Mireille Vallette: “Que faire contre un prêcheur de haine? Voici une proposition”

Petit précis de procédure juridique au terme duquel Mario Jelmini vous invite à dénoncer l’imam haineux de Bienne au Ministère public.

Alors que les nouvelles les plus inquiétantes tombent dru à propos des mosquées suisses en général et de celle d’Abu Ramadan en particulier, de nombreux défenseurs de notre démocratie se posent une question lancinante: que faire contre cet islam violent et archaïque et ses apôtres? Mario Jelmini, commentateur familier des blogs de la Tribune et familier également du droit, a choisi cette voie pour mener la lutte. Son but: dénoncer Abu Ramadan aux autorités judiciaires compétentes. Il vous invite, de même que l’ASVI, à imiter sa démarche.

Jelmini adresse le 27 août le courriel suivant à la Commission fédérale contre le racisme: «Une déclaration discriminatoire et raciste n’est punissable que si elle est faite en public.» Question: les déclarations faites par un imam dans une mosquée (par exemple à Bienne) doivent-elles être considérées comme étant faites «en public» au sens de l'art.261bis CPS? »

Réponse de la juriste Milad Al-Rafu : «(…) des propos racistes émis dans une mosquée par un imam peuvent éventuellement tomber sous le coup du droit pénal s’ils atteignent une certaine intensité. En outre, hors du domaine du racisme, de tels propos pourraient éventuellement aussi être qualifié comme une provocation publique au crime ou à la violence, ce qui est également condamnable au sens de l’article 259 du Code pénal. Le cas évoqué est actuellement dans les mains des autorités cantonales et communales concernées. C'est à elles d'enquêter et de sanctionner, et il appartient au ministère public de poursuivre l'iman concerné, car le délit de discours de haine raciale se poursuit d'office.»

Mario Jelmini s’adresse alors au Ministère public du canton de Berne: «Pour les besoins d'un commentaire que je prévois de poster sur un blog hébergé par le site «http://blog.tdg.ch» patronné par la Tribune de Genève, puis-je vous demander si une enquête a été ouverte (d'office ou sur dénonciation) et est actuellement en cours contre l'imam Abu Ramadan, domicilié à Nidau, en raison des propos haineux et racistes qu'il a tenus publiquement dans la mosquée Ar'Rahman de Bienne, propos qui semblent punissables au regard de l'art. 261bis CPS?»

Réponse du chargé de communication Amaël Gschwind:

«Je suis en mesure de vous répondre qu’aucune instruction n’a été ouverte et n’est actuellement en cours contre cette personne.»

Mario Jelmini demande des informations complémentaires à Amael Gschwind :

Des plaintes ou des dénonciations sont-elles parvenues au MP du Jura bernois -Seeland à l'encontre de M. Abu Ramadan, domicilié à Nidau et imam de son état? Dans l'affirmative, quelles suites leur ont-elles été données?

En cas de réponse négative à la question précédente: le Parquet du Jura bernois-Seeland (ou toute autre entité judiciaire bernoise compétente) a-t-il examiné (le cas échéant: est-il en train d'examiner) l'opportunité d'engager d'office une procédure pénale contre M. Abu Ramadan, notamment sur la base des nombreux articles parus tant dans la presse suisse alémanique que suisse romande? Si oui, qu'est-ce qui a poussé l'autorité compétente à renoncer à ouvrir une enquête? En particulier: est-ce qu'une procédure conduite par le Ministère public de la Confédération ferait obstacle à l'ouverture d'une procédure pénale dans le canton de Berne?

Amaël Gschwind :

1) Le Ministère public du canton de Berne a reçu une plainte anonyme à l’encontre de la personne mentionnée dans votre message. Cette plainte fait actuellement l’objet d’une analyse par le Ministère public, région Jura bernois–Seeland, agence de Bienne.

2) Lorsque des faits susceptibles d’entraîner une saisine d’office sont portés à la connaissance du Ministère public, il est toujours procédé à une analyse afin de déterminer la nécessité ou non d’ouvrir une instruction d’office. Cela a été le cas en l’espèce. Sur la base des éléments à la disposition du Ministère public, et selon l’appréciation effectuée, comme je vous l’indiquais dans mon précédent message, aucune instruction n’a été ouverte. Des vérifications sont toutefois encore actuellement en cours.

