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Lucerne: Un Algérien attaque un Suisse au couteau, le blesse et le vole

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Tôt dimanche matin à Lucerne, un homme a été attaqué et volé. L'auteur présumé a été arrêté. La victime a été blessée lors de l'attaque. L'attaque a eu lieu dimanche matin tôt (13:11:16 / après 03h15) à Metzgerrainle dans la ville de Lucerne.

L'agresseur s'est approché d'un Suisse de 20 ans, l'a blessé avec un couteau et l'a volé.

La victime a subi des coups de couteau au niveau de la cuisse et de la jambe. Il a été amené à l'hôpital par le service des urgences.

L'auteur présumé - un homme de 28 ans en provenance d'Algérie - a été arrêté proche des lieux du crime par la police lucernoise. Jusqu'à présent, l'homme nie les faits.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Info

 

Pendant que la Confédération donne des milliards pour l’asile, Lucerne ferme ses écoles pour économiser

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Lucerne: Le canton ferme ses écoles pour économiser 4 millions

Cette semaine supplémentaire de vacances permet au canton d'économiser 4 millions de francs. Pendant cette période, les enseignants ne sont pas payés.

«Vacances forcées»

Les opposants parlent de «vacances forcées». L'association des élèves du secondaire vlm et le syndicat des services publics SSP/VPOD protestent contre cette mesure pendant toute la semaine sur la Place du théâtre à Lucerne.

Le canton économise le salaire des enseignants sur le dos des élèves, peut-on lire sur un tract distribué lundi par vlm et le SSP. Cette mesure est considérée comme la plus indigne d'une longue liste d'économies imposées aux écoles lucernoises.

Source via le Facebook du PNS

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Rappels:

Les coûts de l’asile doubleront d’ici 2018

Lucerne dénonce une politique d'asile "trop généreuse" pour les Erythréens. Sommaruga prend leur défense

 

 

Suisse: Tétraplégique à la suite d’un viol. Son violeur a “les cheveux foncés et frisés”

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Une jeune femme est devenue tétraplégique après avoir été violemment agressée le 21 juillet 2015.

- 371 hommes ont été priés de passer un test ADN. Six d'entre eux ne se sont pas encore présentés parce qu'ils se trouvent à l'étranger. Les enquêteurs ont déposé des demandes d'entraide judiciaire avec les pays concernés. Ils ne souhaitent en revanche pas préciser de quels pays il s'agit.

- Le Ministère public lucernois informe que les personnes qui n'ont pas encore pu être contrôlées sont de nationalité étrangère.

- Selon les traces ADN récupérées sur les vêtements de la victime, les enquêteurs pensent que l'agresseur a entre 19 et 25 ans, fume et a les cheveux foncés et frisés.

Source et article complet

Lucerne: 350’000 francs d’aide sociale à un Pakistanais. Refusé par l’asile il a pu rester en Suisse grâce au mariage.

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Après avoir vécu 27 ans dans notre pays, un homme du Pakistan doit quitter la Suisse. Motif: Le père de trois enfants a dû être pris en charge pour plus de 350.000 francs.

Le citoyen du Pakistan, âgé de 50 ans, est venu en avril 1989 - alors âgé de 23 ans - en Suisse. Sa demande d'asile a été rejetée six mois plus tard. Grâce au mariage avec une Suissesse, il a pu bénéficier d'un permis de séjour. L'année suivante, il était devenu père d'une fille, trois ans plus tard, le couple avait divorcé. (...) Entre 1999 et 2001, deux femmes ont donné deux autres enfants au Pakistanais.

Le père des 3 enfants a aussi été actif criminellement et a été averti sur le droit des étrangers en 2004 après avoir été condamné plusieurs fois. Durant les années suivantes, il a dû être soutenu de manière significative par l'aide sociale car il n'avait aucun travail. En outre, le Pakistanais s'est aussi battu pour obtenir une rente invalidité. Le tribunal cantonal de Lucerne a statué en 2013 qu'il ne détenait aucune prestations d'assurance-invalidité.

En février 2015, l'Office des migrations du canton de Lucerne a refusé de renouveler le permis de séjour du Pakistanais et a ordonné son expulsion. Le fonctionnaire de l'aide sociale continue: Depuis son arrivée, le Pakistanais a bénéficié "d'environ CHF 350'000.--", et son soutien est toujours en cours "sans que des raisons de santé compréhensibles" soient présentes, écrit la Cour fédérale dans sa décision.

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Info 

Suisse : Va-t-on chasser le Christ du cimetière de Lucerne ?

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Le principal cimetière de Lucerne, chef-lieu du canton éponyme, doit être rénové. Profitant de ces travaux, les édiles souhaiteraient faire disparaître d’un des deux pavillons situés à son entrée, une fresque représentant le Christ en croix au nom du “religieusement correct”.

C’est d’autant plus incongru que l’on trouve à l’entrée du cimetière une réserve d’eau bénite que les visiteurs catholiques peuvent utiliser pour bénir les tombes de leurs disparus… La résistance s’organise comme en témoignage un court sujet de la Radio Télévision Suisse du 7 mars que l’on peut écouter ici. Les Suisses finiront-ils par supprimer aussi la croix de leur drapeau ?

Source

Lucerne : Trois migrants à la fois à la piscine, pas plus

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On interdit l’accès à une population bien précise, pour que les autres aient de la place. Ce sont des pratiques dignes de l’apartheid!» Yannick Hagmann, bénévole lucernois qui travaille avec des requérants d’asile ne mâche pas ses mots. La semaine dernière, il a voulu en emmener quelques uns à la piscine couverte de Meggen (LU), pour «les sortir de leur quotidien triste et morne», relatait dimanche le «SonntagsBlick».

Arrivés sur place, un garde-bain leur a expliqué les règles imposées par la commune: pas plus de trois requérants à la fois. (…)

20min.ch

Des espaces de prière seront-ils mis à disposition des élèves musulmans dans 2 écoles lucernoises ?

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Nos lecteurs nous prient de publier (merci à Anne)

Qu’on parle de foulard pour les filles musulmanes ou de crucifix dans les salles de classe, la relation entre école et religion est toujours source potentielle de conflit. Récemment, le débat a rebondi autour d’espaces de prière mis à disposition pour les musulmans dans deux écoles lucernoises. Solution pragmatique pour les uns, ces «espaces de silence» n’auraient rien à faire dans les écoles publiques d’un pays laïc, arguent les autres.

Suite

*Elham Manea (voir aussi son FB) est citée dans l’article:
Elham Manea, politologue à l’Université de Zurich, double nationale suisse et yéménite, comprend elle aussi que les autorités scolaires lucernoises aient voulu trouver une solution pragmatique. Mais en même temps, elle lance un avertissement: «Il s’agit de voir comment nous pouvons vivre ensemble dans un contexte où la religion est devenue une source de conflits. Car il ne faut pas occulter l’islam politique et fondamentaliste – pas plus que les fondamentalismes en général». Elle se souvient des expériences en Grande-Bretagne, où les écoles à majorité musulmane ont vu des demandes d’espaces de prière dès les années 60, pour en arriver par étapes à des classes séparées par sexe.
«Maintenant, la Grande-Bretagne est face à la tâche difficile de ramener les courants islamistes sous contrôle. L’intégration a échoué. Il n’y a pas une société multiculturelle où l’on se respecte mutuellement, mais des société parallèles, monoculturelles et fermées». Donc, «attention à l’engrenage». Car il y a d’autres cantons suisses qui ont reçu des demandes pour des espaces de prière dans les écoles, rappelle Elham Manea.

Flyers : Les réfugiés accusent le gouvernement lucernois d’être traités de sauvages

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Christian Hofer: Le but de cette lettre est évidemment d'inverser la situation et de prétendre que les bunkers sont à l'origine du problème: ils utilisent ainsi ce prétexte pour dénoncer leur logement et exiger plus de confort, comme si le fait de ne pas agresser les femmes sexuellement était simplement "des valeurs locales". De qui se moque-t-on?

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Les demandeurs d'asile se plaignent que le gouvernement de Lucerne les représente comme étant des sauvages et de verser de l'huile sur le feu inutilement. Ils expriment leur colère dans une lettre ouverte.

"L'agression sexuelle n'est pas une question d'origine, mais une question de manque de décence", écrivent les réfugiés. (ND Christian Hofer c'est sans doute pour cela que nous n'avions jamais vu cela en Europe?)

