2-Ne soyons plus des cibles faciles. Nos lieux militants non sécurisés, nos rassemblement non défendus, nos tractages ou collages en petites équipes sont autant de cibles faciles pour les fachos en embuscade. Organisons nous pour ancrer durablement au quotidien la réalité de la menace fasciste. Prenons en compte l’arsenal d’armes à feux que les nazillons possèdent. Adaptons-nous aux risques liés à la détention (et au fantasme) d’armes chez les fachos. Pour réagir face à ça, il semble important de réfléchir à ce point de discorde que constitue notre rapport à la violence, en se souvenant que cette dernière n’est pas que masculiniste, mais que tous.tes peuvent se la réapproprier dans la lutte.
[...]
6-Identifions les ! Souvenons-nous que l’extrême-droite n’est pas un mouvement diffus et mystérieux, ces gens vont faire leurs courses et vivent à coté de nous (certes pas dans les mêmes quartiers). Nos facs, nos lieux de travail ou encore le centre-ville sont autant de lieux où l’on peut activement les déranger.
[...]
9-Brisons le tabou : Oui, nos actions, nos campagnes, DOIVENT être efficaces. Il est temps de cesser de militer au grès de nos « envies » de nos désirs, etc… Le temps passe, l’extrême-gauche est toujours aussi marginale quand les fascistes alignent leur meilleure équipe de Goebbels (propagandiste nazi du 3e Reich) sur toutes les chaînes les plus regardées du pays : leur audience et leur capacité de diffusion d’idées est gigantesque. Nous devons peser dans l’opinion publique par des actions coups de poings, des campagnes massives et coordonnées.
Après l’attentat commis à Vienne lundi, des élus estiment que les Suisses devraient pouvoir plus facilement avoir une arme sur eux
Lundi, la capitale de l’Autriche a été touchée par un terrible attentat, faisant plusieurs victimes. Une Suissesse a été légèrement blessée lors de cette attaque revendiquée par l’EI. Deux Zurichois, qui avaient été en contact avec l’auteur de la fusillade, ont été arrêtés mardi. Selon les experts, un tel drame peut très bien survenir en Suisse.
J’ai porté cette revendication au Parlement en 2017 https://t.co/A9lp7uwnbi. J’étais alors bien seul. Croyez-vous que le nouveau Parlement soit prêt pour une telle idée ? https://t.co/oaQG3djAdR
Comme le rapporte le «Tages-Anzeiger», certains politiciens de droite exigent ainsi que les citoyens suisses aient plus facilement accès aux armes pour se défendre.
Cenator : L’Idaho a des lois permissives sur des armes, les États démocrates des lois restrictives. Ici, face à des citoyens armés, les Antifa n’ont pas fait la loi, la justice a pris le dessus, il n’y a pas eu de pillages.
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À Coeur d’Alene, Idaho, des centaines de citoyens, peut-être plus de mille, étaient sortis dans les rues, lourdement armés, pour soutenir les manifestants pacifiques et protéger les commerces et les citoyens contre l’Antifa.
La nouvelle s’est répandue que l’Antifa allait envoyer des émeutiers pour se mêler aux manifestants pacifiques dans notre petite ville tranquille... et en effet plusieurs fourgonnettes Mercedes blanches ont été vues avec des douzaines de personnes qui n’étaient pas d’ici. On a également rapporté qu’ils prévoyaient d’utiliser le magasin Winco comme lieu de rassemblement.
Fort de ces informations, un groupe local bien organisé de citoyens engagés a installé une petite garnison sur le parking, afin que tout intrus comprenne rapidement que ce serait tolérance zéro pour tout type de violence ou de déprédations.
À un endroit, il y avait deux manifestants vêtus et masqués de noir, assis sur une marche, silencieux, avec leur petit panneau « Notre système, c’est de la m* ». Devinez pourquoi ils se tenaient si sages.
Des citoyens armés ont protégé la ville toute la nuit. Les uns étaient postés devant les commerces, d’autres arpentaient les trottoirs ou patrouillaient les rues en voiture ou en pickup.
Il y avait des jeunes, des vieux, des gens de tous les milieux et croyez-le ou non, TOUT LE MONDE, à part les sales types de l’Antifa, se sentait en sécurité !
Ne nous dites pas que vous êtes pacifiques si vous venez à une manifestation avec un pied-de-biche... On le leur a confisqué et on les a reconduits à leur voiture.[Non, ce n’est pas la voiture de la photo.]
Cenator: Les no-go-zones en France sont de véritables arsenaux, les caïds détenant suffisamment d’armes de toutes sortes pour tenir à carreau les forces de l’ordre et éventuellement même faire régner LEUR ordre sur la collectivité.
Les forces de l’ordre le savent et sont tenues en respect par eux.
Mais en Suisse romande, la situation n’est pas très différente.
Les arsenaux sont également planqués, la poudre est conservée au sec.
