Immigration illégale: stopper le laisser-faire des villes de gauche

Les immigrants illégaux n’ont pas droit à une autorisation de séjour en Suisse. Néanmoins, ils profitent de notre système financé par les impôts et taxes de la population laborieuse. La notion de « sans-papiers » créée par la gauche sert en fait à minimiser le problème de l’immigration illégale. Il faut mettre fin à cette situation intolérable. L’UDC a déposé une série d’interventions parlementaires afin que les clandestins soient enfin traités pour ce qu’ils sont: des personnes qui violent nos lois et qui doivent donc immédiatement quitter la Suisse.

Dans les villes gouvernées par la gauche surtout, les immigrants illégaux ne sont pas seulement tolérés, mais accueillis à bras ouverts: ils peuvent envoyer leurs enfants à l’école, louer des logements et la police reçoit l’ordre de fermer les yeux. Certaines villes comme Zurich vont même plus loin en envisageant d’offrir aux clandestins des droits supplémentaires avec ladite « City Card », une sorte de document d’identité communal.

L’UDC s’oppose avec détermination à ces pratiques. Il est hors de question qu’une personne qui viole nos lois et séjourne illégalement en Suisse soit récompensée par une police qui détourne le regard et par des avantages financés par les contribuables. Le groupe parlementaire fédéral UDC a donc déposé aujourd’hui durant cette session spéciale une série d’interventions pour mettre fin à cette politique illégale du laisser-faire voulue par la gauche.

Voici les exigences concrètes de l’UDC:

  • modifier la loi fédérale sur l’assurance-maladie (LAMal) afin que les personnes qui vivent illégalement et sans autorisation de séjour en Suisse soient exclues de l’obligation de s’assurer. Les frais de santé de ces personnes devront désormais être assumés par les communes (et les cantons) qui tolèrent ces agissements illégaux.
    Initiative
  • les bases légales doivent être adaptées afin que les immigrants illégaux ne bénéficient plus de prestations de l’AI.
    Initiative
  • l’obligation d’annoncer imposée aux autorités doit être étendue: les institutions de formation de même que les principaux supports du système d’assurance sociale comme les caisses maladie, les caisses de compensation et les institutions de la prévoyance professionnelle devront à l’avenir informer les services des étrangers de la Confédération et des cantons lorsqu’ils ont connaissance de la présence d’immigrants clandestins. Les échanges de données entre les autorités et les assurances sociales doivent être systématisés.
    Initiative
    Initiative
  • des contrats importants comme des contrats de travail, des contrats de location, des comptes bancaires, des contrats de téléphonie mobile, etc. ne pourront être conclus qu’en présence d’une attestation de domicile d’une commune.
    Initiative
  • la commune de domicile qui tolère la présence de clandestins doit en assumer intégralement les coûts.
    Initiative
  • les bases légales doivent être adaptées afin d’interdire des documents d’identification communaux et cantonaux pour les clandestins, comme lesdites « City-Cards ».
    Initiative
  • les sanctions pénales frappant les employeurs, services de placement et propriétaires immobiliers qui engagent des immigrants illégaux, leur procurent des emplois ou leur louent un logement doivent être durcies.
    Initiative
  • le Conseil fédéral doit résilier le « Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels » de l’ONU qu’il a signé en 1991. Ensuite, il signera à nouveau ce pacte avec la réserve que tous les droits qui y sont mentionnés ne valent que pour les personnes en séjour légal.
    Initiative

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/stopper-le-laisser-faire-des-villes-de-gauche/

La Russie somme les migrants en situation irrégulière de quitter le territoire

Comme le rapporte le média russe indépendant The Moscow Times, la Russie a ordonné aux étrangers en situation irrégulière, originaires des États post-soviétiques, de quitter le pays avant le 15 juin.

[…] Un million de migrants sont ainsi concernés par cette annonce. À la mi-décembre, le président russe Vladimir Poutine avait prolongé le statut de résident des citoyens étrangers vivant en Russie jusqu’au 15 juin 2021, en raison de la pandémie de coronavirus. Cette mesure concernait les migrants originaires des pays de la Communauté des États indépendants (CEI) vivant en Russie sans documents appropriés.

