Allemagne : Les impôts et les fonds européens ont servi à construire une mosquée turque à 3 millions de francs

En Europe, l'Islam politique utilise les mêmes tactiques que celles qui ont permis aux islamistes turcs de prendre le pouvoir : les islamistes infiltrent les structures de l'État de façon rampante.

Depuis le 11 septembre, les médias et les politiciens occidentaux recherchent désespérément des exemples positifs d'intégration réussie des communautés musulmanes. En 2008, par exemple, les médias allemands ont parlé du "Miracle de Marxloh". Il s'agissait d'une magnifique mosquée turque à Duisburg-Marxloh, qui a été subventionnée à hauteur de 3 millions d'euros par l'argent des impôts allemands et des fonds européens.

Une idée fausse de cette époque perdure encore aujourd'hui dans l'Islam européen et la politique d'intégration : on pense que les musulmans peuvent être mieux intégrés grâce à un Islam organisé. On espère que les associations islamiques aideront l'État à lutter contre la radicalisation des jeunes musulmans. À cet égard, les organisations islamiques ont été et sont encore une partie du problème.

Ditib, l'association turque des mosquées, a reçu l'argent à l'époque après avoir promis d'organiser des cours de langue pour les femmes dans la mosquée et de créer des emplois pour les jeunes musulmans dans cette région économiquement faible. Mais dès que la mosquée a été achevée, Ditib a licencié la représentante des femmes et a annulé les cours de langue ; aucun projet n'a été réalisé. Rien de tout cela n'a eu de conséquences pour cette association. Les fidèles priaient dans la mosquée aux frais des contribuables, ils rendaient hommage à Erdogan et à son AKP [NDLR : Le "Parti de la justice et du développement", parti politique d'Erdogan].

La dictature religieuse

L'islam politique en Europe fonctionne avec les mêmes tactiques de "saucissonnage" qui ont aidé les islamistes en Turquie à prendre le pouvoir. Ce pays laïc a fait un virage vers une dictature religieuse.

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

NZZ

Mosquées bondées au Pakistan : « Nous ne croyons pas au coronavirus, nous croyons en Allah »

Islamabad (AFP) – La fréquentation était importante pour la prière du vendredi dans de nombreuses mosquées du Pakistan, malgré les craintes d’une propagation du nouveau coronavirus dans un pays au système de santé en déshérence.

Alors que l’Arabie Saoudite a interrompu les pèlerinages et fermé les mosquées, et qu’une fatwa en Égypte a permis l’interdiction des prières publiques, les fidèles restaient nombreux dans les lieux de culte du Pakistan, pays de plus de 200 millions d’habitants, très majoritairement musulmans.

« Nous ne croyons pas au coronavirus, nous croyons en Allah. Quoi qu’il arrive, cela vient d’Allah », a déclaré l’un d’eux Altaf Khan, alors que d’autres portant des masques affluaient pour la prière du vendredi à Islamabad. […]

L’Obs

Via Fdesouche

Nuits d’émeutes en banlieue parisienne après la fermeture d’une salle de prière (Vidéos)

Les nuits d’affrontements se succèdent à Sartrouville depuis le 5 juin, à la suite de la fermeture d’une salle de prière suspectée d'être un foyer salafiste. Policiers et pompiers subissent les assauts de jeunes du quartier.

Depuis le 5 juin, le quartier de la Cité des Indes à Sartrouville est durant la nuit le siège d’affrontements intenses entre la police et certains de ses habitants. La raison de la colère du quartier : la fermeture le 4 juin de sa salle de prière, depuis des années dans le viseur des autorités.

 

 

 

Les heurts sont survenus quelques heures seulement après l’expulsion des fidèles de ce lieu de culte musulman, déjà fermé deux fois auparavant sur ordre du préfet. Les fidèles se sont repliés sur un autre local à proximité. Mais la salle initiale a été murée, suscitant la colère du voisinage.

Selon Le Parisien, les forces de l’ordre ont dû essuyer plusieurs nuits durant des tirs de mortier artisanal, de projectiles, des jets de pierre ou encore de feux d’artifice, tandis que des départs de feu survenaient à divers endroits. En réponse, les forces de l’ordre ont procédé à de nombreux tirs de flash-ball et à des lancers de grenades de désencerclement. Des jeunes s’en sont pris à un système de vidéosurveillance qu’ils ont voulu incendier, ainsi qu’aux locaux du bailleur qui louait jusqu’ici la salle de prière. Ils ont brisé au marteau les vitres d'un de leurs bâtiments.

