Houthalen-Helchteren (Bel.) : un demandeur d’asile refusant de se laver les mains car il y a de l’alcool dans le gel hydro-alcoolique menace de tuer les Chrétiens

Un demandeur d’asile afghan du centre des demandeurs d’asile de Houthalen-Helchteren dans le Limbourg a été arrêté par la police dimanche après avoir menacé de mener une attaque pour la deuxième fois cette semaine. Cela rapporte Het Belang van Limburg . L’Afghan a souvent causé des problèmes dans le centre d’asile et est également soupçonné d’infractions sexuelles.

Plus tôt cette semaine, le demandeur d’asile afghan était déjà troublé parce qu’il refusait de se laver les mains, ce qui doit maintenant être fait régulièrement au centre d’asile dans la lutte contre le virus corona. Cependant, l’Afghan a refusé car il y avait de l’alcool dans le savon et il n’a pas été autorisé à l’utiliser pendant le Ramadan. La situation a dégénéré et l’Afghan a commencé à tousser et à cracher sur les employés du centre.

Vendredi, l’Afghan a de nouveau provoqué une agitation dans le centre des demandeurs d’asile pour des raisons similaires. Cette fois, il a également commencé à menacer les employés du centre des demandeurs d’asile. Par exemple, il a dit qu’il voulait couper la gorge des chrétiens et se faire exploser pour tuer autant de chrétiens que possible. La police a été prévenue et l’a emmené au poste de police.

Le week-end dernier, l’homme a été présenté au juge d’instruction, qui a décidé de l’arrêter. Il est également soupçonné de crimes sexuels commis plus tôt cette année.

Sceptr.net / Hbvl.be

Via Fdesouche


Rappels :

Strasbourg : la communauté monastique lui offre généreusement un toit, le migrant afghan agresse un prêtre avec un couteau

Calais : une femme enceinte violée en pleine rue par un migrant afghan

France : Un Afghan demandeur d’asile armé d’un couteau menaçait la police

Leipzig (All.) : Une femme tuée par les coups de son ex-petit ami originaire d’Afghanistan

Suède : une femme pasteur fait évader un migrant afghan d’un centre de rétention en le cachant dans une valise

Coronavirus : le Carnage Belge

L'heure n'est pas encore au bilan, pays par pays, de la gestion du COVID-19 ; mais une chose est sûre : la Belgique est le cœur d'un immense carnage.

Tout a commencé en 2015, quand le gouvernement du Premier ministre Charles Michel (actuel président du Conseil européen) a décidé de détruire l'intégralité du « stock stratégique » de 63 millions de masques de protection, - y compris 1200 palettes du précieux masque FFP2 - soigneusement stockés et gardés par l'armée dans ses casernes de Belgrade, à Namur. Ces masques étaient « périmés », a déclaré la ministre de la Santé, Maggie De Block, toujours en poste. « Pas du tout », a fait savoir le principal syndicat de l'armée belge, « ces masques ont été incinérés ... pour transformer les lieux en « logements pour les réfugiés ». En 2015, la Belgique et l'Europe ont été submergés par les migrants que la chancelière allemande Angela Merkel avait invité et que les lois de l'Union européenne et la Convention européenne des droits de l'homme ont empêché d'expulser.

L'ensemble du stock stratégique de masques a donc été incinéré, et jamais remplacé - une décision de De Block qui, compte tenu de la régularité des épidémies et des pandémies, équivaut à un délit. « Gouverner, c'est prévoir », a déclaré Emile de Girardin.

Quand la pandémie de coronavirus a atteint la Belgique, ce malheureux pays n'avait presque plus de masques - zéro masques pour les citoyens, zéro masques pour la police, zéro masques pour les maisons de retraite et presque zéro masques pour les hôpitaux.

La pandémie a d'abord éclaté en Italie avant de se répandre en Belgique. En raison des liens économiques étroits que les industries italiennes du textile et de la mode entretiennent avec la Chine, l'Italie du Nord a été l'épicentre de la pandémie en Europe. L'Italie a attendu le 31 janvier pour rompre ses relations aériennes avec la Chine, - une date bien trop tardive –, car le 21 février, plusieurs villes italiennes étaient déjà en confinement.

