette interview et des réactions de trois conseillers aux États.

Cette interview fait subitement scandale, mais les choses se passent ainsi à la RTS depuis des années. Il suffit de voir comment Esther Coquoz, par exemple, agresse ses invités lorsqu’ils ne sont pas suffisamment de Gauche à ses yeux.

C’est une routine qui est devenue, à la longue, une tradition en Suisse romande : les  journalistes de la RTS font passer de sales moments à tous ceux qui ne sont pas dans la ligne des partis de Gauche.
Avec les élus UDC, Oskar Freysinger, Yvan Perrin, Christoph Blocher ou Céline Amaudruz, nos fonctionnaires du service public ont été encore bien plus odieux. Et à l’opposé, l’obséquiosité envers les élus de gauche donne un tel sentiment de dégoût que de plus en plus de personnes ne supportent plus du tout la RTS.

Récemment, nous avons épinglé un débat de Forum mené par Esther Coquoz : Quel est l’avenir de l’énergie éolienne en Suisse?

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Ici, la journaliste Fanny Zürcher fait un grand classique en 3 volets à l’occasion des 50 ans du droit de vote des femmes.

Fanny Zürcher commence innocemment par demander à Marianne Maret: Vous vous souvenez du premier jour de votation des femmes ?

Oui, répond Marianne Maret, et elle relate ses souvenirs de l’époque en tant qu’enfant.

Suit le petit croche-pied. Dans un extrait des archives du 6 juin 1971, une dame âgée interviewée par la RTS se dit opposée au droit de vote des femmes car la place de la femme est au foyer. Et miracle, il s’agit de la grand-mère du mari de Marianne Maret !

Notons que c’est la RTS qui revient sur l’affaire des fiches depuis 32 ans ! Mais combien de Suisses sont fichés par notre « Voix de Moscou » ?

La journaliste enchaîne sur le deuxième sujet à polémique.

Autre archive, interview RTS de Mme Maret qui s’apprête à entrer dans sa voiture : Qu’avez-vous fait ce matin ?

Marianne Maret : Comme toute femme au foyer… j’ai rendu la maison impeccable !

Fanny Zürcher évoque les élection au Conseil des États en 2019, lorsque Marianne Maret a pris la place du socialiste Mathias Reynard:

« Beaucoup de femmes se seraient senties mieux représentées par Mathias Reynard. Est-ce que vous avez compris leur déception ? »

Tout cela dans le contexte de la commémoration des 50 ans du droit de vote des femmes !

Fanny Zürcher : Vous avez été mère au foyer durant 19 ans (Marianne Maret a eu quatre enfants).

Est-ce que vous êtes la bonne personne pour représenter les femmes ?

Question posée alors même que Marianne Maret vient de critiquer le fait qu’on attend d’une femme qu’elle représente toutes les femmes, tandis qu’on n’attend jamais d’un homme qu’il représente tous les hommes !

Réponse de Marianne Maret : C’est une question assez moche, permettez-moi de vous dire. Aujourd’hui on encense les hommes au foyer, pourquoi ce serait dénigrant pour une femme ?

Justement, rétorque Fanny Zürcher, tout en restant inébranlable, notre reportage suivant concerne un homme au foyer dont la femme fait une carrière académique.

Et le bobo, yeux bleus, queue de cheval, père au foyer sera encensé. Quelle ouverture d'esprit ! Quelle originalité !

https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/marianne-maret-a-lecole-plusieurs-copines-de-classe-netaient-pas-convaincues-par-le-droit-de-vote-des-femmes?urn=urn:rts:video:12256415

https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/le-portrait-de-la-conseillere-aux-etats-valaisanne-marianne-maret-?urn=urn:rts:video:12256417

https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/marianne-maret-cela-me-blesse-quon-pense-quun-homme-puisse-mieux-representer-les-femmes-quune-femme?urn=urn:rts:video:12256419

 

L’UDC dépose plainte contre la télévision SRF

La télévision alémanique SRF dépasse les bornes. Financée par des redevances obligatoires, cette télévision d’Etat est en passe de devenir une OGN écolo-gauchiste de télévision. Ses comptes rendus sont tendancieux et violent régulièrement le devoir de diligence journalistique. L’émission « Der Club » a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. L’UDC Suisse a donc décidé de déposer plainte contre cette station. De plus, elle agira au niveau politique contre la télévision alémanique SRF.

Au lieu d’appliquer son mandat constitutionnel et de contribuer à la libre formation des opinions politiques, la télévision suisse évolue en direction d’une ONG d’activistes écolo-gauchistes. Les émissions d’information comme le téléjournal, la « Rundschau » ou « 10 vor 10 » ne sont plus animées par des journalistes, mais par des activistes politiques qui s’engagent sans gêne aucune pour des idées de gauche et font des comptes rendus tendancieux comme récemment contre l’accord de libre-échange avec l’Indonésie ou actuellement pour la loi sur le CO2.

Cela fait longtemps que l’UDC observe d’un œil critique ces agissements. L’émission « Der Club » du 1er juin 2021 concernant l’échec de l’accord-cadre avec l’UE a fait déborder le vase. Les responsables de l’émission ont en effet choisi trois eurofanatiques sur les quatre personnes qui participaient au débat – une violation évidente de principe de l’équilibre des opinions.

L’absence d’un représentant de l’UDC est également inacceptable. En clair, le débat de l’émission « Der Club » portait sur la fin de l’accord-cadre sans donner la parole à la seule force politique qui, depuis le début, a mis en garde contre les effets négatifs de cet accord et qui l’a combattu avec détermination. De la part d’une chaîne financée par l’argent public, ce comportement ne peut en aucun cas être toléré.

L’UDC a donc décidé d’agir avec véhémence contre la télévision alémanique SRF: d’une part, elle dépose plainte auprès de l’Autorité indépendante d’examen des plaintes en matière de radio-télévision AIEP; d’autre part, l’UDC agira au niveau politique contre la télévision alémanique SRF. Il est grand temps de stopper cet activisme écolo-gauchiste pratiqué sous le couvert du journalisme.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/ludc-intervient-contre-les-ecolo-gauchistes-de-la-chaine-de-television-srf/

De quoi souffrent les djihadistes du terroir?

Mireille Vallette: Temps présent ne se la conte pas: les djihadistes, tranche-t-il, ne sont pas des malades mentaux. Mais encore?

(Temps Présent, 55 minutes)

Temps présent du 13 mai dernier, fort intéressant, retrace le parcours de deux djihadistes suisses.

En fait, il sont trois. Le 12 septembre 2020, un Turco-Suisse qui veut «venger le Prophète» poignarde au hasard un Portugais qui y laisse la vie. Quelques semaines plus tard au Tessin, une femme fichée pour radicalisation blesse au couteau deux clientes dans un magasin.

Et en janvier dernier, un Vaudois converti à l’islam est condamné en France à 15 ans de prison pour «association de malfaiteurs en lien avec le terrorisme».

La Suisse est confrontée pour la première fois au terrorisme islamiste sur son territoire.

L’émission retrace le parcours chaotique des deux hommes: délinquants, «en manque d’amour»,  mal à l’aise avec la sexualité, etc. Soit une situation que rencontrent d’innombrables jeunes non-musulmans.

Mais dans l’émission, nous avons changé de monde. Nous sommes dans celui de l’islam, où les jeunes musulmans qui vivent des difficultés risquent de tomber dans le radicalisme, voire le djihadisme. Cette dérive finit par paraitre naturelle.

Les autres jeunes en difficulté, non-musulmans, ne se radicalisent pas, ne tuent pas. Pourquoi alors des musulmans? Quel lien avec leur religion? Le sujet est trop brûlant, trop compliqué, il ne sera donc pas traité.

Temps présent a décidé de se centrer sur une autre question:

Ces djihadistes sont-ils «des malades mentaux?»

