L’impossible dialogue avec l’islam

   
Michel Garroté  --  "Préfacé par le Père Boulad, le livre "Quel dialogue possible avec l'islam du Coran ? Point de vue d'un catholique" (livre de Pascal Raines), est un outil indispensable pour toute personne qui souhaite établir un dialogue authentique et en vérité avec des musulmans car il va au fond des choses, en toute honnêteté et sans parti pris", peut-on lire sur le site Internet catholique français Le Salon Beige [pour ce qui me concerne, le dialogue avec l'islam me semble impossible, puisqu'il a échoué au cours des 40 dernières années...].
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Son auteur, Pascal Raines, a accepté de présenter son ouvrage [aux lecteurs du Salon Beige ; ci-après, extraits de la présentation de l'ouvrage ; voir liens vers sources en bas de page] : L’islam nous est présenté comme une religion d’amour, de tolérance et de paix par d’éminents responsables musulmans. Pourquoi donc les proclamations belliqueuses, les menaces et les attentats perpétrés au nom d’Allah ?
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Comment comprendre des comportements, des discours et des actes aussi opposés de la part des musulmans ? Le monde islamique est complexe. Pour autant, le Coran est et restera la source première et ultime de toute pensée musulmane. Le Coran, c’est la parole même d’Allah ; elle n’est pas sujette à interprétation ou modification. Tout découle du Coran. Le connaître, c’est connaître l’islam dans ses fondements. Et seulement sur cette connaissance préalable, un possible dialogue dans la vérité pourrait alors être envisagé et s’engager.
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Connaître le Coran dans ses principes :
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Le Coran n’est pas si compliqué à comprendre à condition de connaître les clefs de compréhensions que la plupart des Occidentaux ignorent malheureusement. Il y a deux périodes fondamentales dans le Coran et elles coïncident avec l’histoire de Mahomet et de la révélation. Il y a l’époque où Mahomet se trouve à la Mecque (610-622), c’est la première période ; il prêche alors un islam relativement modéré et tolérant. La deuxième est celle où Mahomet est à Médine (622-632) ; il est alors en position de force et l’islam annoncé est conquérant, violent, voire haineux contre tout non-musulman. Inévitablement, les versets des deux périodes se contredisent.
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Le conflit est résolu par la règle fondamentale de l’abrogeant-abrogé avalisée par al-Azhar. Elle repose sur deux versets essentiels (sourate 2, verset 106 et S. 16, v. 101) dans lesquels Allah annule l’autorité des versets de la première période de la Mecque au profit de ceux de la deuxième de Médine. En d’autres termes, seules les sourates violentes et belliqueuses de Médine sont à appliquer véritablement. Parmi ces versets belliqueux, on peut citer tout particulièrement le 9:5 « le verset de l’épée » et le 9:29 « le verset du combat » qui abrogent à eux seuls plus d’une centaine de versets plus ou moins conciliants.
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La dissimulation recommandée par Allah :
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La taqiya (la dissimulation) est un autre aspect capital du Coran que les Occidentaux méconnaissent. Elle régit les relations que les musulmans doivent avoir avec les non-musulmans. Le principe de la taqiya se retrouve en particulier dans le verset 3:28 : « Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion de Dieu, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux. » Le musulman pour protéger sa foi ou induire en erreur l’infidèle peut et doit mentir, dissimuler ses intentions s’il n’est pas en position de force : c’est une injonction d’Allah et du Prophète. Un exemple précis est cette phrase qui revient fréquemment dans la bouche des dignitaires religieux musulmans : « Tuer un homme revient à tuer l’humanité ». Il est sans doute important de s’y arrêter. Cette phrase a notamment été prononcée lors de la rencontre de centaines de responsables musulmans réunis à Paris à l’appel du CRCM (Conseil Régional du Culte Musulman) Rhône-Alpes le 29 nov. 2015 suite aux attentats du 13 nov. 2015 à Paris.
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« Tuer un homme revient à tuer l’humanité » se fonde sur le verset 5:32 : « Nous avons prescrit pour les Enfants d’Israël [aux Juifs] que quiconque tuerait une personne non coupable d’un meurtre ou d’une corruption sur la terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes ». On constate que les propagandistes ont omis « pour les Enfants d’Israël » qui restreint la portée humaniste et pacifique voulue. Mais cette omission est capitale et se précise avec le verset suivant (5:33) : « La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. » En d’autres termes, ceux qui touchent aux valeurs essentielles de l’islam doivent s’attendre au pire. Il est donc clair que le Coran ne dit nullement que « tuer un homme revient à tuer l’humanité » puisqu’on peut l’exécuter pour défendre la suprématie de l’islam. Ces dignitaires religieux musulmans – qui connaissent le Coran – détournent sciemment le sens véritable d’un verset pour induire en erreur et tromper ; ils usent indéniablement de la taqiya, de la dissimulation et de la diversion. C’est ce que Allah leur demande.
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Les appels à la violence dans le Coran sont réels et abusivement minimisés :
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Face aux appels à la violence, à l’épuration religieuse exigée par Allah dans le Coran, il est courant d’entendre dire qu’un problème de traduction serait incriminé, qu’il faudrait considérer le contexte et que la Bible elle-même n’est pas exempte de violence. La langue originelle du Coran est l’arabe littéraire. Les traductions présentent souvent de minimes différences entre elles, mais pas au point de faire des contresens. En d’autres termes, le consensus des multiples traductions ne peut trahir le sens véritable du Coran. Dans Quel dialogue possible avec l’islam du Coran ?, l’auteur utilise simultanément pas moins de cinq traductions et notamment celle d’Hamidullah qui fait autorité. Le lecteur de la Bible sait très bien qu’il ne faut jamais interpréter un verset seul, mais le comprendre dans le contexte, notamment historique du passage, du livre lui-même. Avec ses soixante-treize livres de styles très différents et un temps de rédaction de presque quinze siècles, la Bible nécessite de bien connaître le contexte pour l’appréhender correctement. Ce principe d’interprétation est tout aussi valable pour le Coran.
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Il est toutefois beaucoup plus facile à mettre en application, car le Coran – selon la tradition islamique – n’a que Mahomet pour auteur qui n’a écrit que sur une vingtaine d’années (« a été sous la dictée » disent les musulmans). Dès lors, étudier le contexte d’un verset coranique se résume finalement à examiner les versets voisins pour avoir la signification de ce que dit réellement le Coran. Les hadiths (les paroles et les actes de Mahomet et ses compagnons transmis par la tradition musulmane) viennent appuyer le Coran, mais ne peuvent jamais le contredire. Le Coran s’achève avec les sourates médinoises par de multiples appels à la violence et au meurtre qui n’ont pas de limites dans le temps et l’espace et dont la valeur reste pleinement actuelle. L’exemple du verset « Ô Prophète, incite les croyants au combat », (8:65) est significatif à cet égard. Il a été donné à un moment précis, celui de la bataille d’Ohod. Mais ce moment donné n’est pas précisé dans le Coran afin de souligner que c’est un ordre hors du temps venant d’Allah, toujours valable et pas seulement lié à un événement particulier, d’autant plus que le Coran est considéré par les musulmans comme incréé, éternel, préexistant. Le Coran est clair ; Mahomet a été dicté par Allah (97:1) à travers l’ange Jibrīl (Gabriel), par des révélations (42:51), à la différence des prophètes inspirés de la Bible. Le Coran n’est donc sujet à aucune erreur et ne peut être contesté. Du coup, la tutelle d’Allah est immédiate sur le texte coranique et lui donne une force (supposée) divine qui cautionne la violence et empêche toute réforme. Les réformateurs de l’islam n’ont jamais pu influer sur la tradition musulmane. Ils rassurent en vain sur une hypothétique et chimérique modernisation du Coran et la réforme de l’islam.
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Les musulmans et le Coran :
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« Le combat vous a été prescrit alors qu’il vous est désagréable », (2:216). Allah dédouane même les jihadistes de leurs méfaits : « Ce n’est pas vous qui les avez tués : mais c’est Allah qui les a tués. » (8:17). Et même si comparativement, il y a peu de gens prêts à suivre Allah dans ses injonctions guerrières, ces personnes sont perçues par les pieux musulmans eux-mêmes comme des héros et des martyrs puisque Allah en personne les bénit : « Dieu a mis les combattants au-dessus des non-combattants en leur accordant une rétribution immense ; des grades de supériorité de Sa part ainsi qu’un pardon et une miséricorde. Dieu est 'pardonneur' et miséricordieux » (4:95-96). Vous l’avez compris : il y aura toujours des « extrémistes » et des « fondamentalistes » musulmans dès lors que le Coran existe.
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La oumma (la communauté des musulmans) peut tenter de pondérer et de raisonner les croyants en son sein, mais ne peut freiner le zèle obscurantiste des individus les plus conservateurs et réactionnaires seuls face au Coran. La dangerosité du Coran est un fait largement occulté dans les médias (tabou pour tout dire). Nous n’avons donc malheureusement pas fini avec la violence et les attentats en lien direct avec le Coran qui pousse à de tels actes. Aimer les musulmans en tant que frères en humanité, mais dénoncer le Coran qui la déchire par ses versets violents et dont le sens et la valeur demeurent d’actualité. Il n’y a pas, semble-t-il, d’autre solution au redoutable problème des « extrémistes » islamiques pour le chrétien que je suis. À l’image du Christ qui a aimé tout être humain pour ce qu’il est, tout en dénonçant parfois ses actes ou ses comportements [fin des extraits adaptés de la présentation de l'ouvrage ; voir liens vers sources en bas de page].
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Adaptation et mise en page de Michel Garroté pour Les Observateurs
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"Quel dialogue possible avec l’islam du Coran ? Point de vue d’un catholique" :
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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http://www.lulu.com/shop/pascal-raines/quel-dialogue-possible-avec-lislam-du-coran-point-de-vue-dun-catholique/paperback/product-23057606.html
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Allemagne : un musulman perturbe des obsèques chrétiennes, maudit les chrétiens et récite le coran dans l’église.