Les livraisons se font durant les week-ends des périodes tranquilles, sans le moindre danger pour franchir avec la marchandise nos frontières sans surveillance. Les livreurs des no-go-zones satisfont toutes les commandes de leurs semblables installés sur notre sol. Pour eux, pas besoin de demande d’autorisation, pas d’obligation de tirs, etc.
En revanche, pour la détention d’armes par les pékins de souche qui vivent sur le sol de leurs ancêtres, toutes les tracasseries possibles sont mises en place par les autorités, avec toujours plus de restrictions, pour satisfaire aux exigences de la bien-pensance ... et de l’UE.
Les ventes d'armes à feu se sont envolées aux Etats-Unis ces dernières semaines, la pandémie de coronavirus incitant de nombreux Américains à amasser armes et munitions pour se prémunir contre d'éventuelles émeutes.
Le coronavirus dope les ventes d'armes aux Etats-Unis. "Nous avons enregistré une augmentation des ventes d'environ 800%", affirme à l'AFP David Stone, propriétaire d'une armurerie à Tulsa, dans l'Oklahoma. "J'ai encore la plupart des modèles mais je ne vais pas tarder à être à cours", dit-il. Selon M. Stone, la plupart des acheteurs qui se sont précipités chez lui sont des novices en la matière, prêts à prendre n'importe quelle armes en stock. "C'est la peur suscitée par le coronavirus. Moi-même je ne comprends pas et je trouve ça déraisonnable", déclare-t-il.
Plusieurs autres armureries contactées par l'AFP en différentes régions des Etats-Unis disent avoir enregistré un afflux de clients craignant que la crise sanitaire ne se transforme en crise sociale et ne mette leur sécurité en danger. Tiffany Teasdale, propriétaire de Lynnwood Gun dans l'Etat de Washington (nord-ouest), l'un des principaux foyers de coronavirus aux Etats-Unis, a pour la première fois vu des files d'attente se former devant sa boutique, jusqu'à une heure avant l'ouverture des portes.
Des images de longues files devant des armureries sont partagées sur les réseaux sociaux. D'après la journaliste qui a partagé l'une des vidéos, les acheteurs ont peur de ce qui se passera si les gens manquent de nourriture et de matériel. Ces Américains disent qu'ils doivent protéger leur famille. Aux États-Unis, plus de 65 personnes ont péri du coronavirus et près de 3000 personnes sont infectées.
Le ministre de l’Intérieur de Macron est décidément un homme qui ne craint pas les paradoxes.
Après avoir lâché ses féroces forces de l’ordre contre les Gilets jaunes qui ne demandent qu’à survivre dans leur pays livré à l’immigration et à la récession, tout en vilipendant les policiers qui ont usé de violences, le voici maintenant qui propose d’associer certains citoyens à un livre blanc de la sécurité intérieure, tout en ne facilitant pas la légitime défense ! Ce faisant, il fait fi des propos de l’ancien directeur général de la sécurité extérieure qui prédit une nouvelle explosion des banlieues, et que faute d’intervention de l’armée, il faudra se résoudre à abandonner des territoires et leur habitants à la loi de la pègre et de la charia*.
Pour parachever le tout, un rapport de la DGSI ** tenu secret, si secret que la presse en a connaissance, fait état de 150 quartiers tenus par des islamistes. On ne sait d’ailleurs si ces quartiers s’additionnent aux 751 zones de non-droit. On ne sait pas non plus si les habitants de ces 150 quartiers paient des loyers, combien la Caf leur verse de prestations, si l’Insee les a recensés, et rien ne filtre sur le nombre de millions d’euros déversés dans ces quartiers par la généreuse politique de la ville.
Incapable de lancer une véritable rattenkrieg dans ces zones, le ministre Castaner préfère tout savoir du fusil de grand-père chez de paisibles citoyens, des fois qu’il serve à les protéger, ce que ne font plus la République et l’État-Macron, tout au contraire en condamnant les victimes qui ont osé se défendre.
Présentation du Système d’information sur les armes
+ d’infos sur https://www.demarches.interieur.gouv.fr/particuliers/armes
Armes détenues légalement par les Français : encore plus de flicage de l’État, par le président du Parti de la France, Thomas Joly
« Le ministère de l’Intérieur, affolé à l’idée que les Français puissent se défendre en cas de conflit sur le territoire français, remet complètement à plat son fichier des armes civiles, et serre violemment la vis.
Désormais, chaque arme sera immatriculée à vie dans le fichier du Système d’information sur les armes.
Les autorités espèrent que cette refonte permettra de recenser des armes qui, jusqu’ici, étaient passées entre les mailles du filet. Ainsi, bon nombre de fusils de chasse ne sont pas pris en compte. Avant 2011, ils pouvaient être achetés librement, leur détention n’étant pas soumise à déclaration. Il faut ajouter le matériel de la Seconde Guerre mondiale allant du Colt 45 au pistolet-mitrailleur Sten, conservés comme souvenir familial ou historique.
