Grâce aux narco-dollars, le Hezbollah surarmé attaque le nord d’Israël

Au Liban, le «Parti de Dieu» lance ses drones et ses missiles sur Israël créant de gigantesques incendies. Il a amassé d’immenses stocks d’armes grâce à l’Iran et au trafic de drogue en Amérique latine.

Comment Israël peut-il résister à tant d’ennemis, sur tous les fronts, ennemis qu’exalte un rêve de tueries au nom de Dieu et de l’Islam?

Comment tant d’Occidentaux peuvent-ils s’allier à des fanatiques de cet acabit sous prétexte de libérer un peuple en en supprimant un autre?

Comment soutenir un réseau de terreur dont l’Iran est le pivot, qui manœuvre grâce à ses proxys: Houthis, Jihad islamique, nationalistes arabes baasistes pro-Assad, Hamas, Hezbollah.

Le plus puissant voisin d’Israël n’est pas le Hamas, mais le Hezbollah chiite libanais, le «Parti de Dieu» guidé par Hassan Nasrallah. Dès le lendemain du 7 octobre, il a commencé ses tirs de missiles (il en posséderait 150'000 à 200'000) et de drones. Ils visent presque chaque jour le nord de l'État hébreu dans un déchaînement de feu.

Les terroristes lancent des drones et des roquettes incendiaires. Plus de 700 brasiers, parfois gigantesques, ont dévasté plusieurs milliers d'hectares de forêts au nord et obligé à évacuer des villes entières, dont Kiryat Shamona située à peine à 2 km de la frontière.

Les habitants du nord d'Israël sous une menace permanente. DR/KKL

Près de 100’000 habitants ont dû quitter leur habitation. Beaucoup ne veulent plus revenir vu la dangerosité du voisinage.

Les 15'000 casques bleus de la Force intérimaire des Nations unies pour le Liban (Finul) créée en 1978, est censée veiller à l'application du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah après le retrait israélien en juin 2000. Elle est parfaitement inutile.

Tilak Pokharel, porte-parole adjoint de la Finul, déclare en 2019: «Jusqu’ici, nous n'avons pas reçu de preuve sur l'existence de stocks d'armes». Depuis des mois, les preuves pleuvent chaque jour.

L’ONU aux abonnés absents

Ni le Conseil de sécurité, ni la Cour pénale, ni le triste secrétaire général Antonio Guterres n’ont jugé utile de se saisir de l’agression libanaise. Et moins encore la Cour internationale de justice qui est présidée par un Libanais, Nawaf Salam. Il a parmi d’autres décrété qu’Israël était sur la voie d’un génocide. Lorsqu'il était ambassadeur du Liban à l'ONU, il a voté 210 fois pour condamner l'État juif, et a prononcé des discours incendiaires accusant les «organisations terroristes juives» de commettre des «massacres organisés», selon un nouveau rapport de l'organisation non gouvernementale UN Watch.

Comme les universités d’ici, ces soi-disant défenseurs de la justice détestent Israël.

Selon un remarquable dossier du Point paru en 18 avril 2024, le Hezbollah peut compter sur quelque 100’000 combattants aguerris.

L’armée israélienne réplique aux attaques. De nombreux terroristes ont déjà péri dans ce conflit.

Le Hezbollah utilise un stock d’armes amassées grâce aux fruits d’un immense trafic de drogue. Il profite et entretient la déliquescence de l’Etat libanais.

Il a réussi à asseoir son autorité au-delà de la population chiite, grâce à une alliance contre nature conclue avec le Courant patriotique libre (CPL), l'un des principaux partis chrétiens.

Il utilise aussi ses fonds pour recruter des adeptes, notamment dans le sud du Liban, bastion du mouvement islamiste, où la population est majoritairement chiite.

C’est dans cette région que Lokman Slim, un journaliste opposant a été retrouvé mort en février 2021, le corps criblé de balles. Il avait accusé le Hezbollah et le régime syrien d'avoir entreposé dans le port de Beyrouth le nitrate d'ammonium à l'origine de l'effroyable explosion qui a dévasté la capitale libanaise le 4 août 2020.

L’aide sociale pour obtenir des soutiens

Le dossier du Point paru le 18 avril 2024 éclaire les activités clandestines du Hezbollah en Amérique latine notamment en Colombie, au Paraguay et au Venezuela . Le journaliste Etienne Gernelleremarque qu’«entre cocaïne, tueurs à gages et cryptomonnaies… On se croirait chez Pablo Escobar, le fanatisme islamiste en plus».

La présence d’une vaste communauté d’origine libanaise en Amérique latine – 10 à 12 millions de personnes – a permis au Hezbollah de bénéficier de nombreux relais. «Ils recréent un petit Liban à l’étranger, avec ses mosquées, ses organisations caritatives, ses écoles…», note le chercheur Emmanuele Ottolenghi.

Rien que le trafic de cocaïne dépasserait les 100 milliards de dollars par an. La Colombie produit 70% de  la production mondiale. Elle serait aujourd'hui la deuxième source de financement du Hezbollah derrière le régime de Téhéran.

Le «Parti de Dieu» est aussi chez lui au Venezuela, nouvelle illustration du socialisme tant aimé des «progressistes» occidentaux. Son président Nicolas Maduro est un fervent antisémite. Il accuse régulièrement Israël de génocide depuis le pogrom du 7 octobre (qu’il n’a pas condamné). La cryptomonnaie, massivement utilisée par le régime, est une autre source potentielle de financement.

La population ne profite pas des revenus du pétrole alors que le pays possède les premières réserves du monde.

Mais l’opposition a toujours été active. Des élections auront lieu le 28 juillet prochain soit ce dimanche, et Maduro est donné largement perdant. Reste à voir si le processus pourra se dérouler normalement.

L'Europe de l'Ouest constitue la cible majeure des narcotrafiquants.

Les démocraties financent donc trois fois le malheur des peuples: par l’UNRWA, par le Hamas et par la drogue.

Dossier du Point (abonnés)

Dans les rangs du Hezbollah, à l'aube de la guerre avec Israël
Le mouvement chiite libanais – 150 000 missiles et roquettes, 100 000 combattants –, bras armé de l’Iran au Liban, a les moyens d’infliger de très gros dégâts à Israël. (octobre 2023)
Iran, Colombie, Liban, France… les milliards du Hezbollah
Le «Parti de Dieu» prospère sur fond d’islamisme, de terrorisme et de cocaïne : notre grande enquête sur le bras armé de Téhéran.
Sur la piste des narcodollars du Hezbollah en Amérique latine
Notre enquête en six épisodes sur les juteux trafics du mouvement islamiste chiite libanais et de son protecteur iranien. (avril 2024)
Comment le Hezbollah cannibalise l’État au au Liban
Prospérant sur l’effondrement du pays et conforté par le conflit avec Israël, le « Parti de Dieu » impose son hégémonie militaire, politique et sociale.
À Bogota, cette étrange mosquée dont les autorités se méfient
Dans la capitale colombienne, un lieu de culte chiite est accusé de servir de paravent à l’influence de l’Iran.
Colombie : à Barranquilla, de Shakira aux clans du Hezbollah
La ville de la côte Atlantique est la porte d’entrée d’une communauté libanaise qui permet au groupe terroriste de bénéficier de relais sur le continent.
Le « narco-djihad » du Hezbollah
Des conteneurs partent de Colombie vers le Liban, le Koweït, Israël, les États-Unis… Les paradis fiscaux et des banques blanchissent des sommes colossales.
Dans les rangs du Hezbollah, à l'aube de la guerre avec Israël
Le mouvement chiite libanais – 150’000 missiles et roquettes, 100’000 combattants –, bras armé de l’Iran au Liban, a les moyens d’infliger de très gros dégâts à Israël.
Hezbollah : à l'ombre du Venezuela 
Allié stratégique de l’Iran, le régime de Caracas a laissé le groupe paramilitaire terroriste s’implanter sur son territoire, d’où il organise ses trafics.

Les Palestiniens parmi les plus obscurantistes

 

Selon l’enquête de l’Institut Piew publiée en 2013, les habitants de Gaza et de la Cisjordanie ont l’une des visions les plus fanatiques de l’islam. Les nouveaux alliés avec qui ils manifestent chaque jour n’en ont cure.

On savait les Palestiniens sous l’emprise de l’islam. La glorification de leur Dieu pour la sauvagerie sanglante du 7 octobre l’a une fois de plus montré. L’Institut Piew qui avait exploré les convictions de la population de Gaza et de la Cisjordanie en 2013 le confirme.

Le Syrien d’origine Omar Youssef Souleimane rappelait récemment dans Causeur: «On grandit dans la haine d’Israël et de tous les juifs. Le mot «juif» est une insulte.»

Les conséquences du 7 octobre représentent une fête ininterrompue pour toutes les officines intégristes. Tous ont eu la Palestine (pays qui n’existe pas) en ligne de mire dès leur enfance.

Les promesses de l’islam

Les  Palestiniens soutiennent la version la plus fanatique de l’islam, qu’il s’agisse des châtiments physiques, du statut des femmes ou du rôle politique de l’islam .

L’avortement n’est pas acceptable pour 77%
33% pensent que les crimes d’honneur (qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme) sont souvent ou quelquefois justifiés.

L’isolement ou l’absence de progrès technologique ne sont pas en cause: 81% possèdent  un téléphone portable, la moitié utilisent internet, beaucoup voguent sur les réseaux sociaux.

Religion et politique

On ne s’étonnera donc pas que 89% des Palestiniens souhaitent que la charia soit la loi officielle de leurs territoires.
82% sont complètement ou le plus souvent d’accord que les musulmans doivent tenter de convertir les autres. En revanche, on sait que l’inverse est partout sévèrement sanctionné.
Parmi ceux qui sont favorables à la charia, 39% considèrent que cette loi doit s’appliquer tant aux musulmans qu’aux autres citoyens.

La connaissance de Descartes n’étant pas un prérequis parmi les sondés, 85% se déclarent satisfaits que les membres d’autres religions puissent la pratiquer chez eux et plus de la moitié préféreraient la démocratie à un leader à poigne.

Les attentats suicides contre des civils ou d’autres violences sont-ils souvent ou parfois justifiés pour défendre l’islam? Les Palestiniens arrivent en tête de l’enquête avec 49%.

Les femmes

  • 89% sont d’accord qu’une femme doit toujours ou le plus souvent obéir à son mari.
    81% sont opposés au mariage d’une musulmane avec un non-musulman.
    51% estiment qu’il faut favoriser les fils dans l’héritage.
    Les femmes ne doivent pas avoir le droit de divorcer affirment 57%.

44%, des hommes considèrent que ce sont aux femmes de décider si elles veulent porter le foulard, 61% de femmes veulent décider elles-mêmes.

Est immoral

  • Le sexe hors mariage (93%), l’alcool (92%), le suicide (90% sauf pour les bombes humaines, 49%).
    L’avortement: 77%.
    La polygamie 20%, acceptable  48%.
    Est-il nécessaire de croire en Dieu pour être moral? Oui: 86%.

Le dessin d’illustration montre quelques autres convictions

La haine d’Israël fait des heureux

Les activistes de l’islam ont participé avec délice aux manifestations de soutien à leurs frères palestiniens et fréquenté avec ferveur les universités suisses occupées. Tous sont aimablement appelés «pro-Palestiniens» alors qu’«anti-Israéliens» leur conviendrait tellement mieux. Les victimes d’autres conflits leur sont indifférentes. Le sort des Iraniens, par exemple, les laisse de marbre.

