Nomination de Christian Levrat à la tête de la Poste : il aurait obtenu le soutien de Parmelin et de Maurer

Selon une source de la NZZ am Sonntag, «les discussions avec les conseillers fédéraux UDC, Ueli Maurer et Guy Parmelin ont été le facteur décisif pour l'accession de Christian Levrat à la présidence de la Poste». Le socialiste aurait obtenu leur soutien «en tant que président et pour son plan, qui impliquerait des investissements substantiels dans le service public.»

(...) les conditions requises pour la présidence stipuleraient une vaste expérience et une activité réussie à des postes de direction dans des entreprises de grande taille, si possible actives au niveau international. Or, «Christian Levrat ne répond pas à cette exigence. Il n'est pas un entrepreneur, mais il peut former des alliances pour une entreprise.»

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20min.ch


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La nomination de Christian Levrat à la tête du conseil d’administration de La Poste par la conseillère fédérale socialiste Simonetta Sommaruga a suscité de vives critiques chez les parlementaires lors de son annonce.

24Heures.ch


 

Rappels :

Porrentruy. Piscine interdite aux étrangers en raison d’incivilités : Les socialistes Christian Levrat et Ada Marra manifestent leur mécontentement

Le socialiste Christian Levrat est nommé à la tête de la Poste

Levrat veut discuter de l’islam en Suisse et exige des mesures pour les migrants bloqués en Italie: «Ce serait inacceptable, si des milliers de réfugiés devaient passer l’hiver aux portes de la Suisse».

Levrat veut un accord cadre avec l’UE, même si cela implique une perte de souveraineté de la Suisse

Le socialiste Christian Levrat est nommé à la tête de la Poste

Le sénateur fribourgeois Christian Levrat devrait être le nouveau président de La Poste. Le Conseil fédéral a approuvé mercredi sa candidature pour succéder à Urs Schwaller à la tête du conseil d’administration du géant jaune.

(...)

24Heures.ch


La seule réponse du PS face aux conséquences du Covid-19 : Taxer!

Le président du parti socialiste, Christian Levrat, veut faire payer la facture du nouveau coronavirus aux riches. "La crise doit être payée par ceux qui ont réalisé des profits pendant la crise", déclare-t-il vendredi dans la presse.

"Nous voulons créer un fonds alimenté par une taxe de solidarité", explique le conseiller aux Etats fribourgeois dans un entretien diffusé par les journaux alémaniques du groupe de presse Tamedia. Les plus hauts revenus devraient être soumis à un supplément de 10% d'impôts fédéraux pendant un certain temps, ajoute-t-il.

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Lfm.ch


Pendant ce temps, nos élus octroient 11 milliards aux "pays en voie de développement" sans aucun garde-fous, alors que nous avons besoin de cet argent.

Comment se fait-il qu'il n'y ait aucune votation à ce sujet?

Rappels :

Suisse: 11,11 milliards de francs entre 2017 et 2020 pour l’aide au développement.

Pour la période 2021-2024, nos élus ont décidé d’octroyer plus de 11 milliards à l’aide au développement

Suisse : Les demandes d’asile ont presque doublé en juillet

Porrentruy. Piscine interdite aux étrangers en raison d’incivilités : Les socialistes Christian Levrat et Ada Marra manifestent leur mécontentement

Face aux caméras de nos confrères de la RTS, les baigneurs locaux se montrent plutôt satisfaits de cette baisse d’affluence.

Mais ce n’est pas l’avis général. Le lendemain de l’entrée en vigueur de la mesure, les Jeunes Socialiste jurassiens lançaient une pétition en ligne pour dénoncer son caractère «discriminatoire et illégal» et appeler les autorités à l’annuler. Sur les réseaux sociaux, leurs aînés Christian Levrat, président du PS suisse, et Ada Marra, députée, ont également affiché leur mécontentement.

Et il n’y a pas que la gauche. Dans un courrier de lecteur publié mardi par Le Quotidien Jurassien, Fabrice Berret, conseiller communal démocrate-chrétien de Cornol (un village voisin, qui participe au financement de la piscine) exprime sa colère. «La piscine de Porrentruy est interdite aux chiens et aux Français. Bien qu’avec ma famille nous ayons l’abonnement, nous ne mettrons plus les pieds dans cette piscine tant que cette mesure ne sera pas levée», écrit-il.

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«On est quand même mieux entre nous»

Sur le site d’informations Le Matin, l’agent de sécurité de la piscine confie que «tout va mieux sans les fauteurs de troubles français». «Ouste, les casseurs! C’est mal fait pour les familles, mais c’est mieux comme ça», renchérissent trois retraités.

«Avant l’interdiction, on a expulsé des jeunes frontaliers entrés en enjambant le grillage. On les repérait facilement», poursuit le gardien. Il semble en outre que les incivilités aient été monnaie courante à la piscine de Porrentruy.

«Le 30 juin 2018, les perturbateurs interdits de périmètre ici se sont rabattus sur la piscine de Delémont, où ils ont provoqué une bagarre générale qui s’est conclue par un traumatisme crânien et une fracture d’un doigt. À Delémont, ça n’a été chaud qu’un jour, mais à Porrentruy, c’était tous les jours», raconte encore l’agent de sécurité à nos confrères.

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RTS


Rappels :

Jura : La piscine de Porrentruy est fermée aux étrangers à cause des incivilités et du coronavirus

La Jeunesse Socialiste Genevoise diffuse sa haine de la Suisse lors du 1er Août : « La JSG ne vous souhaite pas une bonne fête nationale. »

L’initiative sur l’interdiction de la burqa de l’UDC rejetée au Conseil national. « L’initiative est islamophobe et populiste », déclare Ada Marra

La mosquée de Lausanne recommande des politiciens pour les élections : Laurent Wehrli (PLR), Claude Béglé (PDC) et Ada Marra (PS)

Ada Marra veut aller chercher les migrants sur les navires des ONG

Suisse : Les mineurs à l’aide sociale pourront être naturalisés. « Ils ne doivent pas être stigmatisés » déclare la socialiste Ada Marra

Suisse: La Jeunesse socialiste veut l’abolition des frontières et un droit d’établissement planétaire.

Suisse : La socialiste Jacqueline Fehr ne veut plus de Christian Levrat à la tête du PS : “le visage du PS doit être féminin et jeune”

Lorsque la propagande socialiste se retourne contre les vieux socialistes qui ont cautionné et soutenu durant des années cette haine du mâle blanc.

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La conseillère d'Etat zurichoise Jacqueline Fehr appelle ouvertement au départ du président de son parti Christian Levrat. «Nous avons besoin d'un changement à la tête du PS», écrit la socialiste dans une tribune publiée dans la «Linke Zürcher Zeitung».

Pour les prochaines années, le visage du PS suisse doit être féminin et jeune, affirme Jacqueline Fehr dans l'hebdomadaire. Le mandat de président du parti du Fribourgeois de 49 ans expire au printemps, ce qui soulève la question de savoir si Christian Levrat devrait être réélu. «Je pense que non», estime mardi Mme Fehr dans un autre journal, la «Neue Zürcher Zeitung».

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20Min.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

Le parti socialiste veut reconnaître l’islam en tant que religion en Suisse pour contrer la “haine de la droite”

Le parti socialiste veut agir contre la haine de l'islam et développer un islam suisse.

Christian Levrat et les membres de son parti veulent que l'islam devienne une communauté religieuse reconnue en Suisse comme les catholiques et les chrétiens réformés. Ainsi, le parti socialiste veut établir les droits et les obligations de l'islam suisse: il doit être démocratique, confesser un islam moderne et, en échange de cela, pouvoir prélever des impôts.

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Levrat explique également pourquoi il devrait exister un islam suisse. «Nous devons soutenir les forces éclairées parmi les musulmans.» Le parti socialiste veut donner une voix à la grande majorité des musulmans qui veulent pratiquer leur religion en paix, comme les catholiques et les protestants sont autorisés à le faire.

On réagit à deux mouvements idéologiques. D'une part, on combat l'islam politique qui poursuit des objectifs et qui engendre une radicalisation. D'un autre côté, on veut empêcher la droite conservatrice de construire un projet identitaire basé sur l'islamophobie.