Pourquoi Sartrouville s'embrase-t-il ainsi ? Les fidèles de la salle de prière n'ont pas supporté l'expulsion de l'association qui gérait le lieu de culte, à la demande du bailleur social Logement Francilien. Pour la troisième fermeture de ce local ouvert depuis 17 ans, le bailleur a eu recours à la force publique pour faire respecter l’injonction à quitter les lieux qui avait été ordonnée le 17 mai. La salle de prière était considérée suspecte depuis les années 2000 au point qu’une perquisition a été menée en ses murs en 2015, sans résultat. Mais l’ancien préfet des Yvelines Serge Morvan, qui a récemment quitté son poste, l’accusait d’être un avant-poste du salafisme, en accointance avec des terroristes. Il a produit deux arrêtés, l’un en octobre 2017 qui courait jusqu'à la fin de l’état d’urgence le 1er novembre. A la suite de la réouverture du lieu, le préfet a produit un second arrêté préfectoral.

 

 

Une salle de prière justifiant le «recours au djihad» selon le préfet

Selon les termes utilisés dans les arrêtés de la préfecture, le préfet avait estimé que ce local était «le théâtre d’un prosélytisme intense». Il a évoqué «la diffusion de prêches radicaux par son imam et les imams extérieurs», «la mise à disposition aux fidèles d’ouvrages comprenant des passages appelant à la haine et à la discrimination envers les juifs et les chrétiens et justifiant la violence et le recours au djihad».

L'ancien préfet a affirmé de même que certains fidèles avaient été arrêtés en pleins préparatifs pour se rendre en Syrie ou en avaient encouragés d’autres à partir, dont une une jeune djihadiste française en 2014. Il a également accusé l'ancien président de l'association cultuelle de la salle, Saïd Djelleb, d’être en relation avec Djamel Beghal, le mentor de l’un des frères Kouachi et d’Amédy Coulibaly, auteurs des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Casher en janvier 2015, qui sortira bientôt de prison.

Ces propos ont été réfutés en bloc par l’intéressé, qui a confié au Parisien ne pas connaitre Djamel Beghal, et ne pas comprendre pourquoi il n’avait pas été inquiété par les forces de l’ordre avec tout ce que le préfet sous-entendait sur le lieu de culte dont il avait eu la responsabilité. Pour preuve de sa bonne foi, il fait valoir qu’il s’était retiré de la présidence de l’association en novembre 2017, laissant place à une personnalité moins controversée. Des caméras de vidéosurveillance avaient été installées et un nouvel imam avait été nommé. Mais les autorités ont décidé que ces changements intervenaient trop tard et que la base de fidèles était déjà inquiétante.

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Un journaliste israélien infiltré dans des mosquées de France

Le journaliste israélien Zvi Yehezkely, spécialiste du monde arabe pour la chaîne israélienne Aroutz 10, s’est infiltré ces derniers mois dans les mosquées des Frères musulmans en France, en Allemagne, en Turquie et aux Etats-Unis, pour son nouveau documentaire "Fausse identité".

A l’occasion de la diffusion du premier épisode le 30 janvier, Zvi Yehezkely a accordé une interview exclusive à i24NEWS, au cours de laquelle il explique que l'idée de ce documentaire est née d’un rapport commandé par le gouvernement français.

"Le gouvernement français a commandé à une société israélienne privée de renseignement un rapport sur l’activité des Freres Musulmans en France. C’est à partir des conclusions de ce rapport, que l’idée du doc est née", déclare-t-il.

Pendant plusieurs semaines, Zvi Yehezkely s’est mis dans la peau d’un cheikh ("Abu Hamza") appartenant aux Frères Musulmans afin de comprendre le fonctionnement de cette organisation, son enracinement en Europe, et son rôle dans ce qu'il appelle le "djihad silencieux".

"Le djihad silencieux en France consiste à profiter de la naïveté des Français pour disséminer son idéologie", affirme Yehezkely.

"Dans certaines mosquées françaises, j’ai entendu des imams interdire aux fidèles de souhaiter 'Joyeux Noel'", explique-t-il.

Au cours de son enquête, il a également tenté de lever le voile sur le financement de plusieurs organisations françaises liée à l'Islam dont le CCIF (Collectif contre l'islamophobie en France) et plus largement l'UOIF (Union des organisations islamiques de France).