Parmi les fiers soutiens, de l’occupation genevoise figurait Adel Mejri, responsable et membre de moult mouvements intégristes. Aux élections tunisiennes de 2019, il a été candidat d’Ennadha, mouvement des Frères musulmans.

Dans 24 Heures repris par la Tribune de Genève, Sylvain Besson met en lumière les idées du conseiller communal PS lausannois Mountazar Jaffar, Suisse d’origine irakienne. Assistant en sciences politiques à l’Université de Lausanne, il like des déclarations du guide suprême d’Iran, Ali Khamenei. Il «aime» même un post relayant une déclaration des talibans qui proposent d’envoyer 400’000 hommes en Palestine pour détruire Israël. De nombreux membres des corps professoraux soutiennent publiquement ces mouvements de fureur, voire de fanatisme.

On a cru au début du soutien islamo-occidental que les activistes scandaient «Palestine libre, de la mer au Jourdain» en ignorant qu’ils appelaient ainsi à la suppression d’Israël. Depuis que la signification est connue, le slogan résonne autant, sinon davantage.

À Genève, un drapeau du terroriste Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) a été déployé durant l’occupation de l’uni.

Le bal des foulards colorait les lieux des unis et les sectes LGBT participaient en rangs serrés à la fête. Pour ces «iels», les cartons de bienvenue à Gaza sont à l’impression.

En revanche, le 7 octobre et les otages ne figuraient sur aucune banderole, contrairement à l’imaginaire génocide qui dégoulinait de tous les murs.

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Les génocidaires changent de nom. Ce fut, brièvement, le Hamas, c’est désormais Israël. Les crimes de guerre des terroristes se muent en déshumanisation des Israéliens et des juifs.

Le monde oublie, il faut le rappeler. Le 7 octobre, le Hamas a commis un carnage d’une sauvagerie dont on n’a pas d’équivalent depuis… difficile de trouver dans l’histoire. Corps torturés, brûlés, disloqués, femmes violées, éventrées, enfants assassinés. Cadavres qui disent une cruauté insensée, une agonie innommable.

A partir de quand un mouvement dit «de résistance» a-t-il le droit de se livrer à une telle bestialité?

Quelques jours d’empathie épouvantée

Ce jour-là, les auteurs font éclater leur joie et remercient leur Dieu de leur avoir permis de se griser de sang juif.

Le jour-même et les lendemains, les Israéliens blessés au plus profond de leur chair, sentent qu’une menace mortelle contre leur pays s’est produite. Ils entendent, un peu rassurés, la stupeur épouvantée d’une grande partie du monde occidental. Un peu d’empathie… pour quelques jours.

Car aider Israël à neutraliser cette menace mortelle, organiser une coalition comme pour l’EI, donner des garanties d’éliminer ce mouvement barbare, arrêter les assassins n’est bizarrement pas à l’ordre du jour.

Le scandale du Conseil des droits de l’Homme

Bizarrement? Depuis des années, l’ONU cible de manière éhontée Israël. Ses agences aussi, sous le haut patronage de l’hypocrite Antonio Guterrez. De nombreuses ONG humanitaires ne font pas mieux. Les démocraties se sont progressivement soumises à la majorité des tyrannies, notamment islamistes, qui composent ce marécage.

La petite organisation UNWatch se bat dans l’arène du Conseil des droits de l’homme et des Nations unies pour dénoncer ces délires. Elle apporte des preuves que l’UNRWA, qui emploie 30'000 Gazaouiss, suscite la haine contre Israël et entretient des liens vénéneux avec les groupes terroristes. Tsahal le prouve par la découverte de nombreux sites de l’organisation qui stockent des armes et du matériel destinés au Hamas.

Des enseignants de l’UNWRA ont participé à l’ignominie du 7 octobre, et nombre de leurs collègues l’ont soutenue. De nombreux Palestiniens de Gaza se sont joints aussi à cette sadique bacchanale.

Crimes contre l’humanité

Le Hamas n’a rien développé, il a armé et assassiné. «Ils auraient pu faire un métro, ils ont fait des tunnels de la mort. Ils auraient pu construire des industries, ils ont fabriqué des roquettes et des armes.…» (Facebook, Alain Legaret). 

Chaque roquette tirée sur la population civile constituait -constitue- un crime contre l'humanité.

Les agences de l’ONU et les ONG œuvrant sur place, affirment n’avoir rien vu de la construction de plus de 500 kilomètres de galeries réservées aux activités d’un groupe surarmé. Le tout financé en bonne partie par l’Europe.

L’inversion génocidaire

Israéliens et juifs n’ont pas imaginé que peu à peu, la planète entière ne se soucierait plus du massacre du Hamas et de la détention d’otages. Leur seul intérêt: le sort de la population gazaouie.

Les Israéliens n’étaient pas préparés à ce retournement: leur pays victime de l’horreur génocidaire, est lui-même accusé de génocide. Une tartuferie que les médias auscultent sententieusement dans leurs «analyses». Alimentant cette farce tragique, le Hamas clame sa volonté de récidiver, encore et encore, jusqu’au génocide complet de «l’Etat sioniste».

Et «la communauté internationale» de crier à grand cris -« Négociez ! – négociez !»… sans inclure dans ces exhortations la volonté féroce du Hamas d’’en profiter pour préparer ses prochains carnages.

Cette «communauté internationale et mondiale» qui ne manque pas une allusion aux «crimes de guerre d’Israël» fait semblant de ne pas voir le crime de guerre que le Hamas commet sous ses yeux: des otages que le mouvement négocie comme des marchandises.

Même les démocraties laissent sans réagir la lie de l’humanité poser ses conditions pour cesser son crime: relâcher un maximum de membres de la compagnie des tueurs.

Les terroristes en profitent, l’expérience leur a montré combien la vie de ses citoyens est précieuse pour Israël. Mais aussi les corps des victimes de ses meurtres. Pourquoi donc garder les otages en vie? Pourquoi ne pas les assassiner en imputant de plus ces crimes aux «bombardements»?

Une ignorance crasse de l’histoire

Des centaines de milliers d’Occidentaux défilent main dans la main avec des musulmans qui biberonnent dès la naissance à la haine des juifs et d’Israël. Dans une ignorance crasse de l’histoire, en invoquant l’«occupation» de cette «Palestine», un pays qui n’a jamais existé.

«Tueurs, bourreaux, assassins, génocidaires», ces qualificatifs ne ciblent qu’Israël. Le Hamas n’est pas concerné. Là encore, les Gazaouis sont un souci secondaire, l’obsession des accusateurs, c’est l’Etat juif. Des flots de commentaires abominables, haineux, menaçants coulent sans discontinuer sur internet.

Les tentacules de l’hydre antisémite ressortent partout. On n’accuse plus les juifs de manger des enfants ou de propager la peste, mais de toutes les calamités mises en lumière aujourd’hui: apartheid, colonisation, occupation, discriminations…

Israël, au milieu d’un océan de haine arabo-musulmane, se débat sur plusieurs fronts. A l’externe, mais aussi à l’interne: des centaines de milliers de citoyens ont été déplacés des zones dangereuses, l’argent manque, des bénévoles organisent des repas sommaires, fournissent des couchages précaires. Les victimes du festival de jeunesse des kibboutz de même que les soldats manquent tragiquement au pays, à l’économie. Les traumatismes liés à cette tragédie accablent une grande partie de la population. Le pays est politiquement divisé.

Le sort des Gazaouis ne préoccupe pas les nazislamistes. Ils les envoient à la mort pour se protéger, attirer l’ennemi ou empêcher la population de se mettre à l’abri. Ce qu’ils aiment et souvent créent, ce sont les occasions de nouveaux procès en déshumanisation d’Israël.

Le moralisme déchaîné des médias

L’affirmation qu’Israël mène une guerre contre le Hamas et non contre la population de Gaza a volé en éclats. Les médias noyés dans un moralisme déchaîné ne se préoccupent que du sort des Gazaouis. Leurs malheurs font l’exclusivité quotidienne alimentée par le  «Ministère de la santé» des terroristes, par la décadente ONU et par les vociférations hypocrites de son secrétaire général.

Dans les interviews des victimes, le coupable est systématiquement «Israël», presque jamais l’ origine de leurs maux, le Hamas.

Au moment où la haine et la violence transpirent de par le monde, où l’espoir de gommer Israël de la planète connait un nouvel essor, voici que les gouvernements occidentaux ressortent la vieille bannière des «deux Etats» refusée depuis des décennies par ceux qu’ils soutiennent. L’objectif des activistes palestiniens est plus que jamais: un État palestinien à la place d’Israël et non pas à ses côtés.

L’islam est le grand gagnant de cette danse macabre. Les yeux des démocrates restent grand fermés face à l’extension de cette religion soutenue par une gauche dévoyée. Les Frères musulmans s’infiltrent dans tous les interstices, renforcés chaque jour par l’effondrement de nouveaux bastions. «Le mois sacré du Ramadan consacré d’ordinaire à la spiritualité, mais gâché cette année par Israël» a cliqué maintes fois sous les doigts des serfs médiatiques.

Que l’homosexualité soit diabolisée, que des homosexuels soient défenestrés dans des pays gouvernés par la charia, que tous discriminent les femmes et les religions et tyrannisent leur population au nom de l’islam ne suscite qu’un léger froncement de sourcil.

Place aux régimes les plus autoritaires, despotiques et anti-démocratiques, eux que l’islam sait si bien faire naître! Abandonnons les vieux chiffons occidentaux que sont les «valeurs universelles», oublions le «modèle démocratique», livrons notre passé au bûcher, décrions notre présent criminel.

«LA CIVILISATION C’EST QUAND ON A TOUT À PERDRE ; LA BARBARIE C’EST QUAND ILS ONT TOUT À GAGNER.»

Sylvain Tesson, Un été avec Homère.

Journalisme ou propagande terroriste ? La presse au service du Hamas !

Libé fait sa Une aujourd'hui sur les 30 000 morts à Gaza. Problème, le journal de gauche reprend sans aucun recul les chiffres donnés par le ministère de la santé... du Hamas !

Libération, Hamas

Des chiffres invérifiable et totalement manipulés ! Explications :

Affaire Pegasus: Amnesty International s’explique

par 

Le 21 juillet, la branche israélienne d’Amnesty a publié une déclaration selon laquelle Amnesty n’a jamais prétendu que les personnes figurant sur sa liste de 50 000 numéros de téléphone aient été mises sur écoute ni que cette liste ait un rapport avec la société israélienne NSO.

Si la presse internationale a écrit autre chose, ce n’est pas leur faute. Cette mise au point est restée ignorée de la presse internationale. En Hongrie, seul le portail Neokohn en a parlé.

La mise au point a été reprise le 22 juillet par le site israélien Calcalist:

Les numéros de téléphone ne sont pas directement liés à NSO. Selon Amnesty International, il s’agit d’une liste de numéros susceptibles d’intéresser les clients de NSO - qui sont différents gouvernements dans le monde - et qui ne sont pas nécessairement directement liés à la société israélienne. Amnesty n’a jamais appelé cette liste la «liste du logiciel espion de NSO Pegasus», même si certains médias dans le monde l’ont peut-être fait.

