Belgique : En séjour illégal et déjà 7 fois condamné, un Marocain tabasse un homme de 79 ans à terre puis le vole !

La cour d'appel du Hainaut a condamné mardi un Marocain en séjour illégal de 33 ans, Abdallah A., à quatre ans de prison ferme pour un vol avec violence commis dans une station de métro à Charleroi. La peine est moins sévère qu'en première instance, où l'homme avait écopé de six ans ferme en octobre dernier.

Mais ce n'était pas une première pour Abdallah, en séjour illégal depuis 2006, qui avait déjà été condamné six fois par le tribunal, et a notamment écopé de six ans de prison d'un précédent jugement.

Le 5 mars 2019, il avait purgé sa peine et sortait de prison. Et un mois après sa sortie, le 7 avril, il a agressé un septuagénaire dans la station "Beaux-arts" du métro de Charleroi le 7 avril 2019, pour lui voler son portefeuille et son téléphone portable.

La scène a été filmée et le passage à tabac a duré quatre minutes. Bernard, 79 ans, avait été mis à terre par une balayette, puis frappé alors qu'il était au sol.

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Dhnet.be

Nos remerciements à Josée-Christine Lavanchy-Trépe

 

Métro de Londres : La police à la recherche de bandits armés de couteaux

La police est à la recherche de bandits armés de couteaux. Les agresseurs ont frappé au moins huit fois dans les gares ferroviaires et les stations de métro de Londres et d'Essex au cours du mois dernier.

La police des transports britannique a publié aujourd'hui des images de vidéosurveillance concernant des jeunes hommes qui sont liés aux vols.

L'inspectrice en chef Sarah White a déclaré: "Nous avons vu un nombre inquiétant de vols dans le métro londonien et sur le réseau ferroviaire londonien. Nous travaillons sans relâche pour attraper les responsables."

Un écolier de 16 ans a été dépouillé de son téléphone et de son argent par trois voyous armés de couteaux vers 16 heures le 9 novembre.

Le 6 novembre à 20 heures, des suspects ont bloqué un homme de 20 ans contre un mur et l'ont frappé à la poitrine avant de prendre ses écouteurs sans fil à Euston. Le même jour à 12h40, un homme de 22 ans s'est fait voler son téléphone à White Hart Lane.

Un homme âgé de 20 ans a été piégé par les suspects qui ont volé ses AirPods et ont tenté de prendre sa veste et son sac sur le quai de la ligne centrale à Tottenham Court Road le 5 novembre à 20 heures. Le 29 octobre, une femme de 20 ans s'est fait arracher son téléphone alors qu'elle était assise dans le métro à Lancaster Gate.

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"Les objets comme les téléphones, les ordinateurs portables et les écouteurs Airpod sont typiquement les cibles de ces groupes de jeunes hommes. Habituellement, ils approchent les gens qui voyagent seuls, mais bon nombre de ces incidents ont quand même eu lieu dans des endroits bondés et achalandés."

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Standard.co.uk

Paris : Armé d’un couteau, un Égyptien sème la panique dans le métro “Je suis musulman et je bute tous les cathos.”

Grosse frayeur ce samedi dans le métro parisien. Peu avant 13 heures, sur les quais de la station Anvers à Paris, un individu a menacé une rame de passagers, qui était en arrêt prolongé. Exhibant un couteau, il s’est mis à hurler, semant la panique à bord du wagon, « je suis musulman et je bute tous les cathos ».

L’homme a lui-même rangé son couteau, avant d’être maîtrisé sans grande violence par des usagers. Les policiers de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) l’ont ensuite pris en charge. Il a été placé en garde à vue.

L’agresseur a été identifié comme étant un égyptien de 23 ans, nommé Emad F. Il n’est pas inscrit au Fichier des personnes recherchées (FPR) et à celui de la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP). Il est en revanche connu de la justice pour deux condamnations de droit commun.

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France. Drogue, violence dans les métros parisiens : des conducteurs ne veulent plus marquer certains arrêts

L'UNSA RATP et SOS Usagers alertent les pouvoirs publics sur le problème du trafic de crack et de la délinquance dans des stations du nord parisien. Des conducteurs ont même décidé, par sécurité, de ne plus s'arrêter dans les stations à risque.

Trafic de crack, présence de toxicomanes et de dealers sur les quais, violence, agressions, les métros parisiens sont touchés par une insécurité qui devient insupportable, notamment pour les conducteurs. Certaines stations de la ligne 12 et 4, dans le nord de Paris, sont parasitées par ces actes fréquents de délinquance.

C'est le cas de Marx Dormoy et Marcadet-Poissoniers où des agents RATP ont décidé de ne plus marquer l'arrêt pour protéger les voyageurs.

«Ils [Les conducteurs] arrivent et ils se rendent compte qu'ils [les délinquants] sont tellement nombreux au bord du quai qu'il peut y avoir une situation insécuritaire. Ou alors, parce que le collègue d'avant a signalé qu'effectivement ils sont virulents sur le quai, qu'il y a une bagarre, à ce moment-là, ils [les conducteurs] prennent des précautions d'usage pour ne pas marquer d'arrêt», déplore Jean-Marc Judith, du syndicat UNSA-RATP, interrogé par BFM Paris.

 

métro

 

«Entre les rixes qu'il peut y avoir sur les quais, qui se terminent parfois directement dans la rame, ou des traversées de voie, vous pouvez en percuter un, ou l'écraser. Avec toutes les conséquences en matière de police, ou psychologique, qu'il peut y avoir pour les conducteurs», explique-t-il également au micro de RTL.

L'association SOS Usagers et le syndicat Unsa RATP ont adressé un courrier le 11 janvier au ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, à la maire de Paris Anne Hidalgo, ainsi qu'à Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France et de l'autorité organisatrice des transports franciliens Ile-de-France Mobilités (ex-Stif). «Le nombre d'agressions sur les voyageurs et le personnel RATP, est en constante augmentation et prend des proportions de plus en plus dramatiques», informe le communiqué.

Un porte-parole de la RATP, joint par l'AFP, a confirmé de son côté que cette situation avait «un impact sur le sentiment de sécurité des voyageurs et du personnel», ainsi que sur «l'état des équipements, la propreté et la régularité du trafic».

Le 15 janvier, Valérie Pécresse, quant à elle, a affirmé qu'elle allait «recevoir SOS Usagers et le syndicat Unsa RATP pour évoquer l’insécurité dans le métro parisien notamment liée au trafic de drogue».

Le 19 janvier, l'UNSA organisera une table ronde axée sur la sécurité, en présence d'autres organisations syndicales.

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Dans le métro, pub pour les relations amoureuses entre Noir et Blanche via une pub de préservatif

Je ne propose pas d’articles aux lecteurs de Résistance républicaine pour commencer l’année,  juste une photo prise sur le quai du métro à Paris samedi 30 décembre dernier.

Peut-être suis-je bégueule mais, déjà, de la pub grand format pour des préservatifs dans un lieu très public où circulent beaucoup d’enfants, surtout en ces périodes de vacances scolaires et de fête de Noël (mais oui, j’insiste, bien que non catho pratiquante, c’est notre culture!) … je trouvais cela malvenu.

Quand j’ai vu qu’il s’agissait de propagande pour détruire la culture de l’homme blanc en incitant au métissage de la femme blanche avec un Africain, j’ai été révoltée. Plus rien ne les arrête pour formater les esprits. D’ailleurs les gens sur le quai n’avaient pas l’air choqués du tout.

Suite

Attentat dans le métro de Londres: Un réfugié irakien et un réfugié syrien arrêtés

L’enquête se poursuit après l’attentat dans le métro de Parsons Green à Londres, ce vendredi matin. L’explosion a fait 29 blessés. Deux suspects ont été interpellés et de nombreuses précisions les concernant ont été révélées ces dernières heures.

● Le second suspect interpellé ce samedi soir se nomme Yahyah Farroukh. Âgé de 21 ans, il est un réfugié syrien. L’homme vit à Stanwell à l’ouest de Londres.

Plusieurs voisins ont affirmé qu’il voyait régulièrement le suspect, décrit par les médias anglais comme un « amoureux de la fête » et des boites de nuit.

● Sur son compte Facebook, Yahyah Farroukh raconte comment il est arrivé en Europe en 2014, par l’intermédiaire d’un bateau de migrants, allant de l’Egypte à l’Italie.

● Yahyah Farroukh a été interpellé ce samedi soir alors qu’il sortait d’un restaurant, « Aladdins Fried Chicken » à Hounslow, à quelques kilomètres de son domicile. L’homme s’est débattu après qu’il ait été amené au sol par les policiers en civil, pour être arrêté.

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Les 2 suspects ont vécu dans la même maison d’accueil

● Yahyah Farroukh a vécu au même endroit que le premier suspect âgé de 18 ans, qui lui a été interpellé tôt samedi matin à 07h50, à Dover, alors qu’il allait embarquer sur un ferry.

Pour l’heure, son identité n’a pas été révélée.

● Ce dernier est arrivé en Angleterre à l’âge de 15 ans, après être passé par La Jungle, à Calais.

● Le jeune suspect de 18 ans vivait dans une famille d’accueil à Sunbury-on-Thames, chez Penelope et Ronald Jones, aujourd’hui âgés de 71 et 88 ans. Le couple a accueilli à ce jour 268 enfants réfugiés durant ces 40 dernières années selon les médias anglais.

● Les deux suspects ont vécu ensemble chez le couple avant que Yahyah Farroukh ne s’installe à Stanwell, ville située à proximité direct de l’aéroport de Londres-Heathrow.

● Une opération de police s’est déroulée au domicile de cette famille d’accueil ce samedi, donnant lieu à une longue perquisition.

Un suspect repéré avec un sac Lidl, 2 heures avant l’attaque

● Sur une vidéosurveillance devant la maison du couple de Sunbury-on-Thame, le vendredi matin, deux heures avant l’attaque à 06h50, un individu a été aperçu avec un sac Lidl correspondant à celui utilisé pour transporter l’engin explosif improvisé.

● Il s’agirait du suspect de 18 ans, interpellé à Dover alors qu’il allait embarqué sur un ferry, ce samedi matin. Une trentaine de minutes séparent la station de métro de Sunbury-on-Thame et celle de Parsens Green, où a eu lieu l’attaque vendredi.

Ce dimanche soir, les deux suspects étaient toujours en garde à vue à Londres.

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L’ennemi juré de la Serbie nommé Premier ministre au Kosovo

L’ancien rebelle albanais Ramush Haradinaj, considéré comme criminel de guerre par la Serbie, a été nommé Premier ministre le 7 septembre par le président kosovar Hashim Thaçi, après trois mois de blocage politique au Kosovo.

La tache d’harmoniser un gouvernement était ardue pour le président du Kosovo Hashim Thaçi, chef du Parti démocratique du Kosovo (PDK). A la suite des élections législatives anticipées du 11 juin 2017, aucune majorité parlementaire ne permettait la nomination d’un Premier ministre et donc la composition d’un gouvernement.

La coalition PAN, qui comprend le PDK (issu de l’ancienne UCK, l’Armée de libération du Kosovo, centre droit), l’AAK (l’alliance pour le futur du Kosovo de Ramush Haradinaj, droite) et NISMA (Initiative for Kosovo, centre gauche), était arrivée en tête, mais n'avait obtenu que 39 des 120 sièges du Parlement monocaméral du Kosovo. Pour obtenir la majorité, soit 61 sièges, la coalition PAN a dû faire du lobbying auprès d'autres députés, afin d'obtenir le ralliement décisif du petit parti de l’homme d’affaires Behgjet Pacolli, l’AKR (Alliance pour un Nouveau Kosovo) et de la liste serbe. La nomination de Ramush Haradinaj au poste de Premier ministre est censée conclure ces atermoiements.

Ramush Haradinaj, 49 ans, ancien haut responsable de l’UCK, est considéré comme un héros au Kosovo. Parti vivre en Suisse en 1990, il travaille comme videur de boîtes de nuit, préparateur physique ou menuisier dans la ville de Leysin. Lorsque la guerre au Kosovo démarre en 1998, il retourne dans les Balkans, prend la tête d’une brigade de 3 000 combattants kosovars. Son physique athlétique et ses faits d’armes lui valent le surnom de «Rambo» ou «Rambush».

Il se lance en politique en 2000 et fonde l'AAK. Cela lui vaut d’entrer dans le gouvernement d’Ibrahim Rugova, l’ancien président kosovar, et d’occuper une première fois ce poste de Premier ministre de manière éphémère entre décembre 2004 et mars 2005. Mais son inculpation au Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie (TPYI) le conduit à démissionner.

Ramush Haradinaj a pu compter sur le soutien des Américains et des Britanniques, l'ancien secrétaire britannique des Affaires étrangères, Robin Cook, ou l'ancien vice-président américain Joe Biden ayant publiquement chanté ses louanges. Il est acquitté une première fois le 3 avril 2008 de 37 chefs de crimes contre l'humanité et crimes de guerre, dont tortures, meurtres et viols. Mais le TPIY remarque par la suite que de nombreux témoins ont été intimidés et ordonne en appel que l'ancien dirigeant de l'UCK soit rejugé pour six chefs de crimes de guerre. Malgré les décès suspects d'autres témoins et autres irrégularités, Haradinaj est acquitté une seconde fois.

Ramush Haradinaj connaît d’autres déboires avec la justice. Il est arrêté brièvement en Slovénie en 2015, puis en janvier 2017 à l’aéroport franco-suisse de Bâle-Mulhouse sur la base d’un mandat d’arrêt international serbe datant de 2004, qui comptait le juger pour 108 chefs d’inculpation, notamment massacres et tortures. A la suite de quatre mois de détention, la France refuse de l'extrader vers la Serbie.

Aujourd’hui, ces démêlés judiciaires semblent loin pour Ramush Haradinaj. Ce dernier doit désormais s’atteler aux questions de la pauvreté et à l’exode des habitants du Kosovo. Il a déclaré aux reporters après sa nomination : «Nous ne devons pas permettre à nos citoyens de perdre espoir et de chercher le salut dans l’émigration.»

Une nomination qui remet en cause l'apaisement des relations serbo-kosovares ?

Les relations entre le Kosovo et la Serbie, qui ne reconnaît pas l'indépendance de ce qu'elle considère comme un province serbe, ont été explosives dans l’histoire récente. En janvier dernier, le président kosovar, Hashim Thaçi, avait même menacé la Serbie de conflit armé si le pays se rapprochait de «la frontière de la République du Kosovo». Il avait déclaré dans une interview à la radio allemande DW : «Le Kosovo est prêt à répondre à toutes les provocations. Nous avons des informations sur le fait qu'il y a des armes et que des membres d'unités paramilitaires ont l'intention d'entrer au Kosovo et de le déstabiliser.»

Depuis, l’élection du nouveau président serbe Aleksandar Vucic, les relations entre les deux pays se sont apaisées. Hashim Thaçi avait lui-même appelé son homologue pour le féliciter de son élection le 2 avril 2017. En juillet 2017, les deux hommes ont annoncé la reprise du dialogue.

Soucieux d’une meilleure intégration dans l’Union européenne, les deux pays avaient accepté d'entamer des discussions sur la normalisation de leurs relations. Le 12 juin, dans la ville serbe de Gornji Milanovac, le président serbe avait répondu aux questions des journalistes concernant les élections kosovares : «Le résultat sera difficile et nous posera de nombreux problèmes, mais nous essaierons de garder le calme et de poursuivre le dialogue, car nous maintiendrons la stabilité et la paix.»

Toutefois, la nomination de Ramush Haradinaj, ennemi juré de Belgrade, pourrait remettre en question ces bonnes intentions. Lors de l’arrestation du «Rambo» kosovar en France, Aleksandar Vucic, à l’époque Premier ministre serbe, avait appelé la France à le livrer et à agir comme un «Etat de droit» et non en tenant compte de «ses positions politiques».

De plus, l'une des promesses principales de la campagne de Ramush Haradinaj était l'exigence, préalable à toute discussion, d'une renonciation de la Serbie à ses revendications officielles sur le Kosovo. En effet, selon la Constitution serbe, le territoire du Kosovo fait partie de la République de Serbie, en tant que Province autonome du Kosovo-et-Métochie. De même, une trentaine de pays, dont la Russie ne veulent pas entendre parler de l'indépendance de cet Etat, proclamée en 2008, alors que 115 autres l'ont reconnue.

Hostile aux compromis, le nouveau Premier ministre kosovar devra toutefois composer avec les positions moins radicales du président kosovar Hashim Thaçi. Cette nomination faisant déjà grincer des dents les Serbes compromettra-t-elle du même coup les tentatives de négociations en vue de l'intégration de ces deux pays au sein de l’Union européenne ?

Italie: Un migrant africain provoque les agents de sécurité italiens. “Ne me touche pas, va te faire foutre! Je vais te tuer!”

La vidéo que vous ne verrez jamais dans le Télé-journal de Darius Rochebin: Les Italiens apeurés qui sortent en courant du métro, l'Africain qui s'impose physiquement, jusqu'à provoquer les agents de sécurité, sachant trop bien qu'il ne risque absolument rien en Europe grâce à la gauche.

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Rome, il prétend pouvoir monter dans le métro sans billet:

"Je n'ai pas d'argent... Ne me touche pas... Va te faire foutre... Je vais te TUER"

L'arrogance, les insultes, la violence contre les responsables de la sécurité.

 

 

Une station de métro évacuée dans le centre Londres, des témoins évoquent une détonation

Les pompiers ont été dépêchés sur place après qu'un incendie s'est déclaré dans la station de métro Holborn, dans le centre de Londres. Plusieurs témoins ont rapporté avoir entendu une détonation.

La station de métro Holborn, dans le centre de Londres, a été évacuée le 15 août au matin, après que d'importants dégagements de fumée ont été observés. Les pompiers ont été envoyés sur place alors que les premières images de l'incident de nature inconnue commençaient à circuler sur les réseaux sociaux.

 

Au total, deux camions et 10 pompiers ont été affectés à la maîtrise du sinistre. Des policiers ont bouclé le périmètre et fait évacuer la station. Des témoins racontent que l'évacuation des passagers s'est effectuée dans le calme. On ignore pour l'instant la cause de l'incident. Des témoins disent avoir entendu une détonation, certains la qualifiant de puissante, d'autres de faible.

 

Le 11 août, c'est la station d'Oxford Circus, dans le centre de Londres, qui avait été évacuée à cause d'un important nuage de fumée.

Source

Nos remerciements à Victoria Valentini

Londres. Fini les “Mesdames et messieurs” dans le métro: les annonces seront neutres maintenant

Nouvelle consigne pour le personnel du London Underground, le fameux métro londonien: être plus neutre et respecter la diversité des genres. Ce changement passe par un discours plus inclusif: les messages de services seront neutres, par respect pour ceux qui ceux qui ne sont pas concernés par les "Madame, Monsieur".

Les passagers seront donc les "bienvenus". Ce changement sera appliqué à toutes les nouvelles annonces préenregistrées effectuées sur le réseau de transport de la capitale. Cette campagne a été soutenue par le maire de Londres Saadiq Khan.

Inclusive

Mark Evers, directeur de la stratégie client chez TfL (Transports for London), précise à la BBC : "Nous voulons que tous se sentent bienvenus sur notre réseau de transport. Nous avons examiné la langue que nous utilisons dans les annonces et ailleurs et nous veillerons à ce qu'elle soit pleinement inclusive, reflétant la grande diversité de Londres."

Bien sûr, certains termes ne changeront jamais, comme "Mind the gap" (Attention à la marche) et "Attention à la fermeture des portes". Désormais, plus personne n'aura l'excuse de n'avoir pas entendu...

Source

URGENT – Précisions sur l’attentat dans le métro de Saint-Pétersbourg

   
Michel Garroté  --  Au moins 10 personnes sont mortes et 50 ont été blessées dans une  série d'explosions survenue, ce lundi 3 mars 2017 en début d'après-midi, dans le métro de Saint-Pétersbourg, à la station Sennaïa Plochtchad.
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Des engins explosifs remplis de shrapnel ont été utilisés dans au moins un des wagons du métro (le "shrapnel", outre la substance explosive, est notamment composé de corps en tungstène, tels que billes, cylindres ou bâtonnets, à des fins de mitraille, de projectiles).
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Le président russe Vladimir Poutine évoque une "piste terroriste" : "Toutes les pistes sont étudiées, y compris celle de l'attentat terroriste", a déclaré le Président russe Vladimir Poutine.
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Ces derniers mois, les services de sécurité russes ont annoncé à plusieurs reprises avoir démantelé des cellules terroristes islamiques qui s'apprêtaient à frapper Moscou et Saint-Pétersbourg.
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L'organisation Etat islamique (EI) avait appelé à frapper la Russie après le début de son intervention en soutien aux forces de Bachar al-Assad en Syrie en septembre 2015. L'EI reste de ce fait le principal suspect.
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Cela dit, ces dernières années, la Russie a été la cible d'attaques menées par des terroristes islamistes tchétchènes. En mars 2010, le métro de Moscou avait été frappé par deux femmes kamikazes, qui avaient fait au moins 38 morts, en déclenchant leurs ceintures d'explosifs au milieu des passagers de deux rames.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Berlin. Femme brutalement volée par des migrants: La police se préoccupe d’abord de celui qui a diffusé la vidéo de l’agression.

Christian Hofer: Nous en parlions déjà en exclusivité ici, avec des images non floutées contrairement au Bild.

A présent nous apprenons que non seulement la seule préoccupation de la police est la diffusion illégale de cette vidéo mais encore qu'elle a attendu une semaine avant une quelconque réaction.

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(...)

L'homme avec la barbe et la bouteille de bière à la main donne un coup de pied très puissant. La victime, une femme de 26 ans, tombe du haut de 13 marches. La Berlinoise n'avait aucun moyen de se défendre.

Martin Steltner, Bureau du Procureur: "Nous supposons que cet acte s'est déroulé sans qu'il y ait eu une interaction entre les protagonistes avant cette agression. Et nous espérons qu'avec ces images nous pourrons identifier les agresseurs et éventuellement les attraper."

C'est un crime brutal. Cela s'est passé le 27 octobre vers 12:20. Mais le public n'en a eu connaissance seulement le weekend dernier lorsque quelqu'un a diffusé illégalement la vidéo sur Internet.

Winfried Wenzel, Police de Berlin: "Nous enquêtons en raison de la violation de la diffusion de données privées. Parce que bien entendu nous supposons que quelqu'un travaillant aux transports publics de Berlin ou à la police a publié cette vidéo sans justification légale."

Actuellement l'agresseur du métro aurait dû être la cible de l'enquête. Mais une semaine entière est passée avant que la police ne réagisse. Seulement depuis hier (le 9 décembre), une recherche publique de l'assaillant et de ses compagnons a été lancée. C'est incompréhensible.

"Cette vidéo aurait dû être immédiatement rendue publique, même pour mettre en garde les gens."

"Peut-être aurait-on pu trouver ces contrevenants bien plus vite."

"On devrait vraiment être au courant de cela tout de suite."

"Oui, plus rapidement."

Mais la police déclare "Ce n'était pas possible plus tôt." parce qu'il y a des règles qui doivent être suivies.

(...)

Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Berlin: Une femme brutalement poussée et volée dans le métro par des migrants (Vidéo)

Christian Hofer: A noter que le journal Bild diffuse aussi cette vidéo MAIS ce journal floute les visages des agresseurs (ce qui permet à ce média de ne pas remettre en question l'immigration) et parle "d'homme" en ne mentionnant pas leurs caractéristiques physiques.

Je ne pense pas me tromper en disant que ce sont bel et bien des migrants, dans leur façon d'agresser lâchement (et de ne pas prêter assistance à une femme à terre), dans leur manière de voler une personne qui vient de se blesser, dans leur style vestimentaire, dans leur attitude abjecte.

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Cet enregistrement laisse sans voix. Une jeune femme descend l'escalier du métro et est poussée brutalement par un homme.

 

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La vérité sort de la bouche du métro !

Une vérité bien sentie, ça ne fait pas de mal ! Surtout quand elle est prononcée par un membre de la diversité. Les socialos ne peuvent rien contre cet homme, qui fait théoriquement partie des leurs, mais pratiquement qui est leur ennemi intime. Ah si l’immigration en France était majoritairement constituée de gens comme ça, la France n’irait pas si mal.

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La vérité sort de la bouche... du métro par enquete-debat

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