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Source et article complet Traduction libre Les Observateurs.ch

Ambiance chalet au Parti socialiste. La chronique d’Yvan Perrin

Dans son magistral ouvrage "Le Prince", Machiavel suggère à celui pour qui il écrit de faire exécuter ses basses besognes par quelqu'un d'autre afin de ne pas être mis en cause si les choses tournent mal voire puisse sacrifier son séide en cas de besoin. Manifestement, Christian Levrat, président du parti socialiste suisse a de bonnes lectures et fait donc donner son chef de groupe parlementaire à Berne, le Vaudois Roger Nordmann, pour rappeler les usages élémentaires à la Jeunesse de leur parti. On savait la présidente Tamara Funiciello turbulente, prête à bruler son soutien-gorge pour la cause, mais l'activisme échevelé de la dame et de ses troupes ne faisait qu'irriter en privé les hautes sphères qui subissaient la fougue de la jeunesse.

Aujourd'hui, comme nous le conte Le Matin du jour, il en va tout autrement. Le rejet de Prévoyance 2020 le 24 septembre dernier a profondément meurtri le parti à la rose dont le projet était porté par son Conseiller fédéral Alain Berset. Pour ajouter à cette grande douleur qu'ils ne gardent plus muette, les camarades estiment que leur jeunesse a joué un rôle prépondérant dans la défaite, chose qui passe mal. Roger Nordmann accuse ainsi Dame Funiciello de n'avoir pas pris au sérieux la responsabilité qui était la sienne durant la campagne pour avoir été "idéologiquement aveuglée" !

On peut le croire sur parole, Roger Nordmann s'y connait en aveuglement idéologique, lui qui ne s'est jamais départi de ses œillères roses. Pour notre homme, lorsque la section mère s'est prononcée démocratiquement, les jeunes ne doivent pas s'y opposer. Soulignons le terme démocratiquement qui a une certaine importance, manifestement au sens où l'entendait la défunte Allemagne de l'Est. Le chef de groupe poursuit, accusant sa jeunesse d'avoir l'esprit brouillé par l'idéologie, par exemple avec la proposition de la semaine de 25 heures, idée catastrophique de la bouche même de Roger Nordmann. En clair, au parti socialiste, la jeunesse colle les affiches sur lesquelles trônent les pontes et se tait. Hélas, notre homme rêve tout éveillé.

Tamara Funiciello ne manque pas de répartie, qui lui conseille "de mieux utiliser son temps à du travail de contenu" plutôt que de jouer au papa de la Jeunesse socialiste. Merci pour lui, le voici chaudement habillé pour l'hiver. Manifestement, la mise au pas en vue d'éviter les couacs prévisibles durant la campagne pour les élections fédérales 2019 semble assez mal engagée. Les jeunes auront au contraire à cœur de ringardiser leurs anciens en lançant une foule d'idées toutes plus saugrenues les unes que les autres, propositions dont la vieille garde devra se distancer sans avoir l'air de désavouer la relève. Bonne chance !

Autre sujet de mécontentement pour Christian Levrat, les Femmes socialistes donnent elles aussi de la voix, exigeant d'ores et déjà que la personne qui lui succèdera à la tête du parti soit une femme. Envisager le départ du Grand Chef, remarquable crime de lèse-majesté dont souffre silencieusement l'intéressé. Il supporte mal que l'autorité qu'il estime sienne soit remise en cause par des gens manifestement incapables de saisir sa pensée complexe comme on dirait chez Emmanuel Macron. Sa couronne de politicien le plus influent de Suisse semble vaciller puisque l'influence en question ne convainc plus guère au sein de ses propres rangs. C'est en chef dont la succession se prépare que Christian Levrat va conduire les prochaines élections fédérales, il le sait et ça le rend nerveux. Nul doute que nous allons encore entendre souvent Roger Nordmann exprimer la pensée du Grand Manitou et ses mots gagneront en acrimonie au fil des excentricités de la Jeunesse socialiste dont on sait qu'elle ne déçoit jamais.