La déclaration d’Amnesty a également intéressé la presse indienne, car les soupçons ont engendré en Inde des attaques contre le gouvernement peut-être encore plus vives qu’en Hongrie. Le portail indien republicworld cite Amnesty en ces termes:

Amnesty n’a jamais appelé cette liste la «liste de logiciels espions NSO Pegasus», même si certains médias dans le monde l’ont peut-être fait. Amnesty, les journalistes d’investigation et leurs rédactions ont indiqué très clairement dès le début qu’«il s’agit d’une liste de numéros susceptibles d’intéresser les clients de NSO» et qu’il s’agit de différents gouvernements dans le monde.

Un autre média indien a demandé au journaliste israélien si la liste était finalement liée à NSO ou non. Il a répondu que «c’est lié, mais pas directement. Mais il y a des personnes sur la liste qui ont été observées avec Pegasus.» 

Amnesty a publié le 22 juillet une autre déclaration:

Amnesty International soutient catégoriquement ce que le projet Pegasus a découvert et que les données sont bien liées aux cibles potentielles du logiciel espion Pegasus du groupe NSO. Les fausses rumeurs publiées sur les réseaux sociaux visent à détourner l’attention du ciblage illégal à large échelle de journalistes, militants et autres que le projet Pegasus a dévoilé.

Le seul portail ni indien ni hongrois [ni israélien] à rapporter l’affaire, yahoo.comconstate une sérieuse perte de crédibilité d’Amnesty dans ce virage à 180 degrés en une seule journée .

C’est quoi au juste, cette liste?

Essayons donc d’interpréter cela: «une liste de numéros potentiellement intéressants pour les clients de NSO». Qu’est-ce que cela veut dire? Ou bien quelqu’un est observé, écouté, ou bien il ne l’est pas non. Ce n’est pas comme si quelqu’un était «intéressant» pour un gouvernement ou ses services secrets, donc on l’a ajoutés à la liste et ensuite rien ne se passe. Et d’abord, comment dresser une liste de numéros de téléphone «intéressants» pour les gouvernements?!

Est-ce qu’ils les ont tous interrogés?

Résumons: selon Amnesty Israël, les données ne sont pas forcément liées à NSO, mais selon Amnesty International, elles le sont.
Cependant, ils reconnaissent qu’il n’y a aucune preuve de mise sous écoute autre que les appareils qu’ils ont examinés.
Selon le site israélien, 67 appareils ont été examinés et sur 37 ont a trouvé des traces de logiciels espions. Selon la presse hongroise , il n’y en a que 23…

Nous savons qu’en Hongrie cinq appareils ont été examinés en tout et pour tout - ceux de Szabolcs Panyi, d’András Szabó et de trois hommes politiques dont les noms n’ont pas été divulgués - et que ceux des deux journalistes et celui d’un des trois inconnus ont été trouvés infectés. Nous ne le contestons pas.

Mais quiconque prétend ensuite qu’il existe des preuves que plus de trois personnes en Hongrie ou plus de 37 personnes dans le monde ont été espionnées avec Pegasus, ou qu’une signification quelconque peut être attribuée à la liste des 50 000, est de mauvaise foi et ment.

Soit dit en passant, même pour les 37 ce n’est pas vraiment prouvé, car la seule garantie que nous avons que des traces de logiciels espions ont bien été trouvées sur ces appareils, ou que la liste des 50 000 était une liste de «personnes intéressantes», c’est la parole d’Amnesty. L’institut de recherche canadien Citizen Lab a seulement audité la procédure, il n’a vu ni les appareils ni la liste.
Or on sait ce que vaut la parole d’Amnesty, qui a qualifié d’illégale la «détention» de «demandeurs d’asile» franchissant illégalement la frontière sans papiers depuis un pays sûr, alors qu’ils étaient libres de repartir pour la Serbie.

source: https://pestisracok.hu/pegasus-ugy-az-amnesty-international-mar-magyarazkodik

traduction: Cenator

Tokyo: « Nous n’allons pas faire lever le drapeau israélien, et on ne se salit pas les mains en affrontant un Israélien ! » a lancé le judoka algérien

Cenator: Après x demandes de la part du Comité olympique d'Israël, pour la première fois, à Tokyo, une minute de silence en hommage aux victimes des jeux de Munich en 1972 a été observée.
source: https://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/07/23/97001-20120723FILWWW00356-jo-minute-de-silence-pour-munich-72.php

La guerre culturelle que la Gauche a gagnée en Occident a totalement infesté les compétitions, et les sportifs occidentaux ne cessent de se mettre à genoux pour montrer patte blanche aux antiracistes.

Le sport est instrumentalisé depuis des années par le progressisme, tout comme la culture, l'enseignement, les médias, mais le Commité olympique a toujours prétexté de "refuser de mélanger politique et sport".

C'est pourquoi il a fallu 49 ans de demandes de la part de l’État juif pour qu'une minute de silence soit accordée à la mémoire des sportifs massacrés avec la barbarie dont certains adeptes de la religion d’amour et de paix sont capables.

Évoquer la cause palestinienne pour se montrer davantage solidaire avec les "combattants de la liberté" est propre à l’hypocrisie des islamo-gauchistes. En effet, bien avant l'existence de l’État d’Israël et durant des siècles, nous dirions même depuis la naissance de l’islam, l’obsession de détruire des juifs n'a jamais quitté les musulmans. C'est inscrit dans l’ADN de leur religion, qu’ils tètent avec le lait maternel.

Et que dire de la Suisse qui se veut un exemple de vertu, qui se targue d’être la dépositaire des Conventions de Genève, mais aussi le siège du CIO, lequel a refusé cette minute de silence durant toutes ces années ?

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Qu'est-ce que l'esprit olympique ?

Instaurée lors des premiers Jeux antiques, la « trêve olympique » constituait un moment fort dans la mesure où tous les conflits en cours étaient suspendus le temps de la compétition. Lorsque Pierre de Coubertin a rallumé la flamme en 1896, son objectif était de réunir les nations du monde autour du sport en soulignant son caractère apolitique.

https://www.lopinion.fr/edition/international/treve-olympique-mythe-plus-en-plus-mal-entretenu-250628

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JO de Tokyo : Un judoka Algérien refuse d’affronter un Israélien

Jeudi 22 juillet, rapporte franceinfo, en direct de la télévision algérienne, le judoka Fethi Nourine annonçait déclarer forfait, afin d’éviter de combattre son vis-à-vis israélien, Tohar Butbul. « Nous n’allons pas faire lever le drapeau israélien et on ne se salit pas les mains en affrontant un Israélien », déclarait le judoka algérien, affirmant que même s’il avait travaillé dur pour obtenir sa qualification aux Jeux olympiques, « la cause palestinienne est plus grande que tout cela ». Une décision qui n’a pas du tout plu aux instances nationales et internationales du judo.
[...]

article complet: https://www.valeursactuelles.com/monde/jo-de-tokyo-la-federation-internationale-de-judo-suspend-un-judoka-algerien-qui-avait-refuse-daffronter-un-athlete-israelien/

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Pourquoi le CIO ne commémorera jamais le massacre de Munich en 1972

Publié par Guy Millière le 1 août 2012
[...]
Le Président du Comité Olympique palestinien (car il y a un comité olympique d’un pays appelé « Palestine » depuis 1996) est Jibril Rajoub, ancien conseiller d’Abu Jihad, l’un des fondateurs de
« Septembre noir ». Jibril Rajoub a remercié Jacques Rogge, président du CIO pour avoir refusé une fois de plus une minute de silence pour les Israéliens assassinés à Munich en 1972, et il l’a fait en ces termes :

« Le sport est un pont reliant les peuples par l’amour, la paix et la fraternité. Il ne doit pas être un facteur de séparation et de propagation du racisme ».

Je préfère ne pas commenter ce genre de propos. [...]

article complet: https://www.dreuz.info/2012/08/pourquoi-le-cio-ne-commemorera-jamais-le-massacre-de-munich-en-1972-28767.html

Nous concluons avec un commentaire qui suit cet article:

C’est ce qu’on reproche aux Israéliens et aux Juifs. Ils ne veulent plus « baisser les yeux ». Devant personne.

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Massacres de Munich par les terroristes palestiniens : la réécriture de l’histoire est-elle une mission française ?

Lieu où les terroristes palestiniens ont torturé les otages israéliens (y compris la castration d’un des athlètes pendant que les autres étaient forcés de regarder) avant le massacre de Munich en 1972

C’est bien connu, le complot juif (accessoirement judéo-maçonnique) gouverne le monde, la finance, la presse, la culture et les arts dont le cinéma.

C’est certainement pour cela qu’il est nécessaire de réécrire l’histoire même récente connue de nous tous et souvent directement vécue.

C’est à cette tâche que s’est attelé Nasri Hajjaj avec le « documentaire » intitulé «  Munich, a palestinian story » qui a été accepté au prochain Festival International du Film de Cannes.

Le résumé nous raconte :

« Le 6 septembre 1972, huit palestiniens combattants de la liberté ont attaqué le village olympique de Munich, et on pris onze athlètes israéliens en otage. L’opération s’est terminée quand les officiers de la sécurité allemande ont ouvert le feu, tuant 5 des palestiniens et les 11 israéliens. Pourquoi l’opération a-t-elle été déclenchée ? Ce film sera le premier documentaire palestinien qui retrace cet évènement, fera la lumière sur de nouveaux faits, documents et personnes impliquées »

(« On September 6th, 1972, eight palestinian freedom fighters attacked the Olympia Village in Munich, taking eleven israeli sportsmen hostage. The operation ended when german security officers opened fire, killing 5 of the Palestinian men and the 11 Israelis. Why this operation was carried out? This film will be the first Palestinian documentary about this event, bringing to light many new facts, documents and people involved.”)

pratiquement tout est faux !

Tout est dit : Combattants de la liberté

  • 5 palestiniens tués
  • 11 Israéliens tués par les Allemands

Mais qu’en est il des non dits ? Comme bien souvent voire quasiment toujours, tout est pratiquement faux dans les allégations de ces sinistres personnages.

⇒ Les combattants de la liberté sont des terroristes qui prennent des otages pour faire libérer d’autres terroristes emprisonnés dont deux sont des membres de la « bande à Baader ».

⇒ Effectivement, 5 terroristes seront tués par les forces de sécurité allemandes et c’est là le seul fait véridique.

⇒ Les 11 athlètes, eux, seront assassinés par les terroristes : Yossef Romano et Moshe Weinberg dans les appartements des sportifs après avoir été torturés et mutilés (castré pour l’un d’entre eux) faits rapportés à l’époque par Hans Dieter Genscher, Ministre de l’intérieur de la RFA et Walter Tröger, maire du village olympique, qui avaient pu voir les otages lors d’une tentative de négociation avec les terroristes.

Dans le 1er hélicoptère, 3 sont tués par l’un des terroristes : Springer, Haflin et Friedman ; le 4ème Bergen, est blessé mais mourra dans l’explosion de la grenade que lance ce même terroriste dans l’hélicoptère.

Dans le 2ème hélicoptère, les 5 otages sont exécutés à bout portant  : Gutfreund, Schor, Sladin, Spitzer et Schapner. (Témoignage du journaliste John Cooley qui était sur les lieux).

Ces « combattants de la liberté » sont membres de Septembre Noir, organisation terroriste

Ces faits sont corroborés par Shaul Ladany et Tuvia Sokolovsky qui avaient réussi à s’échapper.

