Paris : une conférence internationale pour les “non-blancs”

Du vendredi 4 au dimanche 6 mai, la conférence internationale "Bandung du Nord" pour une "internationale décoloniale" se tiendra à la Bourse du travail de Saint-Denis: la «première conférence internationale de personnes de couleur prenant à bras le corps les questions concernant les non-blancs vivant dans le nord global».

Le postulat de départ des organisateurs: environ 160 millions de «non-blancs» vivent dans les pays du «Nord global». Selon eux, ces personnes «font l’expérience du racisme dans toutes les sphères de la vie, tel un rappel constant de la continuité de l’héritage colonial». Ce racisme se manifesterait «dans le système politique qui prive les non-blancs de parole et impose un récit dominant sur le terrorisme qui facilite la montée d’un État policier et cible les personnes non blanches». Ainsi, l'objectif affiché de cette conférence est de défendre une «Internationale Décoloniale qui scellerait une alliance politique entre les mouvements décoloniaux d'Occident».

Au programme de ces journées, des conférences et des débats aux intitulés douteux. Florilège : «Combattre l’Etat policier et le racisme d’Etat à l’échelle des pays du Nord», «Quelles alliances avec la gauche blanche», ou encore «Racismes intra-communautaires ou comment les combattre et construire une alliance stratégique entre les communautés ?» Cette idéologie mortifère est toujours la même : sous couvert d'antiracisme, on inculque une vision racialiste de la société en prônant une solidarité entre les communautés non-blanches afin de lutter contre les oppresseurs blancs.

Parmi la longue liste des intervenants, on retrouve toute la clique française habituelle. Le Collectif contre l'islamophobie en France ; Rokhaya Diallo, une militante antiraciste connue pour avoir défendu les camps d’été interdits aux blancs ; Houria Bouteldja, porte-parole du Parti des indigènes de la République qui accuse régulièrement la France de racisme d’Etat envers les descendants des populations colonisés. Autre invité de marque : Nordine Saidi, un membre du parti Islam en Belgique (mouvement dont l’objectif est d’instaurer la charia dans son pays), qui avait refusé en 2009 de condamner les attentats terroristes.

Le clou de cette conférence est probablement le «jet de chaussures anti-impérialistes» qui sera organisé contre Manuel Valls. Ces quelques jours du premier week-end de mai promettent d'être enrichissants.

Bandung du Nord
Source: Valeurs Actuelles Via Contre-info

Paris. Défilé du 1er mai : un McDonald’s saccagé par des extrémistes de gauche encagoulés à Austerlitz (Vidéos)

16h23 - Alors que les casseurs ont attaqué une agence de permis de conduire et ont brûlé des véhicules, les CRS commencent à charger les responsables, notamment à l'aide de canons à eau. 

16h20 - Les individus cagoulés s'en sont également pris à une concession Renault, d'après les journalistes sur place.

15h40 - Le cortège syndical est parti avec 40 minutes de retard de la place de la Bastille.

 

 

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Des incidents ont éclaté ce lundi lors de la manifestation du 1er mai à Paris. Plusieurs centaines d’individus masqués ont pris part à la mobilisation et un restaurant MdDonald’s a été saccagé à Austerlitz.

Dès les premières minutes de la manif, les journalistes sur place avaient remarqué la présence d’individus « cagoulés » ou « masqués ».

Vers 15 heures, la préfecture de police de Paris recensait de « 40 à 50 individus masqués et cagoulés », selon l’AFP. A peine une heure plus tard, c’est 1200 individus en noir que les autorités dénombraient.

 

 

 

Rassemblés autour de banderoles comme « Premiers de cordée, premiers guillotinés » ou « Cette fois, on s’est organisé », ils criaient « Tout le monde déteste la police », « Paris, debout, soulève-toi » ou encore « Zyed, Bouna, Theo et Adama, on n’oublie pas, on pardonne pas ».

A Austerlitz, le McDonald’s a été attaqué à coups de pavés par des individus cagoulés. Plusieurs mobiliers urbains ont également été dégradés.

Peu avant que le cortège ne parte, deux individus, munis de burins, avaient été interpellés.

Lundi, la préfecture de police avait évoqué un risque de débordement par « des groupes extrémistes » voulant faire de cette journée « un grand rendez-vous révolutionnaire » et prévoyant de « s’en prendre violemment aux forces de l’ordre ainsi qu’aux symboles du capitalisme ».

Source Source2

 

France. L’extrême gauche saccage l’Université de Paris 8: “Frappez vite, frappez fort, un bon flic est un flic mort.”