Tout cela est de bon augure pour notre Pays.

 

Yvan Perrin. le 8 octobre 2017

Après ses enfants, la Suisse doit reconnaitre ceux des autres.

On sait depuis fort longtemps que le Parti socialiste n'accorde plus guère de valeur à la nationalité suisse, multipliant les initiatives visant à octroyer le passeport à croix blanche à toute personne qui en ferait la demande sans remplir le moindre critère. Dans l'esprit gauchiste, la démarche est cohérente. Du point de vue des camarades, on ne peut que déplorer que de fâcheux nationalistes au front étroit aient encore l'impudence d'accorder quelque importance aux droits démocratiques liés à la citoyenneté suisse. C'est bien entendu un argument phare brandi par ces rances patriotes qui estiment qu'au vu des droits qu'il octroie, le passeport helvétique doit se mériter.

Que nenni. Dans l'esprit socialiste, nos droits démocratiques ne sont qu'un regrettable obstacle permettant au Souverain de corriger les visées de Christian Levrat et de ses disciples. Ce n'est pas un hasard si le Parti socialiste tient tant à délayer la Suisse dans l'Union européenne dont le gouvernement non élu promeut le programme à grands coups de directives. Il suffit de voir avec quelle satisfaction la gauche accueille le projet de désarmement des citoyens libres et responsables voulu par la Commission européenne, ceci dans le droit-fil de la politique liberticide menée à Bruxelles. Dans la mesure où le but ultime du socialisme consiste à supprimer nos droits pour les confier à une coterie d'apparatchiks incestueux, il est évident que les droits en question n'ont plus de valeur et partant, ne sauraient exiger le moindre effort pour obtenir le document qui leur est attaché.

Aujourd'hui, le Conseiller national socialiste Cédric Wermuth passe à la vitesse supérieure. Il proclame que les enfants nés en Suisse de parents réfugiés devraient obtenir la citoyenneté à la naissance, ce qui, en clair, constitue la mise en œuvre du droit du sol. Cette notion, le ius soli, revient à faire une vache d'un cheval au prétexte qu'il est né dans une étable. Une telle proposition démontre clairement le profond dédain que la gauche voue à nos valeurs, à notre histoire, à ce que nous sommes en voulant octroyer notre passeport à ces hordes qui accostent en Italie, assoiffées de prestations sociales, prosélytes d'une religion qui appelle à notre destruction.

L'idée, toujours du point de vue du Parti socialiste, présente toute une série d'avantages. La procédure d'asile se limiterait à sa plus simple expression pour celles et ceux qui auraient eu le bonheur d'avoir descendance chez nous. On ne saurait en effet soumettre au moindre examen des personnes dont la progéniture arbore le passeport à croix blanche. Rapide digression pour relever que c'est bien le seul endroit où les islamistes tolèrent la présence d'une croix. L'éventuelle expulsion d'un géniteur turbulent ne constituerait plus une option même si nous le décidions. La Cour européenne veille et casserait toute décision d'éloignement prise dans un tel contexte. Ce serait aussi l'occasion pour la gauche de remplumer son électorat dans la mesure où nombre de réfugiés préfèrent se complaire à l'aide sociale plutôt que se prendre en charge. Comme on peut le voir dans nos villes, les bénéficiaires des largesses publiques ne mordent pas la main qui les nourrit, assurant de confortables élections à ces camarades qui s'assurent une clientèle sur le dos des derniers contribuables. L'inverse est également vrai comme on le voit à Berne ou à Genève, deux villes qui font preuve d'une remarquable mansuétude voire d'un soutien affiché aux casseurs, considérant que leur violence est légitime puisque de gauche.

A l'heure où Cédric Wermuth souhaite octroyer nos droits à ceux qui rêvent de nous les enlever, souvenons-nous des mots du célèbre écrivain français Bernard Werber. Selon lui, toutes les civilisations qui faisaient des petits napperons, des gâteaux en sucre et des émaux ont été détruites par celles qui faisaient des massues, des haches et des flèches. Petits napperons, gâteaux en sucre, émaux, un résumé poétique du programme socialiste.

La Côte-aux-Fées, le 14 juillet 2017                                                          Yvan Perrin

Le président du parti socialiste pris en flagrant délit de mensonge pour discréditer NoBillag: “Premier effet de NoBillag: 200 empois perdus”

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Source Non à Billag

Or, comme précisé par Monsieur Michael Mandl et dans l'article que nous avons publié, voici la véritable raison:

"La redevance radio-TV ne sera plus perçue par Billag. Dès 2019, ce sera la société Serafe qui la prélèvera auprès des ménages. Cette dernière demande 123 millions pour la durée de son mandat de sept ans, soit 17,6 millions par an. Billag touche 54 millions par an.

La firme proposait l'offre la plus avantageuse économiquement, indique vendredi le Département fédéral de la communication dans un communiqué. Serafe est une filiale de l'entreprise Secon, dont le siège se situe à Fehraltorf (ZH). Cette dernière possède «une grande expérience dans l'encaissement et dispose de systèmes et de processus informatiques modernes», explique-t-il.

La loi prévoit que le nouveau système entre en vigueur au plus tard en 2019. Les premières factures seront donc envoyées aux ménages à ce moment-là, date à laquelle l'actuel contrat avec Billag arrive à échéance. Le mandat octroyé à Serafe se termine quant à lui le 31 décembre 2025."

Source

“Johann Schneider-en-panne”, le tacle de Christian Levrat au président

Ndlr : Pour une fois, nous sommes d'accord avec Christian Levrat

Le président de la Confédération Johann Schneider-Ammann assiste au démantèlement de l'industrie suisse en restant les bras croisés, critique le chef de file socialiste Christian Levrat dans le Blick lundi.

Johann Schneider-Ammann souffre d'un blocage psychologique, déclare le socialiste lundi dans une interview au quotidien alémanique Blick. Il ne fait absolument rien face aux défis économiques que connaît la Suisse.

Le ministre de l'Economie est le chantre du "laisser-faire". Son "refus d'agir" est purement idéologique et aura des conséquences catastrophiques, prédit Christian Levrat.

Un débat urgent demandé

Entre l'interventionnisme de l'Etat "à la française" en matière économique et le "laisser-faire", il y a pourtant une voie médiane, estime le président du PS.

Son parti va demander un débat urgent aux Chambres sur le démantèlement des postes de travail et la désindustrialisation lors de la session de printemps.

Il trouve aussi problématique que la Confédération n'ait pas voix au chapitre lors de la vente d'entreprises à des étrangers. Il y aurait peut-être besoin d'une procédure d'autorisation lors d'acquisitions et investissements dans des secteurs industriels importants (lire encadré).

ats/sbad

Le cas Syngenta dans le viseur

Christian Levrat cite la reprise du groupe agrochimique bâlois Syngenta par une entreprise chinoise "communiste" comme problématique. Johann Schneider-Ammann a laissé passer cela, souligne-t-il."Les Etats-Unis, qui ont une commission pour ce genre de cas, sont en train d'examiner cet achat de près. N'est-ce-pas curieux?", interroge le président du PS qui tire un parallèle avec la crise financière de 2008.A cette époque, le Conseil fédéral a réagi de façon déterminée et a mis sur pied une stratégie de la place financière, ce qui a payé."Nous avons besoin d'une stratégie de l'industrie, afin de soutenir les entreprises qui souffrent de la conjoncture défaillante et du franc fort.

No comment

Contacté par l'ats, le Département fédéral de l'économie, de la formation et de la recherche ne veut pas commenter les déclarations de Christian Levrat, selon son porte-parole Noé Blancpain.

Levrat veut un accord cadre avec l’UE, même si cela implique une perte de souveraineté de la Suisse

 

La Suisse doit se redonner une perspective européenne, estime le PS

"La Suisse finira par trouver une solution pour appliquer l'initiative contre l'immigration de masse", estime le président du Parti socialiste Christian Levrat mais, selon lui, ce ne sera pas la fin des problèmes avec l'UE.

Berne peine à s'entendre avec Bruxelles pour mettre en oeuvre l'initiative du 9 février 2014. Pour le PS, il faut analyser toutes les relations bilatérales et réfléchir à la perte de souveraineté nationale.

C'est l'une des priorités 2016 annoncées mercredi par le Parti socialiste lors de son traditionnel apéritif des médias pour l'Epiphanie.

Pour Christian Levrat, les milieux économiques se trompent en croyant qu'il faut uniquement trouver une solution pour appliquer l'initiative.

La clause unilatérale de sauvegarde proposée par le Conseil fédéral en décembre risque de geler pour des décennies toute discussion sur la politique européenne, a-t-il relevé.

Adopter une "vision à long terme"

Seul un accord cadre chapeautant tous les accords bilatéraux permettra d'éviter des accords figés et perdant de la valeur.

La Suisse risque une perte de souveraineté, mais il faut aborder cette question avec une vision à long terme. Le PS ne défendra pas forcément l'adhésion à l'UE, "il faudra en discuter", a précisé son président. Cela dépendra aussi de la direction vers laquelle évoluera l'Union.

Source

Merci à Winnie

Christian Levrat fustige les candidats UDC et la clause de sauvegarde

Christian Levrat s'est montré très critique envers le ticket UDC pour le Conseil fédéral devant les délégués de son parti samedi à Saint-Gall. Le président du PS a aussi dénoncé la solution du gouvernement au 9 février.

"Guy Parmelin a glissé vers la droite à cause de ses ambitions (...) Thomas Aeschi est le fils spirituel de Christoph Blocher et Hans-Rudolf Merz (...) alors que Norman Gobbi est d'un autre parti (La Lega), bien plus petit que le PBD d'Eveline Widmer-Schlumpf", a lâché Christian Levrat.

Toutefois, le président du Parti socialiste n'a pas lancé d'appel à une opposition frontale à un deuxième UDC au Conseil fédéral: "Nous allons faire au mieux, dans le choix des possibles", a-t-il dit simplement.

La clause de sauvegarde, un "dangereux placebo"

Interrogé dans l'émission Forum, Christian Levrat a également vivement critiqué la solution dévoilée vendredi par le Conseil fédéral pour appliquer le texte anti-immigration adopté le 9 février 2014, qu'il a qualifiée de "dangereux placebo".

"On ne sait pas très bien à quoi correspond cette clause de sauvegarde. Il n'y a pas de données chiffrées. Il n'est pas clair non plus qu'elle soit acceptable du point de vue de l'Union européenne", a-t-il indiqué.

Pour le président du PS, cette mesure ne va d'ailleurs rien résoudre: "au final, il est assez vraisemblable qu'on n'ait pas de contingents, qu'on n'ait pas non plus de mesures d'accompagnement (...) et que le message de la population ne soit pas entendu."

"Vers une législature difficile"

Par ailleurs, Christian Levrat a indiqué devant les délégués que le PS n'avait pas atteint son objectif aux élections fédérales et s'attendait à une législature difficile avec une majorité de droite au Conseil national. Le parti doit se redéfinir pour trouver de nouveaux adhérents.

L'objectif de 20% des suffrages n'a pas été atteint, mais le PS a enregistré une poussée dans les villes. Au Conseil des Etats, il a réalisé le meilleur résultat de son histoire avec 12 sièges, a encore rappelé le président de parti.

Recherche de nouveaux adhérents

Pour gagner dans quatre ans, le PS doit améliorer sa capacité de mobilisation et trouver de nouvelles sources de financement. Le parti doit aussi se redéfinir pour trouver de nouveaux adhérents, notamment dans les agglomérations et les campagnes. C'est là que le PS peine à progresser, a souligné Christian Levrat.

Source

Christian Levrat: “la Suisse devrait suspendre ses paiements à la Hongrie”

Christian Levrat souhaite que Berne soit plus stricte avec Budapest au vu du scandale des réfugiés dans le pays. Les paiements versés dans le cadre du milliard de cohésion devraient être gelés.

Tant que le Premier ministre "Viktor Orban ne respecte pas les droits de l'Homme, la Suisse devrait retenir ses paiements pour la Hongrie", assène le président du PS dans une interview au SonntagsBlick.

En lieu et place, des moyens financiers supplémentaires devraient être fournis selon lui aux organisations qui sécurisent les axes empruntés par les migrants à travers l'Europe.

Source

Levrat demande plus d’efforts pour les réfugiés

A l'occasion de l’assemblée du PSS, son président exige que le Conseil fédéral augmente ses moyens pour sauver le plus possible de vies humaines.

La Suisse, en tant que membre de Schengen et Dublin, a une responsabilité directe dans la politique européenne de migration, a déclaré Christian Levrat samedi à Berne devant l'assemblée des délégués.

Suite

Levrat : “Il faut isoler ces nationalistes de l’UDC avant les élections fédérales”

Christian Levrat, président du Parti socialiste suisse, a lancé la fronde vendredi dans le Journal du matin de la RTS contre son adversaire de la droite conservatrice, l'UDC, avant les élections fédérales d'octobre.

"Le premier parti de Suisse ne peut pas être le parti le plus à droite en Europe", s'est exclamé Christian Levrat, le président du Parti socialiste suisse sur les ondes de la RTS vendredi matin.

Le politicien a assuré que son but aux prochaines élections était de faire reculer la Suisse de la peur, du repli et de la radicalisation afin de pouvoir parler calmement de libre circulation, d'asile et de droits sociaux.

Pour le Fribourgeois, il n'est pas question de laisser la voie ouverte à un deuxième membre de l'UDC au Conseil fédéral, rappelant que la législature 2003-2007 avec Christoph Blocher et le PLR Hans-Rudolf Merz au pouvoir avait été une véritable gabegie.

"Le gouvernement fonctionne mieux sans un deuxième UDC", a-t-il insisté, expliquant que le PS comptait effectuer un arbitrage entre deux images de la Suisse: celle de l'UDC, de la peur et du recul, contre une Suisse du progrès que veut incarner le PS.

Rassembler "bobos urbains" et ouvriers

La campagne pour les élections fédérales 2015 du 18 octobre devra rassembler les deux ailes traditionnelles du parti, à savoir l'électorat historique que forment les ouvriers et les syndicalistes et la "bourgeoisie éclairée" d'hier, devenue aujourd'hui la classe moyenne urbaine bien formée.

"Cela m'est arrivé d'être agacé par les votes de ces "bobos urbains", a avoué Christian Levrat. Mais le PS vit de ses deux ailes et doit les réunir autour de combats identitaires comme ont réussi à le faire des partis comme Podemos en Espagne ou Syriza en Grèce".

Le président du PS n'exclut pas un certain populisme de gauche tant que celui-ci consiste à convaincre et proposer des solutions pour améliorer le quotidien de tous. "Mais l'idée n'est pas de susciter les bas instincts des uns et des autres".

Initiatives refusées

"Un parti est jugé à ses résultats et nous en avons obtenu beaucoup", a encore relevé le Fribourgeois, qui a estimé que les récentes initiatives socialistes (pour l'abolition des forfaits fiscaux, la caisse maladie unique ou les salaires minimums), toutes balayées en votation populaire, ont tout de même été des instruments qui ont permis d'obtenir des résultats concrets.

Même si elles ont été refusées, elles ont abouti à des augmentations de salaires ou à une surveillance plus étroite des caisses maladies, a soutenu le socialiste.

Christian Levrat s'est aussi défendu de "ne pas aimer les riches", en argumentant toutefois pour le financement de l'AVS via un impôt sur les successions de plus de deux millions de francs, plutôt que par des taxes sur la consommation ou sur les salaires. Le texte sera soumis au peuple le 14 juin prochain.

Pour écouter, c'est  ICI

PS : Une défaite électorale est exclue

Le président du PS Christian Levrat a ouvert le congrès extraordinaire de son parti avec un discours de combat dans l'optique des élections nationales de l'automne.

Le PS doit gagner ces élections, la défaite n'est pas une option, a lancé M. Levrat samedi devant les délégués du PS. «Les tenants de l'isolement doivent être battus. Ces élections se joueront entre eux et nous.»

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