Malgré l’interdiction, les PDC Christophe Darbellay et Roberto Schmidt ont mangé dans un restaurant

POLÉMIQUE Malgré les restrictions, les ministres valaisans PDC Christophe Darbellay et Roberto Schmidt ont mangé dans un établissement fermé. Ils plaident le caractère privé de la rencontre

Le jeudi 25 février dernier, les conseillers d’Etat PDC Christophe Darbellay et Roberto Schmidt ont pris leur repas de midi dans un restaurant de Conthey. Installés dans la salle à manger, ils étaient accompagnés du patron. La scène pourrait sembler banale, mais en Valais, les restaurants sont fermés depuis le 27 décembre pour lutter contre la pandémie qui sévit depuis une année.

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Le Nouvelliste


Zoug : Un PDC veut que les parents puissent voter à la place de leurs enfants dès la naissance

Concrètement, les parents ayant le droit de vote recevraient une demi-voix chacun pour leur enfant. Lorsqu’on lui demande pourquoi le petit ne pourrait pas voter lui-même, l’élu déclare: «Parce qu’un enfant de trois ans ne sait ni lire ni écrire. Michael Felber (PDC/ZG) ajoute que si son interpellation se concrétise, cela garantira une plus grand justice générationnelle dans le processus démocratique.»

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20min.ch

La nouvelle identité du Parti démocrate-chrétien hérisse la base attachée au «C».

Cenator : Le PDC avait un atout gigantesque par rapport aux autres partis de droite, c’était justement le « C ».

En effet, il y a beaucoup de Suisses qui sont perdus avec les églises, qui ne font plus que de la politique pro-migrants, et sont à la recherche de nos valeurs chrétiennes. Ces gens-là, en général, appartenant à la vieille Suisse faisant aveuglément confiance aux autorités et consommant religieusement les TJ et les débats de la RTS pour « être au courant » – et ces gens-là, les fidèles du PDC, sont maintenant hébétés.

Le PDC pourrait défendre notre civilisation chrétienne, nos traditions chrétiennes, dénoncer et lutter contre les actes antichrétiens, chez nous et partout dans le monde. Mais au lieu de remplir ce vide, ce parti dit du "Centre" et sans autre conviction que celle de séduire pour obtenir des voix, a cherché continuellement à concurrencer les partis qui représentaient la dernière mode. On pourrait l'opposer au parti véritablement chrétien de Viktor Orban en Hongrie qui lutte comme personne pour défendre nos valeurs les plus fondamentales.

Comme dit le proverbe : Qui sème partout ne récolte nulle part.

P.S. : En vérifiant la maxime ci-dessus sur le site https://citation-celebre.leparisien.fr/citation/recolte, beaucoup de noms arabes "citations célèbres" sont apparus. L’islamisation s’immisce dans le moindre recoin de nos vies et ce parti ne sait plus que faire de son héritage "C" !

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Le Courrier: «C’est un déni de démocratie»

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Damien Clerc: Plutôt que de changer de nom, il faut retrouver du sens.

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Y a-t-il manque de débat de fond?

Tout à fait, à des fins électorales. Comment donner du crédit à une entreprise de communication qui propose un nouveau logo et un nouveau nom sans demander ce que veut l'électeur de base? C'est hallucinant.

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article réservé aux abonnés: https://lecourrier.ch/2020/09/09/cest-un-deni-de-democratie/

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voir aussi: Le président du PDC veut la disparition du « C » : La connotation chrétienne pose désormais problème selon lui

Le PDC veut se rebaptiser “Le Centre” et abandonne le christianisme devenu un “handicap”

Pour stopper l'érosion de son électorat et en pleine réflexion sur sa refonte, et notamment sur son éventuel rapprochement avec le PBD, le parti de la famille se choisit un nouveau nom qu'il soumettra à ses adhérents. Le PDC veut devenir "Le Centre".

Avec des résultats électoraux en baisse depuis de nombreuses années,  le Parti démocrate-chrétien (PDC) Suisse frôle désormais la barre des 11% au niveau fédéral. Changer de nom est l'occasion de donner un signal d'un nouveau départ et abandonner le "C" de chrétien met fin à une connotation religieuse qui peut apparaître aujourd'hui comme un certain handicap.

 

 

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Rts.ch


Rappels :

Lorsque le PDC Darbellay, la PS Sarah Wyss et les Verts fanfaronnaient à la suite de l'éviction de l'UDC Blocher.

Le PS envisage de lancer le PDC Christophe Darbellay au Conseil Fédéral

Ecole: Le Valais envisage des locaux de prière pour les musulmans. Darbellay « Si un élève souhaite du calme pendant le ramadan, où est le problème? »

Élection en Valais: PDC et socialistes en tête. Christophe Darbellay « On voit que le Valais n’est pas le pays de Donald Trump. »

Elections en Valais. Darbellay Christophe : calotte sur la tête, en train de faire des promesses à la communauté albanaise devant un drapeau albanais (vidéo 1′)

Christophe Darbellay demande aux paroisses d’héberger des réfugiés

Affaires Ch. Darbellay : Une journaliste de gauche et féministe sélective vient à son secours!

Un « gouvernement de l’ombre » mené par le PS, le PDC et le PLR donnerait le ton en Suisse afin de contrer l’UDC.

Le président du PDC veut la disparition du “C” : La connotation chrétienne pose désormais problème selon lui

Il faut réformer le Parti démocrate chrétien (PDC) avant qu'il ne soit trop tard et cela passe par la disparition du «C», réaffirme le président du parti Gerhard Pfister dans des interviews avec le «Matin Dimanche» et la «SonntagsZeitung».

Pour étayer son propos dans ce débat qui cristallise, il mentionne le résultat d'un sondage mené par le parti: «80% des répondants au sein de la population estiment que notre parti n'est pas éligible en raison de sa connotation religieuse, même s'ils partagent nos positions politiques».

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20min.ch

Le PDC : parti opportuniste ou parti de conviction?

Le PDC en pleine phase d’introspection

Interview de Gerhard Pfister, président du PDC.

RTS, Forum, 15.02.2020

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/le-pdc-en-pleine-phase-dintrospection-interview-de-gerhard-pfister?id=11076297

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Pietro Bugnon : Le PDC (Parti démocrate-chrétien) tenait aujourd’hui son assemblée générale à Frauenfeld. Les sondages le donnaient perdant des élections fédérales de 2019 mais il s’est maintenu. Comment retrouver le chemin du succès ?

Gerhard Pfister : Il faut réformer. Actuellement le PDC ne récolte pas plus que 11% des voix : pourquoi ?

Pietro Bugnon : Vous avec défini quatre cantons prioritaires, Zurich, Berne, Argovie, Vaud, de grands cantons où vous voulez progresser.

Gerhard Pfister : La moitié des sièges à gagner au Conseil national sont dans ces quatre cantons. Le PDC est fort dans les petits cantons, les anciens cantons catholiques, mais il faut convaincre la majorité dans les grands cantons. Dans mon canton, Thurgovie, le PDC a encore 25% des électeurs, mais ça ne suffit plus pour rester important au niveau suisse.

Gerhard Pfister : On dit toujours que le PDC a ses fiefs, mais il n’y a aucune garantie de garder les sièges. Donc pour 2023, les prochaines élections, la réforme sera nécessaire pour gagner des voix.

Pietro Bugnon : Il y a cette éternelle question, la place du « C », est-ce que ce « C » aide ou handicape le parti ?

Gerhard Pfister : Je suis moi-même catholique et conservateur. Voici le dilemme : le parti est perçu comme catholique, chrétien, et ceux qui ne sont pas catholiques pensent qu’ils ne peuvent pas voter pour ce parti.

Pietro Bugnon : Votre conseillère fédérale, Viola Amherd, pense que le « C » n’est plus nécessaire, d’autres pensent le contraire, c’est la division.

Gerhard Pfister : Je veux mener ce débat, sans division.

Pietro Bugnon : Une union avec PBD, c’est envisageable ?

Gerhard Pfister : C’est une option.

Pietro Bugnon : A part ces questions de forme, il y a aussi les questions de fond.

Sur le dossier européen, pour vous démarquer du PLR, ne devriez-vous pas vous opposer aux bilatérales ?

Gerhard Pfister : Non. L’initiative pour la fin des bilatérales, nous avons toujours été contre.

Il y a d’autres possibilités pour se distinguer. Les bilatérales, c’est trop important pour la Suisse, cela amènerait des divisions.

Pietro Bugnon : Vous souhaitez rester jusqu’en 2023 ?

Gerhard Pfister : J’espère être réélu président du parti en juin 2020 et je suis prêt à me battre pour le PDC jusqu’aux élections de 2023.

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Commentaires des journalistes :

Pietro Bugnon : Gerhard Pfister se voit donc en grand réformateur de son parti. On en est tout au début des réflexions sur ce grand chantier. Un chantier trop ambitieux ?

Marie Giovanola (correspondante à Berne) : Le PDC n’a pas le choix. Il ne veut plus être dans le camp des perdants. Avec 11% de l’électorat, la question de la survie dans les grands cantons urbains se pose. Alors, les stratégies se dessinent : plutôt avoir une ligne plus sociale en abandonnant le « C » confessionnel. Ce « C » fait d’eux un parti traditionnel, évoque le conservatisme, le chrétien. Ce n’est pas sans danger de changer : si le parti élimine le « C » le risque de rupture est réel, entre un PDC libéral, des villes, et le PDC des champs, traditionnel.

Un conflit générationnel se dessine également, avec les jeunes plus enclins au changement.

Mais Gerhard Pfister ne veut pas brader le « C ».

Le PDC a ses forces, être au centre permet de faire et défaire les majorités. Le PDC devrait donc prendre de l’importance au lieu de reculer.

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Cenator : Le PDC a fait un constat : la religion a perdu son importance dans la société actuelle. Lors de sa dernière assemblée à Frauenfeld, le parti a remis sur le tapis la question du C et veut faire le bilan de ce qui rapportera le plus électoralement, le garder ou la bazarder.

Nous vivons une époque où l’idéologie compte plus que la raison, où le nombre des voix aux élections prime sur les convictions.

Ces partis du centre n’ont qu’une conviction, c’est que de ne pas en avoir permet de faire des alliances avec tous et n’importe qui, si bien que tout le monde les courtisera, il n’y a plus de parti qui voudra les fâcher.

A noter que notre cheffe de l’armée, Viola Amherd, n’aime pas le « C », et c’est sûrement pour cela qu’elle a été élue au Conseil fédéral.

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La Hongrie de Viktor Orban a également beaucoup de soucis avec ce changement de mentalité politique qui balaie l’Europe, à savoir ne plus garder d’autres convictions que la nécessité d’être élu.

Lors des dernières élections régionales en Hongrie, tous les partis se sont ligués contre le Fidesz, le parti au pouvoir, afin d’obtenir un changement de majorité. Après l’homme interchangeable, voici les convictions politiques interchangeables.

Dans son discours d’hier, Orban a utilisé cette parabole pour illustrer la situation des électeurs face à ces agglomérats de partis sans convictions.

Une jeune mariée dit à son époux en lui servant le repas du soir :

Chéri, il faut que je te dise, je ne sais cuisiner que deux plats : le poulet au paprika et les pâtes sucrées au pavot.

L’époux : Et ça, c’est lequel des deux ?

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Orban et le ministre Zoltan Balog ont également relevé la nécessité indispensable de renforcer les racines chrétiennes pour garantir la survie de la civilisation hongroise. Sans lien avec ses racines, même les pays de civilisation plurimillénaire vont disparaître.

Être chrétien sans patriotisme, c’est de l’arrogance qui se veut citoyenneté mondiale. Être patriote sans christianisme, c'est du paganisme. Et si vous abandonnez toutes les vertus de la citoyenneté, la qualité de vie va en souffrir. Si ces trois idéaux sont réunis, christianisme, patriotisme et citoyenneté, alors nous serons conscients de qui nous sommes : identitaires, hongrois et chrétiens.
Être chez nous, être solidaires entre nous, avoir le sentiment d’appartenance est une bonne chose.

En Hongrie, pas besoin d’un permis spécial, nous n’avons pas besoin d’un passeport de protection pour espèces en voie de disparition, pour être Hongrois, blancs, hétérosexuels, chrétiens et hommes ou femmes.
Nous, Hongrois, si nous sommes chrétiens, cela implique que nous respectons la dignité de chaque être humain, tout en soulignant que la haine pour le christianisme, déjà détruit dans nombreuses parties du monde, ne doit pas être tolérée.

Le PDC genevois veut que la Suisse adhère à l’UE

Le programme des candidats du PDC aux élections nationales ne donne pas dans l’eau tiède et la demi-mesure. Ratifié par ses délégués il y a quelques jours, il réaffirme «le soutien» du parti genevois «à la voie bilatérale dans une perspective d’adhésion, par étapes, à l’Union européenne».

Sophie Buchs, insiste: «Parce que l’UDC a dicté le discours politique de référence ces trente dernières années, aucun parti n’ose dire que la Suisse doit trouver un accord avec l’Union, dans laquelle elle s’insérera un jour avec brio.»

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Tribune de Genève

Octroyer le pavillon à l’Aquarius pourrait obliger la Suisse à accueillir les migrants du bateau.

Octroyer le pavillon suisse au navire de secours l'Aquarius? La décision mêle enjeux juridiques, politiques et temporels. A la suite du dépôt d'une interpellation parlementaire, le Conseil fédéral doit se pencher sur cette question épineuse.

Une fois l'Aquarius de retour au port de Marseille la semaine prochaine, il ne pourra plus repartir en Méditerranée pour sauver des vies, ayant perdu son pavillon panaméen. A moins donc que la Suisse ne lui accorde le sien.

Cette démarche n'a toutefois rien de simple. Tout d'abord au niveau juridique: selon la loi fédérale sur la navigation maritime, le Département fédéral des Affaires étrangères (DFAE) pourrait, à titre exceptionnel, autoriser l'enregistrement de l'Aquarius dans le registre des navires suisses, à certaines conditions. Premièrement, que la société qui possède le bateau ait son domicile ou son siège en Suisse et deuxièmement, que ladite société exploite le bateau à des fins humanitaires.

Des élus au front

Si cette dernière condition paraît remplie, la première ne l'est pas: l'Aquarius appartient à Jasmund Shipping, société établie en Allemagne. Son propriétaire devrait donc décider de la délocaliser en Suisse ou d'ouvrir éventuellement une filiale helvétique.

L'autre défi est politique. Avec cette question: est-ce que le DFAE, et donc le Conseil fédéral, veut accorder le pavillon suisse à l'Aquarius? La décision lui appartient entièrement, nonobstant le front interpartis - Les Verts, PS, PDC et PLR - favorable à cette idée au Parlement.

Les élus de ces partis auront fort à faire pour convaincre les conseillers fédéraux, tiraillés entre faire un geste humanitaire et une éventuelle responsabilité morale à l'égard des migrants secourus.

Accueillir les rescapés?

Cette même responsabilité morale pourrait de fait contraindre la Suisse à accueillir des migrants sauvés par l'Aquarius. Si, du point de vue juridique, rien n'oblige la Suisse à le faire, elle pourrait se voir contrainte, par responsabilité morale, d'accueillir les rescapés recueillis par un navire arborant son pavillon, si aucun pays européen n'est prêt à la faire. Tel est du moins l'avis de Benoît Le Goaziou, avocat français spécialiste du droit maritime, invité de La Matinale vendredi.

Son opinion n'est évidemment pas partagée notamment par les partisans de l’octroi d’un pavillon suisse à l'Aquarius. Selon eux, la Confédération n'aurait pas à s'inquiéter du sort des personnes sauvées. Mais avant de se prononcer, le Conseil fédéral voudra en avoir le coeur net, ce qui pourrait prendre plusieurs semaines.

Le temps presse

Or, l'Aquarius de dispose pas de ce temps. Plus le navire reste à quai, moins il sauve de vies, selon l'association SOS Méditerranée, qui affrète le bateau. La direction de SOS Méditerranée, tout en saluant la démarche des parlementaires suisses - la qualifiant même de piste sérieuse - explore aussi d'autres solutions pour que l'Aquarius obtienne un nouveau pavillon rapidement et puisse ainsi repartir en mer.

RTS

Un PDC, une PS, une Verte et un PLR veulent que l’Aquarius arbore le pavillon suisse

L'Aquarius, ce navire qui porte secours aux personnes qui tentent de traverser la mer Méditerranée, s'est vu retirer le pavillon du Panama. Afin qu'il puisse continuer ses actions de sauvetage, trois élus ont déposé mercredi une interpellation au Conseil national, révèle la RTS.

La proposition provient de trois parlementaires d'un bord politique différent: Guillaume Barazzone (PDC/GE), Ada Marra (PS/VD) et Kurt Fluri (PLR/SO). Une élue bernoise des Verts va également déposer une motion en ce sens, ajoute la RTS.

 

 

 

 Aline Trede (Verts/BE) va également déposer une motion sur le sujet.

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20 Minutes.ch

RTS

 

Audio RTS ici

Suisse. Le président du PDC s’en prend au socialiste Carlo Sommaruga : “C’est un antisémite, un hypocrite.”

Gerhard Pfister (PDC/ZG) a fait quelques tweets sur les événements de Genève et les manifestations "pour défendre les femmes" après les agressions de la semaine dernière.

Le président du PDC a commenté un tweet: «Carlo Sommaruga est le digne successeur du clown politique Jean Ziegler. Genève est punie par les politiciens qui vénèrent les dictateurs et les machos de gauche». Ou encore: «Sommaruga est un des plus gros hypocrites sous le soleil de Genève».

Le Matin

Via le Facebook du PNS

Genève: Le PDC et la gauche soutiennent les extrémistes qui ont fait entrer illégalement les clandestins en France

A noter le titre de l'article de la Tribune de Genève: «Criminalisés pour avoir montré de la compassion».

Les 3 individus appréhendés parlent "d'un deux poids deux mesures" en comparant leurs actions à ceux des identitaires. Ils ne semblent pas savoir que les clandestins n'ont aucun droit de franchir les frontières. Mais peut-être veulent-ils tenter la même action avec les frontières chinoises ou en Corée du Nord, des pays bien à gauche?

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La Ville de Genève soutient les «Trois de Briançon». Tel est le message du vote de la plénière du jeudi 17 mai. L’Alternative, appuyée par le PDC, a accepté la résolution intitulée «Liberté pour Théo, Bastien et Eleonora».

Dénonçant notamment «la criminalisation de la solidarité et le caractère arbitraire de leur arrestation», ce texte prévoit que le Conseil administratif entreprenne «toutes les démarches en son pouvoir afin de soutenir, protéger et assurer le retour de Théo, Bastien et Eleonora dans leurs foyers, libres de toute charge».

De quoi satisfaire les signataires de la résolution. À l’image de la cheffe de groupe d’Ensemble à Gauche, Brigitte Studer, qui juge «scandaleux et choquant» que la peine encourue pour le délit de solidarité soit de sept ans.

Une indignation partagée par la cheffe de groupe PDC, Anne Carron. Cette dernière a ainsi défendu cette résolution, estimant que «la Ville de Genève est une capitale des droits humains, elle a un rôle historique à jouer dans la défense des droits de l’homme et des personnes dont les droits sont bafoués à travers le monde».

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Source et article complet

Suisse: Six femmes accusent le PDC Yannick Buttet de harcèlement sexuel. “Il a des pulsions animales.”

«Yannick Buttet m'a invitée à danser [...]. Il s'est collé contre moi et j'ai senti chaque centimètre de son corps. Il m'a d'abord touché la joue, puis a passé la main sous ma chemise. J'ai essayé plusieurs fois de le repousser, mais je n'y arrivais pas. Il me retenait très fortement. Je n'ai jamais ressenti une telle pulsion.

C'était presque animal. Je n'ai réussi à lui échapper qu'en le repoussant violemment». Tel est le témoignage glaçant livré au «Temps» d'une journaliste relatant une soirée dans un bar de Berne.

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Propagande du PDC contre No Billag avec une affiche nauséabonde

Le Parti démocrate-chrétien (PDC) veut fédérer l’opposition à l’initiative «No Billag»

Le PDC soutient la décision de la Commission des transports et des télécommunications du Conseil national (CTT-N) qui recommande le rejet sans contre-projet de l’initiative populaire « Oui à la suppression des redevances radio et télévision (suppression des redevances Billag) ». La CTT-N suit la décision unanime prise aussi par le Conseil des Etats de rejeter l’initiative.

Élection en Valais: PDC et socialistes en tête. Christophe Darbellay “On voit que le Valais n’est pas le pays de Donald Trump.”

Oskar Freysinger a subi un revers dimanche lors de l'élection au Conseil d'Etat valaisan. Il se retrouve sixième derrière les deux candidats socialistes. «Je ne m'attendais pas à pareil mauvais résultat», a déclaré le sortant UDC à la télévision SRF, dans des propos rapportés par 20 Minuten. Les treize candidats aux cinq sièges sont en ballottage.Un deuxième tour aura lieu le 19 mars.

Le PDC a largement dominé ce premier tour de l'élection. Ses trois candidats, le sortant Jacques Melly, Christophe Darbellay et Roberto Schmidt sont en tête, devant la sortante socialiste Esther Waeber-Kalbermatten. Mais les écarts sont importants.

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Tessin. Le musulman suspecté de terrorisme travaillait… à la sécurité des centres pour requérants d’asile. Notre administration doit en répondre!

Christian Hofer: A noter que c'est un PDC Paul Beltraminelli, qui est responsable du département incriminé. Cela n'étonnera personne ici...

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"L'islamiste de 32 ans interpellé hier au Tessin dans le cadre de l'action anti-terroriste, coordonnée par le Ministère public de la Confédération, se nomme U.Y. Le nom de l'homme à la double nationalité, suisse et turque, a émergé dans le cadre de l'enquête de Milan qui a conduit à la condamnation à six ans de prison pour terrorisme d'Abderrahim Moutaharrik, le boxeur marocain qui s'entraînait dans un gymnase de Canobbio. U.Y. travaillait comme agent de sécurité (!) pour Argo One (entreprise employée au centre d'asile de Camorino) et il est soupçonné de recruter des militants potentiels pour l'Etat islamique ou d'autres organisations. (Source Liberatv.ch)

C'est l'information inquiétante qui a alarmé la population tessinoise vis-à-vis d'un phénomène qui gagne de plus en plus de terrain dans notre pays. Il semble clair que le gouvernement - et en particulier le DSS (Nd Schwarze Rose: Département de la santé et du social) qui est responsable du dossier «demandeurs d'asile» - a sous-estimé le problème du terrorisme islamiste, à un tel point qu'il a délivré un mandat de sûreté à une personne recherchée pour des crimes liés au terrorisme. A cet égard, il est demandé au Conseil d'Etat:

1) Quels contrôles ont été effectués par le DSS avant de donner le mandat aux personnes concernées? Indiquez quels sont les fonctionnaires qui ont vérifié la procédure.

2) Le Département a-t-il vérifié que la société en question a été soumise à la convention collective habituelle dans le secteur d'activité?

3) Le bureau responsable était-il au courant des plaintes concernant le travail de l'agence de sécurité? Si oui, pourquoi n'est-il pas intervenu avant?

4) Le gouvernement peut-il assurer à la population que cet incident grave est un événement isolé?

5) Le Gouvernement a-t-il l'intention de procéder à une vérification approfondie à l'égard de tous les mandats et les missions concernant les centres de demandeurs d'asile répartis dans tout le canton?

6) Combien coutent annuellement les mandats de sécurité liés à la gestion des demandeurs d'asile (prié d'indiquer les chiffres pour les cinq dernières années)?

7) Le gouvernement ne considère-t-il pas qu'il soit nécessaire de mettre en place une commission d'enquête pour vérifier cette situation grave dans le DSS, comme cela a été fait récemment dans des cas similaires?

8) Selon le gouvernement, les responsables de la DSS en charge de ce mandat ont-ils agi correctement, en conformité avec les règles et dans le sens de la responsabilité?

9) Que prévoit le gouvernement pour éviter la production de cas similaires?

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

Le PDC Manuel Donzé hébergeait un requérant débouté. Son domicile est fouillé par la police, il s’en offusque!

Christian Hofer: Quelqu'un peut-il lui dire que s'il y a un scandale, c'est lui qui en est la source en violant nos lois alors qu'il est représentant de notre pays?

Et c'est cela qui est en train de se passer: Toute violation de notre territoire par des clandestins est désormais banalisée et nos lois sont même enfreintes par des élus qui agite un "droit humanitaire" fantasmé. Bien entendu, le même individu se fiche totalement lorsque l'une de nos filles est violée par ces "pauvres migrants".

Enfin, personne ne s'étonnera qu'un PDC agisse comme un socialiste, ce parti n'étant qu'une succursale de l'idéologie gauchiste. Darbellay avait déjà démontré toute son aversion de la droite en s'alliant avec la gauche contre Blocher.

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L'élu lausannois abrite officiellement un réfugié afghan débouté. Celui-ci n'était pas sur place au moment de la perquisition.

«C’est scandaleux! C’est une pratique intolérable. C’est la première fois que le domicile d’un député est perquisitionné.» Manuel Donzé était furieux ce mardi.

Au moment de la perquisition, cet homme n'était pas au domicile de Manuel Donzé. Il vivrait épisodiquement chez lui, mais n'est pas systématiquement dans son appartement. Manuel Donzé fait partie du Collectif R, qui soutient les migrants.

Source et article complet