Interview d'Etienne Chouard
Dès 20'05'' : sur les juges de l'UE
Interview d'Etienne Chouard
Dès 20'05'' : sur les juges de l'UE
15 Janvier 2015. Coup de tonnerre sur les places boursières mondiales. La BNS vient de quitter le PEG, son taux-plancher de 1.20 franc suisse pour un euro. Des pertes titanesques -75 milliards- sur ses placements en euro sont devenues d’un coup réalité!
« La BNS est virtuellement en faillite »
Suite
Adolf Ogi a appelé mardi soir l'UDC à "aider à trouver une solution avec l'Europe" après les dégâts causés par la votation du 9 février 2014 "Contre l'immigration de masse".
L'ancien président, interrogé au 19h30 de la RTS, a souligné: "Nous avons trois ans pour trouver une solution. Ce ne sera pas facile mais il faut la trouver".
"Il faudrait donner un 2e siège à l'UDC"
Pour Adolf Ogi, ancien conseiller fédéral, "le siège d'Eveline Widmer-Schlumpf pose problème". Alors que l'année 2015 sera marquée par les élections fédérales, il faudrait selon lui donner un deuxième siège à l'UDC "car c'est quand même le parti le plus grand".
"Nous avons de bonnes expériences avec la formule magique 2+2+2+1, il faut y revenir", a-t-il souligné, jugeant problématique que "le PBD ait moins de dix sièges au Parlement".
Entré au gouvernement en 1987, le Bernois s'est prononcé clairement en faveur des bilatérales. "Si l'UDC ne donne pas la main aux autres partis pour trouver une solution avec l'Union européenne, alors il faudra voter". "Je suis sûr que les Suisses veulent les bilatérales", a-t-il précisé.
A 72 ans, le politicien UDC qui a pris ses distances de Christoph Blocher, estime par ailleurs qu'il était beaucoup plus facile de gouverner dans les années 1980 ou 1990. "A l'époque, nous avions encore des amis".
Avec son année de présidence, "Didier Burkhalter a donné une carte de visite extraordinaire de notre pays", estime-t-il. "Ogi dirait vraiment formidable", a ajouté le Bernois en souriant.
Source et vidéo
Dans un discours virulent, le président russe a fustigé les «ennemis» de Moscou, entérinant la fracture grandissante avec l'Union européenne et les États-Unis.
La force de police européenne (Eurogenderfor ou EGF) sera le premier corps militaire de l'Union européenne à caractère supra-national. L'EGF est composé de forces de police militarisées à l'ordre de l'UE, prêtes à intervenir dans des zones de crise, sous l'égide de l'OTAN, de l'ONU, de l'UE ou de coalitions formées "ad hoc" dans divers pays.
L'Eurogendfor pourra compter sur 800 "gendarmes" mobilisables en 30 jours, plus une réserve de 1'500 hommes; le tout sera géré par deux organes centraux, un politique et un technique. Le premier est le comité interdépartemental de haut niveau nommé CIMIN (Comité Inter MInistériel de haut Niveau), composé de représentants des ministres des affaires étrangères et de la défense, de pays ayant adhéré au traité. Le second est le quartier général permanent (PHO), composé de 16 officiers et de 14 sous-officiers.
Les 6 tâches principales (commandant, vice-commandant, chef d'état major et sous-chefs des opérations, de la planification et de la logistique) sont réparties en rotation tous les deux ans parmi les différentes nationalités, selon les critères usuels de la composition des forces multinationales.
Donc, il ne s'agit pas d'une vraie troupe armée européenne ou de la création d'une armée européenne unique, car dans ce cas elle dépendrait de la Commission et du parlement européen, mais d'un simple corps armé supranational, qui, il semblerait, jouira d'une pleine autonomie.
En fait, l'EGF n'est soumis ni au contrôle de parlements nationaux ni à celui du parlement européen mais est directement sous les ordres des gouvernements par l'intermédiaire du CIMIN cité plus haut.