3) Pour le reste, la compétence en cas d’infraction au sens de l’art. 261bis CP relève du Ministère public cantonal/régional et non de la compétence du Ministère public de la Confédération. L’ouverture d’une éventuelle enquête par le Ministère public de la Confédération pour des faits relevant de sa compétence ne constituerait en rien un obstacle.

Mario Jelmini a donc envoyé cette dénonciation et vous invite à en faire autant :

«Objet: Dénonciation contre le nommé ou soi-disant Salah Ben Salem, alias Abu (ou Abou) RAMADAN, domicilié à Nidau, originaire de Libye, réfugié, au bénéfice d'un permis C, ayant été pendant 13 ans à l'aide sociale dans le canton de Berne et exerçant l'activité d'imam dans la région biennoise.

Monsieur le Procureur en chef,

«La personne indiquée sous rubrique a fait l’objet d’une attention soutenue de la part des media nationaux et mêmes étrangers au cours de ces dernières semaines (en dernier lieu:
https://www.letemps.ch/suisse/2017/09/08/bienne-silence-o...). Il lui est en particulier reproché d’avoir prêché en ces termes dans des mosquées de Bienne et alentours:

«Oh Allah, je te prie d'anéantir les ennemis de notre religion, d'anéantir les juifs, les chrétiens, les hindous, les Russes, les chiites, je te demande de les anéantir tous et de rendre à l'islam
son ancienne gloire.»

De tels propos, qui traduisent une haine viscérale, sont extrêmement choquants. Prier publiquement Dieu afin que celui-ci anéantisse, entre autres, les juifs et les chrétiens, c’est encourager les fidèles à prier dans le même sens et à se comporter de manière à ce que cet anéantissement devienne réalité. Un des moyens bien connus utilisés au nom de l’islam pour éliminer les mécréants (dont font partie, aux yeux des musulmans, les juifs et les
chrétiens, pour ne pas parler des agnostiques et des athées), ce sont les attentats terroristes qui se sont multipliés en Occident depuis 2001.

Fondé/e sur ce qui précède je vous prie, Monsieur le Procureur en chef, d’ouvrir une procédure afin d’établir quels sont les propos effectivement tenus dans les mosquées de Bienne et environs par le soi-disant Abu Ramadan et d’examiner si ces propos tombent sous le coup de l’art. 261bis du Code pénal suisse ou de toute autre norme pénale en vigueur. Je me permets de rappeler qu’aux termes de l’article précité, est punissable:

- «celui qui, publiquement, aura incité à la haine ou à la discrimination envers (…) un groupe de personnes en raison de leur appartenance (…) religieuse»;

- «celui qui, publiquement, aura propagé une idéologie visant à rabaisser ou à dénigrer de façon systématique les membres (…) d'une religion»;

- «celui qui aura publiquement, par la parole, l'écriture, l'image, le geste, par des voies de fait ou de toute autre manière, abaissé ou discriminé d'une façon qui porte atteinte à la dignité
humaine (…) un groupe de personnes en raison de (…) leur religion (…)». Dans ce passage, il va de soi que l’expression «de toute autre manière» inclut les prières adressées à Dieu devant une assemblée de fidèles.

Je fais partie de tout ce pan de la population suisse qui s’inquiète de la manière dont certains immigrés s’autorisent des comportements contraires à nos lois sans que nos autorités ne
semblent s’en préoccuper.

(…) En vous remerciant des mesures que vous voudrez bien prendre et des précisions que vous serez en mesure de me communiquer je vous prie d’agréer, Monsieur le Procureur en chef, l’assurance de ma considération distinguée.»

Adresse: [email protected] en indiquant si possible nom, prénom et adresse. Par courrier: Ministère public, Région Jura bernois–Seeland, Agence de Bienne, rue du Débarcadère 20, 2503 Bienne.

L’Association suisse vigilance islam a invité ses adhérents à envoyer leur propre dénonciation. Soyez nombreux à le faire!

Chapeau pour le sérieux et la rapidité avec lesquels les messages d’un simple pékin (pardon Mario) sont traités par nos administrations!

