« Si c’est tellement la merde ici, qu’est-ce que vous faites là ? ». La phrase lancée par un juge allemand à un demandeur d’asile fait le buzz

Un Libyen s’est retrouvé au Tribunal de première instance de Zwickau (Saxe) après avoir injurié la caissière d’un supermarché de « pute nazie » ou « salope de Hitler », un témoin l’a encore entendu crier « Allemagne de merde ». Finalement, l’homme se retrouve condamné à 2,5 ans de prison, une peine plus importante que celle requise par le ministère public.

Le juge avait déjà reproché au prévenu son comportement de prédateur sauvage et son attitude misogyne, mais en plus le magistrat trouvait incompatible que celui qui profite des aides de l’Etat en tant que demandeur d’asile se permette de traiter « d’Allemagne de merde » le pays qui l’accueille et l’entretient. Durant l’audition, il a donc clairement remis le Libyen à sa place en lui demandant : « si c’est tellement la merde ici, qu’est-ce que vous faites là ? ».

Une phrase qui a depuis fait le tour de l’Allemagne, ce qui vaut au tribunal de Zwickau de nombreux messages de soutien de tout le pays. Le juge n’accorde pas plus d’intérêt à ce remue-ménage médiatique et assure qu’il aurait évidemment traité le cas de la même manière si l’inculpé avait été d’origine allemande.

Focus.de Via Fdesouche.com

« Madame le Juge, en islam, vous seriez vendue comme esclave sexuelle »

Ce mercredi 10 février, notre ami Sami Aldeeb témoignait donc en faveur d’Alain Jean-Mairet, le président suisse de Riposte Laïque à l'époque. Ce dernier était accusé par le procureur de la République, Solene Gouverneyre, d’avoir autorisé la publication du texte de Salem Ben Ammar, dont le premier paragraphe avait choqué la Licra et le procureur.

http://ripostelaique.com/et-si-lislam-etait-le-culte-de-la-perversion-sexuelle-et-morale.html

Forniquer, violer, abuser sexuellement d’enfants pré-pubères, incendier, faire de l’élevage sexuel sous couvert d’adoption, terroriser, racketter, décapiter, lapider, kidnapper, rançonner, vitrioler, pratiquer la nécrophilie et la zoophilie, trahir, brader le pays, brûler le drapeau national, piétiner les codes républicains, appels au meurtre des « mécréants », prier dans les rues, s’envelopper dans son linceul, faire l’apologie du djihad et de l’antisémitisme, razzier, profaner les tombes, prêcher la haine du juif, du chrétien et du démocrate dans les mosquées, appeler au meurtre des démocrates, assassiner, envoyer des filles mineures en Syrie pour servir de putes halal afin de satisfaire les bas instincts des terroristes, partouzer halal, donner sa femme en offrandes aux escadrons de la mort, ce n’est ni un crime ni un délit aux yeux des gouvernements occidentaux comme musulmans qui eux-mêmes organisent des filières terroristes et servent de proxénètes pour l’occasion.

Après la demande d’irrecevabilité de la plainte de la Licra par notre avocat, Maître Stéphane Haddad, on rentra, après une interruption d’un quart d’heure, dans le vif du sujet.

http://ripostelaique.com/la-justice-francaise-est-elle-competente-pour-juger-notre-president-suisse-reponse-le-6-avril.html

Sami Aldeeb fut invité à prêter serment. Rappelons qui est vraiment Sami.

C’est un juriste d’origine palestinienne, de nationalité suisse. Il a été responsable du droit arabe et musulman à l’Institut suisse de droit comparé de 1980 à 2009. Il enseigne également dans différentes universités en Suisse, en France et en Italie.

Il est l’auteur d’ouvrages et d’articles sur le droit arabe et musulman. Il a notamment publié en 2008 une édition bilingue du Coran en arabe et en français restituant le texte en classant les sourates par ordre chronologique selon l’Azhar, avec renvoi aux variantes, aux abrogations et aux écrits juifs et chrétiens. Il prépare actuellement[Quand ?] une édition similaire en italien et en anglais. Il a aussi traduit la Constitution suisse en arabe pour la Confédération.