L’affaire s’est déroulée le 1er février dernier dans la Christuskirche, l’église évangélique luthérienne de Schnaittach en Bavière.

Une cérémonie d’obsèques qui s’y tenait, a été perturbée par un musulman de 33 ans originaire des Balkans mais dont l’identité n’a pas été révélée par les autorités.

Alors que le Pasteur cette église, Wilfried Roemischer, commençait à prononcer l’eulogie du défunt, l’homme qui était déjà présent avant le début de la cérémonie insista pour prendre la parole. Cela lui ayant été refusé, il insulta le pasteur : « Je te maudis, toi et ta religion ».

Puis il se mit à réciter à haute voix et en arabe de versets tirés du coran. L’homme quitta l’église quand le pasteur demanda à un employé des pompes funèbres d’appeler la police.

Des témoins ont raconté l’avoir entendu dire qu’il était entré dans l’église « au nom du prophète pour proclamer le message d’Allah aux infidèles ».

Il a été arrêté par la police locale et a subi un interrogatoire, mais on ignore s’il a été inculpé. Selon un média local, l’homme, vivant en Allemagne depuis des années mais résidant depuis peu à Schnaittach, aurait un lourd casier judiciaire : coups et blessures graves, crimes contre la propriété…

Source Via CivilWarInEurope

Source allemande 1 et 2

En Ecosse, le Coran a été lu pendant le culte à l’Epiphanie dans une cathédrale

Scandale chez les protestants écossais (…) La congrégation rassemblée pour la célébration de l’Epiphanie à la cathédrale Sainte-Marie des épiscopaliens à Glasgow a eu la surprise d’entendre la version musulmane de la conception de Jésus telle que la relate le Coran, chantée par une musulmane très active dans le « dialogue inter-religieux », Madinah Javed (…) le fait est singulièrement choquant et il en dit long sur la confusion qui règne en Occident.

Le chant de la sourate 19 a donc « révélé » aux chrétiens comment les musulmans partagent l’histoire de la naissance du Christ, annoncée par l’ange comme un don et un prophète de Dieu. Joli terrain d’entente islamo-chrétienne, n’est-ce pas ?

Mais il y a des différences de fond. La première concerne l’annonce de l’ange Ghibril : elle ne s’accompagne d’aucune demande de sa part, d’aucun questionnement ni acquiescement de la jeune femme qu’il interpelle : la chose est annoncée, voilà tout. En islam, il n’y a pas de libre adhésion à la volonté divine…

La réaction de « Myriam » à la naissance d’« Issa » (le nom ne correspond d’ailleurs pas à Jésus, mais à un personnage plus ancien de la Bible) est « la honte », selon la sourate 19. Selon le récit coranique, le nouveau-né lui parle depuis son berceau pour dire qu’il est un « serviteur d’Allah ».

Dire que Jésus est Fils de Dieu est pour les musulmans le pire des blasphèmes, et justifie leur exécration des chrétiens « associateurs » qui croient en un Dieu-Trinité.

Le site de la cathédrale Sainte-Marie de Glasgow raconte l’événement en le qualifiant de « merveilleux » ; « Les chrétiens ne sont pas les seuls qui croient en Jésus », affirme-t-il benoîtement.

Le P. Dwight Longenecker, prêtre et blogueur catholique converti du protestantisme, s’offusque de cette « stupidité » absolue. Et il demande, pointu : « Quel musulman – et même le plus libéral des musulmans – envisagerait donc la seule idée de laisser une jeune fille chrétienne se tenir debout dans la mosquée pour psalmodier un passage de l’Evangile de saint Luc ? » Poser la question… (…)

Source Via CivileWarInEurope

Autriche : le migrant musulman appelle à tuer les infidèles lors d’un spectacle de l’Avent

Oberndorf- Le demandeur d’asile qui était monté sur scène un Coran à la main lors d’une représentation théâtrale, a été arrêté dans la nuit de mardi. Il a avoué être adepte d’une milice terroriste.

« Dans ses déclarations à la police, l’auteur a reconnu sa proximité avec la milice terroriste Al-Nosra. Lors de l’incident, il a également appelé à  » tuer les infidèles  » a expliqué Christian Hubmer, assistant du procureur Welser (…)

Krone.at

L’individu est monté sur scène au cours de la représentation théâtrale, en a fait sortir les enfants, puis a sorti un Coran pour prêcher. Deux hommes présents dans le public sont intervenus pour chasser l’homme de la scène. « Les enfants étaient très anxieux et totalement pétrifiés, nous étions également terrifiés pour eux », a déclaré un témoin de l’incident.

Dans un premier temps, personne n’a réagi quand le Somalien qui assistait au spectacle de l’ »Oberndorfer Advent », donné dans la salle de spectacle locale, est monté sur scène pour se poster juste à côté des enfants de la maternelle. Mais quand, procédant par petits gestes, il a invité les enfants à partir, sorti un Coran d’un sachet plastique et commencé à prêcher, de nombreux parents se sont brusquement retrouvés en état de choc.

Juste avant son arrestation, le Somalien a crié à plusieurs reprises « Allah Akbar »

Deux frères ont alors précipité le Somalien hors de la scène. Ce dernier a violemment riposté, puis s’est adressé à plusieurs reprises à des témoins qui avaient peur qu’à l’intérieur de son sac à dos ne soient cachées des armes à feu « Allah Akbar ! » : « Vous ne savez jamais ce qui peut se passer. »

Les parents présents, dont un officier de police, ont rétabli l’ordre en emmenant le « prédicateur » à l’extérieur. Alertés, les policiers ont rapidement établi que l’individu d’origine somalienne résidait depuis deux ans dans le quartier de Schwanenstadt et qu’il souffrait d’une « maniaco-dépression » en cours de traitement.

 » Cet incident doit être évalué à la lumière de sa maladie »

Son sac à dos ne contenait heureusement que des vêtements.  » Cet incident doit être évalué à la lumière de sa maladie « , a expliqué le pasteur Helmut, qui dirige l’école maternelle Caritas. Les enfants sont désormais remis de leurs émotions, ont quant à eux assuré les enseignants de l’école.

Krone.at

 

Suisse: Des villes veulent interdire la distribution de Corans

9L'action du gouvernement allemand contre les milieux salafistes mardi pousse les autorités suisses à réagir. Si des interdictions au niveau fédéral, voire cantonal, sont difficilement envisageables, des villes alémaniques songent à franchir le pas, comme l'explique le Tages-Anzeiger dans son édition du 16 novembre 2016.

Elles pourraient s'inspirer des municipalités argoviennes. La ville de Brugg a interdit les distributions de Coran depuis juin 2012. «Il est apparu que des islamistes radicaux étaient à la manoeuvre», a expliqué le président de la ville Daniel Moser. «Mais nous sommes en général plutôt restrictifs et cela concerne aussi les scientologues ou les bibles de Gédéon.» Plus aucune demande de la part de «Lis» n'a par la suite été déposée.

Source et article complet

France: « Je vais tous vous tuer, sur le coran. Je vais faire ce que j’ai à faire au nom d’Allah »

En lançant aux policiers : « Je vais tous vous tuer, sur le coran ». « Je vais faire ce que j’ai à faire au nom d’Allah ». « Regardez bien la télé, ce qui se passe à Digne, ça sera le record. Je vais mettre le sang dans cette ville », ou encore « Mohamed Merah, c’est un gamin à côté de ce que je vais faire »…, le prévenu savait pertinemment que de tels propos le conduiraient tout droit en correctionnelle. Hier donc, il est venu répondre d’« Apologie publique d’un acte de terrorisme ».

Il devait également répondre de quatre autres délits : « Recel de vol, conduite malgré la perte totale de points, en récidive », « Mise en circulation d’un véhicule malgré immobilisation », ainsi que « Menace de crime à l’encontre d’un magistrat » en juillet 2015. [...]

Il a une explication pour tout. [...] Le psychiatre qui a examiné le prévenu note que celui-ci « ne présente pas de signes de radicalisation islamique » et « un état faiblement dangereux. Peut-être plus pour lui-même que pour autrui ».

