L’échec face à la pandémie porte un nom: Alain Berset et son OFSP

L’actuel régime Covid-19 imposé par la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral coûte aux contribuables 750 millions de francs – par semaine. Bien qu’il fût évident dès le début de la pandémie que des tests et des vaccinations permettraient aux gens de vivre et de travailler librement, le département d’Alain Berset, ministre de la santé, a échoué sur toute la ligne. La liste des manquements est longue:

gestion ratée de la crise: selon des articles parus dans la presse, la Protection de la population et la Défense ABC avaient déjà mis en garde fin 2019 contre la pandémie. C’est ce que révèlent des interviews du Center for Security Studies (CSS) de l’EPF de Zurich. Le 30 janvier 2020, l’OMS a incité la Suisse à activer sa gestion de la crise. Le ministre de la santé Berset et son Office fédéral de la santé publique (OFSP) continuaient de dormir tranquillement. L’état-major de crise Covid-19 n’a été constitué que le 20 mars 2020, mais sans que ses interfaces et tâches n’aient été précisées. L’acquisition de matériel de protection a été négligée. On a préféré raconter à la population que les masques respiratoires ne servaient à rien – pour imposer trois mois plus tard une obligation de porter un masque.

stratégie de vaccination ratée: on a de la peine à le croire, mais des pays comme la Serbie, le Maroc et le Chili vaccinent plus rapidement que la Suisse. La stratégie de vaccination du ministre de la santé Berset et de son OFSP est un échec: ses auteurs n’ont pas tenu compte des retards de livraison; le vaccin Astra-Zeneca commandé n’était pas autorisé en Suisse alors que le vaccin Johnson&Johnson, qui est admis en Suisse, n’a pas été commandé; l’offre de Lonza de participer à la production du vaccin Moderna en Valais a été superbement ignorée; idem pour le vaccin russe Sputnik V. Résultat: la campagne de vaccination prend du retard, causant des dommages immenses sur les plans humains, économiques et financiers. L’actuel régime Covid-19 coûte 750 millions de francs par semaine aux contribuables suisses.

vaccination sans plan: l’OFSP fixe de façon arbitraire les objectifs de la vaccination. Le ministre de la santé Berset a récemment annoncé que « d’ici à la fin juin nous aurons suffisamment de vaccins pour permettre la vaccination de la partie de la population qui le souhaite ». Maintenant, on nous annonce que toutes les personnes qui souhaitent se faire vacciner recevront leur première dose fin juin. La deuxième dose devra attendre fin juillet.

interprétation arbitraire du taux de positivité des résultats des tests Covid-19 de mars 2021. Les paramètres sont recalculés à bien plaire sans que l’on explique pour quelles raisons. De plus, l’OFSP ne compte que les tests positifs.

manque de transparence des données: le ministre de la santé Alain Berset ne cesse d’annoncer de nouvelles ouvertures – à condition que la situation épidémiologique le permette. Mais il veille avec l’aide de l’OFSP pour que la situation ne le permette pas en calculant mal les indicateurs nécessaires ou en modifiant la méthode de calcul. On attend de surcroît toujours une base de données fiable.

les tests qui ne viennent pas: le ministre de la santé Berset multiplie également les annonces concernant les tests. La réalité est qu’en Allemagne les autotests peuvent déjà être achetés dans les magasins discount alors que la population suisse les attend toujours. Berset a annoncé des tests dans les pharmacies sur tout le territoire de la Confédération – la grande majorité des pharmacies n’y sont même pas préparées.

communication chaotique: les membres de la task-force se contredisent et contredisent le Conseil fédéral en public. La confusion est complète.

alarmisme: la task-force scientifique peint le diable sur la muraille. Le variant du virus pourrait provoquer jusqu’à 20’000 contagions par jour, affirme-t-elle. Actuellement on compte 20’000 nouvelles infections en deux semaines, soit 14 fois moins.

grossières violations de la protection des données personnelles par l’exploitant de la plateforme de vaccination mesvaccins.ch désigné par l’OFSP et qui est censé produire le certificat de vaccination électronique officiel. Le département Berset a tout simplement ignoré les critiques des mois durant. A en croire les médias, l’OFSP ne demande même pas un test de sécurité. Anne Levy, directrice de l’OFSP, a tenté de se sortir d’affaire en affirmant que l’OFSP n’était qu’un partenaire parmi beaucoup d’autres et que le responsable du site internet incriminé était une fondation privée.

L’UDC invite avec insistance le ministre de la santé Alain Berset et la majorité de centre gauche du Conseil fédéral

  • à tenir enfin leurs promesses et à respecter leurs annonces concernant les tests et les vaccinations.
  • à augmenter immédiatement la capacité des services de soins intensifs et l’effectif du personnel nécessaire à leur exploitation afin que la pandémie puisse enfin être combattue par des mesures ciblées – et sans enfermer une fois de plus la population dans un confinement complet.
  • à exiger enfin un test auprès des voyageurs qui entrent en Suisse par la voie terrestre. Les frontaliers notamment doivent être testés chaque semaine.
  • à lever immédiatement les mesures de fermeture actuelles. Le taux d’occupation des lits en soins intensifs ayant massivement baissé, les gens et les entreprises doivent à nouveau pouvoir vivre et travailler le plus librement possible tout en respectant les concepts de protection.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/lechec-face-a-la-pandemie/

Le Conseil fédéral s’entête et ignore les cantons et les commissions parlementaires, mais la Gauche aime le confinement

Le Conseil fédéral s’entête et ignore les cantons et les commissions parlementaires! C’est un véritable affront de sa part que de refuser de lever plus rapidement les restrictions. La population et les entreprises continueront donc de supporter les chicaneries du gouvernement. Le conseiller fédéral Berset a réussi à faire passer toutes ses propositions et les deux conseillers fédéraux PLR n’ont manifestement pas le courage de le stopper.