Ces « combattants de la liberté » sont membres de Septembre Noir, organisation terroriste rassemblant des membres de l’OLP et du FPLP.

Voici les faits. Que les ennemis du peuple juif veulent réécrire l’histoire à leur profit ne nous étonne guère, après la régularité des votes scandaleux et honteux de l’ONU et de tout récemment encore de l’Unesco, mais qu’une fois de plus, la France, cette fois par l’intermédiaire de ceux qui se disent notre élite culturelle, abonde dans ce sens est une insulte aux victimes, à l’Histoire et à la vérité.

Bientôt on enseignera sans vergogne à nos enfants que la Révolution Française a été inspirée par Allah et conduite par les imams et les mollahs.

Le monde d’Orwell est à la fois lointain et présent mais bien naïf, à côté de la perversité contemporaine de nos dirigeants politiquement corrects.

Il importe que des voix s’élèvent pour contrer le dévoiement de la pensée, combattre pour la vérité et l’éthique.

Continuons donc, et comme le disait Tristan Bernard « ……maintenant nous allons vivre dans l’espérance ».

source: Massacres de Munich par les terroristes palestiniens : la réécrire l’histoire est-elle une mission française ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pr. Patrick Bloch pour Dreuz.info.

 

Erdogan veut donner «une leçon forte et dissuasive» à Israël

Le Président turc a appelé la communauté internationale et les Nations unies à donner «une leçon forte et dissuasive» à Israël après les attaques de l’État hébreu contre des civils palestiniens.

[...]

«Donner une leçon à Israël»

Lors d'un appel téléphonique à Vladimir Poutine, M.Erdogan a déclaré que la Turquie «avait répondu de la manière la plus forte aux attaques qu'Israël a menées imprudemment contre Al-Qods, Gaza, la mosquée Al-Aqsa et les Palestiniens». Il a notamment «souligné qu'il était nécessaire que la communauté internationale donne une leçon ferme et dissuasive à Israël».

[...]

article complet: https://fr.sputniknews.com/moyen-orient/202105131045592584-erdogan-veut-donner-une-lecon-forte-et-dissuasive-a-israel/

Le Parlement iranien donne l’ordre au gouvernement de détruire Israël

Jean-Patrick Grumberg le 4 janvier 2021

La semaine dernière, les législateurs iraniens ont annoncé un plan en 16 articles (1) de représailles pour le meurtre du commandant de la Force Quds, Qassem Soleimani, dont l’obligation faite au gouvernement iranien de détruire Israël d’ici 1420 sur le calendrier persan – c’est-à-dire dans 20 ans. C’est une première.

La législation a été introduite la semaine dernière avant le premier anniversaire de l’assassinat du général Qasem Soleimani, lors d’une attaque aérienne américaine à Bagdad le 3 janvier 2020.

Dans la proposition de législation qui sera discutée et éventuellement votée, deux étapes spécifiques sont mentionnées concernant la « destruction d’Israël ».

  • La première est de « briser le siège de Gaza » en fournissant gratuitement des « biens essentiels » si nécessaire (Gaza vient d’ouvrir un nouveau centre commercial, ce qui veut dire que pour les Mollahs, « biens essentiels » signifient armement lourd et missiles longue portée.
  • La seconde est d’offrir « des infrastructures et des services » pour mettre en œuvre le droit au retour des Palestiniens.

Le fait nouveau est que dans le passé, la disparition d’Israël était une prévision ; mais maintenant, selon ce plan, c’est une obligation.

L’Azerbaïdjan, allé stratégique et vital d’Israël dans la région, a immédiatement relayé l’information sur Azerbaycan24 (2), tandis que l’AFP est restée silencieuse.

L’Article 5 du projet de loi précise que « Le gouvernement est tenu de prendre les dispositions suivantes pour détruire le régime sioniste usurpateur d’ici 1420. »

  • 1- Rompre le siège de Gaza en envoyant des biens de première nécessité depuis les bases navales officielles vers Gaza en échange d’argent ou gratuitement ; Le premier envoi, comprenant au moins l’aide publique et les institutions privées, sera effectué dans les six mois suivant l’entrée en vigueur de cette loi.
  • 2- Poursuivre la fourniture de services et d’infrastructures de protection sociale, de sécurité économique et de soutien à la marche populaire « Droit au retour des réfugiés palestiniens » et soutenir son développement dans d’autres frontières des territoires occupés sous des rubriques telles que « Retour à Jérusalem », « Libération des hauteurs du Golan », « Pèlerinage à Quds ».

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Parce que Dreuz est censuré pour le crime de désaccord avec la gauche, suivez notre fil Twitter, et retweetez-nous. C’est un important geste de résistance pour faire circuler vos idées.

  1. https://www.azerbaycan24.com/en/press-iranian-parliament-proposed-a-bill-calling-for-israel-s-destruction/

https://www.entekhab.ir/fa/news/594022/مجلس-دولت-را-به-نابودی-اسرائیل-مکلف-کرد

*******
#Al Jazeera anglais #Iran #US (3:30)
Assassinat de Soleimani: les tensions entre les États-Unis et l'Iran augmentent
Personne n’a été tenu pour responsable de l’assassinat de Qassem Soleimani malgré les efforts de l’Iran pour poursuivre le président américain Donald Trump par l’intermédiaire d’Interpol.

Allemagne : Les Jeunes socialistes expliquent que les extrémistes du Fatah sont une organisation sœur

Lors de leur congrès fédéral, les Jeunes socialistes ont montré leur solidarité avec la jeunesse extrémiste du Fatah. Celle-ci rejette le droit à l'existence d'Israël. Les critiques proviennent également du SPD.

Lors de son congrès fédéral virtuel ce week-end, l'organisation de la Jeunesse du SPD a adopté une motion dans laquelle elle déclare sa solidarité avec l'organisation palestinienne Jeunesse du Fatah. La motion, intitulée "Notre vision pour le Centre Willy Brandt de Jérusalem", précise que la Jeunesse du Fatah est une "organisation sœur".

La Jeunesse du Fatah est classée comme extrémiste par plusieurs autorités, dont l'American Jewish Committee à Berlin. Le droit à l'existence d'Israël est rejeté par les jeunes du Fatah, qui appellent au boycott. Le logo de l’organisation est une carte d’Israël aux couleurs de l’Autorité palestinienne.

Lors d'une manifestation des jeunes du Fatah en Cisjordanie en 2018, les membres ont porté des ceintures d'explosifs factices et ont appelé à la lutte contre Israël.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Welt.de


Note : Les mêmes socialistes traitent la droite d'antisémite afin que le simple pékin associe le patriotisme au "nazisme".

En vérité, les socialistes sont bien souvent davantage proches des musulmans antisémites qu'autre chose. Ce sont d'ailleurs les mêmes individus de gauche qui militent pour la Palestine, pour l'abrogation de nos frontières, ou encore pour que l'Europe soit multiculturelle, c'est-à-dire accepte l'immigration musulmane dans nos pays au détriment de notre sécurité et de nos traditions.

 

Le conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan est “une question de vie ou de mort” pour les habitants du Haut-Karabakh

Laurent Leylekian, spécialiste de l'Asie mineure et du Caucase du Sud, décrypte les enjeux géopolitiques de cette guerre, qui dure depuis plusieurs décennies.

Un appel unanime. Les présidents russe, Vladimir Poutine, français, Emmanuel Macron, et américain, Donald Trump, ont appelé, jeudi 1er octobre, dans un communiqué commun, à "la cessation immédiate des hostilités" dans le Haut-Karabakh, ce territoire azerbaïdjanais séparatiste soutenu par l'Arménie. Depuis cinq jours, les combats entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie sont sanglants. La reprise des affrontements, les plus graves depuis 2016, font craindre une guerre ouverte entre Bakou et Erevan, à même de déstabiliser une zone déjà fragile où les intérêts de nombreuses puissances sont en concurrence.

La Russie, la France et les Etats-Unis, qui coprésident le Groupe de Minsk créé en 1992 pour rechercher un accord entre les deux pays, ne sont pas parvenus à trouver un règlement durable du conflit dans ce territoire en majorité peuplé d'Arméniens et ayant fait sécession de l'Azerbaïdjan. Une guerre au tournant des années 1990 y avait fait 30 000 morts.

Laurent Leylekian, spécialiste de l'Asie mineure et du Caucase du Sud, fait le point pour franceinfo sur les enjeux géopolitiques de ce conflit et sur le rôle éventuel des acteurs internationaux dans la résolution de la crise.

 

 

 

 

Franceinfo : Quels sont les enjeux pour l'Azerbaïdjan et l'Arménie dans ce conflit ?

Laurent Leylekian : Pour l'Azerbaïdjan, c'est essentiellement une question de fierté. Tandis que pour les Arméniens qui vivent dans la région du Haut-Karabakh, c'est une question de vie ou de mort. On présente ce conflit entre deux Etats comme s'il avait lieu sur une terre qui serait vide de population. Or, des gens vivent au Haut-Karabakh. Il y a 150 000 habitants au total, et tous sont Arméniens. Ils se sont constitués en Etat indépendant après la guerre qui a eu lieu entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan, il y a trente ans (1988-1994).

Le choix pour ce territoire, c'était d'être indépendant ou d'être mort. Pour comprendre, il faut regarder l'exemple d'une autre enclave : le Nakhitchevan. L'Arménie et l'Azerbaïdjan s'en sont disputé le contrôle et ce territoire dépend aujourd'hui de l'Azerbaïdjan. Au début du XXe siècle, il y avait pas loin de 100% d'Arméniens sur cette terre. Comme au Karabakh. Et en raison d'un processus violent d'homogénéisation ethnique, il n'y a tout simplement plus d'Arméniens sur ce territoire. Ils ont été expulsés ou massacrés. Et c'est précisément cela que craignent les habitants du Haut-Karabakh. Les Arméniens ont gagné la guerre il y a trente ans et aujourd'hui, ils ne veulent absolument pas revenir dans le giron azerbaïdjanais. Ils ont construit un Etat plus démocratique que l'Azerbaïdjan, qui est, rappelons-le, une dictature. Et ils craignent pour leur vie. Car il s'est développé en Azerbaïdjan une rhétorique raciale anti-arménienne très claire.

 

Pourquoi la Turquie se mêle-t-elle du conflit ?

La Turquie soutient de manière claire et avérée l'Azerbaïdjan. Car il y a une vraie fraternité entre les Turcs et les Azéris. Ce sont des peuples cousins. Ils parlent la même langue et ont même un slogan pour montrer leur union : "Une nation, deux Etats".

Mais pour l'instant, la Turquie se mêle du conflit de manière préventive, pour des raisons qui relèvent de sa politique intérieure. Car en 2023, il y aura des élections générales et Recep Tayyip Erdogan n'est pas du tout sûr de gagner, pour la première fois depuis vingt ans. C'est pour cela qu'il mène des guerres ou des bras de fer un peu partout (on l'a vu en Grèce, en Libye, en Syrie).

 

 

[...]

Erdogan a donc poussé le dirigeant de l'Azerbaïdjan, Ilham Aliyev, à faire la guerre. Ilham Aliyev voulait la gagner rapidement. Ce qui était possible, en théorie, puisque le budget militaire total de l'Azerbaïdjan représente à lui seul celui de l'Arménie et celui du Haut-Karabakh. L'Arménie et l'Azerbaïdjan ne jouent pas dans la même cour de ce point de vue. Mais le Karabakh est un terrain montagneux, difficile d'accès. Donc le conflit s'embourbe.

