Les accusations de harcèlement touchent toute la SSR : Déjà une centaine de cas pour la RTS.

Le Syndicat suisse des mass media (SSM) indique que sa branche tessinoise a déjà réuni trente plaintes. Un appel avait été lancé aux collaborateurs de la RSI de déclarer les éventuels cas. Côté romand, une centaine de cas ont été rapportés à la RTS en trois semaines.

L’organisation a aussi les yeux rivés sur la Suisse alémanique, car la SRF serait également concernée. 

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24Heures.ch

Quelque 250 postes supprimés par les mesures d’économies de la SSR

La SSR amorce un programme d'économies et de redéploiement pour les quatre prochaines années. Elle entend ainsi économiser 100 millions de francs. La suppression d'environ 250 postes est à prévoir.

Moins de quatre mois après le net rejet de l'initiative No Billag à 71,6%, le conseil d'administration de la SSR a approuvé mercredi le cadre du plan d'économies et d’efficience défini par le comité de direction.

Avec les 100 millions de francs d'économies envisagées, la SSR réagit à la baisse et au plafonnement de sa quote-part de redevance décidé par le Conseil fédéral, ainsi qu'au recul des recettes publicitaires.

La RTS doit économiser 15 millions

Ainsi, SRF devra économiser 20 millions de francs, la RTS 15 millions, la direction générale 15 millions également et la RSI 10 millions. La RTR et SWI swissinfo.ch devront eux économiser un million chacun.

Les économies communes à toutes les unités, en particulier dans les domaines des infrastructures et de la distribution, s’élèvent à 40 millions de francs. Une réduction significative des coûts immobiliers est prévue dans l'ensemble des régions.

L'entreprise précise qu'il faut s'attendre à la suppression d'environ 250 postes à temps plein. Si une grande partie de ces suppressions s’effectuera par les fluctuations naturelles, des licenciements sont aussi à prévoir. La mise en oeuvre de ces mesures est prévue dès 2019.

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Source et article complet

La RTS épinglée pour ses partis pris sur «No Billag»

Le médiateur alémanique de la SSR a reçu jusqu'ici 40 réclamations du public au sujet du traitement de l'initiative. De son côté, la médiatrice de la RTSR en a reçu cinq.

Trois réclamations ont visé la RTS avant la fin 2017 et deux depuis début 2018, précise lundi à l'ats la médiatrice de la RTS Raymonde Richter. Les trois premières reprochent à une émission de «Mise au point» de laisser entendre que le comité romand «No Billag» et son président Nicolas Jutzet veulent la mort de la SSR. Les deux autres critiquent le manque de réserve de journalistes de RTS radio.

 

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Source et article complet Via le Facebook du PNS

 

No Billag: En 2014, la SRF envoyait 340 collaborateurs aux JO de Sotchi à nos frais. 3 fois plus que le nombre de sportifs suisses.

La liberté de la presse est garantie.» La Constitution fédérale de 1848 n'en dit laconiquement pas plus. Les pères de cette constitution libérale se retourneraient probablement dans leur tombe s'ils savaient que les Suisses sont aujourd'hui contraints de financer des programmes de télévision et de radio par des taxes obligatoires. Et qu'aujourd'hui 6000 collaborateurs sont déployés et 1,6 milliard de francs est dépensé pour bourrer le crâne des citoyens dans les trois langues nationales de justes convictions de gauche, le tout financé par des impôts quel que soit l’appareil utilisé.

Selon le mandat de prestation du Conseil fédéral, la SSR a, par exemple, l'obligation, comme le dit la NZZ en tournant autour du pot, de promouvoir «auprès du grand public une compréhension de la réalité de la vie» des «personnes issues de la migration». Cela ne relève plus d'une mission d'information objective et factuelle, mais plutôt d'une directive politique. Inversement, la SSR peut toujours se fonder sur l'ordre du Conseil fédéral pour polémiquer contre les personnes qui ne font pas en premier lieu preuve de «compréhension», mais d'une incompréhension face à l'afflux, aussi et surtout, de criminels étrangers qui abusent du droit d'asile.