Le Conseil fédéral s’entête et ignore les cantons et les commissions parlementaires! C’est un véritable affront de sa part que de refuser de lever plus rapidement les restrictions. La population et les entreprises continueront donc de supporter les chicaneries du gouvernement. Le conseiller fédéral Berset a réussi à faire passer toutes ses propositions et les deux conseillers fédéraux PLR n’ont manifestement pas le courage de le stopper.

  • L’UDC continue de demander la réouverture immédiate de toutes les branches et de toutes entreprises appliquant des concepts de protection.
  • Il faut mettre fin le plus rapidement possible à cette domination antidémocratique du Conseil fédéral.
  • Manquant de courage, les deux conseillers fédéraux PLR laissent manifestement agir Alain Berset à sa guise – au détriment des emplois suisses et des finances fédérales (de nouvelles dettes par milliards de francs et, par conséquent, des hausses d’impôts en sont la conséquence inévitable).

Marco Chiesa, président de l’UDC Suisse: « Les gens ont envie de vivre. La politique du Conseil fédéral rend malade une population saine. »

Esther Friedli, conseillère nationale et restauratrice: « C’est une pure chicanerie que d’empêcher les restaurants de rouvrir alors qu’ils ont mis en place des concepts de protection exemplaires. »

Monika Rüegger, conseillère nationale et initiatrice de la pétition « Des bistros pour les travailleurs »: « Plus de 300’000 personnes ont signé deux pétitions en faveur de la réouverture immédiate des restaurants. Le Conseil fédéral s’en moque complètement. »

Céline Amaudruz, conseillère nationale: « La politique sans courage du Conseil fédéral détruira encore plus de places de travail et de formation. »

Le Conseil fédéral exerce une domination antidémocratique

La majorité des cantons ont demandé avec insistance une levée plus rapide et plus large des restrictions. A côté de la commission de la santé du Conseil national, la commission de l’économie du Conseil des Etats (par 8 voix contre 2!) a exigé la réouverture des terrasses et des restaurants le 22 mars prochain.

D’une manière parfaitement antidémocratique le Conseil fédéral ignore les avis des cantons et des commissions des deux chambres législatives fédérales. Le conseiller fédéral Alain Berset n’a pas la moindre considération pour les plus de 300’000 signataires des pétitions « Stop Lockdown » et « Des bistros pour les travailleurs ».

Cette politique dictatoriale du Conseil fédéral doit cesser. Le gouvernement ne doit plus pouvoir décider seul des mesures de fermeture! L’UDC a déposé à cet effet par l’intermédiaire de la conseillère nationale Magdalena Martullo-Blocher une intervention à la commission de l’économie: « Avant d’édicter des mesures ayant des conséquences économiques importantes comme l’interdiction d’exercer certaines professions ou la fermeture d’exploitations, il (le Conseil fédéral) doit demander l’assentiment des commissions parlementaires concernées. » Cette disposition doit être ajoutée à l’article 1 de la loi Covid-19.

Le refus d’ouvrir même les terrasses des restaurants est une pure chicanerie et une démonstration de force. Cette décision ne repose sur aucune base de données valable. Le canton des Grisons, qui permet depuis deux mois l’ouverture des terrasses dans les stations de ski et qui a lancé le programme de tests de masse de loin le plus important de Suisse, se situe, en ce qui concerne les valeurs définies par le Conseil fédéral, largement en dessous de la moyenne suisse et aussi sous la valeur à partir de laquelle le Conseil fédéral prévoit l’ouverture de tous les restaurants! Bref, les mesures du Conseil fédéral sont simplement des chicaneries et il est d’autant moins compréhensible que les deux conseillers fédéraux PLR soutiennent le programme Covid-19 parfaitement arbitraire d’Alain Berset.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/le-conseil-federal-sentete-et-ignore-les-cantons-et-les-commissions-parlementaires/

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La gauche est satisfaite, la droite et les restaurateurs ont la mine défaite

Des branches économiques catastrophées, des partis politiques divisés: les réactions aux annonces du Conseil fédéral n’ont pas tardé.

Yannick Weber, Christine Talos, Maria Pineiro

[...]

Pour GastroSuisse, il n’y a aucune donnée scientifique qui indique que les restaurants sont des lieux où le niveau d’infection est plus élevé qu’ailleurs. Le Conseil fédéral, lui, rappelait qu’il analysait toujours la situation à l’aune «de faits établis».

[...] Conseil fédéral, le Parti socialiste prenait également position, pour saluer des décisions qui avaient été prises de manière «scientifiquement fondée».

La gauche demande plus d’aides

«Le PS se félicite que le Conseil fédéral resserre les rangs, s’en tienne à sa ligne de conduite raisonnable et planifie des mesures d’ouverture scientifiquement fondées. Associée à la campagne de vaccination, cette stratégie donne à la population une perspective pour ce printemps et cet été», dit le PS, qui réitère sa demande d’une meilleure efficacité des aides économiques. Les Verts ont aussi jugé satisfaisante la position du Conseil fédéral.

