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Hambourg (All.) : un Érythréen jugé pour avoir tabassé, menacé de mort et abusé de prostituées

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Il est question de viols, d'agressions et de menaces, ainsi que de la situation difficile dont souffrent de nombreuses femmes qui sont exploitées.

L'accusé Senay H. (26 ans) aurait payé dix euros pour des rapports sexuels oraux à une prostituée - puis l'aurait violée dans la chambre d'un hôtel.

15 coups au visage

Le procureur déclare : "La femme a enduré le rapport sexuel parce qu'il a menacé de la tuer et qu'il l'a frappée 15 fois au niveau du visage".

Deux heures plus tard seulement, l'Érythréen a eu des rapports sexuels consentis avec une autre prostituée dans la même pièce.

Mais ensuite, il aurait voulu davantage. Il aurait étranglé la femme et l'aurait frappée à nouveau. A la suite des cris de la femme, deux hommes sont venus à son secours.

L'accusé ne souhaite pas faire de déclaration concernant les graves allégations. Vendredi prochain, les prostituées seront appelées à témoigner.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

Hambourg (All.) : Agression extrêmement brutale par des individus d’apparence “méridionale”

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Hambourg - Les enquêtes n'ont pas permis de retrouver la trace des personnes recherchées. A présent, la brigade des homicides espère mettre la main sur les quatre voyous brutaux de la gare grâce à un avis de recherche publique.

L'agression a eu lieu il y a plus de six mois. C'était la nuit du dimanche 17 novembre. Les auteurs et les victimes sont montés à bord du S-Bahn peu après 2 heures du matin à la station de Reeperbahn de St.Pauli et ont voyagé jusqu'à Stellingen. Immédiatement après avoir quitté le train, il y a eu une agression sur le quai.

Selon les rapports de police, les quatre adolescents ont frappé et donné des coups de pied aux deux hommes avec une extrême brutalité. Les deux hommes, âgés de 29 et 31 ans, ont été gravement blessés. L'un d'entre eux a même perdu temporairement conscience.

 

 

Evi Theodoridou, porte-parole de la police déclare "Le contexte du crime n'est toujours pas clair".

Les enquêteurs ont obtenu une séquence vidéo de la caméra de surveillance. Le ministère public a maintenant demandé à un juge l'autorisation de la publier.

Les auteurs auraient une apparence "méridionale", auraient environ 20 ans et mesureraient environ 1,80 mètre.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

Hambourg (All.) : une musulmane pourra venir en classe avec son voile intégral

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L'écolière de 16 ans, qui se couvre le visage avec un niqab, ne doit pas être interdite d'école.

Cette décision a été prise par le tribunal administratif de Hambourg. Le voile intégral des femmes musulmanes est très controversé en Allemagne et est considéré comme un symbole de l'oppression des femmes.

Depuis environ un an, la musulmane dévote, fille d'un Égyptien et d'une Allemande, ne dépose son niqab que lorsqu'elle se trouve à la maison ou chez des amies.

Comme la direction de l'école ne pouvait l'autoriser à assister aux cours que le visage découvert, elle a dû s'asseoir dans une pièce adjacente, séparée de ses camarades. A plusieurs reprises, le personnel de l'école a tenté de la convaincre d'abandonner le niqab - au moins pendant les heures de cours, déclare son avocat Alexander Heyers. Mais l'adolescente de 16 ans n'a pas cédé.

Finalement, les autorités scolaires se sont tournées vers sa mère, également une croyante fervente, qui s'était convertie à l'islam en 2015. Elle devait s'assurer que sa fille montre son visage en classe, faute de quoi elle risquait de se voir infliger une amende de 500 euros. La mère a fait appel devant le tribunal administratif et a obtenu gain de cause en référé : il n'existe pas de base juridique pour une interdiction du niqab, car la loi scolaire de Hambourg ne prévoit aucune interdiction, même indirecte, du voile intégral. D'autres États comme la Bavière ou la Basse-Saxe ont déjà adopté de telles dispositions.

Menna F. porte son niqab avec fierté

Selon Ties Rabe (politicien du SPD - parti socialiste), l’école doit être conçue de manière à ce que tous les élèves se sentent "acceptés et à l'aise". "Cependant, le voile intégral franchit une limite qui rend impossible un bon enseignement et un apprentissage satisfaisant". Compte tenu de la décision du tribunal, les autorités ont autorisé la jeune fille de 16 ans à suivre des cours réguliers pour le moment. Elle effectue actuellement un stage dans un magasin de vêtements islamiques.