[...] Il a pourtant été condamné pour « violence sur conjoint ». Son casier judiciaire comporte 19 mentions pour divers vols, délits routiers, stupéfiants. [...] « Il dit qu’il vit dans un pays de racistes, un pays de merde » [...] Le tribunal a requalifié le délit en « Menaces de mort » et condamné Belladj à 2 ans de prison ferme avec maintien en détention et recommandation de soins. [...]

La Provence

Belahdj Mehidi, un maçon manosquin de 31 ans.

[... « C’était sur le coup de l’énervement », plaide à la barre cet homme à l’allure élancée, souffrant d’une psychose schizophrénique, « qui se prend pour Ben Laden », d’après l’expert psychiatrique. [...]

Le Dauphiné Libéré via Fdesouche.com

Hamed Abdel-Samad, ex-musulman et écrivain: « Daech a tout à voir avec l’histoire de la conquête musulmane » (Vidéo)

Émission de la chaine de télévision allemande ZDF: une déclaration tout simplement impensable sur la RTS.

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Hamed Abdel-Samad: "Daech a tout à voir avec l'histoire de la conquête musulmane. Il y avait des chrétiens en Syrie et en Irak. On leur offrait le choix entre se convertir à l'islam ou payer la jizya (racket islamique) ou être tués. Et les gens de Daech ont continué à faire cela, c'est l'histoire islamique.

C'est le Coran. 25 versets du Coran sont des ordres directs d'Allah de tuer les incroyants.

La décapitation des incroyants est mentionnée deux fois dans le coran et VOUS venez dire ici que ça n'a rien à voir avec l'islam?! Pas étonnant que tant de personnes en Allemagne soient confuses. Non seulement à cause des terroristes qui commettent des actes si cruels, mais aussi parce que les musulmans soi-disant modérés balayent cela sous le tapis et ce faisant renforcent les fondamentalistes. Je critique le fait que la peur de ces gens est toujours appelée "islamophobie", parce que la "phobie" est une maladie et ces gens ne sont pas malades : ils ont des peurs justifiées quand ils voient ce qui se passe."

Rappel: Martine Brunschwig Graf, Présidente de la Commission fédérale contre le racisme: «J’ai lu le Coran avec des commentaires. Je n’ai pas vu le rejet des autres religions»

L’islam enseigné à nos enfants – Un désastre

Michel Garroté - Les chrétiens d'Orient ? Les manuels scolaires ne connaissent pas. Vincent Badré relate : La réalité des manuels d’histoire est plutôt celle d’une grande prudence pour éviter les polémiques sur les questions sensibles. Ils édulcorent la présentation des violences associées à l’islam et chantent la gloire des sciences à Bagdad au 9e siècle sans jamais préciser l’apport de chrétiens Syriaques et Chaldéens, de Juifs et d’Indiens dans cette réussite. La double page présentée ici montre par exemple la mosquée de Damas (Belin 5e pp 36-37). Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, réagit également à l'islam enseigné à nos enfants. Commençons, ci-dessous, par Vincent Badré.
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Vincent Badré (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Elle ne dit pas qu’elle a remplacé une église construite sur les ruines d’un temple païen et que son architecture doit beaucoup à l’art des chrétiens d’orient. Les manuels et sans doute l’enseignement de beaucoup de professeurs restent dans le consensus. La tradition scolaire française peine à montrer des divergences d’analyse et des débats sur un sujet d’études. Elle a aussi du mal à montrer des analyses sociologiques, culturelles ou ethnologiques, ajoute Vincent Badré (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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A propos de l'islam tel qu'enseigné à nos enfants, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, réagit, de son côté, comme ceci (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : les objectifs de la conquête ne sont jamais exposés aux élèves, or la conquête territoriale est consubstantielle à la naissance de l'islam et les propos de Mohamed dans le Coran et la Sunna sont sans ambiguïté: l'islam est prosélyte, a vocation à éclairer l'humanité, la conquête territoriale en est le principal instrument. Cette fusion du politique et du religieux doit être soulignée si l'on veut éclairer certains discours fondamentalistes actuels pour les déconstruire. Ici la notion de jihad devrait être abordée, elle sert dès le début de l'islam à une justification religieuse de la conquête de type impérialiste - tout à fait banale à l'époque - constituée de pillages, de massacres et de colonisation.
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Barbara Lefebvre : L'ouvrage de Sabrina Mervin est utilisé à plusieurs reprises pour présenter les conquêtes, mais cet ouvrage n'est pas un livre d'histoire factuelle, il a un objet d'étude singulier à savoir l'histoire des doctrines de l'islam et leurs représentations. Elle insiste dans sa préface sur le fait que son livre ne retrace «pas l'histoire politique ou sociale du monde musulman» or c'est exactement ainsi que des extraits sont utilisés dans les manuels, pervertissant le travail de l'historienne. Les citations de l'ouvrage montrent un projet théocratique parfait, réalisé sans entrave, là où l'historienne décrit une représentation sociale de ce projet par les doctrinaires musulmans. La partie leçon d'un manuel [Hachette] va plus loin dans l'approximation : «Les califes musulmans prennent le contrôle d'un très vaste territoire peuplé de populations nomades.
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Barbara Lefebvre : Pour contrôler cet ensemble ils développent les villes où s'installent les émirs». En quoi les peuples d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient préislamique [judaïsme, christianisme, empires perse ou romain], sédentaires depuis des siècles, ayant développé des civilisations urbaines prestigieuses furent-ils des «nomades» à l'instar des tribus bédouines d'Arabie islamisées par Mohamed ? Alexandrie, Jérusalem, Damas, Yarmouk, Le Caire, Mossoul et tant d'autres ne sont pas des villes fondées par les conquérants arabes à ma connaissance. Ils ont redessiné le paysage urbain pour l'islamiser mais n'ont pas fondé ces villes qui ont gardé de nombreuses traces, notamment archéologiques, d'un glorieux passé préislamique.
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Barbara Lefebvre : De telles erreurs dans des manuels d'histoire laissent perplexe. Il y aurait beaucoup à dire sur la façon dont le contact belliqueux entre Chrétienté et Islam est décrit autour de l'épisode des croisades. On retiendra notamment dans un manuel [Hatier] que dans la leçon titrée «La violence des guerres saintes», les auteurs ne rendent compte que de la Reconquista espagnole et des croisades, à travers par exemple les crimes des Croisés comme le sac de Constantinople en 1204. Le jihad n'est pas du tout évoqué dans cette leçon inscrite pourtant dans le chapitre sur l'islam. Il est déconcertant de voir que les manuels utilisent la source musulmane sans appareil critique pour offrir une vision idyllique des relations entre Musulmans et non Musulmans.
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Barbara Lefebvre : On trouve des textes de différents auteurs arabes médiévaux que l'élève est amené à accepter de facto. Par exemple, cette citation d'Al-Baladhuri datant du 9è siècle est utilisée dans plusieurs manuels et dépeint juifs et chrétiens acceptant l'invasion musulmane de la Syrie comme une bénédiction : "les habitants ouvrirent les portes de leur ville sortir avec les chanteurs et les musiciens qui commencèrent à jouer et payèrent la capitation .La seule question posée à l'élève est « Comment les musulmans sont-ils accueillis ? ». L'élève doit paraphraser l'auteur, prenant ses dires pour une vérité, objet d'une généralisation plus loin dans la leçon du manuel. C'est comme si on apprenait la vie de Charlemagne uniquement à travers la chronique d'Eginhard.
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Barbara Lefebvre : D'autres textes arabes sont exploités présentant la conquête de Jérusalem par Omar puis Saladin comme une libération des oppresseurs byzantins ou un acte de pacification. On passe sous silence que pour les chrétiens, majoritaires dans ces régions au haut Moyen Âge, la conquête islamique signifiait la perte de souveraineté, et pour les nombreuses communautés juives il s'agissait de passer d'un oppresseur à un autre. Donc quand on lit : « dans les territoires dominés par les Arabes, les populations se convertissent peu à peu à l'islam », on a le sentiment que rien n'est fait pour éclairer les conditions de cette islamisation qui, à l'instar d'autres conquêtes antiques ou médiévales, signifiait la dépossession des autochtones de leur souveraineté, de leur droit de propriété, leur soumission sociale et culturelle.
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Barbara Lefebvre : En Espagne, par exemple, les Chrétiens ont résisté comme à Tolède en 713, et les représailles furent féroces avec mutilations et crucifixions publiques. La façon dont les manuels évoquent la « coexistence » entre les trois religions sous domination musulmane est sinon fausse du moins partiale car elle n'éclaire pas les conditions de la soumission en parlant de « coexistence ». Dans un des manuels, on cite un chroniqueur arabe du 11e siècle, Saïd al-Andalusi, sans distance critique pour l'élève qui ainsi apprendra qu'avant l'arrivée des Arabes « ce pays ne savait pas ce qu'était la science et ceux qui l'habitait ne connaissaient personne qui se fut rendu illustre par son amour pour le savoir ».
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Barbara Lefebvre : Puis vient un passage sur l'apport des Arabes aux sciences anciennes et modernes par la traduction des savants grecs. Cette lecture apologique est corroborée par une consigne d'activité : « Montrer que la présence des musulmans d'Andalousie permet de développer les sciences et la philosophie grecque en Occident » et par la leçon qui répète que «les textes des auteurs antiques sont redécouverts en Occident par l'intermédiaire de leur traduction en arabe».
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Barbara Lefebvre : On passe sous silence un fait majeur : nombre de ces traducteurs étaient de langue arabe mais n'étaient ni des Arabes, ni musulmans. Ce furent des Juifs comme Maïmonide, ibn Tibbon ou Yossef Kimhi et surtout des Chrétiens principalement syriaques qui réalisèrent cette translation des savoirs antiques vers l'Occident, ajoute Barbara Lefebvre (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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Les manuels scolaires ignorent totalement les chrétiens d’Orient.


