Les ONG qui génèrent et font marcher le commerce des migrants voudraient nous rendre responsables des morts lors de la traversée

(AFP) Mer Méditerranée: Une ONG trouve dix cadavres de migrants sur un rafiot bondé - 17 novembre 2021

Médecins sans frontières a récupéré, mercredi, des embarcations de fortune entre la Libye et l’Italie. Dans l’une d’elles, dix migrants morts parmi 99 survivants…

 

[...] «Dix morts évitables, dix personnes qui sont mortes étouffées, au bout de 13 heures de dérive en mer. L’itinéraire le plus meurtrier en Méditerranée. Comment pouvons-nous accepter cela en 2021?»

[...] probablement mortes étouffées par les gaz d’échappement du moteur. [...]

 

«Manque de volonté de l’Europe»

Des dizaines de milliers de personnes tentent d’arriver en Europe en traversant la Méditerranée, à partir de la Libye ou de la Tunisie, pour arriver généralement en Italie. [...]

[...] Ils sont originaires de Guinée, du Nigeria, de Côte d’Ivoire, de Somalie et de Syrie. «Beaucoup d’entre eux sont traumatisés par leur épreuve horrible», a précisé l’ONG, qui a demandé un port sûr pour pouvoir les débarquer. [...]

[...] nous sommes encore une fois témoins du manque de volonté de l’Europe de garantir un système de recherche et de secours dont nous avons désespérément besoin dans le centre de la Méditerranée», a dénoncé la cheffe de mission de MSF à bord du «Geo Barents», Caroline Willemen.

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/une-ong-trouve-dix-cadavres-de-migrants-sur-un-bateau-bonde-au-large-de-la-libye-147012437365

Méditerranée : 237 migrants embarqués à bord de l’Ocean Viking

L’équipe de l’Ocean Viking a réalisé deux sauvetages en Méditerranée, ce jeudi, sauvant au total 237 migrants, dont plus d’une centaine sont mineurs.

(...)

 

 

Les candidats à l'exil venus de divers pays partent pour l'essentiel de Tunisie et de Libye pour rejoindre l'Europe via l'Italie, dont les côtes sont les plus proches.

(...)

Le Parisien

Méditerranée : un nouveau navire humanitaire bientôt prêt pour des opérations de sauvetage, il pourra accueillir jusqu’à 1 000 migrants

Le collectif italien Mediterranea est à pied d’œuvre pour rendre opérationnel son nouveau navire humanitaire. Le Mare Jonio 2 (nom provisoire) est actuellement en travaux au port allemand de Brême et devrait se rendre dans la SAR zone (zone de recherche et de sauvetage), au large de la Libye, d’ici quelques semaines.

D’une longueur de 70 mètres, le bateau sera équipé d’un hôpital à bord pour soigner les naufragés. Il sera également doté de drones et de ballons volants afin de survoler la SAR zone à la recherche d’embarcations en détresse, a indiqué le média italien Avvenire. […]

infomigrants.net


Ce navire sera parmi les plus grands que possèdent les différentes ONG qui opèrent en Méditerranée :

Le Sea-Eye 4 de l’ONG allemande Sea-Eye, (55 mètres de long, opérationnel début 2021)
Le Sea-Watch 4, une ONG allemande également, Sea-Watch (69 mètres de long, actuellement bloqué à Palerme par les autorités italiennes)
L’Ocean-Viking, de l’ONG française SOS Méditerranée (70 mètres de long, actuellement immobilisé à Augusta en Sicile par les autorités italiennes)

Via Fdesouche

Migrants : la nouvelle loi italienne contre les ONG alarme l’ONU. “Il faut vérifier sa compatibilité avec le droit européen.”

L'agence onusienne pour les réfugiés dénonce la loi adoptée par le Parlement italien qui permettrait notamment de confisquer les bateaux des ONG.

