“C’est la loi” : le commissaire européen (non élu) Thierry Breton annonce la mise en place de la censure pour le 25 août !

C'est donc ça l'Union européenne dont on nous vante les mérites ? Après avoir annoncé il y a quelques mois que l'UE entrait en "économie de guerre" pour produire un million d'obus pour l'Ukraine (adieu "l'Europe de la paix" !), le commissaire européen (non élu) Thierry Breton vient d'annoncer que ça y est, à partir du 25 août, les réseaux sociaux vont être mis au pas !

 

Fini la contestation ! Fini l'opposition ! Tous les "contenus haineux" ou qui appellent à la révolte" seront supprimés ! Et tous les réseaux sociaux qui ne se plieront pas à la sacro-sainte "LOI" de la Commission européenne (non élue, rappelons le toujours !), couic ! On les éjecte du continent !

Où est la haine Thierry Breton ?

Mais où est la "haine" Thierry Breton, quand on parle de produire un million d'obus pour faire la guerre ? Où est la haine quand on veut transformer l'Europe en une vaste usine d'armement ?

 

Et puis... une question : si on appelle le peuple russe à se révolter contre Vladimir Poutine, serons nous censurés ? Si on appelle à renverser le gouvernement hongrois de Viktor Orban, est-ce un "appelle à la révolte" ?

 

 

Rapport officiel : « il n’y a aucune preuve que la haine en ligne conduit aux crimes de haine »

Jean-Patrick Grumberg le 16 mars 2021

C’est un rapport* explosif qui paraît, ironie totale, sous une administration Biden qui profite du verrouillage de l’information et du renforcement de la censure sur internet.

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Aucun média en français n’a encore publié ce rapport, parce qu’il conclut qu’il n’existe aucune preuve que les incitations à la haine et les propos haineux en ligne – qui servent de prétexte à la censure des idées de droite – « entraînent des crimes de haine ».

Le rapport (1) démontre ce que l’on savait : lorsque les réseaux sociaux ne censurent pas et qu’ils ne suppriment pas ce qu’ils appellent « les propos d’incitation à la haine » des utilisateurs qui enfreignent leurs « règles de communauté », cela n’entraîne pas les conséquences qu’ils disent vouloir combattre par leur censure, à savoir l’augmentation des « crimes de haine ».

Ainsi part en fumée leur seul argument pour censurer les opinions qui contredisent le narratif de la gauche, et cela explique le silence média. D’autant que le rapport remet en cause ce que l’on entend partout à la télévision, à savoir qu’il y a une augmentation des crimes haineux inspirés par Internet – sous-entendu par l’extrême droite, bien entendu.

Le rapport, publié par le département américain du Commerce, a été remis au Congrès en janvier – il n’a été publié sur aucun site internet du gouvernement américain et aucun membre du Congrès n’en a parlé.

C’est à Breitbart News, un média de droite, que l’on doit d’avoir obtenu une copie du rapport. Il n’est pas clair à ce stade si d’autres grands médias en ont eu connaissance. Si c’est le cas, ils se sont soigneusement abstenus d’en parler, et c’est logique. Les grands médias sont de gauche. Ils sont dans le même camp progressiste voire d’extrême gauche, que la Silicon Valley, et la censure des conservateurs par Twitter, Facebook, YouTube et Google est un privilège auquel ils ne renonceront jamais. Cela permet aux Démocrates et leurs alliés les médias, de faire dériver la démocratie vers un Etat sous contrôle de l’information par un petit groupe de gauche.

Un dossier à l’initiative des Démocrates, caché par les Démocrates

Le rapport a été préparé par l’Administration nationale des télécommunications et de l’information (NTIA) du ministère du Commerce, qui est chargée de conseiller le président sur toutes les questions liées aux télécommunications et à l’internet.

Il a été rédigé pour réviser les conclusions d’un précédent rapport de la NTIA en 1993 intitulé The Role of Telecommunications in Hate Crimes. Il était temps, car beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis 1993, où les réseaux sociaux n’existaient pas, où quelques rares forums de discussions et BBS (bulletin board system) permettaient à quelques initiés d’échanger leurs points de vue.

Le fait que le rapport ait été enclenché sous l’administration Trump ne veut pas dire que c’est un rapport Trump, au contraire. Il émane non pas de l’exécutif mais du 116e Congrès, qui était contrôlé par une majorité Démocrate de 35 sièges à la Chambre et par une faible majorité républicaine au Sénat.

Le rapport de 1993 est toujours accessible sur internet (2). Le nouveau rapport ne l’est pas.

« Les rapports de ce type sont généralement rendus publics », a déclaré une source qui a travaillé en étroite collaboration avec la NTIA sur le rapport.

« Je ne sais pas pourquoi ce rapport n’a pas encore été publié sur un site gouvernemental. Il a déjà été soumis au Congrès, ce n’est plus une affaire privée. Je soupçonne la Division des droits civils d’y être pour quelque chose. »

Selon la source, qui a précédemment travaillé dans l’administration Trump, le rapport mis à jour a été âprement combattu par la division des droits civils, qui est la partie du Département de la Justice chargée de poursuivre les crimes de haine.

Malgré cette vive opposition, le rapport a été approuvé par l’Office of Management and Budget (OMB) et envoyé au Congrès. Mais il n’apparaît publiquement nulle part, un bon moyen de le faire disparaître, le moyen ultime étant qu’il sera passé sous silence par les grands médias.

Conclusions principales du rapport

  • Le rapport affirme sans ambages qu’il n’existe aucune preuve d’une relation de cause à effet entre la croissance de l’utilisation d’Internet et les crimes haineux.
  • Il souligne qu’il n’y a même pas de corrélation, puisque les allégations des médias concernant une recrudescence des crimes haineux au cours des cinq dernières années sont contredites par les statistiques criminelles du ministère de la Justice.

Extraits

Pour citer le président Barack Obama, « l’arme la plus puissante contre les discours haineux n’est pas la répression, c’est davantage de discours »

  • Pas d’augmentation des crimes de haine depuis l’explosion des réseaux sociaux :

Les données ne montrent pas qu’au cours de la dernière décennie, pendant la période de croissance exponentielle des communications électroniques, en particulier sur Internet, les appareils mobiles et les réseaux sociaux, il y ait eu une augmentation des incidents de crimes de haine.

  • Une atteinte contre-productive au premier amendement :

Le rapport souligne que les efforts visant à restreindre les communications en ligne en raison de craintes – non fondées – concernant les « crimes de haine » portent atteinte au premier amendement.

Nous mettons en garde contre les efforts visant à contrôler ou à surveiller les discours en ligne, même dans le but louable de réduire la criminalité, car ils posent de graves problèmes liés au premier amendement et vont à l’encontre de l’attachement de notre nation à la liberté d’expression.

Pour citer le président Barack Obama, « l’arme la plus puissante contre les discours haineux n’est pas la répression, c’est davantage de discours ».

  • Les chercheurs universitaires ignorent la réalité statistique :

Le rapport critique également les chercheurs universitaires spécialisés dans l' »extrémisme », parce qu’ils n’ont pas étayé leurs affirmations, leurs analyses et leurs conclusions sur le monde réel, mais sur l’idéologie. Ils ont ignoré qu’il n’existe aucun lien de causalité entre les discours de haine en ligne et les crimes de haine dans le monde réel (4).

…les recherches, et bien d’autres semblables, ne parviennent pas à démontrer une quelconque relation de cause à effet entre l’utilisation accrue des médias sociaux et l’augmentation de la violence.

Ces recherches ne présentent même pas de données descriptives complètes établissant une corrélation entre l’augmentation des discours haineux sur les médias sociaux et l’augmentation des crimes haineux.

  • La Silicon Valley utilise le « discours haineux » comme prétexte à la censure de la même manière que le parti communiste chinois :

Les plateformes ne peuvent raisonnablement s’attendre à ce que leur censure mette fin aux crimes de haine ou même les diminue, puisqu’il n’existe aucune preuve établissant un lien entre l’augmentation des discours haineux et les crimes de haine

Enfin, le rapport condamne de manière cinglante les entreprises de la Silicon Valley qui jouent la panique des « discours haineux » pour brider la liberté d’expression sur leurs plateformes.

… les dirigeants des entreprises de technologie ont reconnu que le fait de s’appuyer uniquement sur des équipes humaines pour examiner le contenu ne sera pas suffisant, et que l’intelligence artificielle devra jouer un rôle important.

Il est intéressant de noter qu’une grande partie de cette technologie est développée à partir d’approches mises au point par le Parti communiste chinois pour étouffer les discussions politiques et la dissidence (3).

Étant donné que toutes les grandes plateformes de médias sociaux ont des règles contre les discours de haine et qu’elles utilisent en fait des approches algorithmiques sophistiquées d’intelligence artificielle (IA) pour faire appliquer ces règles souvent vagues et contradictoires, d’une manière également utilisée par des régimes tyranniques, il convient de se demander ce qu’elles y gagnent.

Il est certain, comme le montre le présent rapport, que les plateformes ne peuvent raisonnablement s’attendre à ce que leur censure mette fin aux crimes de haine ou même les diminue, puisqu’il n’existe aucune preuve (5) empirique établissant un lien entre l’augmentation des discours haineux et les crimes de haine.

  • Le danger pour la démocratie d’occultation du débat non accrédité par la gauche :

Il s’agit là probablement de l’élément le plus important du rapport, car il résume de quelle manière la censure des réseaux sociaux et de l’internet affaiblit la démocratie par son bâillonnement.

En outre, cette censure présente de réels dangers pour notre système politique. En vertu des interdictions de discours de haine et d’autres règles de censure, les plateformes ont supprimé des contenus que beaucoup considèrent comme profondément inscrits dans des questions politiques et urgents sujets de société.

Conclusion

Ne sautez pas de joie en vous imaginant que nous allons retrouver la liberté de l’internet, cela ne se produira pas. La gauche est totalitaire, et privée de son arme de destruction majeure de la liberté, elle ne lâchera pas pour autant la pression.

Ce rapport ne verra pas le jour. Pas avec un président Biden qui déclarait récemment que le plus grand danger pour la nation est le terrorisme intérieur venant des groupes de blancs suprématistes et autres groupes nazis – ce qui ne repose sur aucune donnée officielle – je parle des données de sa propre administration (Il y a eu 5 opérations du FBI contre des groupes suprématistes blancs en 2020, contre 14 000 interpellations de militants Antifa et BLM).

Si nous vivions dans un environnement respectueux de la constitution, respectueux des libertés individuelles, et où les journalistes faisaient leur travail, le rapport serait évoqué aux heures des journaux télévisés du soir, les dirigeants des réseaux sociaux feraient amende honorable, annonceraient fièrement qu’ils modifient leurs règles de communauté, leurs algorithmes de censure des propos de haine, et applaudiraient cette avancée vers une plus grande liberté d’expression.

Mais nous ne vivons pas dans un tel monde. Cela viendra, parce que la phase crépusculaire que nous traversons sous la dominance d’une gauche totalitaire qui s’est organisée depuis les années 60 ne sera pas éternelle : l’homme rompt toujours ses chaînes et le Bien l’emporte toujours sur le Mal.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Vaccins: Twitter bannira les utilisateurs en cas de désinformation

Twitter a annoncé lundi son intention de renforcer sa lutte contre la désinformation sur les vaccins. Le réseau social prévoit notamment de bannir les utilisateurs au bout de cinq rappels à l'ordre.

"Nous pensons que ce système des avertissements va aider à éduquer le public sur nos règlements et à mieux réduire la propagation d'informations potentiellement dangereuses ou trompeuses sur Twitter, notamment pour des infractions répétées, modérées ou graves", a indiqué le réseau des gazouillis dans un communiqué.

En décembre, Twitter avait déjà décidé de demander aux utilisateurs de supprimer certaines fausses affirmations, notamment celles suggérant que les vaccins sont utilisés pour porter atteinte aux populations ou les contrôler.

(...)

Swissinfo.ch

Twitter s’engage à devenir l’entreprise la plus multiculturelle et inclusive possible

D’ici 2025, le réseau social promet que 25% de ses cadres appartiendront aux minorités sous-représentées.

(…)

C’est une initiative qui vient du groupe Silicon Valley Leadership Group. L’objectif affiché est très clair : inciter les entreprises à accroître la diversité au sein de leurs équipes dans la région de San Francisco et plus globalement dans l’ensemble des États-Unis. Twitter n’est pas la seule entreprise à prendre cet engagement. McDonald’s a également annoncé que d’ici 2025, 35% de ses dirigeants seront issus des minorités sous-représentées. Le groupe de fast-food vise un taux de 45% de femmes parmi ses cadres.

Twitter a encore du pain sur la planche…

Si on regarde le cas de Twitter, aujourd’hui seulement 13% des cadres dirigeants sont issus des minorités, selon le dernier rapport de l’entreprise sur l’inclusion et la diversité. Si on regarde la part des femmes au niveau global on s’aperçoit que Twitter ne se débrouille pas si mal : 38,2% des cadres sont des femmes. Parmi les autres grands objectifs du réseau social : faire en sorte que 50% des équipes mondiales soient des femmes d’ici 2025. Ce même rapport de Twitter nous permet de découvrir que 41% des effectifs sont des personnes blanches, 28,5% sont des personnes asiatiques.

(…)

Siècle digital

Via Fdesouche

Twitter suspend le compte de Donald Trump de façon permanente

L’étau se resserre sur Donald Trump, évincé des réseaux sociaux les uns après les autres: Twitter, sa plateforme de prédilection, a suspendu son compte de façon permanente vendredi, deux jours après les émeutes de ses partisans qui ont envahi le Capitole pendant plusieurs heures.

« Après examen approfondi des tweets récents de @realDonaldTrump et du contexte actuel - notamment comment ils sont interprétés (...) - nous avons suspendu le compte indéfiniment à cause du risque de nouvelles incitations à la violence » de la part du président américain sortant, a expliqué l’entreprise dans un communiqué.

 

Jeudi, Facebook et d’autres services comme Snapchat ou Twitch ont aussi suspendu le profil du locataire de la Maison-Blanche pour une durée indéterminée.

Mais Twitter compte plus que les autres pour Donald Trump, il y avait plus de 88 millions d’abonnés.

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Journaldemontreal.com

Whatsapp va exclure les utilisateurs qui ne veulent pas livrer leurs données à Facebook

La messagerie chiffrée, filiale de Facebook, déploie une mise à jour de ses conditions d’utilisation, qui concerne les utilisateurs du monde entier.

Malgré les plaintes visant Facebook pour ses supposées pratiques anticoncurrentielles, le réseau social se rapproche un peu plus de sa filiale WhatsApp. La messagerie chiffrée, qui s'était jusque-là distinguée par sa relative protection des données personnelles des utilisateurs, va livrer davantage d'informations à sa maison-mère. Les utilisateurs récalcitrants ne pourront plus utiliser leur compte à partir du 8 février 2021.

Échéance le 8 février

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BFMTV


Le monde arabe appelle au boycott des produits français sur les réseaux sociaux

La campagne prend de plus en plus d'ampleur

De nombreux internautes issus du monde arabe appellent au boycott des produits français sur les réseaux sociaux depuis plusieurs jours pour protester contre la "dérive autoritaire et répressive contre les musulmans" depuis l'attentat commis contre Samuel Paty, un professeur d'histoire.

Les deux principaux hashtags en langue arabe signifient tous deux

 

 

Les internautes appellent à la démission de Gérard Darmanin, ministre français de l'Intérieur et du président Emmanuel Macron.

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www.i24news.tv

Via Grégory ROOSE

OUI…..Les réseaux sociaux des animaux sont plus performants que Facebook

Si vous croyez que les animaux ne savent communiquer entre eux que lors de leur rencontre, détrompez-vous! Ils sont bien capables de laisser des messages et même de créer leurs propres «bases de données», permettant de transmettre des informations importantes sur l’environnement.

Suite sur vigilance super senior

La Commission européenne va s’attaquer aux «fake news»

Mariya Gabriel, la nouvelle commissaire au numérique, s’apprête à prendre une des premières mesures de son mandat : mettre sur pied un groupe d’experts sur les « fake news ».

Maryia Gabriel est entrée en fonction en juillet et se prépare à mettre en place un groupe d’experts de haut niveau pour la conseiller sur le phénomène des « fake news », la propagation d’informations fausses dans les médias.

Elle passera également les deux ou trois prochains mois à rédiger une proposition de consultation publique sur le sujet. Les consultations publiques sont des appels à contributions sur des sujets spécifiques, qui sont souvent pris en compte dans l’élaboration de nouvelles règles européennes.

La commissaire a cependant indiqué n’être pas encore certaine qu’il faille passer des lois européennes sur la question. « Il est prématuré de parler de législation », a-t-elle jugé.

Elle a toutefois l’intention de « dire très clairement que les plateformes [Internet] ont une obligation de diligence », un terme juridique signifiant que les sociétés en ligne, comme Facebook ou Twitter devraient prendre des mesures pour surveiller les posts de leurs utilisateurs.

Source

Voir aussi notre article ,ici

“La Commission Européenne déterminera ce que les gens seront autorisés à lire et à écrire”

Une série de médias sociaux, dont Google, Facebook, Twitter et YouTube, ainsi que le géant des logiciels Microsoft, ont signé fin mai le code de conduite de la Commission européenne, dans lequel ils s’engagent à bloquer ou supprimer dans les 24 heures les messages qui incitent à la violence et à la haine.

La mesure a des implications majeures pour toutes ces entreprises qui doivent maintenant revoir la formation de leur personnel, en plus de leurs procédures internes.

“Les entreprises des TI soutiennent les efforts déployés par la Commission européenne et les États membres de l’UE pour relever le défi consistant à garantir que les plateformes en ligne n’offrent pas de possibilités de propagation virale des discours haineux illégaux diffusés en ligne.  Elles partagent, avec d’autres plateformes et d’autres entreprises actives dans le domaine des médias sociaux, la responsabilité collective et l’honneur de promouvoir et de faciliter la liberté d’expression dans le monde en ligne”, peut-on lire dans le communiqué de presse de la CE.

Le contre-discours politiquement correct de la CE

Dans un article d’opinion publié sur le site de Doorbraak.be Philip Claeys, ancien député européen et actuel vice-président du Vlaams Belang, émet son inquiétude au sujet de ces mesures :

“La question fondamentale est de savoir si c’est à l’UEqu’il incombe de déterminer ce que les Européens sont encore autorisés à écrire (et donc à lire) sur les médias sociaux, ou pas. […] Pourquoi cette attaque sur les médias sociaux, qui dépendent de la liberté d’expression? Parce que le gouvernement n’en a aucun contrôle. Parce qu’il y a des informations, des opinions et des discussions qui sont exclues des médias traditionnels. Pensez aux agressions de masse sur des femmes allemandes à la veille du Nouvel An à Cologne et ailleurs. […] Personne ne voulait que cela soit connu, mais avec les réactions massives sur les médias sociaux, il n’a plus été possible d’étouffer l’affaire au bout de quatre jours “.

 

Source

Trump – Victoire d’Internet contre les médias

Trump-1

   
Michel Garroté - Le chroniqueur catholique conservateur Philippe Darantière a publié, aux Presses de la Délivrance, "Le techno-nihilisme". Sur 'InfoCatho', il décrypte, d'une part, en quoi l’élection de Donald Trump est une victoire sur l’idéologie du relativisme, et d'autre part, en quoi elle est une victoire d'Internet sur les médias (Philippe Darantière est membre du "Printemps français", raison pour laquelle la presse gauchisante allègue qu'il serait "ultracatho et facho"...).
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Philippe Darantière déclare notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La principale leçon de la victoire de Donald Trump, cest que le "4ème pouvoir" (les médias) a été battu par les réseaux sociaux (le "5ème pouvoir" : Internet). Il y a plusieurs raisons à cela.
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La première tient à la logique même du système médiatique, où les journalistes s’alignent sur une pensée dominante, non pas par conviction, parce qu’ils y adhèrent tous, mais par conformisme, parce qu’ils ne veulent pas prendre le risque de dire ou d’écrire autre chose que ce que disent ou écrivent leurs confrères. Les journalistes, comme les loups, chassent en meute.
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La meilleure façon pour eux de ne pas risquer d’être en décalage avec "l’opinion publique" (en fait les médias), c’est de dire la même chose que le voisin. Le système médiatique fonctionne en boucle auto-réalisatrice : il annonce ce qui doit se produire pour que cela se produise en effet. Avec Trump, ce système s’effondre : la prophétie répétée en boucle ne se réalise pas, c’est l’inverse qui se produit. Il y a là un échec que les forces du pouvoir techno-nihiliste vont devoir surmonter.
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A ce propos, il faut rappeler que le techno-nihilisme est le nom que l'on peut donner à l’idéologie qui sous-tend la « dictature du relativisme ». Il s’agit d’un nihilisme qui professe que la vie n’a ni sens ni cause, et qui assigne à la technique le rôle de satisfaire le désir humain quel qu’il soit.
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L'échec des médias, c'est surtout celui des grands médias face aux réseaux sociaux. On risque donc d’assister à une mobilisation massive des réseaux sociaux pour reprendre le contrôle des foules. Rappellons-nous que Facebook a été accusé pendant la campagne de favoriser les idées démocrates par une manipulation de ses algorithmes de traitement des messages.
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Il se trouve que le fondateur de Facebook est aussi un allié du milliardaire Georges Soros dans la promotion des idées mondialistes. La maîtrise des réseaux sociaux sera donc au cœur de la revanche politique qui se jouera dans les années qui viennent, ajoute Philippe Darantière (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Post scriptum de Michel Garroté : dans un autre registre (quoi que...) je note que Marine Le Pen a fait une remarque, fort judicieuse et amusante, à propos des "divisions" présumées au sein du FN : "Au FN, on met vingt mecs autour d'un banquet et ils se tapent dessus avec des poissons. Mais le niveau de désaccord dans mon équipe est infiniment moins important qu'ailleurs".
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.infocatho.fr/entretien-avec-philippe-darantiere-en-quoi-lelection-de-trump-illustre-le-techno-nihilisme/
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Les médias sociaux menaceraient “la qualité de l’information”

Christian Hofer: Analyse hypocrite au possible puisque les médias mainstreams ont démontré leur total manque d'objectivité et d'impartialité dans de nombreuses affaires (censure de l'origine ethnique des délinquants, censure des commentaires, modération des lecteurs traitée au Maghreb, déni et manipulation). L'exemple le plus parlant étant peut-être celui des agressions sexuelles en Allemagne par les "réfugiés", délits immondes que Les Observateurs.ch avaient dénoncés alors que nos médias avaient décidé de les censurer. Faire confiance à de tels manipulateurs tiendrait de la folie pure et simple, spécifiquement en sachant que les journalistes sont orientés à gauche.

Qui plus est, ce rapport ose pointer du doigt les réseaux sociaux après les mensonges véhiculés par certains grands médias à l'égard de Donald Trump et autres partis pris révoltants. Les auteurs de ce rapport sont incapables de comprendre la réaction du peuple qui n'a plus confiance dans de tels médias politisés. Au lieu de remettre en question le travail journalistique biaisé depuis de nombreuses années, ils pointent du doigt la seule alternative qui décèle les magouilles du système médiatique.

Dans ce cadre, les internautes qui y participent sont autant de chercheurs de vérité. Enfin, les journaux tels le 20 Minutes et le Matin utilisent aussi les réseaux sociaux pour débusquer des informations lorsque cela les arrange. Ce rapport écrit par des "experts" ne semble pas être au courant de telles pratiques.

Dès lors, soit les auteurs de ce rapport n'ont rien compris au phénomène, soit leur unique but est de discréditer les réseaux sociaux afin de rabattre la population sur un contenu payant et politiquement correct en prétextant une qualité d'information qui tient du fantasme. Il est bien clair que pour nos institutions et certains politiciens de gauche, la réinformation qui se construit via tous ces réseaux sociaux pose un énorme problème à leurs mensonges. Par conséquent, le premier élément à connaître porte sur l'idéologie politique qui anime les auteurs d'un tel document ainsi que sur leur financement.

En réalité, c'est bien une plus-value de l'information et un outil alternatif inespéré qui s'offre désormais à la population: La liberté de choix.

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Les médias sociaux, Facebook et Google en tête, contribuent avec les gratuits à un appauvrissement de l'information, selon les auteurs des Annales 2016 sur la qualité des médias.

Les médias sociaux prennent toujours plus d'importance dans les sources d'information de la population. Près d'un quart des jeunes adultes (22%) s'en servent comme source d'information principale.

Au vu de cette offre en ligne souvent gratuite, la qualité et la diversité des nouvelles sont faibles, note l'étude.

Vers une perte de confiance

Vu la proportion de gens peu ou mal informés, "il faut s'attendre à voir la confiance dans le système médiatique diminuer aussi en Suisse à l'avenir".

Selon le rapport, la part de ces "indigents médiatiques" est passée de 21% en 2009 à 31% en 2016. "Leur regard sur le monde (...) les rend réceptifs à la politique populiste basée sur la peur avec ses solutions simples en apparence".

Selon les chercheurs, il est urgent de convaincre les utilisateurs à choisir davantage des offres de bonne qualité quitte à ce qu'elles soient payantes. Or, à peine 10% des personnes disent accepter de payer pour des nouvelles en ligne.

Source Source de l'analyse

« Les réseaux sociaux facilitent la transformation d’un brave paysan catholique du Sud-Ouest en un jihadiste »

Le président du Crif, Roger Cukierman, est revenu dimanche 15 novembre sur RTL sur les attentats de vendredi 13 novembre à Paris et ses conséquences.

Roger Cukierman souhaite une réponse virulente face à l’Etat islamique, à commencer à l’intérieur des frontières françaises. « Il est malsain qu’en France des mosquées soient financées par des pays étrangers« , juge-t-il.

Suite sur fdesouche

Comment l’Etat islamique contourne la censure sur les réseaux sociaux

Pour leur propagande, les djihadistes de l’EI quittent les principaux canaux de diffusion en ligne comme Twitter et Facebook pour d’autres plateformes. Le réseau social décentralisé Diaspora, par exemple. Mais aussi Friendica et Quitter.

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Chaque utilisateur peut rejoindre un «pod» de Diaspora : chacun de ces nœuds est installé sur des serveurs gérés séparément par des contributeurs. Ainsi, les données sont dispersées et ne sont pas toutes concentrées entre les mains d’un géant américain qui les exploite via la publicité.

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