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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/09/lislam-racont%C3%A9-avec-complaisance-%C3%A0-nos-enfants-%C3%A0-l%C3%A9cole-de-telles-erreurs-dans-des-manuels-dhistoire.html
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Suisse: La distribution de Coran dans la rue inquiète

«Lis!», l'action de distribution gratuite de corans dans les rues joue un rôle central dans la radicalisation de jeunes gens en Suisse, selon des spécialistes.

Quel est le rôle joué par l'association «Lis!»? La question dérange, tant à la police, auprès des autorités municipales qu'au Service de renseignement de la Confédération. Et les réponses varient peu: «Nous ne pouvons pas nous exprimer à ce propos».

Lothar Janssen, président de l'Institut suisse pour l'évaluation de la violence, ne prend pas de gants. «'Lis!'» joue un rôle considérable dans l'entrée dans le radicalisme. Et ce partout où il est présent», déclare-t-il à l'ats.

Il s'agit là de l'état actuel des recherches, incontesté parmi les spécialistes. «Ces gens distribuent certes le coran de manière sympathique, mais ils sont tout sauf gentils. Ce sont des manipulateurs», illustre M. Janssen.

Il ne faut en effet pas se voiler la face: «Lis!» est très clairement un mouvement salafiste, courant fondamentaliste de l'islam sunnite. Il collabore étroitement avec le Conseil central islamique suisse (CCIS), Lothar Janssen en est persuadé. «Ils mettent en place un terrain favorable à la radicalisation des personnes instables.»

Source et article complet

Des droits de l’homme aux hommes sans droits

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Michel Garroté - Vous avez dit "droits de l’homme" ? Au temps de la guerre dite "froide" (100 millions de victimes à l'échelle planétaire en 40 ans), nos médias passaient sous silence les violations des droits de l'homme dans la sphère soviétique et se concentraient sur les violations des droits de l'homme dans les pays à régimes autoritaires pro-occidentaux.
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Aujourd'hui, nos médias passent sous silence les violations des droits de l'homme en terre dite terre d'islam et se concentrent sur les violations des droits de l'homme en Russie. Ils ne les dénonçaient pas en Russie au temps de l'URSS et maintenant ils les dénoncent parce que la Russie est devenue notre alliée, au moins tactique à court terme, voire stratégique à moyen et long terme.
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En somme, avec la guerre froide, puis, la guerre djihadique, nous vivons dans un monde où nos médias nous font passer systématiquement des droits de l'homme aux hommes sans droits. Laguerre froide était un jeu à somme nulle dans un monde bipolaire. La guerre djihadique est une guerre assymétrique dans un monde multipolaire. Et dans les deux cas, nos médias nous font glisser des droits de l'homme aux hommes sans droits.
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A ce propos, dans Valeurs Actuelles, Laurent Dandrieu écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : En France, Les magistrats se sont conféré "une fonction prophétique", au détriment du peuple. Détournés de leur but originel, les droits de l’homme empêchent aujourd’hui le peuple de se défendre contre l’immigration de masse. Avec la récente série d’attaques terroristes islamistes, la question de l’état de droit s’est retrouvée au centre des débats, et derrière elle, celle des droits de l’homme : sont-ils le symbole même de notre civilisation, ce à quoi il faut s’accrocher contre vents et marées sous peine de renier notre identité profonde, ou sont-ils devenus l’incarnation de notre impuissance, la figure d’une société incapable de se défendre parce qu’elle ne se réduit plus qu’à un assemblage de règles juridiques dont la finalité a été perdue de vue ?
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Laurent Dandrieu : Dans ce débat, le petit essai de Jean-Louis Harouel, les Droits de l’homme contre le peuple, fournit un aliment indispensable pour la réflexion. Le titre est sans équivoque, la thèse limpide. C’est celle d’un dévoiement des droits de l’homme, détournés du but pour lequel ils avaient été conçus et retournés contre les peuples qu’ils étaient censés défendre des empiètements du pouvoir. Jean-Louis Harouel : « L’application de droits individuels jadis conçus pour protéger un peuple contre les excès d’autorité de ses gouvernants devient dangereuse pour ce peuple quand se déversent sur son territoire d’autres peuples, surtout dans un climat de guerre entre civilisations. Aujourd’hui transformés en une religion séculière de nature millénariste obsédée par la non-discrimination, les droits de l’homme exposent chaque peuple européen à voir des membres d’un autre peuple s’installer massivement chez lui et mettre à profit ces droits pour travailler à le détruire, pour faire prévaloir leur mode de vie et leurs valeurs, au détriment de ceux du pays d’accueil », précise Jean-Louis Harouel.
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Laurent Dandrieu : Porteur de valeurs rigoureusement contraires à celles de notre civilisation, parmi lesquelles la confusion du profane et du sacré et la soumission de la liberté de pensée à la révélation divine, stipulée par la Déclaration islamique universelle des droits de l’homme de 1981, le communautarisme musulman, qui résulte inéluctablement de la présence massive de l’islam en Europe, utilise par exemple notre conception des droits de l’homme pour tendre à empêcher toute critique véritable de cette religion, qui serait une manière détournée de discriminer les musulmans. Il utilise l’obsession de la non-discrimination à laquelle se résume de plus en plus notre système juridique pour protéger de toute critique et répandre une pensée religieuse par nature discriminatoire - vis-à-vis des femmes ou des minorités religieuses non musulmanes, par exemple.
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Laurent Dandrieu : La façon dont l’arsenal juridique censé lutter contre les discriminations a progressivement réduit la liberté d’expression sur des sujets aussi cruciaux que l’immigration ou l’islam est caractéristique de ce détournement des droits de l’homme contre le peuple : « Il y a, au nom des idées les plus généreuses, création subreptice d’une société liberticide, dans laquelle il est interdit de dire ce que l’on voit, de dénoncer les mécanismes qui sont en train de détruire nos sociétés et notre civilisation », écrit Harouel.
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Laurent Dandrieu : Symbole de cette façon dont la promotion des droits de l’homme en alpha et oméga de toute politique a conduit nos sociétés, suivant le mot de Marcel Gauchet, à « se promettre à l’impuissance collective », Jean-Louis Harouel pointe une décision du Conseil d’État, datant de 1978, érigeant en principe intangible le droit au regroupement familial. C’est ainsi, note-t-il, que « la très vertueuse religion séculière des droits de l’homme trace aux Européens le devoir de disparaître en souriant pour faire place à d’autres peuples et d’autres civilisations ». Au nom des droits de l’homme, ils deviennent des hommes sans droits, qui n’ont plus que celui de s’effacer en silence. Dans le silence étourdissant produit par la léthargie des Européens qui semblent consentir à leur propre disparition, le livre éclairant de Jean-Louis Harouel apparaît comme un salutaire cri d’alarme, conclut Laurent Dandrieu dans Valeurs Actuelles (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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Les Droits de l’homme contre le peuple, de Jean-Louis Harouel, Desclée de Brouwer, 146 pages, 14 €.
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http://www.valeursactuelles.com/des-hommes-sans-droits-64361
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France: « Apprendre qu’un futur (peut-être) président de la République n’a pas lu le Coran est une aberration »

Pour le contributeur du Nouvel Obs, Béchir Bouderbala, « citoyen engagé », français et musulman, le ramadan est un moment de joie souvent rompu par la méconnaissance qu’ont ses concitoyens de sa religion.

On est 5 millions de musulmans dites-vous ? Alors cette ligne communautariste, je la dédie à ces musulmans tous très différents mais qu’on met dans une même catégorie à longueur de débats. Et si on utilisait notre nombre et notre prétendue unité pour faire pression dans le bon sens ? J’aimerais bien qu’on s’accorde tous pour dire qu’on ne votera pour aucun candidat à la présidentielle ou aux législatives qui ne nous aura souhaité bonne fête de l’Aïd.

Ne pas souhaiter une fête, ça peut arriver à tout le monde. Mais le problème soulevé est bien plus large… D’apprendre qu’un futur (peut-être) président de la République n’a pas lu le Coran est une aberration.

La société française de 2016 souffre d’un retard culturel immense sur ces questions parce que les « Textes fondateurs » lus au Collège ne sont pas complets, que la différence est toujours considérée comme une faiblesse. J’ai énormément d’amis qui me posent des questions, chaque année sur le ramadan, les deux fêtes de l’Aïd. Force est de constater qu’un étudiant en droit à la Sorbonne n’est, face à ce sujet, pas mieux placé qu’un éditorialiste bien connu ou qu’une caissière à Monoprix.