La nouvelle fumisterie de LaREM est arrivée : un livre blanc de la sécurité intérieure pour réfléchir à la sécurité de demain. Pas pour prendre les mesures urgentes d’aujourd’hui !
Le ministère de l’Intérieur organise une conférence de certains citoyens pour recueillir leurs idées et leurs propositions. Comme pour les 150 guignols écolos, des citoyens ont déjà été triés pour, in fine, dire ce que Macron a d’ores et déjà décidé pour ne surtout pas lancer l’assaut contre les zones de droit islamisé en France.
Pour le bla-bla-bla ministériel, c’est là-dessous
« La France connaît de profondes mutations qui se reflètent dans la société et dans les nouvelles formes de délinquance et de criminalité. Il faut donc réfléchir à la sécurité de demain.
Le Livre blanc doit dresser un état des lieux de la menace et de ses évolutions puis définir une stratégie pour répondre aux défis à venir, avec le souci d’améliorer la relation entre les forces de sécurité intérieure et la population.
Engagés en octobre 2019, les travaux préparatoires ont réuni l’ensemble des acteurs de la sécurité, qui ont posé les fondements du Livre blanc. Celui-ci a vocation à se traduire par des textes réglementaires et législatifs ou des instructions de politique publique. »
Une démarche de démocratie participative pour les pigeons et les dindons de la farce. Notez les termes délicieux d’ « usagers de la sécurité » et de « diversité de la population ».
« Le ministère a voulu associer à la concertation les citoyens, « usagers » de la sécurité. Dans chaque département, les préfets organiseront des assises territoriales auxquelles les habitants pourront participer.
De plus, 100 citoyens issus de toute la France et représentant la diversité de la population ont été sélectionnés par un institut de sondage pour former une conférence de citoyens. Les 11, 12 et 25 janvier 2020, au ministère de l’Intérieur, ils prennent part à des formations et avec des experts. Puis ils se penchent, au sein d’ateliers, sur le thème des relations entre la population et les forces de sécurité, sous quatre angles :
quelles sont les attentes des citoyens à l’égard des forces de sécurité, et comment mieux y répondre (par l’information, la formation) ?
Quelle place pour le numérique dans les relations entre les citoyens et les forces de sécurité ?
Comment les citoyens et les forces de sécurité peuvent-ils lutter contre les incivilités ?
Comment les citoyens peuvent-ils, avec les forces de sécurité, devenir acteurs de leur sécurité ?
* Pierre Brochand, ambassadeur de France, ancien directeur général de la Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE) de 2002 à 2008, intervenait il y a quelques mois lors du séminaire « Immigration et intégration » de la fondation ResPublica. Extraits choisis de son intervention, disponible dans son intégralité (60 pages) : Fondation-res-publica.org
« Ce n’est pas livrer un secret d’État que d’imaginer que, si une situation d’anarchie ouverte s’étendait et se prolongeait au-delà de ce que furent son extension et sa durée en 2005, il n’y aurait plus d’autres recours pour la contenir que l’appel aux forces armées, sous des formes d’ailleurs peu évidentes à définir, sauf à abandonner des pans entiers du territoire, ainsi que leurs habitants, à une résurgence de l’état de nature au sens hobbesien du terme. » source http://www.fdesouche.com/1323477-lancien-directeur-de-la-dgse-dresse-un-bilan-desastreux-de-limmigration-en-france
751 zones de non-droit, 150 quartiers tenus par les islamistes : guerre inévitable !
** « La DGSI vient de cartographier les quelque 150 quartiers « tenus » selon elle par les islamistes : un document classé secret-défense, qui n’a pas été divulgué, à l’exception de l’Intérieur, même aux ministres intéressés.Lesquels se voient présenter le document oralement par un fonctionnaire assermenté, tant le sujet est sensible…
Outre les banlieues de Paris, Lyon et Marseille, depuis longtemps touchées par le phénomène, y figurent plusieurs cités du Nord : entre autres Maubeuge, où l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) a atteint 40 % dans un bureau de vote et où « la situation est alarmante » ; l’agglomération de Denin ; ou encore Roubaix, où, « bien qu’historique, la situation prend des proportions inquiétantes », selon un préfet. Mais aussi des zones plus inattendues, comme en Haute-Savoie ou dans l’Ain, à Annemasse, Bourg-en-Bresse, Oyonnax ou Bourgoin-Jallieu. Encore plus surprenante, « l’apparition de microterritoires qui se salafisent dans des zones improbables », poursuit ce préfet, comme Nogent-le-Rotrou, en Eure-et-Loir. » source https://www.lejdd.fr/Societe/islamisme-emmanuel-macron-cherche-un-plan-3943893.amp?__twitter_impression=true
Mes propositions à effets immédiats pour le livre blanc de la sécurité
Pierre Cassen évoque l’acharnement dont il a été victime, de la part du préfet des Yvelines, Serge Morvan. Tireur sportif, en possession, tout à fait légalement, d’armes, il s’est d’abord vu interdire l’autorisation de posséder des armes de poing, pour aller au stand de tir.