« Ces personnes seront punies par l’expulsion… »

« Ces personnes seront punies par l’expulsion et la fermeture des frontières si elles ne partent pas avant la date limite du 15 juin », a indiqué l’agence de presse RIA Novosti citant le vice-ministre de l’Intérieur Alexandre Gorovoï. Selon les données du ministère de l’Intérieur, plus de 332 000 migrants illégaux originaires d’Ouzbékistan résident actuellement en Russie, ainsi que 247 000 originaires du Tadjikistan, 152 000 d’Ukraine, 120 000 d’Azerbaïdjan, 115 000 du Kirghizstan, 61 000 d’Arménie, 56 000 de Moldavie et 49 000 du Kazakhstan.

source: https://www.valeursactuelles.com/monde/la-russie-somme-les-migrants-en-situation-irreguliere-de-quitter-le-territoire/

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États-Unis : des immigrantes enceintes déplacées d’un centre à l’autre à la frontière sud – sans doute pour être dispersées de là dans tout le pays

Dans cette vidéo, on voit une longue file d’une cinquantaine de jeunes femmes, la plupart enceintes, certaines avec un enfant, et toutes probablement des immigrées illégales, qui sont déplacées comme un troupeau d’un centre d’accueil fermé vers un centre du Secours catholique non loin de là. Cela se passe durant la nuit, dans une ville située à la frontière sud.

Dans la vidéo, il est dit qu’on leur a pris leurs téléphones – probablement pour qu’on ne puisse pas les localiser.

Article entier : Shocking Video of Pregnant Illegal Aliens Moved Around at Night on Southern Border – Then Being Prepped for Travel Across the Country – The Gateway Pundit

Résumé Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

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Vidéo de Nash Montana, d'immigrantes enceintes déplacées comme du bétail la nuit à la frontière sud.

-17 avr. 2021 - : sous-titres disponibles

Une vidéo incroyable montrant le mouvement des immigrants illégaux à la frontière sud a été publiée aujourd'hui. On y voit une cinquantaine de filles, dont la plupart sont enceintes, toutes probablement des immigrantes illégales, être déplacées d'un endroit à l'autre dans une ville frontalière.

Les filles sont expédiées d'une installation clôturée à l'installation de Catholic Charities à un pâté de maisons de là. Elles sont emmenées de nuit, certaines avec des enfants à bord.

Dans la vidéo, il est indiqué que les téléphones des femmes sont confisqués. Le vidéaste demande si c'est pour qu'on ne puisse pas les localiser. Il est choquant que cela se produise en Amérique.

2 millions de clandestins attendus d'ici la fin de l'été 2021 ; environ 42 millions de plus attendus. Le génocide blanc continue.

Aucun pays ne peut résister à une telle invasion.

Espagne : hausse de 700% de l’immigration illégale aux Canaries en une année

L’Espagne est une destination toujours plus prisée des migrants africains qui espèrent entrer illégalement dans l’Union européenne.

Bien que l'itinéraire habituel des migrants africains passe par l’Italie ou par Malte, on observe que l’Espagne commence à recevoir plus de migrants que jamais. Ces derniers mois, l’Italie et Malte ont fermé leurs ports aux migrants clandestins en raison du Covid-19, ce qui en fait des cibles moins attrayantes. Les navires des ONG pro-migrants ont également réduit leurs opérations en Méditerranée, ce qui entrave encore plus les efforts des migrants.

Pour tenter d’atteindre l’Espagne, les migrants partent donc d’Afrique occidentale et s’engagent sur l’Atlantique dans l’espoir d’atteindre les îles Canaries, une région autonome sous juridiction espagnole. Point le plus proche, les Canaries ne se trouvent qu’à 100 kilomètres à l’ouest de la côte marocaine. Cette route est cependant plus dangereuse que la Méditerranée, car les vagues sont beaucoup plus hautes.

Plus de 50 migrants africains ont été interceptés dimanche 18 mai au large des côtes de l’île de Gran Canaria, rapporte Reuters. Un bateau de pêche avait repéré le canot des migrants et informé les garde-côtes espagnols, qui les ont ensuite secourus.