L'article 21 du Traité de Velsen, suite auquel ce corps d'armée supranational a été créé, a prévu l'inviolabilité des locaux, des bâtiments et des archives de l'Eurogendfor.
L'article 22 protège les propriété et les capitaux de l'Eurogenderfor d'éventuelles mesures exécutives pouvant venir des autorités judiciaires de n'importe quel pays.
L'article 23 prévoit qu'aucune communication des officiers de l'EGF ne pourra être interceptée.
L'article 28 prévoit que les pays signataires renoncent à demander des dédommagements en cas de dommages à la propriété, si ces dommages ont été faits dans le cadre de préparations ou d'exécutions d'opérations.
L'article 29, enfin, prévoit que les personnes appartenant à l'Eurogenderfor ne pourront être soumis à des procès suivis d'une sentence, que ce soit dans l'Etat hôte ou dans l'Etat d'accueil dans les cas liés à l'exécution de leur service : [3. Aucune voie d'exécution ne peut être pratiquée sur un membre du personnel de l'EUROGENDFOR lorsqu'un jugement a été prononcé contre lui dans l'Etat hôte ou l'Etat d'accueil s'il s'agit d'une affaire résultant de l'exécution du service].
Dans le Traité de Velsen, il y a un paragraphe entier intitulé "Missions and tasks", où l'on apprend que l'Erogenderfor pourra aussi se substituer aux forces de police civile d'un état, à n'importe quelle phase d'une crise et que son personnel pourra être soumis à l'autorité civile ou à un commandement militaire.
Parmi les multiples tâches qui sont dévolues à l'EGF en voici quelques unes :
- garantir la sécurité et l'ordre publique
- exécuter des tâches de police judiciaire (mais on ne comprend par pour le compte de quelle Autorité judiciaire...........)
- contrôler, conseiller et superviser la police locale, y compris dans les enquêtes pénales
- diriger la surveillance publique
- opérer comme police des frontières
- récolter des informations et développer des opérations de service secret.
L'exemple de l'Italie est édifiant (NDT) : Le 14 mai 2010, la Chambre des Députés de la République italienne a ratifié l'accord. Il y avait 443 députés présents, 442 ont voté oui, et 1 s'est abstenu............Peu après, le Sénat a aussi donné son accord à l'unanimité. Donc, le 12 juin 2010 le Traité de Velsen entrait en vigueur en Italie.
La loi de ratification no 84 concerne directement les carabiniers qui seront absorbés par la police de l'état, donc dégradés au niveau d'une police locale de second ordre. En même temps, l'art. 4 de la même loi introduit les tâches que devra accomplir l'Eurogenderfor, et parmi celles-ci :
- s'occuper de mission de sécurité et d'ordre public
- s'acquitter de tâches de gestion du trafic, de contrôle des frontières et d'activités générales de services secrets
- protéger les personnes et les biens et maintenir l'ordre en cas de désordres publics
Donc, en pratique, cela signifie qu'en Italie, par exemple, (mais aussi dans d'autres pays européens, NDT), dans la rue il y aura de vrais policiers qui n'auront plus à répondre de leurs actions ni devant l'état Italien ni devant la commission européenne.
Source en italien (trad. D. Borer)
Via
"La porte de l'Europe sans visa va désormais être ouverte", se félicita le président islamiste de la Turquie Recep Erdogan après la signature d'un accord avec la commissaire européenne aux Affaires intérieures, Cecilia Malmström, permettant aux ressortissants turcs de venir dans l'espace Schengen sans visas de tourisme . L'accord bilatéral est effectif depuis le 1er janvier 2014.
Alors que la moitié des effectifs du Front Al Nosra en Syrie est composé de turcs, qui garnissent largement les rangs des autres groupes armés djihadistes tels que l'Etat islamique ou le Front Islamique, cette libre circulation est inquiétante. La Turquie laissant à dessein ses frontières ouvertes pour le passage des djihadistes combattant Damas, l'ennemie jurée, il est mécaniquement très simple pour les combattants turcs de prendre ensuite un billet d'avion depuis la Turquie pour rejoindre n'importe quelle ville européenne.
