Police zurichoise obligée de préciser la nationalité des criminels mais pas l’origine

La police devra indiquer la nationalité des délinquants dans le canton de Zurich. L'origine des Suisses naturalisés ne sera cependant pas précisée. Les Zurichois en ont décidé ainsi, comme ils ont fixé un cadre aux détectives contre les abus à l'aide sociale.

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Swissinfo.ch

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Rappels :

Soleure : Un Albanais naturalisé avait tué son gendre. Le 20 Minutes claironne qu’il s’agit d’un Suisse.

Jura : Les auteurs de la fusillade sont des jeunes naturalisés « Cette nuit-là, la guerre des clans opposait des Kosovars à des Africains. »

Vaud et Genève naturalisent le plus, Schwytz et Glaris le moins

Naturalisation: la ville de Lucerne naturalisera gratuitement les moins de 25 ans

Jeton, Kosovar naturalisé Suisse, jugé pour meurtre : En prison, il chante « Tout ce dont j’ai besoin, je le prendrai par la force »

Suisse : un islamiste naturalisé est déchu de la nationalité suisse

 

Un signal fort contre l’islamisme radical et pour les entreprises suisses

L’UDC se réjouit du bon accueil que les citoyennes et les citoyens ont réservé à l’initiative populaire « Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage » et à l’accord de libre-échange avec l’Indonésie. Ces deux projets sont importants pour la Suisse: l’interdiction de se dissimuler le visage est un signal fort contre l’islamisme politique radical et l’accord de libre-échange avec l’Indonésie soutient l’emploi et réduit la dépendance de la Suisse de l’UE.

L’UDC constate avec satisfaction que l’argumentation socio-romantique, irréaliste et en bonne partie absurde des milieux de gauche n’a pas empêché la majorité des citoyennes et citoyens d’approuver l’interdiction nationale de se dissimuler le visage. « Comme l’a déjà relevé la Cour européenne des droits de l’homme de Strasbourg, l’interdiction de se dissimuler le visage est légale et ne constitue pas une violation des droits humanitaires », a souligné Marco Chiesa, président de l’UDC Suisse. Il est donc légitime que l’Etat prenne des mesures de cette nature pour sauvegarder la cohésion de la société. « La burqa dresse une barrière entre la porteuse et son entourage et empêche ainsi son intégration dans la société », conclut Marco Chiesa.

L’interdiction de se dissimuler le visage est de surcroît un signal fort et une avancée importante dans la lutte contre l’islamisme politique qui progresse également en Suisse en menaçant notre société libérale. Dire oui à l’interdiction de se dissimuler le visage, c’est dire oui à plus de sécurité, car cette mesure vise aussi explicitement les hooligans et les casseurs gauchistes qui, dissimulés par des cagoules, commettent des actes de violence et de vandalisme.

Cet accord renforce l’indépendance de la Suisse

Autre résultat réjouissant de ce dimanche de votation: l’approbation de l’accord de libre-échange avec l’Indonésie. Ce traité est équilibré et protège notre agriculture. Il améliore les chances des entreprises suisses sur cet important marché de croissance, un aspect particulièrement important face à la menace que la crise actuelle fait peser sur l’économie et l’emploi. Cet accord réduit de surcroît la dépendance économique de la Suisse de l’UE, donc aussi son exposition aux chantages politiques.

L’UDC regrette en revanche le refus de la loi sur l’e-ID. Reconnu par l’Etat et visant à empêcher les escroqueries à l’identité et l’usage abusif de données, le procédé d’identification électronique aurait renforcé la sécurité du droit et la garantie des engagements dans l’espace numérique. La sécurité numérique aurait profité du partenariat et des règles sévères sur la protection des données mis en place par la loi sur l’e-ID. Désormais, ce secteur sera sans doute complètement aux mains de fournisseurs privés.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/un-signal-fort/

“Mariage pour tous” : stop à la tactique du salami – signez le référendum !

Plus que jamais – le « mariage pour tous » devant le peuple!

6 mars 2021, David Zuberbühler, conseiller national, Herisau

Dans un message urgent daté du 20 février 2020 le comité référendaire « Non au mariage pour tous » a annoncé que seule la moitié des 50’000 signatures nécessaires avaient été réunies jusque-là. D’entente avec la direction du parti je vous invite donc à vous engager activement durant les trois semaines à venir pour faire aboutir le référendum contre le projet « mariage pour tous ».

Bien que le référendum n’ait pas été lancé par notre parti, l’UDC a été la seule grande force politique à s’opposer à ce projet et nombre de nos collègues la représentent au comité interpartis. Il est proprement inacceptable que l’exercice de ce droit démocratique ne soit pas seulement entravé par les restrictions dues à la pandémie de Covid-19, mais aussi par diverses chicaneries. En réunissant nos forces, nous pouvons encore récolter les signatures manquantes.

Dénoncé par des juristes, le caractère anticonstitutionnel de la procédure consistant à forcer cette réforme en écartant le peuple n’est pas, il s’en faut de beaucoup, la seule raison qui s’oppose à l’ouverture de l’institution du mariage. En effet, la Suisse a besoin non seulement de stabilité économique et de prospérité, mais aussi de stabilité sociale et familiale dont le mariage entre un homme et une femme est un des principaux garants.

Réserver le mariage aux couples hétérosexuel n’est pas une discrimination comme le répètent inlassablement divers groupes lobbyistes et les médias de gauche, mais c’est un acte de survie parfaitement légitime et reposant sur des motifs concrets. On ne crée pas une société libre en bradant des normes porteuses de l’Etat.

Un autre grave défaut du projet « mariage pour tous » est de priver intentionnellement les enfants du droit naturel de grandir auprès de leur mère et de leur père. Ma devise est donc « Plus que jamais – le mariage pour tous devant le peuple! ». Il est hors de question de récompenser l’acharnement politique et les tentatives d’intimidation.

Vous trouvez toutes les informations nécessaires à la récolte des signatures manquantes à l’adresse internet www.mariage-pour-tous-non.ch.

Avec votre signature vous contribuez au succès du référendum. Un grand merci pour votre soutien!

Formulaire de Referendum

Source : https://www.udc.ch/actualites/articles/editoriaux/plus-que-jamais-mariage-pour-tous-devant-le-peuple/

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Le tactique du salami des LGBT

– source de la parodie "L'histoire LGBT" (vidéo en hongrois)

1951: - Nous exigeons que l'homosexualité ne soit plus considérée comme un trouble mental.

1961: - Nous exigeons que l'homosexualité ne soit plus considérée comme illégale

1965: - Nous exigeons des lieux de rencontres, des cafés, bars, dancings, réservés exclusivement aux homosexuels

1969: - Nous voulons faire chaque année des manifestations de Gay Pride à travers le monde

1975: - Nous exigeons que l'homosexualité, la transsexualité et les 72 autres genres répertoriés soient égaux en droits aux hétérosexuels

1977: - Nous exigeons le mariage pour tous

2009: - Nous voulons le droit d'avoir des enfants

2012: - Nous exigeons plus de visibilité en tant que minorités ans les médias

2015: - Nous exigeons que les remarques homophobes, transphobes soient punies par la loi

2016: - Nous voulons être représentés comme des héros dans les productions cinématographiques, les livres pour enfants, la littérature

2018: - Nous exigeons des productions réservées aux LGBT

2019: - Nous voulons plus de trophées, plus d'égalité dans les domaines artistique et sportif

2021: - Les enfants qui décident changer de genre doivent pouvoir décider leur transition médicale sans consentement parental

2022: - Vous devez interdire tous ce que nous considérons comme discriminant vis-à-vis de la communauté LGBT

2025: - L'hétérosexualité est une maladie mentale inscrite dans le DSM-VII

2030: - L'hétérosexualité est illégale.

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Voir aussi: Forum, 4.3.2021

Le débat RTS- Abolir le mariage civil, autoriser la polygamie ?

Débat entre Nicolas Jutzet, vice-président des Jeunes libéraux-radicaux suisses,

Françoise Simpère, journaliste et auteur d'ouvrages consacrés au polyamour, Carolina Costa,

pasteure et Anne Reiser, avocate, spécialiste du droit de la famille

Cenator: Comme d’habitude, il n'y a personne dans ce débat pour défendre le mariage traditionnel (beurk...) – même la pasteure est impatiente de célébrer des mariages polyamour.

Ils trouvent tous que le polyamour est la seule façon d'avoir une société égalitaire et juste.

Le PLR Jutzet soutient que le droit et la morale ne doivent pas être liés.

 

Yverdon-les-Bains : Moustache hitlérienne taguée sur le visage des candidats de la droite

C’est un Jean-Daniel Carrard (PLR) «triste et déçu» qui a réagi aux tags des affiches des candidats de la droite (PLR, UDC, Vert’libéraux, UDF) à l’exécutif d’Yverdon-les-Bains, dont les visages ont été tagués avec une moustache en brosse à dents, rappelant Adolf Hitler.

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20Min.ch

Nos remerciements à Info


Rappels :

Yverdon : Géré par un socialiste depuis 9 ans, l’Office du logement subit de graves dysfonctionnements

Menacé de mort, le président de l’UDC Yverdon dépose une plainte

Scènes de guérilla urbaine à Yverdon-les-Bains : «Des jeunes voulaient casser du policier»

Violences le 1er Août à Yverdon-les-Bains : «Les autorités nous ont abandonnés»

Suisse. Yverdon-les-Bains: Altercation entre Africains à coups de hache.