Certes, l'article 17 de la Constitution fédérale, actuellement en vigueur, continue d'exiger la liberté des médias. Or, il s'applique à la presse écrite et électronique, mais pas à la radio et à la télévision. La position monopolistique de la SSR et/ou de la SRF, qui peuvent bénéficier de la redevance pour les programmes, recouvrée par l’État (et qui, par conséquent, n'ont pas à défendre leur position sur le marché), constitue une intervention qui n’est plus justifiable dans l'ordre économique suisse basé sur la libre concurrence et sur la propriété privée.

L'ancien conseiller fédéral Moritz Leuenberger qualifie les gens qui pensent ainsi de membres d'une «secte ésotérique capitaliste». Je n'ai rien contre le capitalisme. Les piques arrogantes et maussades de l'ancien conseiller fédéral sont l'expression d'un professionnel de la politique, financé toute sa vie par des taxes imposées, qui n'arrive même plus à s'imaginer que le capitalisme constitue le fondement de la prospérité de la Suisse.

Jadis, les médias suisses étaient complètement libres. Ils étaient indépendants du doux poison des subventions et pouvaient donc critiquer en toute indépendance la classe politique. Depuis 1922 – l'année de la fondation de la Radio suisse –, on entendait les vociférations de Mussolini au Sud, auxquelles se sont ajoutées en 1933 celles d'Hitler au Nord. Dans ces circonstances, on peut comprendre dans une certaine mesure que le gouvernement suisse ait voulu avoir sa propre entreprise publique de radiodiffusion pour la défense intellectuelle du pays. Mais aujourd'hui, alors que nous sommes entourés de démocraties et, soi-disant, seulement d'amis, on n'a plus besoin de médias d'opinion financés et contrôlés par l'État.

La SSR est trop puissante. Elle abuse régulièrement de son énorme pouvoir en clouant au pilori des personnes ou des entreprises gênantes. Les erreurs ne sont pas l'exception. Les journalistes de la SSR peuvent même maintenant, à l'instar de la Stasi, fouiner partout avec une caméra cachée aux termes d'un terrible arrêt rendu par la Cour européenne de justice. 340 collaborateurs de la SRF étaient à Sotchi pour les Jeux Olympiques – trois fois plus que les sportifs suisses. 107 collaborateurs de la SSR ont assisté aux projections du Festival du film de Locarno. Les fake news n'ont pas été inventées par Donald Trump. L'émission «Rundschau» joue le juge dans les procès et falsifie des pièces. Elle pratique à nos frais une chasse à l'homme journalistique.

La presse privée et les médias électroniques peuvent, de nos jours, facilement couvrir dans tout le pays les besoins d'information dans toutes les langues nationales. Des opérateurs de médias qui travaillent à niveau local ou régional sont beaucoup mieux à même qu'un radiodiffuseur national de couvrir les besoins de communication concernant l'environnement immédiat des consommateurs.

Le déséquilibre économique de la SSR privilégiée par rapport aux opérateurs suisses financés par la publicité est injuste et choquant. La redevance répartie à des diffuseurs privés est aussi une solution insatisfaisante car elle ne fait qu'accroître le rôle de l'État dans le secteur de la radiodiffusion. En outre, l'idée qui sous-tend ladite répartition – contrairement aux pratiques du marché – n'est pas le succès financier, mais l'échec.

Il est grand temps de nous libérer de la «mission éducative» de l’audiovisuel public SSR qui fait office d'«éducateur de la nation». Le système audiovisuel public en Suisse est l'émanation d'une vision archaïque, patriarcale et paternaliste de l'État. Dans l'histoire, les sociétés libres ont toujours eu des médias libres. Ce sont, au premier chef, les pays autoritaires qui ont jalousement défendu l'hégémonie de l'État dans le secteur de la radiodiffusion. Il suffit de penser au «Volksempfänger», la Radio du peuple du ministre de la propagande Goebbels dans l'Allemagne nazie. Ou à des pays socialistes totalitaires, comme l'ex-Union soviétique ou la RDA, où le gouvernement a régulièrement abusé de son monopole médiatique pour manipuler l'opinion publique. La suppression du service public de la radiodiffusion financé par l'impôt est dans une communauté de citoyennes et de citoyens libres un impératif de notre temps.