Bref, c’est quelqu’un qui sait de quoi il cause. Et c’est un blagueur invétéré. Quand la présidente lui demanda s’il jurait de dire toute la vérité, il ne put s’empêcher de répondre : « Seulement si vous me donnez assez de temps, Madame la présidente ». Celle-ci lui fit comprendre sèchement qu’il devait faire des réponses brèves et concises.

Sami fut immédiatement interrogé sur l’article, jugé scandaleux, de Salem. Il confirma au tribunal, dont les juges paraissaient éberlués, que tout ce qui était écrit dans cet article était vrai, et que c’était cela le droit musulman, mais aussi le droit arabe, où la charia faisait office de loi.

Il multiplia les exemples pour justifier le texte de l’auteur.

Sur la pédophilie, il expliqua que le prophète avait épousé Aîcha à 6 ans, et avait consommé le mariage à 9 ans. Et il apprit aux juges qu’au Yemen, 6 fillettes mouraient tous les jours à cause d’actes pédophiles.

Il affirma qu’au Maroc et en Arabie saoudite, deux enfants sur trois sont victimes d’actes d’incestes.

Une importante documentation a été fournie au tribunal.

Il parla des femmes captives de guerre, que le Coran autorisait à utiliser comme esclaves sexuelles. Il affirma que des cheikhs, sur internet, légitimaient cela.

Il expliqua que Dieu encourageait les musulmans à coucher avec les femmes des ennemis.

Le juge a essayé de prendre en défaut Salem, sur les termes de « nécrophilie » et de « zoophilie ». Sami, sans le moindre complexe, évoqua le droit pour l’homme musulman d’avoir un rapport sexuel avec sa femme morte, et même avec des animaux. Comme quoi évoquer de telles situations, inenvisageables dans nos sociétés, est légitime quand on évoque l’islam. Donc, la question se pose. Il apprit aux juges, décontenancés, qu’au Maroc, on pouvait violer une femme, et ne pas aller en prison si on l’épousait.

Un des juges essaya de reprendre la main, en tentant de mettre Sami en difficulté sur les passages jugés les plus contestables de l’article. ll demanda donc à Sami ce qu’il pensait de ce passage du texte de Salem : « Un musulman, c’est un déviant sexuel né qui trouve une excuse dans la religion« .

Notre ami essaya d’expliquer au magistrat, et au tribunal, qu’il ne fallait pas essayer de comprendre les musulmans avec des yeux d’occidentaux. Il montra qu’en islam, toutes les pratiques sexuels déviantes sont autorisées par le Coran. Dès les premières heures de son existence, jusqu’à sa mort, un musulman est conditionné et façonné dans le respect des textes sacrés.

Et Sami d’asséner : « quand un musulman est en état de faiblesse, il compose, quand il est en état de force, il impose« . Et Sami d’insister : « Tout musulman en état de pratiquer les normes coraniques le fera sans scrupule« . Il expliqua qu’Averroes, jugé comme un modéré, ne disait pas autre chose que ce qu’affirme aujourd’hui l’Etat islamique.

Le juge insista, et, demanda à Sami ce qu’il pensa des « pratiques démoniaques » qu’évoquait l’article. Il lui fit savoir qu’il ne savait pas ce que signifiait le mot « démoniaque », qui n’est pas défini en droit français. Notre ami a rappelé que dans le Coran il y avait les mots « angéliques » et « démoniaques ». La notion de pratiques démoniaques faisait l’objet de définitions et de chapitres entiers. Donc, quand un musulman évoque les pratiques sexuelles démoniaques, cela a un sens très précis pour lui, au regard du Coran.

Et il eut ce trait de génie, se tournant vers la présidente : « Si le vice-président était musulman, il pourrait vous vendre comme esclave sexuel dans un marché à bestiaux« . Perplexité des magistrats…

La présidente lui demanda son parcours. L’énoncée de l’ensemble des titres de notre ami paru impressionner les trois magistrats. Les trois avocats de la Licra avaient fait le choix de parler entre eux, et d’ignorer les propos du témoin.

La présidente, décontenancée par les propos totalement décomplexés de notre ami suisse, lui demanda s’il avait déjà été condamné. « Jamais, et pourtant, en Suisse et dans mes universités, je dis bien pire que cela !« , dit-il avec humour.