C’est une histoire scandaleuse, qui le touche en premier lieu, que Pierre Cassen a décidé de rendre publique. Tireur sportif, ayant acquis ses armes en toute légalité, n’ayant jamais été condamné pour la moindre violence, il se voit sommé par une préfecture de province, suite à une requête de la préfecture des Yvelines, de rendre ses armes, sous peine de perquisition policière.
Peter van Uhm est le chef des armées au Pays-Bas, mais cela ne signifie pas qu'il soit pour la guerre. A TEDxAmsterdam il explique comment sa carrière est forgée par l'amour de la paix, pas par un désir de verser le sang, et pourquoi il nous faut des armées si nous voulons la paix.
Werner Salzmann est un ingénier agronome bernois, conseiller national UDC de ce canton. Il est également colonel et tireur passionné (il est président de l'Association bernoise sportive de tir). C'est aussi quelqu'un qui a des idées bien arrêtées sur notre société et qui manie une plume efficace. Et c'est un des fers de lance du comité référendaire. Il a bien voulu écrire l'article qui suit pour SwissGuns (version en allemand à la fin).
Loi sur les armes: ce sont les principes fondamentaux
de notre société libre qui sont en jeu
Il existe trois mécanismes de protection qui se sont avérés efficaces au cours de l’histoire pour prévenir l’arbitraire de l’État et les violations des droits humains : la séparation des pouvoirs, la liberté d’expression et le droit pour les privés de posséder des armes. Ces trois mécanismes de protection ont toujours été extraordinairement bien développés en Suisse. Qui plus est, les droits de référendum et d’initiative limitent les éventuels abus que ne saurait prévenir la séparation des pouvoirs. Nous ne connaissons pas la censure des soi-disant "discours de haine" comme en Allemagne. Chaque citoyenne ou citoyen, respectueux des lois et psychologiquement fiable, peut acheter dans une armurerie suisse autant d’armes et de munitions qu’il le souhaite.
L’adoption de la directive UE sur les armes décidée par le Parlement européen interdirait par principe l’acquisition et la détention des armes habituellement vendues en Suisse. La Confédération promet de faire des exceptions pour les tireurs qui peuvent prouver qu’ils doivent posséder une arme (c’est-à-dire qui peuvent justifier ce besoin auprès des autorités). En premier lieu, cela ne change rien au fait que l’accès aux armes légales serait en principe limité aux seuls organes de l’État et que les citoyens perdraient leur droit de posséder des armes. Deuxièmement, ces permis exceptionnels risqueraient d’être rapidement supprimés pour les tireurs. L’article 17 de la directive UE sur les armes comprend un système de contrôle et d’évaluation qui est de facto un mécanisme de durcissement automatique. Lors de l’élaboration de la directive actuelle, le Conseil fédéral – selon ses propres dires – n’a pu éviter que de justesse une interdiction totale des armes semi-automatiques (c’est-à-dire la majorité des armes privées). Lors du prochain durcissement en 2022, il ne pourra plus le faire. Clairement, un "oui" le 19 mai signifie que les fusils d’assaut, les pistolets, etc. seront tous confisqués par l’État dans quelques années.
Hystérie à propos de Schengen
Affirmer que l’adoption de cette loi est nécessaire pour lutter contre le terrorisme ou prévenir les abus est ridicule. Les attentats terroristes islamistes que l’UE utilise pour légitimer sa directive ont tous été commis avec des armes obtenues illégalement. En ce qui concerne la nécessité de renforcer la "prévention des abus", je me permets de citer la Conseillère fédérale Karin Keller-Sutter. Lors de sa conférence de presse du 14 février, alors qu’elle se prononçait en faveur de ce durcissement de la loi, elle a admis sans ambages : "nous avons énormément d’armes en Suisse, mais connaissons peu de problèmes. Ce qui ne manque pas d’étonner des gens dans le monde entier". La seule raison pour laquelle une majorité parlementaire s’est prononcée en faveur de cette révision de la loi est une vraie hystérie en rapport avec Schengen. Depuis le début de la collecte de signatures pour le référendum début octobre, les partisans de la nouvelle loi sur les armes nous ont quotidiennement mis en garde contre les conséquences forcément dramatiques d’une éventuelle exclusion de la Suisse de l’espace Schengen. Cependant, jusqu’à présent, ils ont toujours été incapables de nous dire quel serait l’intérêt pour l’UE de dénoncer son accord avec la Suisse.