Nous parlions déjà de ces extrémistes ici.

Quelques jours après la mort du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, voici comment l'extrême gauche procède.

Photos via Marc Ferracci, Professeur d'économie à l'Université Panthéon Assas. Conseiller spécial auprès de la Ministre du Travail.

 

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Source: 

Paris. Barbès: 60 mineurs marocains sèment la peur et s’imposent par la violence

Suite de l'article paru ici.

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Quitter la Goutte d'Or dans le 18ème arrondissement de Paris, Mireille* n'y aurait jamais songé. Mais après deux agressions en un mois, sur elle et sur sa fille de quinze ans, elle y réfléchit : "la première fois c'était un dimanche soir, j'ai vu trois de ces jeunes sur le trottoir et j'ai senti une menace alors nous avons fait demi-tour, mais juste après l'un d'eux a sauté à la gorge de ma fille, peut-être pour lui prendre son collier; Elle s'est dégagée, s'est mise à pleurer, nous sommes parties en courant. le lendemain nous avons déposé plainte, mais désormais je ne suis plus tranquille dans la rue, et elle non plus. Elle trouve très injuste de ne plus pouvoir se promener librement dans son quartier".

Deux pétitions, plus de 1 500 signatures. D’un commun accord, des habitants et commerçants des XVIIIe et Xe arrondissements, résidants des quartiers Goutte-d’Or, Barbès, la Chapelle et Marx Dormoy, ont décidé d’alerter élus et autorités sur l’insalubrité qu’ils dénoncent déjà sans relâche. Mais également sur l’insécurité, liée, disent-ils, à la présence depuis des mois, de groupes d’enfants des rues, une soixantaine de mineurs marocains âgés de 14 à 17 ans, toxicomanes pour la plupart, auxquels se sont jointes récemment de très jeunes filles.

Les textes ont été remis mardi soir au maire (PS) du XVIIIe, Éric Lejoindre. « Il y a trois semaines, deux personnes ont été physiquement agressées, rue Affre, en plein après-midi. Des plaintes ont été déposées. Ce décompte est loin d’être exhaustif, écrivent les habitants. Et nous notons une nette dégradation, marquée par l’apparition de problèmes bien plus graves : Violence, cambriolages, prostitution et augmentation du trafic de drogue. »

« Toutes les personnes impliquées dans le quartier, ajoutent-ils, s’accordent à dire que nous sommes assis sur une véritable poudrière », terminent-ils, avant de demander « la réalisation d’un diagnostic global, et de la mise en place de nouvelles solutions en collaboration avec les pouvoirs publics, les associations et les habitants ».

Les enfants refusent la prise en charge

La situation, que sont venues aborder ce mercredi, devant les habitants, Dominique Versini, adjointe d’Anne Hidalgo en charge de l’accueil des réfugiés et de la protection de l’enfance et Colombe Brossel, adjointe à la sécurité, semble se dégrader au fil des semaines. D’autant que la plupart des enfants refusent toute prise en charge.

Au mois de décembre, les mêmes avaient pourtant annoncé la mise en œuvre d’un ambitieux plan d’urgence, sous convention avec le Centre d’action sociale protestant (CASP) pour la prise en charge des mineurs marocains, doté d’une enveloppe de près de 700 000 €.

Une situation qui se dégrade, malgré l'action des autorités

Depuis un peu plus d'un an, ces enfants arrivent à la Goutte d'Or. Des Marocains pour beaucoup, entre 8 et 17 ans pour la plupart, majoritairement des garçons mais depuis quelques semaines des filles aussi s'installent dans le quartier. Des "enfants des rues", polytoxicomanes, qui sniffent de la colle ou prennent des médicaments, se bagarrent violemment, dorment dehors.

Au mois de décembre dernier, la Ville de Paris a débloqué près de 700.000 euros pour un plan d'urgence. Un centre d'accueil a ouvert, des éducateurs vont à leur rencontre pour les convaincre de se faire aider, d'être pris en charge, accompagnés. Selon la mairie du 18ème arrondissement, une quarantaine auraient ainsi rejoint le circuit de l'Aide sociale à l'enfance. Mais depuis un peu plus d'un mois, de nouveaux mineurs sont arrivés. "C'est très compliqué", explique le maire socialiste du 18ème, Eric Lejoindre, "nous travaillons avec la préfecture de police, avec la Ville de Paris, mais ces enfants refusent toute prise e charge et en l'état actuel de la loi, nous ne pouvons pas les obliger à rejoindre un centre d'accueil de jour ou de nuit". Le maire se trouve donc sans les outils juridiques pour faire face à cette situation, et demande à la ministre de la Justice de réfléchir à un texte permettant une prise en charge de ces enfants, sans leur consentement.

