Sauver la démocratie par la censure, le rêve américain

Le gratuit 20Minutes nous apprend que Barack Obama plaide pour un contrôle accru des réseaux sociaux responsables selon lui de « l’affaiblissement des démocraties. » Rien que ça. L’ancien président n’y va pas de main morte. Il voit sur le net des « contenus inflammatoires, polarisants qui attirent l’attention et encouragent la participation », ajoutant que « l’une des causes majeures de l’affaiblissement des démocraties tient au profond changement dans nos façons de communiquer et de nous informer ».
C’est vrai ça, des contenus inflammatoires, polarisants qui attirent l’attention et encouragent la participation, qu’est-ce que c’est que ça ? Le débat peut-être. Ce serait tellement plus facile si le monde entier gobait sans réserve le message démocrate américain fait de bonté, de générosité et d’émancipation des peuples. Mais hélas, il y a quelques réfractaires, dont celui qui écrit ces lignes.
Ce que demande Obama a un nom, la censure. Le chantre de la démocratie vue par les Etats-Unis vit mal le fait que d’autres que lui aient voix au chapitre, puissent proposer leurs réflexions au reste du monde. Il ne doit y avoir qu’une seule parole, la bonne, la sienne. Cela a aussi un nom, la propagande.
Et c’est précisément ce qu’offrent les réseaux sociaux, une alternative à la pensée officielle, unique. Il y a de tout sur la toile, du bon et du mauvais. Mais en démocratie, c’est au citoyen qu’il revient de trier le bon grain de l’ivraie, il n’a pas besoin qu’un ancien président des Etats-Unis le fasse à sa place.
Permettez-moi de conclure en vous remerciant sincèrement d’avoir porté quelques secondes d’attention à ces lignes que vous ne pourriez plus lire si les censeurs parvenaient à imposer leurs vues.

La « Terre promise » révisionniste d’Obama

Par Dov Lipman - 26 novembre 2020 / JNS

Dans ses nouveaux mémoires, l'ancien président américain induit les lecteurs en erreur d'une manière qui façonnera à jamais leur vision négative de l'État juif.

Je n'ai jamais critiqué publiquement l'ancien président américain Barack Obama - ni pendant mon séjour à la Knesset ni ailleurs - malgré mon désaccord avec nombre de ses politiques. Je suis fermement convaincu que les Israéliens ne devraient pas s'engager ni interférer dans la politique américaine, et je remercie régulièrement tous les présidents américains, y compris Obama, pour leur soutien économique et militaire à Israël.

Cependant, ses mémoires, « A Promised Land » (Une terre promise), sont remplis d'inexactitudes historiques que je ressens le besoin de corriger. Son récit de l'histoire d'Israël (au début du chapitre 25) montre non seulement une mauvaise compréhension de la région - ce qui a clairement eu un impact sur sa politique en tant que président - mais induit en erreur les lecteurs d'une manière qui façonnera à jamais leur perspective négative de l'État juif.

Le mandat britannique

Obama raconte, par exemple, comment les Britanniques « occupaient la Palestine » lorsqu'ils ont publié la Déclaration Balfour appelant à un État juif. Mais qualifier la Grande-Bretagne d '« occupant » met clairement en doute sa légitimité à décider quoi que ce soit sur l'avenir de la Terre Sainte, et ce n'était pas la situation [de 1917].

S'il est vrai que l'Angleterre n'avait aucun droit légal sur la Palestine lorsque la Déclaration Balfour a été publiée en 1917, cela a changé cinq ans plus tard. La Société des Nations, précurseur des Nations Unies, a donné aux Britanniques des droits légaux sur la Palestine dans son « Mandat en Palestine » de 1922, qui mentionne spécifiquement « l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif ». (note de Pug : l’auteur parle des Accords de San Remo, systématiquement oubliés par les Antisionistes dans la question du droit international au sujet du conflit israélo-arabe)

La [Société des Nations] a également déclaré que «la reconnaissance a ainsi été donnée au lien historique du peuple juif avec la Palestine et aux raisons de la reconstitution de son foyer national dans ce pays ».

L'omission notable par l'ancien président du mandat internationalement reconnu aux Britanniques d'établir un foyer pour les Juifs en Palestine désinforme le lecteur, qui en conclura que le mouvement pour un État juif en Palestine n'avait aucune légitimité ou consentement international.

Des réfugiés et non des conquérants

« Au cours des 20 années suivantes, les dirigeants sionistes ont mobilisé une vague de migration juive vers la Palestine », écrit Obama, créant l'image qu'une fois que les Britanniques ont entamé illégalement le processus de formation d'un État juif en Palestine, les Juifs ont soudainement commencé à affluer là-bas.

La vérité est que les Juifs, qui ont maintenu une présence continuelle tout au long des 2000 ans pendant lesquels la plupart ont été exilés de la terre, avaient déjà migré en Palestine en grand nombre bien avant cela ; beaucoup plus de 100 000 immigrants sont arrivés à la fin du 19e siècle et au début du 20e siècle. Ensuite, dans les années 1920, un grand nombre de personnes fuyant l'antisémitisme en Europe ne pouvaient trouver refuge en Palestine que parce que les États-Unis avaient institué des quotas en 1924 sur le nombre de Juifs qui pouvaient entrer en Amérique.

Le nombre d'immigrants a augmenté encore plus dans les années 1930 quand Adolf Hitler est arrivé au pouvoir et a commencé sa conquête de l'Europe alors que le monde restait silencieux.

Le contexte historique est important, et une fois qu'Obama a choisi d'écrire sur l'histoire, il aurait dû fournir le contexte complet et dépeindre les Juifs tels qu'ils étaient : un peuple persécuté et désespéré en quête de sécurité, et non, comme il l'implique, de forts conquérants affluant en Palestine.

Son affirmation selon laquelle les nouveaux immigrants « ont organisé des forces armées hautement qualifiées pour défendre leurs colonies » est également trompeuse. Une façon plus précise de le décrire aurait été : « Parce que les Arabes de la région ont impitoyablement attaqué les zones juives, les réfugiés juifs n'ont eu d'autre choix que de prendre les armes pour se défendre. »

Reconnaître que les Arabes attaquaient les Juifs avant même qu'il n'y ait un État d'Israël est un contexte historique important pour comprendre le conflit israélo-arabe.