Et la journaliste a placé son audace dans la réponse:

«Ce ne sont pas des malades mentaux comme d’ailleurs la plupart des djihadistes. Leur discernement est intact. Leur contact avec la réalité inaltéré.»

Elle nous apprend alors ce qui explique «pour une large part leur radicalisation et parfois le passage à l’acte»:

«…leurs failles, leur instabilité» 

C'est la conclusion d'un voyage de 50 minutes «dans le cerveau des djihadistes» (sous-titre de l’émission). Un cerveau finalement si simple à comprendre.

Source: https://boulevarddelislamisme.blog.tdg.ch

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Sur le thème de la radicalisation, dans le même blog:

Bienvenue dans le monde foisonnant de la radicalisation.  Les initiatives destinées à dissuader d'emprunter des chemins sanglants se multiplient. Les méthodes varient, mais ont un interdit commun: l'islam.

La mascarade de «l’extrémisme violent» est en plein essor Cette année, la Police fédérale finance seize programmes de prévention de la radicalisation. Le nôtre a été recalé.

Radicalisation islamique: 85 cas sur 100, mais chut!

Pour prévenir la radicalisation, finançons les mosquées!

Radicalisme islamique à Genève: le grand secret préservé 

Tribune de Genève: un morceau d’anthologie de l’enfumage médiatique

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Cenator: La voix de Sofia Pekmez, remplie de pathos et d’assurance, est spécialement énervante.
Mais avant même de consacrer 51 minutes à écouter cette émission, avec son défilé de psychiatres et d’autres spécialistes, nous savions déjà, connaissant l’orientation idéologique de notre service public, que la question de l’islam ne serait pas abordée, ou que si elle l’était tout de même, ce serait d’une manière biaisée de
façon à disculper l’islam.

L’emprise du politiquement correct masque toutes ces questions, de fait « interdites d’antenne », et encore moins sujettes à débat pour nos médias – qu’il s’agisse des crimes d’honneur, comme la jeune fille défigurée à Yverdon par un Afghan éconduit, ou du vivre-ensemble avec l’islam dans des sociétés multiculturelles.

Alors que partout où l’islam n’a pas encore pris le pouvoir, d’énormes problèmes insolubles pèsent déjà sur le quotidien des non-musulmans.

Ces questions devraient être la préoccupation N° 1 des Suisses. Or non seulement tout débat franc est absent, mais bien au contraire, le problème s’aggrave de plus en plus avec des initiatives comme le Pacte mondial sur la migration, que le Conseil fédéral n’a pas le courage d’affronter franchement et de refuser catégoriquement, comme il se doit pour tout peuple tenant à sa liberté et à son histoire.

 

Mort annoncée : nos bac+10 fuient la France, les bac-10 affluent

21 mai 2021 - par

Le tsunami migratoire repart et l’Europe est plus impuissante que jamais.

Après l’accalmie due à la crise du Covid qui avait tari les flux migratoires en 2020, les beaux jours relancent la course à l’Eldorado européen, bien connu pour ses frontières passoires et ses valeurs humanistes qui interdisent toute expulsion.

Les vagues d’immigrés affluent de toutes parts, alors que l’UE se révèle incapable de protéger ses frontières après plus de cinq années de palabres stériles depuis 2015 ! L’UE n’est qu’un fléau mortel.

On en est encore à entendre des discours éculés vieux de 40 ans. “Aider l’Afrique pour y fixer les populations”.

Discours éminemment stupide tenu par les dirigeants de l’UE, qui n’ont jamais mis les pieds en Afrique et qui n’ont toujours pas compris que ce continent corrompu jusqu’à la moëlle n’a aucune chance de monter un jour dans le train du progrès.

Quand tout un continent, avec 1,2 milliard d’habitants, produit moins de richesses que la France avec ses 67 millions de citoyens, on voit mal en quoi l’aide de l’UE pourrait changer la donne.

Les 3/4 de l’aide internationale sont engloutis dans les guerres incessantes. Et le quart restant part en Suisse vers les comptes numérotés des dirigeants en place. Et cela n’a rien d’une caricature. C’est une réalité.

Le vice-président de la Commission européenne, le Grec Margaritis Shinas, déclare : “On ne peut protéger le mode de vie européen sans protection des frontières de l’UE”.

Mais que fait l’Europe ? Rien ! On attend depuis des années son pavé de 1 000 pages censé traiter le problème des flux migratoires. Son “Pacte pour la migration et l’asile”, qui n’accouchera pas d’une “solution” avant des mois. D’ailleurs personne n’est d’accord sur rien.

Quand on veut chausser 27 personnes avec la même pointure, c’est mission impossible.

Les pays de premier accueil, Italie, Espagne, Grèce, Malte et Chypre, veulent répartir le fardeau entre les 27.

Les pays de seconde zone, France, Allemagne, Belgique, Pays-Bas etc. souhaitent au contraire que les demandes de visas soient examinées en amont, donc dans les pays d’accueil.

Quant aux pays du groupe Visegrad, Hongrie, Pologne, Tchéquie et Slovaquie, le V4, ils ne veulent tout simplement pas d’immigration ! Ce sont les seuls pays conscients du chaos racial et interconfessionnel à venir.

On nous annonce un budget de 6 milliards pour Frontex, 10 000 garde-côtes, des hélicoptères et des navires. Mais 6 milliards, c’est ce que donne l’UE  à Erdogan pour garder chez lui les 3 millions de réfugiés syriens.

10 000 garde-côtes à l’horizon 2027 ? Mais de qui se moque-t-on ? C’est la moitié des effectifs que les États-Unis consacrent à la surveillance de leurs frontières, qui sont 2,5 fois moins longues que celles de l’UE. ( Figaro )

Tous les discours des dirigeants politiques français sont mensongers. À ce jour, le droit européen, éminemment laxiste et tolérant, prévaut sur le droit national.

Quelles que soient les promesses de campagne pour un durcissement des règles d’admission des migrants, celles-ci se briseront sur les règles de l’UE.

Il n’y aura JAMAIS de moratoire sur l’immigration, sauf à sortir de l’UE ou à rejoindre le groupe Visegrad ! Ce que Macron, missionné pour détruire le pays, ne fera jamais.

Il faut donc s’attendre à une poursuite de l’effondrement économique, sécuritaire et identitaire du pays, avec au bout du chemin une désintégration de la nation, dont nul ne peut mesurer les conséquences, qui de toutes façons, ne peuvent qu’être dramatiques pour les générations futures.

En attendant, le “tsunami printemps-été” devrait satisfaire les ONG et les immigrationnistes de tout poil. Depuis le 1er janvier 2021, c’est l’assaut général.

900 000 migrants sont parqués dans les camps libyens avant de se lancer dans la traversée de la Méditerranée.

8 000 migrants sont arrivés dans l’enclave espagnole de Ceuta, au Maroc

4 500 sont arrivés aux îles Canaries (+ 139 % par rapport à 2020)

11 600 sont arrivés de Méditerranée centrale (+ 157 %)

11 600 sont arrivés par les frontières de l’Est (+ 93 %)

Une seule source s’est tarie, celle venue de Méditerranée orientale (- 58 %).

En 2020, donc en pleine crise sanitaire, la France a délivré 220 000 visas longue durée. 

75 000 au titre du regroupement familial, 72 000 visas étudiants, 32 000 pour des critères humanitaires, 27 000 au titre de l’immigration économique et 14 000 “divers”.

On le voit, pas question pour Macron de lever le pied, alors que le pays s’effondre, écrasé par une dette de 3 000 milliards et menacé d’embrasement avec une immigration qui refuse de plus en plus de s’intégrer.

La tribune des généraux ? Déjà enterrée. Comme toutes les vérités qui dérangent, elle a été mise sous le tapis.

Pas de vague, surtout pas d’émeutes qui pourraient dégénérer avant mai 2022. Et une fois le fossoyeur de la nation réélu, tout pourra s’effondrer.

