L’UE travaille activement à radier le peuple européen de l’Histoire de l’Humanité

Depuis la fermeture de la route des Balkans, la Sicile est submergée : plus de 6000 migrants sont arrivés en 3 jours sur l’île, une augmentation de 90% par rapport à l’année dernière à la même époque. Mais pour Matteo Renzi : il n’y a pas d’invasion !

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Les navires de Frontex ont reçu l’ordre de surveiller les routes maritimes empruntées par les migrants et de les secourir.

Des milliers de migrants débarquent en Sicile chaque jour, suscitant la crainte de voir la Sicile se transformer en une nouvelle Lesbos. Un journaliste de MailOnLine est monté à bord d’un navire de sauvetage norvégien qui transportait 900 migrants vers le port de Palerme. Des milliers d’autres, qui avaient été recueillis en Méditerranée, furent débarqués simultanément dans d’autres ports de l’île.

Parmi les migrants, il y avait 25 femmes et trois enfants. La grande majorité était constituée par des hommes, dont un gravement malade et un jeune aveugle en fauteuil roulant.

jeune aveugle

« Il n’y a pas de travail chez moi » a déclaré Christian, un boulanger ghanéen de 23 ans.

“J’ai essayé de trouver un travail en Libye, mais sans succès. Je n’avais pas d’autre choix que de venir en Italie, même si ma petite amie est enceinte de notre premier enfant. »

Joe, 39 ans, un Nigérian de 39 ans, père de deux enfants raconta que sa femme n’était pas en danger à la maison. « Il n’y a pas de Boko Haram dans ma région, mais il n’y a pas de travail non plus. »

Un homme du Ghana, qui refusa de donner son nom, dit : « Je suis venu du Ghana en Libye pour y travailler, gagner de l’argent et me rendre en Italie. Je pensais pouvoir gagner beaucoup d’argent en Libye. C’est un pays très dur. »

Les migrants allaient être dispersés par la suite à travers le pays, afin de partager le fardeau et encourager l’intégration, tandis que s’activaient les préparatifs pour accueillir les nouvelles vagues de migrants, prévues pour le lendemain.

Depuis jeudi dernier, mon bateau a débarqué en Sicile 1.650 migrants » a déclaré Torger Brender, 45 ans, commandant du « Siem Pilot », le vaisseau qui conduisit les « désespérés » d’Afrique vers la sécurité.

Siem pilot

« Cela représente la population d’une petite ville en Norvège, amenée ici par un seul bateau en une seule semaine et la saison de la migration n’a pas encore commencé. Oui, c’est impressionnant. »

« Il se peut que notre présence encourage encore plus de gens à tenter l’aventure, mais ce n’est pas à moi de parler de politique »

Et d’ajouter : « les migrants ont pris la mer dans des canots pneumatiques, avec une seule chambre à air, sans gilets de sauvetage ou un quelconque équipement de survie de base. Un seul trou dans la paroi du pneumatique aurait pu faire couler le canot. La peur et la panique encouragent le resquillage, ce qui provoque des bagarres, qui menacent de faire chavirer ces embarcations de fortune. »

« Il se peut que notre présence encourage encore plus de gens à tenter l’aventure, mais ce n’est pas à moi de parler de politique. Sauver un millier de vies par jour, c’est pour moi une bonne journée. »

Donald Tusk, le président du Conseil européen avait averti que l’accord UE-Turquie allait amplifier la pression sur la Sicile. Après la fermeture de la route des Balkans, on devrait se focaliser sur la route d’Europe centrale.

« Nous devons montrer notre solidarité avec l’Italie et Malte. Avec le beau temps, la saison des migrations va commencer et cela pourrait exacerber la situation, car des milliers de migrants tenteront l’aventure pour rejoindre l’Italie et Malte. »

En 2014, un grand nombre de Syriens débarquèrent en Sicile ; par la suite, ils empruntèrent la route des Balkans, plus accessible.

“Nous pensons que les Syriens s’apprêtent à suivre une nouvelle route au départ de la Turquie vers la Sicile » a déclaré le Commandant Brenden. « Les véritables problèmes vont commencer dès le mois prochain. »

L’année dernière, il y eut de nombreuses victimes, mais aujourd’hui, grâce à la coopération entre Frontex, les garde- côtes italiens et autres organisations humanitaires, les migrants sont secourus, bien avant qu’ils n’approchent la côte italienne.

Andreas Lassen, le coordinateur de Frontex en Sicile, a déclaré au MailOnLine, qu’au cours des semaines précédentes, de nombreux petits bateaux avaient réussi à atteindre la Sicile, sans être interceptés par les navires européens. Cela confirme qu’une grande majorité de migrants décide de choisir l’Italie comme destination finale.

Selon Medea Savary, le porte-parole du HCR (le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés) pour la Sicile, même si l’Italie dispose d’un système bien huilé pour la gestion et la relocalisation des migrants, la forte augmentation du nombre de migrants représente un défi monumental.

En dépit de nos recherches et de nos efforts, des gens se noient encore. Et malgré notre système beaucoup plus organisé, les chiffres racontent une histoire différente. »

“Ce n’est pas une situation normale. C’est un état d’urgence. »

C’est bien de le reconnaître, encore faudrait-il prendre les mesures adéquates pour stopper cet afflux sans fin !

La responsable de l’UE pour l’immigration, Cécile Kyenge, œuvre pour une Italie majoritairement noire

Les migrants recueillis par le bateau norvégien sont originaires du Nigéria, du Ghana, de la Gambie, du Niger, de la Côte d’ivoire et du Bénin. Cela doit réjouir la grande prêtresse d’une Europe africaine, Cécile Kyenge, qui remercie son pays d’accueil, l’Italie, en oeuvrant à la disparition de ses citoyens.

Entre les musulmans qui veulent islamiser l’Europe et les Africains qui aspirent à l’africaniser, nous les Européens de souche sommes coincés entre le marteau vert et l’enclume noire.

Le rêve de Cécile Kyenge d’une Italie majoritairement noire pourrait devenir une réalité, grâce à cette migration intarissable en provenance d’Afrique.

Cette volonté de créer une nouvelle Europe sans Européens de souche, avec l’appui d’ex-clandestins parvenus au pouvoir, est âprement défendue par Cécile Kyenge, l’emblème et la figure de proue du Grand Remplacement en Italie et en Europe, une Taubira transalpine, ennemie féroce de l’identité italienne et européenne.