Le plan de partition : une présentation fallacieuse

« Une terre promise » raconte également comment les Nations Unies ont adopté un plan de partition de la Palestine en novembre 1947, en divisant le pays en un État juif et arabe, que les « dirigeants sionistes », comme il les appelle, ont accepté, mais auquel « les Palestiniens arabes, ainsi que les nations arabes environnantes qui sortaient tout juste de la domination coloniale, se sont vigoureusement opposés. »

L'utilisation par Obama de « dirigeants sionistes » au lieu de « dirigeants juifs » joue en plein dans le climat international actuel, dans lequel il est politiquement correct d'être « antisioniste », tout en étant inacceptable d'être anti-juif. (En réalité, le sionisme est le mouvement pour que les Juifs vivent dans leur patrie biblique et historique, donc être contre cela est en fait de l'antisémitisme, mais c'est pour une autre discussion.)

La description des « nations arabes qui sortaient tout juste de la domination coloniale » est une tentative claire de justifier le refus arabe du plan de partition de l'ONU. Ces pauvres « nations arabes » qui ont souffert à cause de la colonisation de leurs « nations » par des étrangers ne pouvaient tout simplement pas accepter qu'une autre entité « coloniale », les juifs, entre dans la région.

Mais la vérité est qu'à l'exception de l’Égypte, qui n'a pas été colonisée, aucun des pays voisins qui ont rejeté le plan de partition n'avait été un État établi avant la Première Guerre mondiale. Oui, les mandats d'après-guerre de la Société des Nations ont donné le contrôle en la région aux Britanniques et aux Français pendant quelques décennies, mais c'était à la place de l'Empire ottoman qui avait contrôlé la région pendant des siècles. Ainsi, l'image des pays sortant d'un régime colonial de longue date comme une tentative subtile de justifier leur objection au plan de partition est tout simplement fausse.

L’« entrée en guerre » (1948)

Obama raconte l'histoire de la création de l'Etat d'Israël en deux phrases, qui ne sont rien de moins qu'une histoire purement révisionniste : « Alors que la Grande-Bretagne se retirait, les deux parties sont rapidement tombées en guerre. Et avec les milices juives revendiquant la victoire en 1948, l'État d'Israël est officiellement né.

Wow. [Je suis sidéré]. Je ne sais même pas par où commencer. Les deux parties ne sont pas « entrées en guerre » lorsque la Grande-Bretagne s'est retirée ; les deux parties se battaient depuis des décennies, les Arabes - qui ont rejeté plus d'un demi-siècle d'efforts pour établir un État juif dans la région - attaquant les juifs et les juifs se défendant. Lorsque les Britanniques ont ensuite quitté la région en mai 1948, les Juifs ont pris une décision très difficile de déclarer leur indépendance sur la base du plan de partition de l'ONU, qui donnait le droit à un État juif aux côtés d'un État arabe.

Il n'y avait pas de « milices juives revendiquant la victoire ». Il y avait une armée juive unifiée qui a formé les Forces de défense israéliennes, qui savaient que les pays arabes environnants commenceraient un assaut total pour détruire Israël au moment où ses dirigeants juifs déclaraient un État juif naissant indépendant. Et c'est exactement ce que les armées arabes ont fait. Le nouvel État d'Israël a combattu cet assaut pendant des mois, [en sortant] en 1949 à la fois affaibli et fragile.

La perspective d'Obama sur la formation de l'État d'Israël a sans aucun doute affecté sa politique étrangère concernant l'État juif. Si l'on voit Israël comme une force coloniale occupant la terre en raison de ses milices armées, alors il sera traité comme un étranger qui a fait du tort à d'autres pour s'établir en tant qu'État. L'ancien président induit également les autres en erreur en leur faisant croire cela.

« Succession de conflits », mais initiés par qui ?

La phrase la plus malhonnête de l'histoire d'Israël d'Obama est dans sa description de ce qui s'est passé pendant les 30 années qui ont suivi la création d'Israël : « Pendant les trois décennies suivantes, Israël s'engagerait dans une succession de conflits avec ses voisins arabes… »

Quoi ? J'ai dû lire cette phrase plusieurs fois parce que je ne pouvais pas croire qu'un président des États-Unis puisse écrire des mots aussi trompeurs, [manipulateurs] et préjudiciables à propos de l'allié proche de son pays.

Israël ne s'est « engagé » dans aucun conflit avec les pays arabes environnants. Les armées arabes et leurs terroristes ont attaqué Israël à maintes reprises, et les Israéliens se sont battus pour se défendre.

L’élémentaire histoire des guerres impliquant Israël au Moyen-Orient révèle cette vérité fondamentale. Les faits sont des faits, et la fausse représentation d'Israël comme un pays qui recherchait le conflit plutôt que la paix - un pays qui s'engageait volontairement dans des guerres avec les Arabes - fait une injustice à Israël en quête de paix et ébranle le sentiment anti-israélien.

La description par Obama de la Guerre des Six Jours de 1967 poursuit ce révisionnisme : « Une armée israélienne largement dépassée en nombre a mis en déroute les armées combinées d'Égypte, de Jordanie et de Syrie. Dans le processus, Israël a pris le contrôle de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est depuis la Jordanie, la bande de Gaza et la péninsule du Sinaï depuis l'Égypte, et les hauteurs du Golan depuis la Syrie. »

Ici, il n'aborde pas ce qui a conduit à la guerre, quand toutes ces armées arabes se sont rassemblées le long des frontières d'Israël et ont déclaré leur intention de l'effacer de la carte. Il ne décrit pas le plaidoyer d'Israël auprès de la Jordanie de ne pas entrer en guerre, ni le fait que la Jordanie n'avait aucun droit légal sur la Cisjordanie, qu'elle occupa en 1948 et annexa de façon contraire au droit international en 1950.