Yverdon-les-Bains: Les dealers sont des Nigérians qui bénéficient d’un visa Schengen et qui peuvent se déplacer librement.

Vaud. Yverdon-les-Bains: L’Algérien abuse d’une femme déficiente. Il n’est pas expulsé.

Violences urbaines à Yverdon «Ce n’est pas à nos policiers de mettre leur vie en péril là-bas»

L’UDC porte plainte contre un ancien cadre des Jeunes socialistes pour dégradation d’affiches

Jadis président de la Jeunesse socialiste genevoise, un individu a été surpris par la police alors qu’il dégradait une affiche du parti bourgeois.

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L’ancien politicien dit avoir adressé ses regrets par écrit à l’UDC Lausanne et à l’UDC Vaud. Yohan Ziehli, vice-président du parti cantonal énonce qu’il n’en a pas encore pris connaissance. «Je suis satisfait de voir qu’il fait amende honorable», commente-t-il, sans se prononcer sur la procédure en cours. De son côté, la police municipale annonce qu’Action nationale a aussi déposé une plainte. 

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24heures.ch/

Élections. Pourquoi Genève a besoin d’un UDC au Conseil d’Etat

Genève souffre de mille maux, impossibilité de circuler, de trouver des logements, services publics lents et saturés, ville de plus en plus sale, insécurité grandissante ; où que l’on regarde c’est un canton qui dysfonctionne, sauf dans l’éparpillement des subventions et des dépenses publiques. Un tel tableau montre que le mal dont souffre Genève est celui du clientélisme politique.

Les symptômes de politiques de faveurs et de relations d’intérêts entre élus et privilégiés y sont légion. Ne serait-ce que parce que depuis trois décennies le cadre de vie s’y dégrade sans qu’aucune véritable solution ne soit mise en place, mais surtout parce qu’à Genève on ne trouve aucun ordre de priorité dans les dépenses publiques.

L’absence de priorité dans l’ordre des dépenses publiques est un indicateur net de clientélisme qui montre qu’au-delà des dépenses obligatoires l’Etat dépense d’abord pour privilégier des intérêts sectoriels ou des groupes de population plutôt que pour l’intérêt général. Ce qui prime c’est le client électoral et le financement des campagnes.

Lorsqu’un canton peut surpayer jusqu’à 780'000.- pour des toilettes publiques non excavées (vous avez bien lu ! cf. plage des Eaux-Vives) dépenser 680 millions pour l’isolation des fenêtres des bâtiments étatiques pour satisfaire à des normes de CO2 qui n’auront aucun effet sur le réchauffement climatique, paie l’enrobé routier 20 % plus cher qu’à Zürich, le coffrage vertical de béton 34 % de plus, les tranchées 55 % de plus que dans le Mitteland, qu’il se transforme en auberge espagnole dans laquelle tout un chacun peut y entrer, et que dans le même temps l’attente moyenne pour obtenir un logement dans une caisse de pension se monte à 8 ans ! que dans le même temps le gouvernement empêche les enfants genevois expatriés en France voisine de fréquenter les écoles du canton pour faire des économies, il devient évident que ce n’est pas l’équilibre qui est la première préoccupation, ni la défense de l’intérêt général.

Du point de vue économique et social Genève n’est pas gouvernée. La notion même d’équilibre y est absente.

Sinon il faudrait expliquer comment un canton qui bénéficie d’une rente de situation dans laquelle un PIB supplémentaire (entre 7 et 10 %) lui est littéralement offert par le monde – qui y a implanté ses organisations internationales – est capable simultanément d’être le canton le plus endetté du pays ? Un taux d’endettement net 4 fois supérieur à la moyenne nationale. Il faudrait expliquer comment à côté de ce surendettement ce canton peut avoir en plus les impôts les plus élevés du pays ? 34 % du potentiel fiscal y est prélevé et consommé par l’Etat, le taux le plus élevé de Suisse.

Le taux d’endettement relatif du canton pourrait encore être considéré comme acceptable, Standard & Poor’s lui décerne la note AA –, mais encore faudrait-il que sa population y bénéficie alors d’un niveau de vie et de services publics supérieurs et incomparables. Or c’est l’inverse qui est vrai, Genève n’a plus la qualité de vie qui a longtemps fait la réputation de la Suisse, le taux d’aide sociale du canton, le deuxième plus élevé du pays après Neuchâtel, n’a cessé de se dégrader pour passer de 5.3 % de la population aidée en 2013 à 6 % en 2019. Le nombre de personnes devant requérir au moins à une prestation sociale pour vivre est passé de 12.6 % de la population en 2009 à 14.3 % en 2019.

Comment expliquer que Genève qui dispose du revenu brut par ménage le plus élevé de Suisse (moyenne 2015-2017 des cantons les plus peuplés) se retrouve en queue de peloton une fois que ce ménage a tout est payé ? Pour prendre une comparaison, le ménage zurichois touchait pour la période considérée un revenu brut de 10'858.- en moyenne par mois contre 10'974.- à Genève (première du classement) mais une fois les dépenses obligatoires payées ce revenu passait à un revenu disponible de respectivement 7'829.- pour le ménage Zurichois contre 7'127.- pour le genevois. Parmi les grands cantons Genève a le revenu disponible le moins élevé (64.9 % du revenu brut, contre 72.1 à ZH et 74.1 % à LU). Si un ménage à Zurich peut épargner en moyenne 1'866.- par mois, 1'674.- en Argovie, ce montant chute à 1'226.- à Genève soit en dessous de la moyenne nationale de 1'460.- La différence est tout simplement énorme. Depuis la dernière enquête sur les ménages (2012-2014) la situation des genevois en matière de revenu disponible et d’épargne s’est considérablement dégradée.

Si l’on regarde l’économie globale de Genève il est évident que des équilibres ont été détruits durant les dernières décennies par les partis politiques au pouvoir.

Mais à l’occasion de l’élection complémentaire au Conseil d’Etat certains candidats viennent nous expliquer qu’il faudrait les juger sur leur bilan, et bien justement, ce bilan n’est pas bon.

Le conseiller Maudet se présente aujourd’hui en défenseur du petit commerce et des PME parce qu’à la faveur du COVID son département a par exemple mis en place en avril un soutien au paiement des loyers commerciaux des petits entrepreneurs et commerçants. Oui, sauf que de telles mesures existaient aussi dans d’autres pays d’Europe et dans bien des cantons et que la Confédération avait mis sur pied une Task force sur cette question avant même le canton de Genève, qui n’a donc ici rien inventé. Et ce que l’on ne dit pas, c’est que sous l’ère Maudet, en poste depuis 2013, en charge donc du DEE (Département de l’Economie de l’Emploi) donc ministre de l’économie, les PIB des secteurs qui intéressent particulièrement les petits indépendants genevois ont subis de sévères baisses relatives et des pertes importantes de leur marché.

Entre 2014 et 2019 la population genevoise a augmenté de 5 %, mais le PIB du commerce de détail et de la réparation n’a enregistré qu’une hausse de 2 % (baisse relative de 3 % probablement exportée en partie vers la France). Le PIB dans l’agriculture n’a absolument pas changé malgré une hausse de la population (importation de la différence depuis l’étranger), celui de la petite industrie (alimentaire, textile, bois; impression; plastique; métallurgie) a baissé de – 2.2 % ; et celui des autres branches du secteur secondaire a aussi baissé de – 2.4 %. D’une manière générale le PIB par habitant lié à l’économie locale a baissé dans le canton si l’on fait abstraction des secteurs de l’Etat, de la finance assurance (dont l’évolution ne dépend pas de Genève), de la construction et transport qui durant cette période ont profité d’importants investissements extérieurs et d’aides fédérales (cf. le CEVA).

Si le PIB genevois total n’a pas baissé c’est aussi parce que des secteurs non directement liés au tissu économique local (ex. industrie chimique et pharmaceutique) ou des secteurs facilement délocalisables (ex. services aux entreprises, R&D, activités informatiques et spécialisées) ont performés. Dans un environnement où la qualité des transports et du logement ne cesse de se dégrader, où les avantages comparatifs genevois ne cessent de diminuer, les coûts de production d’augmenter, les conséquences économiques qui ne manqueront de survenir dans le futur se voient comme le nez au milieu de la figure.

Ce d’autant que sur la dernière décennie l’évolution cette fois du PIB par habitant de Genève a été le plus mauvais de tous les cantons suisses. En moyenne trisannuelle ce PIB par habitant a perdu 1.58 % à Genève pendant qu’en moyenne suisse il progressait de 4.1 %.

Si l’on reprend l’idée que l’Economie c’est d’abord dans son sens étymologique gérer l’ordre dans la maison, c’est-à-dire observer et maintenir les équilibres, et ici des équilibres dans l’entier de la société, autant dire que Genève n’y est pas, on n’y trouve pas de gestion économique dans ce sens-là.