Pour ces raisons, la SSR n'a plus sa place dans notre économie de marché moderne et prospère et doit être libérée de toute influence de l'État sur la programmation. Il n'est plus justifiable de restreindre la concurrence dans le secteur de la radiodiffusion par des contraintes arbitraires et de soustraire au libre marché de l'opinion une SSR à but non lucratif qui serait l'unique diffuseur de programmes. Une économie libre remplace, en effet, le contrôle d'une autorité publique par celui de consommateurs avertis. Qui plus est, un diffuseur de programmes privilégié par l’État est toujours exposé au risque d'ingérences politiques et étatiques, ce qui est incompatible avec la liberté des médias.

Les consommateurs avertis seront les seuls à décider du succès ou de l'échec. Une véritable concurrence entre les multiples diffuseurs proches des consommateurs et ayant la souplesse nécessaire assurerait ledit service public à bien moindres frais et nettement plus efficacement qu'un diffuseur public chouchouté par l'État. (Lire également l'opinion divergente de Jürg Altwegg page 32.)

Source

Sondage : Quelle SSR souhaitez-vous pour la Suisse?

Etes-vous satisfait de l'offre proposée par la société suisse de radiodiffusion et de télévision (SSR)? Participez à notre grand sondage en ligne!

Le 4 mars prochain, les Suisses devront voter sur l'initiative «No Billag». Tandis que les opposants craignent pour la diversité des médias, les sympathisants, eux, critiquent l'obligation de payer une redevance. Depuis des semaines, les deux camps se livrent une bataille électorale acharnée.

Raison pour laquelle nous aimerions savoir si vous êtes satisfait de la société suisse de radiodiffusion et de télévision (SSR)? Qu'est-ce qui vous plaît? Et que changeriez-vous? Participez à notre sondage et dites-nous quel type de SSR vous souhaitez pour la Suisse.

Source 20 minutes

No Billag, le grand tabou: “La SSR est probablement en train d’élaborer un plan B mais elle ne le rend pas public.”

Pour des raisons tactiques, les dirigeants de la SSR se refusent à envisager un plan de sauvetage en cas d’acceptation de l’initiative «No Billag».

La SSR est probablement en train d’élaborer un plan B, mais je peux comprendre qu’elle ne le rende pas public

Médias. Affolement et propagande suite…Raymond Vouillamoz, ancien directeur de la Télévision romande: “Si No Billag passe, il n’y aura plus de Darius Rochebin”

A n'en pas douter, voici un argument de taille qui va tout de suite faire pencher la balance.

Vouillamoz n'a pas compris que les Suisses refusent de financer une télévision biaisée sur le plan politique, dont le prix est exorbitant, via une "redevance" obligatoire, alors que les taxes explosent de toute part et qu'une famille modeste aurait bien besoin de cet argent. Non vraiment, pour cet individu, le peuple laborieux et ses problèmes n'existent tout simplement pas.

Le salaire indécent (536'314 francs) du directeur de la SSR ne lui pose visiblement aucun problème non plus.

Quant au socialiste, il arrive à s'inventer un statut de "patriote" tout en militant en faveur de l'immigration de masse. On se demande s'il reste encore un semblant de logique à cet énergumène ou si prendre les gens pour des imbéciles est une seconde nature dans son parti.

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Le conseiller national Manuel Tornare (PS/GE) ne cache pas son inquiétude. C’est en effet le 2e sondage, après celui de Médias Suisses en septembre, qui donne l’initiative victorieuse. «Ce serait un séisme pour la Suisse. Encore plus grave que le oui à l’initiative contre l’immigration de masse. (...) Adieu la cohésion nationale et bonjour à ces chaînes étrangères orientées comme le sont Russia Today (RT) ou Foxnews. En tant que patriote, je trouve cela extrêmement grave. Et je me battrai jusqu’au bout pour que le non l’emporte lors du scrutin du 4 mars.»

Raymond Vouillamoz, ancien directeur des programmes de la Télévision romande, écrit au vu du sondage: «Il s’agit d’une forme de suicide collectif, car sans les chaînes de la SSR, la démocratie dépérirait. Plus d’infos en provenance de la Suisse romande. Plus de retransmissions sportives de nos équipes nationales. Plus de Darius Rochebin. Fini Mise au pointTTCABETemps présent

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Source et article complet

Rappels:

Etude: Près de 70% des journalistes de la SSR sont à gauche

Le directeur de la SSR a perçu un salaire de 536'314 francs en 2016 (page 88).

Jacques Dubochet Prix Nobel de chime. » Grosse récupération politique de la RTS », Forum du 4.10.2017

Affaire Defend Europe contre RTS

Médias. Les Rohingas : comparez ce qu’en dit la RTS et la Réinformation. Edifiant!

