Prisons : 7 détenus sur 10 seraient musulmans

Réalité ou intox ? Selon un rapport de l'administration pénitentiaire que nous avons pu consulter grâce à l'ouverture d'esprit d'un directeur d'un établissement, 50 % des détenus ont sollicité un plateau repas spécial lors du dernier ramadan contre 27,5 % de détenus, en 2016, qui avaient demandé un repas spécial ramadan . Cette estimation doit aussi comporter une pondération chiffrées, puisque tous les musulmans ne pratiquent pas nécessairement le ramadan, et une partie des détenus musulmans purgent leur peine sous bracelet électronique à leur domicile.

Ces chiffres sont alarmants, car le gouvernement Castex affirme que les étrangers en France (ils ne sont pas tous musulmans) ne représentent que "7 % de la population totale". Sur cette base, je vous laisse calculer les taux de criminalité entre les communautés.

De manière plus globale, l'évaluation pénitentiaire de 60 % ou 70% de prisonniers musulmans, souvent citée par le candidat patriote Eric Zemmour, correspond à une estimation obtenue après une enquête sociologique  du sociologue Farhad Khosrokhavar. Ces chiffres ont une base réelle et officielle.

Le 19 mars 2021, lors d'un débat avec l'humoriste Yassine Belattar sur CNews, Eric Zemmour avait déclaré que "70 % de la population en prison est musulmane". Interrogé par l'animateur Pascal Praud sur la source de ces statistiques, le journaliste du Figaro déclarait les tenir d'un "rapport parlementaire".

Déjà en 2014, "Cette estimation de 60 %" avait été confirmée par le rapport du député UMP de l'Yonne Guillaume Larrivé.

L'ouvrage du sociologue Farhad Khosrokhavar paru en 2004 confirme, dès cette époque, le taux très élevé de détenus musulmans. Farhad Khosrokhavar avance que dans les prisons françaises, le taux de prisonniers musulmans dépasse "souvent les 50 %, avoisinant parfois les 70 %, voire les 80 % dans les prisons proches des banlieues, soit huit prisonniers sur dix".

A la lumière de cet éclairage chiffré, l'élection présidentielle, qui se joue dans deux mois, est un véritable choix de société. Soit la France poursuit sa politique d'accueil de millions de migrants supplémentaires et se doit de construire des prisons pour les années à venir. Soit l'électorat français fait confiance à Eric Zemmour, homme de conviction et de parole pour stopper la criminalité et la délinquance d'origine étrangères dans notre pays. Chaque français a les clés de l'avenir entre ses mains via son bulletin de vote.

 

Macron a accueilli 1,8 à 2 millions de migrants supplémentaires

A deux mois de l'élection présidentielle, le député européen Brice Hortefeux, invité de la matinale de Sud Radio, voici quelques jours, a affirmé : "la France n’a jamais accueilli autant de migrants sur son territoire et j'estime qu’il y en a 1,8 million de plus qu’au début du quinquennat d’Emmanuel Macron". Eric Zemmour, pour sa part, avance le chiffre de 2 millions.

L'ancien ministre de l'intérieur Brice Hortefeux a détaillé l'invasion migratoire : "la réalité du bilan de la politique migratoire d’Emmanuel Macron. c’est que, un, il n’y a jamais eu autant d’étrangers sur notre territoire, dans notre histoire. Ça ne s’est jamais produit. Au total, sur le quinquennat, cela fera globalement 1,8 million de migrants supplémentaires sur notre territoire, autour de cela. Il y a les titres de séjour, de l’ordre de 270.000, les demandeurs d’asile autour de 100.000, vous avez les clandestins à peu près 40.000 par an, et ainsi de suite. Donc vous arrivez à ce que je vous dis. Il n’y aurait pas eu la crise du Covid, on serait à 2 millions."

Nous avons vérifié. Et ça tombe bien puisque le bilan annuel des chiffres clés de l’immigration du ministère de l’Intérieur est tombé la semaine dernière.

Inter titre : Il y a les titres de séjour, de l’ordre de 270.000 par an.

C’est vrai. Brice Hortefeux connait ses chiffres. En 2021, 271.675 titres de séjour ont été délivrés, soit une hausse de 21,9 % par rapport à 2020 (année Covid).

Inter tire : Les demandeurs d’asile sont autour de 100.000 par an.

C’est vrai. 104.577 premières demandes en guichets uniques ont été déposées, contre 81.531 en 2020, soit une hausse de 28 %. Y a bon la France, ses allocations familiales, ses logements gratuits, ses APL, ses aides diverses. Il faut bien utiliser les impôts des contribuables !

Vous ajoutez à tout ça les clandestins, à peu près 40.000 par an, et ainsi de suite…

C’est là que ça se complique. Qui dit clandestin, dit personne en situation irrégulière, qui souvent se cache, et qui par définition est difficile à compter. Donc les chiffres fournis par le ministère de l'intérieur sont très inférieurs à la réalité et ne reflètent pas la réalité de l'invasion migratoire.

Ce que l’on sait, c’est que près de 200.000 migrants clandestins sont arrivés dans l’Union européenne l’an dernier, le chiffre le plus élevé depuis 2017, selon Frontex, l’agence européenne des frontières.

Inter titre : 600 000 à 700 000 clandos selon le ministre Darmanin

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin a indiqué dans le journal Le Parisien qu’il estimait à 600.000 à 700.000 le nombre de clandestins. Durant la période du gouvernement Hollande, le nombre de clandestins en France était estimé à 300.000 personnes.

Les chiffres du ministre de l'intérieur confortent l'estimation d'Eric Zemmour qui défend, bec et ongle, le chiffre de 2 millions de migrants supplémentaires depuis le début du quinquennat de Macron. Eric Zemmour connait ses dossiers dans le cadre de sa campagne de reconquête.

En 2020, environ 320.000 personnes bénéficient de l’AME (Aide médicale de l’État), selon le gouvernement Castex. Ce chiffre parle de lui-même.

Inter titre : 2021 : 52 000 migrants "pagaient" pour traverser la manche

En 2021, 52.000 migrants ont tenté la traversée clandestine de la Manche vers la Grande-Bretagne, dont 28.000 ont réussi à rallier les côtes anglaises, selon le ministère de l’Intérieur. 1 002 migrants naufragés au large de Calais et mis à l’abri en 2021 contre 341 en 2020, soit une augmentation de 194 %, selon l’Ofii (Office français immigration intégration).