Pour l’UDC, Keller-Suter et Cassis sont des mauviettes

L’UDC, elle, conserve son ton habituel: «un véritable affront», «les chicaneries du gouvernement»… Le parti, dont nul n’ignore le peu d’amour qu’il porte à Alain Berset, ne manque d’ailleurs pas l’occasion de traiter les deux conseillers fédéraux PLR de mauviettes: «Le conseiller fédéral Berset a réussi à faire passer toutes ses propositions et les deux conseillers fédéraux PLR n’ont manifestement pas le courage de le stopper.»

Le PLR, lui, dans des termes modérément critiques, dit que la consultation du Conseil fédéral «n’en portait que le nom» et que le fait qu’il n’y ait même pas d’ouvertures partielles dans la gastronomie est «incompréhensible». Economiesuisse dénonce également les hésitations du gouvernement.

Au centre, pour le président des Vert’libéraux Jürg Grossen, le Conseil fédéral n’a pas cédé aux pressions «de ceux qui ne savent plus s’ils sont un parti gouvernemental ou d’opposition», dit-il en guise de pique à l’adresse de l’UDC.

Alain Berset peut-il donc faire tout ce qu’il veut avec ce pays ?

Le ministre de la santé et son OFSP produisent les pannes à la chaîne. Dernier exemple en date: l’acquisition de doses de vaccin et le plan de vaccination. Et voilà qu’Alain Berset veut tout simplement reporter la décision sur l’assouplissement du confinement. Cette politique arbitraire doit cesser! L’UDC exige du Conseil fédéral qu’il décide la semaine prochaine de lever le confinement au début du mois de mars.

Le ministre de la santé Alain Berset a fait annoncer aux médias de Suisse romande que le Conseil fédéral ne déciderait pas – comme prévu – mercredi prochain d’un éventuel assouplissement du confinement, mais seulement le 24 février. Il resterait donc juste quatre jours (!) aux entreprises pour réagir. Berset recourt manifestement à toutes les combines possibles et imaginables pour empêcher une levée raisonnable des restrictions.

La question surgit avec de plus en plus d’instance: Alain Berset peut-il donc faire tout ce qu’il veut? Alors que les conseillers fédéraux UDC Ueli Maurer et Guy Parmelin se battent contre la politique Covid-19 destructrice du gouvernement, les autres conseillers fédéraux prétendument de droite se sont apparemment retirés de la scène – admettant ainsi des dommages durables pour notre pays.

 

Qu’est-ce que la population suisse doit encore accepter?

  • 8,5% des salariés sont au chômage partiel.
  • Le chômage a passé à 3,7%.
  • La Suisse subira une vague de faillites jamais observée jusque-là.
  • Chaque jour de confinement coûte 144 millions de francs. La classe moyenne et les générations devront payer l’addition de cette mauvaise politique par des hausses d’impôts.
  • Des milliers de personnes perdent leur place de travail et de formation.
  • D’innombrables exploitations craignent pour leur existence.
  • Les jeunes perdent toute perspective d’avenir.
  • Les dépressions, violences domestiques et suicides sont à la hausse.

 

Et comment se présente la politique du Conseil fédéral?

L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) multiplie les pannes: manque de matériel de protection au printemps dernier, informations contradictoires sur les masques respiratoires, traçage des contacts qui ne fonctionne pas, absence de concept national de protection des homes pour personnes âgées et homes médicalisés, mesures arbitraires et contradictoires, débâcle de l’acquisition de vaccins et du plan de vaccination.

Le conseiller fédéral Berset et son OFSP tentent de détourner l’attention de leurs erreurs en multipliant les mesures draconiennes. Pendant ce temps, cette politique de confinement destructrice génère des dommages sociaux, sociétaux et économiques de plus en plus lourds.

 

L’UDC exige du Conseil fédéral qu’il décide le 17 février de la fin du confinement

L’UDC poursuit une stratégie claire depuis mars 2020: protéger efficacement les groupes à risque, mais permettre au reste de la population de vivre et travailler librement tout en respectant des mesures de protection efficaces comme la distanciation sociale, l’hygiène et le port de masques aussi longtemps que la pandémie de Covid-19 est aiguë. La pétition « Stop Lockdown » confirme que des centaines de milliers d’habitants de la Suisse soutiennent cette politique.

Nous exigeons que le Conseil fédéral décide – comme prévu – le 17 février de mettre fin au confinement début mars – pour que la population suisse puisse à nouveau vivre et travailler.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/alain-berset-peut-il-donc-faire-tout-ce-quil-veut-avec-ce-pays/

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Il est réjouissant que la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral ait en partie au moins repris les exigences de l’UDC et soit revenue sur la voie de la raison dans sa politique contre la pandémie de Covid-19:– les voyageurs entrant en Suisse en provenance d’une région à risque devront présenter un test PCR;

– la stratégie de test est modifiée en ce sens que dans les institutions de soins et dans les hôpitaux un plus grand nombre de tests sera imposé, notamment pour le personnel soignant;

– les écoles restent ouvertes et l’enseignement direct en classe est garanti au moins pour le degré primaire.

L’UDC a été le seul parti à présenter fin mars 2020 déjà une stratégie claire contre la propagation du virus. L’élément central en est la protection de la santé de la population, notamment des groupes à risque, tout en réduisant au maximum les dommages économiques et sociaux.