Le bilan est de plus en plus alarmant :

“Dans des chiffres inédits publiés mercredi 7 avril, l’Insee avance qu’en 2017, “44 % de la hausse de la population provient des immigrés” et que cet apport s’est beaucoup renforcé ces dernières années. L’immigration ne représentait que 26 % de la hausse en 2006. Autrement dit, désormais, l’apport migratoire fait quasiment jeu égal avec le solde naturel, c’est-à-dire l’excédent de naissances par rapport aux décès. Une situation jugée impensable il y a encore dix ans.”

En fait l’Insee ment. Car sur les 500 000 immigrés qui arrivent chaque année, légaux et clandestins, une infime minorité est expulsée.

Le solde migratoire en 2020 est au moins 4 fois plus élevé que le solde naturel des naissances qui s’est effondré, autour de 85 000.

Mais inversement, selon l’Insee, “150 000 personnes nées en France ont quitté le pays chaque année entre 2014 et 2016 et depuis 2006, le pays perd en moyenne 110 000 jeunes de 19 à 29 ans chaque année, qui partent à l’étranger et ne reviennent pas ensuite”.

https://www.la-croix.com/France/En-France-hausse-population-grande-partie-due-limmigration-2021-04-07-1201149798

Cela signifie que l’avenir fait peur à nos jeunes diplômés.

Cela signifie que nous accueillons des milliers de bac-10 pour laisser partir des milliers de bac+10.

Cela signifie que le mondialisme et le multiculturalisme sont destructeurs de richesses.

Ce ne sont pas des légions de médecins et d’ingénieurs que nous accueillons, mais en majorité des déshérités illettrés.

Et j’invite les grincheux qui voudraient contester cette réalité à lire le paragraphe ci-dessous, relatif aux 750 millions d’analphabètes dans le monde. Car c’est de ces pays que provient l’essentiel de notre immigration !

“20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50 % d’analphabètes dans leur population : l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, la Gambie, la Guinée-Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone et le Sud Soudan.”

Aucun pays moderne au monde ne peut survivre à un tel cataclysme démographique.

La France s’autodétruit et les élites applaudissent.

L’immigration extra-européenne de masse, c’est la mort de la France. Que chaque citoyen en soit conscient dans l’isoloir en 2022 !

Jacques Guillemain

Source: https://ripostelaique.com/mort-annoncee-nos-bac-10-fuient-la-france-les-bac-10-affluent.html

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A écouter également: Forum du 22 mai 2021

L'Espagne approuve une loi pionnière pour la protection de l'enfance contre toute violence. Désormais pour les mineurs non accompagnés, les examens médicaux "invasifs": (radio des os) seront interdits ainsi que la vérification génitale, ou être dénudé, pour déterminer l'âge des requérants d'asile. Les peines adoucies. Attacher les mineurs sera également interdit (les isoler, les menotter également).

Jamais plus qu'une audition jusqu'à 14 ans pour ne pas traumatiser les mineurs, mais tout abus peut être dénoncé jusqu'à 15 ans après les faits.

Ce qui ouvre la porte à toutes sortes d'accusations invérifiables, et amènera un cortège de familles et de vies détruites pour viol, inceste, pédophilie, qui seront invérifiables après tant d'années.

L'image pour illustrer cette émission: une fillette blonde et un mâle blanc qui la menace avec son poing...

Résumé: Albert Coroz

Rapport alarmant d’Amnesty International: la Suisse pratiquerait encore la torture dans ses centres de requérants d’asile

Débat - Centres fédéraux d'asile: droits humains en danger?

Débat entre Aldo Brina, chargé d'information sur l'asile au Centre social protestant,
Alicia Giraudel, juriste chez Amnesty Suisse,
Livia Hadorn, secrétaire de la Commission nationale pour la prévention de la torture,
Michaël Buffat, conseiller national (UDC/VD),

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D’emblée, les auditeurs apprennent qu’Amnesty Suisse demande que les requérants soient traités comme des êtres humains. Le ton est donné, le bulldozer à culpabiliser les Romands a démarré!

Renaud Malik,  journaliste RTS : Ce qu’il faut retenir, (avant même que le débat commence) c’est qu’il y a un problème avec les Centres de rétention pour requérants d’asile. Le rapport fait état d’abus. Dans certains cas, cela pourrait être assimilé à de la torture.

Nous allons, nous aussi, livrer nos conclusions d’emblée: Nous sommes favorables à ce que TOUT soit filmé et rendu public dans ces centres.
Faire porter des bodycams également aux agents, puis diffuser ces images dans la population, sans fioritures.

Il y a 1500 interventions policières par année dans ces centres, et 15 à 30 cas seraient abusifs, prétendument à cause de la "xénophobie et du racisme des agents".
Si la population voyait de près ce qui se passe dans ces centres, le confort dont ces demandeurs d'asile bénéficient à nos frais, puis leur comportement en retour, nous sommes persuadés qu'il n'y aurait plus grand monde qui voudrait encore accuser les agents de sécurité, ni voter pour l'accueil des migrants.

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Porte parole du Secrétariat d’État aux migrations (SEM) : Ce sont des allégations très fortes. Parler de torture et de violation de droits humains ne correspond absolument pas à la réalité dans un État de droit comme la Suisse. Cela met la Suisse sur le même plan qu’une dictature militaire. Le quotidien dans les centres fédéraux ne correspond absolument pas à cela.

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Ni le SEM, ni la société privée chargée de la sécurité des centres, n'ont souhaité participer à ce débat. Nous les comprenons: la RTS vend depuis des lustres sa propagande de gauche comme du "débat".

Ici encore, nous avons un UDC face à trois professionnels de la cause des migrants. Résultat: notre pays est à nouveau souillé, calomnié, la population culpabilisée par des groupes de pression qui en font leur fonds de commerce.

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Résumé du débat :

Alicia Giraudel, juriste d'Amnesty Suisse : En Suisse, dans les centres d’asile de l’État, des tortures sont perpétrées sur les requérants.

La méthodologie (ahurissante) utilisée pour arriver à cette conclusion : Amnesty Suisse a reçu des plaintes de la part du personnel qui travaille dans les centres et Amnesty Suisse a enquêté par la suite. En tout ils ont interviewé 14 personnes (!), et les situations se recoupent (sic!), 2-3 ont parlé de torture.
Il y a la violence, la maltraitance, des personnes enfermées d’une manière arbitraire dans des containers, des requérants traités d’une manière irrespectueuse, on a senti de la xénophobie et du racisme.

Renaud Malik: Qu’est-ce qui vous a donné le sentiment qu’il s’agissait de torture ?

- Des situations qui indiquent clairement qu’on pouvait aller jusqu’à la torture, comme un mineur frappé à terre au visage et au ventre. (Bien entendu, nous ne saurons jamais pourquoi un agent en serait arrivé à cette extrémité. L’explication de racisme et de xénophobie gratuite est ridicule, car les agents qui ont perdu leurs nerfs savaient qu’ils risquaient leur emploi.)

Un autre requérant a été frappé au point d’être hospitalisé. Cela correspond à la notion de torture.

14 requérants ont été consultés, et dans 2-3 situations, on peut parler de torture.

Des requérants souffrent d’automutilations, parce qu’ils ont été traités injustement. Ils ont même voulu se suicider, parce qu’ils n’ont pas supporté le sentiment d’injustice.

 

Livia Hadorn, secrétaire de la Commission nationale pour la prévention de la torture a déjà publié un rapport en janvier suite aux observations d’Amnesty Suisse. Des recommandations ont été faites.

Les techniques de communication et la formation à l'interculturelle non-violente (!) des agents doivent leur fournir des outils de prévention. Le constat de la commission et Amnesty Suisse ont le même but: il faut que les requérants « y soient bien ».