Distribuer des subventions à des réseaux d’entrepreneurs proches des partis, faire de la promotion du tourisme ou de startups fragiles qui ne pourront que délocaliser leurs éventuelles productions (à peine 40 emplois créés par année à Genève), laisser le parlement faire des arbitrages clientélistes des dépenses publiques, et laisser tomber tous les autres déterminants économiques et sociaux, est très loin de faire le compte. Cherchez à Genève une étude – qui serait pourtant fondamentale – sur l’impact du niveau des loyers sur les coûts de production et les coûts de la vie, et vous n’en trouverez aucune.

En matière d’équilibre attendre 8 ans pour obtenir un logement décent dans une caisse de pension, et pour autant qu’on en trouve, parle de lui-même. Une telle incapacité à répondre à la demande montre bien qu’il y a un problème et que la première préoccupation des partis c’est la protection d’intérêts sectoriels et non pas de l’ensemble de la population. A Saint-Louis, capitale du Minnesota (USA), le salaire médian est identique à Genève (environ 7'000 dollars) mais le coût de base pour se loger pour une personne est de 670 dollars. Ici l’on a presque tout dit. La plus-value tirée sur le logement à Genève se monte à environ le double de ce montant, vous ne trouverez aucun studio à Genève en dessous de 1'200.- si vous en trouvez un.

Genève n’est pas un canton qui gère les équilibres économiques dans leur globalité, c’est un canton qui gère des intérêts sectoriels en relation avec des clientèles politiques. Et cela vaut pour tous les partis considérés sauf pour l’UDC.

Une telle attitude qui ne prend pas en compte les équilibres généraux est tout simplement catastrophique. Ce type de défaillance se voit dans les prix trop élevés de l’immobilier et des loyers. Ces prix trop élevés engendrent des surcoûts et des pertes de compétitivité dans tous les secteurs. Dans un monde de plus en plus globalisé, dans lequel les avantages comparatifs entre nations ne cessent de se niveler, laisser un tel surcoût croître sans aucune maîtrise, et pire en le favorisant, relève tout simplement de l’irresponsabilité économique. C’est exactement ce que fait Genève qui ne tient aucun compte des équilibres et ne survit que par une croissance économique dérivée d’une augmentation démographique qui ne règle rien sur le fond ni amène de solutions, et qui au contraire ne fait qu’empirer la situation. Du point de la politique économique Genève se comporte comme une société de portage, qui porte un peu plus loin sa dette et ses problèmes croissants qu’elle laissera aux générations futures. Genève est une république qui se comporte comme si elle n’avait pas d’enfants, elle ne s’intéresse pas aux équilibres et aux conditions cadres qu’elle leur laissera. Cela se voit même chez les soi-disant écologistes de Genève qui votent une croissance démographique sans limites puis un plan directeur cantonal (PDCn 30) qui sacrifie et sature les espaces de vies et de végétation au profit d’une migration allogène incontrôlée et démentielle.

Cette politique de croissance démographique non maîtrisée induit des coûts immédiats dont les citoyens genevois sont rarement informés. Les deux tableaux qui suivent le montrent sans ambiguïté.

Depuis l’ouverture de libre-circulation avec l’UE que le PLR, PS, PDC et Verts ont votée en 2002 au niveau fédéral et imposent depuis 2014 illégalement aux Genevois en refusant d’appliquer le retour à l’équilibre voté par le peuple suisse en février 2014, les coûts sociaux à Genève ont explosés.

Lorsqu’on observe l’évolution du montant que le contribuable genevois doit consacrer à la dépense d’aide sociale pour les personnes qui ont été exclues du marché du travail (Prestation Hospice Général + ancien RMCAS) le tableau est tout simplement catastrophique. Depuis l’entrée en vigueur de la libre-circulation en 2002 le montant consacré pour aider les personnes en fin de chômage a presque été multiplié par 4 passant de 86.8 millions en 2013 à 324.8 millions en 2018.

Bien pire, si l’on regarde l’évolution de cette dépense par rapport à la taille de la population, on s’aperçoit qu’elle a aussi été multipliée par 3 passant d’un coût de 200.- par habitant en 2003 à 647.- par habitant en 2018. Une telle évolution du coût de la dépense par habitant est catastrophique, elle a engendré pour la collectivité genevoise un surcoût d’environ 1.8 milliards de dépenses sociales sur les quinze ans considérés par rapport à une situation où le coût serait resté linéaire à 200.- par habitant.

C’est la politique de libre-circulation et de porte ouverte démographique des partis au pouvoir à Genève (PLR, PDC, PS, Verts) qui viennent aujourd’hui fanfaronner devant le peuple en expliquant qu’il faut les juger sur leur bilan !

Pour comparaison avec la COVID, à fin août 2020 le canton de Genève avait accordé 6’095 aides de loyer pour un montant de 10.7 millions soit environ 1’755.- en moyenne. [Rapport relatif au monitoring des loyers commerciaux, DEFR, 7 octobre 2020]. C’est peanuts comparés aux 1.8 milliards de surcoûts perdus dans l’aide sociale !

Et le discours des candidats à l’élection ne propose strictement rien pour rétablir l’équilibre général que demande une majorité de Genevois ; soit ces candidats s’en réfèrent à des mesures insignifiantes qui n’ont rien à voir (ex. création d’un guichet administratif unique comme mesure phare !) soit ils font des propositions qu’ils ne pourront réaliser parce qu’elles ne sont pas de la compétence d’un Conseiller d’Etat mais relèvent du législateur genevois ou fédéral. Et là aussi on a presque tout dit.

N’y-a-t-il pas alors de solutions pour améliorer les équilibres de Genève ?

Et bien oui, il y en a. Elles passent par des pratiques administratives rigoureuses, des pratiques que demandent justement les souverainistes et que justement ces candidats, hors celui de l’UDC, font tout pour ne pas appliquer.

Le chapitre suivant montre en quoi consiste cette approche souverainiste.

QU’EST-CE QU’UNE POLITIQUE SOUVERAINISTE CHANGERAIT A GENEVE ?

Les politiques souverainistes dans le cadre de l’économie de marché se caractérisent par une méfiance accrue face aux endettements publics, endettements qui mettent les décisions politiques à la merci des milieux financiers, elles se caractérisent par une méfiance accrue face à toute forme de déséquilibre. La politique souverainiste se manifeste par une attitude administrative rigoureuse en regard des problèmes d’économie publique, par une position sans concession face aux clientélismes, et par le primat de la défense de l’intérêt général. L’exact inverse de ce que fait le canton de Genève.

Les maux de Genève ne sont pas tombés du ciel, ils sont la conséquence de mauvais choix politiques et de pratiques administratives illégales qui n’appliquent pas les lois.

En Suisse on parle souvent de conditions cadres et ce qui cadre les activités économiques et sociales ce sont les conditions fixées dans les lois. Mais les lois ne sont rien si la pratique administrative des cantons appliquent mal ces lois voire ne les applique pas du tout, comme à Genève.

Chacun le sait, la Suisse a été débordée par les effets de la libre-circulation qui a dépassé toutes les prévisions des experts et entraîné une progression démographique qui a submergé le pays. Ce que le citoyen sait moins c’est qu’une partie de cet excès est la conséquence directe de lois non appliquées, comme à Genève.

Les juristes et les économistes de l’administration fédérale ont à l’origine construit et pensé l’accord de libre-circulation avec l’UE (ALCP) en examinant les articulations et les effets possibles avec les lois suisses, et en partant du principe que nos propres lois seraient appliquées correctement et entièrement dans notre pays.

Si dans un tel jeu d’articulations entre un accord international (l’ALCP) et nos lois internes ces dernières ne sont pas ou mal appliquées alors c’est tout le mécanisme qui est faussé et qui produit des problèmes, l’exemple genevois ci-après le montre très bien.

Lorsque la libre-circulation avec l’UE est entrée en vigueur en 2002, la demande de logements par l’immigration européenne a explosé à Genève.

On voit sur le tableau suivant que le taux de logements disponibles ou taux de vacance (colonnes noires) a chuté du jour au lendemain à Genève. Cela s’est naturellement traduit par une chute du nombre de nouveaux baux de location d’appartement signés par année (courbe bleue) et par une baisse du nombre de changements d’adresse déclaré à l’office cantonal de la population (courbe orange). Ce qui est logique ; s’il y a moins de logements disponibles il y a forcément moins de personnes qui peuvent changer de logement ou déménager à l’intérieur du canton, on voit ici une baisse de la mobilité des locataires genevois à l’intérieur du canton.

A partir de là, on aurait pu en déduire que si la mobilité des locataires genevois avait diminué du fait de la baisse du taux de vacance, l’arrivée de nouveaux migrants, leur mobilité et leur facilité à trouver un logement à Genève, aurait aussi dû baisser. Or, c’est l’inverse qui s’est passé, alors que le taux de vacance a baissé il n’a eu aucun effet sur l’immigration, l’immigration au contraire a augmenté, et ça c’est une donnée extrêmement problématique.

Comment explique-t-on que le taux de vacance diminue, que les locataires sur sol genevois doivent réduire leurs prétentions à trouver un logement, mais que le nombre annuel de migrants, qui donc trouvent un logement, lui, augmente ?

Les données statistiques genevoises ne sont pas assez fines pour tirer de conclusions, toutefois un élément permet d’avoir une idée assez vraisemblable de ce qui s’est passé. En effet, si le taux de vacance baisse, que les locataires genevois doivent réduire leurs prétentions à trouver de nouveaux logements, que le nombre de nouveaux baux signés par année baisse lui aussi, il en ressort que ces nouveaux migrants ont forcément dû trouver des facilités pour trouver des logements, soit par le biais de filières réservées et/ou soit de sous-locations massives (par hypothèse les étrangers ou les Suisses quittant Genève sous-louant leurs appartements aux nouveaux arrivants).