On saluera donc la décision du ministre de la santé Alain Berset de renforcer enfin les contrôles aux frontières et la protection des résidants des homes pour personnes âgées et des homes médicalisés. En revanche, le maintien du confinement est fatal. Les conséquences de ce choix sont désastreuses. La politique du conseiller fédéral Berset détruit des milliers d’emplois et coûte aux contribuables suisses quelque 6 millions de francs par heure, soit 144 millions de francs par jour. Et il ne s’agit là « que » des dépenses publiques. Ce chiffre ne tient pas compte des dommages économiques qui se compteront par milliards de francs.

Au lieu de lever le confinement et de laisser enfin les gens travailler, la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral préfère allouer une rallonge d’environ 8,5 milliards de francs pour les cas de rigueur et le financement de l’assurance-chômage – et cela bien que tous les indicateurs clés concernant le coronavirus soient nettement à la baisse.

Cette mauvaise politique Covid-19 alourdit la dette. Selon des estimations d’experts, l’endettement brut de la Suisse passera de 93,7 milliards de francs fin 2019 à plus de 130 milliards et approchera donc le sommet de l’endettement public suisse de l’année 2005. Ainsi, les efforts de 15 années de remboursement de la dette publique auront été complètement annihilés en deux ans seulement. Il est prévisible que la population laborieuse, soit la classe moyenne, devra supporter sous la forme de hausses d’impôts les conséquences de cette politique Covid-19 erronée.

L’UDC exige donc avec insistance que  

  • les magasins et les restaurants, qui ont mis en place des concepts de protection exemplaires, puissent immédiatement rouvrir leurs portes;
  • la Suisse veille immédiatement à s’assurer un approvisionnement suffisant en vaccins pour accélérer la vaccination de la population.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/enfin-le-conseil-federal-sinspire-de-la-strategie-covid-19-de-ludc/

Alain Berset impose un deuxième confinement pour détourner l’attention de ses propres défaillances

L’UDC s’oppose clairement au durcissement des mesures de protection contre la pandémie de Covid-19 envisagé par le conseiller fédéral Alain Berset. Le ministre de la santé cherche en effet avant tout à détourner l’attention de ses propres défaillances dans cette crise: matériel de protection, traçage des contacts et maintenant vaccination de la population. Alain Berset préfère détruire des branches entières et des dizaines de milliers d’emplois au lieu de développer enfin des concepts de protection efficaces pour les éléments les plus vulnérables de notre société. L’UDC invite donc le Conseil fédéral à retirer ce dossier des mains d’Alain Berset.

La gestion de la crise par Alain Berset est désastreuse. Les défaillances du ministre de la santé marquent tel un fil rouge le déroulement de la pandémie de Covid-19:

– au début de la pandémie, la Suisse manquait de matériel de protection. Au lieu de combler immédiatement cette lacune, le ministre de la santé a fait diffuser par tous les canaux l’information selon laquelle les masques de protection étaient inutiles.

– au lieu de stopper immédiatement la libre circulation des personnes en réaction aux taux de contamination élevés en France et en Italie, le Conseil fédéral s’est aplati devant l’UE, abandonnant du même coup la protection de la santé de sa propre population.

– le Conseil fédéral a manqué également durant la deuxième vague de la pandémie d’imposer des tests rapides et des règles de quarantaine aux frontières. Ce gouvernement préfère enfermer sa propre population, boucler des branches économiques entières et détruire des emplois.

– plus de neuf mois après le début de la pandémie la Suisse ne dispose toujours pas d’un concept de protection national contraignant et efficace pour les éléments les plus vulnérables de la société. Le fait est que la moitié des décès dus de la pandémie de Covid-19 ont lieu dans des homes pour personnes âgées et des homes médicalisés.  Ces personnes ne se sont certainement pas infectées dans des restaurants, des bars, des centres de fitness, des cinémas ou centres commerciaux. Il est de toute évidence plus simple pour Alain Berset de donner le coup de grâce à des branches économiques entières que de protéger ce groupe à risque clairement défini.

– le traçage des contacts et l’app Covid-19 ne fonctionnent pas. Le ministre de la santé fait également mauvaise figure dans l’organisation du vaccin: l’achat de doses de vaccins a été tout simplement raté.

– on ne dispose toujours pas en Suisse de statistiques et de données fiables constituant une base de décision solide. Au lieu de faire avancer les choses dans ce domaine, le conseiller fédéral Berset préfère jouer au yo-yo avec l’économie, exiger des concepts de protection pour ensuite les lever, imposer au rythme hebdomadaire des fermetures et réouvertures et pousser ainsi à la ruine des dizaines de milliers de personnes.

Le Conseil fédéral in corpore doit retirer ce dossier des mains d’Alain Berset

Pour toutes ces raisons l’UDC s’oppose avec détermination aux nouveaux durcissements envisagés par Alain Berset. Notamment la fermeture des commerces, qui n’offrent pas des produits de première nécessité, rend la situation des arts et métiers encore plus difficile.

Le travail à domicile obligatoire et le droit des salariés, qui ont des problèmes de santé comme une pression sanguine excessive, de prendre congé au cas où elles ne peuvent pas travailler au domicile ou dans le cadre d’un concept de protection imposent aux employeurs des charges financières de plusieurs milliards de francs.

L’UDC demande au Conseil fédéral de lever immédiatement les mesures prises contre les restaurants ainsi que contre les installations de sport, de loisirs et culturelles. Idem pour les restrictions des heures d’ouverture des commerces. Il va de soi que les concepts de protection en place doivent être strictement respectés.