«Votre combat est perdu d’avance»

« On n’en peut plus. Les enfants sont passés sous la coupe réglée des trafiquants adultes… Et ce sont eux les plus violents », déplore une habitante de la Goutte d’Or. « Votre combat est perdu d’avance : sur un ou deux gosses que vous parviendrez à sortir de la rue, combien y resteront ? Le basculement criminogène de notre quartier est extrêmement inquiétant. Il est tenu depuis longtemps par les mafias, mais elles, comme elles ont intérêt à voir la police le moins possible, elles nous laissent à peu près tranquilles ! » Les riverains étaient nombreux, mercredi soir à la mairie du XVIIIe, pour cette nouvelle réunion publique d’information sur les mineurs marocains de la Goutte-d’Or. Et le sentiment d’impuissance régnait. Malgré les efforts entrepris par la Ville, la police, le parquet des mineurs et les associations mandatées, désormais très présentes aux côtés des enfants. Tous soulignent les mêmes difficultés pour approcher ces enfants en errance. « Comment imposer des soins à des jeunes qui n’en veulent pas ? », reconnaît le maire (PS), Éric Lejoindre.

Source Source2

Paris. Université de la Sorbonne: Une réunion interdite aux hommes hétérosexuels au nom du féminisme.

Mardi 6 mars de 17h30 à 20h30 à Tolbiac, Amphi H

Assemblée générale en non-mixité choisie* pour organiser et discuter du 8 mars, journée internationale de la lutte pour les droits des femmes.

Pour redéfinir nos perspectives et moyens d'action, contre le capitalisme, contre le patriarcat, contre la politique libérale macroniste, et contre la réforme de la sélection synonyme de précarisation des femmes et minorités de genre, et surtout des pauvres.

Ensemble, organisons la lutte pour nous et par nous !

**Pourquoi s'organiser en non-mixité ?
*La non-mixité choisie s’adresse aux femmes et aux minorités de genre. Elle ne s’adresse donc pas aux hommes cisgenres.
*La non mixité est un moyen de construire un cadre bienveillant nous permettant de libérer notre parole et de prendre par nous-mêmes des décisions qui nous concernent.

Source Facebook Source2

 

facebook

 

Nos remerciements à Victoria Valentini 

Les migrants sous la neige à Paris ? Bien fait, z’avaient qu’à rester chez eux

Par Christine Tasin

Ce n’est pas du cynisme, c’est du bon sens.

Ces gens quittent l’Afrique –  continent au sous-sol plus que riche, continent qui, grâce à son climat, permet dans nombre de pays des récoltes pratiquement toute l’année – pour venir, sans y être invités, en trichant, en cachant leur nom, en mentant sur leur âge, en laissant leur famille dans des pays où eux, prétendument, souffriraient. Et ils campent sous la neige ? Bien fait pour leur gueule. Ils n’en bavent pas assez encore.

Qu’ils retournent chez eux, qu’ils envoient des SMS avec leurs Iphone dernier cri pour dire que la France n’est pas l’Eldorado promis. Qu’on cesse de les aider, qu’ils se prennent par la main pour changer les choses chez eux, pour chasser les politiques corrompus, pour faire des puits, irriguer le désert s’il le faut… Les Israéliens l’ont bien fait. Les Français qui ont fait de la Mitidja un jardin d’Eden l’ont bien fait, eux. La Mitidja en 1950 ci-dessous :

C’est que dès 1830 les Français avaient eu à coeur de planter, lutter contre le désert, ils pensaient même attacher les Arabes à leur pays, attacher les Nomades à une terre, comme le Général Bugeaud, qui, en 1841, disait à son Ministre de la guerre : « Tâchons de donner aux Arabes le goût de la culture des arbres, parce que rien ne rend sédentaire et n’attache à la réalité comme cela ». Les Français ont travaillé comme des fous, planté, reboisé…

Qu’attendent-ils pour faire pareil, les Algériens de 2018, les Somaliens, Erythréens et autres « migrants  » ?

Même Oumma.com le reconnaît, à sa manière, c’est dire :

L’Algérie n’est jamais parvenue à atteindre l’autosuffisance alimentaire en raison de choix économiques catastrophiques au lendemain de l’indépendance,  qui ont sacrifié son agriculture, au profit d’une politique du développement des hydrocarbures. Ces mauvais choix ont contraint ce pays à tout importer, y compris des fruits et légumes,  pour une facture alimentaire totale, évaluée à plus de 10 milliards de dollars.