 

Nos sources

– Caisse Nationale d'Assurance Maladie

_ Ministère de la Santé

Ined

– Insee

– Nations Unies

– Organisation internationale pour les migrations

– Ministère de l’Intérieur

– Pew Research center

– Global migration data analysis centre

La Montagne

Nous sommes absorbés par le débat autour du vaccin, alors qu’une terrible invasion nous pend au nez

Albert Coroz: Résumé de l’interview du 27.07.2021 de Georg Spöttle, analyste politique germano-hongrois. Ancien officier des services secrets, ayant également servi en Afghanistan, Georg Spöttle donne son avis sur la chaîne hongroise M1.

Georg Spöttle résume la situation en Afghanistan. Les États-Unis, l’Allemagne partent, la Norvège et les Pays-Bas vont partir sous peu, la Hongrie avait été appelée en renfort pour sécuriser l’aéroport de Kaboul mais ces troupes hongroises savent que la situation ne sera bientôt plus tenable. Toutes ces armées occidentales laissent énormément d’armements derrière elles.
Les talibans, de leur côté, sont également très bien équipés en matière d’armements. Ils occupent les trois quarts du pays, et la population des régions occupées est en mouvement, se déplace vers les zones moins dévastées. C’est une migration de masses interne que nous n’imaginons pas. En Iran, au Pakistan, les camps de réfugiés se remplissent.
Mais les Afghans en fuite ne veulent de toute façon pas rester en Iran, encore moins au Pakistan, ils ne veulent pas plus rester en Turquie, ils veulent presque tous se mettre en route vers l’Europe.

Actuellement, dans le chaos afghan, il y a des victimes civiles par milliers, même parmi les enfants.
Tous ceux qui ne capitulent pas devant le régime radical périssent.

Aujourd’hui, 120'000 Afghans vivent en Allemagne et comme dit Spöttle, ce n’est pas une clientèle facile. Bien au contraire, ils sont en tête de liste de la criminalité la plus violente, et le récent crime atroce commis en Autriche par quatre Afghans sur une ado de 13 ans, droguée, violée, assassinée, va agir sur les élections à venir en 2022. Merkel sait que la survie de son alliance CDU-CSU est en jeu et a déjà déclaré que l’Allemagne ne voulait pas de réfugiés afghans.
Pendant ce temps, les Allemands sont préoccupés par la transition énergétique, les Verts sont très populaires et planifient la fin de la voiture thermique dès 2030.

Inéluctablement, les talibans vont prendre le pouvoir en Afghanistan, ils vont se battre contre des chefs de tribus, également très bien armés. Ceux-ci vont en effet s’opposer aux talibans, qui les empêchent d’amasser des sommes colossales à travers la drogue. Il y aura des surprises à ce niveau, car ils peuvent financer des armées privées. Penser que les Occidentaux puissent agir là-bas est illusoire.
Les talibans veulent que les femmes ne sortent pas de leur maison, il n’y aura que des écoles coraniques, etc, ce sera le retour au 7ème siècle. […]

***

Extrait de l'article à propos de la lettre ouverte de plusieurs médias américains au Président Biden, demandant des visas spéciaux pour les Afghans ayant travaillé pour la presse américaine:

Qu'en est-il du danger auquel sont confrontés les dizaines de millions d'Afghans qui n'ont pas travaillé pour des organismes de presse américains ? La lettre affirme que les talibans « considèrent la presse américaine comme une cible légitime ». Sans aucun doute. Mais les talibans considèrent également comme des cibles légitimes tous ceux qui s'écartent de leur vision islamiste extrémiste.

Les hommes qui ne portent pas la barbe (ou dont la barbe est jugée trop courte), les femmes qui vont à l'école ou qui ne portent pas la burka, toute personne qui souhaite regarder des films ou la télévision ou écouter de la musique, toute personne qui soutient d'autres autorités politiques ou religieuses - tous sont des cibles. Qu'adviendra-t-il des dizaines de millions d'Afghans qui ne font pas partie du New York Times ou du Boston Globe et qui ne bénéficieront pas d'un programme spécial de visas pour les emmener en sécurité ? [...]

*****
À la frontière hongroise, le 27 juillet, une quinzaine de migrants ont attaqué les forces de l’ordre avec violences (blessés légers). Cette année, la Hongrie a déjà empêché l’entrée illégale de 50'000 migrants. La Hongrie sait que ces événements vont se multiplier et la population réclame pour les gardes-frontière le droit de tirer. Laszlo Földi a dit récemment que des garde-frontière sans droit de tirer ne sont que des décors d'opérette.

Bientôt les Américains vont se retirer d’Irak, ce qui va déclencher une autre vague de réfugiés vers l’Europe, et bien des événements encore imprévisibles.

Des îles Salomon, de l’Inde, du Bangladesh, d’Afrique,... d'innombrables personnes vont partir vers l'Europe pour demander l'asile.

Partout la pression migratoire maritime vers l’Europe augmente également et pendant ce temps, partout en Europe, le débat entre gouvernements et oppositions, porte sur l’enjeu vaccinal.

(En Hongrie, toute l’opposition, de l’extrême droite à l’extrême gauche, est unie pour militer contre la vaccination et, d’une manière générale, contre tout ce que le gouvernement décide en matière sanitaire.)

En Suisse aussi, le débat sur le vaccin s’éternise :

Vaccination contre le Covid-19 – Payer les indécis pour qu’ils se vaccinent? Le tabou tombe
(24h/tdg - article sous abonnement).

Bernard Hirschel, président de la Commission cantonale vaudoise d’éthique de la recherche, répond le 27.7.2021 au problème de discrimination dont se plaignent les non-vaccinés. Ses arguments en résumé:

Sans billet, vous ne pouvez pas aller au cinéma, et y allumer une cigarette est interdit car vous mettriez en danger les autres, on vous priera de sortir. En quoi est-il plus discriminatoire de demander un certificat à l’entrée? Les vaccinés sont moins contagieux, c’est une réalité. Ceux qui ne veulent pas de vaccin doivent assumer leur choix sans mettre la santé d’autrui en danger.

 

Nous abondons dans le sens de B. Hirschel et ajoutons ceci :L’Europe se rapproche à grands pas d’une bataille majeure, consistant à éviter une invasion qui fera ressembler le Camp des Saints à une promenade de santé.
Les ONG , la gauche et les médias continuent leur business pro-asile et leur propagande migratoire, alors qu’il est minuit moins deux.

Albert Coroz

Le Danemark veut “exporter” ses demandeurs d’asile en Afrique – les ONG et l’UE crient au scandale

liens vers l'audio et la vidéo: En réponse au Pacte migratoire...

France24.com : Grégoire SAUVAGE

Le parlement danois a adopté jeudi une loi lui permettant d’ouvrir des centres pour demandeurs d’asile à l’étranger. Une mesure très controversée qui illustre le durcissement depuis plusieurs années de la politique migratoire du Danemark, où le gouvernement social-démocrate chasse sans états d’âme sur les terres de l’extrême droite.

Le Danemark poursuit son objectif "zéro demandeur d’asile" sur son territoire. Une loi a été adoptée, jeudi 3 juin, par 70 voix contre 24, pour lui permettre d’externaliser les demandes de protection, peut-être au Rwanda, pays avec lequel les discussions semblent les plus avancées.

Concrètement, un immigré clandestin posant le pied au Danemark serait enregistré puis directement renvoyé vers un pays tiers pour l’examen de sa demande. En cas de refus, il devra quitter le pays hôte. Cependant, s’il obtient le statut de réfugié, les portes du royaume nordique ne s’ouvriront pas pour autant. Le texte précise que "le Danemark n’aura pas à fournir de protection au cas où l’étranger obtiendrait l’asile (…) En revanche, la protection devra être assurée par le pays tiers concerné".

Des exceptions seront possibles pour les personnes malades mais pas pour les mineurs isolés. Inspirée par le modèle australien, toute la procédure sera confiée au pays tiers, moyennant finance.

Dès l’annonce de l’adoption du texte, l’Union européenne a fait part son "inquiétude". "Le traitement externe des demandes d’asile soulève des questions fondamentales concernant à la fois l’accès aux procédures d’asile et l’accès effectif à la protection", a déclaré un porte-parole de la Commission.

[...]

Pour le moment, les contours du projet restent encore flous car aucun pays n’a accepté ce partenariat mais les discussions seraient bien avancées avec le Rwanda qui avait un temps envisagé d'accueillir des demandeurs d'asile pour le compte d’Israël.

"Il est bien trop tôt pour savoir si le Rwanda acceptera une telle proposition car nous ignorons ce que le Danemark offre en échange", explique Hans Lucht, chercheur à l’Institut danois d’études internationales, joint par France 24. D’autres pays ont été cités comme l’Égypte mais il est improbable qu’un pays nord-africain accepte un tel accord qui serait très impopulaire auprès de son opinion publique", précise ce spécialiste des questions de migration.

"Le Parlement (rwandais) ne l'a pas encore discuté" et "si jamais cela arrive au Parlement, je voterai contre car je considère que c'est contre les valeurs humaines", a déjà prévenu Frank Habineza, député rwandais d'opposition interrogé par l’Agence France Presse.

Décourager les réfugiés

Depuis plusieurs semaines, le projet est sous le feu des critiques des associations de défense des droits humains qui dénoncent une remise en cause de la convention de Genève de 1951 sur le droit d’asile.

De son côté, Mattias Tesfaye, le ministre de l’Immigration, lui-même fils de réfugié, assure que le système sera désormais "plus humain et équitable". Le gouvernement explique que cette externalisation doit permettre de réduire le nombre de personnes exposées à des violences et des abus sur les routes migratoires.

Un argument balayé par les ONG danoises et le Haut-Commissariat aux réfugiés des Nations unies (HCR) pour qui cette mesure n’empêchera en rien les migrants de traverser la Méditerranée au péril de leur vie. "Ils tenteront simplement leur chance dans un autre pays. Au final, cela pourrait être lucratif pour les passeurs", explique Hans Lucht. "Le véritable objectif, c’est de décourager les réfugiés de demander l’asile au Danemark."

Depuis plusieurs années, le Danemark multiplie les mesures dissuasives pour limiter l’immigration : retrait du permis de séjour de Syriens parce que leurs régions d'origine seraient désormais sûres, durcissement d'une loi anti-ghettos visant à plafonner le nombre d'habitants "non occidentaux" dans les quartiers…

Le riche pays nordique avait également défrayé la chronique en 2016 en prévoyant de saisir les objets de valeur des migrants pour financer leur séjour. Comme le rappelle le site InfoMigrant, cette dernière disposition a finalement été peu appliquée et a rapporté une somme dérisoire aux finances publiques.

>> À (re)voir sur France 24, notre Reporters : Au Danemark, les réfugiés syriens menacés d'expulsion

Toutes ces mesures peuvent surprendre alors que le Danemark n’a enregistré que 1 547 demandes d’asile en 2020, soit le chiffre le plus bas depuis 1992. Le petit pays de 5,8 millions d’habitants ne compte d’ailleurs aujourd’hui que 20 000 réfugiés sur son sol. Plus surprenant encore, c’est un gouvernement de centre gauche qui est au pouvoir au Danemark depuis 2019.

Quand la gauche gouverne à droite

Clivantes dans la plupart des pays européens, les questions d’immigration font consensus au sein de la classe politique danoise, sous la pression du parti populaire danois, une formation d’extrême droite.

"Bien que le Parti populaire danois n’ait jamais fait partie d’un gouvernement, ses représentants ont passé les deux dernières décennies à utiliser leurs mandats dans un seul but : ils ne votent pour des projets de loi concernant d’autres questions que s’ils obtiennent en contrepartie des mesures restrictives sur les étrangers", analyse Michala Clante Bendixen, présidente de l’association Refugees Welcome Denmark.

Depuis son arrivée à la tête du parti social-démocrate, l’actuelle Première ministre, Mette Frederiksen, défend un dialogue approfondi avec l’extrême droite et a fait du rejet de l’immigration, un thème central de son discours.

Selon elle, les migrants représenteraient une menace pour l’État-providence danois. "Nous devons nous assurer que peu de gens viennent dans notre pays, sinon notre cohésion sociale ne peut prévaloir", estime-t-elle.

"C’est relativement nouveau de voir les sociaux-démocrates adopter les politiques anti-migratoires de l’extrême droite. Cette stratégie leur a permis de remporter le vote de la classe ouvrière qui s’inquiète de la perte des acquis sociaux bien plus que de l’image de nation ouverte et progressiste associée au Danemark", affirme Hans Lucht, qui n’exclut pas un effet domino en Europe.

"D’autres pays comme l’Autriche, la France ou le Royaume-Uni ont déjà réfléchi à des solutions similaires. Mais si le Danemark parvenait à ses fins, certains gouvernements pourraient être tentés de mener une politique migratoire similaire avec, au final, une remise en cause du droit d’asile tel que nous le connaissons aujourd’hui en

source: https://www.france24.com/fr/europe/20210603-le-danemark-veut-envoyer-ses-demandeurs-d-asile-en-afrique

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voir aussi:

letemps.ch: Le Danemark veut transférer ses demandeurs d’asile dans d’autres pays

matin.ch: Le pays veut exporter ses demandeurs d’asile hors d’Europe Les demandeurs d’asile seraient placés dans des pays tiers, au frais du Danemark.

UE: Une nouvelle approche en matière de migration: instaurer un climat de confiance et un nouvel équilibre entre responsabilité et solidarité

Extrait du communiqué de presse 23 septembre 2020 Bruxelles:

La Commission européenne propose un nouveau pacte sur la migration et l'asile qui englobe l'ensemble des différents éléments nécessaires à une approche européenne globale de la migration Ce pacte définit des procédures qui ont été améliorées et accélérées pour l'ensemble du système d'asile et de migration. Il établit en outre un équilibre entre les principes de partage équitable des responsabilités et de solidarité. Cet aspect est essentiel pour rétablir la confiance entre les États membres et la confiance dans la capacité de l'Union européenne à gérer la migration. [...]

Témoignage émouvant d’un berger grec dont les migrants illégaux dérobent et abattent le bétail

Le berger grec Fotis Giounis vit près du grand camp de réfugiés de Kara Tepe (ou Mavrovouni) sur l'île de Lesbos.

Récemment, il a livré un témoignage émouvant, expliquant comment les migrants illégaux volent et dépècent constamment ses animaux.

"Ma mère ne m'a jamais vu pleurer à propos de ces choses", a déclaré Giounis. "J'ai créé tout cela [en allant vendre du lait] avec mon vélo. J'ai vécu sous tente cinq mois, et eux, ils ont tout détruit en deux heures."

"Je ne veux pas qu'on me donne des animaux ou des réparations. Je veux ma tranquillité, pouvoir rentrer chez moi sans devoir m'inquiéter", poursuit-il.

"Nous, les bergers, ne pouvons pas émigrer", a-t-il souligné.

"Tout cela est arrivé parce que je suis rentré chez moi pendant trois heures. Je ne peux plus rentrer chez moi."

Le berger a ensuite expliqué qu'il était rentré chez lui pour quelques heures seulement, mais qu'à son retour, cinq autres animaux de son troupeau avaient été massacrés.

Quinze autres avaient été tués la semaine précédente.

"Ils [les migrants] bénéficient de l'aide sociale. Et moi, comment suis-je censé vivre ? Un troupeau entier est massacré."

https://twitter.com/thedukeoriginal/status/1371389456918413313

Dans une interview précédente, Giounis soulignait que "des groupes de personnes armées errent ici dans les montagnes, épiant nos fermes - et apparemment, ils sont habiles à utiliser des couteaux."

Il se demandait également comment des centaines de kilos de viande avaient pu entrer dans le camp sans qu'on se pose de questions.

https://twitter.com/thedukeoriginal/status/1363981656852492291

Source : Greek Shepherd Gives Emotional Testimony About How Illegal Immigrants Are Slaughtering His Flock - Greek City Times

Traduction Cenator

L’invasion n’avance pas au hasard.

Le général Gomart patron du renseignement militaire, l’explique.

Rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles. Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) est chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire. Le général 4 étoiles a expliqué,  en ouverture du colloque Geoint, qui s’est tenu à la Société de géographie, à Paris, les 11 et 12 septembre derniers, comment rien du trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français. Suite

 

Submersion migratoire : chronique d’une tragédie annoncée

Par le Général Martinez

Il y a quelques jours, le général italien Vicenzo Santo, interrogé par un journaliste sur la submersion migratoire actuelle, affirmait : « il suffit d’utiliser l’armée pour la mission qui est à l’origine de sa création, celle de défendre nos frontières. Il est tout à fait possible de mettre le holà à cette immigration désordonnée et massive. En quelques jours, l’armée italienne pourrait y mettre fin ».

Suite sur Riposte Laïque

Les Africains arrivent – d’autres pays se réveillent – la majorité du Conseil fédéral continue de dormir

Par Adrian Amstutz adrian-amstutz

 

L'Italie est submergée depuis des mois par des migrants clandestins en provenance d'Afrique et arrivant par la Méditerranée. La question est de savoir combien de temps ces gens resteront en Italie, car leurs objectifs véritables, ce sont des Etat sociaux généreux comme l'Allemagne, l'Autriche et la Suisse.

Grâce à l'accord de réadmission que la Suisse a conclu séparément avec l'Italie, 25 000 personnes[1], que le Corps des gardes-frontière a interceptées l'an passé principalement à la frontière sud de la Suisse, ont encore pu être renvoyées en Italie.

L'UDC et ses élus fédéraux demandent depuis des mois l'intervention de gendarmes militaires formés pour soutenir le Corps des gardes-frontière et renvoyer les personnes tentant de franchir illégalement la frontière. La majorité du Conseil fédéral reporte sans cesse les propositions correspondantes des ministres UDC.

L'Autriche, en revanche, a décidé d'agir. Le ministre autrichien de la défense prévoit de stationner 750 soldats près du col du Brenner pour intervenir au cas où le nombre de migrants en provenance d'Italie continue d'augmenter[2]. Des véhicules blindés sont déjà arrivés sur place.

Au détriment de la sécurité intérieure

Les projets annoncés par le Conseil fédéral pour le cas où le nombre de requérants d'asile augmente rapidement à la frontière sud sont plutôt inquiétants. D'une part, le Corps des gardes-frontière a retiré du personnel des autres frontières du pays pour les envoyer dans le sud. Résultat: les autres régions du pays sont moins bien contrôlées, ce que les bandes de voleurs et de trafiquants de drogues exploitent immédiatement. D'autre part, la conseillère fédérale Sommaruga et son département de justice et police veulent envoyer 50 policiers cantonaux à la frontière sud, si on ne parvient plus à retenir les migrants. Résultat: la sécurité intérieure des cantons est affaiblie.

Ces réactions hésitantes face à une crise dont on sait qu'elle va s'aggraver à brève échéance sont proprement irresponsables.

Le nombre de migrants économiques illégaux augmente rapidement

Le nombre de migrants entrés illégalement en Suisse a massivement augmenté entre les mois de janvier et de mai cette année et la même période de 2015. Les autorités ont interpellé 11 912 personnes qui sont entrées clandestinement en Suisse, un nouveau record. Durant la même période de 2015 ce chiffre était encore de 7063[3]. Le nombre de demandes d'asile a cependant baissé en 2017. Ces chiffres étayent l'hypothèse selon laquelle de nombreux d'immigrants clandestins se cachent chez leurs compatriotes en Suisse et ne déposent pas de demande d'asile ou alors se servent de la Suisse comme pays de transit, ce qui est également illégal.

L'attractivité de la Suisse comme pays de destination est toujours beaucoup trop grande face aux migrations massives en direction de l'Europe. La prétendue baisse du nombre de demandes d'asile ne doit pas faire oublier qu'un énorme potentiel migratoire s'est constitué aux frontières de l'UE, au Proche Orient et en Libye. Ces masses humaines se déverseront tôt au tard sur les principaux pays de destination, à savoir l'Allemagne, l'Autriche et la Suisse. Il existe également un gros potentiel de migration à l'intérieur de l'Europe, notamment en Italie, mais aussi en Allemagne[4].

Protéger les frontières nationales

L'Allemagne a été le premier Etat Schengen à réintroduire des contrôles frontaliers en septembre 2015 entre la Bavière et l'Autriche. L'Autriche, le Danemark, la Suède et la Norvège ont suivi l'exemple. Lorsque les contrôles aux frontières extérieures de l'UE sont inefficaces, la frontière nationale doit redevenir une frontière extérieure. Selon des comptes rendus de la presse[5], la police allemande a exécuté, grâce au renforcement des contrôles frontaliers, 673 mandats d'arrêt pour des actes pénaux avant le sommet G20 et samedi, 8 juillet 2017 à minuit, des arrestations qui n'ont pas de rapport avec le sommet. Les autorités suisses, elles, se contentent d'attendre et d'espérer que cela aille mieux un jour.

L'UDC demande enfin l'engagement de gendarmes militaires à la frontière sud, la mise en alerte d'unités adéquates de l'armée, si nécessaires de troupes effectuant leur service de répétition, d'hélicoptères équipés d'appareils de vision nocturne ainsi que des mesures de construction pour empêcher les passages frontaliers illégaux.  De surcroît, il faut enfin communiquer ouvertement et honnêtement en Suisse et à l'étranger que la frontière suisse est étanche et que l'entrée de migrants clandestins et autres faux réfugiés n'est plus tolérée.

Si la majorité du Conseil fédéral continue de dormir et d'attendre que des dizaines de milliers de migrants et requérants d'asile déferlent sur la Suisse en l'espace de quelques jours – que ce soit pour demander l'asile en Suisse ou pour transiter par le pays – la majorité de centre gauche du Conseil fédéral, emmenée par la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga, sera pleinement responsable de la catastrophe qui se dessine d'ores et déjà en matière de migration.

Source UDC suisse


[1] Réponse du Conseil fédéral à la question urgente 17.1038 du CN Thomas Aeschi.

[2] "20 Minuten" du 04.07.17

[3] "20 Minuten" du 14.06.17

[4] Secrétariat d'Etat à la migration, Statistique de l'asile 1er trimestre 2017, page 2

Le Matin : nouveau sermon en faveur de l’invasion migratoire

Cléa Favre sévit à nouveau dans LE MATIN ce samedi 8 juillet 2017 :

«  LES ONG, CES PARFAITS BOUCS EMISSAIRES »

« ASILE : L’Europe veut mettre au pas les organisations qui sauvent les migrants en Méditerranée. Pourtant, elles remplissent une mission abandonnée par Bruxelles.

Interdiction d’entrer dans les eaux libyennes ou d’émettre des signaux lumineux pour faciliter le départ des embarcations de migrants, obligation de dévoiler ses sources de financement  ou d’accueillir à bord de son navire les officiers de justice qui enquêtent sur les trafics d’être humains... [...]

Ce recadrage a lieu dans un climat de critiques et d’incriminations graves ouvert en décembre dernier déjà par l’agence européenne Frontex. Celle-ci avait alors évoqué une collusion possible : des navires des ONG récupéreraient directement les migrants en mer depuis les embarcations des passeurs. Frontex accusait aussi les organisations de « soutenir » l’action des réseaux criminels, en prenant en charge les migrants toujours plus près des côtes libyennes, amenant les passeurs à charger davantage les bateaux, sans fournir suffisamment d’eau et de carburant. [...]

Toutes ces allégations ont été balayées en mai dernier par une commission d’enquête du Sénat. Mais « le mal est fait et les dégâts d’images restent», déplore Aurélie Ponthieu, chargée d’affaires humanitaires à Médecins sans frontières.

Reste un argument tenace : celui de créer un « appel d’air ». « Là encore, il n’y a aucune preuve que les sauvetages encouragent les traversées. Les arrivées augmentent en permanence depuis 2014, donc bien avant la présence des ONG », contre-argumente Aurélie Ponthieu. [...] »

 

Puis Cléa Favre interviewe Sarah Progin-Theuerkauf, professeur en droit européen des migrations à l’Université de Fribourg, Fabienne Lassalle, directrice générale adjointe de SOS Méditerranée, et Christin Achermann, de l’Université de Neuchâtel.

Sarah Progin-Theuerkauf: « L’Union Européenne est dépassée. L’Italie n’en peut plus. Il faut un bouc émissaire. »

« Fabienne Lassalle va plus loin. Pour elle, il s’agit clairement d’une diversion. « Bruxelles veut porter l’attention ailleurs, alors qu’elle est en train de renforcer son appui aux gardes-côtes libyens. Une stratégie à laquelle nous nous opposons.» […]

« SOS Méditerranée s’insurge aussi contre le fait que les menaces de groupes d’extrême droite ne font pas l’objet de condamnation publique. Pas même début juin, quand des militants ont cherché à empêcher l’« Aquarius » de quitter le port pour une mission. « Si l’on ne peut plus faire notre travail, la seule chose qui va changer, c’est qu’il y aura davantage de morts », conclut Aurélie Ponthieu. »

 

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Cet article, sur deux pages, est illustré par un bateau pneumatique rempli à ras bord d’Africains, avec la légende : « Les ONG craignent des restrictions de la part de l’Europe, qui les empêcheraient de sauver des vies »

Cléa Favre pense aux vies des Africains qui se déversent sur l’Europe, jamais elle n’aura une petite pensée pour les autochtones européens qui ont été/sont/seront massacrés lors d’attentats djihadistes, ni aux contribuables européens mis en esclavage pour entretenir ses dangereux protégés parasites qui sont en train de détruire à jamais la civilisation occidentale millénaire.

Cléa Favre fait partie de la même clique à but « alimentaire » que celle des ONG et des soi-disant spécialistes des migrations. Tous se nourrissent du désastre de l’invasion. Elles s’octroient le droit de cataloguer comme « extrême droite » tous les opposants à leur projet mortifère et les jugent condamnables.

De plus, en s’affichant comme des juges moraux désintéressés et soucieux du bien commun, elles prétendent être du côté du bien.

Malgré leurs salaires très confortables, tant au niveau matériel qu’en termes de reconnaissance sociale, elles n’admettront jamais qu’elles défendent leur croûte et des idées de l’extrême gauche.

Cenator, 10 juillet 2017

Ex agent des services secrets hongrois : « Les populations occidentales ne savent plus ce qu’est une invasion, ni ce qui leur arrive »

Publié par Dreuz info le 14 juin 2016

Földi Làszlo, ancien agent des services secrets hongrois, spécialiste de sécurité intérieure, interviewé sur la 1ère chaîne de TV hongroise le 12.06.2016 :

Földi explique qu’il craint davantage «l’après EI» que la situation actuelle, car tant que l’ennemi est visible, on peut le combattre.

Si l’EI est vaincu et disparaît, l’Europe se retrouvera dans une situation équivalente à celle de l’Afghanistan ou de l’Irak, situation dans laquelle les Occidentaux ont gagné … mais n’ont pas gagné la paix.

Dans cette situation, les djihadistes seront disséminés dans les pays européens, un peu partout, et représenteront une armée invisible. Les pays européens se retrouveront engagés dans une guerre d’usure qui risquera de durer très longtemps.

Le but final des musulmans est la conquête du Monde et chaque action des djihadistes, chaque détail de la religion musulmane est subordonné à ce but final.

Földi explique que le vrai danger ne réside pas dans le risque d’attentats mais dans le fait que les politiques n’ont pas résolu le problème du flux ininterrompu de musulmans envahissant l’Europe.

Dans cette invasion migratoire, certaines personnes viennent avec l’intention de commettre des attentats, elles sont formées pour cela et pour créer le chaos sur le continent.

Une fois arrivés en Europe, pour beaucoup la frustration devient omniprésente, frustration résultant d’attentes irréalistes insatisfaites.

Ces frustrés, ces déçus, ont l’impression de s’être fait avoir et ils veulent faire payer à autrui cette frustration afin de ne pas être les seuls à assumer les conséquences de leurs espoirs déçus.

Par ailleurs, des millions de ces envahisseurs ont franchi illégalement les frontières des pays européens … et sans être sanctionnés pour cela. Dans leurs pays d’origine, les lois sont bien plus sévères, leurs infractions susmentionnées sont considérées comme des délits … et ils interprètent le laxisme des autorités occidentales comme une sorte de blanc-seing pour de futures actions illégales.

La conjonction de ces trois facteurs va amener, très prochainement, l’Europe dans une situation très grave.

Enfin, les populations occidentales ne savent plus ce qu’est une invasion, l’absence d’expérience à ce sujet ne leur permet pas de comprendre l’essence de ce qui leur arrive.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Kandel pour Dreuz.info.

Source originale : http://www.mediaklikk.hu/video/ma-reggel-2016-06-12-i-adas-4/

Source pour la traduction française : Dreuz info

Jean-Yves Le Gallou : « L’invasion migratoire est un phénomène historique majeur » [Interview]

Les Observateurs : Quelle est votre solution pour sortir de la crise migratoire actuelle ?

Jean-Yves Le Gallou : Il y a un certain nombre de préalables pour sortir de la situation d'invasion migratoire dans laquelle on se trouve. Le premier préalable c'est que c'est le sujet le plus important, à la fois d'un point de vue historique et d'un point de vue électoral.

D'un point de vue historique, quand on se penche sur l'histoire de la fin de l'Empire Romain, on ne s'intéresse pas au cours du sesterce ni au marché unique qui existait entre l’Écosse et la Sicile. Ce qui a produit la fin de l'Empire Romain, ce ne sont pas les causes économiques, ce sont les grandes invasions. Les grandes invasions de la fin de l'Empire Romain c'étaient quelques pourcents de migrants sur quelques siècles, aujourd'hui ce sont quelques dizaines de pourcents sur quelques dizaines d'années. Il faut bien comprendre que c'est un phénomène historique majeur et c'est aussi le ressort électoral majeur des Français, en tout cas ceux qui sont attachés à la défense de leur identité. La logique du système est de déporter le débat vers les questions économiques qui sont secondaires au regard des questions identitaires.

Les solutions elles ne sont pas techniques, il faut changer de paradigme. Aujourd'hui on est dans une société où on développe la culpabilisation des Français, la culpabilisation des Européens en fonction d'une lecture culpabilisante des événements passés, que ce soit la Seconde Guerre Mondiale, la colonisation, l'esclavage, etc. Il faut sortir de cette culpabilisation, sortir de cette repentance et avoir la fierté de notre histoire, la fierté de notre civilisation européenne et chrétienne.

Le deuxième changement de paradigme, c'est de passer d'une logique individualiste des droits de l'Homme à une logique du droit des peuples à défendre leur identité. Il ne faut pas avoir uniquement un raisonnement en terme de droit individuel mais en terme de vision collective.

Le troisième changement de paradigme, il faut que l'on sorte de la dictature des juges pour revenir à la démocratie et que les lois sur l'immigration soient faites par le peuple, directement par référendum. Aujourd'hui, tout ce qui se fait en terme d'immigration est décidé par les juges, le juge administratif ou le juge judiciaire.

Quatrième changement de paradigme, c'est la mise en place d'un système de préférence nationale, c'est-à-dire d'avantages en termes de droits économiques et sociaux pour les ressortissants nationaux.

Et le cinquième paradigme, c'est la préférence de civilisation. On ne peut pas mettre sur le même plan dans l'enseignement de l'histoire, dans la vie de tous les jours, dans la culture, notre civilisation et des civilisations venues d'ailleurs. On ne peut pas mettre sur le même plan le Christianisme et l'Islam, tout simplement parce que le Christianisme fait partie de notre histoire alors que l'Islam est une religion étrangère, qui, d'ailleurs, a toujours été en conflit historique avec nous.

Il y a un changement global de perspectives. Il faut ensuite arrêter toute immigration nouvelle, en tout cas en provenance des pays pour lesquels l'assimilation ne s'est pas faite, et engager une politique de remigration, c'est-à-dire de retour progressif des immigrés présents en Europe et qui ne sont pas assimilés.

Les Observateurs : Mais cela nécessite avant tout une prise du pouvoir ?

Jean-Yves Le Gallou : Je pense que ça suppose d'abord un changement dans les mentalités. Aujourd'hui le pouvoir c'est le pouvoir judiciaire et le pouvoir médiatique. Sur la question de l'immigration, aujourd'hui le pouvoir politique ne pèse rien, il y a les médias qui font l'opinion en montrant des images manipulées. Par exemple, 80 % de ce qu'on appelle les « migrants » sont des hommes jeunes entre vingt et trente-cinq ans, ils ont le profil de conquérants, d'envahisseurs mais ce qu'on nous montre à la télévision et dans les images de l'AFP ce sont des femmes, des enfants. Il y a donc une manipulation de l'opinion qui est faite par les médias et deuxièmement, les décisions sont prises par les tribunaux. Sur une centaine d'obligations  de quitter le territoire français (OQTF) prises par l’État, il n'y a même pas 3 % qui sont appliquées. Ce n'est plus l’État qui décide, ce sont les juges.

Les Observateurs : Là vous parlez de la France mais dans d'autres pays européens, comme la Hongrie, c'est bien le pouvoir politique qui agit contre cette immigration...

Jean-Yves Le Gallou : Oui mais la Hongrie s'est inscrite dans une logique différente, les Hongrois ont changé la constitution, ils ont introduit la défense des valeurs européennes et chrétiennes dans la constitution.

Propos recueillis par Jordi Vives

Des avocats gratuits pour stopper l’invasion migratoire ?

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Par Jean-Luc Addor,
conseiller national et avocat, Savièse (VS)

 

Depuis que la loi sur l’asile est entrée en vigueur en 1980, la politique suisse de l’asile est une interminable faillite. A peine une révision entre-t-elle en vigueur qu’aussitôt, le Parlement fédéral met en route la suivante.

Celle sur laquelle nous devrons voter le 5 juin, c’est juste un énième bricolage législatif dont tout indique qu’une fois de plus, il sera inefficace pour endiguer l’invasion migratoire qui submerge l’Europe et la Suisse également.

Un projet qui repose sur de fausses données

D’abord, la soupe que Mme Sommaruga a réussi à faire avaler à presque tous les partis (sauf l’UDC!) a été préparée pour traiter 24’000 demandes d’asile par an. Or il y en a eu près de 40'000 l’an dernier et on en attend 60'000 en 2016 (plus du double qu'initialement prévu!).

Mais surtout, cette loi Sommaruga, plus encore que de la poudre aux yeux, c’est un grand mensonge. On nous dit d’abord que les procédures seront accélérées. Mensonge ! Qui, en effet, a déjà vu que l’intervention d’un avocat abrège une procédure ? Et qui peut croire que l’intervention systématique d’un avocat aboutira à un autre résultat qu’aux Pays-Bas, où l’on enregistre environ 90% de recours ?

Cette loi Sommaruga ne rendrait pas la Suisse plus attractive pour les millions de miséreux qui rêvent de rejoindre notre Eldorado… Mensonge ! Les filières qui amènent ces gens chez nous leur laisseront évidemment miroiter ce que beaucoup de Suisses ne peuvent pas se payer : un avocat gratuit (ou plutôt à nos frais !). Les « migrants » qui hésiteraient encore à venir en Suisse y seront plutôt encouragés.

On nous parle des victimes de la guerre en Syrie. Et qui se présente à nos frontières ? Pour l’essentiel, des hommes, et des hommes jeunes. Où sont les femmes et les enfants ? Et où sont les chrétiens d’Orient persécutés, voire égorgés ? On ne voit guère, à nos frontières, parmi les demandeurs d’asile syriens, que des musulmans. Ces Syriens ne sont encore que 12% parmi les demandeurs d’asile contre 45% d’Erythréens et d’Afghans. Là encore, on nous trompe.

Pas d’avantage de renvois

Et puis, à quoi bon des procédures plus rapides puisque de toute manière, pas un demandeur d’asile débouté, pas un immigré clandestin de plus qu’aujourd’hui ne sera effectivement refoulé hors de Suisse ? Là encore, les Suisses doivent connaître la vérité : sous réserve d’une poignée de demandeurs refoulés en exécution de l’accord moribond de Dublin (à peine 6%), il faut bien se dire que du jour où ces « migrants » qui affluent chez nous entrent en Suisse, ils n’en repartiront jamais.

Alors que faire ?

Eh bien, il faut d’abord dire NON, le 5 juin, à une loi qui exposera encore plus notre pays à l’invasion migratoire. Ayons ensuite le courage de dire que la Suisse n’a aucune obligation morale d’accueillir sans limite tous les miséreux et les persécutés de la planète. Osons dire que ce n’est pas un droit de toute personne où qu’elle se trouve sur cette terre de choisir librement son pays de résidence comme dans un libre-service. Aidons les vrais réfugiés, ceux qui sont vraiment persécutés. Privilégions l’aide sur place au lieu de les encourager à venir chez nous. Finissons-en avec les accords moribonds de Schengen/Dublin, qui ne nous apportent guère que la libre circulation des criminels et des immigrés. Et dans l’immédiat, rétablissons enfin, avec l’aide de notre armée, de vrais contrôles aux frontières.

Jean-Luc Addor

Toutes les informations: www.avocats-gratuits-non.ch

L’UE veut imposer une amende de 250 000 euros pour chaque clandestin refusé par les pays membres

Ndlr : la dictature se met en place...

Face à la sécession généralisée des pays européens devant faire face à l’invasion migratoire, l’UE a annoncé vouloir sanctionner les états-membres refusant d’admettre contre leur gré des millions de clandestins musulmans.

La Commission Européenne a indiqué vouloir imposer des sanctions économiques de l’ordre de 250 000 euros par migrant clandestin, croit savoir le Financial Times.

Bruxelles entend ainsi imposer dans la durée des millions de migrants du tiers-monde, essentiellement africains et orientaux.

La Commission Européenne tente depuis des mois, avec l’appui de Berlin, de contraindre les pays d’Europe centrale et orientale à accepter un mécanisme contraignant d’implantation de clandestins musulmans.

Andreas Glarner voit une «invasion de réfugiés»

Le nouveau spécialiste de l'UDC sur l'asile préconise des mesures radicales.

Il prévoit une «invasion de réfugiés», veut donc hérisser la frontière suisse de haies de barbelés et appelle les communes à refuser les requérants d'asile: Andreas Glarner, nouveau spécialiste de l'UDC sur l'asile, préconise des mesures radicales.

Article complet

 

Invasion migratoire par ponts aériens!

Ci-dessus, dessin de Miège

 

Dénoncé par l’auteur du 7ème Scénario et de la 8ème Plaie*. Ce 4 avril le pont aérien migratoire entre l’Asie et l’Europe entre en activité, d’abord à une échelle expérimentale et rassurante. Communication oblige, les premiers avions ont débarqué les heureux élus à Hanovre, en Allemagne. Discrétion oblige, la presse n’a pas mentionné les aéroports concernés en France, aux Pays-Bas et en Finlande, certainement des aéroports internationaux desservant la Turquie. Communication oblige, les premiers amenés sont des familles avec enfants. Discrétion oblige, les jeunes hommes seuls, qui constituent l’essentiel des flux manoeuvrés par la Turquie, ne commenceront à être amenés qu’après que les journalistes aient fait leur moisson de photos familiales émouvantes et quitté les aéroports.

Suite sur Délits d'im@ge

« Nous n’avons pas à faire à une migration, il s’agit d’une invasion »

Mardi 1er mars, l’expert en sécurité László Földi a donné une interview sur M1 Ma reggel (1ère chaîne de télé hongroise) au sujet des évènements qui se sont produits à la frontière gréco-macédonienne. 

Rappel des faits : Une partie de la clôture a été abattue par des « migrants », lundi matin. La police macédonienne, avec des gaz lacrymogènes, a essayé de stopper ces masses (env. 25’000 personnes), mais beaucoup ont pu forcer le barrage et se déverser sur le territoire macédonien. Les autorités ont envoyé des renforts sur place, des unités spéciales avec des hélicoptères ont surveillé la frontière, et ils ont déployé des canons à eau pour défendre la clôture.

Le journaliste demande à Földi : Sommes-nous assis à l’envers sur notre cheval ?

Nous les aidons alors qu’ils exigent … et si leurs attentes ne sont pas satisfaites ils cassent les barrières. En même temps, ils revendiquent être pacifiques.

Est-ce qu’on ne devrait pas extraire de ces masses les meneurs qui incitent les foules à l’émeute ? Ça va mal finir !

(Selon László Földi, un phénomène similaire à ce qui s’est passé à Röszke (Hongrie), l’an dernier se déroule à la frontière macédonienne.)

Les migrants ont tenté de forcer le cordon policier, ce que les autorités hongroises ont essayé d’empêcher, alors que la police serbe a regardé passivement tout cela. Pourtant, on peut considérer cela comme un crime dans les deux pays…

La convention de Genève s’applique aux soldats, pas aux prisonniers de guerre qui sont des saboteurs ou des espions. Pour agir efficacement, il faudrait tout d’abord reconnaître que nous sommes en guerre.

Les Serbes et les Grecs devraient également protéger leurs frontières.

Encore une fois, il est important de définir la situation. Ici, nous n’avons pas à faire à une migration, ou des migrations, il s’agit d’une invasion. 

La caractéristique d’une invasion, c’est que vous pouvez la prévenir mais pas la stopper. Si, avec l’invasion, la Grèce tombe, les autres pays vont subir le même sort.

László Földi : 

On ne peut pas envoyer sur les lignes de combat les soldats sans ordre de tirer (…), on ne peut pas les engager dans un combat juste en montrant qu’ils ont des armes, sans ordre de tirer. Ceci ne fera qu’exciter encore plus les foules d’envahisseurs en face. Dans leurs pays, montrer des armes ne fait pas peur à ceux qu’on appelle bien sûr « des réfugiés », … chez eux l’arme n’est pas utilisée pour donner un signe d’intimidation mais pour être utilisée. Sans pouvoir se servir des armes, il n’y a aucun effet dissuasif. Actuellement nous n’avons aucun ordre de tirer …

Je ne dis pas que les soldats doivent être déployés pour tirer, le but n’est pas d’avoir des morts, mais je vous dis que si nous déployons l’armée avec des armes sur la ligne de front, ça doit être accompagné d’un ordre de tirer. 

Et à l’heure actuelle, il n’y a pas d’ordre pour tirer, en Europe.

László Földi précise qu’il sera encore plus important de ne plus utiliser des symboles qui excitent la foule des envahisseurs … et surtout ceux qui contrôlent cette foule. 

De toute façon, dit Földi, la foule va payer les frais de l’invasion, … qu’ils restent ici ou qu’ils rentrent chez eux. Dans ce contexte, il aurait été plus important de prévenir l’invasion que d’essayer de la stopper [une fois commencée]

Selon László Földi, les mots antérieurs d’Angela Merkel, selon lesquels les Allemands ne doivent pas changer de politique migratoire, politique « qui est parfaitement adaptée à la situation », ne sont pas une invitation, mais doivent être plutôt considérer comme une incitation à une invasion généralisée.

Földi ajoute qu’il n’y a pas un contexte ressemblant à une situation de guerre en Macédoine … mais il y a bien une guerre en cours :

Alors que l’une des parties, les envahisseurs, a pris note de ce fait, l’autre partie ne l’a pas fait. Mais lorsqu’Angela Merkel, sera capable d’admettre qu’une politique bien intentionnée sur l’asile a pris fin, on pourra alors changer de langage, on ne parlera plus de trafiquants d’êtres humains, mais de saboteurs de guerre, parce qu’on appelle ainsi ceux qui attaquent la protection des frontières.

Selon la Convention de Genève, le statut de prisonniers de guerre ne concerne pas les espions et les saboteurs, afin qu’ils puissent être retirés immédiatement du système.

Cependant, aujourd’hui, les trafiquants d’êtres humains, les passeurs sont protégés par des foules d’avocats qui assurent leurs avenirs. (ND : Grâce aux Droits de l’Homme et à l’assistance judiciaire gratuite, octroyée, selon les conventions européennes…)

Le revenu annuel des passeurs en 2015 a été au minimum de 15 milliards d’euros

György Nogràdi, également spécialiste de la sécurité, a dit que le revenu annuel des passeurs en 2015 a été au minimum de 15 milliards d’euros. Selon György Nogràdi, les passeurs sont environ 30’000. Si nous connaissons leur nombre, nous devrions alors également savoir qui ils sont, comment ils opèrent. Ne pourrait-on pas alors les arrêter et les extraire du système ?

D’autre part, c’est de la responsabilité des Grecs que l’on n’arrive pas sur ses côtes sans avoir les deux documents requis : un passeport et un visa. Celui qui ne disposerait pas de ces documents ne devrait pas pouvoir fouler une terre de l’Europe.

László Földi n’arrive pas non plus à comprendre le comportement de la Turquie, membre de l’OTAN. 

Son rôle n’est pas de faire du chantage mais, selon les conventions, la Turquie serait obligée d’empêcher l’invasion de son propre chef, indépendamment du fait qu’il y ait un « dédommagement » ou non. Un éventuel « dédommagement » est une toute autre question que les États membres de l’OTAN devraient, selon leurs intérêts bien compris, fournir, ou non, à la Turquie. 

Cependant, comme les Turcs ne font rien, l’appartenance de la Turquie à l’OTAN devrait être suspendue … comme un exemple à montrer aux autres membres.

Ce n’est pas sorcier de comprendre ce qui doit être fait le long des frontières.

Si nous sortions dans les rues pour protester, sans autorisation, les policiers feraient tout pour nous disperser immédiatement, et nous pourrions être arrêtés. […] si nous forcions radicalement les frontières, nous pourrions être abattus par l’autre côté.

Aujourd’hui, cependant, tout le monde est terrifié par la colère de Bruxelles, et emporté par le courant politique d’Angela Merkel, ce qui est très difficile à briser, parce que si quelqu’un voulait prendre un autre chemin (par exemple suivre l’exemple des pays du V4) il serait considéré comme un collabo avec l’ennemi, alors que les réels ennemis sont ceux qui collaborent à l’invasion. 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © P. Kandel pour Dreuz.info.

Source

L'interview originale comprend des séquences vidéo prises au poste frontière d'Idomeni (3:07-6:35):

http://www.hirado.hu/2016/03/01/foldi-loparancs-kellene-a-hataron/