La bataille pour la liberté d’expression a commencé

Comme souvent, le combat décisif aura lieu aux États-Unis.

Le déclenchement des hostilité a eu lieu il y a quelques jours à travers deux tweets du Président Trump concernant le vote par correspondance. Donald Trump dénonçait la forte probabilité que les résultats d'un tel scrutin s'avèrent frauduleux. Twitter se sentit obligé de rajouter un avertissement sur ces messages, les classant de facto comme des informations à prendre avec des pincettes.

mail-in_ballots.jpg
Les tweets par lesquels le scandale arrive.

Il n'en fallait pas plus pour que des médias romands comme Le Matin jubilent. "Ces tweets contiennent des informations potentiellement trompeuses sur le processus de vote et ont été signalés pour fournir du contexte additionnel sur le vote par correspondance", a justifié un porte-parole de la plateforme, explique l'article du quotidien.

La justification est étonnante. Trump déclara que le vote par correspondance ferait l'objet d'une fraude massive - c'est-à-dire, une prédiction. Comment qui que ce soit peut-il démontrer qu'une prédiction est fausse? Une prédiction, surtout en politique, fait nécessairement partie du domaine de l'opinion. Et, comme le prouve un journaliste qui se donna la peine d'enquêter, Trump pourrait bien avoir raison. Durant la dernière décade, 28 millions de bulletins de vote par correspondance arrivèrent à une mauvaise adresse, dont plus d'un million pour la seule année 2018, permettant ainsi à des individus qui ne devraient pas avoir le droit de vote, d'y prendre part.

Largement de quoi faire basculer une élection présidentielle.

Twitter aurait pu attendre de faire du "fact-checking" sur un tweet factuellement inexact de Donald Trump, mais la tentation était trop forte...

Un long chemin vers l'affrontement

Le timing, tant de l'action de Twitter que de la réaction du locataire de la Maison Blanche, est parfaitement compréhensible. Nous arrivons petit à petit dans le vif du sujet de la campagne électorale présidentielle de 2020 et chacun fourbit ses armes - Trump à affirmer qu'il est a été un bon Président, les réseaux sociaux profondément engagés à gauche à museler toute voix n'allant pas dans leur sens sur leurs plateformes.

Le biais gauchiste des réseaux sociaux, comme des médias en général d'ailleurs, est un phénomène largement observé et documenté - et a même fait l'objet d'un billet détaillé sur ce blog, parmi de nombreux autres. Pour ne prendre qu'un exemple, la plus grande communauté pro-Trump sur Internet, le fameux canal The_Donald de Reddit, fort de 8 millions de membres, fut saboté par la plateforme sur des prétextes fallacieux, forçant les Internautes à se créer une nouvelle plateforme parallèle.

Depuis des années, et de façon de plus en plus nette, les pages des conservateurs, des contestataires de la pensée médiatique dominante et des gens de droite en général sont marginalisées, démonétisées, placées en quarantaine ou suspendues du jour au lendemain. Le biais politique est évident puisque d'innombrable exemples montrent que les règles au nom desquels ces comptes sont fermés sont violées quotidiennement par des activistes politiques de l'autre bord sans que cela ne dérange personne.

Pour les journalistes du Matin, "les réseaux sociaux se voient régulièrement reprocher d'appliquer des politiques à deux poids deux mesures dans leur lutte contre la désinformation". Il faut traduire: les réseaux sociaux n'en font pas assez, c'est-à-dire qu'ils laissent encore bien trop de place à ces gens qui ne pensent pas comme il faut.

La hache de guerre est déterrée

Vient Donald Trump, "accro" à Twitter, "résumant la démocratie à 140 caractères", et des centaines d'autres qualificatifs dénigrant sa façon de communiquer... Mais Donald Trump n'aurait pas besoin de Twitter pour communiquer directement avec le public si des médias à l'agenda politique omniprésent ne dénaturaient pas constamment les moindres de ses paroles, quand ils n'inventent pas carrément des mensonges de toute pièce.

Trump est assez nettement pro-Trump, c'est incontestable. Mais imaginer qu'il puisse exister une organisation humaine à l'abri de toute idéologie et capable de censurer l'information de façon neutre et objective est une vision tellement enfantine que seuls les journalistes, peut-être, son assez naïfs pour la gober. Il est vrai que dans cette vision ils se donnent volontiers le beau rôle, ce qui aide à y croire.

Prenons Twitter, justement. Que valent les censeurs? Eh bien, leur chef est un certain Yoel Roth, responsable de "l'intégrité du site." Les curieux n'ont pas eu à chercher longtemps pour trouver des tweets récents de M. Roth dénonçant le Président Trump et ceux qui le soutiennent comme des "nazis", des excès de langages dont le responsable de l'intégrité de Twitter semble coutumier.

Alors qu'il n'est même pas capable de modération sur ses propres tweets, qui peut imaginer ce genre d'olibrius exercer quelque autorité que ce soit de façon neutre et objective?

270520roth.jpg

Quelques jours après l'épisode du "fact-checking", Twitter récidiva en dénonçant un autre tweet de Trump comme "faisant l'apologie de la violence". Le Président en exercice en avait en effet appelé au respect de la loi et de l'ordre au début des émeutes organisées à la suite du décès de George Floyd... Quelle apologie, en effet! Et depuis que Twitter a franchi le Rubicon, la plateforme s'en donne à cœur-joie. Ainsi, Donald Trump apparaît en premier sur une recherche avec le terme "racisme".

Twitter regorge de milliers, si ce n'est de millions, de messages appelant à tuer M. Trump, ses supporters, et les Républicains en général, sans qu'aucun des auteurs de tels message ne soit inquiété. Le délit "d'apologie de la violence" n'est visiblement pas pour tout le monde.

On peut aussi appeler au génocide des juifs sur Twitter. Les responsables iraniens comme Ali Khamenei ou Javad Zarif ne s'en privent guère. Cela a d'ailleurs amené un élu américain à s'inquiéter que la plateforme laisse ainsi libre court à des appels au meurtre en servant la soupe aux régime de Téhéran. Il pense ainsi que Twitter viole les sanctions internationales.

Bref, si vous êtes raciste anti-blanc, islamiste, antisémite, porté sur la violence au nom de "l'antifascisme" ou simplement de gauche, vous n'avez pas de grandes craintes à avoir quant à votre utilisation des réseaux sociaux, quels que soient les excès auxquels vous vous livrez.

La hache de guerre est déterrée

Tous les paragraphes précédents ne sont que les derniers épisodes d'une consternante progression vers une dictature médiatique basée sur l'opinion politique. Mais pour la première fois il y eut une riposte.