Salvini alerte l'Europe et les Nations unies. Le Haut-Commissariat aux réfugiés (HCR) de l'ONU s'est dit "inquiet" ce mardi après l'adoption par le Parlement italien d'une loi plus répressive contre les ONG qui secourent des migrants en Méditerranée. La Commission européenne a pour sa part annoncé son intention "d'analyser" la nouvelle législation italienne afin de "vérifier sa compatibilité avec le droit européen", a précisé un de ses porte-parole.

[NDLR : pour bien faire pleurer dans les chaumières, l'ONU manipule les Européens en agitant une photo exhibant une femme et un très jeune enfant, c'est-à-dire l'infime minorité des migrants. Mais la même instance se garde bien de parler des nombreux crimes de ces migrants en Europe, entre agressions sexuelles sur mineures, abus des institutions sociales et autres violences.]

 

 

[...]

Le HCR défend le "rôle inestimable" des ONG

Après l'affront de Carola Rackete, la capitaine du Sea-Watch 3 qui avait accosté de force à Lampedusa pour débarquer des migrants secourus en mer, le texte donne la possibilité d'intercepter préventivement un navire et d'infliger jusqu'à 10 ans de prison pour toute résistance. Il accroît aussi les possibilités d'écoutes et de recours pour des agents sous couverture pour lutter contre toute forme de complicité à l'immigration clandestine.

Le HCR s'est dit "inquiet de cette décision". "Imposer des amendes ou d'autres pénalités aux commandants risque de dissuader ou d'empêcher des navires privés de mener des activités de secours en mer au moment où les États européens se sont pratiquement désengagés des efforts de sauvetage en Méditerranée centrale", a expliqué l'agence de l'ONU. Pour le HCR, les ONG "jouent un rôle inestimable" dans le sauvetage des réfugiés et des migrants qui tentent de traverser la mer pour rejoindre les côtes européennes. "L'engagement et l'humanité qui les motivent ne doivent pas être criminalisés ou stigmatisés", a estimé l'agence.

[...]

Lexpress.fr

 

Rappels :

Antonio Guterres, Secrétaire général de l’ONU : « Je viens d’inaugurer une stratégie contre les discours de haine »

Migrants : l’ONU appelle à ne pas pénaliser les navires humanitaires

Danemark : un nouveau projet de loi vise à faciliter le rapatriement de tous les réfugiés dans leur pays d’origine, l’ONU s’y oppose

Pacte mondial des migrations.Selon un rapport de l’ONU, l’Europe devrait accueillir 160 millions d’immigrés avant 2025, en majorité musulmans, vidéo 4’22

Italie : un infiltré révèle les liens troubles entre une ONG et des passeurs

Le navire "Juventa" qui vient en aide aux migrants en Méditerranée est accusé d'entretenir des rapports troubles avec les passeurs.

On connaît les raisons de la mise sous séquestre du navire "Juventa", le 28 juillet à Lampedusa (Sicile) : une "taupe" infiltrée a dévoilé les liens douteux qu'entretient ce navire sauveur de migrants, et appartenant à l’ONG allemande "Jugend Rettet ", avec les passeurs.

Suite

Le Matin : nouveau sermon en faveur de l’invasion migratoire

Cléa Favre sévit à nouveau dans LE MATIN ce samedi 8 juillet 2017 :

«  LES ONG, CES PARFAITS BOUCS EMISSAIRES »

« ASILE : L’Europe veut mettre au pas les organisations qui sauvent les migrants en Méditerranée. Pourtant, elles remplissent une mission abandonnée par Bruxelles.

Interdiction d’entrer dans les eaux libyennes ou d’émettre des signaux lumineux pour faciliter le départ des embarcations de migrants, obligation de dévoiler ses sources de financement  ou d’accueillir à bord de son navire les officiers de justice qui enquêtent sur les trafics d’être humains... [...]