Les Centres fédéraux d’asile soulèvent des problèmes structurels. L’accès à la psychiatrie a été amélioré suite aux recommandations.
En effet, les gestes désespérés foisonnent dans ces centres; plusieurs cas par semaines d'automutilations et de tentatives de suicides avec deux suicides aboutis pour 2020. Le SEM vient de débloquer 20'000 fr. pour la prévention au suicide dans les centres. Les Maghrébins et les Afghans recourent largement à ces pratiques.
Bien entendu, un certificat médical, un séjour en hôpital psychiatrique peut largement aider le requérant pour la prise au sérieux d'une demande d'asile.
Mais il y a également un autre aspect qui est encore plus inquiétant que l'instrumentalisation de la psychiatrie: c'est le trouble de personnalité de type borderline qui présente ce genre de gestes auto-agressifs à répétition.
Et si ces  centres sont remplis de cas psychiatriques, les répercutions pour la collectivité pourraient être extrêmement fâcheuses, car, comme cela se passe déjà avec les mineurs qui commettent des délits, la responsabilité pénale serait réduite.

Amnesty s’occupe des cas individuels ; la torture est une allégation préoccupante, il faut que cela reste des cas individuels. Des procédures pénales ont été engagées contre les agents de sécurité, suite à un usage disproportionné de la force  ou à des abus de pouvoir.
Il faut mettre en place un système, un mécanisme pour que ces personnes puissent faire valoir leurs droits et porter plainte.

 

Alicia Giraudel, Amnesty Suisse : L’élément important d’après l’enquête dans les centres : il y a un problème systémique. Amnesty demande une meilleure protection des requérants d’asile, une surveillance accrue contre les abus et des lieux pour les protéger, et exige que des mesures soient prises immédiatement.

 

Michael Buffat, UDC : Buffat est d'accord avec ses interlocuteurs: la torture est inadmissible. Néanmoins, il nuance le rapport: ce sont des cas isolés par rapport à ce qui se passe dans ces centres. Le SEM a fait un audit pour changer, améliorer, le juge a mandaté une enquête externe.
Il faut voir les conclusions pour que les responsables de ces sociétés de sécurité fournissent un personnel adapté. (Buffat est le seul à relever que la sécurité des centres coûte très cher à la collectivité). Le nécessaire a déjà été fait pour que les coupables soient punis. Le comportement conforme est dicté par le règlement du SEM. Les cas signalés n’ont pas respecté le règlement. C’est un problème de personnes, qui n’est pas adapté à la fonction d’une société privée.
Buffat relève qu’un tiers des dépenses de ces centres va à la sécurité.
Il existe une commission du groupe de Michael Buffat qui s’en occupe au Parlement.

Les agents de sécurité des centres ne sont pas tous adaptés à ce travail. Déjà 16 personnes ont été suspendues suite au rapport, dont 8 à Boudry, sur 140 agents de sécurité. Il s’agit de 15 à 30 cas sur 1500 interventions de police par année. Lors de ces troubles, il faut mettre les requérants qui posent problème dans des cellules ou ailleurs.

 

Aldo Brina, chargé d'information sur l'asile au Centre social protestant :

Ce qui est mauvais, c’est le cadre posé dans ces centres, ainsi que la culture administrative avec laquelle on traite les requérants d’asile. C’est cela qui va pas !

Des personnes qui ont subi des traumatismes, la guerre, des viols se retrouvent jusqu’à 4 mois et demi dans ces centres. Le concept d’hébergement doit y évoluer. On a misé sur le sécuritaire et pas sur l’encadrement social. Cela doit changer !

Aldo Brina a publié récemment une tribune dans Le Temps sur les problèmes structurels de ces Centres fédéraux d’asile : https://www.letemps.ch/opinions/violence-centres-federaux-dasile-un-probleme-structurel

Il y a un aspect carcéral. Entourés de grillages et de barbelés, d’agents de sécurité, les requérants n’ont pas le droit de se faire à manger eux-mêmes, ils sont fouillés à l’entrée, ne peuvent pas aller et venir comme ils voudraient, n'ont pas, ou peu, d’encadrement social; il est douloureux de passer par ces centres fédéraux.

Il faudrait en faire un lieu d’accueil et un lieu de refuge.

Il faudrait plus d’accompagnement psychologique, plus d’assistants sociaux, assouplir le règlement. Si on ne fait qu’améliorer le travail des agents de sécurité, on n’aura pas les résultats voulus.

 

Renaud Malik à Michaël Buffat : On est face à des problèmes structurels, des centres presque carcéraux. Que répondez-vous à cela ?

Michaël Buffat : L’UDC était seule à s’opposer à cette révision de la loi sur l’asile, qui a engendré ces centres ; l’UDC n’a pas été suivie par la population. Cela a été mis en place par Madame Sommaruga.
Buffat répète vainement que le rapport parle de locaux mal utilisés, de rapport exagéré, erroné, seule une minorité de personnes sont concernées.
Les agents de sécurité ont déjà été punis (licenciés) et l’enquête pénale est en cours, ces personnes seront encore sanctionnées.

 

Renaud Malik : Allez-y, Aldo Brina ! (qui sonne comme un « cassez-lui la figure ! »).

Aldo Brina: Les individus, les agents ne sont pas plus méchants qu’avant. Donc, c’est bien qu’il y a un problème dans la structure trop sécuritaire.
À Genève et dans les cantons romands où il n’y a pas de barbelés et où les requérants peuvent circuler librement, (ndlr: et la drogue aussi), il n’y a pas de problèmes (sic!). Il faut plus d’accompagnement social.

Puis, Aldo Brina conclut tout le contraire :

« La RTS a montré que le problème est généralisé pour toute la Suisse. »

Mario Gattiker, chef du Secrétariat d'État aux migrations, dit que les problèmes sont localisés sur Boudry. Ailleurs il y a moins de problèmes.

 

Renaud Malik (sur un plateau d'argent) à Alicia Giraudel :

M. Buffat dit que c’est plutôt une question de personnes, comment Amnesty se positionne sur cette question ?

Alicia Giraudel : Le rapport explique que le système permet aux agents d’écrire des rapports de sécurité sans que personne ne se rende compte si les rapports sont falsifiés. Il y a la possibilité de masquer la violence exercée par les agents de sécurité.

Il faut se rendre compte que c’est en partie le système qui contribue à ce qu’on puisse masquer ou cacher des situations d’une certaine violence.

Il faut réfléchir à ces systèmes de surveillance, pour trouver des moyens d’éviter que des situations soient cachées.

Le rapport a soulevé quelque chose d’important: il y a un climat où l’on part du principe que s’il y a un danger, il vient de la part des requérants d’asile.
Il y a une salle de réflexion qui est une cellule d’isolement, une punition disproportionnée et cela augmente les tensions, cela crée vraiment une mauvaise ambiance dans les centres.

Il faudrait une instance indépendante de plainte (en plus de ce qui existe!) pour que tous les requérants d’asile puissent porter plainte en cas de violence ou d’autres abus, et un système d’alerte pour les personnes qui sont témoins de violences et d’abus. Il faudrait se concentrer sur les systèmes de protection des requérants.

Et Alicia Giraudel dénonce le fait qu’il y ait eu des mineurs enfermés dans des cellules d’isolement alors qu’il y a même un règlement dans les centres qui l’interdit clairement. Les règles internationales interdisent également d’isoler les mineurs. (Non, on ne rêve pas! Un migrant de 17 ans est un soldat accompli, et la majorité mentent sur leur âge.)

Alicia Giraudel conclut: Il fait réfléchir comment interdire certains comportements, comment interdire que les gens soient traités de cette manière.

source: https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/le-debat-centres-federaux-dasile-droits-humains-en-danger?id=12192650

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Nous sommes d'avis que le droit d'asile, qui est totalement dévoyé pour servir à la conquête de notre pays, devrait simplement être aboli.
C'est notre survie qui est en jeu, il faut choisir, et ne pas choisir, c'est mourir.

Des personnes qui correspondent réellement aux critères de l'asile, il n'y en a pratiquement plus, et ceci depuis l'effondrement du communisme. Les vrais réfugiés, comme les Blancs d'Afrique du Sud par exemple, ne viennent pas dans un pays envahi.