Notre société ne peut pas, de plusieurs points de vue, s’offrir le luxe d’un deuxième confinement comme celui imposé au printemps 2020. L’UDC invite donc de surcroît le Conseil fédéral in corpore à retirer ce dossier des mains du ministre de la santé Alain Berset.

Lire ici la réponse détaillée de l’UDC à la consultation sur les durcissements projetés.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/alain-berset-impose-un-deuxieme-confinement-pour-detourner-lattention-de-ses-propres-defaillances/

Suisse : “En plein coronavirus, la Confédération a vendu des masques de mauvaise qualité et à des prix exorbitants en toute connaissance de cause”

En plein pic de la pandémie, la Confédération avait allégé les exigences, notamment en termes de normes de certification, pour l’importation de masques, à condition que ceux-ci soient utilisés par la population (dans les transports, les magasins, etc) mais en aucun cas par le personnel médical. Mieux valait alors des masques douteux à des prix exorbitants plutôt que rien du tout. «Il y avait urgence, et un tel abaissement était acceptable», estime la FRC dans une prise de position sur Facebook.

[...]

«Le BPA (bureau de prévention des accidents) a lui alerté en juillet sur le fait que près de 60 % des masques FFP2 ou K95 destinés aux professionnels ne répondaient pas aux normes.

[...]

«La FRC a constaté cet été que les organismes compétents n’étaient pas toujours prompts à assumer leur responsabilité et qu’avec les fournisseurs et importateurs, ils ont tendance à se renvoyer la balle», note la fédération.

20min.ch

 


Note : L'article est biaisé. Les masques sont arrivés après le pic. Pendant le pic de mars/début avril justement, Berset et l'OFSP clamaient encore que "les masques ne servaient à rien".

 

 

Les ventes de masques (de mauvaise qualité) ont débuté le 27 avril dans les grandes surfaces, au lieu de les faire parvenir directement dans chaque foyer.

Le journaliste fait semblant de ne pas s'en souvenir pour dédouaner le socialiste Berset. On peut aisément deviner le sort qui aurait été réservé à un UDC si celui-ci avait été responsable du département de la santé.

S'ils nous mentent ainsi sur des éléments aussi flagrants, imaginez pour le reste.

 

Rappels :

Coronavirus : Berne n’a cessé de mentir sur le port des masques. « Lors de la crise, des fonctionnaires fédéraux conservaient une partie des stocks pour eux, tout en décourageant le port du masque à la population. »

Avec 2 mois de retard, l’OFSP « recommande le port du masque si les distances ne peuvent être respectées »

Quand il est trop tard, le Conseil fédéral veut acheter 550 millions de masques

Le Matin : « Ces autorités qui nous ont menti sur les masques de protection »

Suisse : L’Etat savait que l’on manquerait de masques

Coronavirus : Un responsable de l’OFSP nous explique qu’il y a une pénurie mondiale de masques et qu’il n’a rien prévu

RTS: Faut-il généraliser le port du masque en public? La Suisse dit toujours non

Daniel Koch assure que le pays est préparé et affirme qu'il faut relativiser.

Coronavirus : De nombreuses protections en Suisse ne sont pas aux normes. La faute aux autorités.

La faute aux autorités qui auraient importé en urgence des millions de masques avec des certifications mensongères.

 

https://youtu.be/_8yTucCnObg

 

Nos remerciements à Victoria Valentini


 

Rappel de l'histoire :

Tout d'abord Berset soutient que le port du masque ne sert à rien pour les personnes saines (alors qu'il existe des malades asymptomatiques, bien entendu, il évite soigneusement d'en parler). Et cela en contradiction avec des experts. En clair, il tente de cacher l'incompétence de l'OFSP en racontant n'importe quelle stupidité. Pendant que le socialiste en chef nous mène en bateau, certains fonctionnaires fédéraux payés par nos impôts (et bien informés eux) en profitent pour se servir dans les maigres stocks de masques qui sont disponibles à ce moment-là.

En ce même début d'année, Madame Magdalena Martullo-Blocher déclenche les ricanements et le mépris des individus de gauche et de notre presse parce qu'elle porte un masque. La PLR Isabelle Moret en profite pour exhiber son autoritarisme ridicule. Morale de l'histoire, il ne faut surtout pas avoir raison avant les autres, mais bien faire partie des individus sans discernement, la médiocrité étant la norme d'excellence.

Durant cette même période, l''UDC exige la fermetures des frontières. Croyez-vous que la presse romande a rendu hommage à cette clairvoyance ? Non, évidemment, ce parti étant même accusé de récupération, cette vieille technique journalistique transformant le fait d'avoir raison en... tort. Pendant ce temps, les ONG exigent l'ouverture des ports, les migrants étant évidemment bien plus importants que la vie des Italiens, pourtant gravement touchés par la pandémie. Contrairement à l'UDC, imposer une telle immigration et mettre en danger la population locale ne provoque par de critique de la part des journalistes romands. On ne va pas taper sur les extrémistes de gauche tout de même?

Le Conseil fédéral achète alors en urgence des millions de masques chinois à un prix totalement surfait. Et cela alors que la Chine est responsable de la pandémie par le biais de sa censure et de sa répression (communisme oblige). Aujourd'hui, on ne sait pas ce que sont devenus les lanceurs d'alerte chinois et il y a peu de chance pour que nos médias s'y intéressent.