 L’imam conteste les traducteurs

Dans une interview au Bieler Tagblatt, Saïda Keller Messahli donne quelques indications nouvelles à propos de l’imam:

Abu Ramadan, en fait Salah Ben Selam, conteste la traduction de ses propos et affirme qu’elle est malveillante. Pourtant, ils ont été traduits par trois personnes différentes, dont un islamologue.

Le Conseil central islamique de Suisse (CCIS) de Nicolas Blancho est friand de ce genre de cas: il se présente comme le défenseur de ces «victimes» et relaie l'info à des journalistes du Koweit ou du Qatar, comme représentant de tous les musulmans de Suisse.

Un imam qui posséderait une vraie formation ne choisirait jamais les passages du Coran invoqués pour la prière du vendredi.

Abu/Salah est "un menteur": il savait très bien qu'en tant que réfugié, il n'avait pas le droit de retourner en Lybie.

 Il faut fermer la mosquée Ar'Rahman de toute urgence. Les lois existantes le permettent.

Source Boulevard de l'islamisme

Nos remerciements à notre lectrice

Imam haineux: Après avoir bénéficié de 600’000.– d’aide sociale, il est à l’AVS sans jamais avoir travaillé! «Je suis bien intégré» clame-t-il.

Christian Hofer: Interview qui démontre toute la nocivité de certains "pauvres réfugiés" accueillis aveuglément par la Suisse et bénéficiant de facto de nos aides sociales avec le soutien de la gauche. Le seul fait de ne pas serrer la main aux femmes démontre que ce personnage n'est nullement intégré et représente un danger pour notre pays. Il est visiblement très bien entrainé à prodiguer ses mensonges aux kouffars et à se moquer de nous.

Pendant ce temps, le ministère public qui ne connait strictement rien à l'islam refuse d'ouvrir une instruction. Gageons qu'il en aurait été tout autrement si un patriote suisse avait été soupçonné de tels propos à l'égard des musulmans.

Après nous avoir maudits, cet imam va pouvoir bénéficier d'une rente AVS "bien méritée" pendant que nous nous lèverons chaque jour pour aller travailler. Cet imam appréciera à sa juste valeur ce statut d'infériorité pour les kouffars, relégués en esclaves à son service, et validé par l'administration suisse elle-même!

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Le prédicateur libyen Abu Ramadan (64 ans) l’affirme haut et fort: «Je suis bien intégré», dit-il dans une interview au «Tages Anzeiger» et à «Der Bund». Un entretien mené à Berne, au terme duquel il n’a serré la main qu’au journaliste, mais pas à sa consoeur.

Il est bénéficiaire d’une rente AVS, après avoir touché 600 000 francs d’aide sociale en 13 ans (...)

Source et article complet

Nos remerciements à 

Suisse. Imam de Nidau: Le Service de renseignement de la Confédération savait tout.

Christian Hofer: Notre service de "renseignement" a non seulement failli dans son travail de protection vis-à-vis du peuple suisse mais il a encore laissé la ville de Nidau se saigner à blanc pour offrir 600'000.-- à un extrémiste.

Et n'en doutez pas, ce n'est que la partie qu'on a découverte. Le cirque va se poursuivre encore longtemps.

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Les autorités l'avaient prié de se modérer. Inutilement.

Même le Service de renseignement de la Confédération suisse (SRC) connaissait le contenu « excessif » des sermons de l'imam Abu Ramadan de Nidau, qui s'est retrouvé au centre de la tempête médiatique pour avoir perçu 600'000 francs d'aide sociale en 13 ans malgré ses positions extrémistes.

 

 

Selon ce qu'on peut lire dans les principaux quotidiens de Suisse alémanique, le SRC et la ville de Bienne l'auraient prié de mettre un frein à ses déclarations. En vain.

"Allah doit détruire les ennemis de l'islam", répète Abu Ramadan. « Les autorités sont tenues d'ouvrir une procédure pénale en présence d'un soupçon raisonnable d'une violation de la loi pénale contre le racisme », a déclaré Gerhard Fiolka, professeur de droit pénal à l'Université de Fribourg, au Sonntagsblick.