Nombre de Belges, notamment dans le sud de la Belgique (Wallonie), ont des racines italiennes, mais plus nombreux encore sont les Belges qui aiment l'Italie. Si bien qu'entre le 22 et le 23 février, en pleine pandémie, des dizaines de milliers de Belges ont profité des fêtes du Carnaval pour se rendre en Italie sans que le gouvernement belge lance un quelconque avertissement.

Quand ces touristes belges sont rentrées d'Italie, principalement à travers les deux principaux aéroports belges - Bruxelles-Sud (Charleroi) et Bruxelles (Zaventem) – aucun filtre n'a été installé. L'Italie avait bien instauré un contrôle à leur arrivée, mais au retour les autorités belges n'ont pas levé le petit doigt. À l'époque, la ministre de la Santé, Maggie De Block, a déclaré que le contrôle de la température corporelle était inutile et que la fermeture de la frontière n'avait aucun sens : « Un virus ne s'arrête pas aux frontières » avait-elle affirmé. Le Dr Marc Wathelet a bien tenté d'alerter le ministre, mais De Block l'a traité de « dramaqueen » (reine du drame), un tweet qu'elle a ensuite très vite supprimé. Ces Belges non dépistés en provenance d'Italie semblent avoir joué un rôle-clé dans la propagation de l'épidémie en Belgique.

Début mars, le gouvernement de la Première ministre Sophie Wilmès - du Mouvement Réformateur, le même parti de centre-gauche que son prédécesseur Charles Michel -, n'a rien objecté à la possibilité offerte aux Belges de participer à des rassemblements de masse comme le Salon Batibouw (immobilier), la Foire du Livre ou la manifestation de la Journée internationale de la femme le 8 mars. Le 8 mars, en Italie, 366 personnes étaient déjà mortes du virus.

Le 23 mars, quand Wilmès est passée à l'action, ce fut sous forme de directives interdisant au secteur privé de proposer ses services dans le domaine des masques et des médicaments. Le gouvernement s'est arrogé le monopole de l'action.

Malheureusement, ces politiciens professionnels et leurs "experts" n'avaient guère d'expérience dans le domaine du commerce international. Le premier lot de masques commandé par le gouvernement belge n'a tout simplement jamais été livré ; les masques de la seconde commande n'ont été efficaces que pour faire du café. Et quand un entrepreneur belge s'est proposé de faire livrer plusieurs millions de masques aux autorités, il a été vilipendé et traité d'« escroc » - sans aucune preuve - - mais , « Hé, nous sommes dans l'urgence, nous n'avons pas le temps d'apporter des preuves ! »

Début avril donc, deux mois après la propagation de la pandémie en Europe, non seulement la Belgique était toujours en panne de masques, mais les professionnels de santé – on n'évoque même pas le cas de citoyen lambda – ont été exposés quotidiennement au risque de contagion sans quasi aucune protection.

La Belgique étant vide de masques, le gouvernement a annoncé qu'ils n'étaient nullement nécessaires. Ce sommet de l'ineptie gouvernementale est encore en ligne sur le site personnel de la ministre de la Santé Maggie De Block : « Compter sur un masque pour se protéger du coronavirus n'a pas de sens ».

A défaut de masques, il aurait été possible d'affronter le virus avec des tests de dépistage- une pratique que recommande l'Organisation mondiale de la santé (OMS) elle-même. Les tests sont simples à développer et, en cas de pandémie, représentent une première réponse efficace. Les capacités médicales de la Belgique sont énormes - hôpitaux, médecins, laboratoires publics et privés et puissants groupes chimiques cotés en bourse - et les dépenses publiques dans le secteur de la santé sont parmi les plus élevées du monde. Les tests offraient donc au gouvernement belge une occasion de rattraper son inaptitude criminelle sur les masques.

Mais cette perche n'a pas été saisie. Sans aucune raison logique, le gouvernement belge a concédé un monopole de fait sur les tests de dépistage au laboratoire d'un certain Marc Van Ranst de l'Université catholique de Louvain. Comme pour les masques, le secteur privé s'est retrouvé exclu et les tests, qui faisaient cruellement défaut au premier jour, ont continués d'être rationnés.