Evidemment, puisque les "stocks" sont à présent remplis, Berset ordonne que le port du masque devienne obligatoire dans certains lieux, les socialistes genevois prétendant même que c'est une "évidence" (C'est à cette arrogance et à cette hypocrisie qu'on les reconnait.). Berset a naturellement inversé la charge de la culpabilité en déclarant que le Suisse n'était pas discipliné. Bref c'est de notre faute. Lui il est parfait. Aucune excuse, aucune remise en question.

Vous pensez à présent que l'OFSP va envoyer gratuitement un paquet de masques par citoyen-contribuable puisque ces masques ont été achetés par le biais de nos impôts? Perdu! Il les revend par l'intermédiaire des grands magasins. Très sympathique pour les personnes âgées qui ne peuvent pas se déplacer facilement et le risque de propagation. Bien évidemment, pendant que notre administration nous fait passer à la caisse deux fois pour des masques Made in China de mauvaises qualité, le Conseil fédéral en profite pour verser 400 millions de nos francs aux autres pays.

A présent, on découvre que l'absence totale de préparation de l'OFSP, non seulement a coûté très cher aux Suisses mais a débouché sur l'achat de matériel non conforme.

C'est sans doute cela que nos autorités appellent "prévoir". Bien entendu, suite à ces erreurs professionnelles flagrantes, il n'y a eu aucun licenciement, l'administration étant très forte lorsqu'il s'agit de se protéger et de prendre le peuple pour un imbécile.

On a même pu voir un Daniel Koch fêter sa retraite devant les médias. Le même Koch qui prétendait que "la Suisse était prête". Visiblement certains ne connaissent pas les termes "faire profil bas" ou "avoir des scrupules".

Et comme on est en Suisse, les autorités ne condamnent pas ceux qui n'ont pas fait leur travail dans notre administration alors qu'ils sont payés comme des rois, mais le simple citoyen au moindre écart :

Masque suspendu au rétro: gare aux amendes

"la facture s’annonce salée pour ceux qui les rangent de manière inappropriée dans leur voiture."

20min.ch

Pour finir, lorsqu'il s'agit de nos politiciens, on n'hésite pas à injecter notre argent pour les protéger:

Coronavirus: du plexiglas a envahi le Palais fédéral, à Berne

 

 

 

14 juillet – Alain Berset : «Cette crise nous a rapprochés»

Rappel: des masques de protection avaient été "bloqués" en pleine pandémie par la France.

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Invité du président Emmanuel Macron à la cérémonie officielle du 14 juillet, le conseiller fédéral a appelé mardi à aller «au-delà des frontières» pour renforcer la lutte contre le coronavirus.

«Le virus ne s’est pas arrêté aux frontières. Et nous non plus. Nous avons été en mesure de les dépasser.» Tels sont les mots employés par le conseiller fédéral Alain Berset lors de la cérémonie officielle du 14 juillet, organisée sur la Place de la Concorde, à Paris. Le Fribourgeois était l’invité de Emmanuel Macron, aux côtés des ministres de la Santé allemand, autrichien et luxembourgeois.

52 malades accueillis en Suisse

Le président français a tenu à remercier la Suisse d’avoir accueilli 52 patients malades du coronavirus ce printemps. Ils furent placés dans les hôpitaux de quinze cantons après que l’épidémie a durement frappé le sud de l’Alsace.

«Cette crise nous a rapprochés», a assuré le conseiller fédéral dans une déclaration à l’occasion du déjeuner. [...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/cette-crise-nous-a-rapproches-766181708632

Coronavirus : Après avoir martelé durant des mois que le port du masque ne servait à rien, Berset veut à présent le rendre obligatoire dans les transports publics

Disant s’appuyer sur une source fiable, le quotidien alémanique avance que le conseiller fédéral Alain Berset souhaite que cette obligation soit adoptée et mise en oeuvre dès ce soir, à minuit.

Si la mesure était adoptée elle s’appliquerait à tous les transports publics du pays à l’exception des téléphériques, selon le «Tages-Anzeiger».

[...]

Le Matin


Rappels :

Avec 2 mois de retard, l’OFSP « recommande le port du masque si les distances ne peuvent être respectées »

Coronavirus : La vidéo de l’OFSP qui montre comment mettre un masque est une catastrophe

Le Matin : « Ces autorités qui nous ont menti sur les masques de protection »

Suisse : L’Etat savait que l’on manquerait de masques

Coronavirus : Un responsable de l’OFSP nous explique qu’il y a une pénurie mondiale de masques et qu’il n’a rien prévu

RTS: Faut-il généraliser le port du masque en public? La Suisse dit toujours non

Avec 2 mois de retard, l’OFSP “recommande le port du masque si les distances ne peuvent être respectées”

- Si les distances de sécurité ne peuvent être respectées, l'Office fédéral de la santé publique recommande désormais le port d'un masque et il a diffusé une vidéo montrant comment le porter et l'éliminer correctement.

- Des précisions ont été données sur la réouverture des écoles dès le 11 mai. Chaque canton a dévoilé les modalités de ce retour sur les bancs d'école.

- Le Conseil fédéral a débloqué jeudi un total de 400 millions de francs pour aider les pays en développement face au Covid-19.

- Le nombre de nouveaux cas de coronavirus tendait à repartir à la hausse jeudi en Suisse, avec 179 enregistrés, contre 140 mercredi et 100 mardi. Mais les chiffres peuvent beaucoup fluctuer, selon l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). A ce jour,1423 personnes sont décédées des suites de la maladie et 29'586 cas ont été confirmés en laboratoire, selon le dernier bilan d'OFSP. Du côté des cantons, un total de 1734 décès était signalé jeudi à la mi-journée.