L’Algérie avait pourtant à la fin des années 40 une agriculture florissante, comme le démontre le reportage ci-dessous de la télévision française. La voix-off de ce reportage rappelle avec enthousiasme que “L’Algérie récolte à profusion pommes de terre, carottes, artichauts, pois, haricots verts, tomates lorsqu’en France les vergers fleurissent à peine. Les courriers d’Algérie transportent des cerises, des abricots que le soleil a fait mûrir en avance et qui sont en Europe les annonciateurs du printemps. Et quand le verglas et la neige recouvrent les campagnes européennes, les clémentines, les citrons, les oranges, dates au goût de miel mettent sur les tables par leur couleur un rayon de soleil. Citons quelques chiffre: au cours de l’automne et de l’hiver 47 et 48, l’Algérie a exporté 900 000 quintaux d’agrumes, 200 000 quintaux de dattes, 350 000 quintaux de figues sèches. Au cours de l’année tout entière plus de deux millions de quintaux de fruits et de légumes frais, pendant le seul printemps de 1948, 700 000 quintaux de pommes de terre nouvelles ont été importées d’Algérie”.

https://oumma.com/quand-lalgerie-etait-une-grande-puissance-agricole-exportatrice-video/

A comparer avec cet article :

http://www.reussir.fr/fruits-legumes/fruits-legumes/un-premier-bateau-francais-pour-l-algerie

Personne ne choisit ses parents, sa couleur de peau, le pays qui l’a vu naître, ses points forts et handicaps. Cela fait partie des hasards de la vie. La grandeur de l’homme c’est de faire avec, de tirer parti de ce qu’il est ou a, de ce qu’il n’a pas ou n’est pas,  pour vivre la meilleure vie possible, pour apporter à la terre qui l’a vu naître ses talents, ses efforts, son amour… et transmettre à ses descendants un pays meilleur.

On a accueilli, dans les années 90, nombre d’Algériens qui risquaient effectivement leur vie avec le FIS et on a bien fait. Chacun sait – même les politiques le reconnaissent – qu’il y a très peu de migrants qui risquent vraiment leur vie dans leur pays et qu’ils sont essentiellement des « réfugiés économiques », traduisez des gens qui ont envie de changer d’air, de vivre en Occident. Et d’y apporter leurs coutumes et mode de vie qu’ils nous imposent, tant qu’à faire. On fuit le pays mais on veut transformer l’Eldorado en un double de ce pays….

 

Alors, les migrants sous la neige ? Rien à faire. Aucune pitié. Même pour les très rares enfants qui pourraient se trouver avec eux ( mais j’en doute eu égard à l’efficacité des associations que nous engraissons ), ils servent trop souvent à éviter aux illégaux d’être renvoyés chez eux. Et puis, ces enfants, demain, sont ceux qui remplaceront les nôtres, pousseront les nôtres vers l’étranger ou la tombe car il y a, statistiquement, forcément, de futurs djihadistes parmi ces gens qui sont sous les tentes. Même si l’immense majorité de ceux-ci sont paisibles et ne demandent qu’à vivre une autre vie, même s’il n’y a qu’un assassin potentiel parmi 10 000 d’entre eux, c’est un de trop. Le principe de précaution doit  amener à les renvoyer tous, sans exception, d’où ils viennent. C’est eux ou nous, et c’est de plus en plus clair pour le monde entier :

http://resistancerepublicaine.eu/2018/02/08/le-djihad-silencieux-annonce-la-guerre-civile-et-montre-comment-le-halal-finance-le-terrorisme/

Si j’étais croyante, je prierais pour qu’il y ait encore plus d’inondations, plus de neige, qu’ils se caillent de plus en plus… et qu’ils dégagent. Ils sont chez nous et n’ont même pas eu la politesse de faire ce que nous faisons tous : frapper avant d’entrer, demander la permission d’entrer quand on va chez les autres. Dehors !

Christine Tasin
Article paru en premier sur Résistance Républicaine

Accusé de viols, Tariq Ramadan a été placé en garde à vue à Paris

L'islamologue suisse Tariq Ramadan, accusé de viol par deux femmes en France, a été placé en garde à vue mercredi par les enquêteurs de la police judiciaire de Paris, selon une source judiciaire.