Elle insista : « Pensez-vous qu’en Suisse, ces propos seraient condamnés pour incitation à la haine ? » Question surprenante, qui montre la surprise de ce juge devant la liberté d’expression qui existe chez nos voisins.

Il rappela également qu’Alain Jean-Mairet n’avait jamais, lui non plus, été condamné par la justice suisse ni par aucune instance judiciaire.

Curieusement, le procureur Gouverneyre et l’avocate de la Licra, qui pourtant avaient de quoi « cuisiner » Sami, à l’issue de ces propos plus iconoclastes les uns que les autres, ne pipèrent mot, et ne demandèrent pas à interroger le témoin. Pas très courageuses, ces deux inquisitrices…

Nous eûmes droit aux plaidoiries des complices Licra-Procureur. Ce fut Sabrina Goldman qui commença.

Elle rappela qu’il y a quatre ans, elle était présente lors de la première condamnation de Pierre Cassen et Pascal Hilout. Elle gémit que depuis cette date, l’évolution de Riposte Laïque était effrayante. Elle expliqua qu’à l’époque, notre site masquait sa haine des musulmans en se réfugiant dans la seule critique de l’islam. Elle nous apprit qu’il avait fallu disséquer le discours de RL pour arriver à nous faire condamner (quel aveu !). Mais à présent, selon elle, on était passé clairement à un positionnement de haine décomplexée, et que cela était effrayant.

Elle fit savoir qu’elle était épouvantée par ce qu’elle venait d’entendre de la part du témoin, et y vit racisme essentialiste, rien de moins.

Elle exprima sa colère contre Alain Jean-Mairet, et la manière dont il avait éconduit la Licra. Elle dénonça les dégâts de l’idéologie de RL dans l’opinion publique, citant, en bonne islamo-collabo, les chiffres truqués du CCIF, selon lesquels les actes anti-musulmans auraient triplé en une année.

Et, chose dont elle parut avoir du mal à se remettre, elle fit savoir que 1605 personnes avait tapé sur « j’aime », suite à l’article de Salem (ce sont sûrement ceux-là qui ont sévi chez Charlie et au Bataclan, pas vrai, chère Sabrina Goldman ?).

Pour se remettre de ses souffrances, elle demanda 2000 euros d’un côté et encore 1000 euros d’un autre. Il faut bien que les trois avocats de la Licra présents puissent manger.

Nous eûmes droit ensuite au procureur Gouverneyre. Manifestement, ce commissaire politique déguisée en serviteur de l’Etat hait Riposte Laïque, cela se voit sur son rictus nerveux, dès qu’elle prononce notre nom. Elle raconta à peu près les mêmes stupidités que l’avocate de la Licra, mais cibla notre président suisse, accusé d’avoir autorisé la publication d’insanités, rien de moins ! Elle fit savoir qu’elle était scandalisée que Riposte Laïque ait osé utiliser ce procès pour en faire une tribune haineuse contre l’islam, et suspecta Sami ou Alain Jean-Mairet d’avoir écrit l’article signé Salem Ben Ammar.

Bien évidemment, cette femme de gôche défend la liberté d’expression, mais avec des limites ! Ben voyons ! Et, histoire de nous apprendre à écouter aux portes, elle demanda 5000 euros d’amende contre nous. Après Valeurs Actuelles, elle rêve de se farcir Riposte Laïque ! Elle ira loin cette petite.

Notre avocat, Maître Stéphane Haddad, conclut par une longue plaidoirie, où il rappela l’incongruité d’un tel procès, fait par un tribunal français contre un directeur de publication suisse ayant autorisé le texte d’un Tunisien. Il rappela que l’auteur de l’article vivait en Tunisie, et était menacé de mort. Il accusa la Licra de l’avoir encore davantage mis en danger avec cette plainte.