En tout état de cause ces deux tableaux montrent un très grave problème administratif.

Pour reprendre ce qui a été dit de l’articulation entre accord de libre-circulation et lois suisses telle que l’avait prévue les experts, le manque de logements aurait dû être un frein à une immigration massive, on ne peut en effet pas migrer si l’on ne trouve pas de logements. Ce frein à l’immigration par le logement a ici été totalement contourné sans que l’on ne puisse savoir vraiment par quel moyen ni en connaître précisément l’ampleur. Du point de vue administratif c’est totalement inacceptable.

On rappelle que trouver un logement à Genève est extrêmement difficile pour les locataires qui sont déjà sur place. L’entrée dans un logement est soumise à un contrôle administratif conduit par les régies qui demandent un extrait du registre des poursuites, une copie de l’ancien bail, une déclaration des trois derniers salaires, pour les étrangers un permis de séjour, et alors on se demande comment autant de migrants résidant ailleurs à l’étranger ont pu venir s’installer à Genève ? Plus de 15'000 par année entre 2001 et 2019.

L’impossibilité de répondre précisément à cette question est un problème administratif extrêmement grave et crucial qui n’aurait jamais dû ni pu arriver si la loi suisse avait été appliquée par les autorités cantonales genevoises.

En effet, si la sous-location n’est pas interdite en soi tant que le propriétaire du logement ne s’y oppose pas, notre loi sur la migration (LEI 142.20) exige cependant clairement que celui qui loge un étranger, donc aussi celui qui sous-loue à un étranger, en informe l’office cantonal de la population, et qui s’il ne le fait pas commet alors une infration pénale administrative poursuivie d’office.

Cete obligation de tout logeur de déclarer les locataires étrangers a pour but de permettre aux autorités et à l’administration de savoir qui réside sur le territoire, une donnée et une condition essentielle de sécurité territoriale, qui vise comme dans le cas présent à obtenir une vision concrète et administrative de ce qui se passe sur le territoire par le biais du marché du logement. Une donnée tout aussi importante du point de vue économique et social pour la gestion et la planification. Or cette obligation, figurant dans une loi fédérale (art. 16 LEI), n’a été appliquée par aucun des partis PLR, PDC, PS et Verts à Genève qui prétendent être élus pour régler les problèmes économiques du canton et qui ont fait exactement le contraire en élargissant constamment la tolérance aux infractions migratoires. La statistique des infractions montre que la non déclaration de logement à un étranger n’a quasiment jamais été appliquée ni poursuivie à Genève.

On vous laisse imaginer les conséquences d’une telle incurie administrative. Au taux moyen de personnes par ménage, on peut estimer qu’uniquement les sans papiers estimés à environ 15'000 à Genève occupent illégalement au moins 5'000 logements, sans compter tous les autres, les faux papiers et les sous-locations illégales donc que l’on ignore. Des Genevois affirment que des logements seraient utilisés tour à tour par des bénéficiaires de prestations sociales qui font du va et vient par-dessus la frontière, deux semaine ici deux semaines là, et toutes autres sortes d’astuces au détournement de prestations sociales. Cette inapplication de l’obligation de déclarer les locataires étrangers dans les sous-location est tout simplement catastrophique du point de vue administratif, sécuritaire et économique, elle relève de l’irresponsabilité.

Les conditions de vie à Genève ne cessent de se dégrader, les dépenses sociales explosent, le PIB par habitant régresse, l’insécurité augmente, et les autorités ont des pratiques administratives illégales qui ne leur permettent pas de savoir qui réside en réalité sur leur territoire. Il faut le dire pour le croire.

Que pourrait faire une politique souverainiste dans une telle situation ? Il semble que la réponse soit évidente. Déjà ramener le respect des lois et des pratiques administratives conformes, une rigueur que précisément les partis du PLR, PS, PDC et Verts se refusent à appliquer, et dont les élus et les édiles sont en plus tour à tour les auteurs de pratiques discutables.

La simple exigence de cette obligation de déclarer toutes les locations et les sous-locations à des étrangers, qui n’est jamais qu’un respect de la loi, dans le but précisément de conserver les équilibres au lieu d’ouvrir la porte à des situations ingérables, pourrait déjà avoir des effets considérables sur les questions concernées.

Les Genevois auront-ils le courage de donner sa chance au candidat UDC Nidegger, le seul montrant une volonté de taper du poing sur la table face à ces problèmes et d’en obtenir des informations cruciales ; c’est là toute la question. Entre la désinformation et les manipulations politiques dont sont victimes les Genevois, entre une Tribune de Genève, reine de la désinformation, et de soi-disant milieux culturels qui ne cessent de stupidement diaboliser une UDC qui est quand même le plus grand et parmi les plus anciens partis de Suisse, là est toute la question. Combien de Genevois savent qu’il y a deux UDC au Conseil d’Etat à Zürich depuis des décennies, un canton qui dans un meilleur cadre de vie laisse à ses citoyens une épargne et un revenu disponible bien supérieur.

L’intelligence voudrait que lorsqu’on a tout essayé et que rien ne marche alors l’on se saisisse de la dernière solution qu’on n’a pas encore essayée, et au moins qu’on l’essaie. Mais est-ce à la portée des Genevois ? Là est toute la question. Il s’agit pourtant de leur qualité de vie et de l’avenir de leurs enfants.

Une réforme dans les pratiques administratives et un retour à l’application de toutes les lois pourraient considérablement améliorer la situation. Mais les Genevois le savent-ils seulement ?

Michel Piccand

P.S.

Dans le même cadre lire l’article sur la mendicité ci-dessous, qui présente exactement le même type de problème administratif d’inapplication des lois par les partis au pouvoir à Genève et qui entraîne ensuite des problèmes ingérables.

https://lesobservateurs.ch/2021/02/14/cedh-les-juges-europeens-imposent-la-mendicite-aux-suisses/

Pour un exemple concret de clientélisme on renvoie principalement à l’affaire Maudet, où un Conseiller d’Etat se voit offrir des cadeaux somptueux et payer des sondages par le biais de personnes actives dans l’immobilier ou l’hotellerie à Genève, et où nombre de politiciens ne voient pas où est le problème…

Pour des données concrètes sur le clientélisme voir ici les différences incroyables et inexpliquées entre les coûts de constructions et du bâtiment public entre l’arc lémanique (Genève, Vaud) et la Suisse-allemande.

https://lesobservateurs.ch/2020/09/27/libre-circulation-comment-la-fer-et-la-gauche-abusent-des-cct/

Pour le problème des sous-locations illicites lire cet article où une femme de nationalité étrangère a pu sous-louer 30, oui 30 appartement à prix d’or à des migrants. Dans l’autre cas un homme qui a loué une dizaine d’appartements à des masseuses étrangères. Ces faits poursuivis actuellement en justice ne représentent probablement que la pointe de l’iceberg. Ils confirment ce qui est dit à propos de sous-locations probablement massives et confirment la pratique de laisser-faire par les partis au pouvoir quant au contrôle administratif des sous locations et de l’obligation de déclaration à l’office cantonal de la population.

N.B. On comprend ici assez peu que les propriétaires immobiliers acceptent de telles situations de sous-locations et de pratiques administratives illégales. Parce qu’il arrivera forcément un moment où la situation légale devra être rétablie, et alors certains d’entre eux pourraient se voir en payer le prix fort.

https://www.rts.ch/info/regions/geneve/11702702-a-geneve-une-marchande-de-sommeil-presumee-dans-le-viseur-de-la-justice.html

https://www.20min.ch/fr/story/la-justice-enquete-sur-une-lucrative-sous-location-408161757463

Et encore, parce que ces conséquences désastreuses ne sont pas des abstractions qui ne toucheraient que quelques rares personnes, voici des faits dont j’ai eu personnellement connaissance.

Un jeune genevois de retour après deux ans d’études à l’étranger pour parfaire ses connaissance qui faute de trouver un logement a trouvé une sous-location d’un studio à Genève avec un prix majoré de 30 % qu’il a découvert après coup et qu’il versait à une femme française domiciliée à Annemasse et pour qui c’était tout bénéfice.

Un autre jeune genevois qui après avoir résussi brillament son apprentissage et accompli ses obligations militaires s’est retrouvé durant deux ans à vivre dans un bureau préfabriqué portable et mal chauffé dans la cour de l’entreprise de son patron. L’idéal pour trouver une compagne et fonder une famille.

Ce Genevois la cinquantaine, travailleur manuel, qui faute de retrouver du travail et ayant entre-temps perçu un petit héritage l’a littéralement épuisé et perdu dans le paiement du loyer et de ses charges durant deux ans avant de se retrouver à l’hospice général.

Ce Genevois, qui venant de se mettre à son compte a perdu son logement sans en retrouver un et qui après avoir alerté de cette urgence tant les offices de logements de la ville que du canton sans jamais recevoir de réponse, a été forcé de vivre plus d’une année à l’hôtel et y a laissé toute la trésorerie qu’il avait prévue pour le démarrage de son entreprise et a finalement dû y renoncer.

Si chaque habitant de ce canton connaît quatre cas comme celui-ci, on vous laisse imaginer le tableau social de ce canton dans lequel les élus réclament qu’on les jugent sur leur bilan ! (sic).

Et l’on vous épargne les élus socialistes et écologistes qui bénéficient tous de logements enviables en Ville de Genève, ni comment, comme l’a expliqué la Cour des Comptes, des enfants et des proches des élus PDC trouvaient eux facilement des logements communaux dans les communes périphériques.

Au vu de tout ce qui a été dit, personne ici, pourvue du moindre bon sens, oserait affirmer que Genève est économiquement et administrativement bien géré. Ce qui rêgne c’est un clientélisme et copinage à tous les étages de la droite à la gauche.

Seule une personne ayant la volonté d’appliquer les lois qui pourtant existent pourrait y changer quelque chose.

N.B. Genève ne tient même pas de rôle de ses citoyens demandeurs de logements, il ne sait même pas combien il y en a.

NOTE

L’ordre de priorité dans les dépenses est une notion bien connue des juristes et de la justice qui l’appliquent quand ils ont à mesurer si une dépense est permise ou raisonnable. Cet ordre divise les dépenses en dépenses nécessaires (celles que l’on est obligé de faire), en dépenses utiles (celles qui sans être nécessaires permettent cependant de faire des économies ou d’améliorer le revenu) et enfin les dépenses somptuaires (celles que l’on peut faire seulement lorsque les dépenses nécessaires et utiles ont été accomplies et payées). Un exemple type est celui d’un père qui prétend qu’il ne peut pas payer la pension pour son enfant (dépense nécessaire) alors qu’il vient de s’acheter un véhicule luxueux (dépense somptuaire). Ainsi chacun comprend que celui qui fait des dépenses somptuaires alors qu’il n’accomplit pas ses dépenses nécessaires est à tout le moins moralement condamnable lorsque ce n’est pas judiciairement.

Cette règle de l’ordre des dépenses est universelle et s’applique à tous, sauf apparemment à certains appareils politiques qui ont en charge la conduite de l’Etat.

Il s’agit là d’un critère moral essentiel en politique et le degré par lequel les gouvernants s’en écartent indique alors le degré de clientélisme. Lorsqu’on peut dépenser 680 millions pour changer toutes les fenêtres des bâtiments étatiques, dépenser 60 millions pour une plage comme à Genève, alors qu’un nombre élevé de citoyens ne trouvent tout simplement pas à se loger, on a là toute la description du problème entre dépenses nécessaires, utiles et somptuaires, et qui se confond alors avec celle des dépenses clientélistes.

UDC: Cela suffit, Monsieur le Conseiller fédéral Berset!

La politique Covid-19 menée sous la direction du ministre de la santé Alain Berset est préjudiciable à notre pays. Un nombre croissant d’habitants de Suisse rejettent les mesures excessivement dures et veulent retrouver leur liberté. Les deux pétitions « Lockdown stop » et « Des bistros pour les travailleurs » donnent un signal fort dans ce sens: elles ont été signées en peu de temps par plus de 295’000 personnes.

Tous les indicateurs clés concernant la pandémie de Covid-19 sont en baisse. Pourtant, le ministre de la santé Alain Berset et la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral n’envisagent pas une fin du confinement. La semaine dernière ils ont reporté du 17 au 24 février la décision sur un assouplissement des restrictions. Leur politique provoque des dommages énormes, mais cela ne semble pas les gêner.

L’opposition d’un nombre croissant d’habitants de Suisse à cette nuisible politique Covid-19 ne préoccupe pas non plus le conseiller fédéral Berset: il n’a même pas daigné recevoir personnellement aujourd’hui les deux pétitions « Lockdown stop » (Stopper le confinement) et « Des bistros pour les travailleurs » que plus de 295’000 personnes ont signées en seulement quelques semaines. Ces pétitions ont été déposées par la plateforme politique interpartis « Schwiiz Brandaktuel » (Suisse – actualité brûlante), la conseillère nationale UDC Monika Rüegger et l’UDC Suisse. Les pétitionnaires exigent que les restrictions soient immédiatement assouplies, mais en respectant les concepts de protection et en préservant efficacement les groupes à risque.

50’000 signatures en 5 jours

Soutenue par l’UDC Suisse, la pétition « Lockdown stop » a été lancée mi-janvier par la plateforme politique interpartis « Schwiiz Brandaktuell ». « Lorsque le Conseil fédéral a décidé le 13 janvier de prolonger et de durcir les mesures bien que le taux moyen des infections sur 7 jours ait reculé de trois quarts par rapport à l’automne et que la tendance restât nettement à la baisse, nous avons décidé que nous devions agir », explique Leroy Bächtold, représentant de « Schwiiz Brandaktuell » et membre du comité des Jeunes Libéraux-Radicaux de la ville de Zurich. Durant les cinq premiers jours, la pétition a obtenu le nombre incroyable de 50’000 signatures: « La preuve qu’une grande partie de la population en a plus qu’assez du confinement! »

La conseillère nationale Monika Rüegger (OW) a fait la même expérience: sa pétition « Des bistros pour les travailleurs » a recueilli plus de 50’000 signatures en seulement huit jours. « Tout ou presque a été réglementé en vue du deuxième confinement, mais les professionnels travaillant en plein air ont été oubliés. Cela fait des semaines qu’ils doivent prendre leur repas de midi au froid. Une situation inacceptable », estime Monika Rüegger. Elle exige que les restaurants puissent ouvrir et agir comme des cantines pour ces travailleurs.

« Si des hôpitaux et, plus récemment, des restaurants peuvent se transformer en cantines pour les chauffeurs de poids lourds, cela doit aussi être possible pour les personnes qui doivent travailler à l’extérieur par un froid glacial. Ces travailleurs s’occupent de l’entretien de notre infrastructure. C’est dire qu’ils sont d’une importance systémique », relève Monika Rüegger.

Après avoir attendu en vain durant des semaines une réaction ou une action du Conseil fédéral, l’initiatrice de la pétition « Des bistros pour les travailleurs », la conseillère nationale Monika Rüegger, a trouvé en collaboration avec les représentants d’importantes organisations nationales (Gastrosuisse, Union patronale, Conférence des chefs des départements cantonaux de l’économie publique CDEP) une solution pratique et facilement applicable. On ose espérer que le Conseil fédéral prenne conscience de la situation extrêmement difficile des personnes devant travailler à l’air libre et qu’il se montre compréhensif.

La détresse des gens laisse froid le conseiller fédéral Berset

Mais de toute évidence la détresse et le désespoir de beaucoup de gens ne préoccupent pas le socialiste Alain Berset qui n’a même pas daigné consacrer quelques minutes à prendre acte des souhaits de la population. Il est manifestement beaucoup trop occupé à conforter son pouvoir personnel et à prolonger son régime Covid-19 excessivement dur sans se soucier le moins du monde des dommages à long terme que subissent le pays et sa population. Les conséquences de cette politique sont en effet désastreuses:

  • 8,5% des salariés sont au chômage partiel.
  • le chômage a passé à 3,7%.
  • la Suisse subira une vague de faillites jamais observée jusque-là.
  • chaque jour de confinement coûte 144 millions de francs. La classe moyenne et les générations devront payer l’addition de cette mauvaise politique par des hausses d’impôts.
  • des dizaines de milliers de personnes perdent leur place de travail et de formation.
  • d’innombrables exploitations craignent pour leur existence.
  • les jeunes perdent toute perspective d’avenir.
  • les dépressions, violences domestiques et suicides sont à la hausse.

« Le confinement pose aussi des problèmes énormes à nous autres, les jeunes », déclare Stephanie Gartenmann, représentante des Jeunes UDC et membre du comité des Jeunes ASIN. De nombreux jeunes ne trouvent plus de place d’apprentissage et les apprentis de la branche gastronomique ne peuvent plus travailler depuis novembre 2020. « Que se passera-t-il si leurs entreprises d’apprentissage ferment définitivement leurs portes? Où trouvent-ils un nouvel emploi? Qui leur donne une perspective? Et qu’en est-il des jeunes qui ne bénéficient pas d’un contexte familial encourageant? Qui leur donnera le soutien dont ils ont besoin? », demande Stephanie Gartenmann. A côté des immenses dommages économiques, la politique actuelle fait aussi des dégâts énormes dans la société: « Les cas de violences domestiques et de mauvais traitements envers les enfants, les dépressions et les suicides progressent. Ces problèmes ne peuvent pas être réglés avec de l’argent », relève-t-elle.

« La constante prolongation de cette mauvaise politique Covid-19 doit cesser immédiatement », a déclaré Marco Chiesa, président de l’UDC Suisse, lors de la remise des signatures à la Chancellerie fédérale. Il faut que la population puisse, dès le 1er mars prochain, revivre à peu près normalement en respectant les concepts de protection qui ont fait la preuve de leur efficacité. « Le vif succès rencontré par ces pétitions montre que la population n’accepte plus de se subordonner à un virus. Nous avons le droit et aussi le devoir de vivre et de travailler en liberté », a affirmé le conseiller aux Etats tessinois.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/cela-suffit-monsieur-le-conseiller-federal-berset/

Zurich : Une initiative UDC exige que la police rende publique la nationalité des délinquants. Les jeunes socialistes et les jeunes Verts s’y opposent.