Tariq Ramadan s'est rendu mercredi matin à la convocation des policiers "dans le cadre de l'enquête préliminaire ouverte à Paris des chefs de viols et violences volontaires", a précisé cette source, confirmant une information de la radio française RTL.

Deux femmes accusent depuis octobre le théologien de les avoir violées en 2009 et en 2012. L'islamologue de 55 ans s'était défendu de ces accusations de viol en dénonçant sur sa page Facebook une "campagne de calomnie" qui fédère ses "ennemis de toujours".

L'université britannique d'Oxford, où il enseignait, avait annoncé en novembre sa suspension avec effet immédiat.

Source

Le logeur des islamistes de Paris craque: Jawad Bendaoud «Sur le Coran, je vais te baiser»

Alors que son procès entre dans sa deuxième semaine, le "logeur de Daech" est resté sur la même ligne de défense. Et n'a pas hésité à s'en prendre à l'autre prévenu, Mohamed Soumah.

Il est à nouveau sorti de ses gonds. Jugé depuis mercredi pour avoir logé des jihadistes du 13-Novembre, Jawad Bendaoud s'en est vivement pris, lundi 29 janvier, à l'autre prévenu, Mohamed Soumah, accusé d'avoir joué les intermédiaires. "Tu me traites de menteur, sur le Coran je vais te baiser", a lancé le "logeur de Daech". L'incident entre les deux hommes, en désaccord sur un point du dossier, a provoqué une interruption de séance en début de soirée.

Source et article complet 

Les rats règnent sur Paris: la vidéo choc d’un éboueur

Paris est en mains socialistes, symbole du multiculturalisme et de l'immigration clandestine.

La différence de la situation entre 1950/1960 et aujourd'hui explique bien des choses sans avoir besoin d'autres commentaires.

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Preuve à l’appui, les employés de la Ville de Paris dénoncent la prolifération des rats dans la capitale. La mairie assure avoir pris la mesure de la situation.

La vidéo est impressionnante. C’est une masse de rats qui pullulent dans une benne à ordures de Paris. Les gros nuisibles gris s’amoncellent pour avoir leur part du butin du jour et sautent parfois sur les hautes parois de la poubelle.

La scène a été filmée le 9 décembre dernier sur les berges de Seine, entre le musée d’Orsay et le Pont Royal (Paris, VIIe) par David*, un des employés de la Ville de Paris, en charge de la propreté dans la capitale. Ce matin-là, les éboueurs doivent vider les bennes enfermées dans des cages cadenassées. Horreur en ouvrant l’une d’entre elles. Mais c’est loin d’être la première fois, assure David au Parisien : «Depuis un an, on constate une prolifération des rats dans tous les arrondissements qui bordent la Seine».

De quoi détériorer les conditions de travail des agents de la Ville. «Le matin, on y va à reculons», peste David qui déplore la situation «tant pour les Parisiens que pour les touristes, qui viennent visiter la plus belle ville du monde».

 

 

«Un rat lui a sauté à la gorge»

Si les employés de la mairie sont vaccinés avant d’entrer en fonction, ils redoutent «les attaques» de ces nuisibles et les maladies qui en découleraient. «Un collègue m’a raconté qu’un rat lui avait sauté à la gorge et un autre au bras», relate David qui reconnaît : «A ma connaissance, il n’y a pas eu de morsures pour le moment, mais on ne veut pas attendre qu’il y ait un drame.»

Alors les éboueurs appellent la Ville «à prendre les mesures pour éradiquer le problème» et les restaurateurs des berges de Seine à mieux se comporter. «Les restaurants ont une quinzaine de bennes à leurs dispositions, certains laissent tout de même des sacs poubelles à l’extérieur».

La mairie, de son côté, explique avoir connaissance du phénomène de ces rats «que l’on voit plus en plus dans l’espace public» et dont «les agents de la Propreté et des Espaces Verts sont les premiers témoins». «Toutes les directions concernées ont pris le problème à bras-le-corps», réagit Mao Peninou, adjoint au maire, en charge de la Propreté, qui rappelle qu’en septembre dernier, la mairie a débloqué 1,5 million d’euros pour lutter contre ces nuisances. «Nettoyage renforcé, remplacement de l’ensemble des corbeilles publiques ouvertes en accord avec le plan Vigipirate par des poubelles fermées», opérations de dératisation dans les jardins et surtout «lutte contre les incivilités», résume Mao Peninou. Objectif ? Eviter de transformer la capitale en garde-manger géant pour rongeurs urbains.