Ophtalmologue de profession, ex-clandestine congolaise, devenue italienne par mariage, puis ministre de l’intégration sous le gouvernement Letta, Kyenge est aujourd’hui responsable de l’UE pour l’immigration.

Le Parlement européen a confié à Cécile Kyenge le rôle de co-rapporteur – avec le Maltais Roberta Metsola – sur «l’initiative stratégique concernant la situation en Méditerranée et la nécessité d’une approche globale de l’immigration dans l’UE».

Se définissant comme une femme noire et fière de l’être, Cécile Kyenge a reconnu être entrée illégalement sur le territoire italien, et créa la polémique en disant vouloir supprimer la notion d’immigration clandestine en Italie.

Issue d’une famille de 38 enfants, nés des quatre femmes de son père, pourtant catholique, la ministre a affirmé que l’Eglise devait apprendre à s’adapter au monde, en d’autres termes, accepter la polygamie :

« Grandir avec tant de frères et soeurs m’a donné l’impression de vivre dans une communauté. Cela facilite les relations avec l’autre partie de la société, en dehors de la famille ».

Apologiste des bienfaits de la polygamie, elle n’a jamais caché son intention de l’instaurer en Italie.

Pour Cécile Kyenge, «l’Italie est pays métis et multi-ethnique ». Elle souhaite plus d’Africains en Italie et en Europe, vœu sur le point d’être exaucé grâce à la folle politique immigrationniste de l’UE.

Si elle aime tellement être entourée de Noirs, ne devrait-elle pas rentrer au Congo et mettre ses talents d’ophtalmologue au service des gens de son pays d’origine ?

«I have a dream» de Cécile Kyenge n’est pas une Afrique économiquement forte, où les peuples pourraient enfin vivre dans la justice et la paix, mais … un président noir en Italie.

Voila ce qu’avait déclaré Cécile Kyenge, ex ministre de l’intégration et euro-parlementaire du PD, à Radio 24 :

« Je voudrais un noir au Quirinal et, avec un président de couleur, tous ceux de la Lega mourraient d’infarctus »…« Pourtant, parmi les divers candidats dont on parle, je n’en vois aucun de couleur ou même d’origine étrangère, ce qui serait un pas en avant. Maintenant, je suis sûre, ma page facebook va se remplir d’insultes ».

Elle a fait intensément campagne en Italie pour que les enfants d’immigrants deviennent citoyens italiens dès la naissance.

L’idée qu’il ne puisse exister des italiens noirs la révulse !

La Dame de l’Inquisition de l’UE travaille actuellement à l’interdiction des partis qui défendent les Européens de souche, non seulement en Italie mais dans toute l’Europe.

Au fur et à mesure que le nombre de migrants en Europe augmente, la démocratie fond comme neige au soleil.

Si cet afflux ne s’arrête pas, les Européens risquent de devenir des minorités ethniques dans leurs propres pays, avant d’être radiés, comme peuples, de l’Histoire de l’Humanité. Mais n’est-ce pas là l’objectif poursuivi par les différents adeptes occultes d’un Nouvel Ordre Mondial ? Un monde sans Européens de souche, sans christianisme, sans judaïsme ! Le rêve de tous les frustrés et jaloux de la terre !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : « EXCLUSIVE – ‘Welcome to the NEW Lesbos’: Now Sicily is flooded with 2,000 migrants EVERY DAY since the Balkans route shut “ by Jake Wallis Simons In Palermo, Sicily For Mailonline (extraits traduits et adaptés par Rosaly)

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Les côtes italiennes redeviennent un objectif pour les migrants

 Ci-dessus : Les migrants débarqués d'un navire allemand après leur sauvetage. [Antonio Parrinello - Reuters]

 

Plus de 4000 migrants ont été sauvés dans le canal de Sicile en deux jours. Cette route de la migration semble être redevenue une option pour les migrants après la fermeture de la route des Balkans.

Au moins 2154 migrants ont été secourus au cours de 17 opérations de sauvetage dans la seule journée de mardi. Ils s'ajoutent aux 1850 recueillis la veille, ont annoncé les gardes-côtes italiens dans un communiqué.

Des navires des gardes-côtes et de la marine militaire italienne, un navire norvégien déployé dans le cadre du dispositif Frontex, l'agence européenne aux frontières de l'Union européenne, et un cargo grec ont participé mardi aux opérations coordonnées par le centre opérationnel des gardes-côtes italiens basés à Rome.

Passagers sauvés

Les embarcations secourues étaient seize canots pneumatiques et une barque. Tous leurs passagers ont pu être sauvés. Lundi, 1850 migrants avaient été recueillis au cours de huit opérations distinctes, selon les gardes-côtes italiens.

Ces traversées semblent confirmer les craintes de reprise d'arrivées massives vers les côtes italiennes. Un porte-parole de la marine libyenne a annoncé que six canots transportant 649 migrants avaient été interceptés mardi par les gardes-côtes libyens au large de Sabrata, entre la capitale Tripoli et la frontière tunisienne.

La veille, 115 migrants clandestins avaient déjà été secourus au large de Tripoli alors que leur bateau était tombé en panne. Selon les derniers chiffres de l'ONU, 19'900 personnes sont arrivées en Italie par la mer depuis le début de l'année, et 153'000 en Grèce. Plus de sept cents personnes sont mortes ou portées disparues dans cette période en Méditerranée.

afp/mre

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L’Italie est en train de se faire envahir par 300.000 migrants illégaux, tous des africains sans droit d’asile dans l’UE

 

 

Le quotidien socialiste français "Le Monde" a publié hier un long article sur le "mystère" de l'arrivée en masse de clandestins en Italie depuis la Lybie : "Depuis le mois de janvier, 18.234 migrants ont débarqué dans les îles de Lampedusa et de Sicile; on parle de 8.000 personnes de plus qu'en 2015 à la même période (...). Si cette tendance devait se confirmer au même rythme pour les mois à venir, le chiffre de migrants qui débarqueront dans la Péninsule pourrait atteindre 300.000, le triple de l'an passé".

Ces chiffres sont catastrophiques, d'une part par l'impossibilité de loger en Italie une horde de migrants de cette dimension sans déstabiliser la société, et, d'autre part, par le coût énorme qui serait à la charge de l'état italien pour leur "entretien", coût qui dépasserait la somme de 500 millions d'euros par mois.