Comment voulez-vous qu’un musulman français se sente Français ? Moi, aujourd’hui, je me sens pour une fois honteux d’appartenir à une nation qui ne reconnaît pas nos différences et qui se morfond dans une régression amère, dans une forme de médiocrité et une insuffisance intellectuelle. Ce n’est pas grand chose, en réalité… Ne pas souhaiter une fête, ça peut arriver à tout le monde. [...]

Le Nouvel Obs

Bangladesh : avant d’être tués, les captifs incapables de réciter le Coran ont été torturés par les islamistes

Lors de la prise d'otage qui a coûté la vie à 20 personne le 2 juillet à Dacca au Bangladesh, les terroristes se seraient livrés à des actes de torture sur leurs otages occidentaux. Les liens entre ces terroristes et l'Etat Islamique restent flous.

«Les assaillants ne se sont pas comportés brutalement avec les Bangladais, ils leur ont donné à manger. Ils testaient la religion de chacun en leur demandant de réciter un extrait du Coran. Ceux qui pouvaient citer un verset ou deux étaient épargnés. Les autres étaient torturés», a confié l'un des survivants au Daily Star.

Source

Fribourg: Le Conseiller communal Pierre-Olivier Nobs cite le coran pour faire l’apologie de l’islam et du vivre-ensemble

Christian Hofer: Pierre-Olivier Nobs qui appartient au centre-gauche.

Il induit ses propres compatriotes non musulmans en erreur, répétant des sourates qui n'ont plus aucune légitimité puisqu'elles sont... abrogées. Voilà par qui nous sommes "informés".

En réalité, le verset du sabre a abrogé tous les versets tolérants comme « Nulle contrainte dans la religion »: “Une fois écoulés les mois interdits, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Prenez-les, assiégez-les et restez assis aux aguets contre eux. Si ensuite ils sont revenus, ont élevé la prière et donné l’aumône épuratrice, alors dégagez leur voie. Dieu est pardonneur et très miséricordieux” (113 : 5)

Sans doute Nobs ne sait-il pas la différence entre l'islam mecquois et médinois. Mais il va abreuver les non musulmans de mensonges rassurants! C'est le triomphe de l'inculture, portée par ceux-là mêmes qui devraient défendre nos droits!

Pierre-Olivier Nobs n'a visiblement jamais entendu parler d'abrogation. Sans doute ne sait-il même pas que la lapidation a été ordonnée par Muhammad lui-même, que ce prophète pratiquait des razzias contre des tribus juives et possédait des esclaves. Ce qui signifie que dans tous ces cas de figure, le prophète de l'islam a tué ou a ordonné de tuer. Or Muhammad est l'exemple même pour tous les musulmans. Après cela, prétendre qu'on ne peut pas tuer dans l'islam est tout simplement un mensonge.

Ce qui ne prive pas ce politicien suisse de répéter les contre-vérités que les musulmans nous servent sans cesse afin de présenter ce dogme comme "tolérant".

Ce n'est ni plus ni moins qu'une technique qui aide les musulmans à conquérir petit à petit les territoires des non musulmans sous couvert de "tolérance" alors qu'ils savent que tout cela est faux.

Quant à Ada Marra, elle use d'une technique éprouvée: Se prétendre chrétienne en défendant exclusivement l'islam. Ainsi peut-elle se faire passer pour "l'une des nôtres", revendiquer ce que "nous devrions faire" tout en militant exclusivement pour les musulmans. Remarquez bien qu'elle n'a pas un seul mot sur les exactions commises à l'égard des non musulmans dans le monde musulman. C'est une autre manipulation commune à la gauche: prétendre que les Suisses sont intolérants tout en cachant soigneusement toutes les discriminations, bien plus scandaleuses, dont les musulmans sont responsables à l'égard des autres communautés: leurs crimes, leurs viols à l'égard de nos filles, les conversions forcées, les meurtres. Évidemment, le génocide des chrétiens au Moyen-Orient ne fait pas partie de son discours. Et cette femme se prétend... chrétienne.

En Arabie Saoudite même, le port de la croix est interdit sans que cela ne la gêne aucunement. Les lieux saints de l'islam sont totalement interdits d'accès aux non musulmans, le mariage même d'une musulmane avec un non musulman est proscrit. Mais pour Ada Marra, ce sont "les Suisses qui doivent s'ouvrir".

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Fasting Days 2016: Les musulmans de Fribourg veulent stimuler le "vivre ensemble"

“Le dialogue, la connaissance mutuelle, le partage – valeurs fondamentales et communes à toutes les religions – sont les clés du bien vivre ensemble”, a lancé vendredi soir le conseiller communal fribourgeois Pierre-Olivier Nobs, invité par l’association “Frislam – Fribourgeois musulmans”.

“Il n’y a pas de contrainte en religion”

Citant une partie du verset 32 de la sourate 5 du Coran, “celui qui tuerait un homme, c’est comme s’il avait tué l’humanité toute entière, celui qui sauve un homme sauve l’humanité toute entière”, Pierre-Olivier Nobs a relevé que le Conseil communal de la Ville “soutient toutes les initiatives visant à faire éclore le respect, la concorde et les richesses du bien vivre ensemble”.

Citant l’article 15 de la Constitution fédérale, il a également rappelé au public musulman, réuni dans les locaux de l’Université à Pérolles, qu’en Suisse, la liberté de conscience et de croyance est garantie. “Toute personne a le droit de choisir librement sa religion ainsi que de se forger ses convictions philosophiques et de les professer individuellement ou en communauté”, a-t-il insisté, en mentionnant également une sourate du Coran, selon laquelle “il n’y a pas de contrainte en religion”.

Pour Ada Marra, conseillère nationale socialiste vaudoise, “ce qui nous rend étrangers, c’est le regard des autres”. Et la politicienne, très engagée au plan social et qui revendique sa foi catholique “sans toujours suivre Rome”, de se demander pourquoi cela crée tant problème quand quelqu’un porte un voile, alors que ce n’est pas le cas s’il porte une croix.

Source

Nulle contrainte dans la religion: propagande islamique mensongère

Un nouvel ouvrage traque le mensonge islamique

Dans chaque colloque les musulmans nous casse les oreilles avec le verset coranique suivant:

Nulle contrainte dans la religion! La bonne direction s’est distinguée du fourvoiement. Quiconque mécroit aux idoles et croit en Dieu, tient à l’attache la plus sûre et imbrisable. Dieu est écouteur, connaisseur (2:256).

Pour comprendre le véritable sens de ce verset, j’ai examiné toutes les exégèses musulmanes du Coran depuis le début de l’Islam jusqu’à ce jour-ci, et je les ai publiées dans un ouvrage sorti en français, en anglais et en arabe, intitulé

Nulle contrainte dans la religion: interprétation du verset coranique 2:256 à travers les siècles.

Ce livre, avec d’autres recueils d’exégèses de versets coraniques problématiques, est disponible sur Amazon:

Nulle contrainte dans la religion: Interprétation du verset coranique 2:256 à travers les siècles, Createspace (Amazon), Charleston, 2015, 201 pages : Amazon.fr

No compulsion in the religion: Interpretation of the Quranic verse 2:256 through the centuries, Createspace (Amazon), Charleston, 2015, 201 pages : Amazon.com

Ces prochaines heures, il sera aussi disponible en arabe, toujours sur Amazon, sous le titre: La ikrah fi al-din (in Arabic) Createspace (Amazon), Charleston, 2016, 172 pages, ISBN-13: 978-1533302960

Les musulmans recourent au verset cité plus haut pour démontrer que l’Islam est tolérant et admet la liberté religieuse. Mais ce verset entre en conflit avec un récit de Mahomet qui dit: “Celui qui change sa religion, tuez-le”.

La mise à mort de l’apostat, celui qui quitte l’islam, est confirmée, à titre d’exemple, par le Code pénal arabe uniforme adopté à l’unanimité par le Conseil des ministres arabes de la justice en 1996 (http://carjj.org/node/237). En voici la traduction française de l’extrait pertinent:

Article 162 – L’apostat est le musulman, homme ou femme, qui abandonne la religion islamique par une parole explicite ou un fait dont le sens est indiscutable, insulte Dieu, ses apôtres ou la religion musulmane, ou falsifie sciemment le Coran.

Article 163 – L’apostat est puni de la peine de mort s’il est prouvé qu’il a apostasié volontairement et s’y maintient après avoir été invité à se repentir dans un délai de trois jours.

Article 164 – Le repentir de l’apostat se réalise par le renoncement à ce qui a constitué sa mécréance; son repentir est inacceptable s’il apostasie plus de deux fois.

Article 165 – Tous les actes de l’apostat après son apostasie sont considérés comme nuls de nullité absolue, et tous ses biens acquis par ces actes reviennent à la caisse de l’État.

La liberté religieuse a d’ailleurs posé des problèmes à toutes les religions. Ses contours sont affirmés par l’article 2 alinéa 1 et l’article 18 de la Déclaration universelle des droits de l’homme:

Article 2.1 – Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.

Article 18 – Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion: ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.

