L’état de santé mental des clandestins est mauvais

GENÈVE Une vaste étude universitaire se penche sur les sans-papiers en voie d'être régularisés.

«On vit toujours dans la crainte; même la sonnerie de la porte fait peur, à cause de la police.» Ainsi témoignait une clandestine brésilienne, il y a 18 mois, alors que le Canton annonçait son opération Papyrus. Fin 2017, l'Uni de Genève a lancé Parchemin, une étude pour connaître les effets de la régularisation sur les sans-papiers. Avant d'en connaître les résultats, dans quatre ans, les chercheurs ont fait un état des lieux actuel: il met en lumière leur détresse psychique.

«Ils sont plus nombreux à souffrir de maladies chroniques, comparé à la population résidente en Suisse, et sont particulièrement atteints dans leur santé mentale, décrypte le docteur Yves Jackson, coresponsable de l'enquête. Leur situation les place dans un stress permanent. Ces gens s'exposent davantage à la dépression.» Ces individus en situation irrégulière jugent aussi leur état de santé moins bon L'économie domestique emploie de nombreux sans-papiers. que les autres habitants. «L'autoévaluation est un excellent indicateur de risques de maladie à terme, souligne le Dr Jackson. Les gens qui pensent tomber malades sont plus susceptibles de le devenir que ceux qui s'estiment en bonne santé.» Enfin, les clandestins, aux revenus limités, renoncent souvent aux soins médicaux. Le responsable du syndicat SIT pour Papyrus n'est pas surpris de ces résultats: «Les exemples sont légion, assure Thierry Horner. Malade, blessé, un sans-papiers ne se soigne pas faute d'argent. Il travaille de moins en moins, se retrouve sans ressources et tombe en dépression. C'est la descente aux enfers »

Source : 20 minutes Lausanne

Suisse : Sur les chantiers, le nombre de faux passeports est en hausse

Les fraudeurs sur les chantiers sont souvent issus des pays de l’Europe de l’Est et des Balkans et le prix d’achat de faux papiers varie de 1500 francs à plus de 20 000 francs.

La réalité serait pire que cela. «Nous ne connaissons manifestement que la pointe de l’iceberg. Le nombre de documents trafiqués sur les chantiers est totalement sous-évalué», affirme Emmanuel Fivaz, inspecteur scientifique de la police neuchâteloise. (...) Les faussaires sont membres d’organisations criminelles étrangères qui vendent les contrefaçons au sein des communautés étrangères, dans les milieux délinquants et sur Internet.

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24 Heures

Des migrants clandestins débarquent sur une plage espagnole sous le regard médusé des vacanciers (Vidéo)

Sur des images étonnantes prises aux abords d'une plage de la côte espagnole, près de Tarifa, on peut voir plusieurs dizaines de migrants, en provenance du Maroc, arriver sur une embarcation pneumatique et débarquer sur la terre ferme.

Les touristes, parmi lesquels se trouvaient des naturistes, n'en ont pas cru leurs yeux. Tandis qu'ils se prélassaient au soleil le 27 juillet sur une plage près de Tarifa, dans le sud de l'Espagne, ils ont vu débarquer de loin un petit bateau pneumatique à moteur de type Zodiac avec à son bord plusieurs dizaines de migrants, selon Reuters. En provenance du Maroc, ces derniers ont traversé le détroit de Gibraltar qui sépare l'Afrique de l'Europe. Sur diverses images, on voit ces migrants descendre du petit bateau et courir sur la plage en se dispersant.

 

 

Avant que l'embarcation n'atteigne le rivage, les garde-côtes espagnols ont tenté de l'intercepter en vain, comme on peut le voir sur une vidéo diffusée par le Daily Mailainsi que sur plusieurs photographies de Reuters.

Le ministre espagnol de l'Intérieur Fernando Grande-Marlaska a appelé le 28 juillet à offrir une «solution européenne au problème de l’immigration», les garde-côtes espagnols ayant secouru en deux jours plus de 1 200 migrants en mer.