La décision Van Ranst est d'autant plus surprenante que ce dernier est certes médecin, mais aussi très actif en politique. L'homme qui a été couronné « M. Tests » pour toute la Belgique est un communiste avoué et un ennemi obsessionnel d'Israël ; il s'est ainsi déclaré très fier d'avoir inventé l'expression « Gazacaust ».

Quand des sociétés privées ont développé de nouvelles techniques de test, le gouvernement belge a immédiatement prétexté leur manque de fiabilité pour les interdire.

Pas de masques, pas de dépistage et presque pas de tests - telle est la situation de la Belgique au milieu de la pire pandémie depuis la grippe espagnole de 1918. Cette situation dramatique découle entièrement des misérables décisions du gouvernement belge. Quand Wilmès a autorisé des sociétés privées comme GlaxoSmithKline à produire des tests, rompant ainsi avec le monopole de fait qu'elle avait elle-même créé, il était beaucoup trop tard.

Malheureusement, cette triste histoire d'incompétence criminelle ne s'arrête pas là. Le pire était encore à venir. Constatant qu'en Italie et en Alsace, certains hôpitaux croulaient sous le nombre de patients atteints par le coronavirus, le gouvernement belge a pris sans doute sa pire décision depuis 1945 : en cas d'infection par le coronavirus, les résidents des maisons de retraite étaient assignés à demeure dans leurs établissements. Pas d'hospitalisation pour les personnes âgées !

Cette directive, en sus de l'absence presque totale de masques et de tests, a eu des conséquences cataclysmiques - décès, décès et toujours plus de décès. La Belgique ne parle plus d'une épidémie mais de deux épidémies : une qui sévit dans la population générale et l'autre dans les maisons de retraite.

Près de 50% des décès par coronavirus en Belgique ont eu lieu dans des maisons de retraite. Malgré les efforts souvent héroïques de leur personnel, les maisons de retraite belges se sont refermées comme des pièges mortels sur leurs résidents. Pour parer au risque de contamination, les personnes âgées meurent seules dans leur chambre et ne sont même pas autorisées à voir leur famille une dernière fois, - une autre idée du gouvernement belge qui a été affirmée, annulée, puis réaffirmée.

Pas de masques, pas de tests, transformer les maisons de retraite en pièges mortels : on comprend désormais pourquoi la Belgique est n°1 dans le classement mondial des décès par coronavirus par habitant - dix fois plus que l'Allemagne. [1]

Ce carnage belge, entièrement dû à l'incompétence tragique des « élites » belges - était totalement évitable.

source: https://fr.gatestoneinstitute.org/15939/coronavirus-carnage-belge

Drieu Godefridi, auteur belge libéral classique, est le fondateur de l'Institut Hayek à Bruxelles. Il est titulaire d'un doctorat en philosophie de la Sorbonne à Paris et dirige également des investissements dans des entreprises européennes.


[1] L'ineffable Maggie De Block a annoncé qu'elle « recompterait » les décès dans les maisons de retraite, puisque certaines personnes ont été incluses dans les statistiques alors qu'elles n'étaient « suspectées » de coronavirus. Mais de nombreux pays ont inclus des « cas suspects » dans leurs statistiques - y compris les États-Unis.

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Pourquoi la Belgique connaît-elle une flambée épidémique aussi grave ? (vidéo en anglais)

source de la vidéo:

https://www.theepochtimes.com/perspectives-on-the-pandemic-why-a-small-nation-like-belgium-is-having-a-major-virus-outbreak_3327227.html

Une juge belge recadre un mari violent qui revendiquait ses origines turques pour expliquer sa violence à l’égard de sa femme

Une juge belge recadre un mari violent qui revendiquait ses origines turques pour expliquer sa violence à l'égard de sa femme

 

Bruxelles : Des “jeunes” immigrés attaquent des véhicules de police pendant le confinement (Vidéos)

Des "jeunes" migrants de Bruxelles, en Belgique, ont attaqué et bombardé la police de pierres et d'objets lourds dans la nuit de vendredi à samedi après-midi. Selon les premiers rapports, les émeutiers auraient même volé une arme à feu dans un véhicule de police détruit.