*Le prénom a été changé

Source

 

Rappels:

Paris: Les « réfugiés » responsables de graves problèmes d’insalubrité. Les riverains sont indignés. (Photos)

Immigration : Paris déborde ! [vidéo]

Paris, ville lumière ou ville poubelle ? [vidéo]

Immigration : Paris déborde ! [vidéo]

Macron montre les muscles face à l’immigration mais les rues continuent de se remplir de clandestins. En plein dans la Capitale, de véritables bidonvilles voient le jour causant toujours plus de nuisances pour les riverains. Les clandestins, de leur côté, ont désigné le coupable : la France !

https://youtu.be/ZgbtqKmXj6A
Source : TVL

Paris offre 700 000 € aux migrants mineurs marocains. “Ils volent, ils cambriolent, ils arrachent les colliers.”

Devant l’afflux de mineurs marocains en errance dans les rues de la Goutte d’or (XVIIIe), la ville débloque un dispositif exceptionnel chiffré à près de 700 000 €.

Multiplication des maraudes, dispositif de prise en charge nuit et jour, suivi physique et psychiatrique, avec à la clé, une enveloppe de près de 700'000 €. Et une demande de renforcement policier et judiciaire. A situation inédite, mesures exceptionnelles.

Devant l’ampleur qu’a pris, ces derniers mois, l’afflux des enfants migrants marocains, réfugiés dans le quartier populaire de la Goutte-d’Or (XVIIIe), leur toxicomanie, leur violence, et l’échec des dispositifs déployés depuis le printemps dernier, la Ville a décidé de mettre en place un plan d’ampleur, sous convention avec le Centre d’action sociale protestant (CASP) qui travaillera en partenariat avec des associations rompues à la prise en charge des jeunes en errance : Aux Captifs la Libération et Trajectoires.

Lundi, lors du prochain Conseil de Paris, une subvention de 684 967 € sera soumise au vote de l’assemblée.

Depuis le mois de février 2016, le quartier voit affluer ces silhouettes juvéniles. Les premiers arrivants avaient 9 ou 10 ans. La seconde vague, entre 14 et 17 ans. Certains sont à peine majeurs. Aujourd’hui, ils sont une soixantaine. Ces enfants des rues venus du Maroc via l’enclave espagnole de Melilla, à bord de camions, puis de bateaux de marchandises, ont souvent transité par l’Espagne avant d’échouer sur les trottoirs de la Goutte-d’Or.

Dans quel but ? Totalement livrés à eux-mêmes, ils sniffent de la colle, boivent, agressent les passants, volent et refusent les prises en charge proposées. Beaucoup se disent orphelins. « Ceux qui ont accepté d’être hébergés ont fugué rapidement, ou commis des actes violents », souligne Dominique Versini, adjointe de la maire de Paris Anne Hidalgo à la protection de l’enfance. « Ils sont dangereux pour eux-mêmes et les autres. En piètre état physique, en proie à différentes addictions… Je ne promets pas de résultats dans les huit jours, mais nous allons tenter un dispositif expérimental inédit face à ces profils qui sont connus en Afrique ou en Amérique latine, mais que nous découvrons seulement en France. C’est un véritable défi. »

Pour tenter de relever ce défi, les associations mandatées assureront une présence quotidienne auprès des jeunes, dans la rue, pour tenter d’instaurer un lien de confiance. Et les convaincre de gagner l’accueil de jour qui sera prochainement mis en place, pour se réchauffer, se reposer, prendre une douche. Un lieu d’hébergement de nuit ouvrira prochainement ses portes, en proche banlieue. « Le plus compliqué, souligne Dominique Versini, est de créer un lien avec ces enfants qui ont erré dans leur pays, puis à travers l’Europe, sans aucun référent adulte, le plus souvent ».

Une réponse judiciaire difficile

« Des orphelins des rues, on n’avait pas vu ça à Paris depuis la Seconde Guerre mondiale », assure Valérie Goetz, la commissaire principale du XVIIIe. « Au début, ils se contentaient de menus larcins mais maintenant, ils sont passés aux vols à la tire, aux arrachages de colliers, aux cambriolages. Ici, mais également dans les départements de petite couronne. Et ils commencent à se mélanger avec les délinquants plus âgés, les trafiquants de cigarettes de contrebande. »

Que faire face à ces très jeunes gens, dépourvus de papiers, qui mentent le plus souvent sur leur âge et leur identité ? « Au-delà de 13 ans, lorsqu’ils sont pris en flagrant délit ils sont placés en garde à vue », souligne-t-on au parquet des mineurs, « mais même lorsqu’un placement suit, ils retournent systématiquement à la rue. Ils ont une grande capacité de résistance. Et, en l’absence de parents, le suivi judiciaire et éducatif est extrêmement compliqué. Tous les jours, une dizaine d’entre eux sont interpellés… Et des ordonnances de placement provisoire sont signées quotidiennement ».