Il fit un violent réquisitoire contre cette officine, à qui il estima que l’Etat français devait demander des comptes, à cause de ses abus et des choix sélectifs dans ses proies. Il les interpella : « Qu’attendent-ils pour pousser le ridicule jusqu’à déposer plainte contre Trump, qui affirme qu’il ne veut plus un musulman nouveau aux Etats-Unis ? »

Pendant la plaidoirie de Stéphane Haddad, les trois avocats de la Licra furent particulièrement arrogants. Outre Sabrina Goldman, il y avait un crâne d’oeuf particulièrement antipathique, et un nommé Stasi (cela ne s’invente pas). L’avocate gloussait stupidement, quand notre avocat parlait, et ils ne cessaient de montrer tout le mépris que leur inspirait Maître Haddad. La présidente dut les rappeler à l’ordre.

Stéphane put donc poursuivre. Il compara Salem Ben Amamr à Salman Rushdie. Il expliqua que l’incitation à la haine était une imposture juridique. Il démontra toute la différence entre l’antisémitisme et l’islamophobie. Sur les termes violents de l’article, il montra qu’ils visaient les plus radicaux des musulmans, mais fit aussi savoir que ceux-ci avaient aussi le droit d’être remis en cause.

Il sut rappeler la particularité d’internet, et les conséquences qu’auraient, pour nos tribunaux, la possibilité de laisser ester en justice les antiracistes contre les sites de tous les pays du monde.

Très incisif contre la Licra, tout au long de sa plaidoirie, il conclut en demandant la relaxe d’un procès qui ne faisait pas honneur à la France et qui n’avait aucun sens.

Verdict le 6 avril 2016, à 13 h 30. Mais grâce à Sami, la salle a passé de bons moments, contrairement aux duettistes Goldman-Gouverneyre.

Lucette Jeanpierre

Pour le juge italien Imposimato, « l’OTAN est une menace pour la Paix et la sécurité dans le monde »

Voici le discours du juge italien antimafia Ferdinando Imposimato, président honoraire de la Cour de Cassation italienne, prononcé lors d’une réunion à Rome le 26 octobre dernier à l’initiative du journaliste italien Giulietto Chiesa.

M. Imposimato est un personnage extrêmement respecté en Italie pour l’ensemble de son combat contre le crime organisé. Le seul fait qu’un homme de sa trempe, aussi connu et inattaquable que lui, se prononce de façon tranchée sur le danger que représente l’OTAN pour la paix dans le monde, mais aussi sur sa vision des attentats du 11-Septembre, devrait provoquer un débat national voire, européen, sur ces questions.

Il n’en est rien, de telles paroles ne seront jamais relayées par les médias grands publics et les journaux télévisés. Dormez bonnes gens.


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Source

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Via réseauinternational.net

Suisse: Les juges de l’Union Européenne devraient avoir le dernier mot

L'Union Européenne se montre intransigeante dans le conflit concernant les compétences des juges de l'UE.

L'UDC craint une perte de la souveraineté suisse.

Bruxelles poursuit une ligne dure concernant les juges de l'UE. Comme l'indique la "NZZ am Sonntag", les négociateurs de l'UE insistent sur le fait que la Cour de justice européenne puisse avoir encore plus d'influence que ce qu'exige la Suisse.

Ainsi les juges de l'UE décideront aussi en ce qui concerne les litiges impliquant les accords bilatéraux. Ceci concernerait entre autres les contingents exigés par l'UDC.

"C'est une adhésion rampante à l'Union Européenne" s'énerve le Conseiller National UDC Hans Fehr. "La Suisse ne devrait accepter cela en aucun cas. Avec les juges étrangers, nous perdons notre souveraineté."

"La Suisse doit à présent négocier plus durement et montrer clairement à l'UE à quel point la Suisse est un partenaire économique important. Au pire des cas, nous devons accepter que les bilatérales 1 soient résiliées."

Pour le Conseiller National PS et pro Union Européenne Martin Naef ce serait inacceptable. "Ces négociations portent sur tout. Il en va de la Suisse. Les accords bilatéraux devront absolument être sauvés. Si nous voulons une relation solide avec l'UE, les juges font partie de cette condition. Celui qui veut participer au marché unique européen, doit s'acclimater aux règles de jeu européennes."

La question de la compétence des juges de l'UE devrait continuer à être explosive: Ce conflit est apparemment la principale pierre d'achoppement dans les négociations en cours avec l'UE.

Source Traduction A. R.