Plutôt que de l’expliquer, ils ont répandu la fausse affirmation qu’un "non" le 19 mai entraînerait automatiquement la résiliation de l’accord. C’est de l’alarmisme pur et simple. Les états Schengen n’ont aucun intérêt à faire de la Suisse une zone aveugle au milieu de l’espace Schengen, en l’excluant des échanges de données criminalistiques. L’UE n’a absolument aucun intérêt à ce que 300 000 frontaliers soient soudain à nouveau quotidiennement contrôlés à la frontière. L’UE n’a aucun intérêt à renoncer aux plus de 100 millions de francs suisses que nous payons pour Schengen. L’hystérie de Schengen n’est pas plus une raison pour renoncer au droit de posséder des armes qu’elle ne serait une raison pour abolir le droit à la liberté d’expression par exemple. Un "oui" le 19 mai signifie que nous acceptons de sacrifier une de nos plus importantes libertés au seul prétexte de rester dans Schengen. Un "non" le 19 mai signifie que nous souhaitons rester dans Schengen, mais sans sacrifier les principes fondamentaux de notre société d’hommes libres.
En réponse à votre article dans le Matin-Dimanche du 17 courant, "Schengen, dernière fusillade avant les élections"
Le citoyen n'est pas dans la mire il aurait de la peine à s'insérer dans une notion abstraite. Il peut en revanche se retrouver dans la ligne de mire, c'est à dire la ligne de visée. Je vois que - sur ma suggestion - les amis de la gâchette (pièce interne d'une arme) sont devenus ceux de la détente (la pièce sur la queue de laquelle le doigt presse pour déclencher le départ du coup).
Ensuite, dans votre second paragraphe, vous laissez clairement entendre que l'UDC est derrière le référendum. Ce parti politique, dont nous espérons, il est vrai, le soutien, ne s'est même pas encore prononcé sur un soutien actif au référendum.
Au 3e paragraphe, je vous rejoins entièrement: le terroriste se fournit en armes illégales et ne demande que très rarement un permis d'acquisition. Mais le " partenariat sur la sécurité bien plus vaste et complexe"… laissez nous rigoler. Même la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter a renoncé à prétendre qu'il s'agissait de lutte contre le terrorisme. C'est devenu une lutte contre le banditisme et le trafic. On sait bien sûr que les citoyens suisses sont friands d'attaques de banque au Fass 90, qu'il revendent ensuite - sur le marché noir - aux terroristes précités.
La campagne sécuritaire dont vous parlez met en porte-à-faux les adversaires de la directive. Ah ? Comment et pourquoi ? Nous n'avons rien à voir avec les contrôles aux frontières (auxquels nous sommes d'ailleurs plutôt favorables).
Et de nouveau, vous chargez l'UDC, qui n'a pas réagi. Il ne s'agit pas du même sujet. Unité de matière, Monsieur Felley, unité de matière…
Enfin, pour le risque de se tirer une balle dans le pied, j'ai plus de crainte pour vous que pour nous, qui sommes bien entraînés.
Berne, 06.02.2019 - Les référendums contre la loi fédérale relative à la réforme fiscale et au financement de l’AVS (RFFA) et contre l’arrêté fédéral relatif à la directive modifiée de l’UE sur les armes (Développement de l’acquis de Schengen) ont formellement abouti.
Le 17 janvier 2019 les comités référendaires ont déposé 61'381 signatures contre la loi fédérale du 28 septembre 2018 relative à la réforme fiscale et au financement de l’AVS (RFFA). La Chancellerie fédérale a constaté, après vérification, que 60'749 signatures déposées sont valables.
Également le 17 janvier 2019, 125'692 signatures ont été déposées contre l’arrêté fédéral du 28 septembre 2018 portant approbation et mise en œuvre de l’échange de notes entre la Suisse et l’UE concernant la reprise de la directive (UE) 2017/853 modifiant la directive de l’UE sur les armes (Développement de l’acquis de Schengen). La Chancellerie fédérale a constaté, après vérification, que 125’233 signatures déposées sont valables.
Les deux référendums ont donc formellement abouti. Conformément à la décision du Conseil fédéral du 16 janvier 2019, les deux objets seront soumis au vote populaire le 19 mai 2019.
On peut relever que la gauche fait déjà des choux gras de son succès. Notre camp reste pour l'instant discret. Pourtant, ce succès est véritable. 125'000 signatures valables, contre 60'000 . Et en plus avec un taux nettement moins important de ratés: 632 mauvaises signatures pour le référendum fiscal, seulement 459 pour le référendum contre la LArm.
En Rugby, on dirait qu'un essai a été marqué. Reste à le transformer. NON, le 19 mai !
La Communauté d’intérêts du tir suisse (CIT) saisit le référendum parce qu’elle le doit.
L’adoption de la directive de l’UE sur les armes n’offrirait pas le moindre gain de sécurité, mais signifierait la fin du tir en tant que sport populaire et ferait de notre droit de posséder des armes un simple privilège. Sans qu’il soit nécessaire d’agir – simplement parce que l’UE le veut ainsi! – il est prévu que nos propres fusils d’assaut soient interdits et que les propriétaires d’armes fassent l’objet d’une méfiance étatique à grande échelle. Ceci est tout aussi inacceptable que l’introduction de revendications explicitement rejetées aux urnes, comme par exemple l’enregistrement a posteriori.
En 2005, le Conseil fédéral a déclaré officiellement que l’association à Schengen n’entraînera pas de restrictions extrêmes sur notre législation sur les armes. Qu’il se rappelle de cette déclaration maintenant!
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Référendum «Non au diktat du désarmement de l’UE» Case postale 54 8416 Flaach
On rappelle que ce département est dirigé par l'UDC Guy Parmelin.
Evidemment, dans ce même texte, il n'est fait nulle mention de l'islam responsable de la destruction de nos libertés. Il ne faut pas froisser les coupables vous comprenez?
L'armée qui milite pour le désarmement du citoyen, c'est une première. On passera donc d'un statut de propriété à un statut de détention.
Tout va bien.
**********
Le Conseil national et le Conseil des États se sont mis d’accord sur la question de la modification de la loi sur les armes apportée dans le cadre de la mise en œuvre de la directive de l’Union européenne (UE) sur les armes. Ces nouvelles dispositions ne changent rien aux conditions de remise en toute propriété de l’arme d’ordonnance à la fin des obligations militaires.
La directive de l’UE sur les armes a été élaborée dans le contexte des attentats terroristes en Europe ; elle porte principalement sur les armes à feu semi-automatiques ayant des chargeurs de grande capacité. La dangerosité de ces armes vient du fait qu’elles permettent de tirer plusieurs coups sans devoir recharger. L’objectif est donc de restreindre l’accès à ces armes et d’améliorer l’échange d’informations en la matière au sein de l’espace Schengen. Le Conseil national s’étant rallié à la solution de compromis proposée par le Conseil des États, ce dernier a encore aplani quelques divergences formelles et approuvé la modification de la loi sur les armes. Les divergences dans ce dossier, qui relève de la compétence du Département fédéral de justice et police ont ainsi été levées. L’affaire peut être soumise au vote final.
Rien ne change en ce qui concerne la remise de l’arme d’ordonnance. Considérant que la possibilité d’acquérir ces armes à feu semi-automatiques à la fin des obligations militaires fait partie des traditions de notre pays et que ces équipements sont nécessaires à la pratique du tir sportif, la Suisse a pu négocier une réglementation spéciale avec l’UE. Les citoyens suisses auront donc encore la possibilité de conserver leur arme d’ordonnance et de l’utiliser ; les citoyens qui en possèdent déjà une ne verront aucun changement. De même, il sera toujours possible d’utiliser des armes à feu semi-automatiques munies d’un chargeur de grande capacité (comme le fusil d’assaut) pour pratiquer le tir sportif dans notre pays. Comme cela a été le cas jusqu’ici, aucun test médical ou psychologique n’est nécessaire. Un registre central des armes n’est pas non plus prévu.
La révision de la loi sur les armes est acquise. Le National s'est rallié lundi au compromis de la Chambre des cantons sur les points qui auraient remis en question l'adhésion de la Suisse à Schengen. Mais l'UDC et le lobby se réservent d'en appeler au peuple.
Cette législation, durcie au fil des débats, n'apportera rien ni contre le terrorisme ni en terme de sécurité publique, a lancé Jean-Luc Addor (UDC/VS) au nom des «centaines de milliers de Suisses injustement touchés dans leurs droits et leurs libertés».
Hormis l'UDC, tous les partis ont souligné l'importance de cet enjeu. La gauche aurait voulu une loi encore plus sévère, mais elle s'est finalement ralliée au compromis du Conseil des Etats, sachant que la menace de référendum est plus présente que jamais.
Grande révélation pour Safia Remache, une partie des Algériens sont violents et représentent un danger pour les pays européens. Genève avait dû par exemple mettre sur pied le plan "Maghreb" pour se débarrasser de cette délinquance qui pourrissait la ville en... versant de l'argent à ces multirécidivistes pour qu'ils retournent au Maghreb. Mais il est fort à parier que la délinquance des siens ne gêne aucunement Safia.
On relèvera que son seul objectif est de protéger les Algériens et non la sécurité de la Suisse ce qui démontre la véritable identité qu'elle porte en elle.
Le scandale se situe ailleurs : Comment se fait-il que la Suisse accepte d'accueillir des ethnies dont nos dirigeants savent qu'ils représentent un danger ?
«Les personnes de certaines ethnies (sic) n’étant pas autorisées à acquérir des armes en Suisse ne sont pas autorisées à accéder au stand de tir. Soit: Albanie, Algérie, Sri Lanka, Kosovo, Macédoine, Bosnie-Herzégovine, Serbie, Turquie.»