L’Espagne est particulièrement concernée par l'afflux de migrants clandestins avec, ces sept derniers mois, près de 21 000 arrivants qui ont rejoint les côtes espagnoles à bord de bateaux pneumatiques et autres embarcations de fortune, d'après le journal El Pais. Un chiffre trois fois plus élevé que celui relevé l’année précédente, à la même période, selon le quotidien espagnol. Sur l’ensemble du continent européen, l’Organisation internationale des migrations (OIM) évoque, au 25 juillet dernier, un chiffre s’élevant à 55 000 migrants pour l’année 2018.

D'autre part, 304 personnes sont mortes en tentant la traversée jusqu'à l'Espagne, selon un comptage de l'OIM effectué en date du 25 juillet. L'Italie comptait à cette date 18 130 arrivées et plus de 1 000 morts, tandis que la Grèce comptabilisait 15 528 arrivées et 89 morts.

RT France

France. Immigration clandestine : entre 8% et 20% d’illégaux en Seine-Saint-Denis

Selon un rapport parlementaire, les illégaux pèsent entre 8 % et 20 % de la population dans ce département. Les autorités ne parviennent pas à ajuster leurs politiques publiques. Les élus en appellent à Matignon.

«Le premier ministre va nous recevoir. Il a donné son accord de principe.» Le sénateur LR Philippe Dallier est plein d'espérances. Le 14 juin dernier, cet ancien maire des Pavillons-sous-Bois (22 ans de mandat) avait écrit à Matignon, avec 14 des 17 autres députés et sénateurs - de droite comme de gauche - de Seine-Saint-Denis «pour que l'État assume pleinement ses responsabilités dans ce département sinistré entre tous», selon lui. Ce qu'ils réclament est simple: le gouvernement doit donner une suite au rapport des députés François Cornut-Gentille (LR) et Rodrigue Kokouendo (LaREM) qui dénonce la «République en échec» dans le 93.

Déposé le 31 mai à l'Assemblée, ce document décrit l'incroyable dégradation du climat social, économique, sécuritaire de la Seine-Saint-Denis. Taux de pauvreté: 28 % (le double de la France métropolitaine). Taux de chômage: 12,7 % (trois points au-dessus de la moyenne nationale et quatre points au-dessus de la moyenne d'Île-de-France).

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France: Deux extrémistes de gauche suisses ont pris part à l’entrée illégale d’une trentaine de migrants

Quatre Italiens et deux Suisses ont été interpellés et placés en garde à vue dans les Alpes françaises après avoir pris part, dimanche, à l'entrée en France d'une trentaine de migrants venant d'Italie, a-t-on appris lundi de sources concordantes.

Une source proche de l'enquête a affirmé à l'AFP que les personnes interpellées «ont participé activement aux débordements survenus au col de Montgenèvre», à la frontière italienne

Migrants africains : Netanyahou change d’avis et annule son accord avec l’ONU. Les pays qui devaient recevoir ces migrants ne semblaient pas au courant.

Nous en parlions ici.

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Malgré sa déclaration fracassante du 2 avril, Benjamin Netanyahou a décidé d'annuler l'accord passé avec l'ONU selon lequel Israël aurait expulsé une partie de ses migrants africains vers «des pays développés comme l'Allemagne et l'Italie».

Le 3 avril, le Premier ministre israélien a déclaré qu'il décidait finalement d'annuler purement et simplement l'accord qu'il avait déjà décidé de suspendre la veille au soir.

Le 2 avril, seulement quelques heures après l'avoir annoncé, l'Etat hébreu avait suspendu par surprise un accord conclu avec l'ONU et destiné à régler le sort de milliers de migrants africains vivant en Israël.

 

 

Cet accord prévoyait la réinstallation de plus de 16 000 Soudanais et Erythréens résidant sur le territoire israélien vers des pays occidentaux. En échange, Israël s'engageait à donner un titre de séjour à un nombre équivalent d'entre eux devant rester sur son territoire.

