Christian Hofer: Suite de l'article déjà paru ici. Le Pape instrumentalise et ment puisque dans la Bible, Marie et Joseph retournent simplement sur la terre de leurs ancêtres pour un recensement:
Luc 2:
En ce temps-là parut un édit de César Auguste, ordonnant un recensement de toute la terre. Ce premier recensement eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie. Tous allaient se faire inscrire, chacun dans sa ville. Joseph aussi monta de la Galilée, de la ville de Nazareth, pour se rendre en Judée, dans la ville de David, appelée Bethléhem, parce qu'il était de la maison et de la famille de David, afin de se faire inscrire avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte.
En clair, Marie et Joseph ne sont nullement des migrants. Ils ne demandaient aucunement à être hébergés à vie à la charge des citoyens, avec nourriture et soins, ils n'agressaient pas les autochtones ni n'imposaient leurs cultures. Ils n'étaient pas générateurs de délinquance, de violence, de viols, de peur... et surtout ils retournaient sur leurs propres terres!
C'est donc exactement le contraire de ce que ce pape essaie de nous faire croire. On se trouve bel et bien devant un mondialiste qui tente de corrompre les chrétiens et d'imposer dans nos sociétés l'islam et le multiculturalisme en nous culpabilisant.
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Dans son homélie, le Pape a renouvelé son appel à la solidarité sociale et surtout à l'accueil des migrants.
« En Marie et Joseph - le Souverain Pontife a expliqué - nous voyons les traces de millions de personnes qui choisissent de ne pas partir, mais ils sont forcés de se séparer de leurs proches, ils sont expulsés de leurs terres »
« La foi de cette nuit nous porte à reconnaître Dieu présent dans toutes les situations où nous le croyons absent. Il se trouve dans l’hôte indiscret, bien des fois méconnaissable, qui marche par nos villes, dans nos quartiers, voyageant dans nos autobus, frappant à nos portes »
Par ces mots, le pape François a renouvelé son appel à la solidarité sociale et en particulier à l'accueil des migrants lors de la messe de la veille de Noël, qu'il a présidée dans la basilique Saint-Pierre, remplie de fidèles.
"Sur les pas de Joseph et Marie - a dit François - de nombreux pas sont cachés, nous voyons les traces de familles entières qui aujourd'hui sont obligées de partir. Nous voyons les traces de millions de personnes qui ne choisissent pas de partir mais sont forcées de se séparer de leurs proches, sont expulsées de leurs terres ".
"Marie et Joseph, pour qui il n’y avait pas de place, sont les premiers à embrasser Celui qui vient nous donner à tous le document de citoyenneté. Celui qui, dans sa pauvreté et dans sa petitesse, dénonce et manifeste que le vrai pouvoir et la liberté authentique sont ceux qui honorent et secourent la fragilité du plus faible.".
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Source Traduction libre Les Observateurs.ch