L’intransigeance palestinienne

Plus important encore, Obama ne mentionne pas la volonté d'Israël, immédiatement après la guerre, de se retirer de toutes les régions qu'il a gagnées dans sa bataille défensive en échange de la paix ; et par extension, il ne parle pas non plus des «trois non» de la Ligue arabe en réponse à cette offre: pas de paix avec Israël, pas de reconnaissance d'Israël et pas de négociations avec Israël. (Note de Pug : L’auteur parle du Sommet de Khartoum de Septembre 1967)

Cette omission sert une fois de plus à dépeindre Israël comme l’occupant agressif qui recherche le conflit et non la paix.

Le but premier de l’OLP

L'ancien président continue avec un autre mensonge pur et simple, qui aide à donner un aperçu de sa politique concernant les colonies israéliennes en Cisjordanie.

« L’émergence de l'OLP (Organisation de libération de la Palestine)» était le «résultat» de la guerre des Six jours », écrit-il. Cela donne l'impression que le mouvement de libération palestinien, y compris ses attaques violentes et meurtrières contre les Israéliens, n'était que le résultat de la prise de contrôle par Israël de la Cisjordanie, de Jérusalem- Est et de la bande de Gaza.

Cela renforce le message que si seulement Israël quittait ces zones, il y aurait la paix entre Israël et les Palestiniens. C’est ce qui pousse les dirigeants du monde entier à suggérer que les colonies israéliennes dans ces régions sont l’obstacle à la paix dans la région.

Mais il y a un défaut avec cette histoire et cette logique. Ce n’est pas vrai. L'OLP a été créée en 1964 - trois ans avant qu'Israël ne contrôle l'une de ces zones « occupées » et trois ans avant qu'il y ait des colonies.

Qu'est-ce que cette organisation palestinienne voulait libérer exactement à cette époque ? Y a-t-il une autre réponse que la libération [de la Palestine de l'occupant] juif dans son intégralité ? Quelle autre option pourrait-il y avoir ?

C'est pourquoi le mouvement « Palestine libre » chante : « Du fleuve à la mer, la Palestine sera libre. » Ils sont contre l'existence d'Israël n'importe où entre le Jourdain et la mer Méditerranée. Ils voient un tel État comme une entreprise coloniale avec des milices armées qui s'emparent des terres des autres, tout comme Obama fait croire aux lecteurs en décrivant la formation de l'État.

La description erronée de l’émergence de l'OLP après 1967 sert le récit selon lequel « l’occupation » et les colonies sont la cause du conflit, et cela, sans aucun doute, a eu un impact direct sur la politique « pas une seule brique », d'Obama y compris le gel de la construction des colonies, dans un effort pour instaurer la paix entre Israël et les Palestiniens.

L’échec de Camp David

Obama décrit les accords ratés de Camp David de 2000, dans lesquels l'ancien Premier ministre israélien Ehud Barak a offert aux Palestiniens plus de 90% de ce qu'ils demandaient. « Arafat a cependant exigé davantage de concessions et les pourparlers se sont effondrées en récriminations », écrit-il. Mais les discussions ne se sont pas simplement « effondrées ». Soixante-six jours plus tard, Arafat déclencha la deuxième Intifada, au cours de laquelle 1 137 civils israéliens ont été assassinés et 8 341 mutilés par des terroristes financés par Yasser Arafat qui se sont fait exploser dans des bus et des cafés israéliens.

Ne vous fiez pas à ma parole. Mamduh Nofal , ancien commandant militaire du Front Démocratique pour la Libération de la Palestine, a révélé qu'à la suite de Camp David, "Arafat nous a dit: 'Maintenant, nous allons nous battre, nous devons donc être prêts.'"

En outre, le chef du Hamas Mahmoud al- Zahar a déclaré en septembre 2010 qu'à l'été 2000, dès que Arafat a compris que toutes ses demandes ne seraient pas satisfaites, il a ordonné au Hamas, au Fatah et aux Brigades des martyrs d'Al-Aqsa de commencer à attaquer. Israël. Et Mosab Hassan Yousef, fils du fondateur du Hamas, Sheikh Hassan Yousef, a vérifié que la deuxième Intifada avait été planifiée à l’avance par Arafat.

Non seulement Obama ne parvient pas à établir un lien précis entre la deuxième Intifada et le fait qu'Arafat ne reçoive pas tout ce que les Palestiniens ont demandé à Camp David - des exigences qui auraient empêché Israël de se défendre contre le terrorisme palestinien - mais il semble rejeter la responsabilité de l'Intifada sur Israël.

La visite au Mont du Temple

Il décrit la visite de septembre 2000 du chef de l'opposition israélienne et du premier ministre qui a suivi, Ariel Sharon, au Mont du Temple à Jérusalem comme « provocante » et une « cascade » qui « a enragé les Arabes sur place et au loin ».

Mais Obama oublie de mentionner que Sharon ne s'est rendu là-bas qu'après que le ministère de l'Intérieur israélien ait reçu des assurances du chef de la sécurité de l'Autorité palestinienne qu'aucun tollé ne surgirait à la suite de cette visite.

En fait, Jibril Rajoub, chef de la sécurité préventive en Cisjordanie, a confirmé que Sharon pouvait visiter la zone sensible tant qu'il n'entrerait pas dans une mosquée ou ne prierait pas publiquement, règles auxquelles Sharon adhérait.

Plus incroyable encore, Obama décrit le Mont du Temple comme « l’un des sites les plus sacrés de l'Islam », sans mentionner qu'il s'agit du site le plus sacré du judaïsme.

Un lecteur innocent qui ne connaît pas la région et son histoire qui lit ceci conclura qu'un dirigeant juif se rende sur un site religieux musulman était simplement une faute. D'un autre côté, s'il savait que c'est le site le plus saint pour les Juifs, ils se demanderaient probablement pourquoi il y avait quelque chose de mal à ce que Sharon s'y soit rendu - mais Obama omet cette partie, ce qui amène le lecteur à une mauvaise conclusion.

Cette omission, ainsi que celle des plans d'Arafat pour l'Intifada juste après l'échec des négociations à Camp David, ne peuvent que conduire à conclure qu'Israël est responsable des cinq années d'effusion de sang pendant la Seconde Intifada.