La clause de ce dernier article, qui parle de la liberté de changer de religion ou de conviction, a provoqué une réaction très vive de la part des pays musulmans. Cette question constitue probablement le plus important défi posé aux musulmans, conscients du fait que la liberté religieuse peut signifier la disparition de l’islam, comme l’affirme Al-Qaradawi: “Si l’islam ne tuait pas les apostats, il aurait disparu à la mort de Muhammad” (voir la vidéo sous-titrée: http://goo.gl/bu1PcG), dit-il en citant le verset coranique 5:33 pour justifier la mise à mort des apostats:

La rétribution de ceux qui guerroient contre Dieu et son envoyé, et qui s’empressent de corrompre sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupés leurs mains et leurs pieds opposés, ou qu’ils soient bannis de la terre. Ils auront l’ignominie dans la vie ici-bas, et dans la vie dernière un très grand châtiment.

Résumé des exégèses du Coran concernant ce verset

Le sens du verset 2:256 donné par les exégèses publiées dans la présente étude peut être résumé comme suit:

1) Les polythéistes arabes, n’ayant pas de livre révélé, ne sont pas tolérés. Ils n’ont le choix qu’entre l’islam et l’épée. Souvent, les exégèses parlent d’arabes, sans faire usage du qualificatif “polythéistes”. Les polythéistes sont souvent appelés “associateurs”, c’est-à-dire ceux qui associent d’autres divinités à Allah.

2) Les gens du livre, à savoir les juifs et les chrétiens, ont le choix entre se convertir à l’islam, conserver leur religion en payant le tribut, ou (mourir par) l’épée. Cette norme s’applique aussi aux sabéens et aux zoroastriens. On ne les contraint donc pas à changer de religion, comme les polythéistes. Mais ceux qui refusent de payer le tribut et de se convertir à l’islam doivent être tués.

3) Les polythéistes qui se convertissent au judaïsme ou au christianisme sont traités comme les polythéistes; ils n’ont le choix qu’entre l’islam et l’épée.

4) Les captives et captifs juifs et chrétiens devenus esclaves ne sont pas contraints à devenir musulmans. Mais les captives et captifs polythéistes, sabéens et zoroastriens doivent devenir musulmans, car leur maître ne peut épouser leurs femmes ni manger de la viande d’animaux saignés par eux. Les enfants en revanche sont convertis de force, afin qu’ils n’adoptent pas une religion erronée.

5) On entend par contrainte, en règle générale, la contrainte physique, ou plus concrètement la mise à mort. Un seul exégète interprète la contrainte dans le sens de la mise à mort, de l’emprisonnement et de la privation des biens. Aucun exégète ne tient compte des restrictions imposées aux non-musulmans pour les inciter à se convertir l’islam, ni le paiement du tribut, ni les normes discriminatoires (comme l’interdiction du mariage avec une musulmane).

6) Aucun exégète ne comprend le principe “Nulle contrainte en religion” dans le sens du droit de quitter l’islam, ou du droit de ne pas pratiquer les obligations cultuelles telles que la prière ou le jeûne. Un exégète moderne dit expressément que le musulman qui refuse de prier ne peut invoquer le verset 2:256 – il doit être puni.

7) Certains exégètes, surtout modernes, rejettent l’accusation selon laquelle l’islam se serait propagé par l’épée, et estiment généralement que les guerres ont été entreprises pour se défendre ou pour pouvoir pratiquer le prosélytisme islamique. Mais aucun exégète n’envisage le droit des non-musulmans à convertir autrui.

8) Aucun exégète n’envisage le droit des enfants nés musulmans, et qui n’ont pas choisi la religion, de le faire une fois adulte. L’apostasie reste interdite. Celui qui est né musulman, doit le rester.

9) Les exégètes estiment que toute personne raisonnable devrait choisir l’islam, mais reste libre de ce choix. En même temps, ils estiment que la conversion à l’islam ne peut se faire qu’avec la volonté de Dieu. D’autre part, aucun exégète ne laisse la liberté de choix aux polythéistes. Ceux-ci doivent être éliminés de la surface de la terre, comme l’écrit un des exégètes modernes. Cela explique pourquoi les musulmans ne semblent pas émus par le massacre de plus de 80 millions d’hindouistes – ceux-ci sont considérés comme des polythéistes.

10) Les exégètes modernes estiment que l’Islam est la première et la seule religion qui admet le principe “Pas de contrainte en religion”, principe qui leurs semble correspondre à celui de la liberté religieuse des droits de l’homme. Aucun d’eux ne mentionne de contradiction entre la liberté religieuse prévue par les droits de l’homme et le principe islamique.

11) Il est souvent question d’abrogation en rapport avec le verset 2:256. Afin qu’on ne comprenne pas ce verset dans un sens général, applicable à toutes les situations, les exégètes ont estimé que le sens général en a été abrogé par les versets prescrivant le combat, et donc que le verset ne reste en vigueur que dans le sens restreint de non-imposition de la conversion aux gens du livre qui paient le tribut.

Antagonisme avec les normes constitutionnelles et internationales

Certes, le principe “Nulle contrainte en religion” peut être considéré comme une étape importante vers la reconnaissance de la liberté religieuse. Et sur ce plan, on ne peut nier que la reconnaissance de ce principe est un progrès par rapport au christianisme du VIIe siècle. Mais par rapport aux pratiques arabes rapportées par les sources musulmanes elles-mêmes, y compris dans les recueils des récits de Mahomet, la prescription coranique constitue une régression. La société arabe polythéiste reconnaît toutes les religions – sur ce plan, la morale polythéiste était supérieure aux prescriptions coraniques qui n’admettent que les gens du livre, dans certaines limites. Le fait que Mahomet ne donne aux polythéistes que le choix entre la conversion à l’islam et l’épée était en contradiction avec les normes admises par la société arabe de l’époque.

Si nous laissons de côté l’histoire arabe, le principe “Nulle contrainte en religion” ne peut d’aucune manière être comparé au principe de la liberté religieuse prévue par les normes constitutionnelles modernes et les documents onusiens ou européens relatifs aux droits de l’homme.

Si nous nous limitons à la Suisse, on peut avancer que le droit musulman, basé sur le Coran et la sunnah, n’est pas compatible avec la conception de la liberté religieuse prévue par la constitution suisse. Et le principe coranique “Nulle contrainte en religion” ne répond que très partiellement aux attentes des normes suisses:

  • Le droit suisse récuse la distinction entre gens du livre et gens “sans livre”.
  • Aucune forme de contrainte et aucune discrimination basée sur la religion ne sont admises en droit suisse, sur le plan tant matériel que matrimonial, successoral, procédural (témoignage) ou pénal.
  • Chacun a le droit de choisir sa religion à partir de l’âge de 16 ans.
  • Chacun a le droit d’adhérer à une religion ou de ne pas adhérer.

Ces dispositions suisses se retrouvent dans les documents internationaux.

Vu ce qui précède, les musulmans doivent cesser leurs mensonges.

Sami Aldeeb, Professeur des universités
Directeur du Centre de droit arabe et musulman
Traducteur du Coran en français et auteur de nombreux ouvrages
www.sami-aldeeb.com
www.blog.sami-aldeeb.com

Présentation de la traduction française du Coran par Sami Aldeeb

Indispensable! Le message coranique enfin clairement exposé / Compte-rendu d'Alain Jean-Mairet

Cette traduction du Coran est exceptionnelle à de nombreux titres. L’auteur livre ici une édition très richement annotée (notes de bas de page comptant près de 60.000 mots, sans compter l’introduction, les observations générales, la description des méthodes de traduction, la bibliographie, les index, les tableaux, etc.) qui permet de comprendre l’ouvrage mieux et plus rapidement que toutes celles que j’ai pu consulter. Mais l’aspect le plus crucial réside dans le classement des chapitres dans l’ordre de la révélation. Cette présentation décuple l’ampleur et la rapidité de la compréhension du lecteur. C’est une clé absolument essentielle de l’étude du message coranique.

En effet, selon la tradition musulmane, le coran a été révélé progressivement, en l’espace de 22 à 23 ans, parallèlement au parcours de vie du prophète de l’islam. Mais le Coran classique ne reproduit pas cette chronologie – ses chapitres sont classés selon un ordre qui échappe à toute logique reconnaissable. Or, dans la mesure où il s’agit d’un discours, celui de «Dieu» (le Coran entier est censé être la parole de Dieu, selon le dogme musulman), sa chronologie constitue un élément primordial pour en comprendre le message. Comment, par exemple, comprendre le message de la Bible chrétienne sans savoir que le personnage de Jésus vient *après* les prophètes juifs? Comment comprendre un quelconque discours prononcé dans le désordre, comment en résoudre les contradictions apparentes, comment en saisir le développement, l’argumentation, comment en faire une synthèse correcte?

D’autre part, lu dans l’ordre chronologique, le Coran révèle au lecteur le message global que tous les musulmans savants y ont toujours trouvé. Car eux en étudiaient et en étudient la chronologie, à travers les biographies de Mahomet, les collections de hadiths et les exégèses. Lire le coran sous sa forme classique et sans ces autres ouvrages équivaut à examiner les pièces d’un puzzle, éparses, avant sa réalisation – seuls des esprits d’une sagacité très supérieure à la moyenne peuvent y trouver un message à la fois cohérent et pertinent. En revanche, ce message est à la portée de tous les lecteurs lorsque la chronologie des chapitres est respectée.