«J'ai décidé de suspendre l'application de cet accord et d'en repenser les termes», a écrit Benjamin Netanyahou sur sa page Facebook le 2 avril au soir, affirmant avoir été attentif aux critiques de certains habitants de Tel-Aviv, où vivent la plupart de ces migrants, contre cet accord.

Certains de ces habitants dénonçaient le fait que des milliers de Soudanais et d'Erythréens soient autorisés à rester en Israël.

«Je suis attentif aux critiques et je vais rencontrer vos représentants demain matin», a affirmé Benjamin Netanyahou qui avait promis l'année dernière aux habitants de «rendre le sud de Tel-Aviv aux citoyens d'Israël.»

La classe politique israélienne s'inquiète

La suspension de l'accord avec l'ONU, annoncé en grande pompe le même jour, puis son annulation le lendemain, a surpris la classe politique.

Le député travailliste Itzik Shmouli (opposition) a évoqué sur Twitter «le mal de tête provoqué par les zigzags de Netanyahou», tandis que le chef de son parti Avi Gabbay a qualifié cette annonce d'«inquiétante».

L'accord avec le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) devait remplacer un projet gouvernemental d'expulsions très controversé, annulé officiellement le 2 avril.

Le HCR n'avait pas donné de détail sur les pays d'accueil mais le Premier ministre israélien, avait cité «des pays développés comme le Canada, l'Allemagne et l'Italie».

Les pays qui devaient recevoir ces migrants ne semblaient pas au courant...

Il n'existe «aucun accord» avec l'Italie dans le cadre du document signé entre Israël et HCR, pour la réinstallation de ces migrants, avait toutefois réagi le ministère italien des Affaires étrangères.

Le ministère allemand de l'Intérieur a assuré de son côté «ne pas avoir connaissance d'une demande concrète concernant une prise en charge de réfugiés vivant en Israël, en particulier originaires de pays africains.»

Le gouvernement israélien avait d'abord prévu de donner le choix à des milliers de migrants africains présents sur son territoire de partir d'ici à début avril – soit pour leur pays d'origine, soit pour un pays tiers – ou d'aller en prison indéfiniment.

Ce projet avait suscité de nombreuses critiques, notamment du HCR et d'ONG. Ces dernières semaines, des manifestations avaient réuni des dizaines de milliers de personnes dans plusieurs villes du pays dont des survivants de la Shoah pour demander le retrait de ce projet.

Selon les autorités israéliennes, 42 000 migrants africains, vivent en Israël, mais femmes et enfants n'étaient pas concernés par ce plan.

Le Rwanda n'en voulait pas non plus

Ces migrants sont arrivés majoritairement après 2007 à partir du Sinaï égyptien. La frontière, à l'époque poreuse, avec l'Egypte a depuis été rendue quasiment hermétique. Ils se sont installés en nombre au sud de Tel-Aviv.

Israël admettait tacitement ne pas pouvoir renvoyer dans leur pays ces milliers d'Erythréens et de Soudanais sans mettre leur vie en danger. Le gouvernement érythréen a été accusé par l'ONU de crimes contre l'humanité «généralisés et systématiques».

Le gouvernement israélien avait donc imaginé les renvoyer vers un pays tiers qu'il n'avait jamais nommé jusqu'à aujourd'hui. Benjamin Netanyahou a dévoilé le soir du 2 avril qu'il s'agissait du Rwanda qui a refusé d’accueillir des «clandestins africains».

«Pour pouvoir les expulser légalement, il fallait l'accord d'un pays tiers et quand nous avons vu ces dernières semaines que cette option n'existait plus, nous avons dû trouver une autre solution», a expliqué Benjamin Netanyahou.

Israël : un «paradis pour les clandestins» ?

Le ministre de l'Education israélien Naftali Bennett, du parti nationaliste religieux Foyer Juif a dénoncé l'accord avec l'ONU, qui selon lui, «signifie qu'Israël va se transformer en paradis pour les clandestins».

Le ministre des Finances Moché Kalhlon, un des piliers de la coalition, a déclaré que «le gouvernement doit se réunir et décider d'une nouvelle trajectoire sur ce sujet».

Source

France: Occupation de la Basilique de Saint-Denis par des clandestins, provoquant l’annulation de la messe: les vidéos

Afin de défendre l’accueil des migrants et dénoncer le projet de loi asile et immigration du gouvernement, des dizaines de manifestants ont investi la basilique de Saint-Denis, avant d'en être expulsés par les forces de l'ordre.

Le 18 mars 2018, quelque 80 militants, d'après Le Parisien, du collectif Coordination des sans-papiers (CSP93) ont pénétré dans la basilique de Saint-Denis, en banlieue de Paris, pour protester contre le projet de loi Asile et immigration du gouvernement et défendre l'accueil des migrants. Selon un autre collectif (Paris d'Exil), «150 sans-papiers» étaient également présents.

 

saint-denis

 

 

 

Source Source2: Christianophobie.fr

 

Lausanne: Le collectif d’extrême gauche Jean Dutoit reçoit une lettre de soutien de Simonetta Sommaruga

Dans un immeuble squatté à la Blécherette, un collectif de migrants vit l’exil européen entre solidarité, précarité et espoir. Reportage.

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Lettre du Conseil fédéral

Le collectif a défrayé la chronique à diverses reprises depuis le printemps 2015, lorsque plusieurs dizaines de migrants ont formé un campement sauvage à Renens. Jean Dutoit a depuis pris racine en région lausannoise à la faveur de diverses occupations et adopte à présent un ton résolument militant. Jeudi soir, ses membres ont manifesté à Lausanne en réaction à la mort d’un des leurs lors d’une intervention de la police municipale. Mais ce n’est pas tout. En novembre dernier, le collectif a diffusé sur Facebook un rapport de plus de 200 pages revendiquant une amélioration de la situation des migrants africains en Suisse, à la fois menacés de renvoi, sans accès au travail, cibles de racisme et victimes de violences policières répétées.

 

 

24h

 

Le document a été envoyé à diverses autorités, dont la Municipalité de Lausanne, le Conseil d’État, et même le Conseil fédéral. Le collectif a reçu une réponse inattendue, celle de Simonetta Sommaruga, cheffe du Département fédéral de justice et police, en charge de la migration. Dans sa lettre, elle salue l’engagement du collectif en faveur des personnes migrantes et les efforts qu’il déploie pour améliorer leur sort.

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Source

Genève: D’ici à fin 2018, plus de 2200 clandestins devraient être régularisés. Pour Pierre Maudet, il faut “protéger cette population vulnérable”.

L'Etat juge positif le bilan à mi-parcours de l'opération Papyrus. D'ici à fin 2018, plus de 2200 clandestins devraient être régularisés.

«Le climat actuel sur les questions de migrations est compliqué. Mais l’Etat doit agir pour réduire la vulnérabilité d’une population qui est là, qui existe», a martelé ce mardi le Conseiller d’Etat Pierre Maudet, chargé de l’économie.

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Source et article complet via le Facebook du PNS

 

Italie : Castel Volturno, petite ville fantôme près de Naples, tombée aux mains des gangs nigérians et des clandestins africains

Au nord de Naples, une station balnéaire abandonnée a été réinvestie par les clandestins africains et les gangs nigérians qui règnent sur la prostitution et le trafic de cocaïne.

A Castel Volturno, il n’y a plus de noms de rue. Les panneaux ont été effacés. Dans cette station balnéaire fantôme, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Naples, les rues sont défoncées. Et il y a bien longtemps qu’on ne ramasse plus les ordures. La poste a fermé. L’école, l’église, le commissariat aussi.

A Castel Volturno, il n’y a plus de droit, il n’y a plus d’Etat. La moitié des habitants sont des clandestins africains qui occupent des pavillons décatis devenus des squats. Dans ces quartiers à l’abandon, la mafia nigériane est comme chez elle. Elle règne sur la prostitution et le trafic de drogue. A chaque coin de rue, un cerbère contrôle sa portion de territoire, un bâton dans une main et un téléphone dans l’autre. A Castel Volturno, une journaliste ne se promène pas sans escorte.

Mieux vaut être accompagnée, comme ce fut mon cas, par deux policiers en civil, revolver à la ceinture. Les seules femmes que l’on croise sont des prostituées nigérianes, le plus souvent mineures, que leurs souteneurs font travailler sur la via Domitiana, le long de la mer. Tarif : de 10 à 15 euros la passe. Certaines s’offrent même pour 5 euros.

Source

France. Pass Navigo : les étrangers en situation irrégulière bénéficieront à nouveau d’une réduction de 75 %

Le tribunal administratif de Paris a annulé la suppression de la réduction tarifaire pour les étrangers en situation irrégulière décidée par Valérie Pécresse. La région Ile-de-France va faire appel.

Février 2016, le Stif, Syndicat des transports d'Île-de-France, décide de mettre un terme à la réduction de 75% sur le Pass Navigo pour les bénéficiaires de l'AME, l'aide médicale d'Etat. Valérie Pécresse applique là une promesse de campagne dans cette région qu’elle gagnée en 2015 après 17 ans de règne socialiste. Pierre Serne, l’ancien vice-président EELV du conseil régional d'Île-de-France, en charge des transports, avait alors déposé un recours. Ce dernier a finalement eu gain de cause. Le tribunal administratif de Paris a en effet annulé la suppression des aides aux transports dont bénéficiaient les étrangers en situation irrégulière.

« Une prime à l’illégalité »

Pour justifier sa décision, le Tribunal s’est appuyé sur la loi SRU, par laquelle les réductions sociales dans les transports s’appliquent uniquement sur des critères de revenus et ne pourraient donc pas dépendre de la régularité du séjour en France. “Nous sommes contents, car c'est une vraie victoire, pas seulement politique, pour les milliers de personnes concernées”, réagit le conseiller régional EELV sur France Info.

Dans un communiqué, la région estime que « cette réduction tarifaire qui n’est pas appliquée dans toutes les agglomérations françaises est une prime à l’illégalité, puisqu’elle bénéficie à des personnes qui n’ont pas le droit de séjourner sur le territoire français ». Et Valérie Pécresse d’interpeller le gouvernement en l’invitant à « clarifier sans délai la législation pour lever l’ambiguïté relevée par Tribunal administratif ». Alors qu’Emmanuel Macron est décrié partout pour la prétendue fermeté de sa politique migratoire, la présidente de la région pointe du doigt une incohérence : « si les étrangers en situation irrégulière, à la différence des demandeurs d’asile, n’ont pas vocation à rester sur le territoire français, il n’y aucune raison de leur accorder la quasi gratuité des transports ».

De leur côté, les élus régionaux du FN ont publié un communiqué dans lequel ils dénoncent cette “incitation criante à l’immigration clandestine” qui serait aussi un “avatar de la préférence étrangère à l’œuvre dans le pays”.

Source: Valeurs Actuelles

Grèce : Des migrants clandestins musulmans tentent de pénétrer de force en Europe (vidéo)

Ce que les médias ne vous montreront pas

Des clandestins musulmans massés dans la ville de Thessalonique, en Grèce, ont tenté de forcer le passage vers la république de Macédoine afin de rejoindre l’Europe de l’Ouest pour la coloniser.

Source BREIZATAO – ETREBROADEL (16/11/2017)

Une journaliste suisse du Temps arrêtée et mise en cause pour aide à l’entrée de clandestins: « une intolérable attaque contre la presse »

«Le Temps» considère la mise en cause et l’interrogation de son envoyée spéciale en France, à Briançon comme intolérable. Cette expérience laisse un âpre constat: même en France, les droits des journalistes peuvent être bafoués

Le Temps via Fdesouche.com


La journaliste du Temps s’y est rendue dans la matinée. «L’interrogatoire a duré deux heures, témoigne Caroline Christinaz. J’ai expliqué ma présence au col de l’Echelle: un reportage.» La journaliste invoque la protection des sources pour refuser de livrer des informations sur les personnes avec lesquelles elle se trouvait. Elle en fait de même pour les migrants. […] Quand elle les interroge sur le statut de cette audition, on lui répond qu’elle est mise en cause dans une procédure pour aide à l’entrée, à la circulation ou au séjour irrégulier d’étrangers sur le territoire français. […]

Le Temps


13/11/2017

C’est le quotidien suisse Le Temps qui le révèle. Une de ses journalistes effectuait ce week-end un reportage sur les migrants dans le col de l’Echelle. Elle se trouvait dans une voiture conduite par un habitant du Briançonnais, suivie d’une seconde voiture où un journaliste français avait pris place comme passager.

Dans le col, les voitures se sont arrêtées pour prendre en charge quatre migrants « transis de froid » selon le journal suisse.

A Val-des-Prés, les deux voitures ont été arrêtées par la gendarmerie. Les quatre migrants ont été embarqués par les militaires.

La reporter suisse s’est quant à elle retrouvée convoquée en gendarmerie pour une audition de deux heures qui scandalise son journal.

Tessin: Condamnée pour avoir fait entrer des clandestins, la socialiste Lisa Bosia refuse de démissionner.

La députée socialiste au parlement tessinois et éducatrice sociale Lisa Bosia Mirra a été reconnue coupable jeudi d'incitation répétée à l'entrée illégale. Elle avait fait passer la frontière italo-suisse à 24 immigrés clandestins en août 2016.

(...)

Au terme du procès, Lisa Bosia Mirra a assuré qu'elle entendait recourir contre sa condamnation, quitte à aller jusque devant la Cour européenne des droits de l'homme s'il le faut. Elle a également souligné qu'elle ne démissionnerait pas de ses fonctions institutionnelles tant que le jugement ne deviendra pas effectif.

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Source et article complet

Nos remerciements à notre lectrice

 

L’Italie redoute l’arrivée de terroristes parmi les clandestins tunisiens

Avec le flux continu des migrants dans la Méditerranée et le risque terroriste ascendant, l’Italie a commencé à focaliser plus les bateaux dits fantômes qui transportent des migrants tunisiens vers ses cotes, et qui suscitent la crainte des autorités quant à l’arrivée davantage de terroristes.

Selon The Time, les chiffres indiquent que 5000 Tunisiens sont arrivés sur les petits bateaux en Sicile, Lampedusa et Linosa depuis juin. Les procureurs soupçonnent que certains de ces bateaux fantômes, qui se glissent sur les plages italiennes la nuit, ont été chargés à partir de navires masqués comme bateaux de pêche.

« Beaucoup de Tunisiens naviguent de Bizerte et Sfax en Tunisie et disparaissent dès qu’ils arrivent en Italie, laissant des vêtements mouillés sur les plages. En août, un sweat-shirt a été retrouvé avec le slogan «Haters Paris» – Ennemis de Paris) et une image d’une Tour Eiffel à l’envers, une preuve considérée comme une référence aux attaques terroristes en 2015 », indique la même source.

« Parmi ces migrants, il se peut qu’il y ait des personnes liées à des associations terroristes internationales », a déclaré Luigi Patronaggio, procureur.

Vendredi dernier, la police marine italienne a intercepté un navire en provenance de la Tunisie, se dirigeant vers la Sicile, avec 116 migrants à bord et cinq trafiquants.

Source Via CivilWarInEurope

Source2 

Saint-Brieuc : Les migrants clandestins exigent des logements gratuits, l’extrême-gauche menace

L’afflux de migrants clandestins se renforce dans les villes bretonnes et ceux-ci, appuyés par l’extrême-gauche, font valoir leurs diverses exigences. A Sant-Brieg (Saint Brieuc), des congolais fraîchement débarqués ainsi que des musulmans albanais ont ordonné aux autorités de leur fournir des logements gratuits.

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Révélations d’un avocat italien : comment nos lois permettent aux clandestins de rester indéfiniment chez nous

Ils  les savent toutes, même s’il ne parlent aucune langue européenne ; comment savent-ils où aller et comment se dépatouiller en terre inconnue pour défendre des droits dont ils n’avaient, pour beaucoup aucune conscience dans leur pays d’origine ? Quelle a été leur formation dans ce domaine ? Qui les a instruits sur ces droits et ce qu’ils devaient faire ; parce qu’on ne part pas comme cela à l’inconnu en laissant ce que l’on peut avoir dans son pays d’origine, la famille, la femme, les enfants ?!

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France: 75% des clandestins interpellés restent en France

Les “retours forcés” n’ont pas dépassé 13 000 expulsions l’an dernier, soit 16 % de moins qu’en 2015.

“Les ‘retours forcés’ n’ont pas dépassé 13 000 expulsions l’an dernier, soit 16 % de moins qu’en 2015, rapporte Le FigaroEn intégrant tous les types d’éloignements (contraints, aidés et même les départs ‘spontanés’), ce sont les trois quarts des clandestins qui restent donc en France”, soit 24 707 personnes sur les 91 000 interpellées.

Pour les sept premiers mois de l’année, le nombre d’éloignements d’illégaux a augmenté de près de 5 %, ajoute le quotidien. Et celui des ressortissants des pays tiers à l’Union européenne, venus surtout d’Afrique ou d’Asie, a augmenté de 10 %.

Mais le flux de migrants, lui, se poursuit. “À Paris, porte de la Chapelle, 75 % des migrants qui se présentent sont des déboutés du droit d’asile, venus principalement d’Allemagne”, a confié un proche du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, au Figaro.

France : Cédric Herrou, passeur de clandestins “Les gendarmes m’accueillent, j’ai les croissants le matin. Je ressors en pleine forme de la garde à vue, sans aucune poursuite.”

On rappelle que cet individu est soutenu par la Licra et la Ligue des Droits de l'homme.

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Le 5 janvier 2017, Cédric Herrou, surnommé le passeur de migrants, comparaît devant le tribunal correctionnel de Nice. Le jeune homme de 37 ans, agriculteur dans la vallée de la Roya (Alpes-Maritimes), est poursuivi pour aide à l'immigration clandestine. La justice lui reproche d'avoir transporté des Erythréens, des Soudanais et des Maliens entre l'italie et la France.

Le parquet requiert huit mois de prison avec sursis contre Cédric Herrou, qui ne regrette rien de ses actes : "Ce n'est pas en stigmatisant des gens qu'on arrivera à réparer le problème. Pour protéger le droit de ces enfants et des ces familles que j'ai fait passer, j'ai dû me mettre dans l'illégalité. Si je dois continuer, je continuerai."

Finalement condamné à une amende avec sursis, Cédric Herrou a comparu à nouveau devant le tribunal car le parquet a fait appel. Le militant sera fixé sur son sort le 8 août 2017. En attendant, l'agriculteur est retourné vivre dans la vallée de la Roya, à la frontière italienne.

Dans son exploitation de produits bio, il continue à aider les migrants, ce qui lui a valu une nouvelle garde à vue à la fin du mois de juin. "C’est fou parce que les gardes à vue ne me font même plus peur, explique Cédric HerrouLes gendarmes m’accueillent, c’est presque normal, j’ai les croissants le matin. Le seul avantage, c’est que je peux dormir... Je fais des nuits de 15 heures en garde à vue, je ressors en pleine forme, et sans aucune poursuite. C’est quand même ma deuxième garde à vue sans poursuite."

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