Gaza : encore des omissions flagrantes

La leçon d'histoire d'Obama se poursuit avec la tension entre Israël et Gaza. Remarquablement, il ne fait aucune mention du désengagement israélien de Gaza en 2005, quand Israël a retiré toutes ses troupes de la bande de Gaza en forçant 9 000 citoyens juifs à quitter leurs maisons.

Quiconque lit la description par le président des guerres entre Israël et le Hamas ne saurait jamais qu'Israël « n’occupe » plus Gaza et que les Palestiniens sont libres de construire un merveilleux État palestinien « sans Israël » depuis 15 ans. Cette omission est flagrante.

Enfin, les propos trompeurs d'Obama décrivant la réponse d'Israël aux tirs de roquettes du Hamas sur sa population civile ne servent qu'à enflammer et inciter le sentiment anti-israélien dans le monde entier. Cette réponse, écrit-il, incluait « des hélicoptères Apache israéliens rasant des quartiers entiers » à Gaza - des hélicoptères Apache qu'il identifie comme venant des États-Unis, une question subtile ou pas trop subtile de demander si les États-Unis devraient fournir une aide militaire à Israël, si elle est utilisée de cette manière.

Plus important encore, que veut-il dire par « raser des quartiers entiers », sinon pour laisser entendre qu'Israël bombarde aveuglément les quartiers de Gaza, assassinant volontairement des innocents ? Et quel être humain sur Terre ne serait pas révolté au point de condamner Israël pour une activité aussi inhumaine ?

Le problème est que c’est faux. Israël cible les chefs terroristes et les roquettes qu'ils tirent sur les villes israéliennes. Tragiquement, les dirigeants du Hamas utilisent des Palestiniens innocents comme boucliers humains en se cachant derrière eux dans des quartiers civils et en lançant des roquettes sur Israël à partir de là et des hôpitaux et des mosquées.

Israël fait de son mieux pour ne pas tuer des innocents, larguant même des tracts annonçant une frappe aérienne imminente, et annule des missions visant à détruire des lance-roquettes ou à tuer des chefs terroristes lorsqu'il y a trop de civils dans les environs. Israël ne lance certainement pas d'attaques de représailles qui « rasent » sans but des quartiers entiers.

Sous couvert de présentation historique, une propagande anti-israélienne

Je n'ai aucun problème avec la critique d'Israël. Nous pouvons débattre des questions dans des discussions intellectuellement honnêtes, et à la fin, nous devrons peut-être accepter de ne pas être d'accord sur la politique d'Israël. Mais personne ne devrait accepter un livre rempli d'inexactitudes historiques qui conduisent invariablement des lecteurs innocents et inconscients à tirer de fausses conclusions. Un livre aussi dévastateur a des ramifications et des conséquences réelles.

C'est terriblement décevant. J'aurais sûrement attendu la vérité, l'exactitude et l'équité de Barack Obama, 44e président des États-Unis. Mais les mensonges et les inexactitudes de ce mémoire ne font qu'alimenter la théorie selon laquelle Obama était, en fait, anti-Israël.

Désormais, à travers « A Promised Land », il cherche à convaincre les autres de le rejoindre.

Dov Lipman a été membre de la 19e Knesset, [siégeant avec le Parti Centriste Yesh Atid].

***

Traduction, adaptation et annotations : Nations pour Israël / Pug

Intertitres : Cenator

Versions légèrement différentes, autres compléments ou annotations :
Obama réécrit l’histoire d’Israël dans son livre « Terre promise » – Coolamnews
et La “terre promise” du révisionniste Obama – Résilience TV

Article original en anglais: https://www.jns.org/opinion/obamas-revisionist-promised-land/

Donald Trump est l’homme le plus admiré aux États-Unis: il passe devant Barack Obama

Il surpasse l’ancien dirigeant démocrate qui occupait la première place depuis 12 ans

Donald Trump est l'homme le plus admiré des Etats-Unis devant Barack Obama, selon l'institut Gallup qui a dévoilé mercredi son 74ème sondage annuel sur les personnalités les plus admirées aux Etats-Unis.

18% des sondés l'ont placé en première ou seconde position ce qui représente le meilleur score de cette enquête. Donald Trump arrive juste devant son prédécesseur Barack Obama, qui occupait la tête du classement depuis douze ans.

[...]

Rtl.be / I24news.tv

Révélation du Sénat : l’administration d’Obama a financé une filiale d’Al-Qaïda

L’agence humanitaire à but non lucratif World Vision United States a mal négocié avec l’Agence islamique de secours (ISRA) en 2014 avec l’approbation de l’administration Obama, envoyant des fonds gouvernementaux à une organisation qui avait été sanctionnée pour ses liens avec le terrorisme, selon un nouveau rapport.

Le président du Comité sénatorial des finances, Chuck Grassley (R., Iowa), a récemment publié un rapport détaillant les conclusions d’une enquête que son personnel a ouverte en février 2019 sur la relation entre World Vision et l’ISRA.

L’enquête a révélé que World Vision n’était pas au courant que l’ISRA avait été sanctionnée par les États-Unis depuis 2004 après avoir acheminé environ 5 millions de dollars à Maktab al-Khidamat, le prédécesseur d’Al-Qaïda contrôlé par Oussama Bid Laden.

[...]

Infos-israel.news / News.yahoo.com / Lesdeqodeurs.fr


Rappels :

Aucun président américain n'a fait la guerre aussi longtemps qu'Obama

Obama critique les électeurs hispaniques qui ont choisi Trump, qu’il accuse d’avoir encouragé les hommes blancs à se considérer comme des victimes

Barack Obama : “Internet est la plus grande menace pour notre démocratie”

Joe Biden, ancien Conseiller d’Obama, accusé d’agression sexuelle

Après s’être offert des vacances en jet privé, Obama déclare à Greta: «Toi et moi, on forme une équipe»

L’administration Obama a versé de l’argent public à un groupe lié à Al-Qaida (enquête i24NEWS)

L'administration Obama a-t-elle systématiquement privilégié les musulmans au détriment des chrétiens aux Etats-Unis ?

Lorsque nos médias critiquent le bilan de Donald Trump tout en cachant le désastre Obama

Obama critique les électeurs hispaniques qui ont choisi Trump, qu’il accuse d’avoir encouragé les hommes blancs à se considérer comme des victimes

Dans l’interview de mercredi avec le Breakfast Club, un podcast, M. Obama a déclaré: «Les gens ont été surpris par de nombreux hispaniques qui ont voté pour Trump.

“Mais il y a beaucoup d’Hispaniques évangéliques pour qui, vous savez, le fait que Trump dit des choses racistes sur les Mexicains, ou met des détenus, des travailleurs sans papiers dans des cages, ils pensent que c’est moins important que le fait qu’il soutienne leurs opinions sur le mariage gay ou l’avortement.”

(…)

M. Obama a également déclaré que le parti républicain de M. Trump avait encouragé les hommes blancs à se considérer comme des victimes.

“Vous avez vu se créer, dans la politique républicaine, ce sentiment que les hommes blancs sont des victimes”, a-t-il dit.

“Ce sont eux qui sont comme attaqués. Ce qui ne concorde évidemment pas avec l’histoire, les données et l’économie.”

(…)

BBC

Via Fdesouche

Joe Biden, ancien Conseiller d’Obama, accusé d’agression sexuelle

Le candidat favori des démocrates et ex-vice-président d'Obama fait face à une accusation grave d'une ancienne collaboratrice. Son camp dément.

 

 

Joe Biden est dans la tourmente. En effet, le candidat favori du camp démocrate pour affronter Donald Trump en novembre doit faire à une accusation grave d'agression sexuelle de la part d'une ancienne collaboratrice au Sénat, Tara Reade. Celle-ci a déposé une plainte à Washington, selon des informations de l'agence AP reprises par tous les journaux américains.

[...]

20min.ch

Ed Buck, un donateur important d’Obama et d’Hillary Clinton, accusé d’avoir abusé sexuellement et drogué des sans-abri

Edward Buck, un important donateur du Parti démocratique de Californie, a été accusé d'avoir exploité une planque de drogués après avoir injecté de la méthamphétamine à un homme dans sa maison de West Hollywood, où deux autres hommes seraient déjà morts d'overdoses, ont déclaré les procureurs.

M. Buck, qui a fait un don à l'ancien président Barack Obama et à Hillary Clinton, candidate démocrate à la présidence en 2016, est un militant bien connu en Californie.

L'avocat de Buck, Seymour Amster, a refusé de commenter l'affaire. Edward Buck, 65 ans, a été arrêté mardi par les adjoints du shérif du comté de Los Angeles [...].

Au début de cette année, Edward Buck a fait la Une des journaux après qu'un homme a été retrouvé mort dans son appartement de West Hollywood le 7 janvier, moins de deux ans après la mort d'un autre homme.

Ils seraient apparemment morts d'overdoses de méthamphétamine, a déclaré le bureau du procureur du comté de Los Angeles. Les deux hommes étaient afro-américains. Buck est blanc.

Après le second décès, son avocat a déclaré au Los Angeles Times que son client avait un "cœur d'or" et qu'il avait amené des personnes en difficulté chez lui pour leur offrir son aide.

"Malgré deux morts dans son appartement, Buck a persisté dans son comportement malveillant", ont déclaré les procureurs. Ils ont demandé que le montant de sa caution reste fixé à 4 millions de dollars.

Les procureurs ont déclaré que le 11 septembre, Edward Buck a injecté de la méthamphétamine à un homme de 37 ans, Joe Doe, qui a fait une overdose. Celui-ci a survécu après avoir fui l'appartement. À un moment donné, Edward Buck a tenté d'empêcher l'homme d'obtenir de l'aide.

Les procureurs ont déclaré que Buck "s'en prend aux hommes vulnérables à la toxicomanie et qui sont sans domicile fixe". Il "manipule ses victimes pour qu'elles participent à ses fétichismes sexuels".

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Reuters.com / Washingtonexaminer.com / Huffpost.com

Après s’être offert des vacances en jet privé, Obama déclare à Greta: «Toi et moi, on forme une équipe»

Rappel : Cet été, la famille Obama s'est offert des vacances de rêve sur le yacht des Clooney, voyageant également en hélicoptère et en jet privé, d'abord en France, puis en Italie. Très écologique comme chacun peut le deviner. On ne parle ici que des vacances de l'été 2019. Je vous laisse imaginer le reste.

"Avignon est en émoi ! Hélicoptères, gardes du corps, jet privé… L’ancien président américain Barack Obama et sa famille sont arrivés dans le sud de la France pour des vacances sous le soleil du Midi."

Elle.fr / Rtl.fr

"Après le sud de la France, place à l'Italie. La famille Obama s'offre une parenthèse en Italie, où elle a rejoint Amal et George Clooney (en jet privé encore une fois), qui possèdent une villa à Laglio, au bord du lac de Côme. Un cortège de dix voitures parti de l'aéroport de Milan-Malpensa et escorté par la police est arrivé vers 14h30 dans le petit village transalpin, situé non loin de Chiasso."

People.bfmtv.com / Voici.fr / 20min.ch / Lafiva.com

Ou comment un manipulateur nous prend ouvertement pour des imbéciles avec l'aide d'une presse orientée. Pour un individu de gauche, il suffit simplement de s'afficher avec la greluche du moment et de lancer quelques phrases percutantes pour tromper les plus stupides.

**********

"Personne n'est trop petit pour avoir un impact et changer le monde, alors faites tout ce que vous pouvez", a affirmé la célèbre militante suédoise lors de cette rencontre.

Il voit en elle "l'une des plus grandes défenseures de notre planète". L'ancien président des Etats-Unis Barack Obama a annoncé mardi sur Twitter reçu la jeune égérie de la lutte pour le climat Greta Thunberg à Washington, où elle est actuellement en visite après avoir traversé l'Atlantique à bord d'un voilier zéro émission carbone.

 

 

Bfmtv.com

 

Rappels concernant les autres "stars" de la gauche :

Après avoir milité pour les migrants, Richard Gere profite de son yacht de luxe, entouré de jolies filles et de champagne

Le prince Harry épinglé pour ses nombreux voyages en jet privé alors qu'il assène sa morale écologique

Canton de Genève : La socialiste Anja Wyden Guelpa a beaucoup coûté en déplacements.

 

 

 

Le 20 Minutes publie le discours d’Obama contre le “suprémacisme blanc” mais censure le pedigree gauchiste du tireur de l’Ohio 

Obama, qui visiblement ne pense qu'à sa propre ethnie, récupère les tueries pour en faire une revendication contre les Blancs : "Il faut condamner le suprémacisme blanc". Cela démontre la dangerosité que ce manipulateur représente pour l'Occident alors qu'il sait pertinemment que l'un des tireurs endosse son idéologie politique.

 

**********

[...]

Intervention d'Obama

«Notre nation doit condamner d'une seule voix le racisme, le sectarisme et le suprémacisme blanc», avait-il ajouté, alors que neuf autres personnes avaient été abattues dans la nuit de samedi à dimanche dans l'Ohio.

Depuis l'enchaînement des deux drames, de nombreux élus de l'opposition démocrate ont renouvelé leurs critiques à l'égard de la violente rhétorique anti-immigrants du milliardaire républicain, accusé de contribuer à la montée de l'intolérance dans le pays.

[...]

20min.ch

 

Que cela soit le Sun ou le Washington Times, les médias anglophones sont explicites :

 

Article Thesun.co.uk :

Dayton gunman Connor Betts described himself on social media as a pro-Satan ‘leftist’ who despised Donald Trump

"Le tireur de Dayton Connor Betts s'est décrit lui-même sur les médias sociaux comme un " gauchiste " pro-sataniste qui méprisait Donald Trump."

Connor Bettsa exprimé un besoin de contrôle des armes à feu sur son compte Twitter. Dans un message qu'il a posté sur Twitter sous le nom de "iamthespookster", Betts a écrit : "Je veux le socialisme, et je n'attendrai pas que les idiots se mettent enfin à comprendre".

Le compte, qui a maintenant été supprimé, montre l'image d'un anarchiste de gauche mécontent, selon Heavy.com. [...] Dans un autre message, il a écrit à ses followers : "Tuez tous les fascistes".

 

Article du Washington Times :

Ohio gunman described himself as pro-Satan 'leftist' who supported Elizabeth Warren

"Le tireur de l'Ohio s'est décrit lui-même comme un "gauchiste" pro-sataniste qui soutenait Elizabeth Warren."

NDLR : Elizabeth Warren est une démocrate, une personne de gauche appartenant au même parti qu'Obama. Nos médias passent évidemment sous silence ces informations.

 

Article de CNN :

Dayton shooter appeared to have leftist Twitter feed

 

Article de Lasvegassun :

Apparent Twitter feed shows Ohio shooter was anti-Trump leftist

 

 

 

 

Obama en Espagne : « Nous observons une montée mondiale du nationalisme »

Cenator : La gauche américaine finance notre destruction main dans la main avec les gauchistes de l’Europe occidentale. Soros vient de passer en Espagne, le dernier espoir pour inonder l’Europe de clandestins depuis l’arrivée au pouvoir de Pedro Sánchez. Maintenant c’est Obama qui s’y met :

Obama in Spain: 'We're seeing a global rise in nationalism'

 

Rappels :

George Soros a rencontré en secret le premier ministre espagnol pro-migrants

L’Espagne, avec son gouvernement de gauche, devient le principal point d’entrée des migrants africains en Europe

Barack Obama signe un contrat avec Netflix pour promouvoir des personnalités de son bord politique: “Netflix ne cache pas son hostilité à Trump.”

L’ancien président américain et son épouse produiront des films et des documentaires pour la plateforme de streaming.

C’est maintenant officiel. Netflix a publiquement annoncé ce lundi la signature d’un important contrat de production avec le couple Obama. Le président et son épouse produiront des films, des documentaires et des séries via leur société baptisée « Higher Ground Productions ». Ce contrat, le premier du genre pour un ancien chef d’Etat, s’étalera sur plusieurs années.

Relativement discrets depuis un an et demi, Barack et Michelle Obama ont pour projet de donner la parole aux personnalités remarquables rencontrées lors de leurs huit années passées à la Maison Blanche. « Nous espérons mettre en lumière les voix talentueuses et inspirantes qui sont capables de promouvoir davantage d’empathie et de compréhension mutuelle entre les peuples, et les aider à partager leurs histoires avec le monde entier », explique le couple Obama dans un communiqué.

« Rendre le monde meilleur »

L’ex-président a déclaré à ses collaborateurs qu’il n’entendait pas utiliser Netflix pour faire campagne ou concurrencer des médias conservateurs tels que Fox News. Mais le géant californien ne cache pas sa sensibilité politique et son hostilité à Donald Trump. « Barack et Michelle Obama comptent parmi les personnalités publiques les plus respectées. Elles sont très bien placées pour mettre en lumière l’histoire de personnes hors du commun et capables de rendre le monde meilleur ».

Les négociations entre les Obama et Netflix ont été rendues publiques en mars dernier. Aucun chiffre officiel n’a été avancé, mais le contrat signé porterait sur « plusieurs dizaines de millions de dollars ».

 

Source via ULYSSE‏

 

Rappels:

USA: l’artiste choisi par Barack Obama pour réaliser son portrait officiel peignait des femmes noires décapitant des femmes blanches

Une photo d’Obama avec le raciste anti-blanc Farrakhan, datant de 2005, a été dissimulée par un journaliste car sa divulgation aurait nui à la carrière de celui qui allait devenir président

L’Administration Obama aurait protégé le trafic de drogue et d’armes du Hezbollah

G-W. Goldnadel : « Barack Obama est un mensonge savamment construit par les médias bien-pensants » [vidéo]

Lorsque nos médias critiquent le bilan de Donald Trump tout en cachant le désastre Obama

Obama n’a pas de leçons à donner en matière de manipulations d’élections étrangères

Trump dénonce le « génocide » contre les chrétiens au Moyen-Orient… alors qu’Obama n’a jamais voulu utiliser ce terme!

 

USA: Des Noirs accusés de racisme pour s’être opposés à… la bibliothèque présidentielle d’Obama

Bronwyn Nichols Lodato n'aurait jamais pensé que son opposition à la construction d'un garage privé sur les parcs publics historiques entraînerait des accusations de racisme.

Mais c'est ce qui s'est passé après que Madame Lodato, une femme afro-américaine qui vit dans le quartier de Hyde Park depuis plus d'une décennie, se soit prononcée contre les plans de la bibliothèque présidentielle d'Obama.

«Tout ce que je voulais faire était de m'assurer que mes enfants puissent jouer sans parking dans leur parc», a déclaré Mme Lodato au Chicago Tribune. "J'ai trois jeunes enfants et nous vivons dans un appartement. Mon histoire est simple, comment pouvons-nous garder le parc pour que nos enfants puissent y jouer?

Juanita Irizarry, une militante affiliée à "Friends of the Park", a déclaré que les résidents en faveur de la bibliothèque de l'ancien président Barack Obama accusaient tous ceux qui désapprouvaient ou posaient des questions: ils devaient être blancs, ne pas se soucier des Noirs ni du développement économique (...).

Source:Washington Times Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

USA: l’artiste choisi par Barack Obama pour réaliser son portrait officiel peignait des femmes noires décapitant des femmes blanches

Michelle et Barack Obama ont dévoilé, lundi 12 février, leurs portraits officiels pour la National Portrait Gallery.

Pour la première fois, les portraits du couple présidentiel ont été réalisés par des artistes noirs. Comme le veut la tradition, les deux œuvres ont été dévoilées un an après le départ du président américain et de son épouse de la Maison Blanche.

Kehinde Wiley, l’artiste choisi pour peindre le portrait officiel de l’ancien président américain Barack Obama, dans un passé récent, peignait des femmes noires décapitant des femmes blanches.

 

 

Wiley, âgé 39 ans et originaire de New York, a créé les deux tableaux en 2012 et a été inspiré par l’histoire biblique de Judith décapitant le général assyrien Holoferne.

Franceinfo / Telegraph via Fdesouche.com

 

Gouvernement Obama: Joe Biden avoue les importantes pressions américaines à faire agir les gouvernements européens contre leurs intérêts

Ici l’ancien Vice-Président américain (2009-2017) explique comment il a fait pression sur les gouvernements européens pour qu’ils sanctionnent la Russie, ce qu’ils ne voulaient pas faire en raison des conséquences néfastes sur leurs économies…

Hélas, obnubilés par des “Fake news” dérisoires, les médias n’ont guerre eu de temps à consacrer à ceci. Une importante “No news” de plus…

Nous avons passé tellement de temps — vous le savez [Richard Haass, Président du think-tank CFR], parce que je suis venu vous demander conseil — nous avons passé tellement de temps au téléphone pour nous assurer que personne, à l’époque, de Hollande à Renzi, ne laisse tomber. Ils ne voulaient aucune forme de sanction contre la Russie. Cela avait des répercussions sur eux. En gros, [je leur ai dit que ] c’était : « Vous devez le faire ! » Et, Dieu merci, Merkel était assez forte à l’époque pour nous soutenir, à contrecœur, elle n’aimait pas cela non plus. […]

Je suis allé à Kiev pour la 12 ou 13e fois et j’étais censé annoncer la garantie d’un autre prêt d’un milliard de dollars. Et j’avais obtenu l’engagement de Porochenko et de Iatseniouk qu’ils prendraient des mesures contre le procureur général. Et ils ne l’avaient pas fait. Ils ont dit qu’ils l’avaient fait.

Ils partaient à une conférence de presse, j’ai dit : « Non, je ne vais pas, nous n’allons pas vous donner le milliard de dollars. » Ils ont dit : « Vous n’avez aucune autorité, vous n’êtes pas le président. Le président a dit… » J’ai dit : « Appelez-le. » [Rires] J’ai dit : « Je vous dis que vous ne toucherez pas le milliard de dollars. » J’ai dit : « Vous n’aurez pas le milliard. Je vais partir d’ici », je crois que c’était dans à peu près six heures. J’ai dit : « Regardez, je pars dans six heures. Si le procureur n’est pas viré, vous n’aurez pas l’argent. » Eh bien, l’enfoiré [Rires], il s’est fait virer. Et ils ont mis en place quelqu’un de solide à l’époque.

Source : CFR, 23/01/2018 Traduction les-crises.fr

rappels:

Obama décore Joe Biden, ému aux larmes

Barack Obama souhaite un joyeux anniversaire à Joe Biden

Barack Obama and Joe Biden: History Behind the Friendship

Une photo d’Obama avec le raciste anti-blanc Farrakhan, datant de 2005, a été dissimulée par un journaliste car sa divulgation aurait nui à la carrière de celui qui allait devenir président

Un journaliste a publié une photo de l’ancien président américain et sénateur de l’Illinois Barack Obama et du leader de la Nation de l’Islam, l’antisémite et raciste anti-blanc Louis Farrakhan, qu’il avait prise en 2005 lors d’une réunion du Black Caucus au Congrès, mais il a admis qu’il n’avait pas rendue cette photo publique car elle aurait « fait une différence » pour l’avenir politique d’Obama.

Le photographe, Askia Muhammad, a déclaré au Trice Edney News Wire qu’il avait «laissé tomber la photo à ce moment-là et qu’il avait essentiellement juré de garder le secret».

« Après que la nomination aot été assurée et tout le chemin jusqu’à l’inauguration; puis pendant les huit années qu’Obama a été président, cette photo a été gardée à l’abri « , a déclaré Muhammad.

Interrogé pour savoir s’il pensait que la publication de la photo aurait affecté la campagne présidentielle d’Obama, Muhammad a déclaré: « J’insiste. Cela aurait absolument fait une différence. »

(…)

TPM

G-W. Goldnadel : “Barack Obama est un mensonge savamment construit par les médias bien-pensants” [vidéo]

Barack Obama était invité, samedi, à participer à une conférence privée consacrée aux « Peurs », à l’auditorium de la Maison de la Radio. Mais que pensent nos GG de l’ancien Président américain ? Pour Gilles-William Goldnadel, « ce Président élégant a un bilan calamiteux. N’oublions pas qu’il est grandement responsable du calvaire du peuple syrien ! »

.

Source

Lorsque nos médias critiquent le bilan de Donald Trump tout en cachant le désastre Obama

Nous en parlions déjà ici.

Tant le Temps que le 24H, la TDG ou encore le Matin se font un plaisir de dénigrer celui qu'ils nous présentent depuis de nombreux mois comme le mal incarné, une vidéo ridicule et partiale leur servant "d'article journalistique". Ne rigolez pas, ils y croient. Ou plutôt, comme à l'accoutumée, ils prennent les Romands pour des imbéciles.

Bien évidemment, ces mêmes propagandistes passeront sous silence le fait que Trump a détendu les tensions avec la Russie, facilitant ainsi le travail de Poutine contre l'Etat islamique ou encore que l'économie américaine a bel et bien regagné des couleurs.

Or voici le bilan désastreux de leur star Obama, "Prix Nobel de la Paix", du sang jusqu'au coude, celui qui est responsable de l'afflux massif de migrants issus de ses guerres. L'Europe en paie chaque jour le prix sans que cela ne gêne nos journalistes.

Mais il est tellement cool pour les nantis qui occupent les rédactions de nos médias vous comprenez...

***************

A l’heure du bilan de Barack Obama, une rafale d’éloges dithyrambiques nous est servie par une presse unanimement démocrate, à part de rares voix dissonantes.

Mais dans les faits, le bilan d’Obama n’est pas reluisant. En huit ans, le nombre d’Américains à la soupe populaire est passé de 28 à 44 millions; le taux de chômage, prétendument tombé de 10 à 4,7%, est en réalité inchangé.  (...)

En géopolitique, le Prix Nobel de la paix 2009 est intervenu massivement en Libye (2011), appuie les bombardements saoudiens au Yémen, où il frappe par drones tout comme en Somalie, et a encouragé dès 2012 la militarisation de la révolte en Syrie en appuyant les factions djihadistes. Si ces dernières prenaient le pouvoir, elles instaureraient en Syrie un régime qui serait pire pour la démocratie, les libertés, les droits des femmes et les minorités que celui de Bachar el-Assad. En 2015 et 2016, les Etats-Unis ont largué 47 400 bombes en Syrie et en Irak.

La dette américaine publique et privée n’a cessé d’enfler: elle atteint 62 500 milliards de dollars, soit 334% du PIB. Historiquement, pareils niveaux de dette n’ont jamais été remboursés, mais réduits à travers un défaut ou une inflation, aux résultats parfois dévastateurs.

Son score quant aux libertés et aux droits humains fait pâlir le lustre de façade. Ayant promis de fermer Guantánamo, Obama n’a pas opposé de veto aux restrictions du Congrès, et les transferts de prisonniers traînent jusqu’à ce jour. (...)

La surveillance de masse s’est accrue sous Obama, héritier sur ce plan des programmes de George W. Bush. Edward Snowden a alerté le public au sujet de ces programmes, et les violations de la sphère privée dévoilées par le lanceur d’alerte fugitif restent inchangées.

Source et article complet

Rappel: Lorsque le Pape François et Obama affichaient leur complicité

Christian Hofer: Certains catholiques pensent qu'Obama est derrière l'éviction du Pape Benoît XVI, comme lu sur ce site américain.

De son côté, le Wall Street Journal clame même que le Pape François est devenu le leader de la gauche internationale.

**********

Barack Obama et le pape François ont affiché mercredi leur complicité lors d'une visite historique à la Maison Blanche du souverain pontife, autorité morale mais aussi allié politique de taille pour le 44e président des Etats-Unis.

En accueillant le pape dans les jardins de la Maison Blanche devant plusieurs milliers de personnes, le président Obama a salué son rôle crucial dans le rapprochement engagé entre les Etats-Unis et Cuba mais aussi dans la mobilisation internationale pour lutter contre le réchauffement climatique.

M. Obama, qui ne cache pas son admiration pour ce jésuite argentin, dont il a loué la clairvoyance et l'humilité, compte sur son soutien pour ces deux chantiers-clés -- Cuba et le climat -- à moins de 500 jours de la fin de son second mandat à la présidence des Etats-Unis.

Dans un discours prononcé sous un ciel bleu, sur les pelouses de la Maison Blanche, M. Obama a rendu hommage au "message d'espoir" porté par le premier pape argentin de l'histoire, "source d'inspiration pour tant de gens à travers le monde".

Source et article complet

«L’opposition syrienne n’est composée que de terroristes» : désabusée, Carla Del Ponte démissionne

Rappel : Obama et Hollande, stars de la gauche, ont financé et armé l'opposition syrienne.

**********

L'ancien procureur spécialiste des crimes de guerre Carla Del Ponte a annoncé le 6 août qu'elle allait bientôt quitter la Commission d'enquête de l'ONU sur la Syrie. Les travaux de cette dernière vont malgré tout se poursuivre.

«Je suis frustrée, j'abandonne ! J'ai déjà écrit ma lettre de démission et vais l'envoyer dans les prochains jours», a déclaré Carla Del Ponte, membre de la Commission d'enquête de l'ONU sur la Syrie, lors d'un entretien donné au journal suisse Blick depuis le festival du film de Locarno, dans le Tessin, sa région natale.

«Je ne peux plus être dans cette Commission qui ne fait absolument rien», a dénoncé Carla Del Ponte, accusant les membres du Conseil de sécurité «de ne pas vouloir établir la justice» sur le dossier syrien.

«Au début il y avait le bien et le mal. L'opposition du côté du bien et le gouvernement dans le rôle du mal», a-t-elle estimé.

Néanmoins, si elle accuse le gouvernement syrien d'avoir «perpétré de terribles crimes contre l'humanité», elle estime aujourd'hui que «tous en Syrie sont du côté du mal».

«L'opposition n'est désormais composée que d'extrémistes et de terroristes», a-t-elle affirmé au journal suisse.

En 2013, Carla Del Ponte avait d'ailleurs affirmé, après avoir recueilli des témoignages concordants, que les rebelles «modérés» soutenus par l'Occident avaient utilisé du gaz sarin à plusieurs reprises en Syrie à Homs, Alep et Damas.

Source