Une position partagée également par la Fédération suisse des communautés israéliennes (FSCI), qui a appelé à une intervention décisive de la magistrature.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

Suisse: «Peu de mesures contre les imams radicaux»

L'imam qui tenait des prêches incitant à la haine dans une mosquée à Bienne n'est pas un cas isolé, déclare Saïda Keller-Messahli, dans la NZZ am Sonntag et le SonntagsBlick.

Une majorité des mosquées sont «très conservatrices», selon la spécialiste. La plupart des imams qui prêchent dans les mosquées helvétiques tendent au salafisme.

Source et article complet

Suisse. Pour le conseiller municipal UDC, l’imam haineux “ne représente pas de danger pour les habitants de Bienne.”

L’affaire Abu Ramadan continue de faire beaucoup de bruit. «Je reste profondément choqué par les propos que cet imam a pu tenir», insiste Beat Feurer, directeur de l’Action sociale et de la sécurité. L’imam de 64 ans a récemment appelé à «anéantir les ennemis de l’islam» dans un prêche donné à la mosquée Ar’Rahaman, a révélé mercredi le Tages-Anzeiger (notre édition d’hier).

Un appel à la violence et à la haine que le conseiller municipal UDC tient cependant à relativiser. «Nous prenons cette affaire très au sérieux. Mais je crois qu’il serait exagéré de parler de danger pour les habitants de Bienne. Je ne dispose d’aucune information allant dans ce sens.»

Source et article complet

Nos remerciements à notre lectrice

 

Suisse: Déjà en 2012, la Commune de Nidau voulait expulser l’imam. Le Canton s’y était opposé.

Nous en parlions déjà ici et ici.

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Canton de Berne

Les affaires sociales de Nidau avaient demandé en 2012 au Secrétariat cantonal de la migration de retirer l'autorisation de séjour d'Abu Ramadan en raison des aides sociales que le Libyen touchait.

Les autorités cantonales avaient alors envoyé promener la commune, explique le Tages-Anzeiger dans son édition du 24 août 2017.

Source et article complet

 

Suisse: Un imam haineux a touché 600’000 francs de l’aide sociale

Abu Ramadan est connu pour ses sermons haineux. Néanmoins, il est pensionné depuis près de 20 ans en Suisse.

«Oh, Allah, je vous demande de détruire les ennemis de notre religion, de détruire les Juifs, les Chrétiens, les Hindous, les Russes et les Chiites. Dieu, je vous prie, de les détruire tous et de redonner à l'islam sa gloire antique .»

En outre, l'Imam prétend qu'Allah ne pardonne jamais aux incroyants.

Source et auteur

 

D’amour et de paix.

Hier dimanche 09 juillet, on apprenait dans la Sonntags­Zeitung qu'un imam prêchant au sein de la fameuse mosquée An'Nur de Winterthur aurait tenté de provoquer un attentat kamikaze au Liban. L'homme est vraiment un bon type. Requérant d'asile depuis 20 ans maintenant en Thurgovie, le personnage s'est fait d'emblée remarquer en arrivant en Suisse, commettant une nuée de petits délits avant de verser dans l'extrémisme. Ses prêches avaient fini par choquer certains musulmans qui l'avaient chassé de leur mosquée avant que celui-ci ne trouve refuge à An'Nur, abcès purulant pourtant toléré par les autorités dont la veulerie n'est plus à démontrer. Finalement, l'endroit a dû fermer ses portes non pas parce que les pouvoirs publics avaient décidé de mettre fins aux appels à la haine et au meurtre qui résonnaient le plus souvent dans ses murs mais bien parce que le bailleur a eu vent de la mauvaise réputation des lieux et a choisi de ne pas renouveler le bail. Il est vrai qu'on y avait arrêté un imam appelant au massacre des musulmans non pratiquants et une dizaine de fidèles pour faits de violence. D'amour et de paix, qu'ils disaient.

Aujourd'hui, cette fripouille fait donc de nouveau parler de lui. Après avoir divorcé de sa première épouse suite à quelques coups et menaces de mort bien dans la droite ligne des préceptes qu'il enseigne, l'homme s'est remarié avec une jeune femme qui vient d'être arrêtée au Liban alors qu'elle s'apprêtait à commettre un attentat suicide. Selon le journal dominical, c'est son mari qui l'aurait poussée à passer à l'acte. Ce nouvel éclairage au sujet de l'islamisme en Suisse est très intéressant.