La France n'a aucun moyen de refuser cet accord étant donné qu'elle a ratifié en 1998 (Traité d'Amsterdam) et 2007 (Traité de Lisbonne) le transfert de sa politique migratoire à l'UE. Une coproduction UMP/PS permettant à ce pays où40% de la population "a une opinion négative des Chrétiens" (sondage Université de Sanbancu) de coloniser une Europe devenue la folle du village mondial.
J'ai personnellement interrogé Claude Guéant lors du diner débat de La Droite Libre le 7 octobre dernier sur la fin des visas pour les Turcs, qui on s'en doute ne viennent pas tous visiter Versailles. L'ancien secrétaire général de l'Elysée m'a répondu en approuvant cette libre circulation arguant du fait que les Français partant en vacances en Turquie n'avaient non plus plus besoins de visas. Claude Guéant qui a défendu le super état européen et le Traité de Lisbonne durant la soirée, ne m'a pas surpris, même si sa volonté de changer la constitution, de dénoncer la convention européenne des droits de l'homme et de ne plus se coucher devant la CEDH concernant le droit d'asile (largement instrumentalisé à des fins de colonisation), avait permis d'espérer quelque chose de la droite républicaine.
Source
L'Union Européenne se montre intransigeante dans le conflit concernant les compétences des juges de l'UE.
L'UDC craint une perte de la souveraineté suisse.
Bruxelles poursuit une ligne dure concernant les juges de l'UE. Comme l'indique la "NZZ am Sonntag", les négociateurs de l'UE insistent sur le fait que la Cour de justice européenne puisse avoir encore plus d'influence que ce qu'exige la Suisse.
Ainsi les juges de l'UE décideront aussi en ce qui concerne les litiges impliquant les accords bilatéraux. Ceci concernerait entre autres les contingents exigés par l'UDC.
"C'est une adhésion rampante à l'Union Européenne" s'énerve le Conseiller National UDC Hans Fehr. "La Suisse ne devrait accepter cela en aucun cas. Avec les juges étrangers, nous perdons notre souveraineté."
"La Suisse doit à présent négocier plus durement et montrer clairement à l'UE à quel point la Suisse est un partenaire économique important. Au pire des cas, nous devons accepter que les bilatérales 1 soient résiliées."
Pour le Conseiller National PS et pro Union Européenne Martin Naef ce serait inacceptable. "Ces négociations portent sur tout. Il en va de la Suisse. Les accords bilatéraux devront absolument être sauvés. Si nous voulons une relation solide avec l'UE, les juges font partie de cette condition. Celui qui veut participer au marché unique européen, doit s'acclimater aux règles de jeu européennes."
La question de la compétence des juges de l'UE devrait continuer à être explosive: Ce conflit est apparemment la principale pierre d'achoppement dans les négociations en cours avec l'UE.
Source Traduction A. R.
Non seulement les députés qui sont censés gouverner l’UE n’y consacrent pas l’intégralité de leur temps, mais de plus, il n'y a aucun contrôle réel.
C’est pas beau la démocratie ?
Il serait «insensé et dangereux» de bannir définitivement l'idée d'une adhésion à l'Union européenne (UE). Ce n'est qu'en tant que membre à part entière que la Confédération pourra peser sur le processus de décision avec suffisamment de poids.
Parmi les premiers signataires il y a des noms tels que Micheline Calmy-Rey, Pascal Couchepin, Ruth Dreifuss, Claude Nicollier, Walter Kielholz, Ulrich Gygi ou Giusep Nay.
