Pour l’association des journalistes allemands, la divulgation de l’origine des délinquants doit rester une exception “Cela ferait le jeu des discours de haine”

En d'autres termes, les journalistes savent pertinemment que les migrants sont surreprésentés dans le secteur de la criminalité mais leur principale préoccupation est de "combattre la haine sur Internet" au lieu de protéger le peuple. Joli aveu.

Ce processus implique directement des conséquences sur le plan politique puisqu'un peuple ignare est bien plus réceptif aux niaiseries de la gauche. Ces journalistes pratiquent donc non seulement une manipulation vis-à-vis des leurs mais encore militent pour l'idéologie de gauche sous couvert de "combat contre la haine". Les victimes allemandes n'ont aucune importance pour eux.

Ce sont ces mêmes médias qui osent parler de "fake news" et dispenser leurs leçons de morale par la suite.

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L'Association des journalistes allemands rejette la proposition du ministre de l'Intégration de Joachim Stamp (FDP), qui consiste à toujours mentionner l'origine des suspects et des délinquants dans les rapports criminels.

La mention de l'origine ethnique des suspects et des délinquants dans les médias doit rester l'exception et ne doit pas devenir la règle. Sinon, le journalisme pliera face aux propagateurs de la haine et du racisme sur les réseaux sociaux, a déclaré Frank Überall, président de l'Association allemande des journalistes (DJV) [...]

Depuis les agressions sexuelles massives perpétrées par des Nords-Africains contre des femmes la veille du Nouvel An à Cologne en 2015/16, on a l'impression que les médias ne présentent pas correctement certaines choses. A l'époque, la police et la presse étaient restées silencieuses pendant plusieurs jours sur l'ampleur réelle de la violence pour des raisons de "politiquement correct".

[...]

Le ministre de l'Intégration de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Joachim Stamp (FDP), avait déjà suggéré la mention systématique de l'origine des auteurs présumés dans les rapports de presse. Lorsqu'aucune origine n'est mentionnée, les internautes spéculent rapidement dans les commentaires qu'il s'agit d'une personne issue de l'immigration.

[..]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Faz.netCompact-online.de

 

Christophe Passer, journaliste, sur Tariq Ramadan: “Nous étions nombreux à avoir tort par conformisme, crainte d’être taxés d’islamophobie…”

Ce journaliste évite soigneusement de citer Les Observateurs alors que nous avons dénoncé inlassablement l'islamologue, Monsieur Windisch étant même ciblé directement par un message de Tariq Ramadan sur les réseaux sociaux.

Sur ce sujet également, les journalistes devront faire un jour leur mea culpa. Car sans les journalistes, Tariq Ramadan n'aurait jamais bénéficié d'une telle visibilité. Et ils le savent pertinemment.

A noter enfin que Christophe Passer a travaillé en tant que chroniqueur au journal de gauche l'Hebdo et qu'il forme... d'autres journalistes. Cela laisse rêveur.

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Aujourd'hui je m'interroge. Car, non, il ne s'agit plus de faire "la part des choses" entre sa pensée et les accusations de viols s'accumulant, ou sa façon, semble-t-il compulsive, de pratiquer l'adultère et l'emprise au mépris de ce qu'il professait.

Tariq Ramadan, "citoyen suisse, islamologue et philosophe de renommée mondiale", comme l'écrivait avec admiration l'an dernier dans une tribune Sandrine Ruiz (qui vient d'être nommée à la tête de l'Union vaudoise des associations musulmanes), était dans la duplicité totale.

 

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Depuis cette nomination, on ne lui pose guère de questions sur ce qu'elle pense de Tariq aujourd'hui.

Or il nous trompait, nous aussi. Eric Zemmour avait raison. Caroline Fourest avait raison. Jacques Neirynck ou Edwy Plenel avaient architort.

Et nous étions nombreux à avoir tort, par conformisme médiatique, crainte d'être taxés d'islamopophobie, ou peur d'être d'accord pour une fois avec Zemmour ou Fourest.

Son air méchant, son mépris des femmes, dès notre première rencontre: j'aurai dû écouter d'entrée ce ressenti, comme on dit aujourd'hui. J'ai eu tort.

Christophe Passer, journaliste au Matin

 

Rappels:

Alexandre Del Valle: « Tariq Ramadan a pu prêcher pendant 30 ans car la gauche a cassé une note de la DST ! »

Lorsque le PDC Jacques Neirynck soutenait Tariq Ramadan mais traitait les électeurs de l’UDC d’imbéciles.

Tariq Ramadan: Une première plainte pour viol et séquestration a été déposée en Suisse. « J’ai passé une nuit d’horreur. » déclare la Suissesse.

 

 

Nos remerciements à Yvan Perrin

 

 

Attentat de Carcassonne: Le journaliste tessinois menacé par des “jeunes” ne pense pas que les hommes voulaient faire du mal.

Nous parlions déjà de cette affaire ici.

Quant à l'appréciation de ce journaliste, malgré tous les faits de violences inhérents à ces ethnies, ces communautés sont encore et toujours victimisées par ceux-là même qui devraient nous informer. N'espérez donc aucune information objective avec eux.

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Divers enquêteurs, dont des employés de la télévision tessinoise RSI, ont été attaqués samedi à Carcassone, plus précisément là où vivait Radouane Lakdim, l'auteur des attaques meurtrières dans l'Aude.