Tout d'abord, on constate que la mosquée An'Nur a pu répandre son venin sans grand tracas alors que son caractère radical voire plus était largement connu. Le procureur de la Confédération a d'ailleurs fait savoir que l'imam en question faisait l'objet d'une enquête bien avant cette affaire, ce qui confirme que le comportement du personnage était connu. La précision du Ministère public met aussi en évidence l'incurie de l'organe en question dont les enquêtes font preuve d'une indigente inefficacité.

Ensuite, force est de constater que la délicatesse dont les autorités ont fait preuve vis-à-vis de ce nid de vipères qu'était An'Nur aurait permis à l'institution de poursuivre ses activités extrémistes si les propriétaires des lieux n'avaient pas décidé de mettre un terme au bail qui les liait aux islamistes. Ces derniers vont bien comprendre le message. Comme les pouvoirs publics sont incapables de fermer ces usines à terroristes, il suffit d'être propriétaires pour éviter tout tracas. Les fonds inépuisables des monarchies pétrolières devraient suffire à mettre durablement les fous d'Allah à l'abris de petits soucis locatifs.

On relève également que lorsque quelqu'un veut bien soulever un peu le tapis, bien des choses peu reluisantes sont tout-à-coup révélées au grand jour. Alors que le terrorisme d'Allah endeuillait un peu partout sur la planète, autorités politiques et judiciaires nous expliquaient doctement que la Suisse était épargnée par le phénomène mais qu'il fallait néanmoins rester vigilant. En fait, notre pays n'est pas moins gangréné que les autres, il ne constitue simplement pas une cible mais une base de repli. Il serait pour le moins ingrat de la part des terroristes de s'en prendre à l'oasis bienveillante que constitue notre pays.

A force de regarder ailleurs, de faire preuve de mansuétude envers les égorgeurs en partance ou de retour, notre pays donne raison à Churchill qui disait d'un conciliateur que c'est une personne qui nourrit un crocodile en espérant qu'il sera le dernier à être mangé. Le jour où le crocodile en question se retournera contre nous, nous la sentirons passer. L'animal sera vigoureux car bien gavé.

 

La Côte-aux-Fées, le 10 juillet 2017                                             Yvan Perrin

France: La formation de l’écrasante majorité des imams échappe à tout contrôle, sinon à celui des fédérations musulmanes

Le septième rapport officiel en trois décennies sur ce sujet démontre l'impuissance de l'État à prévenir la radicalisation de certains imams venus de l'étranger.

La régulation de la formation des imams en France ressemble à un labyrinthe sans issue. Et ce n'est pas le septième rapport sur le sujet - en trois décennies - qui devait être remis, jeudi 16 mars, aux ministres de l'Intérieur et de l'Éducation nationale, respectivement Bruno Le Roux et Najat Vallaud-Belkacem - qui ouvre des perspectives innovantes.

L'islamologue Rachid Benzine et les professeurs d'université Catherine Mayeur-Jaouen et Mathilde Philip-Gay, les trois auteurs très autorisés sur le sujet, n'ont pourtant pas démérité dans l'analyse de la situation.

Leur diagnostic d'une situation complexe tient en deux idées-forces: la formation de l'écrasante majorité des quelques 1800 imams actifs en France échappe à tout contrôle sinon à celui des fédérations musulmanes ; la tentative de renforcer la formation universitaire en islamologie pour travailler à la déradicalisation voit plutôt les quelques apprentis imams qui s'y rendent contester cette lecture universitaire du coran. Ils la récusent même en bloc. «Les enseignants du supérieur, écrivent-ils, se heurtent à des contestations croissantes».

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Rappel: Genève ambitionne de lancer une formation continue pour les imams

La Grande mosquée de Genève engage un imam favorable à la lapidation

Christian Hofer: A noter le ton précautionneux du journaliste lorsqu'il évoque cet imam "controversé" pendant que l'on qualifie d'extrémistes de droite des Européens s'opposant simplement à l'immigration de masse.

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La Fondation culturelle islamique de Genève (FCIG), qui gère la mosquée du Petit-Saconnex, n’a pas tardé à remplacer l’imam algérien Ziane Mehadjri, écarté et qui conteste son licenciement. Il est remplacé par le Marocain Youssef Ibram, installé en Suisse depuis une trentaine d'années, officiant à Volketswil (ZH). Controversé, l’homme revient pour la troisième fois à la grande mosquée.

Engagé en 1982 à Genève, il est licencié en 1991 par la FCIG pour ses discours contre l’intervention américaine en Irak. Resté à Zurich une dizaine d’années, il défraye la chronique en 2004 lorsqu’il affirme dans une interview ne pas être contre la lapidation des femmes adultères. La mosquée du Petit-Saconnex l’accueille de nouveau en 2005. Deux ans plus tard, quatre employés sont licenciés avec fracas pour être remplacés par des représentants d’une ligne dure. Youssef Ibram est accusé par certains fidèles d’avoir monté le directeur de l’époque contre eux. Il démissionne en 2011, selon lui parce qu’il a été appelé en France, en région parisienne, avant de rejoindre Lyon, puis Zurich.

Formé à Ryad, en Arabie Saoudite, Youssef Ibram a représenté la Suisse au Conseil européen de la fatwa et de la recherche, créé pour répondre aux questions des musulmans contraints de vivre leur foi dans un environnement où ils sont minoritaires.

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Zurich. Un imam radical : «Les lois suisses ne m’intéressent pas. Les lois islamiques règnent sur tous les pays.»

«Une femme ne doit pas faire la guerre. Mais un homme doit y aller. C’est son jihad. La femme doit rester à la maison, c’est ça le jihad des femmes.» Ces mots sont de Shaikh Wail, ex-imam de la mosquée An’nour de Winterthour, connue pour ses liens présumés avec l’islam radical. Ils ont été rapportés par un journaliste allemand, Shams Ul-Haq (Christian Hofer: dont le travail a déjà été relevé dans cet article sur Les Observateurs.ch)

Entré en se présentant comme un entrepreneur, et moyennant une donation, il a assisté à des prêches dans lesquels l’imam égyptien déclarait aussi: «Les lois suisses ne m’intéressent pas. Les lois islamiques règnent sur tous les pays.» L’infiltré note encore que le prédicateur ne parlait qu’en arabe, «de façon très agressive».

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Nos remerciements à 

Egypte : un imam attaqué à coup de chaussure sur un plateau TV pour sa position sur le voile (VIDEO)

L'invité d'un débat télévisé s'en est violemment pris à Mostafa Rashid, imam égyptien controversé. Alors que le religieux défendait l'idée que le voile n'est qu'une habitude culturelle non religieuse, son voisin lui a asséné des coups de chaussure.

«C'était un combat de free-fight !» Quelques minutes après l'incident en direct, le présentateur de la chaîne égyptienne LTC est encore sonné. S'il n'est pas celui qui a tâté de la semelle, la scène qu'il a vécu n'en est pas moins surréaliste : son émission s'est terminée par l'attaque à la chaussure d'un invité par un autre. De l'imam Mostafa Rachid par l'avocat Nabih Al-Wahsh.

https://youtu.be/cQQeeNwCzh4

Les deux hommes étaient en plein débat sur le port du voile. Pour Mostafa Rashid, l'imam de Sydney, il relève plus d'une tradition culturelle que d'un devoir religieux. Une opinion qu'a viscéralement rejetée l'avocat Nabih Al-Wahsh. Avant d'en venir aux mains – et à la chaussure – les deux hommes se sont couverts d'insultes.

Les membres de la production se sont précipités sur le plateau pour séparer les deux hommes. Un technicien a été légèrement blessé. Fou de rage, l'imam a quitté le studio télévisé dans la minute.

Le religieux égyptien Mostafa Rashid est connu pour sa vision hétérodoxe de l'islam. A l'instar de sa position sur le voile, l'imam Rashid prêche que le Coran n'interdit pas de boire de l'alcool mais seulement de se trouver en état d'ivresse.