Etude: Près de 70% des journalistes de la SSR sont à gauche

Pour la première fois, il existe des chiffres détaillés sur l'attitude politique des professionnels des médias.

Pour la première fois, on a pu évaluer à quel point les journalistes de la SSR sont à gauche sur la base des chiffres détaillés de la ZHAW (Université des sciences appliquées de Zurich). Les chercheurs en journalisme Vinzenz Wyss et Filip Dingerkus ont réalisé une évaluation des données pour la SonntagsZeitung, données qui ont été recueillies dans le cadre d'une étude de journalisme international entre les années 2014 à 2016, mais qui n'ont jamais encore été publiées.

La conclusion concernant les chiffres est claire: près de 70% de tous les journalistes de la SSR se déclarent comme étant de gauche. 16% se situent au centre. Et 16% se considèrent comme étant de droite.

On a déterminé la classification politique sur une échelle de 0 à 10. 0 étant à gauche, 5 pour le centre et 10 pour la droite.

Aucun journaliste de la SSR ne s'est positionné à droite (à l'extrémité) aux valeurs 9 et 10; 7.4% se trouvent à l'extrémité gauche sur les valeurs 0 et 1.

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Source Traduction libre Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Christophe Darven

Initiative No Billag: La SSR fait son auto-promotion au mépris de la loi

Selon la presse dominicale, la SSR aurait interrompu une campagne d'auto-promotion sur ses chaînes après l'intervention de l'Office fédéral de la communication.

L'OFCOM n'a pas formellement interdit la campagne, mais a rappelé que la loi sur la radio-TV interdit la publicité politique pour les objets de votations fédérales.

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Source et article complet

 

 

Pour la Verte Adèle Thorens, la SSR est honnête et impartiale. “Avec No Billag, on risque une blochérisation de l’information.”

Christian Hofer: Nous parlions de ces élus déjà ici.

On relèvera la mise en exergue par le 24H de la propagande articulée par l'élue verte, comme si cette déclaration d'intention prouvait quoi que ce soit alors qu'il n'y a en vérité aucun contrôle sur ce plan. De leur côté, les journalistes de la SSR ne se privent pas pour montrer leurs préférences politiques, petit détail que le 24H semble oublier.

No Billag aura eu le mérite de révéler au grand jour le système de copinage entre médias romands, élus bien-pensants et la SSR.

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Cinq élus romands de la majorité des partis pilonnent sans relâche l’initiative populaire «No Billag», qui sera soumise au vote le 4 mars prochain.

«Les radios et télévisions publiques et privées de Suisse romande ont signé une charte où elles s’engagent notamment à informer la population de manière honnête, impartiale et équilibrée»

 

La conseillère Adèle Thorens (Verts/VD) voit le service public en danger si l’initiative passe. «Les radios et télévisions publiques et privées de Suisse romande ont signé une charte où elles s’engagent notamment à informer la population de manière honnête, impartiale et équilibréeElle craint une «berlusconisation» ou une «blochérisation» de l’information. 

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Rappels:

La RTS en pleine propagande d’extrême gauche: « Néonazis, menace sur l’Europe »

RTS: « Les finances bernoises souffrent de la pénurie de requérants d’asile »

Lorsque la RTS vomit sur le fils de Trump parce qu’il bâille.

Propagande de la RTS: « Mon buteur est musulman »

La RTS vole au secours de la Conseillère fédérale socialiste: Sommaruga tombée dans le piège tendu par Roger Köppel?

RTS: « Agressions sexuelles par les migrants. Les médias doivent-ils s’autocensurer pour éviter les amalgames? »

Annick Jeanmairet, journaliste à la RTS: « On se met aisément à la place de la militante socialiste qui pleure »

Discours de propagande de Jean-Marc Richard, journaliste à la RTS, pour ce 1er août

Lolita Morena: «Je ne pardonnerai jamais les années Schwarzenbach. Mon regret est de n’avoir pas su partir plus tôt de la Suisse»

Couleur 3: « La crèche de Noël est devenu un symbole pour les chrétiens ultra conservateurs n’aimant pas les étrangers »

«No Billag»: le directeur de la SSR tente d’effrayer les Suisses. “Ce serait véritablement catastrophique.”