A partir de 2017, après avoir pris l’islam pour confession, elle s'est vêtue avec un Khimar. La robe de prière recouvrait son épaule et ses cheveux, mais laissaient son visage libre. Depuis environ un an, elle cache son visage, et avec lui toutes ses émotions, derrière un mur de tissu. Il ne reste qu’une fente pour les yeux. Menna F. (16 ans) porte son niqab avec fierté, toujours et partout, sauf à la maison ou lorsqu'elle rencontre - sans homme - ses amies.

Mais comme elle le porte également à l’école, la musulmane orthodoxe a un problème avec la ville. De son point de vue, cependant, ce n'est pas le niqab qui pose problème, mais la ville.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Archive.is

Hambourg (All.) : Deux Syriens arrêtés après une fusillade dans un lycée. L’un d’eux n’a que 15 ans.

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Après la fusillade au lycée d'Allermöhe, les enquêteurs ont arrêté un autre suspect - il n'a que 15 ans !

Il s’agit du frère du jeune Syrien de 23 ans, arrêté jeudi dernier après la chasse à l’homme.

Un juge a émis des mandats d'arrêt contre les deux suspects. Deux autres hommes arrêtés, un Allemand de 20 ans et un Syrien de 22 ans, ont été libérés.

Le jeune homme de 27 ans, qui a été blessé par trois balles vers 23 heures, n'est plus en danger de mort.

Aucune information n'a encore été fournie sur le contexte du crime.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

Allemagne : Une ado de 14 ans violée en plein jour à Hambourg. Le suspect est un Afghan déjà connu pour agressions et vols.

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Samedi en plein jour, une ado de 14 ans a été victime d'une agression sexuelle dans le centre de la ville du nord de l'Allemagne.

La police locale a mis la main sur un suspect le lendemain. Il s'agirait d'un Afghan de 30 ans.

(...)

Il présentait une alcoolémie de 2,24 pour mille et était déjà connu des services de police pour vols, agressions et toxicomanie.

20 Minutes.ch

Allemagne. Attaque islamiste: Ahmad Alhaw voulait tuer le plus de chrétiens possible. Il est condamné à vie.

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Un demandeur d'asile palestinien débouté a été condamné jeudi par un tribunal allemand à une peine de prison à perpétuité pour un attentat islamiste au couteau qui avait fait un mort et six blessés en juillet 2017 à Hambourg.

Ahmad A. a poignardé sept personnes, il voulait tuer le plus "de mécréants" possible.

Le tribunal de la ville a retenu à l'égard d'Ahmad Alhaw, 27 ans, qui avait qualifié son acte de « contribution au djihad mondial », des circonstances aggravantes pour « islamisme », synonymes d'une peine incompressible d'au moins 15 ans d'emprisonnement.

Fin juillet dernier, Ahmad Alhaw était entré en pleine journée dans un supermarché de Hambourg, s'emparant dans un rayon d'un couteau de cuisine doté d'une lame de 20 cm, et avait mortellement poignardé un client de 50 ans.

Il avait par la suite pris la fuite et blessé dans la rue six autres personnes en criant « Allah Akbar » (Dieu est le plus grand), avant d'être maîtrisé à l'issue d'une course poursuite par des badauds, dont un demandeur d'asile afghan.

 

 

Sa radicalisation se serait accentuée en 2016, l'année où il a été débouté de sa demande d'asile. Malgré ce rejet et les signes de sa dérive extrémiste, faute de papiers d'identité il n'avait pas pu être expulsé. Ce qui a valu des critiques à l'encontre des autorités.

Arrivé en mars 2015 en Allemagne depuis la Norvège après avoir été en Suède et en Espagne, le Palestinien auteur de l'attaque de Hambourg vivait depuis neuf ans en Europe.

« S'il en avait eu la possibilité lors de son attaque, il aurait tué encore plus de personnes », a affirmé M. Sakuth, qualifiant l'homme « d'instable ».

 

Source Source2 Source3

Allemagne : Explosion d’un engin piégé dans une gare à Hambourg

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Une légère explosion a secoué ce dimanche, la station de trains de Veddel à Hambourg, en Allemagne.

La police a confirmé, ce soir, qu’un article pyrotechnique avait explosé dans un sac en plastique. Personne n’a été blessé. Une vitre destinée à protéger les passagers du vent et les intempéries.

Selon la police de Hambourg, ils seraient à la recherche d’un suspect. En effet, les premiers témoignages et l’étude des enregistrements vidéo, auraient montré un individu qui a déposé un sac en plastique sur le quai. Il a ensuite quitté les lieux, juste quelques minutes avant que l’engin n’explose.