Source

Paris: Chants musulmans à l’Eglise Saint Bernard à l’occasion de la célébration de la naissance du prophète de l’islam.

Reportage Oumma: À l’occasion du Mawlid Al Nabawîy (célébration de la naissance du prophète Muhammad ), l’Institut des cultures d’Islam a organisé, le vendredi 1er décembre 2017, un concert de chants islamiques sacrés à l’église Saint-Bernard, dans le 18 ème arrondissement de Paris.

 

 

Un spectacle qui “propose la rencontre de deux univers musicaux : le patrimoine traditionnel lyrique oriental, fait de psalmodies et d’improvisation, est revisité par des procédés d’inspiration contemporaine. Une création originale, où chants sacrés islamiques et chrétiens entrent en parfaite harmonie avec les sonorités de l’oud et du piano.”

Source

La maire socialiste de Paris accusée d’emploi fictif

Scandale. Selon le magazine Capital, “la pasionaria du vivre-ensemble s’est discrètement fait payer par le ministère du Travail pour un emploi imaginaire”.

https://youtu.be/ImUJpBqPgmg

Après des années de rumeurs, le magazine Capital accuse, documents à l’appui, la maire de Paris Anne Hidalgo d’avoir eu un emploi fictif. “Pendant plus de deux ans, la pasionaria parisienne de la citoyenneté et du vivre-ensemble s’est discrètement fait payer par le ministère du Travail pour un emploi imaginaire”, affirme le journal économique, ce mercredi.

“Après avoir été élue première adjointe de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris en mars 2001, Anne Hidalgo a continué de se faire payer pendant des mois par son administration d’origine, le ministère du Travail”, poursuit-il. “En plus de ses indemnités d’élue réglées par la mairie – 5.575 puis 6.424 euros mensuels à partir d’octobre 2002, sans compter les défraiements –, elle percevait un salaire mensuel de 3.040 euros du ministère, auquel s’ajoutaient entre 1.000 et 2.000 euros de primes.”

Jusqu’en avril 2002, Anne Hidalgo, inspectrice du travail en chef, était officiellement mise à disposition du cabinet de Marylise Lebranchu, ministre de la Justice, en tant que conseillère technique puis comme chargée de mission. Mais, en réalité, selon Capital, “ elle ne participait jamais aux réunions de travail, elle n’avait même pas de bureau”. Ou comme le résume un membre du cabinet, contacté par le journal : “C’était ce que l’on appelle un emploi fictif.”

Lionel Jospin battu à la présidentielle, Anne Hidalgo doit réintégrer son poste à la direction régionale du travail d’Ile-de-France, mais “elle n’y met évidemment jamais les pieds”, affirme encore le magazine économique. “Mais, selon nos informations, elle n’en continue pas moins de se faire verser son salaire. Ce qui constitue ni plus ni moins une rémunération pour emploi fictif.”

(…)

Résultat : “En vingt-six mois d’emploi imaginaire, la pasionaria du vivre-ensemble et de la mobilisation citoyenne (qui n’a pas souhaité répondre à Capital) se sera mis dans la poche un peu plus de 100.000 euros. Si l’on défalque les 21.000 qu’elle a été contrainte de rembourser, l’addition pour le contribuable se monte à environ 80.000 euros”, conclut Capital.

(…)

Article intégral de Capital avec documents scannés via Fdesouche.com

Paris. Tentative d’attentat islamique: plusieurs interpellations après la découverte de bonbonnes de gaz “Nous avons évité de justesse le pire.”

Selon nos informations, plusieurs hommes ont été arrêtés, ce lundi 2 octobre, après la découverte, ce samedi au petit matin, de bonbonnes de gaz munies d'un dispositif de mise à feu devant un immeuble de la rue Chanez, proche de la porte d'Auteuil dans le XVIe arrondissement à Paris.

Les interpellations ont notamment eu lieu dans les communes d'Arpajon et de Draveil dans l'Essonne.

Un homme, présenté comme le principal suspect et fiché par les services de Renseignement pour ses liens avec la mouvance islamiste radicale, a été arrêté ainsi que plusieurs personnes de son entourage.