Ce recadrage a lieu dans un climat de critiques et d’incriminations graves ouvert en décembre dernier déjà par l’agence européenne Frontex. Celle-ci avait alors évoqué une collusion possible : des navires des ONG récupéreraient directement les migrants en mer depuis les embarcations des passeurs. Frontex accusait aussi les organisations de « soutenir » l’action des réseaux criminels, en prenant en charge les migrants toujours plus près des côtes libyennes, amenant les passeurs à charger davantage les bateaux, sans fournir suffisamment d’eau et de carburant. [...]

Toutes ces allégations ont été balayées en mai dernier par une commission d’enquête du Sénat. Mais « le mal est fait et les dégâts d’images restent», déplore Aurélie Ponthieu, chargée d’affaires humanitaires à Médecins sans frontières.

Reste un argument tenace : celui de créer un « appel d’air ». « Là encore, il n’y a aucune preuve que les sauvetages encouragent les traversées. Les arrivées augmentent en permanence depuis 2014, donc bien avant la présence des ONG », contre-argumente Aurélie Ponthieu. [...] »

 

Puis Cléa Favre interviewe Sarah Progin-Theuerkauf, professeur en droit européen des migrations à l’Université de Fribourg, Fabienne Lassalle, directrice générale adjointe de SOS Méditerranée, et Christin Achermann, de l’Université de Neuchâtel.

Sarah Progin-Theuerkauf: « L’Union Européenne est dépassée. L’Italie n’en peut plus. Il faut un bouc émissaire. »

« Fabienne Lassalle va plus loin. Pour elle, il s’agit clairement d’une diversion. « Bruxelles veut porter l’attention ailleurs, alors qu’elle est en train de renforcer son appui aux gardes-côtes libyens. Une stratégie à laquelle nous nous opposons.» […]

« SOS Méditerranée s’insurge aussi contre le fait que les menaces de groupes d’extrême droite ne font pas l’objet de condamnation publique. Pas même début juin, quand des militants ont cherché à empêcher l’« Aquarius » de quitter le port pour une mission. « Si l’on ne peut plus faire notre travail, la seule chose qui va changer, c’est qu’il y aura davantage de morts », conclut Aurélie Ponthieu. »

 

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Cet article, sur deux pages, est illustré par un bateau pneumatique rempli à ras bord d’Africains, avec la légende : « Les ONG craignent des restrictions de la part de l’Europe, qui les empêcheraient de sauver des vies »

Cléa Favre pense aux vies des Africains qui se déversent sur l’Europe, jamais elle n’aura une petite pensée pour les autochtones européens qui ont été/sont/seront massacrés lors d’attentats djihadistes, ni aux contribuables européens mis en esclavage pour entretenir ses dangereux protégés parasites qui sont en train de détruire à jamais la civilisation occidentale millénaire.

Cléa Favre fait partie de la même clique à but « alimentaire » que celle des ONG et des soi-disant spécialistes des migrations. Tous se nourrissent du désastre de l’invasion. Elles s’octroient le droit de cataloguer comme « extrême droite » tous les opposants à leur projet mortifère et les jugent condamnables.

De plus, en s’affichant comme des juges moraux désintéressés et soucieux du bien commun, elles prétendent être du côté du bien.

Malgré leurs salaires très confortables, tant au niveau matériel qu’en termes de reconnaissance sociale, elles n’admettront jamais qu’elles défendent leur croûte et des idées de l’extrême gauche.

Cenator, 10 juillet 2017

L’invasion de l’Italie

Par Stratediplo

Sous la pression populaire, le gouvernement et la presse italiens feignent de s'interroger sur le caractère quasiment militaire du débarquement de 8500 clandestins africains en Italie pendant le week-end pascal.
8500 hommes (en trois jours), c'est un cinquième du total d'intrus entrés en Italie sur l'ensemble de l'année 2013. Et effectivement il s'agit d'un effectif militaire, en l'occurrence l'équivalent de deux brigades d'infanterie. Cet effectif est d'ailleurs composé presqu'en totalité de jeunes hommes relevant d'une tranche d'âge que l'on qualifie parfois aussi de militaire. Cependant on peut difficilement appeler cela une surprise, un an et demi après que le Conseil de Sécurité de l'ONU ait adopté la résolution 2240 du 9 octobre 2015, qui plus est en référence explicite au chapitre VII de la Charte des Nations Unies, donc en reconnaissant une situation "de menace contre la paix, de rupture de la paix et d'acte d'agression" et en rappelant la nécessité de maintenir la paix et la sécurité internationale, avec usage de la force. La portée de cette résolution est présentée pages 141 à 147 de la Huitième Plaie. Cette résolution ne nomme aucun sujet de droit international comme coupable de cette agression mais elle désigne clairement les passeurs comme agents d'une puissance ennemie qui a rompu la paix et agressé l'Italie principalement, et Malte accessoirement, justifiant donc une riposte militaire contre ces agents sur le terrain, en l'occurrence en mer. Il va sans dire qu'en droit international coutumier, immémorial et très largement antérieur à la signature de la Charte des Nations Unies, toute agression autorise et même appelle une riposte, mais dans le contexte contemporain d'indécision et de sottise politiques l'autorisation du Conseil de Sécurité est une justification publique appréciée des gouvernements, notamment dans les jeunes républiques constitutionnelles légalistes comme l'Italie. Le 9 octobre 2015, le Conseil de Sécurité de l'ONU, à l'unanimité moins une abstention (un petit pays insignifiant d'Amérique), a formellement arrêté que l'Italie, Malte et l'Union Européenne étaient l'objet d'une agression (une guerre) et devaient y répondre par la force afin de restaurer la paix internationale. Il est remarquable que même des pays non concernés et très éloignés de cette région du monde, et même un pays auquel l'Italie et l'Union Européenne ont déclaré la guerre (plusieurs fois depuis 2014), ont reconnu cette agression et voté en faveur de cet encouragement à la contrer par la force militaire.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que tant l'Italie que l'Union Européenne se sont abstenues d'apporter de la publicité à cette décision qu'elles avaient pourtant demandée afin de se justifier auprès de l'électorat italien. Un minimum de publicité à cette résolution, assortie de la publication de quelques images de vaisseaux de guerre appareillant des ports italiens, aurait pourtant certainement suffi à réduire, sinon tarir, tant l'effrontement des traficants expressément visés dans la résolution 2240 que l'esprit d'aventure des "êtres humains" (la résolution décrit les négriers comme des esclavagistes mais s'abstient de caractériser leurs victimes) qui quittent volontairement l'Afrique noire avant d'être réduits en marchandise, en Berbérie islamisée et arabisée. Elles se sont surtout abstenues d'utiliser la force dont elles avaient demandé l'autorisation d'emploi au Conseil de Sécurité. Cette passivité contraste singulièrement avec la détermination peu pacifiste de l'Italie et de l'OTAN en 2011 dans la même zone, face aux mêmes côtes et sous un prétexte encore plus faiblement humanitaire, où l'Italie a aidé la France non seulement à outrepasser la résolution 1973 du même Conseil de Sécurité, mais aussi à violer la Charte de l'ONU et détruire, sans l'occuper, l'Etat qui administrait alors la Cyrénaïque et la Tripolitaine… Or les conséquences de la destruction d'un État sans occupation de son territoire, contraire d'ailleurs au droit international, sont bien connues des pays de l'OTAN, Italie comprise.
Il n'est d'ailleurs pas anodin de remarquer que la Libye, qui jusqu'en 2011 était le pays au niveau de vie le plus élevé d'Afrique et le seul pays du continent à avoir un Indice de Développement Humain "élevé" (l'IDH calculé par le Programme des Nations-Unies pour le Développement), avec la plus grande population immigrée (de l'ordre de cinq millions), était la destination des courants migratoires, alors légaux et sans pertes humaines, venant d'Afrique subsaharienne. Les pogroms massifs perpétrés à Benghazi dès le début de l'intervention islamo-atlantiste, par les Frères Musulmans égyptiens que la presse européenne (italienne comprise) présentait comme des libérateurs printanniers arabes, avaient pour but et ont eu comme résultat le départ précipité de ces cinq millions d'immigrés, entre le tiers et la moitié de la population de la Libye. Les massacres de Benghazi, en l'occurrence un génocide sur critère racial puisque quel que fût le nombre exact de victimes il visait exclusivement et systématiquement les Noirs, fut passé sous silence par la presse sélectivement humanitaire des pays ayant dicté la résolution 1973 de protection de la population comme cynique justification à leur agression de la Libye et à sa livraison à l'islamisme. Encore plus impressionnant, le contrôle des trois agences de presse de l'OTAN sur la presse mondiale, multipliant le succès de l'occultation de la déportation par la Croatie d'un dixième de sa population en 1995, a cette fois (en 2011) permis d'occulter totalement l'exode terrestre précipité et désordonné en quelques semaines de cinq millions de personnes, soit dix fois plus que les orthodoxes de Croatie et sur une distance vingt fois supérieure, donc une catastrophe humanitaire majeure dont les sables du désert ont certainement englouti bien plus d'échecs que les flots de la Méditerranée depuis lors.
Le 22 août 2011, dans un message prenant acte de la victoire islamiste en Libye (et rappelant la vraie raison de l'agression) et annonçant pour un futur proche le divorce entre la Cyrénaïque sénoussiste et la Tripolitaine tribale, le dévoilement des Frères Musulmans en Egypte (par l'élection plusieurs fois différée pour raisons d'image après le coup d'état islamiste) et la réorientation des moudjahidines africains et moyen-orientaux vers d'autres combats (sans savoir que ce seraient le Mali et la Syrie), Stratediplo écrivait que "le retour au sud du Sahara des millions d'émigrés récemment expulsés par les milices islamistes de Cyrénaïque posera inévitablement des problèmes de réintégration, comme après une démobilisation massive, mais aggravés par l'interruption soudaine des transferts financiers que les millions d'immigrés en Libye envoyaient vers leurs pays d'origine". Néanmoins, pour que de gros contingents d'Africains noirs reprennent le difficile chemin de la Cyrénaïque et de la Tripolitaine, après la destruction de l'économie et de la sécurité libyennes puis la restauration de l'esclavage islamique, il a fallu que l'incitation au départ et la promesse d'accueil soient particulièrement appuyées et incitatrices. Comme on l'écrivait dans la Huitième Plaie, "l'Italie avait lancé en 2014 l’opération Mare Nostrum qui avait encouragé et quadruplé le pont maritime entre l'Afrique et l'Europe, débarquant 170000 illégaux en Italie en 2014 contre 43000 en 2013, la marine italienne ayant une autre capacité que les flotilles de Tripolitaine et Cyrénaïque". L'Union Européenne, pour sa part, a d'abord triplé le (petit) budget de l'opération Triton, puis appelé tous les pays de l'Union à une opération de transport majeure, ultérieurement baptisée Sofia. Le résultat évident en a été la multiplication de l'effectif débarqué, et une conséquence accessoire est l'augmentation proportionnelle du nombre de décès, que l'on cache soigneusement afin de maintenir le mythe du but humanitaire de ces opérations. Ces pertes sinon négligeables du moins ignorées prouvent indubitablement que l'objectif réel de ces opérations n'est ni de sauver ni d'épargner ces victimes unilatérales.
La presse italienne, pressée d'expliquer à l'électorat italien qu'on l'a compris, s'enflamme donc depuis deux semaines et titre de grosses manchettes sur les débarquements de clandestins. Ceci est un double abus de langage et un mensonge. D'une part ces gens-là ne débarquent pas en Italie, ils y sont débarqués. Ils ne sont livrés à eux-mêmes qu'entre la plage et le bateau, entre le moment où les négriers leur disent d'aller tout droit en direction de la lune car il y a juste assez de carburant pour arriver en limite des eaux territoriales, et le moment où après un échange de signaux lumineux (entre les lampes de poche des esquifs jetables et les projecteurs des bateaux européens) ils sont hissés et pris en charge par les marines d'acheminement pour la traversée de la Méditerranée. D'autre part ils ne sont pas des clandestins puisqu'ils n'entrent pas clandestinement en Italie. On les invite à monter, comme promis, à bord des bateaux, on les y réchauffe, leur prodigue en cas de besoin les soins nécessaires, leur distribue couvertures, café chaud et éventuellement nourriture pour le voyage, puis on les invite à descendre en bon ordre sur le quai après les manœuvres d'approche et d'amarrage… qu'il soit autorisé voire ordonné aux transporteurs de conserver l'anonymat de leurs passagers en évitant de leur demander leur identité est une politique de déshumanisation déterminée, alors qu'au contraire des Asiatiques envoyés massivement depuis deux ans pour procéder à l'islamisation de l'Europe, les Africains, héritiers d'une solide tradition d'études en Europe, cherchent plutôt la reconnaissance que cet anonymat qu'on leur impose : leur intrusion est illégale mais pas clandestine.
Ce dont la presse italienne feint de s'apercevoir aujourd'hui, suite aux enquêtes d'une poignée de procureurs qui commencent à s'inquiéter de l'intensité des débarquements en Sicile, c'est que les passeurs, ceux qui font traverser la Méditerranée aux intrus, sont des marines ou des organisations européennes, et que les négriers de Cyrénaïque et de Tripolitaine ne sont que des pousseurs, plus des passeurs. Les passeurs sont la marine italienne, les autres marines de l'Union Européenne qui détachent des navires pour l'opération de transfert massif, et les organisations soi-disant non gouvernementales subventionnées par l'Union Européenne, payées par le tissu associatif de l'Open Society, et aidées aussi par le gouvernement états-unien. Ce qui éveille aujourd'hui les pouvoirs judiciaires de Catane et de Palerme (Sicile), de Cagliari (Sardaigne) et de Reggio (Calabre), c'est le pressentiment d'une prochaine submersion d'abord de Lampéduse puis de toute la Sicile sur le modèle des îles grecques (Lesbos, Kos, Samos, Chios et Leros) depuis deux ans. La presse italienne a été réquisitionnée pour nier et dénier les vidéos amateurs montrant le déferlement de hordes sauvages dans les rues de villes du sud de la péninsule, mais les faits s'entêtent, et tout politicien latin ou européen rêvant d'invasion ou de soumission de la Sicile sait qu'elle n'est pas peuplée de lesbiennes, l'histoire l'a assez démontré. Que certaines autorités locales, au contact de la population, commencent à changer leur discours, pourrait être révélateur de la croissance d'une vélléité populaire de s'opposer à l'invasion, laquelle pourrait localement plus s'apparenter à des vagues de razzia (réveillant de vieilles mémoires) qu'à une colonisation ordonnée, l'Italie en général et la Sicile en particulier étant plus considérées comme un lieu de transit que comme une destination finale. Reportant soudain le regard accusateur du tremplin côtier vers le matelas de réception naval, le procureur Carmelo Zuccaro, de Catane, ne parle plus uniquement de la coordination logistique entre les flottes étatiques et associatives d'un côté et les lanceurs d'esquifs de l'autre, mais également d'une participation au financement des flottes associatives par les réseaux négriers. Tandis que des milliers d'intrus sont débarqués chaque jour dans les ports siciliens, de patientes enquêtes judiciaires ont été lancées pour trouver des preuves de sources de financement illégales (dont on peut deviner que les négriers libyens ne sont que des intermédiaires et sûrement pas les payeurs finaux), et aboutiront certainement d'ici quelques années à des inculpations, des procès et peut-être quelques condamnations, qui viseront plus vraisemblablement des personnes juridiques que leurs dirigeants (et plus légèrement qu'envers les Russes dont on saisit les comptes bancaires en vertu de fausses "sanctions" extra-judiciaires illégales), en réduisant par exemple leur accès aux subventions publiques.
Pendant ce temps une invasion a effectivement lieu, bien qu'il ne s'agisse pas d'une opération militaire puisqu'il n'en est nul besoin en l'absence de défense armée du côté envahi. Tout cela est la suite "logique" du rapport de l'ONU du 21 mars 2000 sur les migrations de remplacement, car il s'agit bien d'une politique conduite sciemment et volontairement par les gouvernements uniopéen et nationaux, comme on l'a abondamment exposé dans la Huitième Plaie.
Stratediplo  (source)
 

Près de 1000 migrants secourus encore ce jeudi

Les gardes-côtes italiens ont annoncé jeudi avoir coordonné les opérations de secours d'environ 970 migrants au large de la Libye.

Les centaines de migrants se trouvaient à bord de quatre canots pneumatiques, une petite barque en bois et une plus grande. Ils ont été secourus par un navire des gardes-côtes italiens, un navire norvégien engagé dans le dispositif européen Frontex et deux navires humanitaires affrétés par les ONG SOS Méditerranée, Médecins sans frontières et Proactiva Open Arms.

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Migrants: 1’164 personnes secourues dimanche en Méditerranée

Six personnes sont mortes et 1.164 autres ont été secourues dans des opérations de sauvetage d'embarcations en détresse dimanche en Méditerranée, ont annoncé les gardes-côtes italiens.

Les gardes-côtes, l'opération navale de l'UE EU NAVFOR MED et des navires de la Marine italienne ont été déployés ainsi que l'Aquarius, navire de secours affrété par SOS Méditerranée et Médecins sans frontières (MSF), pour secourir des migrants à bord de six canots pneumatiques et d'un bateau en bois se trouvant en difficulté au large de la Libye.

L'Italie a déjà vu débarquer sur ses côtes un record de plus de 173.000 migrants cette année, selon les données enregistrées jusqu'au début de la semaine dernière par le ministère de l'Intérieur.

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Culpabilisation: Des ONG accusent L’UE de se rendre «complice» de la tragédie en Méditerranée

Christian Hofer: Article de culpabilisation attendue alors qu'aucune de ces ONG ne s'inquiète des viols et autres atrocités dont ces migrants sont coupables.

On relèvera que dans "l'exemple donné" par MSF, plus de 85% sont des hommes. Or cela fait bien longtemps que l'on sait que ces gens ne respectent aucunement les Européens et agressent nos femmes sans hésitation, tout en bénéficiant de nos largesses financières.

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Des ONG venant en aide aux migrants en Méditerranée ont accusé vendredi l'Union européenne de se voiler la face concernant les milliers de morts en mer cette année en tentant de rejoindre ses côtes méridionales.

«Il faut d'urgence fournir des moyens sûrs et légaux aux personnes désespérées qui viennent chercher la sécurité en Europe, sans qu'elles risquent ou perdent leur vie», a-t-il insisté. Un navire affrété par MSF, le Bourbon Argos, a secouru vendredi 867 personnes, dont 119 femmes et huit bébés (dont quatre âgés de quelques mois).

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La Mairie socialiste de Paris subventionne l’aide aux migrants en Méditerranée

La Ville de Paris vient d'attribuer une subvention à l'association SOS Méditerannée. Son rôle : repêcher les migrants en détresse au large de la Libye pour les conduire jusqu'aux côtes italiennes.

Lors du Conseil de Paris du 26 septembre dernier, la majorité des élus parisiens a voté en faveur del'attribution d'une subvention d'un montant de 105 000 euros à trois associations, parmi lesquelles SOS Méditerranée. Cette dernière, basée à Marseille, effectue des «interventions au plus proche des zones de détresse se situant au large des côtes libyennes». Objectif affiché sur son site internet : venir en aide aux embarcations de migrants en détresse afin de les «ramener à terre en Italie».

Proposé par Patrick Klugman, adjoint aux Relations internationales d'Anne Hidalgo, ce soutien financier sera versé dans le cadre de l'action internationale de la Ville de Paris, destinée à «soutenir le rayonnement de la capitale à l'étranger». Une subvention haut de gamme en quelque sorte, les subventions classiques étant soumises à des règles strictes (l'association concernée ne doit pas poursuivre d'objectif politique, doit servir «l'intérêt public local»...) La France est d'ailleurs le seul pays à verser des subventions à l'association SOS Méditerranée.

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Plus de 10’000 migrants secourus en 48 heures. Les navires de secours sont débordés.

Les navires de secours sont débordés. Depuis lundi, plus de 10.000 migrants ont été secourus en Méditerranée. Les gardes-côtes italiens ont annoncé mercredi avoir récupéré 4655 migrants mardi, au cours de plus de 30 missions de secours. Ils ont également repêché 28 corps en mer.

397.000 migrants ont débarqué en Europe en 2016

Selon le Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR), 397.000 migrants ont débarqué en Europe au cours des neuf premiers mois de l'année, essentiellement des Nigérians et des Érythréens.

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Méditerranée: Deux pilotes suisses au secours des migrants

Deux Appenzellois ont décidé de survoler la Méditerranée à la recherche d'embarcations à la dérive. Ils ont déjà secouru 125 migrants après une semaine d'opération.

La situation reste tendue dans la Mer Méditerranée, affirme l'Appenzellois: «Des bonnes prévisions météo et une mer calme annoncent une grosse semaine. Ces prochains jours, beaucoup de réfugiés vont probablement oser se lancer dans la traversée.»

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Plus de 110’000 migrants sont arrivés en Europe via la Méditerranée en 2016

Selon l'Organisation internationale pour les migrants (OIM), plus de 110'000 migrants et réfugiés sont arrivés depuis janvier 2016 en Europe en traversant la mer Méditerranée.

Au total, 102'547 migrants sont passés par la Grèce et 7507 par l'Italie, selon les derniers chiffres publiés par l'OIM.

"Nous avons atteint ce chiffre en deux mois", alors qu'en 2015 c'est seulement au début de l'été que la barre des 100'000 avait été dépassée, a souligné un porte-parole de l'organisation, Itayi Viriri. Au total, plus d'un million de migrants ont traversé la Mediterranée l'an dernier.

Le périple des migrants n'est pas sans danger: plus de 410 personnes sont mortes ou sont portées disparues depuis janvier, selon l'OIM (environ 3700 en 2015).

Immense majorité de réfugiés

L'écrasante majorité de ceux qui arrivent sont des réfugiés, d'après le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR).

44% de ceux qui sont entrés en Grèce cette année sont Syriens, 29% Afghans, 17% Irakiens, 4% Iraniens et 3% Pakistanais.

Le pourcentage restant sont des personnes venues d'autres pays, dont le Maroc et la Somalie.

afp/ther

Sur les côtes italiennes, des migrants africains

Les migrants qui débarquent sur les côtes italiennes proviennent en revanche pour la plupart d'Afrique (Nigeria, Gambie, Guinée, Sénégal, Maroc...), selon le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR).

Sondage du HCR

Le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) a par ailleurs publié mardi un sondage effectué parmi 400 Syriens et Afghans arrivés sur les îles grecques durant les deux dernières semaines de janvier.Selon ce sondage, 94% des Syriens interrogés disaient avoir fui le conflit et les violences dans leur pays.71% des Afghans interrogés ont donné la même réponse.
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La flotte russe déploie des navires de guerre en Méditerranée pour des manoeuvres

Moscou - La flotte russe a annoncé jeudi le déploiement de navires de guerre dans l'est de la Méditerranée pour des exercices au moment où l'apparent renforcement de la présence militaire russe en Syrie suscite les inquiétudes des Occidentaux.

En septembre et en octobre, les forces navales russes mèneront des exercices dans la partie orientale de la Méditerranée, a annoncé officiellement le ministère russe de la Défense dans un communiqué.

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