Les émeutes ont commencé en réponse à un accident mortel survenu à Anderlecht, à Bruxelles, après qu'un jeune de 19 ans ait tenté de fuir un contrôle de police. Après que la nouvelle de l'accident se soit répandue, les jeunes migrants ont commencé à s'encourager mutuellement sur les médias sociaux afin de se venger de la police, rapporte le journal flamand Het Nieuwsblad.

"Malgré le confinement et l'interdiction des rassemblements, les médias sociaux avaient appelé à un rassemblement le samedi après-midi à Anderlecht", a déclaré la porte-parole de la police, Adeline Roty.

 

 

 

Il n'a pas fallu longtemps pour que les émeutes commencent. De grands groupes de jeunes migrants ont déclenché plusieurs incendies dans la région et ont bombardé la police de bouteilles en verre, de pierres et de gros objets. Deux policiers ont été blessés, un véhicule de police a été complètement détruit, et d'autres véhicules de police ont subi des dommages importants pendant les violences.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Sceptr.net / Voiceofeurope.com

 

Le stock de masques belge détruit «pour faire de la place» aux réfugiés

L’adjudant qui avait la mission de veiller sur le fameux stock stratégique de masque partis en fumées réfute les explications de notre ministre de la Santé, Maggie De Block, et ça vaut vraiment le détour…

« Deux hangars de 30 mètres sur 50, remplis à ras bord avec environ 1.200 palettes contenant des dizaines de milliers de boîtes. C’était le stock stratégique de masques sur lequel j’étais chargé de veiller à la caserne de Belgrade », se souvient l’adjudant, qui a pris sa pension, Marc Caekebeke, témoin de choc dans cette sombre affaire de destruction de notre stock stratégique de masques !

(…)Et de développer : « Les hangars étaient secs et fermés. Les boîtes n’étaient pas endommagées. Il y avait juste une seule fois une martre qui a mordu dans deux boîtes, mais c’est tout ! Le reste était en excellent état et il me semble donc que la raison principale qui a pu justifier la destruction de ce stock stratégique est le manque de place ! En 2015, le gouvernement avait décidé que la Croix-Rouge allait utiliser une partie de ces hangars pour accueillir des réfugiés et il fallait faire de la place ». « Je me souviens que le médecin chef du SPF Santé Publique de l’époque, nous a dit lors de l’une des phases de destruction : « Pourquoi ne donnerions-nous pas ces masques à l’Afrique ? Là-bas, ils pourront toujours les utiliser ». Ce dernier n’était d’ailleurs pas vraiment convaincu de l’utilité de cette opération de destruction pourtant décidée par son SPF ou au niveau politique. Personnellement, je suis convaincu que ces masques auraient actuellement été d’une grande utilité pour les caissières des supermarchés ou les policiers qui sont maintenant sans rien », s’indigne-t-il. « Plusieurs chauffeurs, qui ont convoyé les masques à brûler, ont pris quelques boîtes pour leur propre usage. D’autres boîtes sont arrivées jusque dans une association carnavalesque et j’en ai pris quelques-unes pour mes hommes. On était un service d’entretien au sein de l’armée et on faisait beaucoup de petits travaux qui faisaient beaucoup de poussière. Ces masques tombaient donc à pic ».

La Capitale.be via Belgicanews

via Fdesouche

Belgique. 5 millions de masques ont disparu, le SPF Santé publique porte plainte pour fraude et accuse une entreprise turque

L'entreprise de Turquie qui devait livrer des masques à la Belgique d'ici dimanche soir fait l'objet d'une enquête pour fraude, indique le cabinet de la ministre de la Santé Maggie De Block. Les chances que les masques soient livrés comme prévus sont "minimes", reconnaît-on du côté de Mme De Block.

[...]

5 millions d’euros

La Belgique avait effectué cette commande, comprenant différents matériels de protection pour un montant de cinq millions d'euros, dans le cadre d'un achat groupé européen, il y a plusieurs semaines. Les produits étaient destinés aux généralistes et aux hôpitaux. Un montant de 3,5 millions d’euros avait déjà été versé.

La justice soupçonne principalement le producteur turc. Celui-ci a-t-il finalement décidé de vendre les masques à un client plus offrant?

