Une écolière britannique témoigne: des musulmans accostent et menacent les filles, tous les jours

Témoignage d’une fille de 14 ans qui fréquente l’école de son quartier :

[...]

– Peux-tu m’expliquer le genre de problèmes que tu as à l’école ?

– Des garçons asiatiques [n.d.t. : c.-à-d. d’origine pakistanaise] viennent vers moi et me disent : je vais te violer, si tu ne couches avec moi je te casse la gueule, ce genre de choses, et si tu ne me fais pas une fellation.

– Ça se passe à l’école ? Ce n’est pas seulement quelques enfants ?

– Non, ça arrive à beaucoup de filles.

– Tu penses que les enseignants et la police sont au courant de ça ?

– Euh, oui.

– Tu as sans doute entendu parler du programme municipal pour les jeunes filles comme toi qui sont ciblées par des réseaux pédophiles asiatiques dans ce quartier. Tu penses qu’il y a eu une description exacte de ce qui se passe ?

– Oui.

– Tu as contacté la police au sujet de ces menaces de viol contre toi ?

– Oui.

– Qu’est-ce que la police a dit?

– Qu’ils allaient étudier ça.

[…]

– Et qu’est-ce que les enseignants ont fait ?

– Ils vont exclure ces élèves pendant 15 jours scolaires.

– Il y a aussi l’accusation que de jeunes hommes asiatiques rôdent autour des écoles dans de belles voitures et intimident des jeunes filles comme toi. C’est vrai ?

– Oui.

– Une fois par semaine ? Deux fois ?

– Tous les jours.

– Tous les jours ?

– Oui.

– La police sait mais ne fait rien ?

– Hm-m.

– Comment tu te sens quand tu est ciblée par ces gens ?

– Je me sentais intimidée par eux et effrayée.

(Traduction Cenator)

 

Des voiles islamiques pour petites filles vendus par la chaîne de magasins Marks & Spencer

Sur son site Internet, l’enseigne britannique vend des hijabs destinés aux fillettes âgées de 3 à 9 ans. Devant la polémique, la chaîne s’est défendue en affirmant répondre à la demande… d’écoles.

L’argent n’a pas d’odeur, et pas davantage de religion. Les magasins britanniques Marks & Spencer (M&S) en ont encore donné un exemple avec un nouveau produit mis en vente sur le site Internet de l’enseigne : un voile islamique taille enfant, pouvant être porté par des petites filles âgées de 3 à 9 ans. Cet article, vendu 6 livres sterling (presque 7 euros) et disponible en noir ou bleu marine, peut uniquement être livré au Royaume-Uni.

(Merci à Cannavaro)


Marks & Spencer a déclenché une polémique en ligne après avoir mis en vente pour 6 livres des hijabs d’uniforme scolaire pour fillettes.
‎La chaîne de magasins assure qu’il vend le hijab après qu’un «certain nombre d’écoles ont demandé cette option».‎

Les pages des médias sociaux de la société ont été inondés de messages à propos de ce voile noir, qui est en vente pour seulement 6 livres dans leur section «Équipement de base pour l’école ».‎

Mais le présentateur de radio Maajid Nawaz a critiqué cette décision, disant qu’elle «facilitait le retour au Moyen-Âge ».‎

‎Il a déclaré : «C’est leur droit de préférer les profits aux valeurs. Mais c’est notre droit de leur faire honte d’agir ainsi.[…]‎
‎Pour être clair, ceux-ci [les hijabs] sont vendus pour les petites filles dès l’âge de trois ans.‎

[…]C’est de l’apartheid sexuel. Marks and Spencer sont libres de vendre aussi des t-shirts avec le drapeau confédéré, mais je parie qu’ils ne le feront jamais.»‎

Et certains clients ont menacé de boycotter la chaîne jusqu’à ce qu’il soit retiré du stock.‎

Lorraine Smith a écrit : «Écœurant. Comment pourriez-vous tirer profit de quelque chose qui encourage l’avilissement de la femme et des enfants ? C’est indécent !‎ »

(Traduction Fdesouche)

Source

 

 

Voile des fillettes: un député s’indigne

Blog de Mireille Vallette

Une réaction rare, celle de Pierre Gauthier, député d'extrême gauche, président du tout nouveau Parti radical socialiste. Voici sa démonstration et ses questions, aussi brillantes que lucides.

 

Secrétariat du Grand Conseil                                     

Question présentée par le député : Pierre Gauthier

Date de dépôt : 3 juillet 2017

Question écrite urgente

Gauthier.jpeg

Fête des écoles en Ville de Genève
le DIP lutte-t-il contre la maltraitance des enfants?

Madame la Conseillère d’État, Messieurs les Conseillers d’État,

J'ai assisté en ma qualité de Conseiller municipal au cortège de la fête des écoles primaires organisé en Ville de Genève l'après-midi du mercredi 28 juin 2017.

Quelles ne furent pas ma surprise et mon étonnement de constater qu'une fillette de l'école « Liotard » défilait vêtue d'un voile islamiste intégral qui la couvrait de la tête aux pieds, laissant toutefois apparaître son visage'.

De nombreuses organisations familiales, sociales, parentales, féministes ou associatives luttent sans relâche et parfois au péril de la vie de leurs membres contre la maltraitance dont sont victimes les enfants, notamment pour des raisons religieuses. Les voix les plus respectables et les plus avisées s'élèvent dans le monde entier pour dénoncer les crimes dont les femmes et les fillettes sont victimes, notamment dans les cas où leurs droits et leur intégrité physique et psychique sont violés.

Notre pays est signataire de nombreux traités et conventions internationales garantissant aux femmes et aux enfants l'intégralité de leurs droits et, notamment, interdisant la maltraitance opérée sur les plus faibles d'entre nous que sont les enfants en bas âge.

Lega école An Nour.jpg

Photo de la Ligue des musulmans du Tessin.

Malgré cela, il apparaît que l'école genevoise - lieu où l'enfance devrait être particulièrement protégée - accepte qu'une fillette puisse subir une maltraitance inacceptable que représente l'obligation du port d'un vêtement stigmatisant, limitant les mouvements et mettant en danger le développement physique et psychique de celle à qui on impose de le porter. Cette stigmatisation, cette limitation des mouvements, qui pourrait être assimilée à de la contrainte au sens de l'article 181 du Code pénal', et ces obstacles inacceptables mis au développement de la santé des fillettes sont expliqués avec une grande pertinence dans plusieurs documents de référence émanant de l'ONG « Regards de Femmes' ».

Dans un de ses textes publiés sur son site Internet, cette ONG dénonce sans ambiguïté le voilement des fillettes'. La Docteure Saïda Douki Dedieu - professeure émérite de psychiatrie à la Faculté de médecine de Tunis, ancienne professeure associée de psychiatrie à l'Université Claude Bernard de Lyon, présidente de la Fédération des psychiatres arabes de 2001 à 2008 - et deux autres femmes expliquent:

« L'imposition du port du voile à une enfant est une maltraitance qui doit être signalée aux autorités compétentes.

L'Association tunisienne des droits de l'enfant a dénoncé le voilement des petites filles comme « un crime contre l'enfance » (janvier 2013).

En effet, le voilement précoce contrevient à toutes les dispositions de la Convention relative aux droits de l'enfant. Il bafoue ses quatre principes fondamentaux : la « non-discrimination » (traitement différencié des genres), « l'intérêt supérieur de l'enfant » (bafoué par celui des parents et de la communauté), « le droit de vivre, survivre, se développer » (ce dernier gravement menacé) et « le respect des opinions de l'enfant » (qui ne se limitent pas à être le clone de leur mère).

Le voilement précoce enfreint plusieurs droits de l'enfant, tels : « Le droit d'être protégé des maladies, (...), le droit d'être protégé de la violence, de la maltraitance (...), le droit d'être protégé contre toutes formes de discrimination, le droit de jouer et d'avoir des loisirs, le droit à la liberté d'information, d'expression et de participation ».

L'imposition du port du voile bafoue surtout le droit de l'enfant de décider de son propre devenir et le compromet gravement. Le voile n'est pas un simple ornement vestimentaire, mais l'imposition d'un véritable style de vie, qui implique un mode d 'existence singulier. »

Le premier alinéa de l'article 11 de notre Constitution fédérale dit que : « Les enfants et les jeunes ont droit à une protection particulière de leur intégrité et à l'encouragement de leur développement. » Inquiet de constater que le DIP semble incapable de respecter et de faire respecter concrètement ce principe, mes questions sont donc les suivantes :

Quelles dispositions allez-vous prendre afin de faire immédiatement cesser la maltraitance des fillettes scolarisées à Genève et obligées de se soumettre à des pratiques barbares contraires à leurs droits les plus élémentaires ?

Comment allez-vous intervenir auprès des autorités scolaires placées sous votre contrôle afin que cesse sans délai la complaisance dangereuse qu'elles manifestent envers des comportements ou des dogmatiques contraires au droit supérieur et qui mettent en grave danger l'intégrité physique et psychique d'enfants sans défense ?

Quelles mesures allez-vous mettre en œuvre pour intervenir fermement auprès de parents qui s'autorisent des comportements inacceptables de nature à mettre en danger la santé de leurs enfants ?

Avec mes remerciements pour les réponses pertinentes que vous ne manquerez pas d'apporter à ces questions, je vous prie de recevoir, Madame la Conseillère d'Etat, Messieurs les Conseillers d'Etat, l'expression de ma haute considération.

Pierre Gauthier, député

http://www.lemanbleu.ch/replay/video.html?VideoID=32595, voir à 4'23''

https://www.admin.ch/opc/fr/classified­compilation/19370083/index.htmIlla181

http://www.regardsdefemmes.fr/

https://www.50-50magazine.fr/2016/10/18/le-voilement-des-...

Islam. Nigéria: Deux fillettes de 7 ou 8 ans se font exploser dans un marché

Deux fillettes se sont fait exploser dimanche matin dans un marché très fréquenté de Maiduguri, dans le nord-est du Nigeria, faisant au moins 17 blessés, selon des témoins. Abdulkarim Jabo, un membre des milices civiles de la capitale du Borno qui était présent sur place, a assuré qu'elles devaient avoir «7 ou 8 ans».

«Les fillettes sont descendus d'un pousse-pousse et sont passées devant moi sans trahir une quelconque émotion», a raconté le témoin. «J'ai essayé de parler à l'une d'elle en haoussa et en anglais, mais elle n'a pas répondu. Je pensais qu'elles cherchaient leur mère», a rapporté M. Jabo. «Elle s'est dirigée vers des vendeurs de volailles et a déclenché sa ceinture d'explosifs». La deuxième explosion a été déclenchée alors que des vendeurs du marché apportaient de l'aide aux blessés.

Source et article complet

Yverdon : Des fillettes de 6 ans sont régulièrement castagnées par les grands de leur école

«Les petites doivent être protégées»

Des filles de 6 ans sont régulièrement castagnées par les grands de leur école. La faute au mélange de différents groupes d’âge dans la cour de récré.

«Toutes les filles de la classe sont persécutées, mais la direction ne fait rien.» Paul Baboujian est remonté contre l’administration du Collège Pestalozzi, à Yverdon. Il vient de porter plainte. La raison? Son enfant de 6 ans, scolarisée dans l’établissement, est régulièrement «agressée verbalement et physiquement par les grands de 12 ans».

Suite