"L'Union européenne - poursuit Le Monde - pensait avoir fait tout le nécessaire pour résoudre la crise migratoire grâce à l'accord controversé avec la Turquie. Il serait tentant - ajoute le correspondant du Monde à Rome, Philippe Ridet - d’expliquer par le principe des vases communicants la reprise du trafic à travers le canal de Sicile à partir des côtes libyennes, tunisiennes, et dans une moindre mesure égyptiennes".

Mais c'est faux.

"Si les arrivées en Grèce concernent principalement des Syriens, Irakiens ou Afghans fuyant les zones de guerre, celles en Italie sont le fait d’Africains cherchant à échapper à la misère : 15 % des nouveaux arrivants viennent du Nigéria, 12 % de la Gambie, 18 % du Sénégal, de la Côte d'Ivoire, du Mali et de la Guinée, 5 % de la Somalie et 3 % de l'Erythrée et du Maroc".

Ce sont tous des pays qui ne sont pas en guerre et qui n'ont même pas souffert de catastrophes naturelles. Donc, aucun de leurs ressortissants n'ont droit à l'asile en Europe.

"L'Italie doit donc à nouveau affronter un ancien phénomène qu'elle croyait avoir réussi à contrôler, alors qu'elle avait, un temps, craint des arrivées massives par la route de l'Adriatique en provenance de Grèce et d'Albanie. Cela ne s'est pas produit. De toutes façons - conclut Le Monde - face à une telle situation qui risque de devenir un nouvel état d'urgence, le gouvernement de Rome essaie de faire pression sur ses partenaires européens pour qu'ils tiennent leurs promesses financières faites au sommet de l'UE en novembre 2015 à Malte, en faveur de l'Afrique sub-saharienne. Mais est-ce que cette stratégie suffira ? - Et l'auteur de l'article conclut, dubitatif - L'Europe de 2016 est-elle mieux préparée pour 2016 ?

 Evidemment que la réponse est non. L'UE est au prise avec sa propre désagrégation, preuve en est la suspension du traité de Schengen sur la liberté de circulation à cause de l'invasion de migrants provenant d'Italie, au point qu'un gouvernement social-démocrate, celui de l'Autriche, a construit des murs le long de ses frontières et spécialement le long de ses frontières avec l'Italie.

On a appris tout récemment que l'Autriche va entreprendre des contrôles sévères au Brenner avec le secours de l'armée.

 

Rédaction milanese de "Il Nord Quotidiano"

Source en italien, trad. D. Borer

Le cap des 800.000 migrants arrivés en Europe est franchi

Le cap des 800.000 migrants et réfugiés ayant traversé la Méditerranée depuis le début de l'année pour se rendre en Europe a été franchi, a indiqué mardi l'Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). C'est quatre fois plus que l'an dernier pour la même période.

Le flot ne tarit pas, car le temps est clément et les migrants et réfugiés continuent d'embarquer pour les îles grecques, a précisé le porte-parole de l'OIM à Genève Joel Millman. Quelque 17.600 personnes sont arrivées en Grèce de vendredi à dimanche.

Elles ont été 6.800 vendredi, 6.340 samedi et 4.528 dimanche, selon les autorités grecques citées par l'OIM. Huit cadavres ont été repêchés pendant le week-end, ce qui porte le bilan total des morts et disparus depuis janvier à 3.455.

Les Syriens majoritaires
Jusqu'à début novembre, 653.000 migrants et réfugiés sont arrivés en Grèce. Par nationalité, il s'agit de 278.000 Syriens, 76.600 Afghans, 21.550 Irakiens et 14.300 Pakistanais, pour les plus nombreux.

En dix mois, 141.700 migrants sont arrivés en Italie (contre 154.000 pour la même période de 2014). Les principales nationalités sont les Erythréens (37.800), les Nigérians (19.576), les Somaliens (11.020), les Soudanais (8.692) et les Syriens (7.232).

Les Syriens empruntent désormais la route de la Turquie et des Balkans. En outre, 3.845 migrants ont été recensés en Espagne et une centaine à Malte.

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Torrent migratoire : Le président tchèque dénonce une “invasion organisée” et appelle au déploiement de l’armée

Le président tchèque Miloš Zeman (photo) a qualifié la crise migratoire “d’invasion organisée” et annoncé l’inévitable déploiement de l’armée tchèque aux frontières du pays.

“Ce n’est pas spontané”

En marge d’un déplacement dans la ville de Pardubice, le chef de l’état tchèque a déclaré :

“L’immigration est une invasion planifiée dont le but est de briser la structure sociale, culturelle, économique et politique de l’Europe. C’est bien organisé. Ce n’est pas spontané. Le temps va venir où l’armée tchèque devra intervenir pour défendre les frontières de la République Tchèque.”

Ces propos font suite à ceux de Viktor Orban qui a lui-même accusé le milliardaire juif américain, lié à la CIA, de planifier l’invasion de l’Europe (lire ici). Ce que Soros a ensuite reconnu http://breizatao.com/wp-admin/edit.php(source), en déclarant :

“Son plan fait de la protection des frontières nationales l’objectif et des migrants l’obstacle. Notre plan fait de la protection des migrants notre objectif et des frontières nationales l’obstacle”.

Le rôle de la banque Goldman Sachs dans l’invasion migratoire

Les propos du président tchèque font écho à l’annonce de l’arrêt de l’aide aux réfugiés dans les camps de l’ONU du Liban et de Jordanie. Un arrêt inexplicable qui a déclenché le départ immédiat de 300 000 migrants musulmans pour l’Europe.

Un développement brutal qui correspond au projet d’immigration massive défendu par Peter Sutherland, conseiller spécial auprès du Secrétaire Général de l’ONU pour les migrations internationales. Cet ancien commissaire européen à la Concurrence, responsable de la banque  Goldman Sachs et dirigeant de Commission Trilatérale et du Groupe Bilderberg, a ainsi déclaré vouloir importer 1 million de migrants par an en Allemagne pendant 30 ans pour éviter un effondrement financier des banques exposées aux fonds de pension allemands (lire ici).

Il a en outre exigé de l’Italie, du Portugal et de l’Espagne qu’ils suivent une politique migratoire identique.