Malgré tout ce qui s'est passé, le journaliste tessinois ne pense pas que les hommes voulaient leur faire du mal. Il pointe plutôt le problème des cités et plus précisément le «malaise» qu'il a ressenti dans ce quartier de Carcassone. «C'est un quartier vraiment bizarre. D'un côté, il y a des immeubles et maisons de classe moyenne. Et d'un autre, on trouve des HLM.» Davide Mattei rappelle que ce type d'immeubles abritent de nombreuses personnes défavorisées, en marge de la société. «Il y a un vrai problème en France à ce niveau-là.» Dans ce cas précis, le journaliste pense que les jeunes étaient simplement fâchés de voir des caméras dans leur immeuble. «Voilà pourquoi il est important de garder son calme et de parler avec les gens.»
(...)
Source et article complet

Suisse: La Commission fédérale voudrait financer le journalisme avec l’argent public.

Christian Hofer: Les contribuables seraient donc obligés de payer un média même s'il va à l'encontre de leurs idées!

Il n'y a aujourd'hui aucun média de droite en Suisse Romande. Notre administration tente encore une fois de subventionner de manière obligatoire une propagande dont les Suisses n'auraient aucune maitrise. Ce n'est ni plus ni moins qu'un système digne d'un pays totalitaire, les journalistes étant ainsi assurés de recevoir un salaire tout en ayant le loisir d'imposer leur idéologie. Il est bien clair que les sites de réinformation n'existent tout simplement pour notre administration.

Serait-ce une manipulation pour obliger les Suisses à payer des journaux de gauche dont ils ne veulent plus, comme l'a été l'Hebdo?

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La commission fédérale des médias imagine un «kiosque électronique» payé par les impôts et les ménages pour financer le journalisme du futur.

Celle-ci serait d'un côté financée par les fournisseurs et les utilisateurs. Mais elle pourrait aussi recevoir une contribution publique, par le biais d'une redevance.

Les fournisseurs proposant des contenus jugés pertinents pour le fonctionnement de notre société et de notre démocratie pourraient toucher une partie de cette redevance, poursuit le président de la COFEM.

Source et article complet

 

 

Rediffusion et MàJ 5.4.2017 : Journaliste ou diffamateur obsessionnel ? “Suisse : Pourquoi le journaliste Grégoire Barbey rêve de devenir musulman”

Le même journaliste (photo ci-dessus) Grégoire Barbey s'en prend maintenant à  l'homme politique Yvan Perrin de manière odieuse et scandaleuse et diffame par la même occasion notre site LesObservateurs.ch qu'il ne cite pas nommément- par lâcheté?- en nous désignant comme "site notoirement raciste et xénophobe". Nous ne sommes en rien raciste, cela fait des années que nous luttons contre ce phénomène, et le racisme étant condamnable nous allons dorénavant systématiquement faire appel à la justice et exiger de très importants dommages et intérêts car la volonté de nuire à notre site est ici encore plus évidente.

Le plus simple aurait été d'ignorer ce journaliste accusé publiquement de faits d'une gravité extrême  dont il a dû répondre. Pour rappel : le détail de ces accusations figure dans l'article complet repris ci-dessous, en juin 2015,  et publié en premier par un autre site à l'occasion d'une attaque tout aussi scandaleuse et indigne de sa part contre une autre journaliste.

Pour son professionnalisme ne manquez surtout pas la vidéo (seulement 2') de l'une de ses interventions télévisuelles. Ce n'est pas un montage!

Extraits de l'article de juin 2015 repris en totalité ci-dessous:

"Ce pauvre garçon a dû répondre d’accusations graves, comme voies de fait qualifiées, injures, menaces, contraintes sexuelles et viol. Concrètement, la plaignante, son ancienne compagne, affirme que «Il m’empêchait de voire ma famille, de sortir; m’enfermait, me contrôlait; menaçait de me faire du mal ou de se suicider. Il tapait contre les murs et cassait la vaisselle lors de crises de plus en plus rapprochées. Il pouvait aussi se rouler par terre»....

..."La compagne continue de décrire son calvaire : «J’ai été obligée de déménager. Il me traitait de salope, de conne. Il exigeait des relations sexuelles et des fellations malgré mes refus», a-t-elle expliqué lors de l’enquête. Elle finissait par plier, par peur des représailles. Puis serait venue la violence physique: gifles et coups. Cette femme contrôlée comme au Moyen Âge vivait dans la «terreur»...

Voici son texte relative à la diffamation d'Yvan Perrin et de notre site Lesobservateurs.ch paru dans la Tribune de Genève, le 4.avril 2017, qui lui offre un blog :

Yvan Perrin, le glas de l’amertume

4 avril 2017  Grégoire Barbey  Politique locale

Défaite historique de l’UDC dans le canton de Neuchâtel ce dimanche 2 avril 2017. La section cantonale a perdu onze sièges sur les vingt qu’elle possédait au sein du Grand Conseil. Une députation qui soudain se réduit de moitié, et un président de parti qui se liquéfie littéralement, affirmant ne pas comprendre les raisons d’un si cuisant échec. Et pourtant, Yvan Perrin ne manque pas d’éléments pour expliquer ce désaveu cinglant de sa stratégie et de sa politique.

Yvan Perrin est, sur le plan humain, une personnalité courageuse. Atteint dans sa santé psychique, il démissionne en 2014 du Conseil d’Etat, où il avait obtenu un siège historique. Il ne s’en est jamais caché, et cela l’honore, car les maladies psychiques, dont la dépression, sont souvent considérées comme honteuses par ceux qui en sont victimes. Bref, Yvan Perrin a traversé le désert comme cela peut arriver à tout un chacun, et est revenu sous les feux des projecteurs l’an dernier, reprenant les rênes d’une section neuchâteloise bien mal en point.

Malheureusement, Yvan Perrin a signé son retour avec un certain esprit de revanche. Son discours, déjà franchement marqué très à droite à l’époque, s’est largement radicalisé. Pour preuve, les nombreux articles qu’il a publiés sur un site notoirement raciste et xénophobe ces derniers mois. Des mots très durs à l’endroit de ses adversaires politiques, une posture rigide, une attitude qui trahissait bien souvent une grande amertume ont transformé l’image d’un homme autrefois touchant par son humanité en un idéologue d’extrême droite infréquentable.

Les flots d’une haine mal contenue se sont déversés pendant plusieurs mois sur les réseaux sociaux, dans la presse et plus largement sur internet. Yvan Perrin s’est particulièrement illustré fin janvier à l’annonce de la fermeture du magazine romandL’Hebdo en se réjouissant de ce sort funeste. Et il n’a pas caché sa fierté de n’avoir pour ce journal et les gens qui le composaient que du mépris et de l’intolérance. Le président de l’UDC neuchâteloise a imprimé sa marque sur sa section, allant jusqu’à déposer récemment une initiative au titre malheureux «Les nôtres avant les autres» pour lutter contre l’afflux de frontaliers venant travailler dans le canton.

L’aventure politique d’Yvan Perrin trouve dans cette défaite historique une fin tragique. C’est la triste illustration que l’esprit de revanche est rédhibitoire. Cet homme qui avait su trouver les mots justes et touchants pour décrire son propre malheur se tait désormais, sans doute de peur de devoir exprimer la réalité: son retour en politique n’aura été que de courte durée.

Grégoire Barbey

 

Ci-dessous : L'article publié en premier sur Riposte laïque et repris sur notre  site Lesobservateurs.ch en juin 2015 dans lequel ce même individu, Grégoire Barbey, s'en prenait à une autre journaliste, M. Vallette :

Ci-dessus, Grégoire Barbey

Notre amie Mireille Vallette nous informait, hier, de la création de l’Association Suisse Vigilance Islam, dont elle est la présidente. Elle nous apprenait surtout que, dans les heures qui ont suivi l’annonce de la naissance de l’ASVI, les réseaux sociaux s’étaient quelque peu enflammés.

http://ripostelaique.com/suisse-journaliste-gregoire-barbey-veut-interdire-vigilance-islam.html

Un jeune journaliste, Grégoire Barbey, avait même pris la tête de la croisade, réclamant ni plus ni moins l’interdiction politique d’une telle association, ce qui, dans un pays comme la Suisse, étonne quelque peu. Le bougre n’y allait pas avec le dos de la cuillère, parlant ni plus ni moins, au sujet de la création de l’association présidée par Mireille Vallette, « d’un geste terrifiant qui pousse au génocide ». Et ce grand « Je suis Charlie » ne pouvait que conclure : « La création de cette association doit susciter une réponse politique immédiate et ferme. D’autant qu’elle « se révèle probablement anticonstitutionnelle ».

Comme quoi on peut se dire libéral en économie, comme Barbey, et se comporter en parfait stalinien liberticide dans la vie de tous les jours.

http://www.hebdo.ch/les-blogs/barbey-grégoire-irrévérences/vigilance-islam-une-association-inacceptable

L’homme, dont il se dit qu’il aurait un parcours journalistique atypique, n’ayant pas fait les écoles traditionnelles de ce si beau métier, paraît avoir ses entrées sur les plateaux de télévision, même si son élocution, dans cette interview, laisse à désirer.

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Nous sommes habitués à tous ces bobos du système qui, à la moindre critique contre la religion d’amour, de tolérance et de paix, gémissent, la main sur le cœur : « Touche pas à mon islam ». Mais, concernant Grégoire Barbey, nous avons compris autre chose : cet homme rêve de devenir musulman. Les preuves ? Le malheureux a été traîné devant les tribunaux, dans son pays la Suisse, pour des faits qui, en terre d’islam, n’auraient jamais provoqué la moindre réaction judiciaire. Certes, il n’a pas encore été condamné, et la présomption d’innocence nous impose la prudence, sans toutefois cacher la réalité des faits qui ont été rendus publics par le tribunal de Lausanne, en janvier dernier.

http://www.sept.info/club/la-face-cachee-dun-journaliste/

Ce pauvre garçon a dû répondre d’accusations graves, comme voies de fait qualifiées, injures, menaces, contraintes sexuelles et viol. Concrètement, la plaignante, son ancienne compagne, affirme que «Il m’empêchait de voire ma famille, de sortir; m’enfermait, me contrôlait; menaçait de me faire du mal ou de se suicider. Il tapait contre les murs et cassait la vaisselle lors de crises de plus en plus rapprochées. Il pouvait aussi se rouler par terre».

Faut-il rappeler qu’en terre d’islam, une femme ne peut sortir dans la rue que si elle est accompagnée du mari ou d’un membre masculin de la famille du conjoint. Mais inutile de se rouler par terre, Grégoire, une bonne dérouillée, et on n’en parle plus…

La compagne continue de décrire son calvaire : «J’ai été obligée de déménager. Il me traitait de salope, de conne. Il exigeait des relations sexuelles et des fellations malgré mes refus», a-t-elle expliqué lors de l’enquête. Elle finissait par plier, par peur des représailles. Puis serait venue la violence physique: gifles et coups. Cette femme contrôlée comme au Moyen Âge vivait dans la «terreur».

Alors là c’est le comble. Une femme qui refuse de se soumettre à son mari, en terre d’islam, c’est au mieux la répudiation (même si elle se soumet, d’ailleurs), au pire la mort. Donc, le généreux Grégoire n’a pas été trop méchant, se contentant de la frapper.

« Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les » (verset 34 de la sourate 4).

La suite est au diapason. Il l’aurait avertie qu’il allait s’immoler et qu’elle brûlerait avec lui. « Dix mois d’enfer donc avant que la situation, déjà fortement compromise puisqu’elle voulait le quitter malgré ses craintes, a encore plus dérapé le 30 janvier 2013 lorsque la femme rentre tardivement chez elle. Furieux, il la laisse d’abord devant la porte de leur logement, l’insulte, l’empoigne tout en pointant un couteau avec une lame de 30 centimètres en proférant des menaces de mort. Il veut ensuite se suicider avec l’arme blanche ou enjamber le balcon (2ème étage) ».

Là il déconne, Grégoire. S’immoler par le feu parce que sa meuf n’est pas soumise ? Il faut qu’il s’endurcisse, en terre d’islam, on brûle les femmes infidèles, ou irrespectueuses et désobéissante, mais on continue à vivre, on ne crame pas avec ! Par contre, le couteau de 30 centimètres sur la gorge, très bien, il a des dispositions prometteuses, le bougre !

« Les hommes ont autorité sur les femmes, en vertu de la préférence que Dieu leur a accordé sur elles, et à cause des dépenses qu’il font pour assurer leur entretien ». (verset 38 sourate 4).

En plus, il se défend bien, le Grégoire ! «Une vision unilatérale des choses. Je n’ai jamais cassé du matériel, levé la main sur elle. Je ne l’ai pas empêché de voir des amis ou sa famille. On en discutait avant. Je n’ai jamais abusé d’elle. Il n’y a pas eu de chantage au suicide».

Le juge lui montre tout de même qu’il envoyait jusqu’à 15 sms en 15 minutes, avec menaces et insultes, mais il persiste dans un superbe numéro de takkya, et nie l’ensemble. Excellent, Grégoire, ne jamais avouer, toujours mentir et se dire victime…

Les paroles d’un musulman malhonnête ont plus de valeur que celles d’un dhimmi honnête (Sarakhsi, juriste hanafiste mort en 1090).

On résume donc. Voilà un malheureux qui cogne sa compagne, l’insulte, la viole, lui fait subir des fellations, la menace avec un couteau sous la gorge et l’empêche de sortir de chez elle, et qui, même avec des preuves accablantes sous le nez, nie tout. Mais c’est un parfait musulman, et tout cela est permis dans le Coran par des sourates et hadiths opportunes. Et ce petit génie de journaliste, qui, à 24 ans, passe sur les plateaux de télévision, se voit traîné devant les tribunaux comme un malfrat !

Les femmes sont pour vous un labour. Allez à votre labour à votre guise, et travaillez d’avance pour votre salut (sourate 2, verset 223).

On comprend mieux sa réaction sanguine, à la création de l’ASVI, pour deux raisons. Mireille est d’abord féministe, ce que ne doit pas trop aimer ce jeune homme. Et surtout, en attaquant l’islam, elle sape les fondements d’un texte-alibi qui autorise tous les comportements barbares avec les femmes, d’abord de les voiler, avant de les violer. Donc, sus à Mireille, sus à l’ASVI, il faut que le gouvernement interdise une association qui, en attaquant l’islam, pourrait blesser les musulmans… et les lèche-babouches européens fascinés par la barbarie islamique qui cautionne leurs plus bas instincts.

Finalement, il ne reste plus qu’une chose à faire, pour le valeureux Grégoire Barbey : se convertir à l’islam, jouir des avantages du Coran, et devenir un chef musulman en Suisse. Seul problème, le créneau est déjà pris, avec l’inimitable converti Blancho, qui, lui, défend la lapidation.

Naissance d’un mythe suisse : le converti Nicolas Blancho, l’islamiste qui monte

Mais finalement, un tandem Blancho-Barbey sur les plateaux de télévision, cela pourrait avoir de l’allure, surtout s’il y a Oskar Freysinger et Mireille Vallette en face…

Hans Sutter, collaborateur à Riposte Laïque

Article paru en premier sur Riposte Laïque

Juin 2015

“Attendez-vous à des menaces physiques” : Reuters demande aux journalistes d’agir aux Etats-Unis comme dans un régime autoritaire

Le rédacteur en chef de Reuters a adressé un message à tous les reporters de l’agence de presse pour leur demander de se préparer aux difficultés posées par la couverture de l’actualité sous la présidence de Donald Trump, comparant son régime à ceux de pays autocratiques comme la Chine, la Russie ou la Turquie.

Dans sa note interne, Steve Adler, le rédacteur en chef de Reuters,  écrit la chose suivante à l’adresse de ses équipes :

« Ce n’est pas tous les jours qu’un président américain qualifie les journalistes de compter parmi "les humains les plus malhonnêtes de la Terre", ou que son stratégiste en chef surnomme les médias +le parti de l’opposition+.

Il n’est donc pas surprenant que tout le monde se pose des questions et se demande comment couvrir la nouvelle administration ».

Attendez-vous à des menaces physiques

Il leur a expliqué qu’ils devaient se fonder sur leur expérience de terrain des conditions de travail dans des pays dans lesquels ils sont parfois confrontés « à une combinaison de censure, de refus de visa, de mise en cause judiciaire, et même de menaces physiques », pour rapporter les faits concernant l’administration Trump.

Il  a aussi donné des exemples de ces nations : la Turquie,  les Philippines, l’Egypte, l’Irak, le Yémen, la Thaïlande, la Chine, le Zimbabwe et la Russie.

Les journalistes ont également été invités à opérer clandestinement, sans se soucier des autorisations d’accès :

« Elles n’ont pas tant de valeur, de toute façon. Notre couverture de l’Iran a été exceptionnelle, et nous n’avons virtuellement aucun accès officiel. Ce que nous avons, ce sont des sources ».

Adler a également recommandé aux journalistes de ne pas « se laisser intimider par le gouvernement », et de ne pas révéler leur opinion :

« Dans d’innombrables pays, nous gardons notre avis pour nous, ce qui nous permet de rapporter ce qui se passe sans que l’on puisse nous suspecter de parti-pris. Nous devons faire la même chose aux Etats-Unis »

« Il s’agit d’une opportunité pour nous d’utiliser les compétences que nous  avons apprises dans des endroits bien plus durs de la planète et de donner l’exemple », conclut-il.

Source

Le Temps pleurniche sur Trump: “La guerre contre les médias est déclarée”

Après une semaine de présidence Trump, une constante se dégage: la haine des médias

Source

Le journaliste du Temps n'est visiblement pas au courant que ces méthodes journalistiques faisandées sont éventées depuis longtemps.

On rappelle que sur 200 médias américains, 194 avaient soutenu Hillary ClintonLe président américain a été dénigré par ces médias pro Clinton sans que cela ne gêne ces "grands justiciers" du Temps. Il y a les bien-pensants qui peuvent légitimer leur haine jusqu'à la présenter en vertu, et il y a les gens de droite, pour qui rien ne sera excusé.

Le Temps pense naïvement que les journalistes peuvent imposer leur propagande ad nauseam sans jamais devoir rendre des comptes. C'est dire à quel point ces journalistes s'estiment au-dessus du commun des mortels. Le sort de l'Hebdo aurait dû en réveiller quelque uns. Ce n'est visiblement pas le cas.

Bien évidemment, pour se dédouaner de toute responsabilité, il convient d'utiliser le vocabulaire d'extrême gauche, le journaliste clamant que "la haine" en est la constante. Or, on sait à quel point le système s'est fait une joie de vomir jour après jour sur ce candidat à la présidentielle tout en passant sous silence les exactions de Clinton. Prétendre à présent que la réaction de Donald Trump est synonyme de haine alors que le Temps lui-même n'a pas hésité à publier chaque semaine ses articles nauséabonds relève de la pure hypocrisie.

Christianophobie: Comment les médias minimisent et nient la responsabilité de l’islam

Je vous ai signalé hier, grâce à une information transmise par une lectrice, la profanation musulmane contre une église orthodoxe en Crète. Une recherche matinale sur la “toile” me confirme que notre Observatoire a été le premier média en ligne à la signaler. Si notre information a été reprise par une pincée de blogues, aucun support de la große presse n’a daigné y consacrer ne serait-ce qu’un écho…

Cette même große presse a traité jusqu’à plus soif de la « profanation » de la grande mosquée de Perpignan. En fait une croix gammée et un tag peints sur un mur extérieur de l’enceinte de ce lieu de culte – et non pas sur ce lieu de culte lui-même –, inscriptions qui, curieusement reprennent en partie celles déjà apposées sur ce même mur d’enceinte en janvier de cette année : croix gammée (tracée dans le bon sens) et le mot « DEHORS »… Nous verrons bien ce que nous en diront les résultats de l’enquête de police, si ils sont communiqués…

Dans un cas, rien dans la große presse ; dans l’autre, abondance de signalements. C’est assez frustrant, mais ce n’est pas surprenant. Une autre lectrice, que je remercie, m’a signalé hier un excellent papier paru le 13 décembre dernier dans le nom moins excellent Observatoire des journalistes et de l’information médiatique (OJIM). Quelle relation entre ces deux articles me direz-vous ? Pour le savoir, je vous invite à lire le papier de l’OJIM : vous devriez y trouver une réponse à ce deux poids, deux mesures qui traduit souvent, en fait, un déni de réalité.

Le sociologue canadien Mathieu Bock-Côté signait en juillet de cette année, peu de temps après l’attentat de Nice, une tribune dans le Figaro, dans laquelle il dénonçait le fait qu’une « bonne partie du système médiatique active le logiciel du déni d’islamisme après chaque attentat ».

Il expliquait que d’autres pistes que le fanatisme religieux sont souvent mises en avant comme une excuse ou comme un paravent par le « système médiatique » : la piste psychiatrique, la piste de l’exclusion sociale, la théorie de la guerre révolutionnaire.

La moindre importance donnée aux motivations religieuses des auteurs des attentats concerne aussi certains intellectuels français, comme l’a démontré Eugénie Bastié dans un article intitulé « comment les islamistes ont fracturé la vie intellectuelle ». Le journaliste Brice Couturier de son côté relatait lors d’un colloque à l’Assemblée nationale le 5 novembre dernier quelques exemples de ce déni de certains médias dans une intervention intitulée « Les médias malades de la bien-pensance ». Il cite ainsi un de ses collègues d’une radio publique qui y lit son billet chaque jour, et qui s’est vu refuser l’emploi du terme « islamiste » par l’animatrice de l’émission qu’il préparait, le mot « intégriste » semblant plus politiquement correct.

La piste psychiatrique a été largement développée par les médias, puisque maintenant nous n’ignorons rien des orientations sexuelles, apparemment contrariées, des auteurs des attentats de Nice et d’Orlando. Il suffit de faire une requête sur un moteur de recherche pour accéder aux informations dispensées sur ce sujet par de nombreux journaux et chaines de radios et de télévision.

Ainsi, le 19 juillet, une journaliste du site Slate s’interroge : « Pourquoi la sexualité de l’auteur de l’attentat de Nice n’est pas anodine ». Le même jour, BFMTV consacre un reportage à l’ « Attentat à Nice : la personnalité trouble de Mohamed Lahouaiej Bouhlel  ». Après avoir certes indiqué la soudaine radicalisation du terroriste, le premier chapeau de l’article mentionne cependant « une sexualité débridée ». Le 18 juillet, le site Atlanticoconsacre un article à l’ « Attentat de Nice : la sexualité hors norme de Mohamed Lahouaiej-Bouhlel ». On pourrait multiplier les exemples.

La piste de l’exclusion sociale a quant à elle été souvent mise en avant dans les médias au travers notamment du récit de vie des frères Kouachi. Le site Reporterre enquête le 15 janvier 2015 sur « L’enfance misérable des frères Kouachi ». Un reportage qui semble avoir été coréalisé par Reporterre et Arrêts sur image, et repris par L’Obs. Un thème proche a été traité par Arrêts sur image dans une vidéo mise en ligne le 18 janvier 2016 intitulée « L’insurrection, si elle était là ? ».

Source : OJIM, 13 décembre Via Christianophobie.fr

Trump a convoqué les journalistes pour leur passer un MÉGA savon

Trump a convoqué une trentaine de journalistes. Toutes les stars et les directeurs des grands médias se sont faits secouer un coup par le nouveau président. La rencontre était censée rester off, c’est à dire confidentielle. Mais le New York Post a sorti quelques infos.

Une personne présente rapporte ainsi :

C’était un putain de peloton d’exécution. (…) Trump a commencé avec Jeff Zucker et a dit « je déteste votre chaine, vous êtes tous des menteurs à CNN et vous devriez avoir honte.

Les présentateurs et dirigeants pensaient qu’ils auraient droit à un briefing sur la façon de travailler avec Trump, donc ils ont été plutôt médusés.

Une deuxième source a confirmé ces informations :

La réunion a eu lieu dans une salle de conseil d’administration où il y avait 30 à 40 personnes, incluant les grands présentateurs de toutes les chaines.

Trump aurait martelé :

Nous sommes dans une salle de menteurs, les médias trompeurs et malhonnêtes qui n’ont rien compris. (…)

Trump a insisté sur CNN, en les traitant de menteurs de façon répétée.

Cette façon de remettre la presse en place a quelque chose de jouissif, le FN devrait s’en inspirer.

Source: L'insoumis

Source américaine: New York Post

Trump : Un journaliste respecté dénonce ses confrères et leur bien-pensance

Henri Charpentier, unanimement respecté comme un grand journaliste dans la profession, s’adresse à Patrick Cohen et Radio France pour critiquer la partialité de ses confrères dans le traitement de l’élection américaine, dans une lettre ouverte.

« Cher confrère,

Je soutiens totalement le journal “Causeur” qui décrit l’exacte vérité sur les dérives de notre radio nationale.

La victoire de Donald Trump, que vous le vouliez ou non, c’est aussi la vôtre car il n’y a aucun doute, à force de “taper” dessus comme tous les confrères bien-pensants de gauche, vous avez fait son bonheur et du même coup le malheur de votre idole Hillary Clinton dont vous avez fait en permanence la campagne.

Désormais, comment voulez-vous être crédibles et même audibles, après une telle gamelle ? Alors pour détourner l’attention, vous dédouaner de vos fautes et erreurs professionnelles répétées, en compagnie de vos invités triés sur le volet pour éreinter le camp républicain, vous accusez maintenant les sondages qui ne vous ont pas permis de prédire cette “surprenante” victoire, selon vous bien sûr. De toute façon, il n’y avait qu’à vous écouter, le succès des Républicains n’était pas possible tant Hillary Clinton, si merveilleuse et si admirable à tous points de vue, était déjà installée, selon vos voeux clairement exprimées, dans le bureau ovale de la Maison Blanche, comme si l’élection n’avait pas lieu d’être et était inutile !!!

Dommage pour vous, l’ouragan Trump est passé par là et a soufflé violemment sur vos belles illusions : 306 grands électeurs en sa faveur contre 232 à Madame Clinton, soit 30 états pour le vainqueur contre 20 seulement à son adversaire malheureuse. Cet échec retentissant, que vous le vouliez ou non, c’est aussi le vôtre.

Une question primordiale se pose aujourd’hui : fait-on du journalisme d’après les sondages ? Non, il suffisait d’aller au coeur de l’Amérique profonde pour deviner que Trump allait l’emporter.

J’ai assez de famille et amis à New York, Denver, Los Angeles, Las Vegas et même à Anchorage pour “sentir” le frémissement d’une importante colère populaire. Vous n’avez rien vu venir car vous avez fait du “journalisme de salon” avec autour de vous, pour pérorer, des intellectuels ou des spécialistes, pratiquement tous inconditionnels partisans de Madame Clinton.

L’information à sens unique vous savez très bien faire… mais parfois, “trop c’est trop” et il ne faut pas prendre les auditeurs et téléspectateurs pour des imbéciles car eux, ils sont quotidiennement en phase avec les réalités économiques et sociales de la vie.

Aujourd’hui, les plus grands journaux américains s’excusent publiquement d’avoir mal fait leur travail. Ils ont le sens de l’honneur.

Mais vous, à France Inter qu’allez-vous faire ou dire à vos auditeurs après un tel fiasco de la part de la rédaction que vous représentez cher ami ? Rien, puisque vous avez toujours raison et que vous détenez la vérité à longueur d’années.

Il y a peu de temps je vous écrivais pour vous dire que vous ne respectiez même pas la plus élémentaire éthique professionnelle. Et vous ne m’avez même pas répondu car bien sûr je ne suis plus rien à vos yeux. Vous oubliez simplement que notre génération de journalistes professionnels a appris que la base du métier ce sont en priorité “les faits, rien que les faits et toujours les faits”. (…)

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La France remet un prix de journalisme à un soutien d’Al-Qaïda

Le reporters syrien primé, Hadi Abdullah, un proche du terroriste Shaykh Abdullah al-Muhaisany, a remporté le 6 novembre le Prix  Reporters sans frontières (RSF) de 2016

Al-Muhaysini, un clerc saoudien qui vient d’être désigné comme cible est le principal idéologue de al-Nusra en Syrie. Certains le considèrent comme le nouveau Osama Bin-Laden. On le voit sur l’image, à gauche, bras dessus bras dessous avec le chef d’Al-Qaeda en Syrie, le propagandiste et « journaliste » Hadi Abdullah.

Le reporters syrien Hadi Abdullah avec le chef terroriste Shaykh Abdullah al-Muhaisany

Le reporters syrien Hadi Abdullah avec le chef terroriste Shaykh Abdullah al-Muhaisany

 

Hadi Abdullah, ami du terroriste ciblé d’al-Qaïda nommé Muhaysini, vient de recevoir le prix Reporters sans frontières de 2016, une ONG financée par la fondation Soros. Est-ce que cela signifie que Hadi Abdullah est lui-même un homme de la CIA? Il ne serait pas le premier « journaliste » à l’être en Syrie.

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France: En plein JT, Jean-Pierre Pernaut se lâche sur les migrants qui prennent les places des SDF !

« Plus de places pour les sans-abri »

Entre un reportage sur les maraudes de la Croix Rouge et un autre sur l’ouverture d’un centre de réfugiés à La Chapelle à Paris, le présentateur du JT de 13 heures de TF1 en est allé de son petit commentaire. « Voilà, plus de place pour les sans-abri mais en même temps les centres pour migrants continuent à ouvrir partout en France. Ouverture aujourd’hui d’un centre humanitaire pour héberger 400 hommes porte de la Chapelle à Paris, la mairie prévoit 50 à 80 arrivées par jour. Centre très provisoire pour les héberger quelques jours avant de les orienter ailleurs ! », a-t-il déclaré.

Ce n’est pas la première fois que Jean-Pierre Pernaut fait part de ses opinions. En 2015, il avait notamment fustigé l’Etat français et son attitude vis-à-vis du roi d’Arabie Saoudite.

 

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Les journalistes bien-pensants pleurnichent: “Personne n’avait vu venir Trump, absolument tout le monde s’est trompé”

Sauf la droite patriote qui y croyait encore et toujours, malgré la gigantesque propagande que nous subissions de la part des médias.

Visiblement la désinformation et les mécanismes de manipulation qu'ils pensaient inébranlables prennent l'eau et la réalité leur est insupportable.

Bien entendu, la remise en question est tout simplement impossible pour eux. Vous ne les verrez jamais avoir un quelconque sentiment de culpabilité.

Enfin, on constate que pour cette élite autoproclamée, "le monde" s'arrête à leur corporation élitiste. On comprend mieux l'immense mépris dont ils font preuve envers le peuple.

Mes remerciements à Λlex Λ.

 

sinclair

 

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Rappel: Lorsque le médiateur de Tamedia imposait sa propagande anti-Trump

Suisse: Un journaliste de «20 Minuten» condamné pour diffamation

Un journaliste du journal gratuit alémanique 20 Minuten a été reconnu coupable de diffamation envers un groupe de rock. Le rédacteur a été condamné lundi à une peine pécuniaire avec sursis de 30 jours-amende à 180 francs.

Dans un article daté du 15 décembre 2015, le journaliste avait écrit que les t-shirts du groupe rock de Haute-Adige (I) Frei.Wild seraient volontiers portés par des personnes d'opinion politique d'extrême droite. Il avait aussi comparé ce groupe avec des formations reconnues d'extrême droite comme Landser et Screwdriver.

Source et article complet

Suède: Des journalistes agressés par des migrants en plein jour et en pleine ville (Vidéo à voir absolument)

Christian Hofer: Des journalistes sont attaqués dans l'une des 55 no-go zones du pays où réside essentiellement la communauté somalienne, dont la religion largement majoritaire est l'islam. On perçoit très bien la valeur réelle de cet enrichissement pour laquelle les Suédois ont déroulé le tapis et déboursé tant d'argent: aucune reconnaissance, un mépris hallucinant, une violence instinctive et immédiate. Qui peut croire un seul instant que ces gens vont respecter l'Europe, nos us et coutumes?

Les journalistes essaient lamentablement de discuter et d'apaiser la situation pendant que ces Africains leur donnent des coups: Tous les peuples ne se valent pas, tous les peuples ne veulent pas la paix, tous les peuples ne préfèrent pas la discussion à la violence. Ici nous sommes dans une stratégie de la loi du plus fort et le Suédois ne comprend strictement rien à ce qui se passe, tétanisé par la bien-pensance. Tous ses repaires politiquement corrects volent en éclat. Et pire, c'est une personne handicapée qui vient à leur secours, la population préférant jouer à l'aveugle face à l'agression. C'est aussi cela une conséquence de nos sociétés visant la destruction du patriotisme, le déni de nos racines, la relativisation de nos traditions. Il n'y a plus aucune fierté à se défendre face à un agresseur africain puisqu'il est aussi légitime en Suède que n'importe quel Suédois selon la doxa de gauche.

Cela devient tellement banal que l'Européen s'y habitue désormais, Et c'est cela le pire: le renoncement de notre bien-être, de notre sécurité via une détérioration de nos conditions de vie graduelle, nos gouvernements nous interdisant toute réaction de protection, de fierté, de patriotisme.

 

 

https://youtu.be/gxuNALU5qEc

Jean-Paul Ney, le journaliste condamné pour avoir divulgué l’identité des Kouachi brûle son passeport en direct

"Je vais montrer à la justice et au gouvernement français que je ne suis plus Français"

JUSTICE - Le journaliste très controversé Jean-Paul Ney n'a pas apprécié de se faire condamner par le tribunal correctionnel de Paris pour avoir diffusé le 7 janvier 2015 l'identité des frères Kouachi après l'attentat contre Charlie Hebdo.

Peu après le verdict, ce mercredi 12 octobre, il a brûlé son passeport français dans une vidéo - en direct - sur l'application Périscope, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous.

Déclarés coupables de "recel de violation du secret de l'enquête." Jean-Paul Ney et Pierre Martinet, un ancien de la DGSE, avaient publié sur les réseaux sociaux les éléments d'identification des frères Kouachifigurant dans un dossier interne à la police, ainsi qu'une fiche concernant Chérif Kouachi.

Dans la soirée du 7 janvier 2015, Jean-Paul Ney avait notamment tweeté un cliché de la carte d'identité de Saïd Kouachi, en écrivant: "On vous tient enfants de putain". Le procureur de la République à Paris, François Molins, avait déploré ces fuites, qui avaient ruiné "tout espoir de surprise" dans la traque des frères Kouachi.

Avant de brûler son passeport en direct, celui qui a fait sa vie en exil, avait publié un tweet dans lequel il déplorait la décision de justice.

jean-paul

Source

France. Seine-Saint-Denis: Lorsqu’un journaliste est agressé par la racaille immigrée. (Vidéo)

Christian Hofer: La même racaille qui a été surprotégée par ces journalistes bien-pensants au nom du multiculturalisme et du vivre-ensemble.

Il est vrai que cela est beaucoup moins enrichissant lorsqu'on est vraiment confronté à la racaille que l'on protège. Le choc entre la réalité et l'idéologie socialiste n'est visiblement pas au goût du journaliste. Pourtant le grand danger de la France est le FN, je ne comprends pas...

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Ce mercredi soir, sur M6, Bernard de la Villardière présente Dossier Tabou, une enquête sur l'islam pour laquelle il est allé sur le terrain. Dans C à vous, le journaliste révèle avoir été agressé à cette occasion.

Dans Dossier Tabou, diffusé ce mercredi soir sur M6, Bernard de la Villardière enquête sur l'islam, sur les imams, dont 70% à 80 % viendraient de l'étranger, sur les écoles musulmanes, dont certaines sont dirigées par des salafistes, et sur les prisons, qui sont devenues de hauts lieux de radicalisation.

https://youtu.be/wNeXaY5WEOc

A Sevran, en Seine-Saint-Denis, ville que de nombreux mineurs ont quitté pour faire le djihad, Bernard de la Villardière et son équipe ont été malmenés par une bande de jeunes.

Source et article complet 

Hélicoptère russe abattu: Un journaliste de l’opposition syrienne voulait que l’équipage féminin reste en vie pour être violé

journaliste1

 

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A noter que les gentils rebelles soutenus par les USA ont maltraité les corps des victimes (Attention: âmes sensibles s'abstenir).

Un journaliste de TV Libertés agressé à Paris par des militants de Nuit Debout

Par , 44 ans, fonctionnaire de police, président de l’Association ANDELE, responsable de la publication de Rhône-Alpes Info, correspondant de TV Libertés.

Un journaliste de TV Libertés agressé : Alors qu’il faisait son métier de journaliste pour la chaine TV Libertés, couvrant l’un des rassemblements des « Veilleurs » en parallèle au mouvement « Nuit Debout » quai de Valmy à Paris, Hervé Grandchamp a été lâchement agressé et frappé au visage. Blessé à un œil, il a pu heureusement échapper à la sauvagerie de ses agresseurs.

http://www.tvlibertes.com/journal-du-jeudi-9-juin-2016-societe-nuit-debout-ratonne-les-veilleurs-et-tv-libertes/

Les militants de « Nuit Debout », dont les actions violentes ont largement été relayées par les médias, se présentent comme faisant partie d’un mouvement « citoyen », et tiennent un discours clairement politique, et plus précisément d’extrême gauche.

Dénonçant les rassemblements pacifistes et culturels du mouvement « Les Veilleurs », qu’ils qualifient « d’extrême droite », ils ont fait la preuve de leur degré de tolérence face à ce qu’ils considèrent comme une adversité, comme cette video l’illustre parfaitement :

La violence, cet argument des faibles, a donc une fois de plus été employée comme seule réponse à ce que ses auteurs considèrent visiblement comme inacceptable : l’autre.

Si frapper gratuitement un homme est intolérable, exercer des violences à l’encontre d’un journaliste en plein travail et dont la fonction et d’informer ses concitoyens, est un acte qui nous concerne tous !

https://youtu.be/5WpVJ7J2_l0

Faut-il rappeler à ces énergumènes que la liberté de la presse est une composante essentielle de toute démocratie ? Faut-il rappeler à ces voyous que la violence n’est pas acceptable et que l’intolérence dont ils font preuve à l’égard de ceux qui ne pensent pas comme eux est une atteinte grave à nos libertés fondamentales ?

A l’heure où l’autorité de l’Etat n’a jamais été aussi affaiblie, du fait de l’incompétence de nos dirigeants, les mouvements contestataires, bien que minoritaires, d’extrème gauche n’ont jamais eu, sous la Vème république moribonde, un tel terrain de jeu. Et ils s’en donnent à coeur joie. Casser du flic, s’en prendre aux symboles du capitalisme (à leurs yeux : c’est à dire la façade de votre banque, dont vous paierez d’une manière ou d’une autre les réparations), et à tout ce qui leur passe sous la main, est devenu un sport national qui se pratique chaque jour.

A l’évidence, nous venons de franchir une étape supérieure dans la barbarie de ces sauvages, qu’il faudra bien, tôt ou tard, neutraliser définitivement, si nous voulons préserver nos valeurs démocratiques.

Sébastien JALLAMION

Article paru également sur Riposte Laïque

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