Ces mots ont fait bondir Safia Remache, une étudiante au gymnase d’Yverdon suisso-algérienne, âgée de 17 ans. «(...) comment peut-on cibler certaines nationalités ainsi? Mon père, qui est Algérien, vient de se naturaliser. »
(...)
Plusieurs critères entrent en ligne de compte pour qu’un pays soit fiché, explique Anne-Florence Débois, porte-parole à FedPol: «Un grand nombre de personnes en provenance de certaines régions en guerre ou en crise séjournent en Suisse. Des confrontations d’ordre ethnique ou politique peuvent avoir eu lieu (ou risquent sérieusement d’éclater) entre des parties au conflit provenant de ces zones et, enfin, des armes peuvent avoir été amenées illégalement dans ces zones de conflit depuis la Suisse.»
Il s’agit aussi de prévenir des menaces graves pour la sécurité intérieure de la Suisse.
Mais les mêmes politiciens semblent pouvoir faire ce qu'ils veulent.
**********
Le premier chapitre politique de l'affaire Benalla s'est refermé avec le rejet des deux motions de censure. Mais l'enquête judiciaire ouverte à l'encontre de l'ancien collaborateur de l'Élysée notamment pour "violences en réunion" se poursuit. Ce mercredi 1er août,Le Monde révèle les premiers éléments d'enquête réunis par les policiers après plusieurs gardes à vue et perquisitions menées dans le palais présidentiel et l'appartement privé d'Alexandre Benalla.
Le résultat d'une visite au siège parisien de la formation En Marche! ont tout particulièrement intéressé les juges. Alors qu'ils s'y rendaient dans le cadre de la mis en examen de Vincent Crase, un employé de LREM présent aux côtés de Benalla dans les vidéos tournées pendant la fête du Travail, les enquêteurs ont retrouvé deux pistolets non déclarés rangés dans une armoire.
Des armes qui viennent s'ajouter à celle que portait Vincent Crase lors des manifestations. "Cette arme n'est pas à mon nom, elle appartient à [LREM], elle est réservée pour la défense du site [LREM]", a-t-il indiqué alors qu'il avait d'abord nié avoir porté cette arme pendant le 1er mai selon Le Monde.
L'appartement de Benalla nettoyé
Le quotidien révèle également certaines découvertes faites au domicile personnel d'Alexandre Benalla à Issy-les-Moulineaux, dans les Hauts-de-Seine. Dans cet appartement, qu'il devait quitter pour un logement de fonction quai Branly, les enquêteurs ont notamment trouvé une partie de l'attirail alloué habituellement aux forces de l'ordre. "Un gyrophare bleu, des clés sur un porte-clés de l'Assemblée, une rampe lumineuse de police", détaille Le Monde.
Mais c'est surtout ce qu'ils n'ont pas découvert qui intrigue justement les enquêteurs. Alexandre Benalla possède quatre armes, censées être rangées dans un coffre fort. Un Glock 43, deux autres pistolets et un fusil Remington qui se sont volatilisés avec l'armoire. Interrogé à ce sujet, Alexandre Benalla a expliqué que ces armes avaient "dû être emmenées dans un lieu sûr par une personne, mais ce n'est pas moi qui me suis occupé de cela", niant toute volonté de dissimuler quoi que ce soit.
Les enquêteurs ont également découvert -dans le bureau de l'ex-collaborateur à l'Élysée- un document "confidentiel" daté du 5 juillet. Une "proposition de plan de transformation organisationnelle des services" en l'état de "version projet" qui évoque notamment le sujet de la réorganisation de la sécurité du président de la République.
700 gendarmes engagés, dont 16 PSIG et 2 antennes GIGN, 250 personnes auditionnées dans 54 départements et près de 1.900 armes saisies : voilà le bilan de la cellule « Armes 72 », qui vient de démanteler un vaste trafic d’armes. 2 individus ont été incarcérés et 14 ont été mis en examen.
Lors des perquisitions, les gendarmes ont découvert des armes de poing, des fusils d’assaut, des pistolets mitrailleurs, mais également des explosifs et des lance-roquettes. En tout, ce sont près de 1.900 armes détenues illégalement qui ont été saisies, ainsi que 350.000 €.
Ce commerce contribuait largement à alimenter en armes les milieux de la criminalité organisée.
De nombreux gendarmes et experts ont contribué à ce démantèlement : les gendarmes de la Section de Recherches d’Angers, appuyés par le groupement de gendarmerie départementale de la Sarthe, les experts du plateau d’investigation sur les explosifs et les armes à feu de l’IRCGN, mais également des unités cynophiles, des PSIG, des antennes GIGN ainsi que des démineurs de la sécurité civile.
Par David Zuberbühler , conseiller national UDC (AR)
Le droit des armes libéral qu’applique la Suisse revient régulièrement dans les discussions politiques. Le dernier débat important sur ce thème a eu lieu en 2011 lorsque les citoyennes et les citoyens ont été appelés à voter sur l’initiative populaire « Pour la protection face à la violence des armes ». Ce projet exigeait notamment une obligation d’enregistrer les armes à feu. Les soldats de milice, qui auraient été prêts à mourir pour leur pays, auraient été désarmés. Encore heureux que cette initiative a été rejetée par 56,3% des votants. Mais aujourd’hui un nouveau danger plane sur notre droit des armes. Cette fois-ci, la menace vient de l’UE – ce qui ne surprendra personne.
Le durcissement de la directive sur les armes, que le Conseil des ministres de l’UE a approuvé en avril de l’an passé, suscite passablement d’émotions. Le prétexte de cette réforme est la lutte contre le terrorisme et le crime organisé. Il est pourtant évident que ce projet de loi ne permet pas d’atteindre ces objectifs. Or, comme la directive UE sur les armes fait partie de l’extension de l’acquis de Schengen, la Suisse est liée aux décisions de l’UE. Le Conseil fédéral dispose cependant d’une importante marge de manœuvre. Preuve en est notamment le fait qu’il a notablement assoupli certaines dispositions à la vue des résultats de la procédure de consultation. Cela ne l’a cependant pas empêché d’adresser le 2 mars un message au Parlement avec un projet de loi appliquant en Suisse la nouvelle directive UE sur les armes. Ce texte durcit sans raison valable le droit suisse dans ce domaine.
Plus de bureaucratie pour moins de sécurité On n’est pas surpris de constater que la grande majorité des cantons consultés doutent de la volonté du Conseil fédéral d’exploiter réellement la marge de manœuvre dont il dispose. L’obstination du gouvernement reflète surtout son habituelle attitude de soumission à l’égard de l’UE. Le Conseil fédéral ose même affirmer que son projet est pragmatique et non bureaucratique. C’est le contraire qui est vrai. Comme de coutume, il a ajouté une « finition suisse » à la loi d’application qui dépasse ainsi sur certains points même le diktat de l’UE. La reprise de la directive UE sur les armes – en fait le nom correct serait « directive UE sur le désarmement » – dans la forme proposée par le Conseil fédéral provoque une extension massive de la bureaucratie (enregistrement après coup, preuve du besoin, obligation de tirer, marquage des éléments, tâches de contrôle et d’administration, etc.). Les agents de police, qui aujourd’hui déjà passent malheureusement une bonne partie de leur temps de travail dans les bureaux, y seraient définitivement consignés avec les effets désastreux que l’on imagine pour la sécurité et l’ordre sur la voie publique. La reprise de la directive UE sur les armes et les modifications de la loi fédérale sur les armes qu’elle entraîne imposent aux cantons la mise en place d’un énorme appareil de contrôle et d’administration qui à son tour provoque des frais considérables.
Totalement inadapté pour combattre le terrorisme Par bonheur la Suisse n’a pas connu d’attentat terroriste depuis plusieurs décennies. Mais même les rares attentats terroristes perpétrés en Suisse n’auraient pas pu être empêchés avec le droit sur les armes en vigueur ou par toute autre disposition légale imaginable à ce niveau. En considérant les attentats de Paris, Bruxelles ou Nice, nous constatons que les terroristes coupables avaient certes été repérés par les services de renseignement, mais qu’ils n’avaient pas pu être arrêtés faute de dispositions légales adéquates. C’est à ce niveau qu’il faut intervenir et non pas en multipliant les mesures chicanières contre les citoyennes et citoyens honnêtes en les plaçant sous une suspicion générale. Si on mesurait la confiance de l’Etat dans les citoyens à l’aune du droit sur les armes, on constaterait qu’en réalité l’Etat est extrêmement méfiant à l’égard des citoyens.
La reprise de la directive UE sur les armes ne contribuera absolument pas à la réduction du nombre de délits pénaux. Elle n’empêchera surtout pas des attentats terroristes avec des armes à feux, car ces opérations sont en général minutieusement préparées. Il est évident qu’il ne viendrait jamais à l’esprit d’une personne, qui projette un attentat terroriste, d’acheter une arme par la voie légale. Elle la trouverait facilement sur le marché noir devant lequel la police est impuissante. La directive UE sur les armes n’est donc qu’un semblant de solution.
Lundi et mardi dernier, la majorité de la Commission de politique de sécurité du Conseil national a approuvé contre l’avis de l’UDC – soit par 15 voix contre 9 – les propositions du Conseil fédéral concernant l’approbation et l’application de la directive UE sur les armes à feu. Les demandes de suspendre le projet et de le renvoyer au Conseil fédéral ont été rejetées avec les mêmes proportions de voix. La commission prévoit de terminer cet examen lors de sa séance des 14 et 15 mai prochains. L’UDC a déposé plusieurs amendements en vue d’un assouplissement du projet. Si la commission et, par la suite, le plénum du Conseil national n’exploitent pas mieux la marge de manœuvre qui est donnée à la Suisse, l’UDC devra examiner l’opportunité de soutenir un référendum.
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