Il explique notamment être allé à la rencontre de Samy Debah, fondateur du CCIF, qui lui a confirmé qu'une grande partie des fonds venaient du Qatar, la maison mère des Frères musulmans.

"Il m'a également parlé de la théorie de la victimisation des Musulmans de France", explique-t-il ài24NEWS.

"Aujourd’hui, l’Islam radical a compris que le djihad silencieux était plus efficace que le terrorisme. L’Europe s’est prémunie du terrorisme, mais pas de l’idéologie qui cherche à l’islamiser", estime le journaliste.

Afin de parfaire son identité, Zvi Yehezkely a dû être "briefé" et conseillé par le Shin Bet et le Mossad.

"Je me suis procuré un passeport syrien à Gaziantep grâce à une source qui était en contact avec les djihadistes de Daesh", déclare-t-il.

C'est grâce à une mini-caméra sophistiquée dissimulée dans un bouton de sa veste que le journaliste a pu réaliser ce reportage choc.

En 2012, le journaliste avait réalisé la série documentaire "Allah Islam"où il s’était fait passer pour un journaliste palestinien dans des milieux islamiques français, belges, britanniques et suédois.

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Mireille Vallette sur son livre “Le radicalisme dans les mosquées suisses” [vidéo]

Vidéo réalisée par Dominique Bianchi

Fribourg, Bâle , Berne, Lucerne, Genève... école, hôpital, piscine, cimetière, prison... Pourquoi et comment les fondamentalistes influencent-ils les institutions suisses? Quelle est la différence entre djihad culturel et islamisation?

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Suisse: Des mosquées sous l’influence de la Turquie et de l’Arabie Saoudite

Christian Hofer: On rappelle que cette chère Turquie veut rouvrir les chapitres de son adhésion à l'UE, condition qui avait été mise dans la balance pour "réguler" le flot des migrants. Merkel s'est agenouillée devant un pays dont la seule préoccupation est l'islamisation de l'Europe et qui, comble de l'ironie, utilisera les milliards du contrat, et certainement les milliards de la préadhésion, pour financer des mosquées chez nous.

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Ruth Humbel (PDC/AG) dépose une interpellation pour davantage de transparence quant aux financements étrangers des organisations musulmanes.

Le financement de certaines organisations musulmanes fait polémique. La presse s’est fait récemment l’écho de l’influence de certains pays, comme la Turquie et l’Arabie saoudite, sur plusieurs fondations œuvrant en Suisse. Hier encore, «Le Matin Dimanche» affirmait que la Surveillance fédérale des fondations enquêtait sur plusieurs organisations. Et cette question va être empoignée dès aujourd’hui par Berne. La conseillère nationale Ruth Humbel (PDC/AG) doit déposer une interpellation réclamant davantage de transparence en la matière, à l’occasion de l’ouverture de la session extraordinaire de la Chambre du peuple, rapportait hier la NZZ am Sonntag . L’intéressée confirme: «En Autriche par exemple, les dons étrangers à destination des mosquées sont interdits. Nous pourrions nous en inspirer.»

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La communauté musulmane se crispe en France face à l’action policière / RTS / Forum du 25.11.15

Ndlr : Invités : Dominique Jamet - homme libre et Yasser Louati, porte-parole du Collectif contre l'islamophobie en France (et Maitre absolu en taqkya) pour qui le plus gros problème suite aux attentats de Paris est justement l'islamophobie (qu'ici nous préférons appeler islamo-lucidité).

A croire Y. Louati (de plus en plus agressif dans le débat), ce ne sont point les assassins islamistes qui sont responsables des carnages mais les services de police en général... Pour lui, Daesh n'est pas musulman, belle démonstration de la taqîya,  l'art de dissimuler...

Il déplore avec vigueur qu'une "offense"  particulièrement blessante ait été faite à la communauté musulmane pour avoir laisser entrer des chiens policiers dans une mosquée ! On croit rêver ! Il est vrai que les 132 victimes et la centaine de blessés massacrés par ces fous de d'allah (victimes qui, pour certaines, seront marquées à vie dans leur chair), sont bien peu de choses face aux sensibilités et blessures faites aux croyants par la présence d'un chien policier en ces lieux de culte durant une intervention de police ! Et que dire de nos "journalistes" de la TSR bien mous face à l'agressivité de Louati et fort peu curieux sur la réalité de l'islam. Visiblement leur logiciel aurait besoin d'un "restart" pour envisager d'un regard libre et lucide le problème que pose la religion d'amour de paix et de tolérance...