[...]

Francetvinfo.fr

Péril turc : lâchés par Bruxelles, les Grecs se tournent vers Israël

28 juillet 2020 - par

On savait que les autorités de Gaza, tous religieux, n’avaient pas en eux de charité chrétienne, ni même d’empathie pour les victimes, qu’elles soient musulmanes, par la formation d’enfants à devenir des futurs « martyrs », et le peu de chrétiens qui reste.

Ces autorités religieuses, qui adorent Mahomet l’esclavagiste et pédophile prophète, ont décidé de s’en prendre aux enfants des familles israéliennes en leur envoyant des ballons piégés avec des livres et des jouets pour les attirer. De plus,  Ismail Haniyeh, le chef du Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza, a rejeté un plan économique d’un montant de 15 milliards de dollars (12,7 milliards d’euros) en échange d’un démantèlement de la branche armée du groupe terroriste, a rapporté lundi le Jerusalem Post.

On sent bien le courage de ces religieux qui dirigent d’une poigne de fer Gaza et n’ont pas comme priorités le bonheur des Gazaouis. Ceux-ci vivent dans un enfer politique où les libertés sont supprimées “au nom de la cause palestinienne“.

C’est sûr que ces dirigeants n’en souffrent pas trop, eux qui sont bien à l’abri, et sous la protection des hôpitaux si nécessaire, en cas de conflits directs.

En Israël, rien de neuf ? C’est ce qui semble être une réalité pour les médias de France. Nous vivons dans un pays sous anesthésie où toutes les chaînes de télévisions et les radios sont occupées à diffuser la peur d’un virus diabolisé.

Israël, la Russie, l’Europe, l’Asie, le reste du monde n’intéressent pas nos médias. Ce qui compte en France, c’est le port du masque, nouvelle panacée nous disent les pouvoirs publics après nous avoir dit que cela ne servait à rien.

L’économie s’effondre en France et notre Président s’évertue à poursuivre son œuvre de destruction de notre pays pour en faire une simple province de l’Union européenne, et envoie un islamo-collabo en Algérie pour mieux détruire l’image de la France lors de la guerre d’Algérie.

Mais le monde poursuit sa route et les nations continuent de vivre. Ce n’est pas parce que les Français l’ignorent que cela ne se fait pas.

Demandez à un patriote, un gauchiste, un indigéniste, à un islamo-collabo s’il a des informations sur la Grèce en quasi-conflit avec la Turquie ? Il ne le sera que s’il porte son regard au-delà de France 2, TF1, France3, et autres BFM TV. Un patriote, je pense, le fait probablement. J’en doute pour le reste du panel obsédé par son nombril.

Ces gens-là se fichent que des entreprises grecques et israéliennes aient signé un accord de coopération pour la construction de navires de guerre pour faire face aux besoins d’Athènes en cas de futurs conflits à l’est de la Méditerranée. On peut facilement deviner avec qui. Qui en parle sur nos chaînes d’infos ?

On notera par ailleurs que le ministère de la Défense national grec a conclu un accord avec le ministère israélien de la Défense pour louer de deux drones Heron.  D’après les médias grecs, les engins seront utilisés pour élargir la collecte d’informations des services de renseignement, mais aussi pour renforcer les capacités de dissuasion du pays face à la Turquie, qui, elle, a déployé des drones au-dessus de la région d’Évros et de la mer Égée bordant les deux pays. Pas un mot en France sur ce conflit qui s’annonce entre des alliés de l’Otan.

Chaque jour sur nos radios, nos télévisions, c’est le même discours sur le retour du virus meurtrier et ce malgré les alertes de beaucoup de scientifiques qui expliquent qu’il n’y a pas péril en la demeure. Ce n’est pas la peste noire. Ce n’est pas le choléra. Même les masques ne seraient pas très utiles compte tenu de l’air ambiant et des nanoparticules que nos masques n’arrêtent pas, dans un sens comme dans l’autre.

La question est : à qui profite cette peur diffusée à fortes doses ? À qui profite cette anesthésie de tout un peuple ? Quel est le but ?

Le Moyen-Orient est au centre d’un futur conflit qui met face à face deux civilisations ! En France, nous avons décidé de nous coucher devant l’Islam. J’en veux pour preuve la déclaration d’un ministre de l’Intérieur qui met en avant son deuxième prénom, Moussa. Pour quelle raison ? Faire une allégeance ou par bêtise ? Les deux probablement ?

Que disent nos politiciens face à la déclaration du Hezbollah, ce cancer qui vit au dépend des Libanais, qui affirme avoir la capacité de frapper “des cibles très précises” n’importe où en Israël. Je fais le même constat qu’avec Gaza. Ces gens sont incapables de proposer quoi que ce soit pour les peuples qu’ils dominent, hormis la mort à court et long terme. Aucun projet économique, politique pour favoriser les habitants et les sortir de la misère dans laquelle ils sont pour la plupart.

Si on compare les avancées économiques, politiques et technologiques d’un pays comme Israël, pourtant infesté par les juifs orthodoxes avec le Liban, lui-même infesté par l’islamisme, tout comme Gaza, aucun n’atteint le niveau de performance d’Israël avec pourtant, l’état de guerre permanent ! Pourtant, Israël n’est pas, loin de là, une étoile au firmament social et politique.

Même la France aurait des leçons à tirer de son système politique si ce n’est électoral.

Pourquoi cette haine contre un pays si petit et qui ne présente pas de dangers particuliers pour le reste du monde ? La question mérite vraiment d’être posée !

L’islam est, lui, véritablement le danger absolu, tout comme des pays comme la Turquie islamiste et le Qatar. Mais en France, le Qatar domine nos gouvernements. Le Qatar met à genoux des hommes comme Sarkozy, Hollande, Macron et autres dirigeants de France. L’avenir nous dira peut-être pourquoi cet avilissement de la France devant cet État à la religion archaïque et violente.

Les Grecs ont bien compris, face à la Turquie qui a la volonté de spolier la Grèce de ses droits sur le pétrole et le gaz en Méditerranée, qu’ils devaient passer outre la volonté de l’Union européenne de bouder Israël et de financer, à nos frais de contributeurs, l’autorité palestinienne (celle-ci finance des terroristes).

Athènes est plus loin de Bruxelles que d’Ankara. Les Grecs se souviennent encore des souffrances qu’ils ont subies du fait de la Turquie qui occupait son pays autrefois, des exodes et des massacres commis par les Turcs.

C’est pourquoi la Grèce se tourne vers un partenaire bien plus fiable que l’UE en renforçant un partenariat militaire entre Israël et elle-même. Pour la Grèce, c’est une priorité absolue, a déclaré Konstantinos Floros, chef d’état-major grec.

On peut dire la même chose pour la Hongrie. Le ministre des Affaires étrangères hongrois, Péter Szijjártó, s’est rendu en Israël le 20 juillet pour signer un accord concernant la recherche spatiale. La Hongrie et Israël ont des liens étroits et le pays est considéré comme un “ami très proche” d’Israël.

Quid de la France ? Nous préférons soutenir des perdants, des arriérés religieux, des fomenteurs d’attentats, un islam qui nous hait et veut nous mettre à genoux. Pouvons-nous imaginer La France à genoux devant les représentants d’un islam rétrograde qui valide par ses livres, la misogynie, la haine des athées, des chrétiens et des juifs ? Un islam qui hait la démocratie parce qu’il considère que les peuples n’ont pas à décider par eux-mêmes, mais à se soumettre à leur dieu sanguinaire.

On voit l’exemple concret des peuples qui vivent au Moyen-Orient. Pour ma part, je préférais vivre en Israël qu’au Liban ou à Gaza.

Gérard Brazon

source et commetaires: https://ripostelaique.com/peril-turc-laches-par-bruxelles-les-grecs-se-tournent-vers-israel.html

Coronavirus : un espoir de vaccin?

Coronavirus : un espoir du côté d’Israël ?
11 avril 2020 - par

Il y a déjà quatre ans que les laboratoires de recherche travaillent sur le Coronavirus du poulet, très proche du Covid-19. Il y a deux mois, ils nous annonçaient la production d’un vaccin dans les deux mois. Eh bien nous y sommes : ILS ONT SORTI LEUR TRAITEMENT ET BONNE NOUVELLE POUR LE MONDE, ÇA FONCTIONNE, avec un taux de survie à 100 % !

https://infos-israel.news/un-nouveau-traitement-israelien-contre-le-corona-permet-aux-malades-un-taux-de-survie-a-100/

Le traitement a été mis au point par le laboratoire Pluristem de Haïfa, et vient d’être testé sur 6 patients très gravement atteints, présentant insuffisance respiratoire aiguë, complications inflammatoires, insuffisance cardiovasculaire et rénale, qui seraient certainement décédés sans ce traitement vu la gravité de leur cas à haut risque de mortalité.

Selon le site d’informations israélien,

1. Tous les patients ont survécu »,  ce qui est en soi déjà prodigieux. Le site précise encore que :

2 – Quatre patients ont montré une amélioration des paramètres respiratoire,

3 – Trois patients sont au stade avancé du sevrage des ventilateurs,

4 – Deux patients avec des conditions médicales préexistantes montrent une récupération clinique en plus de l’amélioration respiratoire.

La nouvelle est tellement prometteuse que le laboratoire « prévoit de demander le lancement d’un essai clinique multinational et cette société est déjà en pourparlers avec les États-Unis et l’Europe pour définir une stratégie clinique contre le Covid-19 ».

Bien sûr, l’affaire est à suivre. Alors que le traitement israélien semble fonctionner à merveille, nos Ineffables du gouvernement feront-ils comme avec la chloroquine du professeur Raout :  tester durant des mois pendant lesquels les malades continueront à tomber comme des mouches, c’est-à-dire laisser mourir les patients plutôt que de prendre « le risque » de les guérir ?

On parle aujourd’hui de sortir du déconfinement. Certes la situation économique est devenue ingérable et va précipiter dans la pauvreté et le chaos nos populations. Qui paiera les salaires, les retraites, les émoluments divers ? Comment les familles pourront-elles nourrir les leurs ? Combien d’entreprises de petite taille, soit celles qui font le véritable tissu économique de notre pays, disparaîtront-elles ? Dans quelle proportion le chômage va-t-il augmenter, apportant son lot de misère, la colère, et la violence à laquelle on ne pourra échapper ?

Oui mais … !

Il semble qu’en Chine, et à Wuhan même, où l’on a pris pour la première fois conscience de l’importance du virus, même si son origine reste sujette à caution, il semble qu’une deuxième vague de Coronavirus se prépare et ait peut-être déjà commencé.

On se souviendra alors de la grippe espagnole, dont c’est précisément la deuxième vague qui fut la plus mortelle. Il convient d’en rappeler ici le processus et les conséquences.