A Zurich, une initiative de l'UDC soumise au peuple le 7 mars exige que la police rende public la nationalité des délinquants dans ses communiqués de presse. Concrètement, elle veut obliger une publication systématique de la nationalité et de l'origine des criminels, des suspects et des victimes.

(...)

La police de la Ville de Zurich a tranché en 2017, décidant de ne plus publier ces informations [NDLR : En vérité il s'agit d'un politicien de gauche, Richard Wolff, qui est derrière cette décision, ce que la RTS ne mentionne évidemment pas.]. Et c'est une des seules à y renoncer en Suisse. En effet, si chaque corps de police peut décider de sa pratique, la tendance est plutôt d'inclure la nationalité.

En réaction à la décision de la police de Zurich, l'UDC a lancé une initiative cantonale. Le gouvernement la rejette, mais propose un contre-projet. S'il est accepté, la nationalité devra être communiquée, mais pas les origines des personnes naturalisées.

(...)

Les jeunes Verts et les Jeunes socialistes ne partagent pas cet avis et s'opposent à l'initiative UDC et au contre-projet gouvernemental.

(...)

RTS

Nos remerciements à Info

Suisse allemande : Des affiches UDC antiburqa sont systématiquement vandalisées

Dans plusieurs régions, les affiches sont systématiquement vandalisées.

 

 

Le conseiller national Andreas Glarner (UDC/AG) a ainsi offert une prime de 2000 francs pour quiconque permettra de confondre les coupables.

(...)

Msn.com / Blick.ch

Nos remerciements à Info

Le Pacte trompeur sur les migrations nuit à la Suisse

Grâce à l’UDC, la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral ne peut pas décider seule du Pacte de l’ONU sur les migrations. Un petit droit de participation est désormais accordé au Parlement, mais le Conseil fédéral écarte sciemment le peuple suisse de la décision. Il faut cependant que le souverain ait son mot à dire, car cet accord est trompeur. L’UDC s’oppose avec détermination au Pacte sur les migrations:

– le conseiller fédéral Cassis n’a pas réussi à apporter des améliorations matérielles au Pacte sur les migrations qui nuit à la Suisse parce qu’il impose une libre circulation des personnes au niveau mondial.

– si elle accepte ce Pacte, la Suisse pourra encore moins contrôler l’immigration sur son territoire.

– le Pacte sur les migrations mélange les catégories d’étrangers et les statuts de séjour et n’évoque plus que des « migrants ». L’intention est claire: restreindre les droits de la Suisse en politique d’immigration et à l’égard des étrangers.

– la Suisse est un petit pays prospère qui subit une forte immigration. Elle est donc beaucoup plus exposée au problème de la migration que la plupart des autres Etats. Or, ce sont ces Etats qui déterminent le développement du Pacte sur les migrations.

– le Conseil fédéral relève que cet accord n’est légalement pas contraignant parce qu’il s’agit d’une dite « soft law ». Ce n’est que de la poudre aux yeux: l’expérience prouve – comme dans le cas de la Convention européenne des droits de l’homme – que l’on finit toujours par déduire des droits des « soft laws », de sorte que brusquement des juges étrangers se permettent de se mêler de politique à l’égard des étrangers.

– le Conseil fédéral soumet certes le Pacte sur les migrations au Parlement, mais il sait aussi que ce législatif, qui a nettement glissé à gauche après les « élections climatiques » de 2019, approuvera cet accord. Pour écarter le peuple, le gouvernement recourt à une astuce juridique en présentant le Pacte au Parlement sous la forme d’un arrêté fédéral simple contre lequel on ne peut pas lancer un référendum.

Le Pacte de l’ONU sur les migrations est une convention idéologique totalement à côté de la réalité qui aurait des conséquences extrêmement graves pour notre pays. Il facilite en effet grandement l’accès des migrants économiques du monde entier aux pays de leur choix, et cela indépendamment de leurs qualifications. Cet accord est incompatible avec une gestion autonome de l’immigration, donc avec l’autodétermination de la Suisse.

Voici quelques exemples des obligations absolument irréalistes du Pacte de l’ONO pour les migrations que la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral veut imposer à la Suisse:

  • les conditions qui régissent actuellement le regroupement familial seront assouplies, notamment en ce qui concerne le revenu, les connaissances linguistiques, la durée du séjour et la perception de l’aide sociale.
  • il sera interdit aux agences de placement de demander des commissions ou des indemnités aux migrants.
  • les actes pénaux commis contre les migrants devront être spécialement poursuivis et la protection des victimes devra être renforcée en faveur des migrants.
  • la légalisation des clandestins (sans-papiers) sera simplifiée.
  • le droit d’expulser est remis en question d’une manière générale et les personnes concernées par une telle intervention ont droit à des conseils juridiques donnés par des avocats indépendants et gratuits.
  • les échanges d’informations entre les institutions d’aide sociale et autres services de ce genre avec les autorités de migration ne doivent pas toucher à la sphère privée des migrants.
  • des organisations indépendantes non-étatiques contrôleront et surveilleront régulièrement les prestations publiques accordées aux migrants.
  • les médias, y compris les portails internet, seront surveillés afin de vérifier s’ils informent de manière équilibrée sur les thèmes concernant les migrants. Si tel n’est pas le cas, l’Etat doit les priver de son soutien. De plus, les journalistes doivent être spécialement formés dans les thèmes touchant à la migration.
  • les migrants bénéficieront d’un accès facilité aux crédits afin de pouvoir fonder des entreprises et des exploitations.
  • dans les pays d’origine des migrants, les pays de destination devront organiser en collaboration avec les autorités locales des campagnes d’information adaptées aux différents sexes ainsi que des formations comprenant notamment des cours de langue.

L’UDC s’oppose catégoriquement au Pacte sur les migrations. Le projet, que le ministre des affaires étrangères Ignazio Cassis a transmis aujourd’hui au Parlement au nom du Conseil fédéral, est à tout point de vue trompeur.

Stopper le confinement – surtout nos enfants et adolescents ont enfin besoin d’une perspective

La politique Covid-19 menée par la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral provoque de lourds dommages non seulement financiers, mais aussi psychiques et sociaux. Alors que la situation en Suisse devient de plus en plus précaire, le Conseil fédéral n'a pas été capable jusqu'ici d'offrir une perspective à la population. L'UDC invite donc le gouvernement à décider durant sa séance de demain

  • de lever le confinement dur ou, du moins,
  • de présenter une stratégie de sortie par étapes.

Communiqué de presse UDC, 02.02.2021

Dans les deux cas, il s'agira de protéger de manière ciblée et efficace les groupes à risque et d'accélérer la campagne de vaccination afin que la population restante puisse travailler et vivre le plus librement possible tout en respectant les concepts de protection.

Tous les indicateurs déterminants pour la pandémie de Covid-19 ont nettement baissé. La politique de confinement du Conseil fédéral sous la direction du ministre de la santé Alain Berset n'est donc absolument plus justifiée.

Il faut donc que le Conseil fédéral mette fin au confinement lors de sa séance de demain ou, du moins, qu'il présente une stratégie permettant aux habitants de la Suisse de revenir progressivement à une vie normale. Une telle ouverture par étapes pourrait, par exemple, consister à permettre immédiatement la réouverture des magasins appliquant des concepts de protection, d'autoriser les activités associatives et les types de sport sans contact physique et de permettre aux restaurants des régions de ski d'offrir à nouveau des consommations en plein air.

Le Conseil fédéral doit enfin offrir des perspectives à la population, car la situation est précaire:

  • le nombre de dépressions augmente. Les services et offres psychiatriques enregistrent une augmentation massive des cas. Il existe des indices selon lesquels le nombre de suicides ou de tentatives de suicides est en forte progression.
  • les cas de violences domestiques et de maltraitances d'enfants ont fortement progressé. Les experts expliquent ce développement par les mesures Covid-19 du Conseil fédéral, soit en particulier la fermeture des écoles, le travail à domicile obligatoire et le confinement, ainsi que par les difficultés financières qui en résultent pour les familles.
  • à la suite de la perte de leur place de travail ou de formation, des milliers de personnes se retrouvent devant le néant et sont désespérées parce qu'elles n'ont plus de perspective d'avenir.

Mais ces conséquences du confinement ne préoccupent pas trop le ministre de la santé Alain Berset. Lui et son parti politique n'ont aucune idée valable sur la manière de se comporter dans cette crise, si ce n'est d'agir comme ils le font de coutume: tirer de l'argent des poches des contribuables pour tenter de dissimuler les problèmes. Des aides financières permettent certes d'assurer la survie économique, mais elles sont inefficaces contre les dommages causés par le manque de perspectives.

Les conséquences financières de la politique Covid-19 sont surtout désastreuses pour la jeune génération. La politique sans discernement menée par le Conseil fédéral provoque des déficits par milliards de francs. Les dettes qui en résultent devront être remboursées par la population laborieuse – notamment la jeune génération – sous la forme d'une hausse des impôts.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/stopper-le-confinement-surtout-nos-enfants-et-adolescents-ont-enfin-besoin-dune-perspective/

Le confinement doit être immédiatement levé!

Cenator: Alors que la gauche réclame des mesures plus contraignantes pour le confinement, ou au moins le statu quo, parallèlement, elle demande des mesures plus sévères pour "sauver le climat". Ainsi, un projet de société totalitaire, néomarxiste, utopique et de plus en plus délirant se met en place dans le monde occidental.
Seul l’UDC a su préserver sa santé mentale dans cette épidémie de démences, propagées par des Démocrates américains.
Ces réactions disproportionnées ont fait bien plus de dégâts à notre civilisation que la covid elle-même.

« Toute réalité implique par elle-même une limite. Ce qui n’existe pas du tout n’est jamais limitable. C’est pour cela qu’il y a affinité entre le totalitarisme et le mensonge. »

De Simone Weil (1909-- 1943).

*****

Réuni en séance numérique aujourd’hui, le comité de l’UDC Suisse s’est clairement prononcé pour

– que le confinement soit immédiatement levé;

– que les groupes à risque soient enfin protégés de manière ciblée et efficace afin que le reste de la population puisse travailler et vivre le plus librement possible tout en respectant les concepts de protection;

– qu’un approvisionnement suffisant en vaccins soit immédiatement assuré et que la campagne de vaccination de la population soit accélérée.

En vue de la votation populaire du 7 mars prochain, le comité de l’UDC Suisse recommande aux délégués d’approuver les trois objets soumis au peuple.

La politique Covid-19 du Conseil fédéral sous la conduite du ministre de la santé Alain Berset ne se justifie absolument plus compte tenu de la baisse du nombre de contaminations. Au lieu de protéger efficacement contre la contagion les groupes à risque qui sont le plus souvent parfaitement identifiables, le Conseil fédéral préfère enfermer l’ensemble de la population pendant des mois. Cette politique a entraîné pour toute la population une fatale perte de perspectives. La situation actuelle est précaire:

  • le nombre de dépressions augmente; les institutions et services psychiatriques annoncent une augmentation massive des cas et les établissements psychiatriques pour les jeunes affichent fréquemment complet.
  • le nombre de cas de violences domestiques a fortement augmenté. L’hôpital pédiatrique de Zurich annonce un nombre exceptionnellement élevé de cas suspects de mauvais traitements d’enfants. Selon cet établissement, la majorité des enfants maltraités sont les victimes de violences physiques et sexuelles. Les experts expliquent ce développement par les mesures Covid-19 du Conseil fédéral, soit en particulier la fermeture des écoles, le travail à domicile obligatoire et le confinement, ainsi que par les difficultés financières qui en résultent pour les familles.
  • le confinement provoque la perte de milliers de places de travail et de formation. D’innombrables personnes n’ont plus de perspectives et sont désespérées. Certains signes semblent indiquer une forte progression des suicides ou des tentatives de suicides.
  • l’interdiction des réunions privées provoque la solitude de nombreuses personnes; la vie associative, qui offrait autrefois un repère à beaucoup de gens, est détruite.

A ces graves dommages sociaux et psychiques provoqués par la politique Covid-19 s’ajoutent les pertes économiques. Le confinement coûte les contribuables suisses 144 millions de francs par jour. La conséquence de cette politique du marteau-pilon est un accroissement de la dette publique. Selon des estimations d’experts, l’endettement brut de la Confédération pourrait atteindre 130 milliards de francs, approchant ainsi le sommet de l’endettement public suisse de l’année 2005. Il est dès à présent prévisible que la population laborieuse, donc la classe moyenne, devra passer deux fois à la caisse pour payer la politique Covid-19 du Conseil fédéral: aujourd’hui en raison des pertes financières et des restrictions qui rendent les gens malades et plus tard à cause de la hausse des impôts.

Trois fois oui le 7 mars

Dans la perspective des votations fédérales du 7 mars, le comité de l’UDC Suisse recommande aux délégués d’approuver l’initiative populaire pour l’interdiction de se dissimuler le visage, la loi sur les services d’identification électronique (LSIE) et l’accord de libre-échange avec l’Indonésie. Le comité a par ailleurs décidé que le projet de loi e-ID ferait l’objet d’un débat contradictoire à l’assemblée des délégués de demain. Ainsi, les délégués adopteront également le mot d’ordre du parti concernant cet objet.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/le-confinement-doit-etre-immediatement-leve/

 

 

Zurich: l’UDC veut la mention de la nationalité dans les communiqués de police

L’UDC veut obliger les polices à mentionner la nationalité et le statut migratoire dans les communiqués. Les Zurichois votent le 7 mars.

«Deux hommes, de 25 et 36 ans, ont été arrêtés...» au lieu de – par exemple – «un Kosovar de 25 ans et un Suisse de 36 ans...»: depuis fin 2017, la police municipale zurichoise ne mentionne plus de nationalité dans ses communiqués de presse. Pour l’UDC, cette «désinformation» est une manœuvre de la gauche destinée à «cacher la criminalité étrangère.» Elle veut corriger la pratique de la première ville du pays, demandant même la mention d’une éventuelle origine (...)

Le Nouvelliste

Nos remerciements à Info

Menacé de mort, le président de l’UDC Yverdon dépose une plainte

Ciblé par une salve d’injures et de menaces, Ruben Ramchurn a décidé de ne rien laisser passer. Il invite les autres victimes de ce genre de pratiques à faire de même.

(...)

24heures.ch


Rappels :

Scènes de guérilla urbaine à Yverdon-les-Bains : «Des jeunes voulaient casser du policier»

Suisse : Yverdon va se protéger des voitures-béliers

Violences le 1er Août à Yverdon-les-Bains : «Les autorités nous ont abandonnés»

Yverdon : un Irano-Portugais de 15 ans déclenche un rodéo routier. Arcinfo prétend qu’il s’agit d’un Valaisan.

Vaud : un réfugié syrien et un Portugais terrorisaient Yverdon

Yverdon (VD) : une jeune Afghane retrouvée morte, son ex-petit ami afghan appréhendé

Alors que les élus UDC essayent d’empêcher la Suisse de sombrer, voici comment les “humoristes” du Courrier les dénigrent.

Cenator: Le Courrier, ce journal vivant de subventions et d’abonnements provenant majoritairement d’instances publics et/ou subventionnées ne cesse de dénigrer obsessionnellement « la main qui le nourrit ».

Par ailleurs, ce journal est l’illustration caricaturale des ‘3 D’ dont parle Eric Zemmour : Déconstruction + Dérision + Destruction.

Il n’est pas possible de trouver des journalistes plus moutonniers ailleurs… ni des contribuables plus amorphes qui acceptent de subventionner un tel outil de subversion qui, sans se cacher, veut détruire tout ce qui tient encore debout en Suisse.

La Gauche et les médias moutonniers savent parfaitement que tout cela va dans leur sens et les Patriotes laissent faire.

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Sortir de la dictature sanitaire

 

Communiqué de presse UDC: Pour revenir à la normalité il faut imposer des tests généralisés

Communiqué de presse UDC: Pour revenir à la normalité il faut imposer des tests généralisés

Il faut que le Conseil fédéral décide lors de sa séance de demain de lever le confinement national qui frappe les magasins et les restaurants, mais en maintenant les concepts de protection. Parallèlement, les tests Covid-19 aux frontières doivent être renforcés. L’UDC s’engage pour une protection efficace des personnes particulièrement menacées, mais sans pour autant détruire l’économie et le commerce, faute de quoi la Suisse s’expose à des dommages incommensurables et durables pour la santé des habitants et l’économie.

Tous les indicateurs clés concernant le coronavirus ont nettement baissé: le nombre de personnes infectées, le taux de mortalité et ledit taux de reproduction (R). En même temps, les coûts des mesures édictées par le ministre de la santé Alain Berset et la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral atteignent des montants incommensurables: l’actuel confinement coûte 6 millions de francs d’argent des contribuables par heure, soit environ 8,5 milliards de francs jusqu’à fin février – et c’est sans compter les dommages économiques provoqués par la politique du marteau-pilon pratiquée par le Conseil fédéral. Partant de ces constats, l’UDC adresse avec insistance les revendications suivantes au Conseil fédéral en vue de sa séance de demain:

  • les magasins et restaurants doivent immédiatement rouvrir leurs portes;
  • les écoles doivent rester ouvertes pour l’enseignement en classe;
  • des concepts de protection efficaces doivent enfin être mis en place au niveau national dans les homes pour personnes âgées et les homes médicalisés;
  • des contrôles systématiques et des tests doivent être immédiatement imposés aux frontières pour les voyageurs entrant en Suisse;
  • les tests doivent être étendus aux exploitations de production et, d’une manière générale, aux entreprises ainsi que, dans une deuxième étape, aux manifestations culturelles et sportives;
  • en cas de résultat négatif du test, les règles de quarantaine doivent être assouplies;
  • la vaccination de la population doit être accélérée.

Le taux de reproduction R étant tombé en dessous de 1, la poursuite du confinement ne se justifie plus, également selon les propres critères du Conseil fédéral. Pour rappel: en décembre le Conseil fédéral avait annoncé des exceptions pour les cantons affichant un taux R inférieur à 1.

Echec mortel de la politique

L’UDC s’engage depuis des mois pour une stratégie de lutte efficace et proportionnée contre le virus, mais sans pour autant détruire l’économie et le commerce et sans provoquer des problèmes sociaux massifs. La priorité doit être donnée à la protection des personnes particulièrement menacées, donc les personnes âgées et celles ayant de graves antécédents médicaux. Le Conseil fédéral a commis la faute d’ignorer l’appel réitéré de l’UDC en faveur de concepts de protection efficaces dans les homes pour personnes âgées et les homes médicalisés. Avec la conséquence tragique que l’on sait: plus de la moitié des décès liés à la pandémie de Covid-19 sont à déplorer précisément dans ces institutions.

On ne saurait pas non plus sous-estimer les conséquences psychiques du confinement notamment pour les jeunes gens. Les dépressions et autres maladies psychiques, pouvant aller jusqu’au suicide, se multiplient à la suite du confinement.

La majorité de la population soutient l’UDC

La majorité de la population soutient les positions de l’UDC. Preuve en est le dernier sondage de l’observateur Covid-19 de la SSR: « Le week-end avant la décision correspondante du Conseil fédéral, 56% des personnes interrogées se sont opposées à la fermeture des magasins qui ne servent pas à couvrir les besoins quotidiens. » Voilà le principal résultat de cette enquête. Une « majorité évidente » de la population suisse est également contre les fermetures des écoles.

En mars 2020 déjà, l’UDC avait présenté une stratégie claire de lutte contre la pandémie de Covid-19. Ses principaux objectifs étaient la « protection des groupes à risque » et la « défense rigoureuse des intérêts des citoyennes et des citoyens ainsi que des arts et métiers ». Si les autorités appliquaient enfin strictement les exigences de l’UDC, la propagation du virus pourrait être efficacement combattue. Il s’agit notamment des points suivants:

  • protéger les personnes menacées
  • mettre en place des concepts de protection efficaces dans les homes pour personnes âgées et homes médicalisés
  • imposer des tests systématiques aux frontières
  • procéder à des tests réguliers et ciblés dans les hôpitaux, les homes, les écoles et les entreprises de production

L’UDC invite avec insistance le Conseil fédéral à prendre enfin ces mesures efficaces contre la pandémie et à lever immédiatement le néfaste confinement.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/pour-revenir-a-la-normalite-il-faut-imposer-des-tests-generalises/

Déclaration du groupe concernant l’accord-cadre institutionnel entre la Suisse et l’Union européenne

Le succès du Brexit montre de manière frappante à quel point le Conseil fédéral défend mal les intérêts de la Suisse à Bruxelles. L’accord obtenu par la Grande-Bretagne avec l’UE offre des avantages décisifs par rapport au projet d’accord-cadre institutionnel. Le groupe parlementaire UDC invite donc le Conseil fédéral à renvoyer le projet d’accord-cadre et à mettre fin aux négociations.

Annuler ce projet pour sauvegarder la souveraineté!

Le groupe UDC présente avec détermination les exigences suivantes au Conseil fédéral:

  • la Suisse doit suivre l’exemple de la Grande-Bretagne et mener des négociations avec assurance comme ce doit être le cas entre partenaires égaux en droits.
  • le présent projet d’accord-cadre institutionnel doit être renvoyé.
  • l’idée d’un accord-cadre institutionnel doit être immédiatement et définitivement abandonnée.
  • le Conseil fédéral a le devoir de respecter la Constitution fédérale et de sauvegarder l’indépendance de la Suisse et les droits du peuple.

Le Conseil fédéral doit suivre l’exemple de la Grande-Bretagne

L’accord Brexit entre la Grande-Bretagne et l’UE prouve qu’il est parfaitement possible de mener avec Bruxelles des négociations entre partenaires égaux en droits. Le premier ministre Boris Johnson a clairement fait comprendre à l’UE qu’il pouvait également envisager un échec des négociations. Le succès britannique dans ces négociations montre à l’évidence qu’il suffit d’agir avec assurance pour atteindre son objectif. Des années durant le Conseil fédéral a adopté une attitude de soumission face à l’UE – mais il n’a rien obtenu. Par rapport au projet d’accord-cadre institutionnel, l’accord de commerce et de coopération (TCA) conclu entre Londres et Bruxelles offre des avantages déterminants:

  • pas de reprise automatique (« dynamique ») de droit UE
  • pas de juges étrangers, pas de subordination à la Cour de justice UE (CJUE)
  • pas de libre circulation des personnes; gestion autonome de l’immigration, du marché du travail et de l’accès aux prestations sociales
  • pas de droits à payer pour accéder au marché
  • pas de traité-bâillon avec des clauses de guillotine

Annuler le projet – sauvegarder la souveraineté!

Le triomphe du Brexit prouve à l’évidence que la Suisse n’a pas besoin d’un accord-cadre meilleur: elle n’a pas besoin d’accord-cadre du tout! Les objectifs que s’est fixés le Conseil fédéral pour ces négociations (aides publiques, directive sur la citoyenneté européenne, protection des salaires) sont superficiels et ne changent rien au défaut fondamental de ce traité: la Suisse y perd son indépendance. Elle devrait reprendre automatiquement du droit UE et se subordonner à la Cour de justice UE. Bruxelles aurait toujours le dernier mot en cas de litige. Le souverain suisse serait évincé.

Repousser cette attaque contre les fondements de la Confédération

L’accord-cadre institutionnel constitue une attaque contre les fondements de la Confédération. Il viole l’article qui définit le but de la Constitution fédérale, à savoir la garantie de l’indépendance du pays et des droits du peuple. L’UDC invite avec insistance le Conseil fédéral à mettre fin à des négociations, qui équivalent à une trahison de la patrie, et à poursuivre sur la voie bilatérale sans sacrifier la souveraineté et la démocratie directe de la Suisse. L’exemple britannique lui indique la voie à suivre.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/declaration-du-groupe-concernant-laccord-cadre-institutionnel-entre-la-suisse-et-lunion-europeenne/

voir aussi:

Michaël Buffat – Annuler ce projet pour sauvegarder la souveraineté!

Michaël Buffat – Annuler ce projet pour sauvegarder la souveraineté!

Le succès du Brexit montre de manière frappante à quel point le Conseil fédéral défend mal les intérêts de la Suisse à Bruxelles. L'accord obtenu par la Grande-Bretagne avec l'UE offre des avantages décisifs par rapport au projet d'accord-cadre institutionnel.
Le groupe parlementaire UDC invite donc le Conseil fédéral à renvoyer le projet d'accord-cadre et à mettre fin aux négociation

 

Le peuple décidera du mauvais projet de loi sur le CO2

Soutenu activement par l’UDC, le référendum contre la loi sur le CO2 a abouti avec un résultat impressionnant : plus de 111’000 signatures. Voilà un signal politique clair indiquant que le peuple suisse refuse ce monstre bureaucratique excessivement cher et inefficace. L’UDC s’engagera avec force dans la campagne de votation pour défendre les intérêts de la classe moyenne, des arts et métiers, de la population des campagnes et des pendulaires.

Les signatures à l’appui du référendum contre la révision de la loi sur le CO2 ont été déposées mardi à Berne. En un temps record plus de 111’000 citoyennes et citoyens se sont élevés contre ce projet de loi, plus du double que le nombre nécessaire: la preuve que le mécontentement au sein du peuple suisse est grand. L’UDC a activement soutenu ce référendum issu d’une large alliance réunissant les arts et métiers, le secteur automobile ainsi que des associations de mobilité et du domaine énergétique.

« Onéreuse et inefficace, cette réforme charge de nombreuses familles. La récolte de signatures pour le référendum a obtenu un succès impressionnant, aussi grâce à la précieuse contribution de nombreux membres de l’UDC », a déclaré Marco Chiesa, président de l’UDC Suisse et conseiller aux Etats tessinois, qui ajoute: « Moi-même et toute l’UDC, nous nous engagerons de toutes nos forces pour obtenir un non du peuple à cette loi nuisible sur le CO2. »

La loi sur le CO2 est en opposition avec tous les principes d’une politique libérale et proche des citoyens: elle multiplie les interdictions et prescriptions et provoque des coûts énormes alors que ses effets sur le climat sont négligeables. Le prix de l’essence et du diesel augmentera de 12 centimes par litre et les taxes sur l’huile et le gaz de chauffage augmenteront de plus du double. Une taxe allant jusqu’à 120 francs sera prélevée sur chaque billet d’avion.

Charges supplémentaires de plus de 1000 francs par an

Pour une famille de quatre personnes, les charges supplémentaires qui résultent de cette révision atteignent facilement plus de 1000 francs par an. A ce montant il faut ajouter une hausse des coûts difficilement chiffrables à la suite du renchérissement des transports de marchandises.

Les arts et métiers, les PME, les locataires, les propriétaires immobiliers, les pendulaires et d’une manière générale les habitants financièrement moins aisés des campagnes sont les principales victimes de cette révision. Durant la campagne de votation, l’UDC s’engagera à fond pour les intérêts des personnes touchées et de la classe moyenne.

L’UDC s’était déjà opposée à la nouvelle loi sur le CO2 lors des débats du Conseil national et du Conseil des Etats, mais elle a été battue par une alliance contre nature composée de la gauche, des Verts, du centre et des radicaux-libéraux. Le résultat magnifique de la récolte de signatures pour le référendum est une confirmation éclatante de la politique libérale et raisonnable de l’UDC.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/le-peuple-decidera-du-mauvais-projet-de-loi-sur-le-co2/