Financer son autodestruction et le faire avec le sourire. Aussi loin qu’il est possible de remonter dans l’histoire de l’humanité, c’est une situation sans précédent. Le Conseil fédéral a repoussé une nouvelle fois les limites de l’absurdité, de l’avilissement et de l’indignité.
Le 28 mars dernier, le Conseil fédéral a décidé de faire cadeau de 1.1 milliard de francs à l’UE pour soutenir le développement des pays de l’Europe de l’est. A ce montant, il a ajouté 200 millions de francs pour soutenir la politique migratoire européenne. Ainsi, nous offrons 1'300'000'000 francs à l’étranger alors que nos retraités meurent de faim, que les contribuables étouffent sous les impôts et que les ménages sont asphyxiés par les primes maladies. En plus, notre argent sert à développer l’économie de pays concurrents qui nous appauvrit et à encourager une politique migratoire qui fait sombrer notre continent dans l’islamisation.
Face à la bêtise, un seul espoir : le vote du peuple. L’ASIN soutient la motion 18.3247 (https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20183247) afin que le peuple puisse se déterminer et ainsi offrir une chance aux Suissesses et aux Suisses de sauver leur porte-monnaie en refusant de verser ce « milliard de cohésion » à l’UE.
La Suisse, working poor de l’Europe
Les Suissesses et les Suisses envisagent de plus en plus l’avenir avec pessimisme. C’est un triste constat, mais les faits sont évidents. Les jeunes Suisses – après avoir survécu à une instruction publique de moins en moins efficace – sont confrontés à un marché de l’emploi impitoyable. Au pire, ils tombent rapidement à l’assistanat social, au mieux ils acceptent de devenir des working poors, soit des salariés dont le revenu ne suffit pas à payer les factures courantes car les entreprises délocalisent leur production dans les pays que nous aidons justement en versant 1.1 milliard de francs. Comment demander à la génération montante de se montrer entreprenant et optimiste dans de telles conditions ?
Le Suisse de demain sera Africain
Le sort des 30-50 ans n’est guère plus enviable. Qu’ils soient seuls ou mariés, parents ou sans enfant, les 30-50 ans sont dépouillés par le fisc. Ils sont les vaches sur lesquelles le Conseil fédéral vient prélever l’argent qu’il verse à l’étranger pour soutenir des pays qui nous piquent notre production de la main gauche pour nous refiler leurs denrées alimentaires douteuses de la main droite.
Incapables de pouvoir subvenir à leur propre besoin, les Suisses entre 30 et 50 ans ne font plus d’enfants. Pour compenser un taux de natalité en chute libre, le Conseil fédéral favorise l’immigration de masse. Les Suisses ne font plus de Suisses, les Européens ne font plus assez d’Européens et les Africains font bien trop d’Africains. La Suisse de demain sera-t-elle africaine ?
EXIT à 50 ans
Les plus de 50 ans sont une génération menacée en Suisse. Top chers, cher vieux, trop ringards. Fatalement poussés au chômage, ils sont socialement et professionnellement assassinés au nom d’une mondialisation qui broie l’être humain jusqu’à lui extraire sa derrière goûte de sueur avant de l’abandonner à son sort en le jetant au bord de la route sans pitié, sans égard, sans dignité.
Le destin des plus de 50 ans préfigure celui de nos retraités, pour qui vivre dans notre pays devient trop cher. Pour beaucoup, la retraite ne peut s’envisager qu’à l’étranger. En Europe du sud, en Afrique du nord ou en Asie du sud-est. Devenu inutiles dans un pays livré à la mondialisation par ses propres autorités, les retraités suisses sont déracinés pour être remplacés par des travailleurs étrangers convaincus qu’ils trouveraient l’eldorado dans la riche Suisse et qu’ils deviendraient riche en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
Indignons-nous et luttons, maintenant ou jamais
Chaque jour, celui qui s’interroge sur notre société ne peut que voir notre pays nous échapper. La Suisse fout le camp. La Suisse sombre, mais de nombreux Suisse veulent se battre pour remettre notre pays en ordre. La Suisse n’est pas morte. Indignons-nous ! Ce pays est notre pays, pas celui d’un Conseil fédéral asservi.
Les temps sont devenus durs pour les Suisses, mais nous sommes forts et travailleurs. Il ne reste plus qu’à être également courageux ! Refusons de céder face à l’UE, refusons de payer 1.3 milliard de francs pour finir asservi. Cet argent est celui des Suisses et il restera en Suisse.