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Suède : « Je maudirai celui qui te maudiras… »

  • Si la vague de migrants continue de déferler, dans 10-15 ans, les Suédois seront minoritaires dans leur propre pays. Que l’on assiste, en fait, à un échange de population, devrait être évident pour quiconque évalue sainement les choses.
  • « La conséquence finale de la politique d’immigration de la Suède est que son économie va s’effondrer – parce que qui va payer pour tout cela? Et la débâcle économique une fois amorcée, se propage toujours très rapidement. » — Lars Hedegaard.
  • Au cours des deux dernières semaines, plus de 1,000 « enfants réfugiés non accompagnés » sont arrivés d’Allemagne en ferry; plus de la moitié d’entre eux se sont évanouis dans la nature et sont répertoriés comme disparus.
  • Depuis ces quelques dernières semaines, la gare centrale de la troisième plus grande ville de Suède, Malmö, déborde de migrants; les volontaires que l’on a vus les premiers jours avec de la nourriture, de l’eau et des vêtements semblent s’être désinvestis.
  • Les suédois ne mettront pas longtemps à se rendre compte que l’état les laisse tomber. Ce pays qui juste 20 ans plus tôt, était considéré comme l’un des plus riches au monde, est maintenant au bord de la faillite.

La Suède est au bord de l’effondrement complet. De plus en plus de municipalités s’alarment que si les migrants continuent d’affluer à ce rythme, le gouvernement ne pourra plus garantir un service normal à ses citoyens. En outre, des déclarations de mauvais augure de fonctionnaires du gouvernement, font craindre pour l’avenir des suédois. Si la vague de migrants se poursuit, dans 10-15 ans, les suédois seront minoritaires dans leur propre pays.

Lors d’une conférence de presse le 9 octobre, le Premier ministre Stefan Löfven a dit que la Suède était en crise. Cependant quand on lui a demandé de clarifier ce qu’il entendait par là, il a été incapable de produire la moindre phrase cohérente.

Trois ministres étaient aux côtés de Stefan Löfven à cette conférence convoquée à la hâte, à la suite d’une réunion extraordinaire du gouvernement. Le but de la conférence de presse était apparemment de transmettre deux messages :

  1. Expliquer au monde et au peuple suédois que la Suède est confrontée « à l’un des plus grands efforts humanitaires de toute son histoire. »
  2. Qu’il n’y a plus de logements disponibles et que les migrants devraient se préparer à vivre sous des tentes.

Durant la session des questions, après les discours des ministres, le journaliste Tomas Ramberg de la Radio publique Ekot a demandé : « Vous dites que la Suède se prépare à une situation de crise, qu’entendez-vous par cette formule alarmante? »

La réponse de Stefan Löfven fut incompréhensible:

« Bon, eh bien, tout d’abord nous sommes en plein dans ce que j’exprime avec gravité quand je dis, que j’adresse un énorme remerciement à vous tous, qui faites un travail si extraordinaire, parce que c’est un effort humanitaire, c’est tout à fait ce qu’a dit le ministre de la Justice et de la migration. Ce que nous faisons en réalité, c’est que nous sauvons la vie de gens qui ont réchappé des bombes, des meurtres, de l’oppression, de leurs vies détruites. Nous, nous les aidons et cela est un grand effort humanitaire et bien sûr, maintenant que nous voyons le nombre de personnes dans le besoin, qui demandent notre protection, alors c’est l’un des plus grands efforts humanitaires. Et nous sommes confrontés à une situation de crise. C’est en partie pourquoi ensemble nous soulignons aujourd’hui que nous nous préparons aussi à une situation où il nous faudra héberger les gens dans des tentes, parce que nous défendons la politique humanitaire en faveur des réfugiés, le droit d’asile, mais nous voyons aussi que nous ne pouvons fermer les yeux devant le fait que de nouveaux venus viennent comme jamais dans un temps aussi court et que nous aurons besoin de fournir un toit à ces personnes. Donc il se trouve que d’autres choses vont être exigées. »

Cependant, le fait que le gouvernement parle maintenant de loger des migrants dans des tentes, pourrait être un signe que la Suède en dépit de tout, ne voudrait plus être sur la ligne de front de la bataille « humanitaire » après tout. La perspective de passer un hiver suédois et glacial dans une tente peut inciter les migrants à choisir d’autres pays que la Suède. Si non, un effondrement complet du système suédois est imminent.

En 2014, l’historien et expert en sociologie, le danois Lars Hedegaard avait souligné de manière prophétique dans son livre « Farliga ord » (Des mots dangereux), que la chute économique d’une nation survient toujours rapidement et de manière inattendue:

« S’il y a une leçon à tirer de l’histoire, c’est que ce qui semble impossible, peut arriver. Cette règle est générale. La conséquence finale de la politique migratoire en Occident et surtout en Suède est que l’économie s’effondrera – parce que qui va payer pour tout cela? Et la débâcle économique une fois amorcée, se propage toujours très rapidement. »

Actuellement, le gouvernement suédois emprunte de l’argent à l’étranger pour financer l’immigration. Mais ce montant est insuffisant. Le 8 octobre, l’Association suédoise des pouvoirs locaux et des régions (SKL) a averti que les municipalités devraient augmenter  le taux d’imposition de 2%. Le prélèvement municipal de l’impôt sur le revenu est déjà de 32%, auquel il faut ajouter pour beaucoup de suédois la taxe fédérale sur le revenu. Une augmentation de 2% du taux d’imposition, signifierait une augmentation annuelle de taxes de 15,000 couronnes ($1,825) pour chaque foyer en moyenne.

Des hommes politiques de hauts rangs et des fonctionnaires disent aussi que la situation est extrêmement mauvaise. Le 1er octobre, le ministre de l’Intérieur, Anders Ygeman  a dit que la vague actuelle d’immigration conduira à « d’énormes restrictions économiques » et quelques jours après le directeur général du Service de l’Immigration, Anders Danielsson a expliqué que « dans le cadre du système que nous connaissons tous, nous abordons maintenant le bout de la route ». Des déclarations qui n’ont jamais eu cours auparavant en Suède en particulier en relation avec la question « sacrée » de l’immigration. Jusqu’à présent, il a été en permanence dit aux suédois que nous vivions dans un pays riche qui n’avait aucun problème à subvenir aux besoins de tous les demandeurs ’asile qui veulent venir ici.

En filigrane, les 1,5 millions de migrants attendus cette année en Allemagne, – le plus grand pays de l’Union Européenne avec une population de 81 millions d’habitants, – se déversent aussi dans une Suède plutôt petite. Géographiquement la Suède est vaste, mais consiste essentiellement de forêts et de terres incultes et moins de 10 millions de personnes vivent dans ce pays. Jusqu’en 2010, La Suède a absorbé 25.000 migrants par an. Cependant en 2010, le Premier Ministre Fredrik Reinfeldt a conclu un accord avec le parti Vert pro-immigration, (Miljöpartiet) – selon ses dires pour punir les électeurs d’avoir permis l’accès au parlement, du parti démocrate anti-immigration de masse (Sverigedemokraterna).

L’accord de Reinfeldt a ouvert largement les portes de l’immigration. En 2014, 81.000 personnes ont demandé l’asile en Suède et 33.500 ont eu gain de cause. Cependant, comme beaucoup d’immigrants par la suite ont fait venir leurs proches, ce chiffre s’est décuplé. L’an passé 110.000 personnes ont obtenu le statut de résidents en Suède. On devrait ajouter à ce nombre un chiffre inconnu de résidents illégaux.

On parle maintenant de 180.000 demandeurs d’asile à venir en Suède en 2015. Ce nombre est le double de celui de l’an passé. Si la moitié d’entre eux reçoit le droit d’asile et que chacun fait venir d’autres parents, nous parlons de 270.000 immigrants pour la Suède en un an. Plus de 8000 personnes sont arrivées rien que la semaine dernière, et parmi eux 1716 de ce qu’on appelle des «enfants réfugiés non-accompagnés.»

Les suédois qui suivent uniquement les grands médias étatisés ont l’impression que tous les migrants qui arrivent sont des réfugiés de guerre venus de Syrie, mais le nombre de syriens représente en réalité moins de la moitié du total: 2864 personnes la semaine dernière ont prétendu venir de Syrie ; 1861 prétendaient être d’Irak et 1820 d’Afghanistan. Il est clair que beaucoup de gens de pays qui ne sont pas en guerre tentent leur chance et font une demande d’asile en Suède; mais c’est une information que ces médias politiquement corrects ne considèrent pas utile de communiquer à leur audience.

Que l’on assiste, en fait, à un échange de population, devrait être évident pour quiconque évalue sainement les choses. L’économiste suédois Tino Sanandaji (d’origine Irano-Kurde et donc plus rigoureux que la plupart des suédois qui s’ils critiquent la politique d’immigration, sont immédiatement accusés de racisme)  écrit sur son blog que les suédois pourraient se retrouver minoritaires dans leur propre pays:

« 1000 à1500 demandeurs d’asile par jour pendant 15 ans revient à 5.5 à 8.2 millions de demandeurs d’asile. A la fin de 2014, le Bureau Central des statistiques, [SCB], calculait que 21.5% de la population suédoise était de descendance étrangère : 2.1 millions, sur 9.7 millions. Le nombre de personnes de descendance suédoise – nées en Suède avec deux parents suédois – reste stable autour de 7.7 millions et est crédité de rester stable ou d’augmenter légèrement grâce au taux de naissances positif. Si ceux d’origine étrangère passent à 5.6 millions, ils deviendront la majorité. »

L’une des municipalités qui a été envahie de migrants est Trelleborg (population 43.000), située sur la côte sud de la Suède. Plus d’une centaine d’ « enfants réfugiés non accompagnés » arrivent d’Allemagne par ferry chaque jour. Au cours des deux dernières semaines, plus de 1000 de ces jeunes ont été enregistrés; plus de la moitié d’entre eux se sont évanouis dans la nature et son répertoriés comme disparus. Personne ne sait pourquoi, ni où ils sont partis. Ajoutés à cela 13.000 adultes demandeurs d’asile.

Des logements temporaires d’urgence ont été crées dans des centres de sports, des patinoires, et à l’hôtel Sturup de l’aéroport, pour ne citer que quelques exemples.

Dans une lettre désespérée Trelleborg a lancé un appel à l’aide au gouvernement [letter of appeal] comme l’avait fait – en vain – il y a quelques semaines, la municipalité d’Örkelljunga. Le maire et le directeur municipal de Trelleborg, qui ont signé la lettre le 1er octobre, ont écrit:

« Dans le passé, beaucoup de demandeurs d’asile ont traversé le Danemark pour parvenir à Malmö, mais depuis deux semaines, il y a un changement. Entre le 10 septembre et le 1er octobre, 14.100 demandeurs d’asile sont arrivés à Trelleborg par ferry. Rien n’indique que ce rythme se ralentisse. Le mardi 22 septembre, Trelleborg a reçu une note du Service de l’Immigration disant que la municipalité où les enfants et les jeunes gens débarquent, a obligation, selon la loi, de fournir le gîte et le couvert et tous les soins et dépenses courants, jusqu’à ce que le Service de l’Immigration désigne une municipalité. … Trelleborg a rapidement atteint le point où les services courants de la communauté vont être saturés …Par cette lettre nous voudrions éveiller votre attention à l’énorme poids que nous subissons. »

Apparemment, le Ministre de la Justice et de la Migration, Morgan Johansson, est depuis entré en contact avec le maire de Trelleborg au téléphone pour discuter des possibles solutions. Le 9 octobre, le Service de l’Immigration a décidé que Trelleborg devrait être exempté d’être désignée municipalité d’accueil pour les enfants non accompagnés. Cependant, il n’est pas certain que cela allègera le sort de Trelleborg au rythme auquel se font les nouveaux arrivages. La seule aide concrète, jusqu’à present est venue de certaines municipalités voisines [neighboring municipalities], qui ont ouvert des locaux pour héberger certains des migrants de Trelleborg.

Malmö, qui est à 28 km de Trelleborg, est aussi dans une mauvaise passe. Depuis ces quelques dernières semaines, la gare centrale de la troisième plus grande ville de Suède, Malmö, déborde de migrants; les volontaires que l’on a vus les premiers jours avec de la nourriture, de l’eau et des vêtements semblent s’être désinvestis.

Le quotidien Sydsvenska Dagbladet  résume la situation désespérée de Malmö, où on a même envisagé d’utiliser la prison vide de la ville comme possible hébergement pour les réfugiés enfants – projet rejeté par la suite. On l’envisage à présent pour les réfugiés adultes.

Le maire social démocrate de Filipstad, Per Gruvberger, a aussi sonné l’alarme que sa municipalité de 6000 personnes ne sera pas capable de fournir une scolarité et des soins aux enfants des 1100 demandeurs d’asile maintenant assignés à sa municipalité.

La réponse du Ministre de la Justice et de la Migration, Morgan Johansson, à cet appel à l’aide a été: « Si nécessaire, Filipstad devra juste développer ses opérations. »

Cette déclaration de Johansson, dénuée de toute sensibilité a provoqué une réponse fulminante de la part de Daniel Schützer, le maire de la ville voisine de Årjäng. Il a écrit sur sa page Facebook à propos de son collègue et membre du même parti que lui :

« Excusez mon français, mais Morgan Johansson est un stupide merdeux ‘développer,’ dit-il. Il ne manque, ni  briques, ni  planches, bordel de merde, mais des professeurs !!!!!! »

Le Service de l’Immigration, qui a pour mission de passer au crible les raisons pour lesquelles les migrants demandent l’asile est de toute évidence submergé de travail. Même avant la dernière « crise de réfugiés » – et en dépit du recrutement de 1200 nouveaux employés l’an passé – son personnel n’a pas dé répit. Le syndicat des employés sonne à présent l’alarme à propos de l’augmentation des incidents violents, du vandalisme et des tentatives de suicide – cette année (jusqu’en août), 1021 des ces incidents ont été rapportés.

« Les conditions de travail pour tous les cadres sont très tendues. La pression est énorme. Le cadre du travail s’est complètement détérioré, » a dit Sanna Norblad, présidente locale du syndicat ST au quotidien Norrköpings Tidningar.

Tandis que ces scènes se déroulent, des quantités de suédois observent de loin avec horreur et se demandent quand l’inévitable effondrement va se produire. Dans le même temps une large partie de la population croit toujours avec une énorme dose de confiance que « l’Etat Providence  » va tout arranger. C’est une vue très suédoise comme le rêve des enfants et que décrit Peter Santesson, directeur de l’institut de sondage Demoskop,  sur le site web Dagens Opinion. Santesson explique que les suédois ont un niveau exceptionnellement haut de confiance dans l’ordre social et qu’ils sont convaincus « que quelque part là-haut, il y a toujours quelqu’un de plus intelligent et de mieux informé qui a la responsabilité pour que tout marche pour le mieux. » Si les fonctionnaires du gouvernement se révèlent incapables de gérer le chaos des réfugiés qu’ils ont eux-mêmes crée, cela pourrait être désastreux. Santesson poursuit en ces termes,

« Les décisionnaires responsables doivent réfléchir au capital confiance que les gens ont mis en eux, et ils doivent soigneusement soutenir cette confiance dans cette crise difficile. S’ils trahissent la confiance du peuple et se révèlent incapables de gérer la situation – si la Suède ne peut trouver seule le remède miracle et que la crise devient trop difficile à gérer – le résultat pourrait avoir des conséquences politiques et sociales allant bien au-delà des questions d’immigration. »

Le blogger Johan Westerholm, un Social Démocrate qui critique le gouvernement, a dénoncé le 7 octobre des infractions au système d’immigration : « En plus de ceux qui sont déjà en Suède, il nous faut ajouter ceux à qui on refuse l’asile en Norvège et en Finlande et qui par conséquent seront renvoyés dans le dernier pays qu’ils ont traversé, la Suède. En considérant que la Finlande rejette 60% des demandes d’asile, on peut à juste titre supposer que dans les semaines à venir, le chaos va s’amplifier. »

Westerholm écrit que la situation à Malmö est « hors de contrôle, » et dit que nous n’avons aucune idée de l’identité de ces nouveaux venus en Suède :

« Un groupe important d’administrateurs [au service de l’Immigration] ne connait même pas les organisations désignées comme terroristes et il y a aussi les sympathisants – des gens qui par principe ne feraient jamais de rapport au service de Sécurité de l’Immigration pour des raisons idéologiques. Parmi eux, beaucoup sont réduits au silence par la peur. Dans une organisation caractérisée par la crainte et le stress, ne rien faire est le moyen le plus sûr pour conserver son emploi. Si un rapport de suspicion est instruit, intangiblement, rien ne se passe. Si la vie et la santé du terroriste est menacée, comme c’est souvent le cas, la personne obtient le droit de rester. Au départ, on lui donne un permis de résidence temporaire, mais en pratique, il devient permanent. »

Les 152 demandeurs d’asile signalés au Service de Sécurité cette année comme étant des possibles menaces pour la sécurité nationale, sont donc très probablement, juste la pointe de l’iceberg.

Les suédois qui ont déjà perdu confiance dans les autorités et les responsables politiques se préparent maintenant à l’impensable : Leur société jadis si sûre est sur le point de s’effondrer. Sur le site web 72timmar.se, l’Agence des urgences civiles informe le public sur « nos cinq produits de bases nécessaires : L’eau, la nourriture, la chaleur, le sommeil et la sécurité. » Il est conseillé aux lecteurs d’avoir des réserves d’eau et des conserves de nourriture chez soi, et de s’assurer qu’ils peuvent rester au chaud.

Le comportement qui consiste à « Se tenir prêt » commence à prendre en Suède. L’été dernier, le quotidien Svenska Dagbladetran a fait un reportage sur la première boutique en ligne suédoise à cet effet, et l’intérêt a été énorme. Selon l’institut de sondage Sifo, jusqu’à récemment, sept suédois sur dix n’étaient absolument pas préparés à une crise qui touche l’énergie et donc l’infrastructure. Le propriétaire de la boutique en ligne, Fredrik Qvarnström, a déclaré au journal que selon ses estimations, les suédois sont les plus mal préparés au monde pour une crise:

« On parle beaucoup de l’effet de serre et de la crise économique. Les gens semblent conscients qu’il y a des problèmes, mais je ne crois pas qu’ils sachent à quel point nous sommes vulnérables. Nous faisons confiance à l’état pour qu’il s’occupe de nous, comme il l’a fait dans le passé. »

Les suédois ne mettront plus longtemps à se rendre compte que l’état les laisse tomber. Ce pays qui il y a juste 20 ans était considéré comme le plus sûr et le plus riche au monde est maintenant au bord de la faillite.

Image à la Une : 

Stefan Löfven (gauche), le premier ministre suédois a dit la semaine dernière que la Suède est en état de crise.  A droite, le résultat des émeutes dans les faubourgs de Stockholm en décembre 2014.

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Invasion islamique: A présent, l’Europe se précipite sur les armes.

Nombreux sont ceux qui désirent bénéficier du second amendement (le second amendement autorise tout citoyen américain à porter une arme).

Les Autrichiens sont en train de s'armer à une vitesse incroyable en vue de défendre leur propriété par crainte d'attaques de la part des envahisseurs islamistes. Des dizaines de milliers de "réfugiés" musulmans sont en train d'inonder l'Autriche jusqu'à la Hongrie et la Slovénie ces derniers mois en suivant le chemin pour aller en Allemagne et en Suède, deux pays européens prospères qui ont déroulé le tapis rouge aux migrants. Plus d'un million de migrants pour la seule Allemagne à la fin de cette année si on se réfère aux estimations du gouvernement allemand.

Obtenir une arme en état de fonctionnement et des munitions en Allemagne, en Grande-Bretagne, au Danemark et aux Pays-Bas est pratiquement impossible pour la plupart des citoyens.

En Allemagne par exemple, cela requiert une évaluation psychologique, la souscription à une assurance en responsabilité civile ainsi qu'une stricte observation des règles de stockage et des règles de sécurité pour les armes à feu. Et l'auto-défense n'est pas une raison valable pour l'achat d'arme dans ces pays. Les lois en Autriche, même si elles sont strictes, sont plus permissives.

Un reportage de la télévision tchèque confirme que les armes longues - carabines et fusils - disparaissent à un rythme tellement soutenu des étagères, que les Autrichiens qui n'ont pas déjà acheté d'armes n'ont pratiquement aucune chance d'en obtenir une avant longtemps. Tout est vendu. Et les premières personnes à s'armer sont principalement des femmes. "Si quelqu'un veut acheter une arme longue en Autriche là maintenant, tant pis pour lui." rapporte la chaîne de télévision tchèque. "Tout est déjà vendu." Elle cite notamment le journal "Tiroler Tageszeitung" comme référence.

"Nous ne pouvons pas nous plaindre d'une absence de demande" déclare le marchand d'armes Stephen Mayer au journal Tiroler Tageszeitung. Il déclare que le stock est déjà épuisé depuis 3 semaines et que la demande a été boostée par les peurs générées par le climat social.

"Les gens veulent assurer leur protection" dit Mayer. Cependant la plupart des acheteurs sont principalement des femmes autrichiennes.

Source Traduction Lochaberaxe pour Les Observateurs.ch

Jean-Luc Addor : l’UDC est le seul rempart contre l’invasion migratoire

Interview de Jean-Luc Addor par Pierre Cassen

 

Pierre Cassen : Tu es militant de l’UDC en Valais, fief d’Oskar Freysinger. Tu viens d’être élu au Conseil national, suite aux élections fédérales suisses. Peux-tu expliquer aux Français en quoi consiste cette fonction ?

Jean-Luc Addor : Le Parlement fédéral suisse se compose de deux chambres : le Conseil national (200 députés, dont je fais aujourd’hui partie), dans lequel chacun des 26 cantons est représenté selon sa population avec un minimum d’un élu et le Conseil des Etats (46 députés), dans lequel chaque canton dispose de 2 représentants quelle que soit sa population. Ces deux conseils ont exactement les mêmes compétences. Une loi ne peut ainsi être édictée que si elle est votée dans les mêmes termes au National et aux Etats. Les deux conseils se réunissent dans la même salle (on parle alors d’Assemblée fédérale) pour certaines décisions importantes et pour des élections (notamment celle des juges fédéraux) ; ainsi, le 9 décembre, l’Assemblée fédérale devra réélire le Conseil fédéral (donc, le Gouvernement suisse).

P.C : La presse annonce une progression de l’UDC, qui ferait autour de 30 % des suffrages. Quelle est ton analyse sur cette progression, et la considères-tu, par rapport à la situation que connaît la Suisse et l’Europe, à la hauteur des enjeux ?

J-L Addor : L’UDC a en effet progressé tant en suffrages (+ 2,8% pour atteindre 29,4%) que surtout en sièges (+ 11 au Conseil national, qui compte désormais 65 élus UDC). Elle a sans nul doute bénéficié de l’actualité : à longueur de journée, dans les médias classiques et surtout sur les réseaux sociaux, les Suisses assistent depuis des mois à l’afflux de « migrants » qui submergent l’Europe ; l’immigration, qui est au cœur du programme de l’UDC (dont l’initiative contre l’immigration de masse a été acceptée par le peuple en février 2014), s’est imposée comme le thème phare de la campagne, reléguant au second plan d’autres enjeux certes parfois importants eux aussi. Certes réjouissante, cette progression renforce la position de l’UDC comme premier parti de Suisse. Mais un tiers des sièges au Conseil national, beaucoup moins au Conseil des Etats (dont la composition définitive ne sera connue que dimanche prochain), probablement 2 représentants au Gouvernement fédéral, ça ne suffira pas à l’UDC pour conduire seule la politique que les Suisses ont voulu renforcer ; il faudra en effet composer avec d’autres forces politiques qui n’ont pas toujours des positions aussi claires que l’UDC, loin s’en faut, sur des sujets tels que la lutte contre l’immigration de masse et contre l’adhésion à l’Union européenne. C’est à ces formations politiques, c’est-à-dire avant tout au parti libéral-radical (un peu les Républicains…) et au parti démocrate-chrétien, qu’il appartiendra de comprendre que la gravité des enjeux, particulièrement dans le domaine de l’immigration, exige que soit suivie la politique préconisée par l’UDC.

P.C. : Les journalistes bien-pensants français reprochent aux Suisses ce vote, considérant que ton pays n’est pas confronté à l’invasion migratoire, comme d’autres pays limitrophes. Que réponds-tu à cette remarque ?

J-L Addor : Malgré le vote du 9 février 2014 contre l’immigration de masse (que les autres partis font tout pour ne pas appliquer), rien n’arrête l’immigration ; dans ce pays d’un peu plus de 8 millions d’habitants qui compte près de 2 millions d’étrangers (1 sur 4 !), nous connaissons une immigration nette de l’ordre de 75’000 étrangers supplémentaires par an. Alors que la Suisse enregistre le 2ème taux de demandes d’asile en Europe (13,76 par 100 habitants au lieu de 4,55 en France et 3,87 dans l’UE), le nombre des demandes d’asile augmente de près de 50% ; aujourd’hui déjà, on ne sait presque plus où héberger ces personnes dont chacun sait que de fait, elles ne rentreront sans doute jamais au pays. Et si l’on considère l’afflux extraordinaire de migrants qui submerge les pays voisins (et dont un part, immanquablement, frappera aux portes de la Suisse) et la masse des personnes qui se sont déjà mises en mouvement vers l’Europe depuis des pays en guerre, on comprend pourquoi le nombre a augmenté des Suisses qui voient en l’UDC le seul rempart contre le Grand Remplacement.