[...]

Rts.ch


CFF: deux mètres de distance ou des masques

«Gardez deux mètres de distance entre vous et les autres voyageurs, dans les gares, dans les bus et dans les trains; et si ce n’est pas possible, mettez un masque». C’est en substance le «concept de sécurité» présenté par les CFF et CarPostal jeudi après-midi, en prévision du retour dans les transports publics de nombreux pendulaires au fur et à mesure que la vie reprendra un rythme normal dès le 11 mai.

20min.ch


Rappels :

Daniel Koch assure que la Suisse est préparée et affirme qu'il faut relativiser

Coronavirus : Un responsable de l’OFSP nous explique qu’il y a une pénurie mondiale de masques et qu’il n’a rien prévu

Quand il est trop tard, le Conseil fédéral veut acheter 550 millions de masques

Le Matin : « Ces autorités qui nous ont menti sur les masques de protection »

Suisse : Le Conseil fédéral appelle aux dons de masques de protection

Les Américains appelés à se couvrir le visage. Berset persiste à dire que le masque ne sert que “pour les malades”

Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi que les autorités sanitaires conseillaient désormais aux Américains de se couvrir le visage lorsqu'ils sortent de chez eux.

Cette décision des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), autorité de santé nationale aux Etats-Unis, est «seulement une recommandation», a souligné M. Trump lors d'un point de presse.

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Bluewin.ch


Suisse. Coronavirus : plus de 200 personnes contaminées. “Les pendulaires doivent continuer à s’exposer au danger”

La Confédération déconseille les déplacements aux heures de pointe. Les syndicalistes exigent désormais de la flexibilité, tandis que Pro Bahn affirme que de nombreux pendulaires n'ont de toute façon pas d'alternative.

Se laver les mains régulièrement ou ne pas se serrer la main ne suffit plus : vendredi, le ministre de la santé Alain Berset a présenté de nouvelles recommandations dans la lutte contre le coronavirus. Elles s'adressent en particulier aux pendulaires.

  • Réduisez vos voyages de loisirs. Évitez autant que possible de voyager aux heures de pointe.
  • Les employeurs doivent rendre les horaires de travail de leurs employés aussi flexibles que possible afin d'éviter les heures de pointe.
  • Restez aussi loin que possible des autres personnes dans les transports publics.

L'Association des transports publics soutient la mesure : "Selon la définition officielle, l'heure de pointe en semaine se situe entre 6 et 9 heures du matin et entre 16 et 19 heures du soir".

Daniel Koch, chef du service des maladies transmissibles à l'OFSP, a souligné : "Il est vraiment important d'éviter les heures de pointe, et les employeurs devraient aider autant que possible.

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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

20Minuten.ch


L'Uni de Zurich annule encore des cours

Le coronavirus contraint l'Université de Zurich à annuler tous les cours sur les sites de l'Hôpital universitaire et du bâtiment de mathématiques et des sciences environnementales.

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Italie: 49 nouveaux décès en 24 heures

L'Italie a enregistré 49 nouveaux décès liés au coronavirus en 24 heures, soit 197 morts au total depuis le début de l'épidémie, selon un nouveau bilan publié vendredi par la Protection civile.

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Plus de 200 cas confirmés en Suisse

La Suisse recense vendredi 210 cas confirmés de coronavirus et un décès, a annoncé Daniel Koch, responsable de la division maladies transmissibles de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP).

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TDG

 

Berset qualifie l’initiative UDC d’anti-prospérité

Le président de la Confédération estime que l'initiative pour l'autodétermination oeuvre contre la «prospérité» suisse. Alors qu'il a défendu le multilatéralisme lundi à Genève, Alain Berset dit n'avoir été interpellé par aucun dirigeant étranger sur cette votation.

[...] «Nous sommes dans un débat de politique intérieure» et seuls les Suisses doivent prendre la décision.

«Pour la Suisse, opposer le droit national et les accords internationaux» est «négatif», dit-il. «Cette initiative nous mène sur un chemin qui n'est pas celui de la prospérité pour notre pays».

Prospérité suisse remise en question

La Suisse est le pays qui bénéficie du revenu par habitant le plus élevé au monde et l'un des taux de chômage les moins importants, fait-il remarquer. «On pourrait toujours faire mieux mais cela pourrait être beaucoup moins bien», dit le président. «Cette situation exceptionnelle dans le monde est le résultat d'une politique qui serait remise en cause avec la votation du 25 novembre».

«Peut-être qu'un immense pays, une super-puissance mondiale, pourrait encore défendre l'idée qu'on peut faire sans» les accords internationaux, dit-il. Il n'a fait allusion à aucun acteur, alors que les Etats-Unis se sont retirés de plusieurs engagements importants récemment, le dernier d'entre eux ce week-end avec le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire.

«Pays important»

De son côté, «un micro-Etat pourrait défendre l'idée que ce qui se passe ne dépend pas de lui». Or la Suisse n'est ni l'un, ni l'autre, selon le président. «Nous sommes un pays important» qui a «besoin de règles internationales claires».

«Il ne faut pas opposer le fonctionnement national au fonctionnement international. Ce n'est pas ou bien, ou bien. Ce sont les deux». La Suisse doit défendre ses intérêts tout en collaborant avec d'autres, insiste le président. Il relève qu'un tiers des emplois de ce pays «dépendent d'une bonne relation stable avec l'extérieur».

Lundi dans son discours, M. Berset a lancé un vibrant plaidoyer pour le multilatéralisme face au «repli nationaliste» observé chez certains. [...]

«Quelle est la place des organisations internationales, celle des Etats-nations», ajoute-t-il. Lui défend l'importance de la collaboration internationale dans le monde. Et il relève également que la valeur ajoutée de celle-ci a permis à des centaines de millions de personnes de sortir «de la plus extrême des pauvretés». (ats/nxp)

source:

A l’ONU, Berset milite contre le repli sur soi et le nationalisme. “Notre monde en sortira appauvri spirituellement et culturellement.”

Dans son discours devant l'Assemblée générale de l'ONU à New York, le président de la Confédération Alain Berset a plaidé pour une meilleure coopération entre les Etats. Il a mis en garde contre le nationalisme, l'égoïsme et l'isolationnisme.

«Notre monde en sortira appauvri spirituellement et culturellement. Nous aurons moins d'idées à disposition pour affronter les défis futurs. Nous ne pourrons plus tirer profit des expériences positives d'autrui. Et nous partirons seuls à la recherche de solutions pour des problèmes qui ne peuvent être résolus qu'ensemble», a affirmé le ministre suisse.

(...)

20 Minutes.ch

Immigration via la Méditerrannée: Lorsque les migrants musulmans jettent les chrétiens par-dessus bord et les tuent. (Vidéo)

Petit rappel pour l'individu qui nous sert de "Président de la Confédération" prétendant que nous devons nous ouvrir, pendant que les musulmans font exactement l'inverse:

 

 

Des migrants ont jeté d'autres migrants car ils n'avaient pas la même religion. En pleine nuit, les chrétiens ont été poussés à l'eau.

Pour les socialistes, vouloir se protéger de telles immigrations est "xénophobe", "nationaliste", "un repli sur soi": une pathétique manipulation des mots et des faits qui vise à nous faire accepter l'inacceptable.

Pendant ce temps, les Marocains, les Algériens, les Tunisiens, les Libyens, les Tchétchènes, les Afghans, les Turcs... peuvent revendiquer leur hyper-nationalisme sans aucun problème, sans aucune remise en question, sans devoir subvenir aux besoins d'une immigration de masse ni être stigmatisés par un quelconque discours politique.

Notre presse invente un héros: “Berset se fâche avec l’UE.”

L'Union Européenne en tremble encore...

Promotion gratuite du socialiste. Ou comment les journalistes inventent un titre flatteur pour un individu qui ne représente rien sur la scène internationale.

On a beau lire et relire l'article, les réponses de Berset sont convenues au possible. Pas un mot au-dessus de l'autre. Aucun grief qui ne soit mesuré.

Mieux, Berset veut donner des leçons de politiques internationales, alors que son propre parti a applaudi le versement de 1,300 milliard sans aucune contrepartie. Cela laisse rêveur.

Berset arrive même à prétendre que le mépris de Juncker vis-à-vis du pays hôte n'est en aucun cas un problème. On comprend bien sa tentative de masquer l'humiliation de la Suisse face à un individu qui prend le pays hôte pour un paillasson, après avoir été accueilli comme un roi aux frais des contribuables.

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Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, est à Davos. Mais là, pas de rendez-vous… Est-ce la résultante des tensions actuelles entre Suisse et UE?

On a parfois l’impression en Suisse, ou dans ses médias du moins, que nous devrions courir après l’UE. Cela ne se passe pas comme ça. S’il y a bien des partenaires qu’on peut voir facilement, ce sont les partenaires européens. Davos est l’occasion de soigner des contacts un peu moins courants. Cela dit, je croiserai peut-être Monsieur Juncker dans les couloirs du Forum.

La Suisse a été remise sur une liste grise des paradis fiscaux par l’UE en décembre. Comment réagissez-vous à cette décision?

J’ai immédiatement manifesté mon incompréhension. Et je crois que, justement, elle a été comprise par bien des États (Nd Christian Hofer: La "preuve", la Suisse est toujours sur la liste grise...). Nous avons fait des avancées importantes, notamment en passant à l’échange d’information automatique avec les pays de l’UE, nous revoyons aussi la fiscalité des entreprises. Comment comprendre dès lors d’être à nouveau sur une liste grise?

Nous avons en Suisse une immense tendance à nous plaindre et à nous faire plus petit que nous ne le sommes. Voyez notre force dans d’innombrables domaines comme la recherche. Nous sommes forts mais nous devons le rester, car ce n’est pas un hasard.

(...)

Source et article complet

 

Le Conseiller fédéral socialiste Berset veut supprimer les primes de caisse maladie trop basses

Pour récupérer 800 à 900 millions, Alain Berset songe à supprimer les franchises élevées. Les assurés à primes réduites passeront à la caisse.

Ces dernières – fixées à 2000 et 2500 francs – sont en effet dans le collimateur de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) selon une information parue hier dans la NZZ am Sonntag.

Contactée par «Le Matin», l’autorité confirme l’existence de ce projet dans le cadre de la stratégie «Santé 2020» mais minimise.

L’office voudrait que les assurés en bonne santé ou allant peu chez le médecin passent aussi à la caisse.

Source

Rappel: Vaud débloque 110,2 millions pour l’accueil des requérants