Si le peuple l'acceptait, ce serait «véritablement catastrophique», a déclaré son nouveau directeur général Gilles Marchand vendredi à Berne devant les médias.

En cas de «oui» au texte qui veut supprimer la redevance radio-TV, la Suisse ferait face à «un désert médiatique, c'est un fait», a lâché l'ancien directeur de la Radio Télévision Suisse (RTS), en réponse à un journaliste.

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Source

 

Réactions des lecteurs sur le 20 Minutes:

 

20min

 

Rappels:

Le directeur de la SSR a perçu un salaire de 536'314 francs en 2016 (page 88).

Jacques Dubochet Prix Nobel de chime. » Grosse récupération politique de la RTS », Forum du 4.10.2017

Affaire Defend Europe contre RTS

Médias. Les Rohingas : comparez ce qu’en dit la RTS et la Réinformation. Edifiant!

 

 

 

Fake news à la radio alémanique SRF – plainte déposée

Le Comité interpartis contre la loi sur l'énergie et l'UDC ont déposé une plainte aujourd'hui auprès du médiateur SSR contre une émission de la radio alémanique SRF. De fausses déclarations ont été faites dans l'émission matinale "HeuteMorgen" du 12 mai 2017 concernant la future votation populaire sur la loi sur l'énergie. Les citoyennes et les citoyens ont été trompés concernant les conséquences financières du tournant énergétique.

La radio suisse alémanique SRF a diffusé le 2 mai 2017 une émission unilatérale et ambiguë dans la perspective de la votation populaire sur la loi sur l'énergie Les auteurs de cette émission ont notamment affirmé que les coûts du tournant énergétique ne pouvaient pas être chiffrés exactement, mais que la déclaration des adversaires de la loi sur l'énergie, selon lesquels la stratégie énergétique coûte 3200 francs par an à un ménage de quatre personnes, était certainement fausse.

Les auteurs de l'émission ont en outre prétendu que le Parlement avait déjà "enterré" le projet d'article constitutionnel pour un système incitatif en matière climatique et énergétique (SICE) qui, selon le message gouvernemental, apporte une augmentation des taxes sur l'électricité (+3 cts par kWh), sur l'huile de chauffage (+67 cts/litre) et l'essence (+26 cts par litre). C'est encore faux. Le projet est toujours à l'examen au Parlement et le plénum du Conseil des Etats n'en pas encore débattu. La Petite Chambre n'ouvrira ce dossier qu'après la votation. Le Conseil national a certes refusé juste avant la votation populaire d'entrer en matière sur ce projet, mais celui-ci n'a nullement été "enterré" par le Parlement. Il y est toujours pendant.

Partant de cette allégation la radio alémanique SRF a prétendu que seuls les chiffres des adversaires du projet étaient faux et que le tournant énergétique ne coûtait "que" 40 à 100 francs. Il s'agit là encore d'une déclaration fausse puisque le Conseil fédéral lui-même chiffre le coût de la stratégie énergétique à 211 milliards de francs (communiqué de l'Office fédéral de l'énergie concernant l'adoption du message sur la stratégie énergétique du 4 mars 2013). Si on extrapole ce montant à un ménage de quatre personnes, on obtient environ 3200 francs par an.

L'émission de la radio alémanique SRF viole clairement le principe de l'objectivité fixé par la loi sur la radio et la télévision. Il s'agit de toute évidence d'un compte rendu partisan, ce qui est inadmissible dans la perspective d'une votation populaire. Le comité contre la nouvelle loi sur l'énergie et l'UDC n'acceptent pas la diffusion de fausses nouvelles par une radio d'Etat financée par des prélèvements obligatoires. Ils ont donc décidé de déposer une plainte auprès du médiateur SSR.

Informations supplémentaires:
UDC Suisse – Gabriel Lüchinger, secrétaire général: 079 108 89 55

L’UDC réclame une discussion sur le service public et la SSR

La SSR coûterait trop cher, prendrait trop de place, et proposerait un service trop complet. Selon l'UDC, il ne s'agit pas de la faire disparaître, mais de la dompter. La semaine prochaine, la commission des télécommunications du National va se pencher sur le dossier.

 

Source

Le patron de la SSR Roger de Weck a eu 10% de plus de salaire

Les patrons des CFF Andreas Meyer et de la SSR Roger de Weck ont bénéficié d'une hausse de salaire de plus de 10% en 2014. Le premier a engrangé 1,072 million, et le second quelque 560'000 francs. Les principaux cadres de la Confédération ont vu leurs revenus grimper.