Selon un livre publié  en 2018 par F.Vinet,  « La Grande Grippe. 1918. La pire épidémie du siècle », l’épidémie aurait commencé dès les années 1916-1917, par ce que l’on a appelé la « pneumonie des Annamites », faisant  des ravages parmi les ouvriers ou soldats d’origine indochinoise présents en France, qui mouraient de façon fulgurante de syndromes respiratoires aigus. Elle fut rapidement suivie par ce que l’on a appelé  la première vague de l’épidémie, d’abord dès le 4 mars 1918 dans un camp militaire du Kansas, puis dans un cantonnement britannique à Rouen, se répandant à la faveur des mouvements de troupes, avant d’atteindre le reste de l’Europe et du monde. En juillet 1918 on déclara que la pandémie était terminée. En somme elle n’avait pas tué tant que cela, comme c’est le cas aujourd’hui avec le Covid-19, peut-être grâce au confinement, mais enfin le nombre de morts comparé aux nombre de personnes atteintes n’est pas si élevé.  Worldmeter indique aujourd’hui 1 715 590 contaminés parmi lesquels 103 840 décès, ce qui représente 6 %. 6 % c’est certes trop. Mais ce n’est pas du 30 à 60 % comme lors de la grande peste.

Erreur tragique que d’avoir déclaré la pandémie de 1918-1919 terminée. Car la seconde vague toucha le monde de plein fouet, et ce fut elle qui fut la plus mortelle, tuant entre 40 et 50 millions d’hommes,  submergeant les villes et les campagnes, les hôpitaux incapables de suivre, le monde médical qui ne savait que faire devant l’ampleur du désastre.

La seconde vague du Coronavirus est donc à craindre à notre époque, avec un virus qui aura muté.

Aussi saluons l’espoir donné par ce laboratoire israélien.

Louise Guersan

source:

Daesh annonce un « nouvelle phase » dans son jihad et menace directement Israël

Gaia - Dreuz le 28 janvier 2020

Source : Bfmtv

Daesh a annoncé, ce lundi, vouloir entrer dans une « nouvelle phase » de son « jihad » en ciblant Israël. Le groupe affirme vouloir « combattre les Juifs » pour « rendre ce qu’ils ont volé aux musulmans ».

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Daesh a affirmé, ce lundi, dans un message audio, vouloir lancer une « nouvelle phase » de son « jihad », en ciblant spécifiquement Israël.

Cet appel est lancé alors que le président américain Donald Trump reçoit, ce  lundi, son « ami » Benjamin Netanyahu avant de présenter un plan de paix régional jugé « historique » par Israël, mais rejeté par avance avec force par les Palestiniens.

« Rendre ce qu’ils ont volé aux musulmans »

Le nouveau chef de Daesh, Abou Ibrahim al-Hachemi al-Qourachi, est « déterminé » à entamer une « nouvelle phase qui n’est autre que de combattre les Juifs et de rendre ce qu’ils ont volé aux musulmans », a affirmé Abou Hamza El Qourachi dans ce message d’une durée de 37 minutes diffusé sur l’application Telegram.

« Les yeux des soldats du califat, où qu’ils se trouvent, sont toujours (rivés) sur Jérusalem. Dans les prochains jours, si Dieu le veut, vous verrez (…) ce qui vous fera oublier les horreurs » du passé, a encore déclaré Abou Hamza El Qourachi, en allusion à une éventuelle attaque.

L’AFP n’a pas pu immédiatement authentifier le message mais l’enregistrement a été diffusé sur les organes de propagande habituels du groupe sur les réseaux sociaux.

Affaibli, mais toujours présent

Avant sa défaite territorial en mars 2019, l’organisation jihadiste avait administré un vaste « califat » autoproclamé à cheval sur la Syrie et l’Irak, qui a compté jusqu’à sept millions d’habitants.

Sous l’effet d’opérations militaires combinées des forces syriennes et irakiennes soutenues par leurs alliés respectifs, ce vaste territoire s’est réduit comme peau de chagrin avant d’être rayé de la carte. Mais Daesh a préservé en Syrie et en Irak une présence non-négligeable autour du fleuve de l’Euphrate et dans le désert attenant.

lien vers le reportage BFMTV, La vie après Daesh

[...]

article complet:

Israël Face à une Escalade de la Guerre par Procuration que l’Iran Mène contre Lui

Con Coughlin  •  2 septembre 2019

  • Qu'Israël juge nécessaire d'attaquer des cibles aussi éloignées de ses frontières immédiates, sa traditionnelle zone d'opérations militaires, témoigne de l'escalade alarmante de la menace que l'Iran fait peser sur la sécurité de ce pays.
  • Plus tôt cette semaine, au Liban, un drone israélien aurait bombardé une base palestinienne financée par l'Iran. Des avions de guerre israéliens auraient également bombardé des bases militaires iraniennes à la périphérie de Damas, la capitale syrienne.
  • Il serait inacceptable que Washington s'asseye à la même table que les Iraniens au moment où l'Iran menace la sécurité de son plus proche allié au Moyen-Orient.
Israël a récemment attaqué une base militaire iranienne en Irak, qui était un lieu d'assemblement de missiles à moyenne portée capables d'atteindre des cibles en Israël. La menace a été jugée si importante que le haut commandement militaire israélien a lancé un raid aérien audacieux qui a obligé les avions de combat furtifs F-35 à pénétrer l'espace aérien saoudien. Photo : un F-35 de l'armée de l'air israélienne. (Source image : Israël Air Force / Wikimedia Commons)

Des responsables militaires américains ont reconnu que des avions de combat israéliens avaient mené une attaque contre une base militaire iranienne en Irak, confirmant ainsi l'ampleur alarmante prise ces dernières semaines par ce qu'il est convenu d'appeler la guerre par procuration que Téhéran mène contre Jérusalem.

Selon des responsables des service de sécurité israéliens qui ont requis l'anonymat, la base militaire située dans la province de Salaheddin, au nord de l'Irak, a été prise pour cible, car elle servait à assembler des missiles iraniens de moyenne portée capables de frapper Israël.

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Miss Irak dénonce le Hamas ” Cessez de vous cacher derrière les enfants quand vous attaquez Israël”

« Les terroristes du Hamas utilisent les civils comme boucliers humains et envoient des enfants en première ligne pendant les émeutes le long de la frontière de Gaza » a dénoncé Sarah Idan, miss Irak 2017, qui sera nommée Ambassadrice de la Paix le 13 juin prochain.

Il semble qu’Israël sera éternellement attaqué pour oser défendre ses frontières contre les terroristes, y compris par des dirigeants occidentaux qui eux-mêmes protègent leur pays contre les terroristes. Après 700 roquettes tirées depuis Gaza sur des Israéliens innocents en mai dernier, Israël a cependant reçu un soutien surprenant d’une ancienne Miss Irak pour 2017, Sarah Idan.

Elle a accusé le Hamas d’utiliser les habitants de la bande de Gaza comme boucliers humains. C’est une réalité, mais vous ne l’entendrez pas aux journaux télévisés du soir. Vous n’entendrez d’ailleurs aucun politicien être aussi courageux que cette Miss Irak.

[Ce n’est pas] le peuple palestinien en quête de liberté, mais une milice TERRORISTE, le Hamas, qui utilise les Gazaouis comme boucliers humains pour tirer des roquettes depuis des zones résidentielles, de sorte que lorsqu’Israël répond, il utilise des photos horribles des victimes et promeut sa cause qui n’est pas seulement la liberté mais l’élimination d’Israël !

Les Israéliens vivant dans le sud du pays sont constamment la cible d’attaques de missiles de la part du Hamas depuis la bande de Gaza. A chaque alerte, des dizaines de milliers d’Israéliens se cachent dans des abris anti-aériens. Telle est la réalité de la vie quotidienne de milliers d’Israéliens à portée de missiles des terroristes dans la bande de Gaza.

Gaza n’est même pas occupée !

Miss Irak poursuit en écrivant : « Gaza n’est même pas occupée ! »

Idan a récemment dénoncé une rumeur antisémite de Roger Waters, ancien leader de Pink Floyd, dans laquelle il a appelé au boycott du concours Eurovision de la chanson qui s’est tenu à Tel Aviv..

Un artiste a le pouvoir d’inspirer. Assurez-vous d’utiliser votre pouvoir pour le bien et pour rassembler les gens », a déclaré Idan, 29 ans, dans une série de messages Twitter. « Je n’ai jamais compris les artistes qui boycottent un pays entier, vous chantez pour les gens, pas pour les gouvernements. »

© Christian Larnet pour Dreuz.info.

Ne rêvez pas d’un État palestinien, il n’y en aura pas

Publié par Jean-Patrick Grumberg le 18 février 2019

Le Premier ministre israélien vient de bloquer 139 millions de dollars destinés à l’Autorité palestinienne, parce qu’ils servent à salarier les terroristes, leurs familles, et à encourager d’autres « vocations ».

Le Cabinet de sécurité israélien a décidé hier (dimanche 17 février 2019) d’appliquer la loi sur le gel des fonds de l’Autorité palestinienne, approuvée par la Knesset en juillet 2018, et de déduire 502 697 000 de shekels (139 millions de dollars) des fonds que l’État d’Israël doit transférer à l’Autorité palestinienne.

Les responsables de la sécurité ont présenté des données selon lesquelles, en 2018, l’Autorité palestinienne a transféré ce montant aux terroristes emprisonnés en Israël et à leur famille ainsi qu’aux prisonniers libérés. Il a donc été décidé de geler le même montant de fonds provenant des recettes fiscales qu’Israël perçoit pour l’Autorité palestinienne.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahou a chargé les responsables de la sécurité d’intensifier les contrôles sur les paiements supplémentaires de l’Autorité palestinienne liés au terrorisme, y compris ceux aux terroristes et à leurs familles. Le montant gelé sera mis à jour en fonction des informations reçues.

A cela, les dirigeants palestiniens ont déclaré que, s’ils devaient choisir entre le financement des écoles, des hôpitaux, des salaires du gouvernement, des infrastructures ou des terroristes, les terroristes étaient la priorité absolue. (Bien entendu, ils ne les appellent pas terroristes, mais vous savez, un chat, c’est un chat).

La paix, quelle paix ?

Parce que le terrorisme est considéré comme le mode de fonctionnement banal des Arabes de Palestine, une question importante n’est plus posée : quels signes concrets, quelles indications les Arabes palestiniens donnent-ils à leurs voisins israéliens qu’ils veulent la paix avec les Juifs ? Quelle preuve avons-nous qu’ils cherchent à faire la paix ? La réponse : aucune.

La communauté internationale parle de paix, Jared Kushner, le gendre du président Trump et envoyé au Moyen-Orient parle de paix, l’UE et l’ONU parlent de paix, Netanyahu parle de paix et les Israéliens veulent la paix. Mais les Arabes ? L’OLP ? Je n’ai pas vu leurs efforts et leurs appels à la paix. Et ne parlons pas du Hamas et du Jihad islamique qui contrôlent la bande de Gaza…

Notre ami et spécialiste géopolitique Albert Soued résume bien cette réalité.

Les obstacles fondamentaux [au plan de paix] sont de taille :
• idéologie : de nombreux versets du Coran sont anti-judaïques et préconisent l’élimination des Juifs.
• société : les écoles de la plupart des pays arabo-musulmans enseignent la haine du juif et d’Israël. »

 » A ces obstacles, précise Albert Soued, s’ajoutent les problèmes de souveraineté, de territoire, de frontière … d’un éventuel état palestinien. »

La décision de bloquer des fonds destinés à encourager le terrorisme, le gouvernement Netanyahu aurait dû la prendre depuis longtemps. Les contraintes géopolitiques – essentiellement l’hostilité forte de l’ex-président Obama, et le danger létal que lui et son clown maléfique John Kerry ont fait peser sur Israël et la région en signant un terrible accord avec l’Iran – ne le lui permettaient pas.