Liste des signataires, Site: http://www.ch-in-europa.ch
Une nouvelle qui fait pratiquement figure de bombe. Plusieurs politiciens de l’Union européenne insistent sur la « nécessité » d’interdire l’accès de l’Europe bruxelloise aux journalistes russes. Aveu de faiblesse, propagande du mainstream en panne ou simplement énième tentative de lutter contre la vérité et la liberté d’expression ?
Les experts d’un groupe de réflexion de l’Union européenne exigent que l’UE se prépare à mettre fin au moyen de la force militaire aux grèves et aux manifestations. Du fait de l’ inégalité sociale grandissante dans une économie mondialisée et du nombre de conflits armés croissants à l’intérieur des frontières de l’UE, de telles diatribes se multiplieront inévitablement.
Dans cette étude réalisée par l’Institut d’Etudes de sécurité de l’Union européenne, les auteurs ont carrément déclaré que face à ces développements, il faudra utiliser l’armée de plus en plus fréquemment pour maintenir l’ordre et protéger les riches de la colère des pauvres.
Le livre, intitulé « Perspectives 2020 pour la défense européenne », a été publié un an après le quasi effondrement du système financier mondial en 2008. Il montre clairement que les universitaires et les politiciens sont parfaitement conscients des implications révolutionnaires de la crise. Ils sont en train de créer différents scénarios qui permettent de réprimer l’opposition de la vaste majorité de la population contre les attaques sociales.
Nigel Farage accuse les pro-européens d'avoir aidé les ukrainiens à préparer le coup d'état qui a débouché sur le renversement du président Yanukovych. "Si nous voulons une guerre avec la Russie, nous sommes sur la bonne voie" a déclaré le député britannique.
Sylvain Baron, ce citoyen qui décroche les drapeaux de l'Union Européenne :
Feu vert de l'UE pour distribuer 5,5 milliards ces prochaines années en faveur de la coopération avec les pays voisins :
Dans le programme des priorités, c'est le Maroc qui encaisse le plus de fonds : entre 728'000 et 890'000 euros pour la période 2014-2017. Ces aides à Rabat sont destinées à un accès équitable au services sociaux de base (30%), au soutien de l'état démocratique, de l'état de droit et à la mobilité (25%), et pour la croissance et l'emploi (25%).
En deuxième position et pour la même période, on trouve la Jordanie qui recevra entre 312'000 et 382'000 euros, destinés à orienter le pays vers un état de droit (25%), à développer le secteur privé et l'emploi (30%), et à développer les énergies renouvelables (30%).
La Tunisie, de son côté, recevra entre 202'000 et 246'000 euros pour la seule période 2014-2015 pour des réformes socio-économiques et la croissance (40%), un développement local et régional soutenu (30%) et le renforcement de la démocratie (15%).
Suivent le Liban (entre 130'000 et 159'000 euros pour la période 2014-2016), l'Arménie (entre 140'000 et 170'000 euros pour la période 2014-2017), l'Algérie (entre 121'000 et 148'000 euros pour la période 2014-2017), l'Azerbaijan (77'000-94'000 euros pour 2014-2017), la Biélorussie (71'000-89'000 euros pour 2014-2017) et pour finir, la Libye (36'000-44'000 pour 2014-2015).
Les sommes prévues pour 2014-2017 concernant le programme de coopérations régionaux à l'Est se situeront entre 418'000 et 511'000 euros, tandis que pour le Sud, on parle de 371'000 à 453'000 euros.
Les programmes qui couvrent l'ensemble de la "politique de voisinage" européen pour la période 2014-2017, programmes destinés au développement démocratique et à la mobilité, comme le programme Erasmus+, coûteront entre 1 milliard 675 millions et 1 milliard 876 millions d'euros. (ANSAmed.)
Source en italien (trad. pour lesobservateurs.ch par D. Borer)
Sommaruga : "Imaginez-vous si Bruxelles nous traitait comme un non-membre de l'UE"
La session d'hier au Conseil National à Berne fut mouvementée. Au centre de la discussion on avait Schengen et le traitement des requérants d'asile.