Du côté de la SSR, le directeur général Roger de Weck a touché environ 70'000 francs de plus en douze mois (491'000 francs en 2013). Sa composante de base a peu évolué, passant de 397'000 à 400'000 francs, tandis que ses bonifications ont bondi de 41'000 à 103'000 francs.

A La Poste, la cheffe Susanne Ruoff a empoché 825'000 francs (766'000). Le salaire de base a augmenté à 570'000 francs (530'000), et les variables à 207'000 francs (189'000).

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Redevance: Ce sont les Suisses de l’étranger qui ne vont pas payer qui l’ont soutenue

En plus de Vaud et de Genève évidemment.

La modification de la loi fédérale sur la radio et la télévision pourrait passer dans l'histoire comme une des plus serrées ayant jamais été votée. Avec 3696 voix d'écart, le oui l'a emporté et une analyse détaillée des résultats montrent que les Suisses de l'étranger y ont joué un rôle déterminant, comme l'explique leTages-Anzeiger.

Ceux-ci ont en effet massivement soutenu le texte au point de faire pencher la balance, avec un taux entre 60 et 72%, comme l'a relevé l'Office fédéral de la statistique (OFS). Un paradoxe alors que les Suisses de l'étranger ne sont pas soumis à la redevance mais ils profitent des prestations de la SSR et ils ont tenu à le faire savoir avec leur bulletin de vote.

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La RTS ne nous informe plus

Devenons tous journalistes car ceux que nous payons ne font plus leur travail

Le rôle de la RTS est d’imposer la pensée unique en Suisse.

Cette RTS fabrique les opinions selon les directives de leurs élites, de façon similaire au KGB durant les années des républiques socialistes (URSS). Il s’agit d’ingénierie sociale, une pratique connue et utilisée depuis plus d’un siècle. Les gouvernements dits « démocratiques » l’appliquent graduellement et obtiennent avec succès les changements d’opinion profonds escomptés.

Ce processus est d’autant plus effectif qu’il est mis en œuvre simultanément sur plusieurs fronts (médias, cinéma, TV, écoles, universités, etc...).

Les idiots utiles de ce système, dont font partie les journalistes RTS, seront, avec le reste de la population, victimes de la déconstruction systématique de nos valeurs, déjà en cours et dont nous sommes témoins. Seuls les élites et l’oligarchie, architectes de cet effondrement planifié et programmé, en sortiront vainqueur.

Ces idiots utiles préparent un futur misérable pour leurs propres enfants, et pour les nôtres également. Leur endoctrinement a été bien plus intensif durant leurs études supérieures. Ils ont passé par un broyeur d’idées redoutablement efficace, formatés à la pensée unique.

Ils sont donc sincères lorsqu’ils nous matraquent quotidiennement avec leur idéologie socialiste totalitaire.

Ces journalistes n’ont plus comme but la quête de l’objectivité, ou la vérification des faits, mais l’avancement de l’idéologie dictée par les élites.

Leurs outils furtifs de désinformation (ou de communication persuasive) sont nombreux, bien connus et quotidiens, dont par exemple :

Proscription : Passer sous silence des informations non compatibles à leur ligne éditoriale. Taire des événements contraire à la pensée imposée rend ces derniers invisibles donc inexistants. Bien plus effectif que de les condamner.

Associations absurdes : Assembler des idées ou concepts incompatibles (amalgamer) lorsque cela pousse les gens vers une conclusion erronée mais idéologiquement conforme à la politique rédactionnelle.

Illusion d’autodétermination : Séquencer des sujets avec soin pour effectivement influencer la réflexion des auditeurs vers un bilan inexact mais concordant avec la doctrine éditoriale. C’est donner à l’auditeur l’illusion d’être parvenu à former sa propre conclusion.

La non-contradiction : La majorité des invités de la RTS (toutes émissions confondues) ne présente aucun conflit d’opinion, une solution élémentaire pour éviter la radiodiffusion d’idées contradictoires au dogme imposé par la police de la pensée.

La répétition : Il est possible de forcer l’acceptation d’une idée sans jamais la vérifier en la répétant de façon continue. C’est la preuve par l’affirmation répétée.

Un développement salutaire mais utopique serait le suivant : Que les idiots utiles de la RTS redeviennent des journalistes. Qu’ils retrouvent le goût de l’investigation, le désir de divulguer, le besoin d’informer, de défier, de contredire, de risquer leur confort en retrouvant l’éthique journalistique qui peut-être était le fondement de leur motivation originelle, et oser faire face à leur direction soumise aux élites.

Incontestablement, cela exige une bonne mesure de courage, et c’est pourquoi ce raisonnement relève de l’utopie. Il n’en reste pas moins que ce faisant, ils seraient en mesure de reconquérir la confiance des auditeurs de Suisse romande.

Abandonnons cette chimère et examinons des éléments de solution concrets :

1. Voter : Ne pas permettre à cette situation d’empirer et dans l’immédiat, voter non à la LRTV le 14 juin 2015.

2. Supprimer Billag : Le « débat sur le service public » ne produira aucune réforme profonde du rouleau compresseur à opinions qu’est la RTS. Il deviendra pertinent de soutenir l’initiative populaire pour la suppression de Billag. C’est le chemin qui garantira la refonte du paysage médiatique Suisse. Ce sera douloureux pour les milliers d’employés de la RTS, mais un véritable bienfait pour notre intelligence. Le rétablissement d’un service public honnête nous permettra de nous affranchir de la démesure, de l’outrance que représente la RTS aujourd’hui. Les nombreux érudits qui aujourd’hui sont ignorés parce qu’ils sont porteur d’idées contraires à doctrine officielle seront à nouveau entendus.

3. Remise en question : Devenons tous journalistes car ceux que nous payons ne font plus leur travail. C’est à nous de devenir son propre chroniqueur grâce à la démocratisation de l’information sur internet. Il s’agit pour chacun de remettre en question chaque morceau d’information, son contexte, sa véracité en utilisant ces outils puissants : mot-clé – moteur de recherche. En évitant l’écueil des multiples théories fumeuses diffusées sur la toile, on arrivera sans peine à découvrir la vraie nature et signification de l’information, avant que celle-ci n’ai passé par le concasseur de la RTS.

Ian Smith, Zurich, le 27 mai 2015

(nom connu de la rédaction)

Redevance: le président de la SSR demande plus d’objectivité

ND. Ch. H. On notera que ce personnage ose parler d'objectivité alors qu'il incite les gens à voter en faveur d'une loi qui lui est profitable. Pire, il présente ce nouvel impôt comme "équitable", même si la personne ne veut pas consommer de télévision ou le refuse pour des raisons financières. Visiblement la liberté de choix est un élément qu'il ne connaît guère.

Raymond Loretan s'élève contre le mélange des thèmes dans la campagne sur la révision de la loi radio-TV.

«Le 14 juin, nous ne votons pas sur le service public», martèle le président de la SSR, Raymond Loretan, dans une interview donnée au journal Schweiz am Sonntag.

Il s'agit seulement de remplacer un système de redevance dépassé et bureaucratique par un autre plus simple, plus avantageux et plus équitable, déclare le Valaisan. La redevance actuelle doit être remplacée par une taxe par ménage étant donné que presque tout le monde possède aujourd'hui un moyen de réception.

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Avenir Suisse propose de dissoudre les chaînes de la SSR

La boîte à idées de l’économie publie son scénario pour le futur de l’audiovisuel public: en faire un fournisseur de contenus comparable à une agence de presse publique. La SSR dénonce une perspective qui servirait les acteurs étrangers du secteur.

Avec la montée en puissance d’Internet, la Toile sera sans doute, à terme, l’unique canal de diffusion d’informations et de divertissements, lesquels se répartiront ensuite entre les écrans – et le papier. 

Source (Article payant)

Les employés de la SSR ne veulent toujours pas payer Billag

Les employés de la SSR vont devoir payer eux-mêmes leur redevance radio-TV. Le Syndicat suisse des mass media (SSM) conteste cette décision de la direction du groupe car le paiement de la taxe Billag est inclus dans la convention collective.

Informé en septembre des plans de la direction, le SSM ne l'entend pas de cette oreille. Il n'acceptera pas cette mesure sans compensation car le paiement de la redevance est prévu dans la convention collective de travail et fait donc partie du salaire, a indiqué son président Ruedi Bruderer à l'ats.

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