En bref, les deux premiers tiers du Coran dans l’ordre chronologique sont constitués de rappels, d’avertissements, de mises en garde, de promesse de châtiment éternel (le Coran insiste lourdement sur cet aspect) et de paradis luxurieux, le tout illustré de manière fort répétitive par des récits bibliques (mais dont on ne retrouve souvent les détails que dans des légendes et des apocryphes). C’est également dans cette partie, pendant laquelle Mahomet faisait uniquement œuvre de prédicateur, sans grand succès, dans un environnement d’abord indifférent puis hostile, qu’on retrouve les quelques versets régulièrement utilisés par les apologistes pour démontrer le caractère pacifique de l’islam. À noter toutefois que dans cette partie déjà, le dieu Allah promet aux récalcitrants des châtiments non seulement dans l’au-delà, mais aussi dans cette vie.
Ensuite, avec l’émigration de Mahomet à Médine, le Coran devient normatif et surtout guerrier. Si le Mahomet des premiers temps est tenu d’avertir sans combattre, celui de l’après-Hégire se voit alors autorisé à, puis obligé de faire la guerre, pour se défendre, puis également pour conquérir. Le crescendo chronologique est absolument univoque et débouche sur un ordre de marche sans date limite. Pour plus de détails sur ces aspects, le lecteur peut consulter le recueil, également réalisé par Sami Aldeeb, de l’ensemble des exégèses coraniques sur les versets du jihad: «Le jihad dans l’islam: Interprétation des versets coraniques relatifs au jihad à travers les siècles» On y découvre que les savants classiques, dans leur quasi-totalité et jusqu’à des auteurs tels qu’Averroès, ont compris les choses ainsi: la communauté musulmane a le devoir de faire régner l’islam sur la terre entière et d’y éliminer toute mécréance, par la violence.

Ce Coran dans l’ordre chronologique permet de comprendre très aisément cet aspect, sinon difficile à discerner lors d’une lecture standard du Coran classique. Et c’est probablement son plus grand mérite, à l’heure où le jihad prend des proportions que personne ne peut plus ignorer.

Sinon, l’auteur a choisi de nous montrer une traduction du texte coranique aussi proche que possible de la compréhension qu’en tire un lecteur arabophone attentif aux aspects sémantiques. Ainsi, il utilise autant que possible les mêmes termes pour traduire les expressions identiques dans l’arabe. Il respecte les constructions de phrase originales, jusqu’à conserver les éléments étranges que seul le besoin de créer des rimes justifie dans la version arabe. Il s’en explique longuement et précisément dans une introduction qui vaut à elle seule très largement d’être lue et conservée en guise de référence.

Le texte coranique est présenté sous forme de tableau, avec son équivalent arabe directement en regard. Chaque verset est désigné par une lettre (M ou H) indiquant la période (mecquoise ou hégirienne), le numéro du chapitre dans l’ordre chronologique, le numéro du chapitre dans l’ordre standard et le numéro du verset. Les notes de bas de page indiquent les variantes (autres lectures possibles de l’arabe en modifiant les diacritiques et les voyelles courtes), les traductions divergentes d’autres auteurs, les sources, les abrogations et les explications utiles des termes ambigus.

Outre une bibliographie (qui comprend aussi de nombreuses sources en ligne), l’ouvrage propose un index des noms et notions et des tables séparées des chapitres dans l’ordre chronologique et dans l’ordre classique. Je pense que c’est de très loin la meilleure traduction du Coran disponible pour des lecteurs intéressés par le contenu sémantique de cet ouvrage.

La traduction française version papier est disponible chez Amazon https://goo.gl/wIXhhN
L’édition arabe est disponible gratuitement ici: http://goo.gl/JpqIST
L’édition arabe version papier est disponible chez Amazon https://goo.gl/nKsJT4

Le Front National creuse-t-il sa propre tombe ?

Le-Pen-1

   
Le Front National n'a pas vraiment changé sur un point en particulier : il croit pouvoir gagner seul. C'est un peu son code génétique, sa marque de fabrique, son mode opératoire. C'est à croire que le FN, d'un côté, raconte qu'il va gagner ; et d'un autre côté, fait tout pour perdre. On aurait presque envie de demander à Marine : "T'as peur de te retrouver à l'Elysée" ? Du reste, c'est exactement ce qu'a fait -- et fait encore -- son père, Jean-Marie, un brin sénile et surtout très pathétique. Tel père, telle fille ? La seule qui semble ne pas penser comme une Le Pen, c'est Marion. Oui, je les appelle par leurs prénoms, parce qu'ils sont un peu un feuilleton français, un "Plus belle la vie" de droite (celui de gauche, sur France 3, est nul à chier, soi dit en passant). C'est la famille Menhir, les Gaulois à idée fixe, une bagarre à coups de poissons puis un gros gueuleton.
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Bertrand Dutheil de La Rochère, Membre fondateur et trésorier du Rassemblement Bleu Marine (RBM), Conseiller régional d’Île-de-France, estime, avec naïveté : "Avec Marine Le Pen, le Rassemblement Bleu Marine défend fermement le principe de laïcité qui, avec la neutralité de l’École, est au fondement de la nation française. L’islam de France doit s’organiser par lui-même, sans aucune intervention publique française ou étrangère. L’État doit se contenter d’y veiller, tout en protégeant cet islam gallican de toute dérive afin que soit assurée l’exclusivité des lois de la République dans l’espace public. Ensuite, chacun peut se conformer dans sa sphère privée à la loi religieuse qui lui convient, tout en respectant la liberté de son voisin, même si celui-ci veut changer de religion ou ne plus en avoir", estime, candide, Bertrand Dutheil de La Rochère.
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Selon Robert Ménard, qui organise fin mai ses "rendez-vous de Béziers", un rendez-vous dont sortira un programme de salut public, "il faut faire un Podemos de droite, avec une autre façon de faire de la politique". Pour Paul-Marie Coûteaux : "la finalité ultime de Béziers est de trouver un candidat pour la présidentielle. Il faut que quelqu'un se jette à l'eau". Car nombre d'entre eux (Philippe de Villiers, Nicolas Dupont-Aignan, Robert Ménard, Eric Zemmour, Patrick Buisson, etc. ) n'envisagent plus une victoire FN en 2017, après le tonitruant 1er tour aux régionales et l'échec au second. Le parti est trop mou sur les valeurs, trop étatiste en économie, pas "enthousiasmant" à droite, jugent-ils.
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Les bâtons mis dans les roues de son petit allié le Siel, montrent que le FN se referme, nonobstant les appels de Marion Maréchal-Le Pen à l'ouverture à Philippe de Villiers, Thierry Mariani, Eric Ciotti, Nicolas Dupont-Aignan ou Henri Guaino. Pour le maire de Béziers, "faire évoluer le FN de l'intérieur me semble, après le séminaire, mission impossible. 6h30 de débat avec une direction qui ne veut rien entendre ou seulement s'entendre elle-même". Le sénateur-maire FN de Fréjus, David Rachline, estime en revanche : "Il y a des gens qui pensent qu'il y a une potion magique pour gagner. Il faut continuer à expliquer notre programme, il y a des craintes à lever. Mais nos résultats démontrent que notre stratégie est valable". Pour un autre : "la direction du FN est en train d'intégrer que c'est le coup d'après 2017 qu'il faut jouer : elle s'est pris un coup de bambou avec les régionales. Toute la recomposition aura lieu après. le FN se fout de nous, on doit créer un rapport de force à l'extérieur. Gagner tout seul, c'est invraisemblable".
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Dans le dernier numéro de Monde et vie, Karim Ouchikh, président du SIEL, développe son analyse sur le paysage politique de la droite (extraits ; voir les détails sur 'Le Salon Beige') : "Pourquoi selon vous la droite parlementaire continue à avoir un discours social-démocrate ? Pourquoi n’emboîte-t-elle pas le pas à ses électeurs ? Où est le blocage ? Depuis la Révolution française, la gauche exerce sur la droite parlementaire une fascination politique durable, qui ne s’est jamais démentie depuis les débuts de la Ve République. À la différence de Margaret Thatcher, à l’origine de la fameuse révolution conservatrice britannique, aucun dirigeant politique français d’envergure n’a osé véritablement rompre avec ce corset idéologique qui empêche la libre expression sur notre sol des idées authentiquement de droite".
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Karim Ouchikh : "À cette première explication s’ajoute le poids de la puissance publique qui, dans ses différentes composantes (État, collectivités locales…), nourrit des clientèles politiques captives (fonctionnaires, syndicats) qui sont autant de relais d’opinion influents qui pèsent considérablement dans le débat politique. Sur l’échiquier politique français, occupant un espace singulier entre LR et le FN, il existe pourtant une force politique d’une puissance inouïe, dont on ne mesure pas suffisamment le potentiel électoral".
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Karim Ouchikh : "J’ai coutume de désigner cette force sous le vocable de “bloc villiériste", une force qui ne se réduit pas à la seule personne du fondateur du Puy-du-Fou, mais que ce dernier incarne avec un immense talent : souverainiste au plan institutionnel, conservatrice sur les questions de société, oeuvrant pour l’épanouissement des libertés, notamment sur un registre économique, ce bloc politique pèse, selon moi, entre 8 et 15 % du corps électoral français et ne demande qu’à se structurer et se mobiliser, surtout au lendemain des formidables rassemblements de LMPT qui ont donné naissance à toute une génération de femmes et d’hommes désireux de s’engager activement dans l’action publique. La dynamique conservatrice qui s’étend partout en Europe (Grande-Bretagne, Suisse, Hongrie, Pologne…) a vocation, tôt ou tard, à s’enraciner également en France".
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Karim Ouchikh : "À l’occasion du séminaire de réflexion du FN des 5, 6 et 7 février, j’ai particulièrement insisté sur la nécessité pour Marine Le Pen d’incorporer à son discours politique les sujets de société qui préoccupent réellement nos compatriotes (notamment ceux qui votent traditionnellement à droite), au premier rang desquels les questions qui concernent notre socle anthropologique d’essence chrétienne (modèle familial classique, loi Taubira, GPA/PMA, fin de vie…)".
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Karim Ouchikh : "Dans une stratégie de second tour, qui nécessite pour le FN de disposer d’une réserve de voix qui lui manque trop souvent, Marine Le Pen doit fidéliser et ‘‘arrimer’’ à sa personne cet électorat conservateur qui fera la différence aux présidentielles. Cette dynamique électorale passera soit par une alliance, ouvertement assumée, avec les forces de la droite conservatrice, appelées elles-mêmes à se structurer, soit par une prise en compte, dans le programme présidentiel de la patronne du FN de propositions politiques authentiquement de droite. Je n’ai pas la prétention de modifier la ligne politique actuelle du FN, mais simplement de la pondérer d’un point de vue idéologique", conclut Karim Ouchikh (fin des extraits ; voir les détails sur 'Le Salon Beige').
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Michel Garroté, 24.3.2016
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Le Belgistan est-il musulman ?

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On nous raconte que les frères El-Bakraoui, les deux kamikazes des attentats de Bruxelles, "n'étaient pas connus pour terrorisme, mais étaient fichés pour grand banditisme". Ils ont fourni "une aide logistique aux commandos de Paris" (mais ils "n'étaient pas connus pour terrorisme"...). En clair, les frères El-Bakraoui, étaient des logisticiens le 13 novembre à Paris et de la chair à canon le 22 mars, comme on peut lire dans la presse. L'aîné a été l'auteur du carnage de l'aéroport, et le cadet a perpétré l'attentat dans le métro.
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Leur nom est apparu sur les radars médiatiques il y a une dizaine de jours, dans le cadre de l'enquête sur les attentats de Paris. Donc, ils étaient fichés pour grand banditisme, mais en même temps ils sont apparus sur les radars médiatiques il y a une dizaine de jours, dans le cadre de l'enquête sur les attentats de Paris (mais ils "n'étaient pas connus pour terrorisme"...). Bien.
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Ibrahim et Khalid El-Bakraoui sont morts en kamikazes lors des attaques de Bruxelles, qui ont fait au moins 31 morts et 270 blessés mardi à Bruxelles, nous dit-on. Bien. Ibrahim El-Bakraoui, 29 ans, de nationalité belge, est l'un des deux kamikazes de l'aéroport de Zaventem. Son frère cadet, Khalid El-Bakraoui, 27 ans, lui aussi de nationalité belge, est le kamikaze de la station de métro Maelbeek, dans la capitale belge, nous dit-on. Bien.
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Un ancien agent des services belges de renseignement résume très bien la situation et celle-ci vaut d'ailleurs pour tous les pays européens, notamment la France : J’accuse les responsables politiques de n’avoir jamais voulu comprendre la montée de l’Islam radical et de l’avoir délibérément ignorée pour cause d’électoralisme et de 'politiquement correct'. Je les accuse d’avoir laissé plusieurs communes belges développer un radicalisme djihadiste depuis des années, au point qu’un responsable socialiste m’avait un jour dit 'nous connaissons le problème de Molenbeek mais que voulez-vous, c’est un électorat qu’on ne peut négliger'.
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L'Observatoire de l'islamisation, quant à lui,  fait le point sur les auteurs des attentats : "ce sont tous des multirécidivistes radicaux et fichés, déjà condamnés, mais qui frappent après de trop courts passages en prison, bénéficiant souvent des remises de peine".
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De son côté, l'avocat Thibault de Montbrial déclare au Figarovox : "Nous sortons d'une période de soixante-dix ans de paix. Ce temps est aujourd'hui révolu, nous sommes attaqués sur notre territoire et il faut totalement réorganiser sa défense à l'aune de cette nouvelle donne. Cela implique en amont de rompre avec l'angélisme récurrent de nombreuses élites, notamment politiques et médiatiques, encore réticentes à nommer l'ennemi. Il faut aussi revoir l'organisation de la sécurité à l'échelle européenne. L'espace Schengen a en effet été pensé comme un espace économique, de libre-échange et de libre circulation de temps de paix".
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Thibault de Montbrial : "Les questions de sécurité n'y ont quasiment pas été prises en compte. Ce n'est pas le terrorisme qui nous fait la guerre. Ce sont les islamistes radicaux, qui utilisent le moyen du terrorisme pour faire triompher l'islamisme politique. C'est une guerre de conquête. La situation n'a plus rien à voir avec les vagues d'attentats qui nous ont frappés dans les années 1980 ou 1990. Aujourd'hui, les attaques sont perpétrées par des ressortissants européens, nés et élevés ici, et qui nous haïssent".
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Thibault de Montbrial : "Ils ne sont plus quelques dizaines, mais des milliers. Ils bénéficient d'un soutien significatif d'une partie de la population, notamment sur le plan logistique. En France, on trouve des dizaines de Molenbeek, comme le rappelait dimanche dernier Patrice Ribeiro, le Secrétaire Général de Synergie-officiers. Ce n'est qu'en ayant une lucidité totale sur ce phénomène que nous pourrons mener les politiques de sécurité et de reconquête de nos valeurs qui s'imposent", conclut Thibault de Montbrial.
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Sur l'islam proprement dit, c'est le chroniqueur catholique conservateur Bernard Antony qui ose aller au fond du problème : "Le secret de ce que certains appellent la radicalisation n’est pourtant pas bien difficile à trouver : il suffit de parcourir le Coran et aussi les hadîths (faits et gestes du prophète) en vente dans toutes les librairies musulmanes et dans bien d’autres. Ce sont les livres sacrés de l’islam".
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Bernard Antony : "C’est dans ces textes qu’est enseigné le modèle du prophète Mahomet que jusqu’ici l’islam a présenté comme devant être imité en toutes choses : dans la paix, dans la guerre, dans l’amour et ce jusqu’aux détails de mœurs les plus intimes. On y lit les récits, avec les chaînes de témoignages (isnad) concordants, des égorgements, lapidations, crucifixions, amputations, tortures, distributions des femmes et des enfants des ennemis massacrés comme butin de guerre", conclut Bernard Antony, qui prône une réforme de l'islam.
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En résumé et en conclusion, on nous raconte que les frères El-Bakraoui étaient fichés pour grand banditisme, qu'ils étaient de nationalité belge et qu'ils étaient à la fois logisticiens le 13 novembre à Paris et chair à canon le 22 mars à Bruxelles. On nous dit tout sauf qu'ils étaient musulmans. Pas d'amalgame... Au fait, le Belgistan est-il ou n'est-il pas musulman ? Pas d'amalgame, vous dis-je !
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Michel Garroté, 24 mars 2016
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Zurich. Évasion du violeur syrien: La gardienne de prison avait commencé à lire le coran

Christian Hofer: Il est grand temps que le peuple suisse exige la démission de Sommaruga. Encore une victime du multiculturalisme et de la tradition humanitaire si chers aux gauchistes! Après cela, la socialiste Sommaruga ose encore s'opposer à l'initiative de l'UDC. Combien d'actes criminels à l'encontre des Européens par la faute de la gauche et que l'on nous cache?

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«Angela a beaucoup changé»

Contacté par nos collègues de «20 Minuten», V*, le mari d'Angela Magdici, confie que sa femme, dont il est à présent séparé, a «beaucoup changé», sans qu'il en connaissent la raison.

La Zurichoise est passée, selon lui, de «femme aimante et attentionnée» à «indifférente et agressive». Les problèmes ont commencé il y a cinq mois, et, il y a trois mois, elle a quitté la maison, sans crier gare.

V* soupçonne qu'un autre homme soit entré dans sa vie. Est-ce Hassan? Il n'en sait rien. Il relève un détail troublant: «Un jour, elle a reçu un SMS en arabe. Sa meilleure amie, qui le parle, a dû le traduire.»

Angela se serait aussi, dans les semaines qui ont précédé son départ, de plus en plus intéressée au Coran et à la situation en Syrie: «Il y a trois mois, elle est restée scotchée devant un documentaire. Elle a refusé de venir se coucher», raconte-t-il.

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