Concernant ces derniers, la Chambre du Peuple a approuvé un assouplissement concernant la détention des requérants déboutés. En pratique, si après 5 mois la procédure de renvoi n'a pas été exécutée, le requérant pourra être libéré.
Les discussions ont été vives entre les formations de droite et la gauche moralisatrice. Le ton est aussi monté pendant le débat sur la possibilité de rétablir les contrôles aux frontières, suite à l'augmentation incontrôlée de l'immigration clandestine.
Et sur ce thème justement, la conseillère fédérale socialiste Simonetta Sommaruga est intervenue : "Nous sommes en train d'entreprendre des modifications de lois pour s'adapter aux normes européennes. Nous devons réglementer nos frontières d'entente avec l'Union européenne : imaginez quel chaos ce serait si nos voisins nous traitaient tout à coup comme Etat non membre".
Quel plaisir de voir qu'une Conseillère Fédérale s'exprime comme si la Suisse était un Etat membre de l'Union européenne, ignorant totalement la volonté populaire...
Mais finalement, c'est la ligne politique suivie par les socialistes !
Source en italien (trad. pour lesobservateurs.ch par D. Borer)
Article de
Le Prix Nobel de la Paix a été attribué à l'Union européenne, au moment même où, de l'Afghanistan à la Libye, et de l'Irak à la Syrie, l'Union européenne apparaît désormais clairement comme le simple paravent politique d'une alliance militaire euro-atlantiste voulant imposer la loi du plus fort à la planète entière.
Cette attribution n'est donc pas seulement choquante du point de vue politique : tout le monde a compris que son objet est de tenter - bien inutilement d'ailleurs - de redonner un peu de prestige à une construction européenne dont les conséquences apparaissent désormais de façon criante comme désastreuses dans tous les domaines sans exception : économique, social, financier, monétaire, politique, social, industriel, scientifique, commercial, culturel, diplomatique et militaire.
Une décision orwellienne
Cette attribution est également choquante du point de vue de la morale et de l'éthique, En procédant à une inversion totale des valeurs qu'elle sous-tend, l'attribution du Prix Nobel de la Paix à l'UE/OTAN revêt un caractère "orwellien", en rappelant cet infernal univers décrit dans le roman 1984 : "De son poste d’observation, Winston pouvait encore déchiffrer sur la façade l’inscription artistique des trois slogans du Parti :
« LA GUERRE C’EST LA PAIX - LA LIBERTÉ C’EST L’ESCLAVAGE - L’IGNORANCE C’EST LA FORCE »
"Le programme panafricain financera des projets de développement et de coopération en Afrique pour soutenir le processus de l'intégration africaine, dans lequel l'Union africaine (UA) joue un rôle central." C'est ce qu'a affirmé le président de la Commission européenne.
La première phase du programme d'appui à l'intégration du continent dispose d'un budget de 415 millions d'euros pour la période 2014-2017.
L'Union européenne a besoin d'urgence de 4,7 milliards d'euros pour continuer à payer ses factures, est-il ressorti mercredi d'un débat à Strasbourg lors duquel les eurodéputés ont à nouveau déploré les problèmes budgétaires récurrents des institutions européennes.
La Commission européenne a lancé un simulacre d’opération transparence pour faire croire au bon peuple que les négociations sur le traité transatlantique ne se déroulent pas à huis clos mais au vu et au su de tous. Mais, sur la forme comme sur le fond, l’opération en question relève plus de la très mauvaise blague…
France - Claude Capillon, le maire de Rosny-sous-Bois déclare observer une hausse des cambriolages à chaque nouvelle installation de campements de Roms.
"La cohabitation avec le voisinage se passe toujours mal car nous observons à chaque nouvelle installation de campement une hausse des cambriolages dans les environnements immédiats.
Les riverains sont à bout (...). Nous avons rattrapé de justesse des habitants munis de bidons d'essence. Sans l'intervention des forces de l'ordre, ils mettaient le feu au campement."