Les auteurs critiquent: «Vous nous dépeignez comme des sauvages qui ont besoin d'être informés. Ainsi, le gouvernement verse de l'huile sur le feu et provoque du racisme à notre encontre. "Ils sont également favorables à un bon échange entre les deux sexes et sont donc prêts à avoir une discussion à ce sujet. Toutefois, pour beaucoup d'entre eux il était difficile de connaître les gens et les valeurs locales, car ils sont souvent logés dans des bunkers pendant des mois.

Süleyman Özbayhan a co-écrit la lettre: "La campagne de sensibilisation du gouvernement nous jette dans la suspicion générale. Elle nous met tous dans le même pot et cela nous dérange" a-t-il déclaré à la SRF dans l'émission «Tagesschau».

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Lucerne: Flyers pour réfugiés: «attouchements interdits»

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Christian Hofer: Parce que voyez-vous "ce sont tous des médecins et des ingénieurs et qu'ils vont payer nos retraites" selon la propagande de nos gouvernements. La réalité à présent: On en revient à la violence et aux agressions sexuelles, des choses que l'on croyait étrangères à l'Europe depuis plusieurs siècles. Un véritable régression sur tous les points. Merci la gauche.

Le canton de Lucerne a publié mercredi un petit guide imagé censé expliquer aux migrants comment se comporter en Suisse. Un dessin montre notamment qu'il est interdit de tripoter les femmes.

La brochure aborde également la thématique de l'égalité des sexes: «Les femmes et les hommes peuvent se déplacer librement dans l'espace public. Si quelqu'un veut qu'on le laisse tranquille, il faut le respecter.»

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Source

 

Pour le carnaval, Lucerne va sensibiliser les réfugiés contre le harcèlement sexuel

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Le gouvernement de Lucerne, redoutant des débordement lors du carnaval, veut procéder à une campagne de sensibilisation en direction des réfugiés, sur la façon de traiter les femmes, ce qui est permis et ce qui ne l'est pas.

Pour de nombreux observateurs, la situation est claire: les agressions sexuelles sont l'expression d'une vision d'un monde qui manque de respect envers les femmes - et d'une éducation où le sexe est un sujet tabou.

Les réfugiés sont différemment préparés à la culture suisse. Dans le canton du Valais et de Genève il existe déjà des cours, tels que la «NZZ» les décrit.

En Valais, les demandeurs d'asile mineurs doivent suivre un cours d'éducation sexuelle. Pour les migrants adultes ce cours est volontaire. "Les jeunes hommes ne savent pas forcément comment interpréter les vêtements décontractés des femmes d'ici," explique la cheffe de cours Jacqueline Fellay-Jordanie. Elle enseigne aux hommes que les vêtements n'ont rien à voir avec la morale de la femme.

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Viol à Lucerne. La victime est tétraplégique : “Le violeur a des cheveux foncés frisés et parle mal l’allemand”

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Les autorités lancent une vaste opération pour tenter de retrouver le violeur d'une jeune femme, devenue tétraplégique à la suite de l'agression. Un inconnu l'a arrachée de son vélo, la blessant grièvement, puis l'a violée.

Paralysée des deux bras et des deux jambes, la victime n'a pu être interrogée qu'en octobre. Selon son témoignage, le violeur est un fumeur âgé entre 19 et 25 ans. Il a des cheveux foncés frisés et parle mal l'allemand.

Source

 

Sommaruga sous pression sur la question érythréenne

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Le canton de Lucerne a écrit une lettre ouverte à la conseillère fédérale afin qu'elle revoie le statut de réfugiés des Erythréens en Suisse.

Trop c'est trop: le gouvernement lucernois monte au front sur la question du statut des requérants érythréens. Il vient d'écrire une lettre ouverte à la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga pour lui demander de revoir sa politique d'asile envers cette population, rapporte le site 20Minuten.ch. Plus de 3200 migrants de ce pays ont demandé l'asile en Suisse entre avril et juin.

Guido Graf précise encore que Lucerne a créé en moins d'un an et «avec beaucoup d'efforts» 700 nouvelles places d'hébergement et qu'il fallait en créer 100 nouvelles tous les mois. Il estime donc que les limites sont atteintes, tant pour le canton que pour les communes.

Du côté des services de Simonetta Sommaruga, on reconnaît que le problème de Lucerne est depuis longtemps une réalité, mais qu'il s'agit avant tout d'une question juridique. On précise toutefois que le statut de réfugié n'est pas accordé systématiquement aux Erythréens. Seuls la moitié le reçoit, tandis que les autres bénéficient d'un statut temporaire.

Même le président du gouvernement cantonal de Schwitz trouve la pratique actuelle de l'asile «insoutenable».

Le président du gouvernement cantonal de Schwyz et chef du département d'environnement Andreas Barraud (UDC) exprimait lui aussi mercredi sa critique de la pratique d'asile de la Confédération. Dans une interview au «Boten der Urschweiz» il déclarait que les cantons devraient se mettre ensemble et envoyer un "signal clair" à la Confédération afin que pour "certaines régions déterminées" aucun autre demandeur d'asile ne puisse être encore pris.

"Il ne faudrait pas que les cantons subissent simplement la Confédération qui leur attribue de plus en plus de demandes d'asile sans réagir. Une "Carte jaune" en vue d'un arrêt d'accueil pour certains cantons serait une possibilité pour pouvoir négocier avec les autorités fédérales une solution. La pratique d'asile d'aujourd'hui n'est plus tenable" déclare Andreas Barraud.

Source Source2

Lucerne: Le viol d’une cycliste déclenche des commentaires jugés “xénophobes”

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«A cause de contributions à caractère raciste, nous avons fermé cette page.» La commune d’Emmen, où une jeune femme de 26 ans a été désarçonnée de son vélo, puis violée il y a une semaine, avait lancé un appel à témoins sur Facebook. Mais au lieu d’indices ou de commentaires permettant l’arrestation de l’auteur de ce délit, de nombreux posts discriminatoires ont été transmis, constate le journal régional de la télévision alémanique.

Source

Un professeur de religion lucernois renvoyé de sa paroisse pour avoir critiqué l’islam

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La paroisse catholique de Lucerne a renvoyé un professeur de religion pour avoir émis des commentaires trop négatifs envers l'islam. L'enseignant a déposé plainte auprès du tribunal administratif pour licenciement abusif. Thomas Banwart, 62 ans, a été licencié avec effet immédiat. Un étudiant de confession musulmane aurait écrit une lettre, en 2014, au directeur d'une école de la ville de Lucerne indiquant que le professeur incriminé reliait de manière systématique l'islam au mal et à la haine.

Le responsable de la paroisse et l'enseignant ont échangé à la fois oralement et par écrit sur le sujet. Mais déjà en juillet 2014, Jürgen Rotner confirmait que «la manière critique, négative et unilatérale avec laquelle Thomas Banwart décrit l'islam» allait à l'encontre des objectifs de dialogue interreligieux à la base du cursus. De son côté l'enseignant assure que les allégations portées contre lui n'ont jamais été vérifiées.

Source 1

Source 2

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Merci à Gilles

MàJ. Lucerne: Un directeur d’école interdit notre chemise traditionnelle afin de ne pas provoquer les Albanais. Ne pas manquer la réaction au Parlement fédéral ( voir le lien)!

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La réaction au Parlement, ici !

ND Ch. H. En clair, les Albanais provoquent et si les Suisses osent réagir, ils ont l'interdiction de porter leurs propres symboles dans leur pays. 

Michelle Hunziker, Stephanie Glaser et Michael Schumacher en ont déjà porté une. Cette chemise traditionnelle bleu et blanc est considérée comme la marque des agriculteurs suisses.

 

Un appel au directeur clarifie la situation. Pirmin Hodel a confirmé que les enseignants avaient banni les chemises Edelweiss au début du mois de février dans les salles de classe.

"Alors que certains se vantaient avec l'aigle bicéphale des Albanais, d'autres ont provoqué avec l'Edelweiss», dit Hodel. "Le conflit a duré plusieurs jours."

Source

Rappel: La violence des ressortissants des Balkans en Suisse

https://www.youtube.com/watch?v=mhanYbXgAcs

Asile – La situation dégénère: La Confédération exige toujours plus des cantons

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Lucerne contraint 67 communes à héberger des requérants dans un délai de dix semaines. Zoug a décidé de les cantonner dans l'ancien hôpital cantonal.

La situation s'est aggravée à un rythme aussi rapide qu'inattendu, a invoqué lundi le département lucernois des affaires sociales. La Confédération attribue beaucoup plus de requérants d'asile au canton, alors même que les centres cantonaux lucernois affichent complet. Depuis juin dernier, le canton doit créer 60 à 80 places d'hébergement supplémentaires par mois.

 

Source