Cette page noire pour l’Amérique a été tournée. Le Congrès américain a voté en mars 2018 une loi (Taylor Force Act) qui interdit de verser une aide financière tant que l’Autorité palestinienne donnera de l’argent à des terroristes. Trump l’a signée parce qu’il est le président le plus pro-israélien et le plus grand ami des juifs que l’Amérique ait porté (et si Bernard Henri Levy n’était pas si aveuglé par l’idéologie, son intelligence lui serait largement assez suffisante pour examiner les faits au lieu de raconter des âneries). Obama lui, aurait refusé de signer la Taylor Force Act.

Un État palestinien ? Mon œil !

La gauche se dit « inquiète » sur l’avenir. Elle s’imagine que la solution à deux États est la clef du problème. Elle agite l’épouvantail d’une solution à un seul État mixte qui signera la fin d’Israël parce que les juifs se retrouveront en minorité. Elle joue sur les peurs – au fait, cela s’appelle de la démagogie – pour forcer la majorité des Israéliens à penser comme elle. Elle dit qu’il n’y a pas de troisième solution. Elle se trompe. Il existe de nombreuses solutions, mais la gauche ne veut pas – ou ne peut pas les voir. Et la droite ne peut pas ou ne veut pas les formuler. Surtout, ils ignorent – ou font mine d’ignorer s’ils ont un peu d’éducation politique – que les Arabes ne veulent pas d’un Etat juif.

Un Etat ? Les Arabes ont refusé 7 fois

  • En 1917, la Déclaration Balfour a non seulement créé une patrie juive, mais a également exigé que rien ne soit fait pour porter préjudice ou perturber les communautés arabes sortantes. Les Arabes se sont-ils réjouis de l’opportunité ? Non. Ils ont fait ce qu’ils ont toujours fait et continuent à faire jusqu’à … cette semaine en fait : ils ont déclenché l’émeute de Nebi Musa en avril 1920. Des Palestiniens des villes voisines ont afflué en masse et fomenté un djihad contre les Juifs de Jérusalem. Le maire de Jérusalem (qui était musulman) aurait déclaré : « Si nous n’utilisons pas la force contre les sionistes et contre les Juifs, nous n’en serons jamais débarrassés. »
  • En 1937, la Commission Peel, sous la direction de Chaim Weizmann, a fait pression en faveur d’une solution à deux États. Les Juifs se sont vus offrir un petit territoire sur la côte, de Tel-Aviv au nord, représentant environ un cinquième du territoire du mandat restant. Les Arabes palestiniens, ont reçu la proposition, pour leur propre État, de prendre les quatre cinquièmes restants. Cela ne les a pas satisfaits. Ils ont rejeté le plan. Puis ils ont de nouveau eu recours au djihad, que les Britanniques ont ensuite réprimé.
  • En mai 1948, l’ONU a recommandé un plan de partage à l’Assemblée générale et la création de deux Etats : un pour les juifs, un pour les Arabes. Les sionistes, de bonne volonté, ont déclaré leur accord presque immédiatement. Fidèles à eux-mêmes, (certains disent à tort qu' »ils ne ratent jamais une occasion de rater une occasion » – comme s’ils voyaient les choses avec les mêmes yeux que les Occidentaux !), les Palestiniens refusèrent le plan de partage et un pays, et dirent que des « fleuves de sang » vont noyer les juifs. L’Armée de libération arabe nouvellement formée fut envoyée pour annihiler les Juifs.
  • En 1993 lors des Accords d’Oslo, les Palestiniens se sont vu offrir tout ce qu’ils désiraient par des lettres de reconnaissance mutuelle. Arafat a claqué la porte et refusé de signer.
  • En 2000 à Camp David, Ehud Barak a accepté les frontières proposées par Bill Clinton. L’accord aurait établi un État palestinien en Judée Samarie et Gaza avec Jérusalem-Est comme capitale palestinienne. Une fois de plus, Arafat s’est rétracté et a déclenché la seconde Intifada.
  • En 2005, Ariel Sharon décidait qu’il n’était ni économiquement ni militairement possible pour Israël de gouverner 1,1 million de Palestiniens à Gaza. Sharon a démantelé toutes les communautés juives et rappelé l’armée israélienne aux frontières de 1967. Il a laissé derrière et en bon état les serres construites par Israël pour que les gens créent une industrie d’exportation agricole et relancent leur économie. Fidèles à eux-mêmes, les Palestiniens n’ont pas profité de l’Etat qu’ils pouvaient créer à Gaza. Ils ont détruit les serres, et ont déclenché une vague de milliers d’attaques à la roquette contre des cibles civiles en Israël, puis un interminable conflit. Et ils n’ont certainement pas construit un pays.
  • En septembre 2008, Ehud Olmert a présenté au président palestinien Abbas un autre plan de partition. Il y avait une carte détaillée d’un futur État palestinien, avec un échange de terres convenu d’un commun accord. Les Palestiniens obtenaient toute la Judée Samarie et Gaza d’avant la guerre de 1967. Olmert leur a même proposé de diviser Jérusalem. Abbas a pris la carte avec lui, il est rentré à son bureau pour un examen plus approfondi et il n’a jamais – ne serait-ce que répondu à la proposition – et de sept refus.

Pourquoi la solution n’est pas une solution

Rechercher une « solution » au conflit est fondamentalement anachronique et décalé de la réalité. Poser la question d’une solution, que ce soit 0, 1, 2 ou 3 Etats n’a pas de sens. Le concept même de solution est faux aux oreilles des Arabes.

Après la diplomatie, l’empathie, les concessions, Israël a lancé un défi astucieux : il a demandé en 2010 aux créatifs israéliens, aux agences de marketing et de publicité, de proposer des idées pour régler le conflit. Rien n’est sorti des cartons.

Puis quelques années plus tard, Tel-Aviv a organisé une rencontre informelle, un face à face entre jeunes Israéliens et Arabes, en leur demandant de proposer leurs solutions. Ce fut une impasse.

Vouloir la paix avec les Palestiniens, c’est exactement le même travers que les néoconservateurs qui voulaient installer ou imposer la démocratie en Irak et ailleurs dans les pays arabes : la démocratie est un concept occidental qui ne correspond pas plus à leur culture que l’idée de « solution » et de paix avec les juifs.

Les Frères musulmans égyptiens étaient à deux doigts de déchirer le traité de paix avec Israël. Ils envisageaient de le remettre en cause lors d’un référendum (1). Leurs plans ont échoué car ils ne sont pas restés au pouvoir, mais il montre que pour les musulmans, le concept de paix n’a pas la signification durable qu’il a pour l’Occident. En fait, le concept n’existe même pas…

Après un an de négociations indirectes par l’intermédiaire de la Turquie, il est apparu qu’Erdogan a fait capoter les négociations et n’a pas laissé Assad faire la paix avec Israël – ce qui aurait débouché sur une paix avec le Liban.

Le peuple jordanien exige régulièrement la fin du traité de paix avec Israël, et le roi le ferait peut-être, s’il n’avait pas si peur de la menace islamiste d’un côté, et de la crainte de perdre le soutien et les milliards d’aide américains de l’autre.

Dans l’islam, la paix n’existe pas

Pour les arabes, il existe trois concepts seulement pour couvrir les relations internationales, et la paix avec les juifs n’en fait pas partie.

  1. dar al-islam (littéralement, territoire de l’Islam), qui indique les régions où la loi islamique prévaut.
  2. dar al-sulh (territoire du traité), qui désigne des terres non islamiques qui ont conclu un armistice – un arrêt temporaire des hostilités – avec un gouvernement musulman.
  3. dar al-harb (territoire de guerre), désignant les terres non islamiques adjacentes, qui devront accepter l’Islam.

Vous voyez la paix, dans une de ces trois catégories ?

Pour nous, un traité de paix est un accord entre deux ou plusieurs parties hostiles, généralement des pays ou des gouvernements, qui met officiellement fin à un état de guerre entre ces parties. La religion n’entre pas en considération. Il n’est pas requis d’une des parties d’adopter la loi religieuse de l’autre.

Des deux côtés du spectre politique – et même en dehors des cercles politiques, nous sommes tous faussés par au moins deux travers.

  1. Nous éprouvons d’immenses difficultés à raisonner totalement par nous-mêmes et de façon indépendante, car nous sommes influencés par nos affinités politiques et la confiance que nous accordons à ceux, dans notre camp, qui sont supposés « savoir mieux que nous ».
  2. Pire encore, nous prenons pour argent comptant que nos vœux raisonnables sont tellement évidents, que les Arabes, forcément, les voient pour ce qu’ils sont ; qu’ils sont assez raisonnables pour être acceptés par les Arabes de bonne foi. Et si nous nous trompions ? Et s’ils étaient considérés comme un signe de faiblesse dont ils doivent profiter en exigeant toujours plus ? Rien ne confirme que les Palestiniens trouvent raisonnable de faire la paix : les sondages effectués chez les Palestiniens que j’ai lus depuis 10 ans disent tous le contraire (2). Les déclarations publiques des dirigeants traduites de l’arabe par Memri ne laissent aucune place à l’interprétation : aucun Arabe palestinien ne veut faire la paix avec un Etat juif en Palestine.

Conclusion

Alors que la conférence de Varsovie sur le Moyen-Orient vient de se terminer par l’annonce que le tant attendu plan de paix historique de Trump sera présenté le 9 avril prochain, il n’est pas très politiquement correct de le rappeler, mais les Arabes n’aiment déjà pas beaucoup les juifs, et l’idée qu’ils soient revenus s’installer sur leurs terres ancestrales, alors que l’islam doit régner sur cette région, cela leur est religieusement impossible à accepter.

Et c’est hélas le plus petit dominateur commun du conflit.

Le reste est du bavardage.

Je ne déteste pas bavarder – de tout, de rien dans l’air du vent – aussi léger que la solution de paix avec les Palestiniens.

source:

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Une élue afro-islamique au congrès américain veut que les USA condamnent Israël et prend pour exemple l’Iran

Ilhan Omar, la première femme d'origine somalienne élue à la Chambre des représentants du Minnesota a déclaré dans une interwiew pour Yahoo que les Etats-Unis devraient condamner Israël tout comme le fait l'Iran, ajoutant qu'elle "rit presque" quand elle entend dire qu'Israël est une démocratie.

Aux côtés de la démocrate du Michigan, Rashida Tlaib, (les deux premières femmes musulmanes à entrer au Congrès le 7 novembre dernier) elle soutient également la campagne de BDS (Boycott, Désinvestissement et Sanctions) contre Israël.

Comment les États-Unis peuvent-ils œuvrer en faveur d'une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens? l'a interrogée la journaliste de Yahoo.

Omar a répondu en déclarant que les Etats-Unis s'étaient toujours positionnés du côté d'Israël pendant le conflit.


"Ce qui m'agace, c'est que nous avons adopté une politique qui rend l'un supérieur à l'autre. Et nous masquons cela en parlant de justice et d'une solution à deux États, alors que vous avez des politiques qui hiérarchisent clairement l'une des deux parties par rapport à l'autre", a-t-elle souligné.

Omar a également critiqué la loi controversée sur l'Etat-nation adoptée par Israël le 18 juillet dernier (qui réaffirme le caractère juif de l'Etat hébreu), affirmant que Washington ne devrait pas être un partisan d'un Etat qui "met en œuvre une loi discriminatoire à l'égard des non-juifs et des minorités".

"Quand je vois Israël mettre en place des lois qui le reconnaissent comme un État juif et ne reconnaissent pas les autres religions et que nous le défendons toujours comme une démocratie au Moyen-Orient, je rigole presque parce que je sais que… Si cela se passait dans un autre pays, nous le critiquerions", a-t-elle ajouté.

Ihlan Omar a fui la guerre en Somalie à l'âge de huit ans. Après avoir passé quatre ans dans un camp de réfugiés au Kenya, sa famille s'est installée en 1997 dans le Minnesota, où vit une importante communauté de la Corne de l'Afrique.

Militante de la puissante organisation de défense des droits civiques NAACP, puis engagée dans la vie locale de Minneapolis, cette jeune femme télégénique avait été élue en 2016 au Parlement de cet Etat industriel situé près des Grands lacs.

"Je suis musulmane et je suis noire (...) et j'ai décidé d'être candidate parce que je voulais montrer ce qu'est une démocratie représentative", expliquait-elle en septembre au magazine Elle.

Source

La nouvelle “Naqba” palestinienne : un centre commercial qui embauche… des Palestiniens

La colère gronde au Fatah, le parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Un homme d'affaires israélien a ouvert un centre commercial à Jérusalem-Est et la plupart des employés et clients sont Arabes.

Les dirigeants du Fatah ont appelé au boycott du centre commercial.
Le Fatah que les médias occidentaux décrivent comme une organisation « modérée », agit comme n'importe quelle organisation palestinienne : empêcher la population palestinienne de tirer un avantage quelconque de sa proximité avec Israël.

Quel dirigeant au monde peut condamner un projet qui crée plusieurs centaines d'emplois ? Dans quel pays un chef d'Etat demande-t-il à son peuple de boycotter un centre commercial ou un supermarché qui propose des vêtements et de la nourriture à des prix compétitifs ? Seuls les dirigeants palestiniens qualifient de catastrophe ("nakba") un projet commercial qui facilite la vie de la population.

Rami Levy, homme d'affaires et principal actionnaire du troisième groupe de distribution israélien, a investi plus de 50 millions de dollars dans la construction d'un centre commercial dans le parc industriel d'Atarot, au nord-est de Jérusalem. Malgré les appels au boycott, des commerçants Palestiniens ont loué des magasins dans ce centre commercial qui est décrit comme un modèle de coexistence entre Arabes et Juifs. Le nouveau centre commercial comprend également un grand supermarché appartenant à la chaîne des supermarchés Levy.
Les supermarchés Levy à Jérusalem et en Cisjordanie ont plutôt la cote chez les consommateurs palestiniens tant leurs prix sont inférieurs à ceux des commerces arabes. Le 8 janvier 2019, jour de l'inauguration, des centaines de Palestiniens ont donc convergé vers le supermarché et les allées du centre commercial.

Les supermarchés israéliens embauchent des centaines de Palestiniens de Cisjordanie, ainsi que des résidents arabes de Jérusalem, et tous travaillent aux côtés de leurs collègues juifs. Selon Levy, la moitié de ses 4 000 employés sont des Palestiniens et des Arabes israéliens. « J'ai employé des Palestiniens et des Arabes israéliens dans le premier magasin Rami Levy, qui était à l'époque un simple stand à Mahane Yehuda, le marché de Jérusalem. Ce magasin a ouvert en 1976 et les Arabes ont été parmi mes premiers employés » a-t-il déclaré.

« Ces employés ont fait carrière au sein de Rami Levy Hashikma – le nom de nos supermarchés - et nombre d'entre eux occupent aujourd'hui des positions hiérarchiques. Ibrahim, un Arabe de Jérusalem-Est, est le premier que j'ai engagé il y a 35 ans. Il est aujourd'hui directeur de la logistique à Rami Levy. Nombre d'employés arabes, israéliens et palestiniens, qui ont rejoint Rami Levy, occupent des postes de direction, sans distinction de race, de sexe ou de religion. Tous les employés, Palestiniens ou Israéliens, sont traités sur un pied d'égalité et bénéficient des mêmes avantages. Les salaires sont calculés uniquement sur la base des performances et du poste. Mon objectif est d'offrir à tous les employés de Rami Levy les mêmes chances de réussite. Cet objectif ne peut être atteint que si le principe d'égalité est mis en œuvre dans tous les aspects de l'entreprise. »

Mais le Fatah de Mahmoud Abbas n'apprécie guère cette image d'harmonie au travail entre Palestiniens et Juifs. Que des travailleurs palestiniens touchent des salaires décents et soient traités avec respect par leur employeur ne leur convient pas. Et que des consommateurs palestiniens fassent la queue aux caisses de supermarchés qui proposent des produits alimentaires et non alimentaires de qualité et à des prix abordables leur déplait souverainement. Les responsables du Fatah préfèrent voir leur peuple au chômage ou payer plus cher sur le marché palestinien. Tout plutôt que de voir les Palestiniens dépenser leur argent dans un centre commercial contrôlé par un juif.

Loin de se féliciter qu'un nouveau centre commercial crée des opportunités d'emploi pour des dizaines de Palestiniens et des prix plus bas pour les consommateurs, les responsables du Fatah ont dénoncé un plan israélien pour « saper » l'économie palestinienne. « Quel triste jour pour Jérusalem ! », s'est exclamé Hatem Abdel Qader Eid, ancien responsable du Fatah. « Ce projet de centre commercial vise à saper le commerce arabe à Jérusalem et à le subordonner à l'économie israélienne ».

Les centaines de consommateurs palestiniens qui, dès le premier jour, ont envahi les allées du nouveau centre commercial n'ont pas cédé aux grimaces d'Abdel Qader Eid. Comme tous les clients du monde, les Palestiniens apprécient les produits de bonne qualité à des prix compétitifs. Leur visite n'avait donc rien de « triste ». Il était même temps qu'un centre commercial de proximité leur propose une large gamme de produits à des prix compétitifs.
Abdel Qader Eid avait toutefois raison sur un point : les investisseurs et détenteurs de capitaux palestiniens ont fait le choix de s'abstenir. « Les capitalistes palestiniens sont des lâches », a-t-il déclaré, ajoutant que les investisseurs palestiniens auraient pu bloquer le projet de Rami Levy s'ils avaient investi dans un projet palestinien concurrent. « C'est vrai qu'il y a de riches hommes d'affaires palestiniens. Ils ont beaucoup d'argent, mais sont pauvres en volonté et en éducation. »

Le responsable du Fatah a déploré que les hommes d'affaires palestiniens n'aient aucune confiance en leur peuple et préfèrent investir au loin.

Osama Qawassmeh, autre haut responsable du Fatah, a lui proféré des menaces. Tout Palestinien qui ferait ses achats dans le nouveau centre commercial ou y louerait un magasin « trahirait sa patrie » a-t-il déclaré. Il n'a pas hésité à reprendre le vieux mensonge palestinien selon lequel tout achat de produits israéliens représente un « soutien aux colonies et à l'armée israélienne ».
Les menaces du Fatah ne sont pas restées lettre morte. Le jour de l'inauguration, de jeunes palestiniens ont lancé plusieurs bombes incendiaires dans l'enceinte du centre commercial, forçant les acheteurs (palestiniens) à fuir pour sauver leur vie. Heureusement, personne n'a été blessé et aucun magasin, ni véhicule n'a été endommagé.

La campagne contre le centre commercial de Rami Levy a démarré dès l'ouverture du chantier et se poursuit encore aujourd'hui. Des menaces sont en effet proférées à l'encontre des consommateurs et commerçants palestiniens qui ont loué un magasin dans le nouveau centre commercial. Les voyous qui ont attaqué le site avec des bombes incendiaires auraient pu blesser ou tuer des Palestiniens. Ces voyous, vraisemblablement affiliés au Fatah, préfèrent que leur peuple meure plutôt que de se distraire ou acheter des produits à prix attractifs dans un centre commercial israélien.
Cette campagne de haine et d'intimidation, révèle une nouvelle fois le vrai visage du Fatah d'Abbas. Comment croire qu'Abbas ou l'un de ses lieutenants pourrait conclure une paix avec Israël quand ils ne tolèrent pas que Palestiniens et Juifs travaillent et œuvrent en commun ?
Si acheter un litre de lait israélien est considéré comme une trahison, quel sort réserverait le Fatah au premier Palestinien qui oserait discuter d'un compromis avec Israël ? S'il a de la chance, une bombe incendiaire tentera de l'intimider. S'il n'a pas de chance, il sera pendu en place publique. Une attitude qui en dit long sur l'attitude des Palestiniens envers un quelconque processus de paix.

Bassam Tawil, un arabe musulman, est basé au Moyen-Orient.

Israël dénonce George Soros et soutient la Hongrie : “Il est une menace.”

Christian Hofer : Contrairement à ce que prétend Reuters, cela ne vise pas à rapprocher Israël de la Hongrie puisqu'Israël avait déjà dénoncé Soros par le passé (sources ici et ici). On est très loin du "philanthrope" que les médias de gauche tentent sans cesse de nous vendre.

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Israël soutient la Hongrie : le financier Soros est une menace.

Le ministère israélien des Affaires étrangères a publié une déclaration dénonçant le milliardaire américain George Soros, une mesure qui semblait destinée à rapprocher davantage Israël de la Hongrie avant la visite du Premier ministre Benjamin Netanyahou à Budapest la semaine prochaine.

Soros, un juif d'origine hongroise qui a dépensé une grande partie de sa fortune pour financer des groupes [...] (Christian Hofer : Je censure ici la propagande de gauche visant à transformer cet individu en "philanthrope".), a été pris pour cible à plusieurs reprises par le gouvernement hongrois de droite, en particulier pour son soutien à une immigration plus ouverte.

Dans le dernier cas, le Premier ministre Viktor Orban a soutenu une campagne dans laquelle Soros est pointé du doigt comme un ennemi de l'Etat : "Ne laissons pas Soros rire le dernier" disent des panneaux publicitaires à côté d'une photo de l'investisseur de 86 ans. Les associations juives ainsi que d'autres groupes prétendent que cette campagne encourage l'antisémitisme.

Soros, qui parle rarement des attaques personnelles à son encontre, n'a pas commenté les panneaux d'affichage, mais des groupes juifs hongrois et Human Rights Watch, une organisation partiellement financée par Soros, ont condamné la campagne, affirmant qu'elle "évoque les souvenirs des affiches nazies pendant la Seconde Guerre mondiale".

L'ambassadeur d'Israël en Hongrie a publié une déclaration dans laquelle il dénonce la campagne, affirmant qu'elle "évoque de tristes souvenirs, mais qu'elle sème aussi la haine et la peur", une référence apparente au rôle de la Hongrie dans la déportation de 500 000 Juifs pendant l'Holocauste.

Mais quelques heures plus tard, le ministère israélien des Affaires étrangères a publié une "clarification" déclarant que Soros était une cible légitime des critiques.

"La déclaration (de l'ambassadeur) ne visait nullement à délégitimer la critique de George Soros, qui sape continuellement les gouvernements démocratiquement élus d'Israël." a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Emmanuel Nahshon, ajoutant que Soros finançait des organisations "qui diffament l'Etat juif et cherchent à lui refuser le droit de se défendre."

(...)

Reuters.com

Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch