Les jeunes n’aiment pas la laïcité? Eh bien, cessons d’aimer les jeunes

L’éducation nationale meurt du "vivre-ensemble"

Alerte: les lycéens rejettent massivement la laïcité, selon un sondage de l’IFOP publié la semaine dernière. Jean-Paul Brighelli appelle ici à des mesures sans concession face à ce délitement qui menace la société française.

« Jeune con » est-il un pléonasme ? C’était déjà jadis l’idée du Professeur Choron : « Des merdeux, des trous-du-cul, des cons, des petits ânes » — et c’était en 1982…

Ça ne s’est pas arrangé depuis.

Un sondage Ifop qui vient de sortir, commandé par la LICRA et disponible ici, montre qu’une majorité de lycéens est favorable au port du voile à l’école, au port du burkini dans les piscines — qui devront avoir des horaires séparés garçons / filles —, et à l’élimination de tout discours contestant la religion.

Des modèles de vertu.

Quand leurs aînés, ces connards de baby-boomers, favorisaient la liberté d’expression, et leur ont d’ailleurs donné (imprudemment) la parole via la loi Jospin en 1989, les jeunes d’aujourd’hui favorisent la répression du blasphème. On se souviendra qu’une jolie minorité de ces ayatollahs en puissance a refusé de faire une minute de silence en 2015 pour honorer les morts de Charlie. Ils ne sont pas partis pour la Syrie, mais ils sont prêts au jihad intérieur.

Le pire, c’est qu’ils ont contaminé, par diverses pressions, les jeunes non-musulmans, qui approuvent désormais l’indignation des disciples de la religion de paix et d’amour dans leur croisade contre la liberté de parole et la laïcité. Imbus de réseaux sociaux, de chaînes de télévision ciblées, style Al-Jazeera (pourquoi croyez-vous que des paraboles ont fleuri en masse au-dessus des cités ?) et d’américanisation — et la laïcité à la française est très mal vue par les anglo-saxons qui ne voient aucun problème à l’instauration localisée de la charia —, les jeunes aspirent d’abord au « respect », comme le rappelle Gilles Clavreul dans le Figaro. Et trouvent la laïcité « discriminatoire » — alors que la charia, non, pas du tout.

Dès que vous vous efforcez de «comprendre» la bêtise, elle vous coupe la tête

On les a poussés à confondre port du voile et port de la minijupe, on leur a fait croire que McDo vendait du halal — afin qu’ils en mangent —, que la lapidation des femmes était une pratique normale, et qu’arriver vierge au mariage allait de soi: raison pour laquelle les petites maghrébines, dans leur vie sexuelle avant confinement à vie, ont recours à toutes les pratiques possibles, sauf la pénétration vaginale. Souris qui n’a qu’un trou est bientôt prise, dit ingénument le proverbe…

À lire aussi, Elisabeth Lévy: La gauche Charlot

Gilles Clavreul, l’un des fondateurs du Printemps républicain est un laïque authentique — auquel le Comité Laïcité République a remis son prix en 2017. « Sans doute, constate-t-il, les politiques publiques de pédagogie de la laïcité n’étaient-elles [...]

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Clash : Professeur Choron "Les lycéens, c'est des merdeux" | Archive INA (1:14)

Ferney-Voltaire (France) : Un couple de Genève agressé dans le bus par une bande de jeunes

Samedi 23 janvier un peu avant minuit, les gendarmes sont intervenus après un vol à l’arraché sur un couple ayant dégénéré et un conducteur de bus a été blessé en tentant de s’interposer à Ferney-Voltaire.

Un couple habitant Genève, un Sud-Coréen et une Finlandaise, se trouvait dans le bus des Transports publics genevois quand la femme a fait l’objet d’une tentative de vol de son sac à main par une dizaine de jeunes. Le couple rentrait chez lui après avoir passé la soirée chez des amis, a indiqué à l’AFP Eric Sandjivy, procureur adjoint au parquet de Bourg-en-Bresse.

(...)

L’agression a ensuite dégénéré en : le conducteur du bus a voulu s’interposer et a également reçu des coups. L’ami des victimes venu leur porter secours a aussi été blessé. Les violences se sont déroulées à l’intérieur et à l’extérieur du bus.

(...)

Leprogres.fr

Les Gauchistes sèment le désespoir chez les jeunes

Publié par Magali Marc le 29 janvier 2020

Dans la première partie de son article Dennis Prager faisait état de la situation des jeunes nord-américains : Le service d’actualité sur la santé de l’agence Reuters a rapporté en 2019 que « les pensées suicidaires, les dépressions graves et les taux d’automutilation chez les étudiants américains ont plus que doublé en moins de dix ans (…)». Or c’est justement dans les écoles, les collèges et les universités que les étudiants américains sont exposés aux thèses gauchistes concernant l’«urgence» climatique, la religion en tant qu’«opium du peuple», le capitalisme, le transgenrisme et la victimisation des minorités.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit la deuxième partie de l’article de Dennis Prager*, parue sur le site de Townhall, le 28 janvier.

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Pourquoi tant de jeunes sont-ils malheureux ? (Deuxième partie)

J’ai commencé la première partie de « Pourquoi tant de jeunes sont-ils malheureux ? » par des données montrant le taux apparemment sans précédent de désespoir chez les jeunes en Amérique (ailleurs aussi, mais je me concentre sur l’Amérique).

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Les taux de suicide, d’automutilation, de dépression, de fusillades en masse et de solitude (à tous les âges) sont plus élevés que jamais. Il semble que les Américains aient été plus heureux, et certainement moins seuls, pendant la Grande Dépression et la Seconde Guerre mondiale qu’aujourd’hui, même avec les niveaux de santé, de longévité, d’éducation et de bien-être matériel sans précédent d’aujourd’hui.

Il n’y a bien sûr pas de raison unique, et j’ai énuméré un certain nombre d’explications possibles : « La consommation accrue de drogues illicites et l’abus de médicaments sur ordonnance, et la diminution des interactions humaines en raison de l’utilisation constante de téléphones portables sont deux explications valables généralement mentionnées. Les explications moins valables sont la concurrence, l’angoisse des notes, le capitalisme et l’inégalité des revenus. Et puis il y a les craintes des jeunes qu’en raison du réchauffement climatique, ils aient un avenir sombre, voire inexistant ».

Personnellement, je crois que la perte de valeurs et de sens sont les deux plus grandes sources de ce malheur.

Le manque de valeur

Parmi les valeurs perdues, il y a celles des associations communautaires.
Comme l’écrivait en 1831 le grand observateur étranger des débuts de la vie américaine, le Français Alexis de Tocqueville, la force des Américains provenait en grande partie de leur participation à d’innombrables associations non gouvernementales – professionnelles, sociales, civiles, politiques, artistiques, philanthropiques et, bien sûr, religieuses.

Mais toutes ces associations se sont réduites au fur et à mesure que le gouvernement s’est élargi. Alors que les Américains se sont réunis et ont noué des liens d’amitié par le biais d’associations non gouvernementales, par le biais de quelles organisations les Américains noueront-ils des amitiés aujourd’hui ?

Dans une présentation vidéo lors de sa convention nationale de 2012, le Parti Démocrate a donné sa réponse : « Le gouvernement est la seule chose à laquelle nous appartenons tous », a déclaré le narrateur.

Ensuite, il y a les valeurs traditionnelles de la classe moyenne, comme se marier d’abord et avoir des enfants ensuite. Aujourd’hui, un plus grand pourcentage d’Américains que jamais sont nés de mères célibataires, et moins de gens se marient que jamais auparavant. Pour la première fois de notre histoire, il y a plus d’Américains célibataires que d’Américains mariés.

S’il est certainement possible de se sentir seul dans un mariage, les gens sont beaucoup plus susceptibles de se sentir seuls sans conjoint, et de plus en plus sans enfants, qu’avec un conjoint et des enfants.

La perte de sens

Et nous en arrivons maintenant au plus grand problème de tous : le manque de sens.

Outre la nourriture, le plus grand besoin humain est le sens. Je dois cette idée à Viktor Frankl et à son ouvrage classique « Man’s Search for Meaning », que j’ai lu pour la première fois au lycée et qui m’a influencé plus que tout autre livre que la Bible.

Karl Marx considérait que l’homme était principalement motivé par l’économie ; Sigmund Freud considérait que l’homme était principalement motivé par la pulsion sexuelle ; Charles Darwin, ou du moins ses disciples, nous considère comme principalement motivés par la biologie.
Mais c’est Frankl qui avait raison.

En ce qui concerne l’économie, les pauvres qui donnent un sens à leur vie peuvent être heureux, mais les riches qui n’en donnent pas ne peuvent pas l’être.

En ce qui concerne le sexe, les personnes qui n’ont pas de vie sexuelle (comme les prêtres, qui tiennent leur vœu de chasteté ; de nombreuses personnes âgées veuves et divorcées ; et d’autres); mais qui donnent un sens à leur vie peuvent être heureuses. Les personnes sexuellement actives qui n’en donnent pas ne peuvent pas l’être.

En ce qui concerne la biologie, il n’y a pas d’explication évolutive au besoin de sens. Toute créature, à l’exception de l’être humain, se porte très bien sans donner un sens à sa vie.

Et rien n’a donné aux Américains – ou à tout autre peuple, d’ailleurs – autant de sens que la religion. Mais depuis la Seconde Guerre mondiale, Dieu et la religion ont été relégués aux oubliettes de l’histoire.

Le résultat ?

Plus d’un tiers des Américains nés après 1980 ne sont affiliés à aucune religion. C’est un phénomène sans précédent dans l’histoire américaine ; jusqu’à cette génération, la grande majorité des Américains étaient religieux.

Peut-être, seulement peut-être, que la mort de la religion – le plus grand pourvoyeur de sens, bien que certainement pas le seul – est le plus grand facteur causant tristesse et solitude croissantes des Américains (et de tant d’autres).

Une étude publiée en 2016 dans la revue de psychiatrie de l’Association médicale américaine (JAMA) a révélé que les Américaines qui assistent à un service religieux au moins une fois par semaine ont cinq fois moins de chances de se suicider. Le bon sens suggère qu’il en est de même pour les hommes.

Le désespoir gauchiste

La raison pour laquelle tant de jeunes sont déprimés, malheureux et en colère est que la gauche leur a dit que Dieu et les religions judéo-chrétiennes sont des absurdités ; que leur pays est en grande partie mauvais ; que leur passé est déplorable et que leur avenir est sans espoir.

Cela semble être une raison majeure, sinon la raison, de tant de malheur : pas le capitalisme, pas l’inégalité, pas le patriarcat, le sexisme, le racisme, l’homophobie ou la xénophobie, mais plutôt le fait de ne pas avoir de religion, pas de Dieu, pas de conjoint, pas de communauté, pas de pays en lequel croire et, finalement, pas de sens. Cela explique en grande partie ce désespoir sans précédent.

Et cela explique l’adoption généralisée de ce substitut laïque à la religion traditionnelle : le gauchisme. Mais contrairement au judaïsme et au christianisme, le gauchisme n’apporte pas le bonheur à ses adhérents.

*Dennis Prager est l’animateur d’un talk-show radio diffusé par plusieurs médias et un chroniqueur au niveau national.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

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source 1:

Source  2:

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Maurice Berger, pédopsychiatre travaillant avec des jeunes Maghrébins : “Aucun des jeunes que j’ai rencontrés n’a manifesté de sentiment de culpabilité”

Maurice Berger est pédopsychiatre, psychanaliste, ex-professeur associé de psychologie de l’enfant. Il travaille en Centre Éducatif Renforcé et enseigne à l’École Nationale de la Magistrature. Il vient de publier, Sur la violence gratuite en France. Adolescents, hyperviolents, témoignages et analyses (L’Artilleur, 2019)

Les violences gratuites sont en augmentation constante en France. Pour le pédopsychiatre Maurice Berger, auteur d’un livre sur son expérience auprès des adolescents hyperviolents, elles sont le fruit de facteurs psychologiques et culturels.

En tant que pédopsychiatre dans un centre éducatif renforcé (CER), vous êtes confronté quotidiennement aux jeunes qui commettent des «violences gratuites». Un terme revient souvent dans le débat public, surtout récemment: jugez-vous que l’on assiste à un «ensauvagement» de la société?

Maurice BERGER.- Toutes les deux minutes, une plainte est déposée à la police pour une violence gratuite et tout citoyen peut être confronté à une telle agression. Pour moi, l’ensauvagement, c’est lorsque la parole ne fait plus tiers, lorsqu’existe un différend même minime entre individus. Il y a quelques années, 85 % des mineurs traduits devant la justice changeaient de comportement après leur rencontre avec l’institution judiciaire, la parole du juge. Ils ne sont plus que 65% actuellement, et c’est d’eux dont je parle ici. L’impulsivité prime, l’autre n’est plus considéré que comme un objet sur lequel décharger la tension qu’on ressent dans l’immédiateté, comme une gêne à éliminer. Ceci soulève la question de savoir quelles sont conditions nécessaires pour qu’un individu se civilise.

En tant que médecin, j’affirme que ces comportements extrêmes sont de plus en plus fréquents et de plus en plus grave.

Cette évolution n’est pas soudaine, j’en écrivais la certitude en 1992. L’attitude des gouvernements successifs a été de penser implicitement «après moi, le déluge», déluge qui est là maintenant ; et aussi de se plier à une idéologie qui définit comme «sécuritaire» et animée d’intentions électorales toute personne qui alarme sur ce sujet. En tant que médecin qui, depuis 40 ans, a le plus travaillé en France sur la prise en charge des enfants et adolescents violents, j’affirme que ces comportements extrêmes sont de plus en plus fréquents et de plus en plus graves. Un facteur parmi d’autres est l’impunité importante concernant la première atteinte aux personnes, que j’appelle le droit de tabassage. En réadaptation fonctionnelle où je travaille aussi, je reçois des adultes qui gardent à vie des séquelles physiques ou cérébrales définitives après une agression pour un supposé mauvais regard, et dont l’agresseur mineur n’est puni que d’un sursis car il n’était pas récidiviste. La vie ou la qualité de la vie restante de la victime est ainsi démonétisée. Or c’est simple, quand on n’est pas puni, on recommence.

À partir de votre expérience, vous choisissez d’écrire ce livre pour dénoncer certaines idées reçues sur la violence: selon vous, l’explication par la «ghettoïsation» et la «stigmatisation» n’est pas la bonne, pourquoi?

Car lorsqu’il existe de graves dysfonctionnements familiaux, donner 3 000 euros à une famille tous les mois n’arrêtera pas, par exemple, un homme de frapper sa femme devant leurs enfants petits, maltraitance qui est souvent liée dans mes recherches à une culture intégrant l’inégalité homme-femme. 69 % des adolescents très violents ont été exposés à des scènes de violences conjugales pendant les deux premières années de leur vie. Ils ont en eux l’image violente de leur père qui resurgit lorsqu’ils subissent une bousculade ou un mauvais regard.

[...]

Faute d’attention et d’échanges avec leurs parents, certains jeunes que vous accompagnez ne sont même pas capables de reconnaître les émotions d’autrui…

[...]

Aucun des jeunes que j’ai rencontrés n’a manifesté de réel sentiment de culpabilité pour ses violences.

Le plus grave est l’absence d’empathie, de capacité de comprendre ce que l’autre peut ressentir. Ainsi je demande à un jeune qui a mis un adulte dans le coma pour un supposé mauvais regard, pourquoi il n’a pas tué sa victime. Réponse: «parce qu’un copain m’a tiré en arrière par mon sweat». Je l’interroge sur ce que cela aurait fait à la mère de sa victime si son fils était mort. «Elle aurait été triste un moment, puis il faut passer à autre chose, ne pas s’apitoyer toute sa vie, c’est ballot. Il aurait dû mourir un jour de toute manière». Aucun des jeunes que j’ai rencontrés n’a manifesté de réel sentiment de culpabilité pour ses violences, ce qui est très déstabilisant pour les professionnels, il faut passer par d’autres voies.

En quoi les structures familiales sont-elles en partie responsables de l’apparition de comportements violents?

Je demande à chaque jeune que je rencontre de me raconter son histoire, et il apparaît que dans la région où je travaille, la grande majorité de ces mineurs sont issus de l’immigration originaire du Maghreb. Ce qui m’a amené à travailler à partir des écrits de psychologues maghrébins, et les membres de l’équipe de Centres Éducatifs Renforcés, en majorité originaires eux aussi d’Afrique du Nord, m’ont aidé à comprendre.

Les codes du groupe priment sur la loi extérieure.

[...]

En quoi la réponse judiciaire est-elle insuffisante? Comment «mettre une butée», pour reprendre votre expression?

Le plus souvent, il n’y a pas eu d’interdit cohérent dans ces familles, mais des moments de collage alternant avec des moments de rejet.

Ces jeunes ont besoin d’un interdit d’agir réel, d’une butée matérialisée, pour comprendre que la loi a une existence.

Les pères sont souvent partis car pas intéressés par l’enfant. Dans ces conditions, aucune loi ne peut être intégrée, sauf celle du plus fort. [...]

Jugez-vous qu’en règle générale, y compris en l’absence de drames familiaux comme ceux évoqués précédemment, cette autorité tend à diminuer?

Oui, l’autorité diminue. Elle vise à réguler les désirs de chacun, à passer du «je» veux ça au «nous». Qu’est-ce que cela donnerait si tout le monde faisait comme moi et ne respectait pas les lois? [...] Difficile aussi à notre époque où beaucoup de médias tournent systématiquement en dérision toute tentative de rétablissement des interdits nécessaires.

[...]

Lefigaro.fr

Nos remerciements à Pierre Sautarel

 

Suisse : 43% des jeunes musulmans sont contre l’Occident

Une enquête menée en Suisse sur plus de 8 000 jeunes entre 17 et 18 ans témoigne d’une cassure parmi les adolescents et d’une « radicalisation » dans leur sphère. L’intégration des musulmans est au point mort.

Selon cette étude réalisée par l’Institut pour les problèmes de délinquance et prévention de la criminalité de l’École universitaire professionnelle de Zurich de Sciences appliquées (Zhaw) en collaboration avec la Haute École de travail social de Fribourg (Hets-Fr), 43% des 17-18 ans musulmans qui vivent en Suisse ont une perception négative de la société occidentale, avec presque 30 % d’entre eux hostiles aux musulmans « non-traditionels ». De l’autre côté 45 % de leurs camarades se définissent ou xénophobes ou nationalistes. Presque la moitié des jeunes se déclarent hostiles au capitalisme et 21,7 % sont contre l’État et les forces de l’ordre.

Dans la population musulmane, 2,7 % des jeunes peuvent être considérés « extrémistes » : ils refusent la culture occidentale, et 5,4 % ont envisagé la réalisation d’attentats terroristes ou un voyage djihadiste sur un des théâtres de guerres de Daesh ou de Al Qaida.

Du côté des jeunes Suisses de souche, 5,9 % sont catalogués selon le langage correct ‘d’extrême-droite’, 25,1 % se disent xénophobes, 21,1 % nationalistes, et 4,8 % retiennent juste la violence contre les étrangers, tandis que 5,4 % promeuvent l’idée d’une dictature. 7 % de tous les interrogés ont les caractéristiques des partisans de l’extrême-gauche avec 8,1 % favorables à la violence contre les forces de l’ordre.

En substance, les jeunes musulmans ne s’intègrent pas. Quant à la jeunesse suisse, elle est en rébellion dans son ensemble face au système capitaliste et immigrationniste actuel. Ni les uns ni les autres ne croient plus vraiment aux sirènes lancinantes du « vivre-ensemble ».

Source

Sondage : 65% des Italiens âgés entre 18 et 34 ans réclament un « arrêt total » ou une « limitation sévère » de l’immigration

Merci à Dupont

Une étude réalisée par l’institut Ixè explique très bien pourquoi Silvio Berlusconi, après la fusillade de Macerata, a décidé de s’aligner sur la position de Matteo Salvini (Ligue du Nord) au sujet de l’immigration. […]

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Les jeunes musulmans n’aiment pas les questions qui fâchent

Par Mireille Vallette

La jeunesse musulmane a une image si positive d’elle-même et de sa religion qu’elle ne comprend pas pourquoi nous résistons à l’imposition de ses rites et de ses marqueurs. Débat à Genève.

Rares sont les espaces qui permettent de poser des questions critiques à des musulmans. Le titre d’un cycle de l’Institut des cultures arabes et méditerranéennes, «Des questions qui fâchent…» était prometteur. Je me suis laissé tenter.

Ce soir-là, la septantaine de participants est censée se pencher sur le thème «La jeunesse arabe et/ou musulmane dans la situation genevoise: situation et défis».

Ce fut un grand théâtre de victimisation avec en rôles titres «l’identité» et «la visibilité» qui passent d’abord par le foulard au travail, puis la reconnaissance du ramadan, les prières, le burkini… Sans ces marqueurs, impossible de se forger son identité. Je n’ai pas osé suggérer que la disparition de la nôtre pourrait être douloureuse. C’est, comme chacun sait, une opinion d’extrême-droite.

Il semble en tout cas que nous faire accepter les rites et mœurs islamiques et se faire reconnaitre comme musulmans soient les défis et les seules ambitions de cette dévote jeunesse.

Une jeune juriste non voilée a réalisé qu’elle était en milieu discriminant lorsqu’elle s’est posé cette question: «Est-ce que je vais dire à mes collègues que je jeûne?... J’ai eu peur d’être jugée, ou que l’islam soit jugé.» Plus tard, une autre musulmane -à l'esprit critique- remarquera qu’en Turquie, elle ne pouvait pas ne pas porter le voile, ni avouer qu’elle ne faisait pas le ramadan, sous peine de graves ennuis.

Notre juriste compatit avec de nombreuses femmes de sa connaissance «très compétentes»  qui ne trouvent pas de travail à cause du voile. «On les empêche d’exercer un droit fondamental.» Pour elle, ce foulard est une question d’identité. Elle pense à le porter un jour «si Dieu le veut».

«On me renvoie constamment à mon foulard!»

Une future travailleuse sociale, voilée et aux amples vêtements, est depuis peu monitrice dans une maison de quartier. «On me renvoie constamment à mon foulard! C’est un traitement différent des autres; je n’ai pas le droit de mettre un certain type de maillot de bain, on me demande de servir au bar alors qu’on sait que  je suis musulmane… Comment dans ces conditions apprendre aux jeunes à respecter la différence et la construction de notre identité?»

Pour beaucoup, il faut «démystifier l’image de la femme voilée qui est une femme normale». La réussite passera par «davantage de visibilité dans le monde professionnel.» La visibilité comme l’identité, ces jeunes y tiennent beaucoup.  Hugo Lopez, un intervenant non musulman qui fut longtemps éducateur de rue, y tient aussi: «J’emmène des jeunes en Afrique pour qu’ils trouvent leur identité. Certains sont revenus aux coutumes de leur pays…le respect de la mère… Ils sont revenus à la religion parce qu’on en parlait autrement qu’on en parle en Suisse.»

Omar Azzabi est Tuniso-Suisse, non-pratiquant et blogueur dans la Tribune de Genève. Il a adhéré aux Verts et deux ans plus tard s’est présenté aux élections communales. Score honorable, mais pas élu… ce qui l’a fait plancher sur la  discrimination en politique. «Vous avez 14% de chances de plus d’être élu si vous avez un nom d’origine suisse.»  Bon, ça ne parait pas dramatique. Mais en plus, les musulmans se heurtent à un «plafond de verre»: on en élit un nombre acceptable dans les conseils municipaux, moins dans les parlements cantonaux, encore moins au niveau fédéral, etc. Une discrimination à laquelle s’en ajoutent d’autres, sans compter des sondages aux résultats désagréables pour les adeptes de sa religion, et tout récemment un carré musulman vandalisé.

Les remèdes? «Il faut normaliser la présence des arabo-musulmans dans la politique et les médias: leur visibilité n’est pas assez forte. Dénoncer et faire condamner les actes islamophobes et racistes: la norme pénale antiraciste n’est pas assez forte… » (un conseiller municipal a prononcé le mot «nègre » et n’a pas été condamné). Pour lui, il faut s’engager en politique, toujours en tant qu’arabo-musulman, «quel que soit le parti». J’avoue avoir quelques préventions à ce que ce genre de personnages cassent le plafond de verre.

Les médias en ont pris pour leur grade tout au long de la soirée. Normal, ils sont responsables de l’image négative de l’islam.

«Je suis contre la burqa, mais je me battrai pour elle!»

Question burqa, Azzabi a le raisonnement tordu habituel: le problème n’est pas ce symbole honteux que seule sa religion promeut. Le problème, c’est l’UDC et tous ceux qui s’apprêtent à voter son interdiction. Ce qui donne ceci : «Je suis Tunisien séculariste, anti-burqa… De la connaissance que j’ai de l’islam, elle n’est pas islamique. Mais je vais devoir la défendre! Parce que c’est un débat qui va stigmatiser les musulmans… encore une fois les montrer du doigt, donner un peu  plus d’espace aux partis d’extrême-droite.»

 

Question stigmatisation, je confirme: je n’arrive pas à comprendre que toutes ces communautés soient favorables à ce symbole. Je ne comprends pas qu’elles n’aient pas été unanimes à le condamner. Il y aurait eu un bref débat, une votation au parlement et pas de stigmatisation. Et cette capacité à se remettre en question aurait insufflé un peu plus de confiance et d’acceptation de l’islam.

Après 1heure 30 d’écoute attentive, je décide de rompre la plaintive harmonie et de poser quelques questions qui fâchent: «Vous parlez de vous et de l’islam comme s’il n’existait qu’en Suisse. Ici, les musulmans sont pacifiques, et ceux qui ne partagent pas vos points de vue sont donc racistes, discriminants, etc. Or, nous, nous voyons ce qui se passe au nom de l’islam ailleurs. Toutes ces atrocités, toutes ces législations discriminatoires…

«Vous pourriez vous mettre à notre place … lorsque nous voyons que plus un mouvement est radical plus il couvre le corps des femmes, nous nous demandons ce que signifie le foulard… Là-bas il est liberticide, ici ce serait la liberté. On ne sait même pas pourquoi les femmes doivent le porter et pourquoi les hommes ne portent rien de particulier: c’est une discrimination qui nous est incompréhensible… Et pourquoi tant de gens se réclament de l’islam pour commettre tant de crimes?…  J’ai lu le Coran et j’y retrouve des composantes de ce qui se passe là-bas. Pourquoi nous répond-on systématiquement ça n’a rien à voir avec l’islam? L’islam d’ici, qu’est-ce que c’est?

Crac, crac… l’hôte de la soirée Alain Bittar, gérant de la Librairie arabe de Genève, descend l’escalier de bois depuis son bureau, très fâché. « Ça fait 38 ans que je tiens un espace culturel où se retrouvent beaucoup de musulmans. Je suis un chrétien d’Orient et je n’ai jamais eu le moindre problème. Nous parlons de gens qui vivent à Genève, qui partagent leur vie quotidienne avec la population suisse.  Que l’islam n’ait pas une belle image, je veux bien le croire, mais cette image est terriblement faussée par les médias en fonction de la politique internationale.

Quand je suis arrivé à Genève, je venais du Soudan. Qu’est-ce que je n’ai pas entendu sur les chrétiens du Soudan qui se faisaient massacrer par les musulmans! J’ai encore de la famille là-bas, ils vivent très bien, ils sont très heureux…

«La géopolitique internationale fait qu’aujourd’hui on stigmatise énormément UNE population. Or dans le monde, ce sont souvent des musulmans qui se font tuer par d’autres musulmans, la majorité des gens qui se font tuer par le terrorisme ce sont des musulmans… On ne peut pas aborder un débat comme celui de ce soir en essayant de prendre l’image qu’ont les musulmans au niveau de la planète parce que… c’est faux. Les musulmans qui vivent à Genève, ce ne sont pas ceux qui sont en train de tirer  sur d’autres populations. Je pense qu’il y a un dérapage qui est facile, des sortes de manipulations idéologiques dont on peut s’abstenir dans des discussions comme celle-ci. »

L’assemblée rassurée reprend son cours.

Après un moment, un peu fatiguée par cette interminable soirée, je m’en vais. On me racontera la suite.

Nadia, Tunisienne regrette mon départ. Pour elle, j’ai symbolisé toute les crispations qu’il y a autour de la question de l’islam. «En Tunisie, ces débats sont les mêmes. Cette dame a raison, on évolue dans un contexte, il y a des choses qui font peur aux gens… Les agresser alors qu’ils font l’effort de venir, de s’intéresser … On peut leur expliquer calmement...»

Azzabi n’a semble-t-il aucun regret. Notre Vert informe l’assemblée que «Madame Vallette écrit un blog fasciste, voire raciste!»

Revenons-en au point de départ: « Les jeunes arabes musulmans vivent-ils une particularité dans le contexte actuel?» Quelques éléments de réponse.

Chers jeunes musulmans, voici quelques-unes de vos particularités et de nos défis

  • Vous exigez avec une suffisance rare de changer en profondeur notre société: supprimer son caractère séculier pour introduire des mœurs religieuses, par ailleurs très conservatrices: des foulards, des burkinis, des burqas, des prières, des rites (ramadan), le refus de serrer la main de l’autre sexe, la non-mixité dans vos mosquées, la fermeture aux non-musulmans.
  • Ne pouvez-vous comprendre que des citoyens, nombreux, s’opposent à ce bouleversement? Qu’ils attendent sur ce sujet des réponses plutôt que des insultes?
  • Pourquoi voulez-vous à tout prix porter ou soutenir ce foulard et ces vêtements amples ou informes? Ils ont toujours symbolisé dans l’islam l’asservissement des femmes. Ils le symbolisent encore aujourd’hui, et chaque fois qu’un pays se radicalise, l’extension du port du voile en est un signe. Ne pouvez-vous imaginer que la prolifération de ces marqueurs vestimentaires nous envoie un signe de complicité avec ces radicaux?
  • Mesdames, accepteriez-vous d’épouser un non-musulman sans qu’il soit obligé, comme c’est la règle aujourd'hui comme hier, de se convertir à l’islam?
  • Pouvons-nous savoir pourquoi votre dieu impose une telle contrainte aux femmes (se couvrir, y compris les cheveux) et rien d’équivalent aux hommes?
  • Pourquoi tant de crimes au nom de l’islam? Pourquoi tous les pays musulmans (hors la Tunisie… devenue laïque) sont-ils régis par des lois inspirées de la charia qui discriminent les femmes, traquent les minorités religieuses, usent de violence contre les opposants à votre religion? Votre islam à vous, de quoi s’inspire-t-il?

Votre refus de répondre à ces interrogations promet une méfiance croissante et des conflits sans fin.

Mireille Vallette, le 10 novembre 2017

Les terroristes français sont de plus en plus jeunes

Note de Francis Gruzelle : Une opération antiterroriste menée par les policiers de la Sous-direction antiterroriste (Sdat) a été menée ce vendredi matin à Montpellier (Hérault), indiquent des sources policière et proche de l'enquête à L'Express, confirmant une information de M6.
Selon l'une de ces sources, quatre personnes ont été interpellées dont une jeune fille née en 2001 et un jeune homme né en 1996 :

A Montpellier, une femme et trois hommes préparaient un massacre de masse

La DGSE a interpellé ces 4 terroristes en puissance, suite aux écoutes téléphoniques de leurs conversations en arabe

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BL : Initiative pour laisser voter les étrangers et les jeunes

Deux récoltes de signatures ont abouti, réclamant le droit de se rendre aux urnes dès 16 ans et sans être de nationalité suisse.

Les citoyens de Bâle-Campagne se prononceront sur le droit de vote des étrangers et des adolescents dès 16 ans. Jeunes socialistes et jeunes Verts du canton ont déposé mardi un nombre largement suffisant de signatures pour faire aboutir deux initiatives en ce sens.

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ZOOM – Moussa Mara :”l’émigration des Africains est une perte pour l’Afrique d’abord”

Plus jeune premier ministre du Mali entre 2014 et 2015, Moussa Mara préside le mouvement Yelema (le changement) et vient de publier un ouvrage sur un thème essentiel :”La jeunesse africaine, un grand défi à relever”. Brillant expert-comptable, celui qui fut maire d’un arrondissement de Bamako porte un regard lucide sur l’Afrique. Il constitue une nouvelle génération qui accepte de prendre la pleine mesure de la nécessite de maîtriser la démographie africaine. De même, Moussa Mara tient un langage clair sur l’immigration. Pour lui, l’immigration des Africains est une perte pour l’Afrique d’abord. Profitant de son passage en France, celui qui sera candidat en 2018 à la présidence de la République du Mali interpelle la diaspora malienne installée en France en s’écriant :”Cessez de croire que vous trouverez mieux ailleurs qu’au Mali”.

https://youtu.be/VEl00v7nwU4

Choc des civilisations

La révision de la Loi sur l’Asile qui nous sera soumise le 5 juin prochain va bien au-delà d’une modification législative. C’est un choc des civilisations qui nous est proposé.

Simonetta Sommaruga veut ouvrir la porte en grand à ces hordes de jeunes gens nourris aux mamelles d’une religion qui voit dans la femme un être de seconde zone qu’on agresse dès lors qu’elle ne se dissimule pas dans ces prisons mobiles qu’ils appellent burqas. Nous sommes encore bien loin d’une réelle égalité homme-femme et pourtant c’est une Ministre socialiste qui déroule le tapis rouge à ces gens qui ont montré leur vrai visage à Cologne et ailleurs. Grâce à Simonetta Sommaruga, ils auront encore plus de force eu égard à leur nombre en constante augmentation.

Il y a quelques semaines, le chiffre de 120’000 demandes était qualifié de farfelu à Berne où l’on s’y prépare aujourd’hui, signe qu’il sera largement dépassé. Le 5 juin, nous serions bien inspirés de glisser dans l’urne un non ferme et décidé, histoire de ne pas aggraver encore une situation qui est depuis longtemps déjà hors de contrôle.

Céline Amaudruz / UDC Suisse

Jura : Un crédit pour les jeunes requérants d’asile, une broutille de 4 millions

 

Il faut débloquer davantage d’argent pour l’encadrement et l’hébergement des requérants d’asile mineurs non accompagnés. C’est l’avis de la majorité de la Commission de la sécurité du Grand Conseil qui propose au plénum d’approuver en crédit de 4 millions de francs en ce sens. Une minorité de la Commission s’oppose à cette enveloppe et estime que le système actuel d’hébergement des enfants et adolescents est trop onéreux et inefficace. /nme

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Suède: Avec l’accueil des migrants, il y a désormais beaucoup plus d’hommes que de jeunes filles dans la population

Les agressions sexuelles d’une centaine de femmes en Allemagne ont suffi à lancer une polémique sur la disproportion du nombre d’hommes parmi les réfugiés.

Cela a été « une soirée globalement calme ». Le jugement particulièrement minimaliste de la police de Cologne puis ses trois jours de silence complet, avant un aveu embarrassé sur les graves incidents qui ont marqué la soirée du réveillon du 1er janvier, non seulement dans la grande cité du nord de l’Allemagne, mais aussi dans quatre autres villes du pays, ont enflammé les esprits comme jamais depuis le début de la crise migratoire. [...]

Tout ce que l’on sait aujourd’hui provient du témoignage des victimes, qui parlent de leurs agresseurs comme d’hommes de type arabe ou nord-africain.

D’après les statistiques de l’Organisation internationale pour les migrations établies pour les onze premiers mois de 2015 sur l’ensemble des migrants, toutes provenances confondues, plus de 69 % sont des hommes, contre 13 % de femmes et 18 % de mineurs. Parmi ces derniers, la moitié sont sans famille connue. Enfin, dans cette même population, 90 % sont de jeunes hommes. [...]

Par ailleurs, parmi les mineurs sans famille – dont 90 % sont des garçons –, la quasi-totalité de ceux qui se présentent dans les pays européens se voit accorder le droit d’asile, pour des raisons humanitaires évidentes. Mais la conséquence démographique est inquiétante : ainsi, la Suède vient de s’apercevoir que, dans sa population de 16 à 18 ans, le ratio est aujourd’hui de 123 garçons pour 100 filles. [...]

Le Point

Les jeunes tentés par le djihad sont-ils des victimes de la société ?

Nice : reportage dans une association qui vient en aide aux jeunes radicalisés tentés par le jihad

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Le discours est simple, à en croire la psychanalyste : "Regarde comment la France te maltraite, tu vis dans des quartiers, tu feras des études mais tu n'auras pas de travail... : ce sont des discours qui appuient sur toutes les failles de la société." Ils promettent aux jeunes de passer du "dérisoire" au "grandiose".

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Arles : une cinquantaine de “jeunes” tendent un “guet-apens” à deux policiers

Les deux policiers ont dû se battre à mains nues. Leur véhicule a été incendié.

Deux policiers qui intervenaient dimanche soir dans une cité à Arles (Bouches-du-Rhônes) ont été blessés dans un "guet-apens" monté par une cinquantaine de jeunes, et leur véhicule a ensuite été incendié.

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Les jeunes et les Romands de moins en moins europhiles

Un nombre croissant de jeunes et de Romands se détournent de l’idée européenne, c’est ce que démontre ce dimanche un sondage publié dans la NZZ am Sonntag. Cette enquête réalisée par GFS et commandée par Interpharma est la plus importante du genre depuis la votation sur l’immigration en février 2014. Elle montre que les Romands sont critiques et que les jeunes sont sceptiques sur le dossier européen.