Et dire que nous devons payer des taxes pour se faire rouler dans la farine de Forum en Forum...

M. Louati est particulièrement déchaîné dès 11'30''. Un régal.

Ecoutez :


Un grand merci à Bernard qui a eu la générosité d'écouter Forum pour nous

Nous refusons l’islamisation de la France, nous refusons l’islamisation de nos églises.

Réplique de l'AGRIF aux propos de Boubakeur, à l'instance de dialogue entre l'État et les musulmans et aux propos dangereux de certains évêques français... 

Instance de dialogue avec le « culte » musulman : le mensonge à la base !

 

En créant leur « Instance de dialogue… », le premier ministre Manuel Valls et Bernard Cazeneuve son ministre de l’intérieur constatant le peu de représentativité réelle et les querelles internes du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) viennent d’amplifier encore l’erreur initiale de Nicolas Sarkozy ; ils partagent avec celui-ci la même inculture, la même méconnaissance de la réalité de l’islam.

On se souvient que, lors de la création du C.F.C.M., le cardinal Lustiger manifesta son effarement, déclarant : « Ainsi, on va faire de l’islam une religion d’État ! ». Tout le monde ne le comprit pas. Il visait ainsi très justement, sans doute en n’explicitant pas suffisamment, l’erreur trop commune consistant à ne considérer l’islam que comme une religion, et, erreur pire encore, simplement comme « un culte ».

Or, comme le rappelle sans cesse Tariq Ramadan, le maître à penser de l’U.O.I.F., désormais si chéri par le recteur Dalil Boubakeur : « l’islam entre difficilement dans les limites de l’acception du mot religion », développant amplement par ailleurs que l’islam est simultanément religion et principes de gouvernement, foi et loi, et modes de vie. L’islam en effet récuse la distinction évangélique essentielle entre ce qui est de l’ordre du gouvernement des hommes et ce qui est du domaine de la religion (et donc de la morale qu’elle fonde).

Nos gouvernants auront beau faire, et leurs habiles interlocuteurs musulmans auront beau dire, l’islam en France, ou dit « de France », ne pourra guère être (comme tous les islam dans le monde et dans l’histoire) déconnecté de son modèle : la théocratie totalitaire du gouvernement de Mahomet à Médine ; à moins qu’enfin se développe chez les musulmans la liberté d’une lecture critique du Coran et des hadîths et d’une réflexion sur l’histoire de l’islam, telle que courageusement souhaitée en Egypte par le maréchal Sissi.

Manuel Valls, avec sa coutumière solennité grandiloquente, a averti les Français que l’islam était désormais chez lui en France. Notons bien qu’il n’a pas parlé des « musulmans » mais de « l’islam ». Il s’est gardé de dire ce qu’il entend par ce mot. La deuxième étape du processus ne sera-t-elle pas demain l’affirmation selon laquelle la France est désormais en islam ?

Mais peut-on tenir davantage rigueur aux politiques de leur ignorance lorsque l’évêque d’Evry, Michel Dubost, déclare qu’il « préfère que les églises deviennent des mosquées plutôt que des restaurants» et qu’il assortit cela d’une assertion plus que superficielle. N’assène-t-il pas à ceux qui prétendent qu’il n’y a pas d’églises dans les pays musulmans : « c’est peut-être vrai en Arabie Saoudite mais pas vraiment ailleurs ».

Monseigneur, votre formule est affligeante. D’abord il n’y a pas qu’en Arabie Saoudite qu’il n’y a pas d’église. C’est aussi le cas en Afghanistan. Mais la vérité, vous le savez bien, c’est que l’éradication du christianisme est quasi totale dans des dizaines de pays, la Turquie en premier, et que dans la plupart des pays d’islam il n’y a d’églises que dans les capitales pour le personnel des ambassades ou les touristes chrétiens. Mais dans tous ces pays, avec églises résiduelles ou non, la conversion des musulmans au christianisme entraîne les plus dures peines selon la loi et souvent, de jure ou de facto, la mort.

Nous, monseigneur, nous ne voulons ni d’églises transformées en restaurant, ni transformées en mosquée ! Il y a d’autres solutions.

Nous refusons l’islamisation de la France, nous refusons l’islamisation de nos églises. 

Communiqué de l'Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne