France. Chronique d’un flic : “Je croise des victimes du racisme anti-Blanc chaque jour.”

Aurélien Taché, député LREM du Val-d'Oise et membre éminent du pôle idée de ce parti, a diffusé ce tweet la semaine dernière. Et il n'est malheureusement pas à son coup d'essai. Il avait déjà, entre autres, comparé le voile islamique à un simple serre-tête. Là, sous des faux aspects de « faites l'amour pas la guerre », j'ai immédiatement ressenti un malaise et de l'indignation à la lecture de sa punchline discount. D'une part, parce que j'ai la conviction que nous payons largement aussi cher le racisme authentique que ceux qui le combattent si mal. D'autre part en raison de la malhonnêteté intellectuelle de telles paroles, émanant de plus d'un représentant du pouvoir en place. En définitive, même si leur style est différent et leur bord opposé, monsieur Taché est de la même veine qu'une Nadine Morano, aux vues de leur argumentation souvent ridicule et contre-productive.

 

 

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Le « céfran » facile à humilier

C'est pourquoi j'en viens enfin à son allusion au « prétendu racisme anti-Blanc », qui pour moi trahi clairement tout le reste de son œuvre. Il est inadmissible de nier ce racisme au même titre que les autres. Je croise des victimes concrètes de ce fléau chaque jour. Il suffit d'aller visiter certains forums ou même certains réseaux sociaux pour vérifier l'ampleur du phénomène. Les Blancs y ont toutes sortes de surnoms. Ça va du petit Babtou au grand Babtou, quand ce n'est pas Gouffa, Kouffar ou simple mécréant. Cependant, généralement, la victime idéale y est tout simplement décrite comme le « céfran », facile à impressionner, facile à dévaliser, facile à humilier.

Dans beaucoup de quartiers, le petit céfran est non seulement une proie facile, mais aussi une aubaine pour se faire valoir auprès des potes. Il est déjà tellement accablant, en tant que policier, de ne pas pouvoir freiner ce phénomène convenablement et il faudrait en plus, d'après monsieur Taché et d'autres grands esprits, que nous les laissions seuls à la cave. Au nom de quoi devrions-nous nier ces plaies saignantes ?

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Le Point

Lire aussi Une association réveille le débat sur le « racisme anti-Blanc »

 

Rappels :

Rokhaya Diallo : « la France se voit comme un pays blanc et chrétien, on doit changer cette perception »

France: Lorsque la gauchiste Christiane Taubira voulait passer sous silence la traite négrière arabo-musulmane

Pas de déchéance de nationalité pour les terroristes binationaux, confirme Christiane Taubira

 

 

Paris : Un policier noir accusé de violences sur un migrant. “Si c’était un policier blanc, il serait accusé de racisme.” (Vidéos)

Christian Hofer : le policier stagiaire a été suspendu et placé en garde à vue.

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Là-bas si j’y suis s’est procuré une vidéo filmée par les caméras de surveillance du nouveau tribunal de Paris, porte de Clichy dans le 17ème arrondissement. On y voit un migrant en attente de jugement, menotté dans le dos, se faire tabasser par un fonctionnaire de police.

 

 

 

 

C’est un gardien de la paix affecté au Tribunal de Grande Instance de Paris qui a voulu dénoncer à Là-bas si j’y suis l’intervention violente d’un de ses collègues contre un détenu menotté dans le dos.

Les faits se sont déroulés le 9 juin 2018.

Ce jour-là, Jules F., gardien de la paix stagiaire au sein de la Direction de l’Ordre Public et de la Circulation (DOPC), est en poste au « satellite gardé », une salle avec cellules qui jouxte une des salles d’audience du Tribunal de Grande Instance. (…)

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Nos remerciements à fred

 

Bâle-Ville: Le policier pro-Erdogan, un musulman radical?

Le fonctionnaire de police suspendu pour avoir surveillé des opposants à Erdogan s'affichait avec un signe extrémiste.

Le profil d'Y. S., le fonctionnaire de la police de Bâle renvoyé pour avoir surveillé des opposants à Recep Tayyip Erdogan, se précise. L'homme, qui a été licencié et qui fait l'objet d'une enquête, aimait bien se prendre en photo, qu'il postait ensuite sur les réseaux sociaux.

Ces images ont attiré l'attention de la Basler Zeitung car elles montrent le policier avec le doigt tendu en direction du ciel. Pour de nombreux observateurs, il s'agit du signe de ralliement de musulmans extrémistes, qui affichent ainsi le «Tawhid», ou l'affirmation qu'«il n'y a pas de dieu autre qu'Allah».

Pas un geste anodin

Ce geste a été rendu populaire par les combattants d'Al-Qaïda ou ceux de l'état islamique, à tel point qu'il est désormais qualifié par des médias outre-Rhin de «salut hitlérien des djihadistes». Ce que démentent des organisations salafistes qui affirment qu'il s'agit d'une tradition chez les musulmans, au nom du premier pilier de l'islam.

Une affirmation fermement combattue par Maurus Reinkowski, professeurs en sciences islamiques à l'Université de Bâle. «Le doigt tendu n'est pas un salut traditionnel dans le monde musulman. Ce geste n'était pas du tout populaire et a été connu uniquement en raison de son utilisation par les islamistes.»

Il estime qu'il s'agit d'une expression de l'islam politique. «C'est surtout un salut politique et il doit être compris comme tel. C'est un geste agressif, tout comme l'affirmation que l'islam est la seule vraie religion révélée.»

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France: BFMTV profite de la mort du policier pour faire de la propagande en faveur des migrants “Aide aux migrants, qui était Xavier Jugelé?”

Aide aux migrants, beau-père... Qui était Xavier Jugelé, le policier tué sur les Champs-Élysées?

Xavier Jugelé, 37 ans, a été tué lors de l'attaque sur les Champs-Élysées, jeudi. Cette mission sur la célèbre avenue parisienne était l'une de ses dernières, il venait d'être accepté dans la police judiciaire. Ce policier engagé avait participé, il y a quelques mois, à des opérations d'aide aux migrants en Grèce. Xavier Jugelé était pacsé depuis 4 ans et il était le beau-père de l'enfant de son compagnon. Un hommage national aura lieu, ce mardi matin à la préfecture de police de Paris. Il sera présidé par François Hollande.

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Fribourg: Un Africain, hyperviolent et au casier judiciaire très chargé, brise le tibia d’un policier d’élite

La troupe d'élite de la police fribourgeoise était à Bellechasse à cause d'un Ivoirien violent en août 2016. Un caporal a quitté les lieux avec un tibia cassé.

Un détenu ivoirien a donné bien du fil à retordre aux autorités pénitentiaires à Bellechasse, l'été passé. Selon le quotidien «La Liberté», l'homme dont le casier judiciaire comporte une douzaine de condamnations est devenu furax à cause d'une sanction disciplinaire en prison. L'Africain âgé de 34 ans a agressé trois collaborateurs de l'établissement pénitentiaire.

«Le récalcitrant s'est débattu, bousculant les agents, leur crachant dessus, les injuriant, menaçant le directeur et le personnel de la prison», énumère le quotidien fribourgeois.

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Les policiers protégeant «Madame déradicalisation» excédés par ses fréquentations djihadistes

Les huit policiers affectés à la protection de Dounia Bouzar sont sur les nerfs après de nombreux démêlés avec cette dernière, ainsi que sur la dangerosité de sa relation avec Farid Benyettou, l'ancien gourou des Kouachi prétendument repenti.

Dounia Bouzar, c'était «Madame déradicalisation». Elle avait été choisie par le gouvernement pour mener à bien cette mission, avant qu'elle ne claque la porte à cause de la proposition du président de la République de déchoir certains terroristes de leur nationalité. Vivant sous la protection de policiers en charge de garantir sa sécurité, elle s'est mise à dos les fonctionnaires par son comportement présumé outrancier à leur égard, ainsi que par ses fréquentations controversées parmi lesquelles on trouve Farid Benyettou, connu pour avoir été le mentor des frères Kouachi.

«Croiser le gars qui a embrigadé les assassins de nos collègues Franck Brinsolaro [chargé de la protection de Charb lors de l'attaque du 7 janvier 2015] et Ahmed Mehrabet... Il ne manquerait plus qu'on le transporte avec elle !», a écrit dans un rapport adressé à la hiérarchie l'un des policiers affecté à la protection de Dounia Bouzar. Les agents, au nombre de huit, sont aussi inquiets du fait que Farid Benyettou profite de cette proximité avec les services pour en apprendre plus sur les méthodes de protection des personnalités.

Son profil et son parcours n’en font pas pour nous un partenaire de confiance

Prétendument repenti après avoir recruté de nombreux djihadistes, celui qui se faisait appeler «l'émir» est aujourd'hui salarié par Dounia Bouzar en tant qu'«expert» pour aider à la déradicalisation au sein du Centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l'islam. Il co-signera en janvier un livre avec son employeur sur cette question.

Néanmoins, la sincérité de son désengagement suscite de nombreux doutes. A commencer par le ministère de l'Intérieur qui avait tout simplement refusé qu'il travaille avec Dounia Bouzar, à l'époque où celle-ci officiait encore pour le gouvernement. «Son profil et son parcours n’en font pas pour nous un partenaire de confiance», avait fait savoir la place Beauveau.

«Comme un pédophile dans un service de puériculture»

Les anciens collègues de Farid Benyettou de la Pitié-Salpêtrière, où il avait fait un stage d'élève infirmier, sont plus que sceptiques sur cette prétendue rédemption qui s'est réalisée «sans mea culpa public». A l'époque où celui-ci travaillait à l'hôpital, en 2015, il en profitait pour approcher les jeunes atteints de troubles psychiatriques et identitaires, liés à l'islam. Il était «comme un pédophile dans un service de puériculture», a confié un médecin au Figaro.

Mais «l'émir» n'est pas le seul sujet de préoccupation des fonctionnaires affectés à cette mission de protection. Les sautes d'humeurs et les caprices de Dounia Bouzar sont aussi consignés dans ce rapport.

«La personnalité a immédiatement reproché de manière totalement incohérente à grand renfort de cris que nous ne souhaitions pas l'aider dans son organisation... Celle-ci nous relance sur le fait qu'on refuse de nous occuper de son planning. Nous l'avisons que notre premier rôle est la protection... "Vous pouvez arrêter avec votre discours institutionnel ? J'en ai marre du SDLP [service de la protection]"», aurait alors affirmé Dounia Bouzar, avant de demander aux policier de «dégager» et de les menacer d'appeler le ministre de l'Intérieur pour se plaindre de leurs services.

De plus, l'efficacité de la méthode Bouzar pour déradicaliser les jeunes reste encore entièrement à prouver, aucun résultat probant n'ayant été démontré en la matière.

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Genève: Les Roumains se faisaient passer pour des policiers

Deux Roumains qui avaient détroussé un homme en lui faisant croire qu'ils étaient des policiers ont été interpellés à Genève.

Les deux faux agents avaient attendu leur victime à la descente d'un bus. Ils ont prétexté un contrôle, ont procédé à une fouille corporelle et ont dérobé l'argent que l'homme venait de retirer d'un distributeur de billets.

Un des individus a avoué les faits. L'autre a nié tout vol, alors même qu'une fausse carte de police faite à partir d'une carte Vitale, sur laquelle avait été collé le mot Police, a été trouvée sur lui. L'homme a affirmé qu'il s'agissait d'un jeu pour enfants, a fait savoir mercredi la police genevoise.

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Italie: Des policiers attaqués et encerclés par plus d’une vingtaine de personnes, pour la plupart des Maghrébins. Les policiers doivent fuir.

Brescia: Police secours encerclée, jets de pierres et de bouteilles: les policiers en fuite

„Encerclés et attaqués par une trentaine de personnes, samedi soir à Via Ziziola à Brescia: soirée cauchemardesque pour deux officiers de la police, appelés à intervenir à la suite d'un litige“

Le verre fracassé, les bosses sur le toit et le capot, les rayures et tant d'autres choses: il n'y n'avait pas d'autre solution, si ce n'est fuir.

Dans la nuit de samedi, une patrouille de police secours de la Préfecture de Brescia a été encerclée par au moins une vingtaine de personnes qui n'ont pas hésité à lancer des pièces, des pierres ainsi que des bouteilles aux agents.

Nuit de cauchemar dans la vielle pour les deux agents en service. Appelés pour intervenir au Club Social de Via Ziziola, probablement pour une rixe.

Alors que les policiers sont encore à l'intérieur, leur voiture, une Fiat Bravo, est encerclée ou du moins approchée. Les policiers retournent à la voiture, à ce moment une bouteille est jetée qui les touche. Ils demandent qui a fait cela: aucune réponse.

Et c'est là où les choses se compliquent, selon les rapports du Journal de Brescia. Les deux policiers retournent vers la voiture, s'enferment à l'intérieur. Tout autour une petite foule furieuse qui semble vouloir les encercler. Ils demandent de l'aide à la centrale, les patrouilles sont toutes engagées, il faudra encore quelques minutes.

La folie commence : Les individus lancent tout ce qu'ils peuvent sur la voiture de la police. D'abord des pièces de monnaies, puis des bouteilles en verre, enfin des pierres. L'un d'eux, bien en vue, brise la vitre arrière. Et pour les deux agents il ne reste que la fuite.“

"L'épisode doit être encore clarifié. Les agresseurs n'ont pas encore été identifiés: il s'agirait de jeunes italiens et étrangers, pour la plupart des Maghrébins.

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Après le drame de Dallas, formidable témoignage d’un policier noir sur le racisme aux Etats Unis

Dans l’émotion des tensions raciales aux États-Unis après les récentes manifestations du mouvement Black Lives Matter (« les vies noires comptent ») et le drame de Dallas, un officier de police noir, Jay Stalien, a rédigé sur sa page Facebook une lettre ouverte qui a été partagée par 80 000 personnes en trois jours. En voici la traduction littérale :

Suite sur Dreuz

Etats-Unis: derrière le “encore un Noir tué par des policiers blancs”

Par Benoît Rayski,  journaliste et essayiste

La presse française vit au rythme des émeutes noires qui secouent les Etats-Unis dès qu’un Noir est tué par un policier blanc. Quand c’est un policier noir – il y en a beaucoup dans les rangs de la police américaine – qui tue un Noir – et ça arrive souvent –, il n’y a pas d’émeute !

Suite sur Causeur

Lausanne. Des Noirs tabassent un policier à terre: la vidéo fait le buzz

Une intervention a très mal tourné pour une patrouille lausannoise, en mai 2015. La scène est partagée en masse ces jours.

La séquence est courte mais elle est d'une impressionnante violence: un policier lausannois est tabassé alors qu'il effectue un contrôle d'identité près de la place de la Riponne. Filmée par des passants médusés, la scène montre l'agent plaqué au sol, en train d'essuyer une pluie de coups de poing, pendant que son collègue est aux prises avec un autre individu. «C'est incroyable Lausanne, déplore l'auteur du film. Qu'ils fassent la même chose au Brésil...» Brièvement débordée, la patrouille a finalement pu reprendre le contrôle, grâce à l'intervention de témoins qui se sont interposés et à l'utilisation de sprays au poivre. Quelques secondes plus tard, des renforts arrivaient pour maintenir les curieux à l'écart, le temps de menotter l'assaillant.

Depuis quelques jours, la vidéo est largement partagée sur les réseaux sociaux. Elle a déjà été visionnée plus de 140'000 fois et déclenche une avalanche de commentaires. Interrogée, la police lausannoise indique toutefois que l'incident ne date pas d'hier. «Il s'est produit il y a un peu moins d'un an, en mai 2015, dans le cadre des festivités du carnaval de Lausanne, indique son porte-parole Sébastien Jost. Deux individus ont pris à partie une patrouille pédestre, apparemment sans raison.» La suite se trouve dans la vidéo. L'agent s'en est tiré avec quelques contusions, mais il a pu continuer son service sans problème.

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La hiérarchie policière ose me harceler, après m’avoir suspendu deux ans !

Par

Pierre Cassen a rencontré Sébastien Jallamion, ce policier suspendu 2 ans par sa hiérarchie. Il a appris que non contente d’avoir brisé socialement et professionnellement cet homme, celle-ci continue à le harceler…

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Riposte Laïque : Nos lecteurs se souviennent de vous, suite à cette interview que vous avez accordée à Martial Bild et Elise Blaise, sur TV-Libertés. Vous avez donc été suspendu deux ans par votre hiérarchie policière, suite à la dénonciation par une de vos collègues, pour avoir pointé du doigt la responsabilité de l’Etat islamique et de son calife, suite à la décapitation d’Hervé Gourdel…

Sébastien Jallamion : Je suis en effet suspendu administrativement de mes fonctions depuis le 6 octobre 2015 pour une durée de 24 mois, qui qui signifie que je ne fais plus partie des effectifs de la Police Nationale pour une durée de deux ans. Avec interdiction de m’inscrire au chômage.

Riposte Laïque : Suite aux nouveaux attentats du 13 novembre, le policier que vous êtes, qu’on sent amoureux de son métier, n’est-il pas frustré de ne plus, en période de guerre, exercer son métier au service de la défense des Français ?

Sébastien Jallamion : Voilà ce que j’avais écrit à mes amis sur ma page Facebook. Tout est dit. « Si je ne réponds pas au téléphone, c’est simplement que je ne me sens pas capable de parler, non pas que je suis sous le choc des attentats que notre pays vient de subir – nous le sommes tous – mais que ma place est au coeur des perquisitions menées en riposte.

Au lieu de cela, je reste suspendu pour m’être exprimé sur les réseaux sociaux.

Je serai plus utile à placer des suspects en garde à vue, à rassembler des preuves et à effectuer des recherches, qu’à tapoter sur un clavier.

Il me faut du temps pour l’accepter ».

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Riposte Laïque : Nous apprenons, en consultant votre page facebook, que, bien que suspendu, vous êtes à nouveau convoqué par votre hiérarchie, qui parait vous reprocher d’avoir accordé un entretien à TV-Libertés. Cela paraît ahurissant. Qu’allez-vous faire ?

Sébastien Jallamion : Cette convocation administrative est une première dans l’histoire de nos institutions. A tel point que mon avocat, Me Versini, spécialiste en la matière, doit effectuer des recherches afin d’établir qu’aucun fonctionnaire n’a été convoqué administrativement alors même qu’il se trouvait sous le coup d’une suspension à titre de sanction. Il semblerait donc qu’il y aura une jurisprudence Jallamion. Je précise avoir été interviewé par France 3 devant le Palais de Justice de Lyon alors que je n’étais pas encore suspendu de mes fonctions, sans avoir été convoqué. Il semblerait donc que le média qui relaie l’information (TV-Libertés) soit directement lié à la volonté de me poursuivre administrativement.

Riposte Laïque : Comment expliquez-vous un tel acharnement à votre encontre ?

Sébastien Jallamion : Comment expliquer un tel acharnement sans passer pour un paranoiaque ou un complotiste ? Je me pose souvent la question et tente de répondre de la manière la plus objective possible : il n’y a pas d’autre explication que celle qui consiste à expliquer que j’ai eu le malheur de déplaire à des personnes puissantes…

Riposte Laïque : Comment avez-vous réagi au suicide de notre avocat, Maître Scipilliti, comme vous suspendu par sa hiérarchie (3 ans en ce qui le concerne), qui a tiré sur le bâtonnier qui l’a fait sanctionner ?

Sébastien Jallamion : Je n’ai pu m’empêcher de faire le lien avec ma situation, et d’en conclure qu’il y avait là un point commun dont il convient de souligner l’existence : la volonté de détruire, de mettre à mort socialement, un individu au seul motif qu’il ne correspond pas à l’archétype du bon petit soldat qu’on attend de lui. J’ai été très touché par le drame qu’a vécu, avant de mettre fin à ses jours, Maitre Scipilliti. J’ai d’ailleurs pensé un instant que j’aurai pu moi aussi en arriver là… Quand on pousse un homme dans ses derniers retranchements, il est vraiment hypocrite de faire mine de ne pas comprendre ce genre de drame, et les réactions qu’il peut entraîner…

Riposte Laïque : Votre ancien ministre de tutelle, Cazeneuve, après avoir déposé quatre plaintes contre notre site, s’est encore distingué, hier, en signalant aux services de police les tweets de Marine Le Pen, estimant que cela relevait de la justice. Est-ce votre conception du rôle d’un ministre de l’Intérieur ?

Sébastien Jallamion : La nomination de Bernard Cazeneuve au ministère de l’Intérieur restera pour moi et pour nombre de policiers un profond mystère, même s’il n’est pas le premier à n’avoir aucune compétence pour occuper un poste aussi régalien. Il apparaît cependant que l’intéressé a battu un record : celui du nombre de plaintes déposé par lui même au cours de son mandat, la quasi totalité de celles-ci visant des organes de presse ou des opposants politiques. Il ne me semble pas que notre pays ait connu une telle situation depuis la Terreur…

Propos recueillis par Pierre Cassen

Article paru en premier sur RL

 

 

S. Jallamion : policier exemplaire, il dénonce l’islamisme. On organise sa mort sociale [interview TVLibertés]

Brigadier-chef de la police à Lyon, la vie de Sébastien Jallamion bascule un jour de septembre 2014. Réagissant à l’odieux assassinat d’Hervé Gourdelle en Algérie, il poste sur un compte Facebook des dénonciations des islamistes fanatiques de Daech.
Sa hiérarchie l’accable et décide de le poursuivre. La justice réclame une peine de 5 mois de prison ferme…Son administration prononce son exclusion de la police nationale pendant deux ans.
Administrativement et judiciairement, le policier de 43 ans et père de famille, est condamné à la mort civile et professionnelle .
Sébastien Jallamion est l’invité de TVLibertés. Un témoignage tout simplement effrayant.

 

https://youtu.be/uMG6ftQwQ4E

TVLibertés

 

 

Espagne: Le “Suisse” Yassni jugé pour avoir égorgé un policier

ND Ch. H. Les médias tout contents de mettre le terme 'Suisse' à plusieurs reprises. Il faut lire soigneusement l'article pour se rendre compte de la supercherie. Une telle violence gratuite n'était aucunement associée à notre peuple avant ces naturalisations. C'est le cas aujourd'hui grâce à la gauche.

Interrogé par la Cour, le policier a raconté que le ressortissant helvétique lui avait alors subitement tranché la gorge. Il l'a également blessé à la main, au torse et au bas du dos. Le Suisse lui a ensuite donné un coup de pied dans les parties intimes, provoquant l'éclatement d'un de ses testicules. Malgré la gravité de ses blessures, la victime est parvenue à appeler sa femme. L'accusé – qui comparaît depuis lundi devant la justice espagnole à Cadix – s'est enfui en voyant arriver l'épouse de l'agent.

Yassni travaillait en Espagne en tant que garde du corps. Selon le journal local, il aurait même bénéficié d'une formation du Mossad, le service secret israélien.

Le Ministère public a requis lundi une peine de prison de 13 ans pour tentative de meurtre et de 3 ans pour avoir cambriolé le bar. Elle a expliqué à la Cour que le prévenu souffre de schizophrénie. «El Pueblo de Ceuta» affirme par ailleurs qu'il est bipolaire.

Source

 

Sébastien Jallamion, policier, suspendu pour deux ans de ses fonctions professionnelles. Interview exclusive par Pierre Cassen

Sébastien Jallamion, policier, contributeur à Riposte et Boulevard Voltaire, vient, suite à un décision administrative, d’être suspendu deux ans de ses fonctions professionnelles. Plus de salaire, pas de chômage et possibilité d’appel jugée dans au moins deux ans.

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Riposte Laïque : Vous êtes policier, et contributeur ponctuel à des revues comme Riposte Laïque et Boulevard Voltaire. D’autre part, vous avec créé une association, que vous présidez, l’Andele, pour défendre la liberté d’expression. Pouvez-vous expliquer à nos lecteurs ce que vous faites dans la police, et pourquoi avoir créé cette association ?

Sébastien Jallamion : Je suis entré dans la police nationale par le biais du concours de Gardien de la Paix en 1996, après avoir effectué mon service national dans la Police. Ce métier est venu à moi par hasard alors que j’effectuais mes études de Droit à l’université Jean Moulin (Lyon III),  je me suis rapidement rendu compte de la vocation qui était la mienne : servir et protéger mes concitoyens.

Pour ce qui est de l’Association Nationale de Défense Egalitaire de la Liberté d’Expression (ANDELE), nous l’avons créée en 2014, quelques amis et moi, après avoir constaté que nombre de nos compatriotes devaient répondre de leur liberté de parole devant les tribunaux pour des motifs fallacieux, souvent suite à des plaintes d’associations dites « antiracistes », largement subventionnées et politisées. Il s’agit en somme de rééquilibrer la balance judiciaire en permettant aux justiciables démunis de se défendre.

Riposte Laïque : Il vous est donc arrivé une mésaventure aux conséquences graves, puisque vous venez d’être condamné par le Tribunal correctionnel de Lyon à une amende assez élevée (5000 euros), suite à un dépôt de plainte du seul Procureur de la République à votre encontre. Pouvez-vous nous expliquer ce qui s’est passé ?

Sébastien Jallamion : J’ai créé un compte facebook anonyme en 2011 sur lequel j’ai pris l’habitude de m’exprimer d’abord sur des sujets culturels puis, l’actualité aidant, sur des sujets plus politiques. Ainsi, en septembre 2014, j’ai réagi vivement à l’enlèvement et à la décapitation du français Hervé Gourdel en réponse à l’appel au meurtre des « sales et méchants français » lancé par les dirigeants du groupe Etat Islamique. Une de mes collègues de travail, que j’avais invitée comme « amie » sur mon compte facebook, m’a alors dénoncé à ma hiérarchie. C’est alors que tout s’est enchaîné : procédure administrative et judiciaire, condamnation en première instance par le Tribunal Correctionnel de Lyon à 5000 euros d’amende, pour laquelle le Parquet à fait appel du fait que cette sanction n’était pas suffisante. Au vu des réquisitions du Procureur de la République (5 mois de prison ferme, plus trois mois avec sursis, 2000 euros d’amende, interdiction à vie d’exercer dans la fonction publique, 5 ans d’interdiction de port d’arme et obligation d’un suivi psychiatrique), il est clair qu’il était question de m’abattre.

Le procureur de Lyon, Marc Cimamonti, peut-il être étranger à cet acharnement judiciaire contre le policier Jallamion ?

Riposte Laïque : Cerise sur le gateau, si j’ose dire, vous venez d’apprendre que votre hiérarchie vient de décider la plus grave des sanctions, en dehors de la révocation, à votre encontre : 24 mois de sanction administrative, donc de suspension, pour faute professionnelle. Que vous est-il donc encore reproché ?

Sébastien Jallamion : D’après les considérants de l’arrêté administratif qui m’a été notifié ce jour, il m’est reproché d’avoir courant septembre 2014 créé une page facebook anonyme supportant plusieurs images et commentaires « provocateurs », « discriminatoires et injurieux », à caractère « xénophobe ou anti-musulman ». A titre d’exemple il y avait le portrait du Calife Al-Baghdadi, chef du groupe Etat Islamique, avec un viseur sur le front. Cette publication a été exhibée lors de mon passage en conseil de discipline avec l’accusation suivante « Vous n’avez pas honte de stigmatiser ainsi un imam ? » Mon avocat peut en témoigner…

Riposte Laïque : Une suspension de 24 mois signifie-t-elle que votre salaire, ou une partie de celui-ci, vous sera tout de même versé ?

Sébastien Jallamion : Aucunement. Depuis ce matin je sais que je suis sans ressources Ma priorité est donc de trouver un emploi.

Riposte Laïque : Comment expliquez-vous cet acharnement à votre encontre, qu’il provienne d’un procureur de la République qui a voulu vous mettre en prison, ou bien d’une hiérarchie, et peut-être même d’un ministre, qui semble vouloir vous condamner à une mort sociale ?

Sébastien Jallamion : A l’évidence il s’agit d’une sanction politique. Je ne vois aucune autre explication.

Riposte Laïque : Une autre de vos collègues, membre des Indigènes de la République, Sihem Souid, au cœur de faits autrement plus graves (suspectée de vol de documents et auteur d’une communication publique souvent injurieuse) paraît mieux traitée que vous. Qu’en pensez-vous ?

Sébastien Jallamion : Qu’il s’agit d’un exemple parmi d’autres qu’il n’y a aucune égalité de sanction chez les fonctionnaires, contrairement aux textes en vigueur..

Riposte Laïque : Que comptez-vous faire, quelles actions souhaitez-vous entreprendre pour vous défendre, voire contre-attaquer ?

Sébastien Jallamion : Ma seule voie de recours est de saisir le Tribunal Administratif, ce qui n’est pas suspensif concernant ma sanction et risque de durer entre deux et trois ans.

Riposte Laïque : Suite à un tel acharnement, quel message souhaitez-vous faire passer à nos compatriotes ?

Sébastien Jallamion : Que nos valeurs fondamentales, celles pour lesquelles nombre de nos ancêtres ont donné leur vie, sont en train de péricliter, et qu’il est temps pour nous de nous indigner de ce que devient notre pays. Ce n’est pas ça la France, celle des Lumières, qui en leur temps ont brillé dans toute l’Europe et au delà. Nous devons nous battre pour préserver nos valeurs, c’est une question de survie.

Propos recueillis par Pierre Cassen

Article publié ce jour sur Riposte Laique (y lire l'introduction de Jeanne Bourdillon)

Nos remerciements à nos amis de RL nous ayant autorisés à publier cet interview exclusif sur les observateurs.ch

Lausanne: Le Kosovar avait massacré un policier à terre

Un ex-champion du monde de kick-boxing passera une année derrière les barreaux. Au matin du 5 décembre 2011, ce Kosovar au physique imposant s’en était pris à un policier vaudois en congé devant une boîte lausannoise. Après lui avoir massacré la mâchoire, il avait continué de le frapper au sol à coups de pied et de poing avant de l’abandonner sur la chaussée.

Des témoins ont décrit cette violence gratuite, «sauvage». L’un d’eux a été menacé de représailles par le boxeur.

Le cogneur a aussi un joli palmarès judiciaire. Il écope de 2 ans de prison, dont 1 avec un sursis de 5 ans. Il y rejoindra son frère cadet, condamné à 14 ans de prison pour avoir tué un Capverdien à Lausanne, en août 2012.

Source

Australie: Un musulman sortant de la mosquée abat un policier

L’adolescent qui a tiré mortellement sur un employé du service de police de New South a été identifié comme Farhad Jabar Khalil Mohammad.

Une source policière a déclaré à ABC que Farhad s’était rendu dans une mosquée peu de temps avant la fusillade.

La soeur de Farhad, Shadi, aurait aussi disparu jeudi. [...] Elle aurait quitté l’Australie en avion, sur un vol de Singapore Airlines à destination d’Istanbul, tentant peut être de rejoindre l’Irak ou la Syrie. [...]

Source (Traduction FDS)

L’assassinat d’un employé du commissariat de Parramatta, près de Sydney, est un « acte terroriste », ont précisé samedi les autorités australiennes. L’agent a été abattu vendredi par un adolescent de 15 ans.

« Nous pensons que ses actions avaient un motif politique et qu’il s’agit par conséquent de terrorisme », a déclaré à des journalistes Andrew Scipione, commissaire de la police de Nouvelles-Galles du Sud.

L’adolescent a abattu vendredi après-midi un agent administratif qui sortait du siège de la police à Parramatta, à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Sydney, dans l’Etat de Nouvelle-Galles du Sud. Il a été ensuite tué après des échanges de tirs avec les forces de l’ordre.

Etat d’alerte
D’origine kurde irakienne et né en Iran, l’adolescent n’était pas connu des services de police, a précisé M. Scipione. Le tireur, qui a abattu sa victime quasiment à bout portant, n’avait aucun antécédent judiciaire, a-t-il ajouté. (…)

Source