P.C. : Tu es l’avocat de Riposte Laïque Suisse. Comment réagis-tu au véritable harcèlement judiciaire de l’Etat français contre le site de ton client ? Cela serait-il possible en Suisse ?

J-L Addor : Riposte Laïque, c’est un mouvement citoyen qui, avec des moyens infimes, s’engage pour avertir les Français et les peuples d’Europe des dangers de l’islamisation et de son vecteur essentiel, l’immigration de masse. RL dit tout haut ce que les médias officiels et, plus encore, les gouvernements essaient trop souvent de cacher aux citoyens pour des motifs qui méritent d’être réfléchis. L’islamisation, la France n’en a que trop vu les « fruits » sanglants ces derniers temps. Dans ce contexte, il est pour le moins surprenant, choquant même que le pays des Lumières et des droits de l’homme, le pouvoir en place semble tout entreprendre pour faire taire l’une des seules voix qui a le courage de dire aux Français et aux Européens ce qui les attend s’ils restent les bras croisés. Ce qui, effectivement, s’apparente à un véritable harcèlement judiciaire serait plus difficile en Suisse, où les procureurs ne sont pas soumis aux instructions du pouvoir politique en place. Mais chez nous aussi, l’espace de la liberté d’expression tend à se réduire, en particulier sous les coups de la gauche.

P.C. : Que va changer, pour les Suisses, cette avancée de ton parti, alors que le conseil fédéral se refuse à appliquer certains votes, et envisage de remettre en cause la démocratie directe de ton pays, sous la pression de l’Union européenne ?

J-L Addor : Avec une UDC renforcée et une gauche affaiblie, les citoyens disposeront, au Parlement fédéral, d’abord, mais aussi je l’espère au Gouvernement fédéral, d’une voix plus forte pour relayer leurs décisions et faire appliquer, entre autres, les initiatives contre l’immigration de masse et pour le renvoi des étrangers criminels. Si les Suisses sont de plus en plus nombreux à faire confiance à l’UDC, c’est sans doute parce qu’ils savent que ses représentants sont les seuls vrais défenseurs de ce que les peuples européens pliant sous le jour de Bruxelles et de leurs gouvernement nous envient : la démocratie directe, moyen extraordinaire dont dispose le pays réel face à un pays légal qui parfois l’oublie, une démocratie directe qui constitue un trésor inestimable face à l’Empire antidémocratique qu’est l’Union européenne.

P.C. : Crains-tu que la folie de la politique migratoire d’Angel Merkel ait des conséquences néfastes pour la Suisse ?

J-L Addor : Par ses promesses inconsidérées, Angela Merkel a provoqué un appel d’air qui a contribué à accélérer encore l’afflux de migrants vers l’Europe. Et quand les Allemands en auront marre d’être envahis et qu’ils fermeront à leur tour leurs frontières, alors la Suisse se retrouvera aux premières loges… C’est pourquoi, avec l’UDC, je vais continuer à m’engager pour que la Suisse restaure les contrôles systématiques aux frontières, au besoin avec le soutien de l’armée, et pour la dénonciation de l’accord de Schengen, une passoire qui désarme les peuples contre l’immigration de masse aussi bien que contre la criminalité transfrontalière.

P.C. : Quels vont être les principaux objectifs de l’UDC, suite à cette victoire électorale ?

J-L Addor : Mettre en œuvre les décisions du peuple (contre l’immigration de masse, pour le renvoi des étrangers criminels) et restaurer la souveraineté de la Suisse face à l’Union européenne et aux Etats-Unis. La Suisse, peuple d’Europe au centre de notre continent, doit retrouver un courage qu’elle semble avoir perdu : celui d’en finir avec l’esprit de soumission qui a marqué la politique de la Suisse ces dernières années et de faire valoir ses atouts (car elle en a !) pour renégocier, de partenaire à partenaire, des accords bilatéraux qui, comme leur nom l’indique, doivent permettre à chacun des partenaires (et pas seulement au plus grand) de trouver son intérêt.

Propos recueillis par Pierre Cassen pour Riposte Laïque et lesobservateurs.ch

Ras-le-bol des Tchèques face à l’invasion [vidéo]

Près de 93 % de la population s’opposent à l’accueil des réfugiés et migrants.

La Tchéquie aux Tchèques", "L’Islam est mauvais", "Europe réveille-toi" . Ces slogans résonnent dans les rues de Prague ce mercredi après-midi, alors que plus d’un millier de personnes sont réunies pour scander fièrement leur opposition à l’accueil des réfugiés. Des pancartes ornées de la phrase "En ces temps de mensonges, la vérité devient de l’extrémisme" valsent au-dessus d’une foule enragée aux côtés des dizaines de drapeaux nationaux. En ce jour de fête nationale célébrant le 97 e anniversaire de la fondation d’un Etat (à l’époque) tchécoslovaque indépendant, ils sont venus "défendre leur nation" .

Suite de l'article ICI

Vidéo de la manif :

Des manifestants pro et anti-réfugiés défilent... par lalibre

 

Plus de 710’000 migrants sont entrés en Europe depuis le début de l’année

Plus de 710'000 migrants sont entrés dans l'Union européenne entre le 1er janvier et le 30 septembre de cette année, contre un total de 282'000 pour toute l'année dernière, a annoncé Frontex mardi.

L'agence européenne de surveillance des frontières a précisé que "les îles grecques, en particulier Lesbos, continuent a subir une pression migratoire massive, avec 350'000 entrées détectées sur janvier-septembre".

Cependant, le nombre total d'entrées a légèrement baissé en septembre par rapport à août, avec 170'000, contre 190'000 un mois plus tôt.

600'000 migrants par la mer

Ces chiffres diffèrent de ceux du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) qui estime à près de 600'000 le nombre de migrants entrés depuis le début de l'année dans l'UE par la Méditerranée, dont 450'000 à travers la Grèce.

Le nombre de migrants morts ou disparus s'élève à 3095, ajoute l'UNHCR. L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) avance de son côté un bilan d'"au moins 3103" personnes.

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