Il a dû quitter l'Egypte pour Sydney en février 2013 après avoir causé une vive polémique dans son pays en déclarant «nulles», car «souillées par la violence», les prières passées aux côtés de l’ancien président Mohamed Morsi.

Source

A lire aussi à ce sujet, l'article de Sami Aldeeb, Professeur des universités

L’imam de la grande mosquée de La Mecque appelle à l’extermination des chrétiens

Abdul Rahman Ibn Abdul Aziz as-Sudais est l’imam en chef de la grande mosquée, la Masjid al-Harâm, de La Mecque. C’est un psalmodieur célèbre du coran. Le 4 septembre dernier, alors que se déroule le pèlerinage, il a entonné en arabe une prière d’amour, de tolérance et de paix… En voici un extrait :

« Ô Allah, accorde la victoire, la dignité et le pouvoir à nos frères moudjahidines [djihadistes] au Yémen, au Sham [Syrie], en Irak et partout […] Accorde leur la victoire sur les Juifs perfides et les chrétiens malveillants ».

 

https://youtu.be/h1ogI5woVYU

Source : Sputnik, 7 septembre via christianophobie.fr

Belgique: Le fils de l’imam radical de Dison libéré… pour ne pas réveiller le juge !

Christian Hofer: Nous parlions déjà de cette affaire ici. A noter que l'imam bénéficie de la double nationalité marocaine et néerlandaise: Cela cause un problème pour l'expulser.

On rappelle que la gauche milite sans cesse en Europe afin que la naturalisation soit facilitée. Un véritable assassinat "au nom du multiculturalisme".

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L'imam verviétois Shayh Alami et son fils ont été interpellés à leur domicile ce dimanche en fin de journée, lors d'une opération minutieusement préparée.

Pour rappel, le fils de l'imam radical, menaçait la Belgique dans une vidéo tournée à Verviers. Selon nos informations, la DR3, service antiterroriste de la PJF de Bruxelles, a été contrainte de libérer le jeune garçon, mineur, en raison d'un prétexte pour le moins interpellant, avancé par le procureur du Roi de Liège.

 

https://www.youtube.com/watch?v=K1cadyKuYXY

Ce dernier, qui avait pourtant connaissance de l'opération visant à interpeller l'imam et son fils dimanche soir, a estimé qu'il ne "fallait pas réveiller un juge de la jeunesse en pleine nuit". Du coup, le fils de l'imam a été remis en liberté cette nuit !

Source et article complet

France: l’imam Abdelali Mamoun accuse les cloches des églises de sonner

Dans l’émission C dans l’air diffusée le 17 août dernier et où l’on débattait du thème « Burkini : une polémique française », Abdelali Mamoun (présenté à tort comme l’imam d’Alfortville, Val-de-Marne, alors qu’il n’y officie plus depuis décembre 2013 selon le site Des dômes et des minarets) semble dire qu’il faut que les églises arrêtent de sonner leurs cloches puisqu’on interdit aux musulmans les appels à la prière depuis les minarets… Vous pourrez entendre ses propos dans la vidéo ci-dessous à partir de 23’ 40”… C’est assez troublant (merci à M. A. pour son signalement).

"Comment ça se fait qu'en France des cloches sonnent à chaque heure pour manifester la présence chrétienne en France et que les musulmans eux n'auraient pas le droit d'exprimer leur conviction religieuse. Alors soyons discrets jusqu'au bout et arrêtons toutes ces cloches."

Source

Un imam de Nice: « La laïcité française est responsable des attentats »

« La discrimination des musulmans en France, les attaques islamophobes et l’interdiction de porter des symboles religieux en public donnent l’impression à ces jeunes de ne pas faire partie de la communauté nationale et ce sentiment les motive à partir pour rejoindre, ceux qu’ils estiment être leurs semblables.

Selon moi, la situation des musulmans en France est le premier facteur qui pousse de nombreux jeunes à aller se battre. Aussi longtemps que les mosquées seront si peu nombreuses, que leur construction suscitera des protestations et que les musulmans seront discriminés, il y aura ce genre de réactions. Réactions certes erronées, mais bien réelles, face auxquelles nous devons extirper le phénomène qui les génère. »

Abdelkader Sadouni.

Il Giornale