La station a été fermée pour les besoins de l’enquête. La police n’exclut pas qu’il n’y ait que des pétards dans le sac en plastique, et n’a pas pu confirmer les informations selon lesquelles des vis avaient sauté lors de l’explosion.

Source

La police allemande aurait tenté de recruter l’assaillant de Hambourg comme informateur

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Déjà signalé pour ses problèmes psychologiques et sa radicalisation, le meurtrier de Hambourg intéressait la police criminelle allemande, qui aurait tenté d'en faire son informateur parmi les migrants de la ville, près d'un an avant les faits.

Après l'attaque meurtrière au couteau survenue dans un supermarché de Hambourg le 28 juillet dernier, la police allemande poursuit son enquête sur le profil du suspect, un jeune Palestinien de 26 ans prénommé Ahmad A, né aux Emirats arabes unis et arrivé en Allemagne en mars 2015. De son côté, la presse outre-rhénane mène également l'enquête et vient de découvrir que le jeune réfugié en question, connu des autorités pour son fanatisme religieux depuis au moins un an avant les faits, aurait été approché par les services secrets qui auraient tenté de le recruter comme informateur.

Après que les enquêteurs ont confirmé que la radicalisation de l'assaillant était connue des services de police, l'hebdomadaire Der Spiegel a révélé que la police criminelle fédérale (LKA) avait envoyé l'un de ses employés à Hambourg en juin 2016 dans le but précis d'y rencontrer les migrants hébergés dans un centre d'accueil et de déceler parmi eux de potentiels individus radicalisés. Déjà à l'époque, la direction du centre avait prévenu le LKA du comportement «étrange et potentiellement dangereux» d'Ahmad A. Ce dernier, abordé par l'agent du LKA, aurait refusé de collaborer avec les autorités allemandes.

Toujours selon l'hebdomadaire allemand, les membres du centre Legato, spécialisé dans les cas de «radicalisation religieuse», auraient à cette même période informé les autorités du cas de ce jeune Palestinien. Ils se seraient dits «débordés» par celui-ci, soulignant ses «problèmes psychologiques». En septembre 2016, ce sont les autorités municipales qui ont cette fois prévenu les services du LKA quant à un éventuel départ d'Ahmad A. pour la Syrie. La police des douanes avait été prévenue de ne pas le laisser sortir du pays.

Ahmad A, dans les jours qui ont précédé son acte, aurait informé un serveur d'un café jouxtant le supermarché dans lequel il a mortellement poignardé une personne, de ses intentions : «La terreur va frapper ici», avait-il déclaré, sans que l'employé n'y prête attention. Der Spiegel révèle en outre qu'Ahmad A. consommait régulièrement du cannabis et de l'alcool.

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Ahmad A., le tueur de Hambourg : un terroriste venu avec les migrants !

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Par  ( Journaliste carte de presse allemande et russe pour die Junge Freiheit, Novorossia Today, Infovision (2 agences de Donetsk), agences basées en Hollande et en Croatie. Ancien journaliste à la Voix de la Russie pour la rédaction allemande et française, BZ.Zeitung, Pro-Sieben, RTL.)

Un migrant, Ahmad A., 26 ans, a tué une personne, un homme de 50 ans, et blessé 6 autres personnes en plantant un long couteau dans les victimes en hurlant Allahu akbar ce vendredi 28 juillet à Hambourg. D’après les informations allemandes Ahmad A. était venu comme migrant en Allemagne avec les autres migrants. « Comme Ahmad n’avait plus de papiers, il ne pouvait pas être renvoyé », écrit la presse allemande.

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Suite

Hambourg: l’agresseur connu comme “islamiste” par la police.

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Tout est donc "sous contrôle en Allemagne avec Merkel"... pourtant les sites de réinformation avaient bel et bien mis en garde depuis des années.

Mais il est vrai qu'ils portent l'étiquette "d'extrémistes". Ils ne peuvent donc pas avoir raison dans l'esprit des protagonistes de gauche.

Pendant ce temps, un ministre allemand prétend que les Allemands qui sont opposés à l'immigration doivent être jetés en prison et l'UE continue à persécuter les pays qui sont opposés à l'immigration musulmane.

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L'homme de 26 ans, qui a tué au couteau une personne et en a blessé plusieurs autres vendredi à Hambourg en Allemagne, était connu de la police comme "islamiste", a révélé samedi le ministre de l'Intérieur de la ville.

La veille, l'assaillant avait attaqué des gens qui faisaient leurs courses ou se promenaient dans une rue très commerçante d'un quartier du nord de Hambourg.

Selon la police, il a pénétré dans un supermarché, a volé un couteau de cuisine avec une lame de 20 centimètres et s'est jeté sur un homme de 50 ans en le poignardant mortellement. Il a ensuite blessé deux autres clients à l'intérieur du magasin puis a pris la fuite dans la rue, où il a blessé à coups de couteau d'autres passants.

Il a été poursuivi par des badauds et finalement maîtrisé.

"Il était connu comme islamiste mais pas comme djihadiste" des services de sécurité, a déclaré à la presse Andy Grote, soulignant qu'il était considéré comme "un cas suspect" suite à "des éléments montrant une radicalisation" religieuse.

Mais dans le même temps, il a fait état d'une "instabilité psychologique" de cet homme originaire des Emirats arabes unis. Au final la situation reste "confuse" et il n'est pas encore possible de savoir "lequel des éléments a constitué l'élément déclencheur", a-t-il souligné.

Selon Andy Grote, il s'agit d'un demandeur d'asile qui n'a pu être expulsé car des doutes subsistaient sur son identité.

"Colère"

Le maire de Hambourg, Olaf Scholz, a révélé en effet que l'auteur de ce qu'il a dénonce comme un "attentat odieux" était un demandeur d'asile débouté. Mais qui n'avait pu être reconduit à la frontière faute de documents en règle.

"Ce qui me rend encore plus en colère est que l'auteur est manifestement quelqu'un qui cherchait refuge en Allemagne et qui a détourné sa haine contre nous", a-t-il dit vendredi soir.

"Il s'agit manifestement d'un étranger en instance de départ mais qui ne pouvait pas être expulsé parce qu'il n'avait pas de documents d'identité", a-t-il regretté.

Politiquement, ce point est très délicat pour les autorités allemandes.

S'il se confirme que l'attaque au couteau est un attentat à motivation islamiste, le lien sera inévitablement fait avec le précédent acte de ce type, l'attaque au camion-bélier contre le marché de Noël à Berlin en décembre (12 morts).

Elle avait été commise par un Tunisien, Anis Amri, qui était dans une situation juridique identique: demandeur d'asile débouté, il n'en demeurait pas moins en Allemagne car sans papiers. La Tunisie, pendant plusieurs mois, n'avait pas reconnu qu'il était l'un de ses ressortissants.

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G20: Merkel veut que les contribuables allemands paient les dégâts de l’extrême-gauche (Plus de 200 policiers blessés)

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Sécuriser une réunion réunissant le gratin mondial mais abandonner le peuple face à la violence des migrants, de l'extrême gauche et des islamistes. C'est ce que proposent aujourd'hui nos dirigeants.

Merkel accuse un passé communiste. Il est donc logique qu'elle fasse passer à la caisse les contribuables pour les violences de ses amis. Quant à penser qu'une telle femme puisse protéger son pays de l'islamisation, élément encore plus violent, cela tient de la plaisanterie.

Enfin, comme à l'accoutumée, la gauche prétend qu'il s'agit d'éléments perturbateurs alors que chaque manifestation de l'extrême gauche est synonyme de violences et de dégradations (Paris, Berne, Genève...): le mensonge et l'inversion habituels.

Qui plus est, les "anticapitalistes" ont clamé clairement leurs buts avant le G20 par leur slogan "Bienvenue en Enfer".

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Les auteurs des violences lors du G20 ne doivent pas payer les dommages causés. Ce sont les contribuables allemands qui doivent le faire.

La chancelière Angela Merkel a promis de "l'aide et de l'indemnisation" le plus rapidement possible aux victimes des émeutes en marge du sommet du G20.

Samedi, à la fin du sommet du G20 à Hambourg, Merkel a déclaré, conjointement avec le Ministre des Finances Wolfgang Schäuble (CDU), qu'ils allaient "examiner comment ils pouvaient aider les victimes des violences." Les discussions concernant l'aide fédérale devraient commencer très rapidement.

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Slogan du Black Block: ils n'ont jamais caché leurs intentions pendant le G20 https://g20tohell.blackblogs.org/international-anticapitalist-demonstration/

Mais la question la plus intéressante est de savoir pourquoi : Dans un Etat de droit où le principe du pollueur-payeur est valable, celui qui cause des dommages doit aussi en répondre.

(...)

"Les résultats de la réunion ont été possibles parce qu'un grand nombre de policiers et d'autres services d'urgence ont sécurisé la réunion", a souligné la chancelière. "Ils devaient protéger ce sommet, tout en garantissant le droit à des manifestations pacifiques, une tâche très difficile. ils l'ont fait à la fois".

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Extrême gauche à Hambourg: Pillages et violences. Une quasi zone de guerre (Vidéos inédites)

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Remarquez que nos médias romands évitent de pointer l'idéologie de gauche dans cette violence gratuite alors que ces racailles se réclament du mouvement anarchiste.

Voici quelques vidéos de la ville de Hambourg qui ressemble plus à une zone de guerre qu'à autre chose.

 

A gauche les gentils extrémistes de gauche, à droite les méchants Allemands de Pegida, 

 

 

 

 

 

 

 

Anarchistes arborant leurs drapeaux, comme si tout dévaster était une fierté. Ils sont interpellés par un Allemand énervé.

 

 

 

 

 

 

 

 

Allemagne : l’Etat islamique revendique un attentat à Hambourg

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Deux adolescents avaient été poignardés le 16 octobre. Selon l’organisation terroriste, l’auteur des faits a agi « en réponse aux appels à cibler les citoyens des pays de la coalition ».

Le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué, dimanche 30 octobre, une attaque à l’arme blanche commise il y a deux semaines à Hambourg, dans le nord de l’Allemagne, ayant provoqué la mort d’un adolescent. L’agence Amak, un des médias de l’organisation djihadiste, précise qu’« un soldat de l’Etat islamique a poignardé deux individus dans la ville de Hambourg le 16 octobre ». L’agence ajoute qu’il a agi « en réponse aux appels à cibler les citoyens des pays de la coalition ».

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Le couple était assis sous un pont de Hambourg lorsque le jeune homme a été poignardé, et que la jeune fille s'est jetée dans cette rivière. Capture d'écran Google street view

Une des deux victimes, un adolescent de seize ans poignardé à plusieurs reprises dans le dos, a succombé à ses blessures après avoir été hospitalisée. Une adolescente de quinze ans qui l’accompagnait a réussi à s’enfuir.

La police de Hambourg n’a fait aucun commentaire sur cette revendication, renvoyant simplement au communiqué publié peu après l’attaque. Elle faisait alors état d’un assaillant « d’apparence méridionale » âgé de 23 à 25 ans. « Le motif du crime n’est pas connu et fait l’objet d’investigations », avait alors dit la police.

Source

Allemagne : Affrontements ethniques dans des foyers pour migrants

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Deux jeunes réfugiés ont été blessés dans la nuit de dimanche à lundi dans deux foyers d’accueil différents situés à Hambourg, a annoncé la police locale.

Un Afghan de 18 ans a été « sévèrement blessé à la tête » après une rixe qui a opposé « quarante à cinquante personnes » divisées en deux groupes armés de barres d’aluminium dans le centre d’accueil de Rugenbarg, a expliqué la police.

La raison de l’affrontement reste inconnue, précise la police qui a interpellé trois hommes âgés de 18 à 23 ans soupçonnés d’avoir blessé le jeune homme.

Un Iranien de 24 ans a par ailleurs été « sévèrement blessé » dimanche soir par un réfugié afghan armé d’une « matraque télescopique » dans le foyer d’Eidelstedt, toujours à Hambourg, a annoncé la police locale dans un communiqué distinct.

Source via CivilWarInEurope

Allemagne: Hambourg permet la saisie de propriétés commerciales pour loger les migrants

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Hambourg est devenue la première ville allemande à adopter une loi permettant la saisie de propriétés commerciales vides pour les migrants.

L'afflux de migrants a fait pression sur les autorités de la ville septentrionale afin de trouver un logement. Certains migrants dorment à la dure en plein air.

La loi de Hambourg prend effet la semaine prochaine.

Dans un communiqué séparé, les procureurs ont déposé des accusations d'incitation à la haine raciale contre un co-fondateur du mouvement anti-islamique Pegida.

Les procureurs de la ville orientale de Dresde ont déclaré que Lutz Bachmann avait décrit sur sa page Facebook les demandeurs d'asile comme des "déchets" et  des "animaux".

Les membres de Pegida (Patriotes européens contre l'islamisation de l'Occident) ont organisé un certain nombre de rassemblements durant les derniers mois, attirant des dizaines de milliers de personnes.

Pendant ce temps, une nouvelle enquête menée par la chaîne ARD a déclaré que pour 51% des personnes l'afflux de migrants leur faisait peur.

Source Traduction Lochaberaxe pour Les Observateurs.ch