Sur le compte Twitter de la Maison Blanche, et non son compte personnel, Donald Trump a ainsi annoncé un décret présidentiel visant à une révision de l'article 230 du Federal Communication Act de 1996, voté sous la Présidence Clinton et visant à libéraliser le marché des télécommunications.

Le fameux article 230 stipule que les compagnies qui "mettent à disposition du contenu" ne sont pas responsables devant la loi des contenus violant celle-ci, pour peu qu'ils renoncent délibérément à exercer un contrôle rédactionnel. Autrement dit, ils ne sont que les messagers et ne sont pas responsables du message. Pour utiliser une analogie, la Poste ne peut pas être poursuivie pour avoir transmis à quelqu'un une lettre injurieuse.

"Internet et les autres services informatiques interactifs offrent un espace de discussion pour une véritable diversité du discours politique, des opportunités uniques pour le développement culturel, et une myriade de chemins pour l'activité intellectuelle", écrivaient les rédacteurs du document à l'époque. Quelle régression depuis!

En décrétant que certains tweets de Trump violent les règles éditoriales de Twitter et méritent donc d'être annotés avec un avertissement, Twitter devient de facto un éditeur. Contrôler certains contenu, pour les modifier ou les supprimer, signifie que la plateforme sort du simple rôle de mise à disposition de contenu.

Pour reprendre l'analogie avec la Poste ci-dessus, que penser d'une Poste qui ouvrirait les lettres envoyées par certains et refuserait de les délivrer si leur contenu ne plaît pas à l'organisation? Pourrait-on encore parler d'une Poste?

La même chose est vraie pour tous les réseaux sociaux qui se livrent aujourd'hui à une censure effrénée, qui va bien au-delà de ce qu'a jamais réclamé la loi. Les grands noms des réseaux sociaux ont mis en place des structures rédactionnelles et deviennent de ce fait responsables de tout contenu publié.

On s'en doute, l'interprétation de l'article 230 finira devant les tribunaux, et probablement très vite. La bataille est d'importance puisque les réseaux sociaux sont désormais le nouvel espace public dans lequel se forme l'opinion. Ces derniers le savent bien et pèsent déjà de tout leur poids sur la campagne présidentielle américaine de 2020.

Gagnée ou perdue, la bataille lancée par Donald Trump définira sans doute ce qui restera de la liberté d'expression sur Internet aux États-Unis, en sachant qu'elle sera toujours moindre dans le reste du monde.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 5 juin 2020

Trump veut inscrire la mouvance «antifa» sur liste terroriste

Le président américain attribue aux mouvances d’extrême gauche la responsabilité des débordements qui ont émaillé les manifestations des derniers jours.

Alors que des violences ont éclaté dans plusieurs grandes villes américaines suite à la mort de George Floyd lors d'une interpellation controversée, Donald Trump désigne des responsables. Le président américain a annoncé dimanche que son administration allait inscrire la mouvance d'extrême gauche « Antifa » (antifasciste), sur sa liste américaine des organisations terroristes.

 

 

« La violence organisée est du terrorisme intérieur »

Dans une série de tweets, le président américain félicite également les forces de l'ordre pour être parvenues à contrôler la situation samedi soir à Minneapolis. « Les anarchistes menés par les Antifa, notamment, ont été vite matés. Ça aurait dû être fait par le maire dès la première nuit, et il n'y aurait eu aucun problème », écrit-il.

[...]

Leparisien.fr

 

Vidéo que notre presse ne montrera pas : les extrémistes de gauche en train de piller et de saccager.

 

 

 


Rappels :

Berlin : des journaliste agressés et gravement blessés lors des manifestations d’extrême gauche du 1er Mai

Grèce : 2 anarchistes tentent d’incendier le bâtiment d’un ex-ministre conservateur

Lyon : le mémorial du génocide arménien profané par des militants d’extrême gauche et des militants pro-turcs

Situation tendue à Genève : Erdogan prévoit une soirée de propagande avec les Turcs de Suisse. Les Kurdes et l’extrême gauche sont prêts à en découdre

Canada : une université annule une conférence sur les violences Antifa après des menaces de violences par Antifa

Allemagne : Au parlement, la gauche soutient officiellement les extrémistes Antifas. « Merci aux Antifas »

Grèce : deux églises vandalisées par des anarchistes (vidéo)

Trieste : des anarchistes fêtent le meurtre de deux policiers

 

 

 

 

 

Les émeutes et pillages de Minneapolis, réinterprétés par un professeur de Sciences Po Paris

RTS/Forum, 29.05.2020

Flambée des émeutes raciales à Minneapolis: interview de l'historien Pap Ndiaye

https://www.rts.ch/play/radio/forum/video/flambee-des-emeutes-raciales-a-minneapolis-interview-de-lhistorien-pap-ndiaye?id=11362244

Cenator : Sur les émeutes de Minneapolis, après la mort d’un Noir imputée à une contention inadéquate par un policier blanc, nous ne trouvons qu’une seule et unique approche dans les médias romands.

Pour servir la soupe, Renaud Malik tape dans le catalogue de la RTS pour dénicher le Noir de service qui va répondre à chaque question selon les attentes du plus puissant parti de Suisse : Pap Ndiaye, professeur à Sciences Po, Paris, spécialiste de l’Amérique du Nord.

Résumé de l’interview:

Pap Ndiaye : Le contexte de cette bavure policière est aggravé par le fait que 23'000 Africains-Américains sont morts du Covid, sur 100'000 Américains. On sait aussi le poids des conditions sociales des Africains-Américains et l’indifférence du gouvernement fédéral. En plus, Trump, ce n’est pas Obama, déplore le professeur.

L’insistance de Pap Ndiaye, tout au long de l’interview, à rebaptiser les Noirs « Africains-Américains » en dit long sur ce spécimen.

Renaud Malik déroule le tapis rouge à son invité :

C’est de nouveau une bavure policière qui a mis le feu aux poudres : est-ce qu’il y a un problème au nouveau des pratiques des forces de l’ordre ?

Pap Ndiaye : Il y a une très longue série de violences policières, déjà dénoncées dans les années 60 par Martin Luther King.

Les policiers s’attaquent ou agressent en particulier les minorités et surtout les Africains-Américains. Trois Américains sont tués chaque jour par la police, pas toujours pour des motifs illégitimes, mais la part des Africains-Américains est très élevée. Cela dure pratiquement depuis un siècle aux États-Unis.

Renaud Malik : Certains expliquent que Trump a jeté de l’huile sur le feu avec ses tweets. Mais à l’époque d’Obama, les tensions sociales étaient déjà très fortes ?