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Voici une vidéo de la police espagnole, dont nous souhaiterions voir appliquer les méthodes à tous les fauteurs de trouble chez nous:

Gérard Brazon: Une intervention musclée dans le métro de Madrid suite à des agressions. On regrette que la France ne fasse pas pareil dans les métros de France, ça en calmerait certains.

https://www.youtube.com/watch?v=6-2CYJRkGVA

 

 

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voir aussi:

https://lesobservateurs.ch/2020/06/29/le-centre-de-requerants-dasile-de-chevrilles-est-il-devenu-une-zone-de-non-droit/

https://lesobservateurs.ch/2018/03/25/fribourg-chevrilles-le-centre-pour-requerants-dasile-voit-le-jour-malgre-lopposition-de-la-population/

Asile, sexe et politique. Le Centre d’accueil de Perreux (2) . Màj avec rapport anonymisé 11.7.2018

A propos de la décapitation de Samuel Paty et de l’islamogauchisme (du côté de La-Chaux-de-Fonds)

Zurich : Un requérant d’asile débouté, déjà condamné à 11 reprises, avoue le viol d’une étudiante. Sa peine est réduite.

Deux personnes blessées dans un train à Fribourg : le requérant d’asile débouté avait attaqué « par hasard »

Grèce : Une vingtaine de requérants mineurs en route pour la Suisse. Pour les ONG, il s’agit d’une simple obligation!

Zurich : Un dangereux délinquant sexuel marocain s’échappe de l’hôpital psychiatrique. Il s’agit d’un requérant d’asile débouté.

Neuchâtel: la directrice du centre d’asile protégée alors qu’elle entretenait des relations « étroites » avec les migrants, à qui elle laissait faire la loiLa criminalité étrangère et la gauche.

Neuchâtel, quand les pyromanes appellent les pompiersLes larmes des avocats pro-délinquants ou quand Neuchâtel et Genève ouvrent les yeuxNeuchâtel : Criminalité massive.

La problématique PLR!Neuchâtel : Coupable de plusieurs actes de violence, Fatmir écope de huit mois de prison… avec sursis.

Il aurait déjà dû quitter la Suisse.Nos lecteurs : « En tant que contribuable suisse je suis heureux d’apprendre que pour héberger 20 racailles cela coûtera 5 millions la première année soit la bagatelle de 250’000.- par tête de pipe. »

Neuchâtel : une Somalienne illettrée mutille ses deux filles conformément à sa culture. « Les femmes non excisées sont considérées comme des prostituées. »Jugée pour avoir fait exciser ses filles

Le Conseil fédéral exige des coupes budgétaires mais… demande 180 millions pour une nouvelle structure d’asileBerne redessine le visage de l’asile en Suisse romandeLes coûts méconnus des centres de requérants

La Confédération veut un grand centre pour requérants à Perreux (NE)«Cette amende, c’est du vo

Suisse : Roger, 60 ans, poignardé à mort par sa compagne, une demandeuse d’asile camerounaise, parce qu’il lui a refusé le mariage

Suisse : Recueilli par un couple, un demandeur d’asile finit par épouser la mère et abuser de sa fille

Suisse : Un terroriste de l’Etat islamique a pu séjourner dans nos centres d’asile selon les médias turcs « Il y faisait ce qu’il voulait »

Genève. Procès de l’incendie mortel causé par un requérant d’asile algérien

Zurich : Deux requérants déboutés tombent d’une fenêtre en tentant d’échapper à la quarantaine

 

Le journalisme romand dans les abysses

Article de L’Illustré : Joe Biden, un vieux président qui a vu la mort de près.

Version lesobservateurs.ch : Joe Biden, un vieux président qui fait voir la mort des États-Unis de près…

Article de L’Illustré : Le look, enfin un thème politique

Version lesobservateurs.ch : Journalisme en Suisse romande : le niveau ne monte pas, toucherait-on même le fond ?

L'article d'Yvan Perrin de ce jour, sur notre site: "Le vent du boulet" sur les élections neuchâteloises de la veille.

Ci-dessous, notre résumé de la manière utilisée par la RTS pour parler de cette défaite.

Nous pouvons même illustrer la propagande et la désinformation déversées en flux quasiment continu en ouvrant indifféremment n’importe quel média subventionné; l'uniformité de nos médias qui répandent pratiquement tous la même propagande, sans filtre.

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Exemple : RTS/Forum, 09.05.2021

Les Suisses, plus europhiles qu'il n'y paraît? Interview de René Knüsel

Un sondage bidon pour faire avaler au peuple suisse qu'il aimerait inconsciemment l'Union Européenne plus qu'il ne l'imaginerait (Sondage fait par qui? Quelle est la population sondée? Les questions étaient-elles orientées? ).

Combien de personnes ont-elles lu et compris ce qu'est l'accord cadre ?
https://www.dfae.admin.ch/dam/europa/fr/documents/abkommen/Acccord-inst-Projet-de-texte_fr.pdf (34 pages).

Lorsque nous cherchons des informations sur l'Accord Cadre, nos médias réservent les explications de la RTS, de Pierre Nebel, mais presque jamais les explications d'opposants, de septiques ou de réservés.
Le texte est très technique, et aussi indigeste qu'inaccessible au commun des mortels.

Répéter avant les votations des résultats de sondages orientés ne fait qu'influencer les citoyens dans le sens obtenu par le sondage de complaisance.
Ce principe psychologique est largement utilisé dans les relations fatiguées:

"Je sais bien qu'au fond de toi tu m'aimes encore"

Les émissions Forum de la RTS sont truffées de questions orientées qui contiennent déjà la réponse, la RTS passe quotidiennement comme un bulldozer sur le mental de la population, rien ne semble pouvoir stopper ce parasitage idéologique qui ne dit pas son nom... ou au moins le remettre en question.

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L'invité ci-après d'Esther Coquoz mérite également le détour.

Comme d’habitude, Esther Coquoz superpose régulièrement ses « uhum » et ses « très bien » aux paroles de la personne sous sa poigne, son ton inquisiteur et agressif est modulé en fonction de son ressenti envers ses proies.

Ici, c’est au tour de Roby Tschopp de passer un mauvais quart d’heure, car le malheureux candidat neuchâtelois vient de perdre au deuxième tour et fait basculer la Gauche dans la minorité. Nous nous réjouissons de ce résultat, néanmoins, la hargne d'Esther Coquoz nous remplit de stupeur.

Auparavant, un autre journaliste RTS avait introduit l'interview et pointé du doigt les faiblesses du candidat par qui le malheur arrive :
Il n’est ni une femme, ni jeune.
Eh oui, Tschopp a presque tout pour déplaire : Bien qu'il soit un Vert, c’est un Suisse vrai de vrai, un mâle blanc et vieux (55 ans !), en plus il n’est ni un fan de la décroissance, ni n’a voulu faire alliance avec les socialistes.

Pour Esther Coquoz, c’est la totale, et son irritation se sent en filigrane !

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Voici le résumé de l'interview de Roby Tschopp, candidat écologiste éconduit au Conseil d’État neuchâtelois. "Défaite pour Les Verts au conseil d’État neuchâtelois"

Esther Coquoz : C’est la fin de 8 années de domination des socialistes à Neuchâtel, le PLR a raflé 3 sièges sur 5. Il y aura deux femmes, PLR et socialiste. Exit Roby Tschopp.

Esther Coquoz : Largement distancé, quelle leçon tirez-vous, Roby Tschopp ? (Question posée sur le ton d'une maman qui enguirlande son enfant pour une bêtise.)

Roby Tschopp : ... Dont acte.

Esther Coquoz : Dont acte ? Cela veut dire que vous ne correspondez pas au candidat que la gauche et les Verts souhaitent vraiment mener jusqu’au Conseil d’État ? Vous n’avez pas le bon profil ?

Roby Tschopp : Le souverain a parlé...

Esther Coquoz : Vous sentiez quand même à la fin du premier tour, Roby Tschopp, que votre 7e place était un mauvais signal. Vous n’auriez pas dû jeter l’éponge à ce moment-là ?

Esther Coquoz : Vous prenez quand même acte de ce vote. Oui. Mais est-ce que vous ne diriez pas que vous n’avez pas incarné suffisamment l’image qu’on se fait d’un candidat Vert aujourd’hui, plutôt jeune et j’ai presque envie de dire, une candidate plutôt féminine ?

Roby Tschopp répète qu’il avait été désigné par son parti.

Esther Coquoz : La vague verte subit néanmoins un coup d’arrêt à Neuchâtel. Pire que cela : la majorité de gauche – en tout cas, pire pour la gauche –  au Grand Conseil est battue.
Est-ce que c’est dangereux pour certains dossiers comme la protection du climat, Roby Tschopp ?
Vous êtes inquiet ce soir ?

Résumés et commentaires : Cenator

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image en avant: Toute ressemblance avec des personnages existants serait purement fortuite.

 

La banalisation des attentats djihadistes par les médias en Suisse romande

Albert Coroz: 20minutes.ch est le journal le plus lu en Suisse romande: "Trois millions de lecteurs séduits par «20 minutes»."

L’attentat djihadiste à Rambouillet a eu lieu le vendredi 23.04.2021.

Sur l'édition papier de 20 minutes, la nouvelle de l'attentat djihadiste de Rambouillet est traitée le 26.04.2021 en page 8, insérée entre celle d'une infirmière en Allemagne qui a confondu les diluants avec le vaccin et celle d'un homme tué par un requin à la Nouvelle-Calédonie.
Ces trois articles sont de la même taille.

L'égorgement de la policière de Rambouillet est mis au même niveau que l'information "tué par un requin"

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Quant à la couverture médiatique de la RTS, pas un mot sur l'attentat de Rambouillet durant toute la semaine de l'émission "Forum".

En ce qui concerne le TJ du 19h30, c'est seulement le 26.04.2021, et que 2:10 minutes y sont consacrées sur les 30 minutes d'émission (voir résumé ci-dessous: l'exemple est très éloquent sur la manière dont l'attentat a été traité par les journalistes du service public.)

TJ - 19h30 - 26.04.2021 - l'attentat djihadiste de Rambouillet, durée consacrée à l'attentat: 2:10 sur 30 minutes de TJ

 Résumé de la séquence:
"A une année de la Présidentielle" - c'est ainsi que commence et se termine le reportage sur l'attentat de Rambouillet.

"Ce week-end, un islamiste armé d'un couteau a tué une agente de police près Paris. Un attaque terroriste, qui a ravivé les thèmes de débats,qui sont chers à Marine Le Pen, à qui les sondages promettent une présence au second tour face à Macron."

Anne Fournier, envoyée de la RTS, Paris: Hommage partout en France,... une nouvelle victime dans une France très meurtrie ces derniers mois par la gestion du terrorisme (sic!).
Mais cette fois, la compassion a vite laissé place à l’argument politique.

L'enjeu, selon le reportage, serait la polémique déclenchée par l'attentat. C'est Marine Le Pen qui ferait un lien entre terrorisme et immigration, et l'enjeu serait aussi sa présence au 2e tour.

Le porte-parole du gouvernement Macron reproche à Le Pen son tweet, trop tôt posté après l'attentat, qui parle des "mêmes horreurs qui se succèdent, mêmes profils coupables de cette barbarie, les mêmes islamistes; on n'en peut plus...".
En plus, le porte-parole du gouvernement reproche à Le Pen d'avoir passé sur les plateaux de télé trop rapidement, attitude qu'il qualifie  de "vautour" et d'"indécente". 

Mais Anne Fournier rassure: Macron a passé dans les "quartiers chauds", (AOC de la RTS pour no-go-zones). Il veut prouver par là qu'il n'est pas laxiste.
Mais la surenchère pourrait lui coûter cher car à Gauche, on veut déjà lui barrer le chemin...  
(2:10 de reportage)
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Les subventions pour nos médias sont revendiquées au nom du service public, sous prétexte que les médias remplissent un rôle essentiel, une fonction sociale et d'utilité publique. Ils affirment jouer un rôle primordial dans la cohésion sociale et être essentiels pour la diffusion des connaissances et la formation de l'opinion.

Or nos médias nous ont prouvé une fois de plus que le  lavage de cerveau prime sur toutes les mission revendiquées.

Dans l'ensemble, nos services publics et les médias subventionnés pratiquent à large échelle l'ingénierie sociale ou la manipulation des masses. Tout semble viser à vouloir  imprégner et maintenir par le contrôle mental l'idéologie dominante.
La cohésion sociale, pour nos propagandistes, signifie que nous devons tous penser pareil, ce qui va totalement à l'encontre d'un système démocratique. Autrement dit, nos médias détruisent notre démocratie,... et la Suisse historique avec.

 ***

Extraits de notre article sur la stratégie journalistique visant à unifier l'opinion au lieu de nous laisser libres de nous décider:

Concernant l'attentat de Boulder, USA: [...] Pourquoi ce stratagème, et que veut obtenir par là l’establishment qui règlemente la parole autorisée ? [...]

[...] Non seulement la RTS, dans cette émission d’actualité politique, n’a pipé mot durant toute la semaine de l’attentat islamiste de Boulder, mais elle a programmé, comme souvent, un spécialiste pour attirer l’attention des auditeurs sur les dangers provenant des « nationalistes blancs »...[...]

[...] A présent, la page est tournée, les journalistes et les spécialistes ont expliqué que les loups solitaires sont partout, que djihadistes ou suprémacistes blancs, c’est du pareil au même.[...]

La réalité est que les  journalistes ont transformé cette tuerie en un non-événement, parce que les victimes sont des Blancs et que l’assassin de masse est un musulman, inexploitable pour la convergence des luttes ...[...]

[...] des méthodes du journalisme progressiste. Celui-ci ne s’arrête pas à la censure, il déforme aussi les faits de telle façon qu’ils correspondent au narratif, et la représentation de la réalité devient le résultat de procédures de manipulation de masses.

Lorsqu’un crime est commis par une personne appartenant à une minorité protégée, ces journalistes conduisent méthodiquement leur public sur de fausses pistes. Puis, seulement si cela n’est plus tenable, progressivement, le voile est levé sur l’identité de «l’espèce protégée». [...]

[...] Une fois que l’émotion initiale est retombée, le sursaut nécessaire pour réagir ne se produira pas – on évite ainsi que la grenouille ne se sauve de la casserole mise sur le feu.

Détourner l’attention, colporter des fictions pour servir des idéologies, cela détruit bien plus que la crédibilité des journalistes concernés : cela sert à détruire la capacité de réaction de la population. [...]

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Ci-dessous les sujets traités par la RTS, TJ+FORUM, durant la semaine du 13-29 avril 2021, après l'attentat islamiste de Rambouillet

RTS - TJ - 19h30 - 23.04.2021, jour de l'attentat

Accord-cadre: Guy Parmelin, en visite à Bruxelles, n'a pas réussi à s'entendre avec Ursula Von der Leyen.

Accord-cadre: les précisions d'Isabelle Ory, à Bruxelles.

Accord-cadre : Les réactions des acteurs politiques et économiques suisses.

Accord-cadre: l'analyse d'Esther Mamarbachi, cheffe de la rubrique politique de la RTS!

L'encaveur valaisan Dominique Giroud a été condamné à une peine de prison de six mois avec sursis par le Tribunal de Genève.

Le chef du pôle Enquête de la RTS Gilles Clémençon sur la condamnation de Dominique Giroud.

VD: Une maman de jour a été condamnée à ne plus garder d'enfants, à cause du bruit.

En Méditerranée, aucun survivant après le naufrage d'un bateau transportant 130 migrants.