Les investigations se poursuivent pour tenter d'identifier d'éventuels autres complices présumés.

Des perquisitions menées par les enquêteurs de la section antiterroriste (SAT) de la brigade criminelle de Paris et ceux de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), en charge de cette affaire, étaient toujours en cours ce lundi soir tandis que les suspects ont été placés en garde à vue en début de soirée.

Toujours selon nos informations, ce système de mise à feu n'aurait pas fonctionné pour une raison encore inconnue.

Plusieurs tentatives de déclenchement d'une explosion à distance

Plusieurs tentatives de déclenchement de cet engin explosif artisanal auraient été commandées à distance à l'aide d'un téléphone. En vain.

Les enquêteurs antiterroristes s'interrogent également sur le choix de cet immeuble comme cible.

Vers 4 h 30 du matin, un locataire d'un immeuble, implanté au numéro 31 de cette rue parallèle au boulevard Exelmans, a alerté les secours après avoir découvert ces bonbonnes de gaz dans le hall de son immeuble.

Ce riverain a été réveillé par des bruits à l'extérieur de son logement et par une forte odeur d'hydrocarbure avant de sortir de chez lui pour vérifier ce qu'il se passait et de constater la présence de cet engin explosif.

Très rapidement, pompiers et policiers ont sécurisé les lieux avant de laisser la place à une équipe de démineurs du laboratoire central de la préfecture de police (LCPP) de Paris.

Un dispositif de mise à feu, confectionné avec notamment un téléphone portable, relié à plusieurs fils avait été fixé sur ces bonbonnes. Le contenu d'un jerricane contenant 40 litres d'essence avait aussi été répandu autour de ces bonbonnes.

« Ce dispositif était parfaitement confectionné, confie une source proche de l'affaire. Nous avons évité le pire de justesse ».

Contactés ce lundi soir, les habitants de cet immeuble ont reçu l'ordre, par la police, de ne pas s'exprimer.

Source

Dédicace réussie à Paris pour Sébastien Jallamion

Ambiance très conviviale ce samedi 30 septembre 2017, à la Librairie française, dans le 15e arrondissement de Paris, où un important nombre de lecteurs s’étaient déplacés pour la dédicace du livre-témoignage de Sébastien Jallamion : A mort le flic !
C’était là un public hétéroclite, chacun venu assurer l’auteur, malmené par un système implacable et non moins absurde, de sa solidarité face à l’injustice criante qui le frappe actuellement et qu’il expose en détail dans son livre.
Sébastien a d’ailleurs montré une disponibilité rare, échangeant des idées et écoutant ses interlocuteurs avec attention et bienveillance, soutenant le rythme des dédicaces avec bonne humeur.

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Fort heureusement, aucun incident en vue, comme ce fut régulièrement le cas jadis dans cette librairie, ainsi que me l’a expliqué le nouveau responsable des lieux. Ajoutons à cela la présence, ce jour-là, d’un policier démoli par sa hiérarchie et qui étale publiquement la vérité, on pouvait craindre quelques « débordements », pour parler poliment, Sébastien ayant déjà été agressé violemment par le passé.
Il faut croire qu’une bonne étoile veillait car même la météo était clémente !

Cerise sur le gâteau, 50 livres seront vendus, un chiffre très rarement atteint lors d’une dédicace.
Un moment de retrouvailles, donc, entre gens lucides qui valait la peine d’être vécu.

Charles Demassieux

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Paris : un militaire de l’opération Sentinelle attaqué par un homme armé faisant référence à Allah

Un homme a attaqué un militaire de l'opération Sentinelle, vendredi à Paris, à la station de métro Châtelet, sans faire de blessé. L'agresseur a été arrêté.

Un homme armé d'un couteau a attaqué un militaire de l'opération Sentinelle en patrouille à la station de métro Châtelet à Paris, vendredi vers 6h30, sans faire de blessé, a-t-on appris auprès de la Préfecture de police. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'assaillant, rapidement maîtrisé par le militaire, aurait tenu des propos faisant référence à Allah, a précisé une source policière.

 

 

Septième attaque contre la force Sentinelle. L'individu n'était pas connu des services de police, a ajouté une source policière. L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire. C'est la septième attaque contre des militaires de la force Sentinelle, mise en place dans le cadre du plan Vigipirate après les attentats de janvier 2015. La dernière en date a fait six blessés parmi un groupe de militaires percutés le 9 août par une voiture à Levallois-Perret, dans les Hauts-de-Seine.

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Nos remerciements à