Pap Ndiaye rappelle le décès d’un Noir en 2014 à Ferguson, mais Obama avait alors réuni les chefs de la police, contrairement à Trump qui a tweeté qu’il fallait tirer sur les émeutiers. C’est quelque chose de singulier dans la parole d’un président, qui, loin de calmer, tend plutôt à exciter.

Le degré de malhonnêteté de Pap Ndiaye dépasse tout entendement. En écoutant son discours victimaire, sans un mot du fait que la majorité des crimes sont commis par des Noirs depuis des décennies, nous sommes en face de la propagande la plus crasse et mensongère qu’on puisse inventer. Même à la CNN, une émission si biaisée ne passerait pas.

Trump a mis une limite à ces émeutes en écrivant qu’en cas de pillages, la police devrait tirer. En effet, imposer une limite au déchaînement de barbarie déclenché sous prétexte de révolte raciale légitime est d’autant plus justifié que la pandémie aggrave les tensions, comme l’invité l’explique lui-même, et que les violences font beaucoup de victimes collatérales. 

Et bien sûr, Pap Ndiaye parle de Charlottesville et des mots « compréhensifs » de Trump pour les « néo-nazis », lorsqu’il avait renvoyé dos à dos Antifas et souverainistes, événements que Pap Ndiaye transforme en lutte des justes contre la discrimination raciale des néo-nazis.

Trump aurait même démantelé le ministère de la Justice après Obama, tout est à l’arrêt depuis, et OBJECTIVEMENT il y a des reculs très nets.

Mais qui douterait un seconde de l’objectivité de la RTS et son invité, le professeur de Paris, Pap Ndiaye ?

Et Pap Ndiaye continue : Trump s’en moque, il a fait une croix depuis longtemps sur l’électorat africain-américain.

Renaud Malik : On se souvient de Black Lives Matter, mouvement PACIFIQUE (en réalité, ils  se sont recyclés en Antifas) qui avait émergé à l’époque d’Obama. Il en reste quoi aujourd’hui ?

Pap Ndiaye : Depuis Trump, le mouvement a décliné, car il n’a plus d’interlocuteur à la Maison Blanche. En plus, Trump soutient les policiers lorsqu’ils sont incriminés.

Minneapolis est dirigée par les Démocrates, c’est une ville libérale, c’est-à-dire de gauche. Donc on ne s’attendrait pas à ce que ce genre d’événements y survienne. Mais c’est représentatif d’une situation générale aux États-Unis. Les policiers sont armés avec d’anciens rebuts des guerres menées en Asie. Ils n’ont pas significativement changé leurs pratiques qui demeurent des pratiques très violentes. A Minneapolis, comme partout aux États-Unis, la situation est dégradée, très tendue, en ce qui concerne les relations entre la police et les Africains-Américains.

************

Cenator : La meute journalistique romande est en campagne électorale contre Trump : le tweet prétendument raciste du président le rendrait responsable des émeutes de Minneapolis.

La désinformation dans la totalité des médias en Suisse romande bat son plein dès qu’un sujet touche le vivre ensemble. La propagande victimaire de gauche est déversée à flots, en escamotant la réalité de la criminalité des Noirs en Amérique et en culpabilisant les Blancs, forcément racistes s’ils ne sont pas de gauche. Le rouleau compresseur enfonce le message dans le crâne de la population, appuyée par des fausses statistiques et des affirmations mensongères, sans qu’aucune opinion tant soit peu divergente puisse se faire entendre.

C'est encore la même partition que les médias nous jouent: tout est de la faute des Blancs qui ne sont pas de gauche, tout est de la faute de Trump, ... mais nous n’entendrons JAMAIS que ces événements tragiques à répétition sont l'expression de la plus grande catastrophe de notre civilisation, à savoir le multiculturalisme qui entraîne partout la déchéance.

***

Jean-Cosme Delaloye, un de ces journalistes, montre l’exemple. Il est correspondant aux États-Unis pour la Tribune de Genève, 24 heures et la Radio Suisse romande. Il commente la mort de George Floyd dans 24 heures : «Je ne peux pas respirer» - Noir américain mort le cou écrasé par le genou d’un policier.

«Je ne peux pas respirer». Depuis le début de la pandémie de coronavirus, l’Amérique blanche dont je fais partie vit avec cette phrase terrifiante dans un coin de sa tête. Pour elle, ces quelques mots évoquent le virus qui attaque le système respiratoire […]

[…] La liste de Noirs tués par des Blancs en raison de leur couleur de peau aux États-Unis, est longue et s’est encore rallongée en février avec le meurtre d’Ahmaud Arbery en Géorgie.

[…] Les relations raciales étaient loin d’être parfaites sous la présidence de Barack Obama. Mais à l’époque de la mort de Trayvon Martin, l’Amérique avait un président qui l’avait consolée en disant: «Si j’avais un fils, il ressemblerait à Trayvon Martin.» Aujourd’hui, elle est dirigée par un homme qui, la veille de la mort de George Floyd, relayait des tweets racistes et sexistes d’un ancien candidat au Congrès.

Source : https://www.24heures.ch/je-ne-peux-pas-respirer-115059179332

************

L’article de Dreuz, par Jean-Patrick Grumberg, explique bien les événements de Minneapolis, la récupération par les Antifas, l’inaction de la police locale, le casier judiciaire de George Floyd :

Minneapolis: les Antifas et émeutiers professionnels sèment la violence et le chaos

************

« Je vais faire tomber les États-Unis en finançant des groupes de haine noirs. Nous allons les faire tomber dans un piège mental et leur faire mettre les fautes sur les Blancs. La communauté noire est la plus facile à manipuler. »

Georges Soros, interview au journal allemand Bild, sept. 2014.

*******

Le décret de Trump concernant la censure des réseaux sociaux: Trump signs social media executive order that calls for removal of liability protections over 'censoring'

Concernant la prudence qui s'impose sur l'affaire de Minneapolis, en attendant les résultats de l'enquête:

Attention!!! Affaire Minneapolis cet Événement est très Bizarre et serait Organisé?

Le médecin légiste du comté de MN conclut qu'il n'y a "aucune constatation physique permettant de diagnostiquer une asphyxie ou une strangulation traumatique" dans le décès de George Floyd

Concernant les prétendues bavures des policiers blancs commises contre la communauté noire:

A Minneapolis, où les Somaliens, Erythréens, Soudanais sont majoritaires, les Blancs sont les cibles de gangs violents

USA : un Noir n’est pas davantage en danger face à un policier blanc, selon une étude

Gilles-William Goldnadel sur l’Affaire Telford : «Le racisme anti-blanc impose l’omerta médiatique»

Enseignements politiquement incorrects de la tuerie de Floride

Etats-Unis: derrière le “encore un Noir tué par des policiers blancs”

Charlotte (USA) : chasse aux blancs après la mort d’un Noir tué par un policier noir

DALLAS VIOLENCES POLICIÈRES ET DÉLINQUANCE AFRO-AMÉRICAINE

 

Rappels sur ce qui s’est passé à Charlottesville :

https://lesobservateurs.ch/2017/08/17/lideologie-antiraciste-a-la-source-des-violences-a-charlottesville/

https://lesobservateurs.ch/2017/08/16/charlottesville-trump-condamne-les-extremistes-de-gauche-et-de-droite-le-20-minutes-cache-la-verite-et-depeint-les-extremistes-de-gauche-comme-de-simples-manifestants/

https://lesobservateurs.ch/2017/08/16/affrontements-de-charlottesville-la-police-a-t-elle-laisse-faire/

https://lesobservateurs.ch/2017/08/15/ce-qui-sest-vraiment-passe-a-charlottesville/

Trump attaque de front la censure des réseaux sociaux

Publié par Jean-Patrick Grumberg le 30 mai 2020

L’affaire couvait depuis des années. Les réseaux sociaux de la Silicon Valley ont « une forte culture de gauche » selon l’aveu même du patron de Facebook Mark Zuckerberg, et ils censurent les conservateurs à tout va – avec le soutien jovial des médias fourbes qui feignent de ne rien voir et disent que ça n’existe pas.

 

Pour contribuer à Dreuz.info en utilisant votre carte de crédit sans vous inscrire à Paypal, cliquez sur ce lien Paypal.Dreuz, et indiquez le montant de votre contribution.

En 2020 plus que jamais, aucun homme politique ne peut remporter une élection sans avoir recours aux réseaux sociaux. S’il est censuré, il perd, c’est aussi simple que ça.

Le président Trump, qui utilise frénétiquement son compte Twitter – bien trop à mon goût et quelques fois à tort et à travers – a déclaré qu’il se passerait volontiers de Twitter – et de ses 80 millions d’abonnés – s’il le pouvait.

Il a déclaré jeudi qu’il se débarrasserait de son compte Twitter s’il n’avait pas à affronter les Fake News des médias.

« Si nous avions une presse honnête dans ce pays, je me débarrasserais de mon compte en un clin d’œil », a déclaré M. Trump aux journalistes dans le Bureau ovale lorsqu’on lui a demandé s’il avait envisagé de supprimer son compte Twitter compte tenu de ses récentes critiques à l’encontre du géant des médias sociaux.

Un pouvoir immense, total, hors contrôle

On ne peut pas ignorer l’influence des réseaux sociaux. Ils sont tout-puissants, et d’une ascendance immense sur la vie réelle.

  • Ils sont indispensables à la vie politique et aux échanges d’idées qui ont de l’influence sur l’évolution de la société.
  • Ils construisent des carrières et détruisent des vies, déclenchent des émeutes et des révolutions, envoient des gens en prison et d’autres à la mort.
  • Ils aident à élire des présidents et à exposer des politiciens corrompus.
  • Ils servent à recruter des terroristes, à organiser des attentats, et permettent aussi de les éviter.
  • Ils servent à créer – et démasquer – des réseaux pédophiles.
  • Ils peuvent totalement confisquer la liberté d’expression d’une personne ou d’un groupe.

Une poignée de quatre ou cinq multimilliardaires gauchistes, sans personne au-dessus d’eux, sans contrôle, décide ce qu’on a le droit de dire, qui a le droit de parler, et qui sera censuré.

Ce pouvoir immense leur est naturellement monté à la tête, il est monté à la tête de Jack Dorsey, le patron de Twitter, de Mark Zuckerberg le patron de Facebook, et de ceux de Google, donc YouTube. Et il est difficile de le leur reprocher : c’est toute l’histoire de l’homme, le pouvoir enivre, et fait désirer plus de pouvoir encore.

Le pouvoir de censurer l’homme le plus puissant au monde par exemple : le président des Etats-Unis.

Twitter franchit la ligne rouge en censurant le compte du président américain

Il y a deux jours, le « directeur de l’intégrité » chez Twitter, un jeune militant d’extrême gauche nommé Yoel Roth, s’est cru plus puissant que l’homme le plus puissant du monde. Et d’une certaine façon, il l’est : sa position lui a permis de fact-checker les tweets du président, et décider de les autoriser ou les interdire.

Ce qu’il a fait.

Pour la première fois de l’histoire du réseau social, Twitter a fact-checké un tweet et fait une mise en garde sur le tweet du président.

Faute majeure. Rendue possible parce que les dirigeants et les cadres de la Silicon Valley sont très à gauche, très riches, très puissants, et qu’ils censurent depuis des années les voix conservatrices sans avoir aucun compte à rendre, sans que personne ne puisse rien faire (Dreuz en est aussi victime).

Roth, aveuglé par sa haine et son dégoût pour Trump, Roth qui a plusieurs fois écrit qu’il y a un nazi à la Maison-Blanche, n’a pas vu à qui il avait affaire.

Le petit Roth s’est cru plus puissant que le président des Etats-Unis, plus puissant que Donald Trump. Et il l’était. Grâce à « l’article 230 » de la loi américaine.

« Article 230 »

Les acteurs des réseaux sociaux et de l’internet bénéficient d’une protection juridique totale par les vertus d’une loi « l’article 230 ». En bref : on ne peut pas les attaquer en justice. Vous imaginez ! Aucun risque de procès quoi qu’ils fassent.

Cette loi d’exception les établit non pas comme éditeurs, comme publications responsables du contenu qu’elles diffusent, mais comme simples transporteurs d’informations, un peu comme une compagnie téléphonique n’est pas responsable de ce que les gens se disent lorsqu’ils communiquent entre-eux, parce qu’elles n’ont aucun contrôle sur le contenu : elles se contentent de transporter les informations de leurs clients.

C’est le statut d’exception dont jouissent les réseaux sociaux.

Ainsi, on ne peut pas les poursuivre en diffamation, ou pour calomnie, ou pour insultes et menaces de mort, et ils ne peuvent pas être poursuivis pour violation de la liberté d’expression protégée par le 1er amendement de la Constitution : ils échappent à tout contrôle.

Jusqu’au moment où ils se conduisent non plus en distributeur mais en publication, en fact-checkant les messages, qui est le travail d’un éditeur.

Ce qui a été censuré

  • Il y a deux jours, le président a tweeté son opposition au vote par correspondance que réclament les Démocrates à cause du coronavirus, disant qu’il ouvre la voie à une fraude massive.
  • Roth a décidé que Trump n’avait pas le droit de dire ça.
  • Alors il a « fact-checké » le tweet du président en disant qu’il était trompeur.

« Il n’y a AUCUNE FAÇON (ZÉRO !) que les bulletins de vote par correspondance ne soient pas substantiellement frauduleux.

Des boîtes aux lettres seront cambriolées, des bulletins seront falsifiés et même imprimés illégalement et signés frauduleusement.

Le gouverneur de Californie envoie des bulletins de vote à des millions de personnes, toute personne vivant dans l’État, peu importe qui elle est ou comment elle y est arrivée, elle recevra un bulletin de vote », a tweeté Trump.

« Cela sera suivi par des professionnels qui diront à toutes ces personnes, dont beaucoup n’ont jamais pensé à voter avant, comment et pour qui voter. Ce sera une élection truquée. Pas question ! »

Censurer or not censurer, that is the question

Si Twitter censure, il est éditeur et non plus distributeur. S’il est éditeur, il doit rendre des comptes. S’il rend des comptes, il ne peut plus censurer de manière arbitraire

Evidemment, le président disait vrai, le vote par correspondance permet la fraude, mais là n’est pas la question.

  • Le vote par correspondance est vulnérable à la fraude et les cas sont nombreux et connus, même si les Démocrates et les médias le nient, parce qu’ils comptent sur le vote par correspondance pour remporter l’élection en novembre en organisant une fraude massive.
  • Mais la vraie question est de savoir si Twitter a le droit de décider ce qu’on peut dire et ce qu’on n’a pas le droit de dire, simplement parce que ça ne lui plaît pas ; s’il a le droit de censurer les uns et pas les autres.
  • Si oui, alors Twitter n’est plus un simple distributeur d’information mais un éditeur, et il ne peut pas bénéficier de la protection juridique de l’article 230.

Et là, l’édifice s’écroule : si Twitter censure, il est éditeur. S’il est éditeur, il doit rendre des comptes. S’il rend des comptes, il ne peut plus censurer de manière arbitraire.

Dans un tweet, Trump a déclaré :

« .@Twitter s’immisce maintenant dans l’élection présidentielle de 2020.

Ils disent que ma déclaration sur les bulletins de vote par correspondance, qui entraînera une corruption et une fraude massives, est incorrecte, sur la base d’une vérification des faits par le Fake News CNN et le Washington Post d’Amazon », a-t-il écrit dans un tweet.

« Twitter étouffe complètement la liberté d’expression et, en tant que président, je ne le permettrai pas », a-t-il déclaré dans un autre tweet.

C’est le levier que le président Trump vient d’actionner dans un ordre exécutif.

Twitter tire sur la corde et censure encore le président

Yoel Roth se sent plus fort que Donald Trump, et malgré les menaces du président, il a censuré un autre de ses tweets.

En réponse aux émeutes de Minneapolis et aux destructions par les Antifas et les émeutiers professionnels – y compris le bâtiment du 3e commissariat de police de Minneapolis – le président Trump a publié deux tweets ce vendredi matin en évoquant George Floyd, qui est mort lundi, apparemment après avoir été plaqué au sol par la police de Minneapolis.

  • Le premier tweet disait :

« Je ne peux pas rester là à rien faire et regarder ce qui arrive à une grande ville américaine, Minneapolis », a écrit Trump dans le premier des tweets censurés.

« [C’est] un manque total de leadership. Soit le très faible maire de la gauche radicale, Jacob Frey, se ressaisit et met la ville sous contrôle, soit j’envoie la Garde nationale [et] je fais le travail moi-même. »

  • Le second était pour dénoncer les « voyous qui déshonorent la mémoire de George Floyd et je ne laisserai pas ça arriver… Quand les pillages commencent, les coups de feu suivent » ajoutait le président.

Twitter a censuré les deux tweets de Trump, en les remplaçant par l’explication suivante :

« Ce Tweet a violé les règles de Twitter concernant la glorification de la violence. Cependant, Twitter a déterminé qu’il pourrait être dans l’intérêt du public que le Tweet reste accessible ».

Selon Roth, Trump « violait les règles de Twitter concernant la glorification de la violence » parce qu’il dénonçait la violence et disait qu’il allait envoyer l’armée pour rétablir l’ordre… mais Twitter n’a pas censuré les tweets des Antifas qui appelaient directement à commettre des violences à Minneapolis.

En réponse, le président a dénoncé le double standard de Twitter, et a promis d’agir.

« Twitter ne fait rien contre tous les mensonges et la propagande de la Chine ou du Parti de gauche radicale Démocrate. Ils ont ciblé les Républicains, les conservateurs et le président des États-Unis.

L’article 230 devrait être révoqué par le Congrès.

D’ici là, ce sera réglementé ! »

A force de tirer sur la corde, elle s’est cassée, Trump va réglementer les réseaux sociaux

Jeudi, le président Trump a signé un décret (1) destiné à empêcher la censure sur les réseaux sociaux.

Il a demandé à la Commission fédérale des communications (FCC) qu’elle réexaminer l’article 230 qui protège les entreprises de médias sociaux de toute responsabilité.

Le président a déclaré :

Les grandes entreprises qui traitent injustement des millions de citoyens américains ne devraient pas s’attendre à des privilèges et des protections spéciales en vertu de la loi.

Avec ce décret, notre pays fait un pas de plus vers un débat public honnête et équitable.

Dans le détail, le décret explique :

  • La politique américaine veut que les plateformes qui éditent, censurent ou n’agissent pas de « bonne foi » en ce qui concerne le contenu, ne bénéficient pas de la protection en matière de responsabilité prévue à l’article 230 de la loi sur la décence en matière de communications (Communications Decency Act).
  • Je charge le ministère du Commerce de demander à la FCC de clarifier les règles de la section 230 en accord avec la politique américaine.
  • J’interdis que des millions de dollars du contribuable ne soient gaspillés par les agences fédérales pour faire de la publicité sur des plateformes de médias sociaux biaisées.
  • Le ministère de la Justice examinera plus de 16 000 plaintes relatives à la censure pour motifs politiques, recueillies par la Maison Blanche avant le sommet sur les médias sociaux qui s’est tenu l’année dernière.
  • Je mobilise les procureurs généraux des États qui disposent d’un nombre considérable d’assignations à comparaître et d’autorités de protection des consommateurs, pour s’assurer que les plateformes de médias sociaux ne se livrent pas à des actes ou des pratiques déloyales ou trompeuses.
  • Ce décret agit comme une loi fédérale, et énumère les nombreuses façons dont les plateformes technologiques agissent avec des préjugés contre les points de vue qu’elles désapprouvent.

Finalement, la fraude au vote par correspondance, mythe ou réalité ?

Si vous lisez les journaux, vous serez enclin à croire que non seulement il n’existe pas de fraude électorale, mais que le sujet est clos et que nous ne sommes même pas autorisés à en parler.

Alors parlons-en.

Voici 16 exemples récents de fraude électorale (qui n’existe pas).

  1. Caroline du Nord, 2018. L’une des affaires de fraude les plus médiatisées par les mêmes médias qui disent qu’il n’y a pas d’affaire de fraude.Le comité électoral de Caroline du Nord a annulé le résultat de l’élection dans le 9e district du Congrès et a ordonné la tenue d’une nouvelle élection.Des preuves de fraude sur les bulletins de vote par correspondance sont apparues sur environ 61% de tous les votes par correspondance.
  2. Texas 2018. Dennis Jones a battu Tracy Gray d’une voix lors des primaires républicaines au Texas pour un siège au tribunal des commissaires du comté de Kaufman.Gray a contesté le résultat, alléguant qu’un voteur avait soumis des bulletins de vote par correspondance illégaux.Après une audience, un juge de l’État a invalidé les résultats et a ordonné une nouvelle élection, que Gray a remportée par 404 voix.
  3. Texas, 2018. Autre affaire de fraude au Texas. Armando O’Cana a apparemment remporté la mairie de Mission, au Texas, en battant le maire sortant Norberto « Beto » Salinas.Mais après l’apparition de preuves solides que la campagne de M. O’Cana avait soudoyé les électeurs, falsifié les bulletins de vote par correspondance et « aidé » indûment les électeurs lors du scrutin, le juge d’État J. Bonner Dorsey a invalidé le résultat.
  4. Floride, 2017. Le maire d’Eatonville, en Floride, Anthony Grant, a été reconnu coupable d’un délit de fraude électorale et de délit de violation du droit de vote par correspondance.
  5. Floride, 1998. Une enquête sur l’élection du maire de Miami révéla une vaste affaire de fraude qui concernait plus de 5 000 bulletins de vote par correspondance.
  6. Alabama 2017. Un juge de l’État d’Alabama a annulé le résultat d’une course pour le conseil municipal de Wetumpka dans laquelle le président sortant Percy Gill semblait avoir gagné par trois voix.Un procès a montré que huit bulletins de vote par correspondance déposés pour Gill avaient soit une fausse signature, soit n’étaient pas notariés ou signés devant le nombre requis de témoins.
  7. Alabama 2016. Course à la mairie de Gordon. Elbert Melton l’a emporté par 16 voix. Melton a ensuite été condamné pour deux chefs d’accusation de fraude au vote par correspondance et a été démis de ses fonctions.
  8. Missouri 2016. La représentante de l’État du Missouri, Penny Hubbard, a remporté les primaires démocrates de 2016 dans le 78e district de la Chambre de l’État par seulement 90 voix.Son adversaire, Bruce Franks Jr, a contesté le résultat. Le juge Rex Burlison a estimé qu’il y avait eu tellement de votes par correspondance irréguliers, qu’il a ordonné une nouvelle élection. Franks a gagné par 1 533 voix.
  9. Texas 2016. L’ancien commissaire de la ville de Weslaco, Guadalupe Rivera, a plaidé coupable d’avoir falsifié 30 bulletins de vote par correspondance pour remporter l’élection.
  10. New Jersey 2015. Fernando Gonzalez a remporté une victoire avec 10 voix sur Sergio Dias pour un siège au conseil municipal de Perth Amboy, dans le New Jersey.Après avoir déterminé qu’au moins 13 bulletins de vote par correspondance avaient été déposés illégalement, une cour supérieure de l’État a annulé les résultats et ordonné une nouvelle élection.
  11. New York 2014. Le candidat à l’Assemblée de l’État de New York, Hector Ramirez, a plaidé coupable d’un chef d’accusation pour possession d’un faux instrument pendant sa campagne de 2014.Les procureurs ont accusé Ramirez d’avoir trompé les électeurs pour qu’ils donnent leurs bulletins de vote par correspondance à sa campagne en partant du principe erroné qu’il les soumettrait. Au lieu de cela, il a inséré son nom sur au moins 35 bulletins.
  12. Pennsylvanie, 2009. Richard Allen Toney, l’ancien chef de la police du canton de Harmar, a plaidé coupable d’avoir illégalement sollicité des bulletins de vote par correspondance au profit de sa femme et de son colistier lors des primaires démocrates. Le décompte des votes par correspondance a fait basculer les résultats des primaires, assurant ainsi la victoire du colistier de sa femme.Au cours d’une enquête du FBI, les procureurs ont déclaré que Toney avait tenté d’empêcher deux témoins du grand jury et d’autres personnes de témoigner. Il a été condamné à trois ans de mise à l’épreuve.
  13. Virginie 2012. Après une enquête fédérale sur une fraude électorale en Virginie occidentale, le shérif du comté de Lincoln, Jerry Bowman, et le greffier du comté, Donald Whitten, ont plaidé coupable d’avoir rempli des urnes et falsifié des bulletins de vote par correspondance pour tenter de voler une élection primaire démocrate en 2010. Un juge a annulé l’élection, en rejetant 300 bulletins frauduleux.
  14. Mississipi 2007. L’une des affaires les plus complexes est survenue dans une juridiction rurale pour une opération de fraude massive d’électeurs absents, gérée par la machine locale du Parti démocrate. Les procureurs ont déclaré que les notaires payés par la machine prenaient les bulletins de vote dans les boîtes aux lettres et les votaient à la place des électeurs visés.
  15. Alabama 2004. La Cour suprême de l’Alabama a annulé les résultats d’une course à la mairie de Guntersville après avoir constaté que des bulletins de vote par correspondance avaient été déposés sans identification appropriée et auraient dû être rejetés.
  16. Indiana 2003. Lors de la course à la mairie de East Chicago, dans l’Indiana, le challenger George Pabey a battu le jour du scrutin le candidat sortant, Robert Patrick, qui avait été réélu pour huit mandats, mais il a perdu par 278 voix après avoir reçu environ 2 000 bulletins de vote par correspondance contrefaits.

Les journalistes ont donc raison : si l’on exclut ces cas, la fraude électorale par correspondance n’existe pas.

Par ailleurs, les informations sur environ 24 millions d’électeurs, soit 1 électeur sur 8, ne sont plus valides ou sont inexactes, et 1,8 million sont décédés, mais toujours sur les listes (2).

Enfin, dans mon comté de Los Angeles, 112 % des habitants du comté sont inscrits sur les listes électorales.

Conclusion

Sommes-nous vraiment à l’aise qu’une poignée de petits jeunes milliardaires de la technologie contrôlent le flux d’informations ?

Existe-t-il d’autres exemples dans l’histoire de l’humanité, où les propos de l’ensemble des conservateurs de la planète entière sont sous contrôle d’une poignée de quatre ou cinq personnes, obligeant les auteurs à des gymnastiques intellectuelles constantes et une auto-censure des propos qu’ils savent être interdits, pour éviter la fermeture de leurs moyens d’expression ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

source: https://www.dreuz.info/2020/05/30/trump-attaque-de-front-la-censure-des-reseau-sociaux/

Témoignage : une étudiante en classe préparatoire raconte l’enfer idéologique qu’elle a vécu

Christian Hofer : La situation n'est évidemment pas différente dans les universités romandes, expériences personnelles que j'ai effectuées à l'appui : éloge du multiculturalisme, dénigrement systématique de Donald Trump et de l'UDC, propagande d'extrême gauche concernant tout ce qui touche la "diversité" et le féminisme.

Comme elle le dit, c'est que le début et le peuple lambda n'en a pas connaissance. Mais il est obligé de financer ces universités sans savoir ce qui s'y passe réellement.

Et demain, ces milliers d'individus instruits à la sauce de gauche gouverneront nos pays, siégeront dans nos tribunaux, donneront notre argent à des "pays en développement", organiseront des "actions contre le racisme" à sens unique, avec les conséquences auxquelles on doit s'attendre.

 

 

Campus Vox

Via Fdesouche


Rappel :

L’Université de Lausanne reste un foyer pour les marxistes

L’OMS devra rendre des comptes mais elle est plus indispensable que jamais

Une majorité d’États souhaite que la gestion de la pandémie de Covid-19 par l’agence onusienne soit passée au crible.
L’OMS devra rendre des comptes mais elle est plus indispensable que jamais

"Une majorité d’États souhaite que la gestion de la pandémie de Covid-19 par l’agence onusienne soit passée au crible.

[...]

24heures.ch


A noter que le seul président qui a vraiment exigé des comptes à l'OMS, Donald Trump, n'est même pas présent sur les photos de l'article du 24 Heures. Ou comment réécrire l'histoire à la bonne sauce communiste.

Au contraire, ce sont des individus bien à gauche qui sont exhibés comme référence : Macron, Sommaruga et Merkel en tête, cherchant à faire croire aux lecteurs que ce sont eux qui sont à l'origine de cette demande et qui défendent les peuples.

Or ce sont bel et bien des politiciens de droite qui ont exigé dès le début des comptes à cette OMS.

 

L’OMS aimerait enquêter en Chine sur l’origine du virus

Les autorités sanitaires mondiales ont appelé Pékin à les inviter à participer aux enquêtes sur les origines animales du virus. L'OMS est accusée par les Etats-Unis de ne pas avoir immédiatement saisi la gravité du nouveau coronavirus.

"L'OMS souhaiterait travailler avec des partenaires internationaux et, à l'invitation du gouvernement chinois, participer à l'enquête sur les origines animales", a indiqué un porte-parole de l'organisation, Tarik Jasarevic, à l'AFP. L'Organisation mondiale de la Santé (OMS), qui a jusqu'à présent couvert de louanges Pékin pour sa gestion de la crise, a expliqué qu'elle "croyait savoir qu'un certain nombre d'études visant à mieux comprendre l'origine de l'épidémie en Chine sont actuellement en cours ou prévues".

[...]

Laliberte.ch

Via le Facebook du PNS


Rappel :

Trump a été le principal dirigeant a exigé des comptes de la part de Chine pendant que l'UE se taisait.

“Mécontent” de la Chine, Trump lui demande des milliards de dollars de réparation

Le président américain continue d’accuser Pékin d’avoir dissimulé des informations à propos de l’épidémie et la taxe d’“incompétence”.

Donald Trump maintient la pression sur la Chine. Alors que de nombreux soupçons pèsent sur le premier pays hôte de la pandémie, le président américain a enfoncé le clou lors de son point presse quotidien, rapporte notamment Le Point. Le chef de l’Etat, qui reproche à la Chine d’avoir dissimulé des informations essentielles sur le virus, a cette fois menacé Pékin de milliards de dollars de réparation pour les dommages causés par l’épidémie dans le monde entier.

[...]

Valeursactuelles

Nos remerciements à Victoria Valentini

Un pasteur bâlois souhaite la mort de Trump

L’affaire fait grand bruit en Suisse alémanique. Fâché par l’attitude du président Donald Trump dans la crise du Coronavirus, le pasteur Martin Dürr a émis sur Facebook à Pâques le souhait que le «dictateur fasciste soit tué», relate la «BaslerZeitung».

Les phrases rapportées par le journal semble sans équivoque. Le pasteur bâlois ne comprend pas l’attitude du peuple américain. «Comment est-il possible qu’ils aient choisi un menteur narcissique pathologique, et qu’ils continuent à l’adorer comme s’il était Dieu? À quel moment faut-il tuer un dictateur fasciste? Que faut-il de plus que les 10'000, et probablement bientôt 100'000 personnes qui meurent actuellement, simplement à cause de son désir pervers de rester au pouvoir et de son infinie avidité?»

[...]

24heures.ch

 

Covid-19 : Donald Trump suspend la contribution des États-Unis à l’OMS

15/04/2020 - 00:52

Le président américain a mis mardi sa menace à exécution en suspendant la contribution de son pays à l'Organisation mondiale de la santé dont il critique la gestion de la pandémie de coronavirus.

La menace flottait depuis quelques jours, Donald Trump l'a mise à exécution. Le président américain a annoncé, mardi 14 avril, la suspension de la contribution des États-Unis à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).

"Le monde a reçu plein de fausses informations sur la transmission et la mortalité" du Covid-19, a lancé DonaldTrump dans un long et violent réquisitoire contre cette agence de l'ONU. "Aujourd'hui, j'ordonne la suspension du financement de l'Organisation mondiale de la santé pendant qu'une étude est menée pour examiner le rôle de l'OMS dans la mauvaise gestion et la dissimulation de la propagation du coronavirus", a-t-il ajouté depuis les jardins de la Maison Blanche.

Soulignant que les États-Unis contribuaient à hauteur de "400 à 500 millions de dollars par an" à l'organisation, contre environ 40 millions de dollars "et même moins" pour la Chine, Donald Trump a estimé que son pays avait le devoir des réclamer des comptes.

L'OMS jugée trop favorable à Pékin

"Si l'OMS avait fait son travail et envoyé des experts médicaux en Chine pour étudier objectivement la situation sur le terrain, l'épidémie aurait pu être contenue à sa source avec très peu de morts", a-t-il martelé. "Nous avons eu des problèmes avec eux depuis des années", a-t-il encore dit.

[...]

article complet: https://www.france24.com/fr/20200414-covid-19-donald-trump-suspend-la-contribution-des-%C3%A9tats-unis-%C3%A0-l-oms

Donald Trump menace de ne plus financer l’OMS

Trump ne payera pas pour protéger Harry et Meghan

Selon le tabloïd «The Sun», le couple a pris un jet privé pour Los Angeles la semaine dernière, au moment où le Canada et les États-Unis s'apprêtaient à fermer leur frontière pour lutter contre la propagation du coronavirus.

Évoquant la décision de Harry et Meghan, il a ajouté: «Les États-Unis ne paieront pas pour leur protection». «Ils doivent payer!», a-t-il conclu, sans donner les raisons de cet emportement soudain.

[...]

20min.ch


Rappels :

Harry et Meghan, grands amis d'Obama. Meghan traite Trump de misogyne

La rénovation de la nouvelle résidence du prince Harry et de son épouse Meghan a coûté 3 millions de francs aux contribuables britanniques

Le prince Harry épinglé pour ses nombreux voyages en jet privé alors qu'il assène sa morale écologique

Elton John vole au secours de Harry et Meghan… en envoyant son jet privé

Le prince Harry a rendu hommage aux victimes de l’attentat en… partageant le repas du Ramadan avec des musulmans

Procès de Donald Trump : Acquitté par le Sénat, le président américain échappe à une destitution

Tous les républicains sauf Mitt Romney ont serré les rangs, et Donald Trump peut désormais se concentrer sur sa campagne de réélection

Il n’y avait aucun suspense. Dans le procès en destitution du président américain, le Sénat a voté, mercredi, pour l’acquitter des charges « d’abus de pouvoir » (par 52 voix contre 48) et « d’entrave au Congrès » (par 53 voix contre 47). Il aurait fallu une majorité des deux tiers (67 voix) pour le condamner. Après quatre mois d’une âpre bataille, le bras de fer de l’impeachment est officiellement terminé, et Donald Trump peut désormais regarder vers la présidentielle du 3 novembre.

 

 

Le président américain a annoncé qu’il ferait une déclaration officielle depuis la Maison Blanche jeudi à midi (18h heure de Paris) sur « la VICTOIRE de notre pays (contre) le hoax de l’impeachment ». Il a également jubilé (et trollé) sur Twitter, republiant une vidéo parodique sur ses prochaines réélections en 2020, 2024 et « 4ever » (à tout jamais).

[...]

20minutes.fr

Floride : Voiture folle et coups de feu à la résidence Trump

Des coups de feu ont été tirés vendredi au club de golf Mar-a-Lago après le passage en force d'un 4X4 à travers deux barrières de sécurité.

 

 

Deux hommes ont été arrêtés en Floride après avoir franchi vendredi pour une raison indéterminée deux barrières de sécurité du club de golf Mar-a-Lago de Donald Trump, a annoncé la police de Palm Beach.

[...]

20min.ch

George Soros annonce investir 1 milliard de dollars contre les «dictateurs» (Trump et Poutine)

Comment les journaux américains ont abandonné les classes populaires blanches

Pour ce professeur de journalisme, depuis plusieurs décennies, le prolétariat blanc a été mis de côté par la presse, concurrencée par la télévision.

L’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis a signé le retour dans la presse de toute une frange de la population américaine qui avait été délaissée dans les colonnes des grands quotidiens nationaux : les prolétaires blancs. Ceux-ci ont fait du vote républicain une arme de protestation contre une intelligentsia démocrate qui, selon eux, les négligeait et les humiliait. Selon Christopher Martin, auteur de No Longer Newsworthy. How the Mainstream Media Abandoned the Working Class (Cornell University Press), si toutes les revendications de cette partie de l’électorat américain ne sont pas justifiées, il est en revanche frappant de constater à quel point la presse américaine mainstream, à partir des années 1970, a progressivement négligé les sujets qui traitent de la classe ouvrière blanche.

C’est d’autant plus saisissant que la presse moderne s’était très largement construite autour du mouvement ouvrier blanc au XIXe siècle.  (…)

Comment se fait-il qu’en quelques décennies ces sujets, et plus généralement les préoccupations du prolétariat blanc, aient perdu leur couverture journalistique régulière et légitime dans la presse américaine pour devenir des sujets anecdotiques et mal traités ?

Via Fdesouche

Trump marchera contre l’avortement: une première

Le républicain sera le premier président américain à participer à la Marche pour la vie, organisée vendredi à Washington

Donald J. Trump

@realDonaldTrump

See you on Friday...Big Crowd! https://twitter.com/march_for_life/status/1091025377932263427 

March for Life

@March_for_Life

Hundreds of thousands of pro-life Americans made their voices heard this month. We are a pro-life generation. Thank you for marching for life!

Join us again at the March for Life on January 24, 2020. #whywemarch

États-Unis : Il tue son patron pro-Trump à coups de truelle

Un homme de la Floride est accusé d’avoir tué son patron et ami après une conversation houleuse sur la politique américaine.

Mason Trever Toney, 28 ans, aurait asséné plusieurs coups de truelle à son supérieur, William Knight. La tragique dispute a éclaté sur un chantier de construction d’Orange County, où les deux hommes travaillaient.

 

 

Des travailleurs ont décrit la victime comme étant un «fier Américain partisan de Donald Trump», a rapporté la chaîne CNN. Pour sa part, Mason Trever Toney a des vues «anti-gouvernement», ont indiqué ses collègues.

Via Fdesouche

Soleimani visait quatre ambassades américaines, affirme Donald Trump

Les Etats-Unis ont également dévoilé vendredi de nouvelles sanctions visant huit hauts responsables de la République islamique d'Iran.

Plus d'une semaine après la mort de Qassem Soleimani, les langues se délient du côté de Washington. Dans un premier temps, c'est le secrétaire d'Etat Mike Pompeo qui révélait que le puissant général iranien prévoyait des attaques contre « des infrastructures américaines, dont des ambassades américaines, des bases militaires, des installations américaines à travers la région ». Un peu plus tard dans la journée, c'était au tour de Donald Trump de livrer plus de détails. Incité sur Fox News à se montrer plus précis, le président américain a pour la première fois avancé un chiffre. « Je peux révéler que je pense que quatre ambassades auraient été concernées », a-t-il affirmé, indiquant simplement que celle de Bagdad aurait « probablement » fait partie des cibles.

[...]

Lepoint.fr