La lutte contre le changement climatique sort renforcée du sommet international convoqué par Joe Biden.

Le commentaire du journaliste Pascal Jeannerat sur la conférence climatique demandée par le président américain Joe Biden.

Dix ans après l'incendie, la forêt protectrice de Viège pousse lentement mais sûrement.

Covid-19: la Task Force encourage désormais l'usage de capteurs CO2 pour mesurer la qualité de l'air intérieur

L'UEFA a annoncé aujourd'hui la liste définitive des villes qui accueilleront l'Euro de football

Mission Alpha: les astronautes ont décollé pour l'ISS.

 

TJ - 19h30 - 24.04.2021

L'Inde est frappée par la vague fulgurante d'un variant du coronavirus

Variant indien: les explications de Laurent Kaiser, chef du service des maladies infectieuses aux HUG

Portrait d'une sommité mondiale de la traque aux variants du Covid-19, Emma Hodcroft, rencontrée chez elle à Bâle

Hautement recommandé, l'autotest peine à s'imposer au moment de partir en soirée

Fermées, rouvertes et envahies, ce soir les terrasses en terrain connu, avec Théo Jeannet

Anciennement Parti démocrate chrétien, le Centre a étrenné en ligne son nouveau nom en assemblée des délégués

Les 40 jours de confinement volontaire en ont paru durer plutôt 30 aux cobayes de Christian Clot

Les travaux de la THT en Valais avancent. Certains espèrent

Giulia Steingruber, championne d'Europe du saut de cheval

Yves Rénier, l'acteur qui a incarné pendant près de 40 ans le commissaire Moulin s'est éteint cette nuit à l'âge de 78 ans

Une série de performances artistiques réalisées dans des restaurants vides à savourer sur Instagram en attendant la réouverture

 

TJ - 19h30 - 25.04.2021

La pandémie a fait exploser le nombre d’emplois précaires. Exemple: le licenciement de plus d'une centaine de livreurs à Genève

Lonza, à Viège, pointée du doigt par Moderna pour expliquer les retards de livraison des vaccins. La Confédération intervient

Face à la progression des variants et l'incertitude sur la durée d'immunité, la vaccination en trois doses et au-delà se précise

Des accrochages ont opposé samedi soir Palestiniens et forces de l'ordre israéliennes à Jérusalem

Gwendoline Debono revient sur l'escalade des tensions à Jérusalem

Après la visite de Guy Parmelin à Bruxelles, 4 ministres sont invités à s'expliquer devant des commissions parlementaires

Regain d'intérêt des jeunes pour la politique en 2020/2021. Le Covid semble avoir eu un effet accélérateur sur leur engagement

La Suisse a retrouvé ses terrasses. Une boisson est particulièrement prisée : la bière

Les Rencontres du 7e art se feront en ligne et au cinéma à Lausanne. Entretien avec l'acteur et réalisateur Vincent Perez, créateur des Rencontres

Le 7e art a été touché de plein fouet par la pandémie. Bilan, à l'heure de la réouverture des salles de cinéma

Vincent Perez, acteur et président des Rencontres du 7e art, revient sur la crise qui touche le secteur du cinéma

Après deux ans et demi de travaux, le château de la Sarraz a rouvert ses portes au public ce weekend

La chronique photo revient sur Loujain Al-Hathloul, militante

France: le meurtre d'une policière crée un clivage de la classe politique sur les moyens mis dans la sécurité

Accord-cadre: Ignazio Cassis et Guy Parmelin ont été auditionnés par les deux commissions de politique extérieure de la coupole

Accord-cadre: l'analyse de Rouven Gueissaz, journaliste parlementaire

Un ex-employé de l'Office fédéral des routes et deux importateurs de voitures sont déférés devant la justice

Le canton de Vaud ouvre la vaccination anti-Covid à tous les adultes sans distinction d'âge

Vaccination: les précisions de Laurent Kurth, conseiller d'Etat neuchâtelois en charge de la santé

Rapperswil (SG): 4000 personnes rassemblées pour protester contre les mesures sanitaires

En Italie, on a célébré la réouverture progressive des écoles, des restaurants ou des musées. Reportage à Venise

[voir résumé attentat plus haut]

Des agences genevoises de relocation demandent des centaines de francs à des locataires potentiels pour visiter des appartements. Polémique

Christian Dandrès: "Ces pratiques parasitaires et scandaleuses commencent à fleurir lorsqu'on a des crises du logement"

La ville de Genève présentait lundi ses objectifs pour 2030 en matière de végétalisation: 30% de surface arborée

Lauréat de deux oscars, "The Father" a été produit par une

 

TJ - 19h30 - 28.04.2021

Après une phase de test, les grandes manifestations jusqu'à 3000 personnes pourront être autorisées dès le mois de juillet

Le retour du public annoncé pour cet été par le Conseil fédéral soulage certains organisateurs d'événements culturels

Michael Drieberg: "Ça fait une année qu'on réclame ces concerts tests. (…) C'est incroyable qu'on ait perdu autant de temps."

Certains camarades socialistes ont écrit à la tête du parti pour clarifier la politique européenne du PS

La Suisse tente d'obtenir un siège au Conseil de sécurité des Nations Unies. Plongée dans la campagne menée par Pascale Baeriswyl

L'Inde est submergée par la nouvelle vague de coronavirus. Les hôpitaux souffrent notamment d'une pénurie d'oxygène

Une enquête a été ouverte à l'encontre de Boris Johnson. Une affaire qui s'ajoute à d'autres accusations

La délinquance des jeunes est en augmentation partou

Nathalie Kocherhans: "Un jeune pourrait attendre deux ans avant d'avoir une place dans un établissement fermé."

PSG - Manchester City, les enjeux d'une rencontre qui vont bien au-delà du sport

Cédric Adrover: "On ne sait pas encore si Ajoie va accepter sa promotion en cas de victoire".

"Drunk" de Thomas Vinterberg vient de recevoir l'Oscar du meilleur film étranger

TJ - 19h30 - 29.04.2021

Le Jura, premier canton à offrir la vaccination dès 16 ans. Quant au vaccinodrome de Genève il manque de doses.

Un test sérologique nouvelle génération pourrait bientôt mesurer l'immunité protectrice individuelle contre le Covid-19.

Delphine Gianora: le point sur les personnes immunisées.

Logitech enregistre des résultats exceptionnels pour l'exercice 2020-21.

Discours et plan de relance des 100 jours de la présidence de Joe Biden.

Avec l'arrivée de la Verte Fabienne Fischer, le Conseil d'Etat genevois passe à une majorité de gauche.

Pierre Maudet "Je me sens libre. C'est une page qui se tourne. Je ne prendrai pas la retraite politique"

Les candidats au Conseil d'Etat neuchâtelois affûtent leurs armes pour le second tour.

Naters (VS) Fouille de 3'500 mètres carrés pour écrire l'histoire du Néolithique.

Hockey sur glace: le HC Ajoie fait son retour dans la cour des grands.

Gary Sheehan "C'est un groupe très uni, résilient, soudé face à un grand défi"

Sarah Carp est photographe de l'année. Elle est consacrée pour sa série d'images réalisée pendant le semi-confinement.

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  • 1Forum (vidéo) - Présenté par Esther Coquoz et Mehmet Gultas 59:59  Minutes

  • 2 L'accord-cadre entre la Suisse et l'Union européenne dans une impasse 03:38  Minutes

  • 3 L'accord-cadre dans une impasse: interview de Céline Amaudruz et d'Olivier Feller 04:38  Minutes

  • 4 L'accord-cadre entre la Suisse et l'UE dans une impasse: interview d'Andreas Schwab 07:11  Minutes

  • 5 Dominique Giroud condamné au sursis pour sa tentative de piratage 02:51  Minutes

  • 6 Retrait des troupes russes de la frontière ukrainienne: interview d'Isabelle Facon 04:58  Minutes

  • 7 L'opposant russe emprisonné Alexeï Navalny arrête sa grève de la faim 02:29  Minutes

  • 8 La Suisse s'oppose à des exceptions sur les brevets: interview de Patrick Durisch 03:57  Minutes

  • 9 Votation sur la loi CO2 (5/5): les certificats d’émission de CO20 2:54  Minutes

  • 10 Le débat - Loyers commerciaux: le dialogue est-il suffisant? 17:09  Minutes

  • 11Forum des idées - La psychologie positive

La RTS jubile, d’un ton victorieux : Chauvin est jugé trois fois coupable !

Albert Coroz : Ce qui ne sera jamais évoqué par la RTS, ce sont les conditions scandaleuses dans lesquelles ce procès s’est déroulé.

Le Palais de Justice était barricadé par des blocs de béton et des barbelés, la Garde nationale avait dû être déployée, et malgré cela, il y a eu de la casse et des émeutes organisées par la gaucho-racaille.
Des menaces de mort et d’autres menaces ont été proférées contre les juges, les jurés, les témoins. Il y a eu des pressions politiques de parlementaires, et même de Biden, qui avait annoncé avant le verdict qu’il souhaitait que la culpabilité de Chauvin soit reconnue.
En un mot, l’agent Chauvin était condamné avant le verdict !

Dans un pays démocratique, aucun procès ne devrait se dérouler dans de telles conditions. Sans une justice équitable, c’est la fin de l’État de droit et même la fin d’une nation. Une telle déchéance d’un pays qui était un phare de la civilisation de la liberté est un désastre incommensurable. Et c’est cela que la RTS célèbre et salue jour après jour !

Cela fait république bananière quand le président d’un État annonce durant un procès le verdict qu’il souhaite. Mais qu’attendre de mieux d’un gouvernement qui a gagné les élections par fraude ?

L’invitée de la RTS, Anne Deysine, professeure émérite de Paris, qui accuse Trump pour le racisme aux États-Unis (« la faute à Trump », cela va durer combien d’années encore ?), se réjouit du triple verdict de culpabilité, sans lequel « le pays serait à feu et à sang ».

Ndlr: Les BLM sont insatisfaits du verdict, les manifestations continuent à Minneapolis, ils exigent une révolution communiste (ici et ici).

La conclusion d’Anne Deysine en dit long sur son sens de la démocratie et la justice – mais aussi sur celui de la RTS :

« La photo du policier Blanc qui tend les mains, qui quitte la salle d’audience avec les menottes, je crois que ça fait plaisir à toute une partie de la population américaine. Et symboliquement, c’est très fort. »

Si le procès Dreyfus se déroulait de nos jours, la RTS se ruerait-elle avec son conformisme biaisé et son aveuglement idéologique constant pour salir Dreyfus ? Serait-elle du côté des pires, tout comme elle et ses invités, professeurs émérites triés sur le volet, l'ont fait avec Trump ?

L’ère de la post-vérité a engendré celle de la post-justice idéologique, où les juges ont la liberté d’interpréter la loi, de fabriquer des jurisprudences qui sont souvent des dérives que le peuple n’aurait jamais votées, et ceci leur donne un pouvoir qui peut détruire la justice même.

L'ère de la post-justice idéologique, c’est d’organiser une fraude électorale systématique pour éjecter un président des USA élu démocratiquement que les médias super-puissants et leurs arrière garde n’aiment pas;
c’est de dissoudre Génération Identitaire en se servant d’arguments fantaisistes;
c’est le procès de Dominique Girond en cours (ici, ici et ici) c’est à dire détruire la vie d’une personne.

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Forum, 21.04.2021 - Comment lutter contre l'impunité des violences policières aux Etats-Unis?

Interview d'Anne Deysine, professeure émérite à l'université de Paris Nanterre, spécialiste de la justice américaine.

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Anne Deysine : Le verdict du procès Floyd, c’est un tournant aux États-Unis.

Raphaël Grand, journaliste RTS : En quoi ce verdict peut vraiment provoquer un changement ?

Anne Deysine : Déjà la bonne nouvelle qu’il y a eu ce verdict.

Parce que s’il y avait eu un verdict non coupable, d’abord, le pays serait à feu et à sang, et là, c’était le signe qu’aucune réforme n’était possible.

(Ce qui revient à dire que la justice doit s'arranger pour calmer la violence; ici faire abstraction  que Floyd était un récidiviste visiblement drogué, qu'il fallait se mettre à trois pour le maîtriser et se concentrer sur la couleur de  peau pour le verdict.)

La réforme en cours, ce n’est qu’une petite loi, qui porte d’ailleurs le nom de George Floyd. La Chambre l’a déjà adoptée, il faut encore le vote du Sénat – mais, déplore la professeure émérite, le Sénat est en majorité Républicain et il n’est donc pas certain que la loi passe.

Il y aura une enquête sur le fonctionnement de la police à Minneapolis (ville Démocrate). Anne Deysine dit que cela va impliquer un très fort changement des mentalités dans la police.

Le procureur a souligné que ce n’était pas un procès contre la police, mais contre un policier, qui n’a pas appliqué la règle de la « force raisonnable ».

Il y a un racisme ambiant dans la police. Systémique ? Peut-être pas. Mais beaucoup de policiers ont peur dans certains quartiers. Chaque fois que l’avocat de Chauvin le pouvait, il parlait de quartiers « sensibles », c’est-à-dire les quartiers Noirs. Il avait aussi pour argument que George Floyd était très costaud, ce qui explique que Chauvin l’ait maintenu sous son genou pendant 9 min 29 sec.

Donc dans tout cela, il y a le racisme ambiant. Avant Donald Trump il était assez caché. Mais à cause de Donald Trump, le racisme se révèle davantage. Il ne faut pas me faire dire que je ne dis pas. Mais on peut attribuer à Donald Trump le regard du racisme et le regard sur ces incidents des policiers qui tuent des Noirs. [...]

Avec les bodycams et les smartphones, cela va changer, et à défaut de changer de plein gré, cela va changer à cause de ces moyens techniques. Les tribunaux vont davantage condamner les policiers, fini la connivence entre le procureur et la police et la solidarité entre les policiers.

Ici, avec Chauvin, les témoignages des policiers et de leurs formateurs allaient dans le sens du verdict, le oui pour les trois chefs d’accusations.

Raphaël Grand : Alors, quand on parle de l’impunité des policiers aux États-Unis, ce n’est pas complètement faux ?

Anne Deysine : Il est très difficile de mettre en doute la parole du policier car il peut invoquer le fait que sa vie était en danger. Ici, il n’y avait pas de danger, donc le critère d’usage raisonnable de la force est applicable.
Si le policier a peur pour sa vie « et ses petits camarades » (textuel), il peut tirer. Ici, la charge est très lourde. Il faut que le procureur puisse convaincre les 12 jurés qu’il n’y a aucun doute raisonnable sur le fait que l’accusé est bien coupable.

Là, ce qui a aidé, c’est l’enregistrement, les 9 minutes. Et les experts, les témoignages...

Les trois verdicts de culpabilité veulent dire que les jurés ne se sont pas simplement dit : Oh là, là, si on dit non coupable, il va y avoir des émeutes dans le pays.

Car dans ce cas-là, ils auraient pu simplement dire coupable sur les chefs d’accusations N° 2 et N° 3. Mais comme les trois chefs d’accusations ont débouché sur un verdict de culpabilité, cela signifie qu’il y a une conviction des jurés et jurées, Noirs et Blancs, etc., sur le fait que ce comportement était inacceptable et qu’il fallait envoyer un message fort.

La photo du policier Blanc qui tend les mains, qui quitte la salle d’audience avec les menottes, je crois que ça fait plaisir à toute une partie de la population américaine. Et symboliquement, c’est très fort.

A la fin de l’interview, Raphaël Grand fait la promotion du livre qu’Anne Deysine a écrit sur le racisme aux USA.

Gary Varvel cartoon.

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