“Gros problème”

Le virologue Marc Van Ranst avait déjà évoqué plus tôt dans la journée le fait que la fenêtre de livraison était en train de se fermer. "Pourtant, nous avons vraiment besoin de ces masques. Nous faisons face à un gros problème", a-t-il alerté.

[...]

7sur7.be

Via Fdesouche

Belgique : un homme de 73 ans est mort après avoir été tabassé gratuitement par un demandeur d’asile afghan

Jos Haex (73 ans) est décédé jeudi à 7h30 à l’hôpital. L’homme était dans le coma depuis janvier après avoir été attaqué par un demandeur d’asile afghan.

(…) Quelques semaines avant d’attaquer Jos, le migrant a même été contraint à l’internement en psychiatrie, mais il a été libéré après une courte enquête.

(…) La famille de la victime attend des réponses : « Si cet homme a réellement des problèmes psychiatriques, pourquoi pouvait-il se promener librement? Tous les demandeurs d’asile ne sont-ils pas contrôlés pour cela ? (…) »

HLN.be


23/01/2020

[…] Jos Haex, un septuagénaire de Linde (Limbourg), a été victime lundi d’une agression gratuite alors qu’il se promenait dans un bois. L’homme est dans le coma. Un demandeur d’asile afghan qui se trouvait à proximité des lieux a été arrêté mercredi. L’affaire est un mystère pour l’instant.[…]

Patrick, son fils, espère obtenir rapidement des réponses. “Tout est un grand point d’interrogation. Je ne peux comprendre ce qui est arrivé à notre père. Je ne connais personne avec un caractère aussi calme. Il ne ferait pas de mal à une mouche. On pense tout le temps que ce genre de choses se passe loin d’ici. »

[…]

7sur7

Via Fdesouche

Bruxelles : Lancement d’une campagne contre la radicalisation islamique

La cellule PRE-RAD de Bravvo, le service de prévention de la Ville de Bruxelles, a lancé samedi en début d’après-midi, au carrefour de l’Europe à Bruxelles, une campagne de sensibilisation au radicalisme violent intitulée «Et toi, la radicalisation, t’en penses quoi ?». Elle s’étalera sur tout le mois de février.

 

 

Cette campagne de prévention vise en premier lieu les jeunes de 12 à 25 ans. Elle a été conçue en partant du constat qu’ils ont été les témoins d’un fait social d’une extrême violence, l’embrigadement idéologique, ces cinq dernières années.

[...]

Lacapitale.be

Nos remerciements à PierreBxl

Belgique : 10 000 Musulmans dans les rues de Molenbeek pour rendre hommage au prédicateur islamiste Rachid Haddach

Entre 5.000 et 10.000 personnes se sont rassemblées ce lundi après-midi à Molenbeek, à proximité de la Mosquée Al Khalil, où avait lieu la prière funéraire suite au décès du prédicateur Rachid Haddach.

 

 

 

 

Egalement professeur de religion islamique, l’homme était originaire de Molenbeek. Il s’est éteint dans la nuit de samedi à dimanche après une longue maladie.

L’homme était particulièrement populaire dans la communauté musulmane et publiait des vidéos sur une chaîne Youtube.

Plusieurs rues de la commune ont été barrées à la circulation, nous a indiqué la police.

BX1.be


Rachid Haddach, né le 11 août 1970 à Bruxelles (Belgique) et mort le 2 février 2020 dans la même ville, est un prédicateur, enseignant et conférencier belgo-marocain.

Il prône des discours de rassemblement à travers le spirituel. En 2016, il arrive à la quatrième place du podium parmi les imams francophones les plus consultés sur YouTube.

(…) Généralement présenté par les médias comme « une figure de la mouvance salafiste en Belgique », il est pourtant dénoncé comme n’étant pas salafi, notamment par le principal prédicateur salafi francophone Sulaiman Al-Hayiti.

La psychologue Virginie Leblicq suit les cours de Rachid Haddach pendant deux ans sans se convertir, jusqu’à ce qu’un jour de 2007, elle se décide. Dix ans plus tard, Virginie Leblicq se dit musulmane sunnite pratiquante.

En novembre 2012, il publie dans le réseau social Facebook : « Chers frères et sœurs après plus de 22 ans de conférences je suis dans l’obligation d’arrêter toutes mes activités de prédication pour régler un gros soucis de santé et qui me suit depuis très longtemps mais que je n’arrive plus a gérer. » Malgré une longue pause, Rachid Haddach fait son retour en organisant des conférences islamiques dans les mosquées bruxelloises. Elles sont diffusées en direct sur YouTube et suivi par la communauté musulmane francophone de Belgique, France, Suisse et Canada.

Accusations de radicalisme
En 2012, Rachid Haddach refuse de parler aux journalistes présents lors de sa conférence islamique qui l’accusent d’être un radical. Le prédicateur lance aux journalistes : « Vous, les journalistes, vous n’écrivez que des mensonges à notre sujet », visant leur reportage sur le milieu intégriste musulman bruxellois qu’a diffusé le média dans cette même année. Un journaliste du journal belge Le Soir cite également : « Si on écoute bien, on peut percevoir à quel point (le discours de Rachid Haddach) est radical. « Au lieu d’aller à l’école maternelle » conseille-t-il par exemple « les enfants doivent rester à la maison jusqu’à l’âge de six ans ». Rien d’illégal, l’école maternelle n’est pas obligatoire en Belgique. » Rachid Haddach est alors surveillé de près par la justice belge.

En 2016, il est accusé de radicalisme suite à une conférence islamique qui a lieu à Perpignan en France . Plus de cent personnes furent présentes lors de sa conférence à Perpignan . Sa venue à Bordeaux est par conséquent annulée suite à l’action d’une association opposée sa venue à Libourne, prévue pour début 2019.

Dans un ouvrage néerlandophone de Bilal Benyaich (nl) intitulé Islam en radicalisme bij Marokkanen in Brussel sorti en 2013, l’auteur décrit Rachid Haddach comme étant Un homme viril avec du charisme, connaissant le code de la rue, qui s’exprime dans un langage, mélangeant le français avec le dialect marocain pour une meilleure compréhension vis-à-vis de la jeunesse bruxelloise maghrébo-musulmane.

Wikipedia

Via Fdesouche

 

Nos remerciements à Victoria Valentini

Gand (Belgique) : une femme attaque deux personnes au couteau, la police ouvre le feu

La rue Bevrijdingslaan de Gand a été fermée dimanche soir après un incident impliquant des tirs. Une femme aurait été touchée et blessée à la main par les tirs des policiers, précise Het Laatste Nieuws. Elle aurait essayé d’attaquer deux personnes au couteau. Toujours selon nos confrères de Het Laatste Nieuws, les victimes blessées au couteau auraient été transportées à l’hôpital mais leur vie ne serait pas en danger. La police locale et le parquet de Flandre-Orientale mènent l’enquête sur ces faits mais ne sont pas encore en mesure de fournir de plus amples informations.

 

 

 

 

Un juge d'instruction a été convoqué et les faits font l'objet d'une enquête. Rien n'indique pour l'instant que l'incident survenu à la Bevrijdingslaan à Gand soit un acte de terrorisme.

[...]

Lesoir.be

Belgique : Muhammed Aytekin, qui avait renversé et tué la petite Merel, est libéré de prison. La mère de la victime « ne comprend pas »

Le chauffard s’était d’abord enfui à l’étranger avant de se rendre à la police le 2 novembre. Son permis lui avait déjà été retiré plusieurs fois au moment de l’accident.

(…) “Je n’ai pas de mots”, a pour sa part réagi la mère de Merel De Prins. “Cinq ans de prison, c’est cinq ans. Je ne peux comprendre une telle décision. »

Muhammed Aytekin (23 ans), l’homme qui a renversé Merel De Prins, 12 ans, à Vilvorde en octobre 2015, a été liberté sous conditions à la suite d’une décision du tribunal d’application des peines de Bruxelles. La juridiction a imposé 11 conditions à sa remise en liberté. Il doit avoir un travail stable, recevoir un accompagnement psychosocial approprié, indemniser ses victimes et rester à l’écart de celles-ci. L’avocat de M.A. espère que son client pourra désormais reconstruire sa vie tandis que les parents de Merel De Prins ont réagi avec incompréhension à la décision.

Le 28 octobre 2015, M.A. avait mortellement fauché Merel De Prins, 12 ans, qui circulait sur une piste cyclable à Vilvorde. Il avait pris la fuite immédiatement après la collision. Transportée à l’hôpital, l’adolescente avait succombé à ses blessures dans la soirée.

(…)

7sur7.be

Via Fdesouche

Belgique : Une bande de jeunes sème la terreur dans le village de Haacht

Depuis des mois, une bande de jeunes sème la terreur à Tildonk, une section de la commune de Haacht, dans le Brabant flamand. Une mère et sa fille témoignent de l’enfer que vivent les habitants du village dans les colonnes de Het Laatste Nieuws. “Les parents n’osent plus laisser leurs enfants dans la rue”, explique Marie, la mère de la jeune Sofie (prénoms d’emprunt).

 

 

Ils maltraitent également régulièrement les animaux du quartier et leur tirent dessus avec des pistolets à plomb. “Selon un ami, ils ont maintenant aussi de vraies armes à feu”, craint Sofie.

“Il y a quelques mois, ils sont entrés par effraction dans une école voisine pour tout détruire. Les dégâts ont été estimés à 30.000 euros”, ajoute-t-elle.

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7sur7.be

Un Marocain « extrêmement dangereux » recherché en Belgique

La police fédérale de Belgique est à la recherche d’Ismaïl Ouchen, un jeune homme potentiellement dangereux, et condamné récemment pour plusieurs peines.

A 25 ans, Ismaïl Ouchen est déjà impliqué dans plusieurs infractions. En août dernier, ce potentiel criminel dangereux a été condamné par la Cour d’appel de Bruxelles à 5 ans de prison pour des vols à mains armées perpétrés chez différents concessionnaires à travers le pays, rapporte 7sur7.be.

La même source précise qu’il a également été condamné en décembre à un an supplémentaire par la même instance judiciaire pour sa participation au vol de quatre voitures tout-terrain à Tirlemont en février 2017, et à une course-poursuite avec la police sur le ring de Bruxelles. Ces différents faits qui lui sont reprochés, ont été commis alors qu’il était en liberté conditionnelle, après avoir purgé une peine de 3 ans de prison pour une première condamnation de 5 ans, relève le même média.

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Bladi.net

Belgique : En séjour illégal et déjà 7 fois condamné, un Marocain tabasse un homme de 79 ans à terre puis le vole !

La cour d'appel du Hainaut a condamné mardi un Marocain en séjour illégal de 33 ans, Abdallah A., à quatre ans de prison ferme pour un vol avec violence commis dans une station de métro à Charleroi. La peine est moins sévère qu'en première instance, où l'homme avait écopé de six ans ferme en octobre dernier.

Mais ce n'était pas une première pour Abdallah, en séjour illégal depuis 2006, qui avait déjà été condamné six fois par le tribunal, et a notamment écopé de six ans de prison d'un précédent jugement.

Le 5 mars 2019, il avait purgé sa peine et sortait de prison. Et un mois après sa sortie, le 7 avril, il a agressé un septuagénaire dans la station "Beaux-arts" du métro de Charleroi le 7 avril 2019, pour lui voler son portefeuille et son téléphone portable.

La scène a été filmée et le passage à tabac a duré quatre minutes. Bernard, 79 ans, avait été mis à terre par une balayette, puis frappé alors qu'il était au sol.

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Dhnet.be

Nos remerciements à Josée-Christine Lavanchy-Trépe

 

«Le You» et «Aze2dine», des rappeurs bruxellois, suspectés d’avoir acheté une mineure française 2.000 euros pour la prostituer

Sept suspects, dont des rappeurs bruxellois, ont été placés sous mandat d’arrêt. Une mineure, signalée disparue en France, a pu être retrouvée, nous confirme Stéphanie Lagasse, porte-parole du parquet de Bruxelles. « Le dossier révèle que d’autres jeunes filles, ressortissantes françaises, auraient également été victimes de ces faits », précise-t-elle.

Selon nos informations, la victime recherchée en France a été revendue au prix de 2.000 euros…

Jusqu’à présent, sept suspects ont été arrêtés, dont deux rappeurs bruxellois qui se font appeler « Le You » et « Aze2dine ».

Au début de cette année, une Française âgée de 16 ans a été « vendue » par son petit ami à cette bande pour la somme de 2000 euros. Une semaine plus tard, cette jeune fille a été retrouvée en Belgique, non loin de Bruxelles. Entre temps, elle était contrainte de se prostituer par le biais d’un site internet.

Selon le parquet, les suspects (dont l’organisateur de la prostitution de la jeune fille) ont tous été placés sous mandat d’arrêt « du chef d’exploitation de la prostitution d’une mineure de plus de 16 ans avec la circonstance qu’il s’agit de l’activité principale d’une association et traite des êtres humains« .

Selon le parquet, il y aurait en France d’autres jeunes filles victimes de cette bande. Une enquête est en cours afin d’identifier ces dernières.

RTBF

 

Aze2dine

https://youtu.be/-QPfnHvXpjc

 

Aze2dine et Le You

https://youtu.be/1Lqtr9DgcDY

 

Via Fdesouche

Six djihadhistes d’origine marocaine perdent leur nationalité belge

Il s'agit d'hommes qui disposaient de la double nationalité belgo-marocaine. [...]

La décision est rendue publique jeudi dans divers quotidiens flamands. La Cour d'appel a retiré la nationalité belge de six militants de Sharia4Belgium, qui avaient été condamnés par contumace en 2015 pour terrorisme. Il s'agit des frères Ali et Said El Morabit, Ilyass Boughalab, Bilal Elhamdaoui, Azdine Tahiri et Fouad Akrich. Certains seraient morts en Syrie, mais le sort d'autres reste inconnu.

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Dhnet.be /  Bladi.net / 7sur7.be

Bruxelles : Les pompiers seront escortés par la police la nuit du Nouvel An. « Une situation digne d’un état de guerre »

Bruxelles  – Le SLFP dénonce une situation « digne d’un état de guerre ».

Pharmacie saccagée et pillée, poubelles et voitures en feu, pompiers agressés, etc : les images de la nuit de la Saint-Sylvestre 2019 à Bruxelles avaient fait le tour des réseaux sociaux, y compris à l’étranger. Pour éviter pareils incidents cette année, la bourgmestre de Molenbeek, Catherine Moureaux, a déjà annoncé mi-décembre des mesures de sécurité supplémentaires sur son territoire le soir de la Saint-Sylvestre, mardi prochain. Les poubelles seront ainsi déplacées. La présence des agents de quartier de la police sera renforcée. Mais ce n’est pas tout.

Selon nos confrères de la DH, une autre mesure a été prise pour éviter les débordements dans la capitale : celle d’escorter les pompiers par des policiers.

(…) « On va devoir devoir escorter des pompiers qui vont pourtant porter secours aux gens, est-ce normal ? Pas du tout ! Nous sommes en Belgique, pas dans un état de guerre ! Les politiques doivent à un moment donné, se demander comment on en arrive à une telle situation, à devoir escorter nos sauveteurs », s’exclame le président du SLFP Pompiers.

(…) « Les pompiers ont reçu une formation il y a quelques jours pour ‘bien réagir face aux agressions’. Est-ce normal d’en arriver là ? Je pose à nouveau la question à nos politiques. Bientôt, nous devrons intervenir pour sauver des vies avec des gilets pare-balles », termine celui qui redoute déjà le premier bilan de ce Nouvel An.

(…)

La Libre.be

Via Fdesouche

En Belgique, le nombre de mariages forcés a presque triplé en trois ans

Le nombre de mariages forcés constatés par la police est passé de 10 en 2015, à 27 en 2018, ressort-il d’une réponse du ministre de l’Intérieur Pieter De Crem à une question écrite. Au cours du premier trimestre 2019, cinq nouveaux cas ont été enregistrés.

La tendance des mariages forcés est en hausse constante avec 10 faits établis en 2015, 15 en 2016, 21 en 2017 et 27 en 2018.

[...]

Lesoir.be

Nos remerciements à pierrebxl

 

Belgique : Une directrice de la prison agressée et blessée par un détenu armé d’une arme artisanale lors d’une audience disciplinaire