La Croix-Rouge, qui a pris en charge les migrants, a indiqué qu’ils étaient tous de sexe masculin et originaires de pays subsahariens. On pense que 35 d’entre eux ont moins de 18 ans. Le personnel de la Croix-Rouge a pris leur température par mesure de précaution contre le coronavirus.

Le ministère espagnol de l’intérieur a indiqué que l’immigration clandestine aux Canaries a augmenté de près de 700 % cette année par rapport à la même période de l’an dernier. Fin avril, 1 936 migrants y étaient arrivés ; l’année dernière, ils étaient  243.

L’Espagne a aussi pris des mesures de répression contre les passeurs. En début d’année, elle a procédé à 26 arrestations.

Source : Voice of Europe
Résumé Cenator

Stopper l’immigration illégale en renforçant le contrôle des frontières

Le nombre de personnes entrées illégalement en Suisse a fortement baissé grâce à l’intensification des contrôles aux frontières pour combattre la propagation du coronavirus. L’UDC demande que ce dispositif soit maintenu afin d’endiguer l’immigration clandestine.

Les contrôles et restrictions d’entrée imposés aux frontières en raison du Covid-19 ont provoqué une forte baisse des entrées et séjours illégaux en Suisse. Depuis l’introduction de ces mesures, le nombre de séjours illégaux constatés par les autorités a reculé de 55 à 80%.

Cela fait des années que la Suisse est submergée par des personnes entrant illégalement dans le pays. Actuellement on estime que plus de 100’000 individus vivent clandestinement dans notre pays. Or, les chiffres les plus récents prouvent l’efficacité des contrôles rigoureux effectués par les gardes-frontière avec le soutien de l’armée: en avril dernier on comptait 217 entrées clandestines contre 1116 durant le même mois de l’année précédente. Au mois de mars 2020 on en dénombrait encore 517. Dix cas présumés d’activités de passeurs ont été enregistrés en avril contre 31 le mois précédent. Selon les indications de l’Administration fédérale des douanes (AFD), les agissements de bandes de passeurs ont diminué de 67% par rapport à la même époque de 2019. Depuis le début 2020, le nombre de séjours clandestins décelés a atteint 2830 contre 4598 entre janvier et avril 2019.

En votant le 27 septembre prochain sur l’initiative de limitation, le peuple suisse pourra faire son choix à la lumière des expériences faites avec la crise Covid-19, donc décider que la Suisse gère à nouveau elle-même l’immigration sur son territoire pour que les Suissesses et les Suisses ne se sentent pas étrangers dans leur propre pays et empêchent les immigrants de piller leurs institutions sociales.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/stopper-limmigration-illegale-en-renforcant-le-controle-des-frontieres/

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voir aussi:

L'UDC demande des mesures policières efficaces contre le terrorisme
18.05.2020
La Commission de politique de sécurité du Conseil national (CPS-CN) examine aujourd'hui un projet de loi autorisant... lire plus
Communiqué de presse
Le code de procédure pénale inadapté doit enfin être corrigé
15.05.2020
Il est urgent de réviser le code de procédure pénale suisse. La loi actuelle protège les délinquants... lire plus
Communiqué de presse
Non à une extension des mesures de soutien du Conseil fédéral
04.05.2020
Avec l'ouverture aujourd'hui de la session parlementaire extraordinaire, le Conseil fédéral doit lever le droit d'urgence. Parallèlement,... lire plus

Defend Europe. Ils veulent financer un bateau pour lutter contre l’immigration illégale et les passeurs

16/05/2017 –06H45 Catane (Breizh-info.com) – Nous relations il y a peu les relations ambigües entre certaines ONG pro immigration et les mafias qui organisent les trafics d’êtres humains entre l’Afrique et l’Europe . Pour y faire face, certains jeunes Européens, Italiens, Français, Autrichiens, Anglais, ont décidé de réagir.

Suite

Génération Identitaire à Catane pour arrêter les ONG complices de l’immigration illégale

Des identitaires français, italiens, allemands et autrichiens se sont mis hier soir dans le port de Catane en travers de la route d'un navire d'une ONG qui remorque les embarcations d'immigrés clandestins.

 

L'attitude des ONG telles que celle-ci est irresponsable et criminelle. Irresponsable car elle participe de l'immigration massive qui cause tant de problèmes en Europe. Criminelle car elle encourage les immigrés clandestins à prendre des risques considérables en traversant la mer dans des embarcations de fortune, causant ainsi de nombreuses morts.

Par cette action les militants présents sur place ont tenu à démontrer que les identitaires sont toujours en première ligne pour défendre l'Europe contre l'immigration massive.

Suite à leur arrestation par les garde-cotes italiens, plusieurs militants ont été détenus et feront probablement face à des suites judiciaires qui s'ajoutent aux nombreux frais d'organisation. Vous pouvez les soutenir ici.

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2016 : Hausse des entrées irrégulières en Suisse

Durant l'année 2016, le corps des gardes-frontière a dénombré 48'838 entrées irrégulières en Suisse, contre 31'038 en 2015. Des renvois ont été ordonnés dans plus de la moitié des cas (26'644).

Le Tessin est le canton le plus concerné. Sur les 48'838 entrées irrégulières, plus de deux tiers (33'844) ont eu lieu dans le canton italophone.

En 2016, les entrées irrégulières émanaient principalement de migrants africains, avec les Erythréens très nettement en tête (12'294). Suivent les ressortissants gambiens (3845), guinéens (3814), nigérians (3150), éthiopiens (2747) et somaliens (2643).

Pic en été

C'est aux mois de juillet et d'août que le nombre de ces entrées a atteint un pic, avec respectivement 7412 (6134 au Tessin) et 7482 (6209), indique mardi l'Administration fédérale des douanes (AFD) qui a publié sa statistique annuelle.

Un an plus tôt, c'était en novembre (4487) que les gardes-frontière avaient recensé le plus d'entrées irrégulières, suivi d'octobre (3568) et de septembre (3420).

ats/rens

Source RTS

Comment réagir face à l’immigration illégale par la frontière sud? Communiqué UDC Suisse

Le groupe parlementaire UDC s'inquiète devant l'afflux de migrants notamment par la frontière méridionale de notre pays. Nombre d'entre eux entrent sans être contrôlés en Suisse, déposent une demande d'asile, puis disparaissent dans la nature.

 

Ce genre de migration, parallèlement à un nombre croissant d'assistés sociaux, a généré à beaucoup d'endroits en Europe des ghettos, une forte criminalité ainsi que des tensions sociales, culturelles et économiques. En Suisse également, on assiste à l'émergence de tels ghettos avec les conséquences négatives que l'on connaît, soit en particulier la formation d'une couche sociale d'étrangers pauvres qui pendant des générations vivront de l'aide sociale. Nous ne pouvons assister les bras croisés à ce développement. Le groupe UDC a donc décidé lors de sa séance d'hier de déposer une interpellation urgente libellée comme suit:

"Le nombre de personnes interpellées par le Corps des gardes-frontière (CGF) en franchissant illégalement les frontières suisses a massivement augmenté ces dernières semaines. A en croire des comptes rendus des médias, les migrants continuent d'affluer en Italie, si bien que la pression sur la frontière méridionale de la Suisse augmentera sans doute.

Face à cette situation nous posons les questions suivantes:

1. Les ressources personnelles du CGF suffisent-elles face à une telle affluence à remplir la tâche légale de cette institution, à savoir protéger la frontière suisse contre des passages illégaux (requérants d'asile)? Comment se présentera la situation si le nombre de migrants continue d'augmenter? Quelles mesures faut-il prendre?

2. L'infrastructure est-elle suffisante dans la situation actuelle? Faut-il la renforcer face à une nouvelle escalade de cette migration de peuples vers l'Europe? Le CGF peut-il être déchargé par des mesures de construction par analogie à ce que fait l'Autriche?

3. Comment fonctionne la coopération du CGF avec des partenaires et d'autres acteurs, notamment le SEM, les autorités cantonales sur place, l'Italie et l'Allemagne?

4. Selon des comptes rendus des médias, des ONG soutiendraient les migrants lors de leur entrée illégale en Suisse? Comment faut-il apprécier de telles activités? Les agissements de ces ONG peuvent-ils être poursuivis pénalement?

5. Est-il exact que les mêmes personnes cherchent plusieurs fois à entrer en Suisse? Annoncent-elles de faux noms et présentent-elles de faux papiers? Des tromperies de ce genre ont-elles des conséquences légales ou procédurales?

6. Est-il exact que des migrants, qui ont déjà vécu quelque temps en Italie, tentent d'entrer en Suisse pour y déposer une demande d'asile? Quels sont les motifs de ces personnes et comment la Confédération y réagit-elle?

7. Comment la situation s'est-elle développée ces derniers mois? Quelles informations peut-on donner concernant le nombre, l'âge, le sexe et les pays d'origine des immigrants?

8. Toujours selon les médias, de nombreux migrants disparaissent dans la nature après avoir franchi illégalement la frontière et annoncé le dépôt d'une demande d'asile. Est-il exact que bon nombre d'entre eux poursuivent leur voyage vers l'Allemagne? Comment est-il possible qu'ils puissent disparaître dans la nature et comment les procédures et compétences sont-elles réglées? Comment l'Allemagne réagit-elle?

9. Comment le Conseil fédéral entend-il réagir si un nombre croissant d'immigrants illégaux, qui initialement voulaient poursuivre leur voyage, s'installent comme clandestins en Suisse?"

Source UDC

L’immigration illégale des Kosovars est en train d’exploser

Le Kosovo s'enfonce de plus en plus dans le marécage de l'arbitraire et de la corruption. Et une émigration de masse en est la conséquence. Une fois de plus, la soi-disant "frontière de Schengen" se révèle être une passoire. L'immigration illégale de Kosovars en Suisse augmente de façon drastique.

Le Conseil fédéral avait cru en son temps jouer un rôle de pionnier quand il avait, avec une rapidité inconsidérée, reconnu diplomatiquement le Kosovo comme état indépendant. Aujourd'hui le résultat est clair : la Berne fédérale a commis une grave erreur en se précipitant ainsi.

Avant la gestion irréfléchie du dossier "Kosovo", la Suisse, pour reconnaître diplomatiquement un état étranger, suivait des règles claires : elle n'a jamais reconnu des régimes, mais uniquement des Etats. Un Etat, pour être reconnu, doit disposer d'un territoire ayant des frontières clairement définies. Le gouvernement d'un état qui souhaite être reconnu doit pouvoir démontrer qu'il gère son territoire national en entier et qu'il est en mesure de le défendre.

Dans le cas du Kosovo, le ministère des affaires étrangères de l'époque - alors sous la direction de Miche­line Calmy-Rey - était parti du principe qu'une reconnaissance rapide aurait accéléré la mise en place d'un véritable Etat alors que, au contraire, pour le reconnaitre, il aurait fallu qu'il soit déjà un état constitué...

Le Conseil fédéral se trompait : malgré le fait que certains pays l'aient reconnu, le Kosovo, jusqu'à aujourd'hui, n'a pas réussi régler le problème paralysant du pouvoir des clans, pouvoir caractérisé par une grave corruption. Face aux clans qui dominent le Kosovo, des structures propres à un état de droit, même partielles, n'ont pu être mises en place. Qu'une telle situation décourage les investisseurs étrangers est compréhensible. Jusqu'à aujourd'hui, le Kosovo n'a pas réussi à se sortir de la pauvreté.

Plusieurs pays de l'Europe occidentale, dont la Suisse, sont en train de goûter au revers de la médaille : un Kosovo paralysé où dominent les éléments criminels des bandes au pouvoir. La paralysie du Kosovo s'amplifie par l'exode des jeunes  indispensables au développement économique de leur pays. Il faut souligner que la vie et l'intégrité physique de ces immigrés venant du Kosovo n'est absolument pas menacée, mais ce qu'ils cherchent en Europe occidentale, ce sont de meilleures conditions de vie, surtout si c'est à la charge des autres... Donc, ces gens n'ont aucun droit à l'asile. Et malgré ça, l'immigration illégale des Kosovars en Suisse est en constante augmentation, ce qui nous démontre encore une fois que les accords de Schengen auxquels la Suisse a adhéré sont parfaitement inefficaces face à la croissance de l'immigration illégale. C'est un ridicule tigre de papier.

La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga, responsable des questions inhérentes à l'immigration, donc aussi de l'immigration illégale garde un silence embarrassé. Attend-elle des instructions de Bruxelles avant de retrouver la parole et la volonté d'agir ?

Pourquoi ne tape-t-elle pas du poing sur la table, à Bruxelles ? Si l'UE n'est pas capable d'appliquer efficacement les accords de Schengen et d'empêcher les passages illégaux des frontières, ceci au détriment des pays de l'Europe occidentale, alors la libre circulation des personnes devient une farce.

Il devient donc indispensable que chaque pays protège à nouveau ses propres frontières puisque Bruxelles a misérablement failli.

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Source en italien (trad. D. Borer)

NDT : Sur le Kosovo, on nous a énormément menti à l'époque. Je vous recommande la lecture de deux livres incontournables pour ne pas mourir idiots sur le sujet :

"Le martyre du Kosovo" de Nicola Mirkovic

martyre-kosovo

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"L'Europe est morte à Pristina" de Jacques Hogard

europe-morte-pristina

Immigration illégale : une plainte contre l’Europe en projet

Face aux naufrages de clandestins en Méditerranée, le représentant de la diaspora sénégalaise au sein du parti Pds (parti sénégalais d’inspiration libérale) projette de porter plainte contre l’Europe pour «non assistance à personne en danger »

En plus de déferler sur les côtes européennes, les migrants tiennent l’Europe pour responsable de leur malheur. Un politicien sénégalais qui a bien retenu le principe de culpabilité automatique des européens dans tous les drames qui affectent la planète, seriné par les bonnes âmes de service, envisage de porter plainte contre l’Europe. Motif ? au lieu de reconduire l’opération italienne Mare Nostrum, destinée au sauvetage des clandestins traversant la Méditerranée du sud au nord, l’Union Européenne a lancé puis récemment renforcée l’opération Triton, officiellement axée sur la surveillance des côtes européennes.

Pour Papa Saer Guèye (c’est le Monsieur en question) et autres « Sénégalais de l’extérieur » membres du Pds, les dirigeants africains doivent attaquer en justice l’Europe pour non-assistance à personne en danger.

Moi, je ne peux pas accepter qu’un criminel ait droit à la vie et que les embarcations du Frontex regardent nos compatriotes mourir par milliers et dire à ces agents que vous n’avez pas le mandat de les sauver, ni de les rechercher. C’est une non assistance à personne en danger.
L’Occident continue de dérouler son option « Tout sécuritaire », notamment avec la surveillance des frontières

estime Papa Saer Guèye. Nous aimerions qu’il aie raison sur le volet sécuritaire, mais vu la faiblesse des moyens de Frontex (officiellement, Triton déploie à date 7 navires, 2 avions et 1 hélicoptère), il nous semble difficile d’abonder dans ce sens et d’estimer que l’Europe fait tout pour stopper l’immigration illégale. Par ailleurs, les marines européennes effectuent chaque jour de nombreux sauvetages,sans pouvoir éviter tous les drames, comme celui du 19 avril dernier qui a fait 800 victimes… au large de la Libye et non des côtes européennes, faut-il le rappeler. Mais ne doutons pas que son projet de procès international contre l’Europe mené par des dirigeants africains trouvera chez nous un écho favorable auprès de la caste politico-médiatique qui en demande qu’à battre sa coulpe.

 

Source Novopress.info

Immigration : la situation à Calais signe la faillite définitive de Schengen

Par Gérard-François Dumont

Gérard-François Dumont est géographe, économiste et démographe, professeur à l'université à Paris 4-Sorbonne, président de la revue Population & Avenir, auteur notamment de Populations et Territoires de France en 2030 (L’Harmattan), et de Géopolitique de l’Europe (Armand Colin).

Les échauffourées entre migrants clandestins et forces de l'ordre, entre communautés, mais aussi avec les populations locales, rendent la situation explosive à Calais. La manifestation flagrante de l'incapacité de l'espace Schengen à assurer le contrôle des frontières.
A Calais, l'afflux de migrants désirant se rendre en Angleterre est en train de virer au chaos. A la promiscuité et à l'insalubrité s'ajoutent les tentions entre communautés, qui ont obligé le ministère de l'Intérieur à renforcer les effectifs policiers. De quel long processus cette situation explosive est-elle le résultat ?

Nous étions à la formidable manifestation des Italiens contre “Mare Nostrum”

Par Bernard Migy et Danielle Borer

Pour ceux qui parlent italien, ou rien que pour voir l’enthousiasme de la foule, vous pouvez aller voir la vidéo ICI

 

Ce samedi 18 octobre, Matteo Salvini, leader de la Ligue du Nord, avait convié les Italiens à se réunir sur la Place du Dôme à Milan pour demander que soit stoppée cette opération aberrante nommée « Mare Nostrum ». Les Italiens ont répondu en masse à l’invitation et ils étaient au moins 100.000 sur cette immense place, munis de drapeaux.

 

L’ambiance fut chaleureuse. Pas le moindre faux pas, pas de violence, rien. Ce n’étaient pas des antifas mais des citoyens déterminés à sauver leur pays envahi et à demander que « Mare Nostrum » soit stoppée définitivement.

Ci-dessus, Matteo Salvini devant la foule

Depuis le début de l’année, environ 140.000 clandestins sont arrivés sur les côtes italiennes. Selon les statistiques, seul 10% seraient en droit d’obtenir le statut de réfugiés ! N’oublions pas que l’Italie compte 9 millions de pauvres, 4 millions de chômeurs qui reçoivent 240 euros par mois (alors qu’un clandestin à peine débarqué se voit offrir non seulement le gîte et le couvert mais aussi 40 euros par jour pour ses petites dépenses personnelles), sans oublier que de plus en plus souvent, les places pour les accueillir manquant, ils sont logés dans des hôtels 3 étoiles au frais du contribuable italien. Régulièrement, ces pauvres « réfugiés » se plaignent de la nourriture qui n’est pas assez bonne pour eux et réclame une nourriture africaine, entre autres exigences.

Pendant ce temps, des chômeur italiens, parfois des familles entières dorment sous les ponts ou dans leur voiture ! Rappelons encore que dans les 4 millions de chômeurs nous avons 40% de jeunes Italiens !!! J’espère que cette forte mobilisation aura une conséquence sur la politique ahurissante du Partito Democratico  de Matteo Renzi. Si cela ne devait pas être le cas, Matteo Salvini a promis d’aller plus loin.

Bernard Migy et Danielle Borer (Cet article est sorti simultanément sur Riposte Laïque)

P.S. Nous avons aussi filmé la manifestation pour TVLibertés. Nous vous en ferons profiter dès que TVLiberté aura monté le reportage.

 

 

Vaste opération européenne de contrôle de l’immigration clandestine

Les pays européens entament à partir de lundi une vaste opération de contrôle de l'immigration clandestine, ressort-il d'un document confidentiel publié par le site statewatch.org. Dans tous les pays de l’espace Schengen, et donc aussi en Belgique, la police sera mobilisée. Objectif de l’opération : mieux comprendre les routes de l’immigration illégale en Europe, et affaiblir les groupes criminels qui facilitent l’arrivée des clandestins. Une opération critiquée par plusieurs associations de soutien aux sans-papiers.

Suite

Salvini : la Vénétie votera sur son indépendance

Matteo Salvini relance le projet pour l'indépendance de la Vénétie et avertit : nous sommes ici pour dire STOP à l'invasion clandestine

"Si l'état ne fonctionne pas, les régions doivent s'organiser".

"La Vénétie votera le référendum, l'Ecosse nous a montré la voie. Mais cela vaut aussi pour la Lombardie, la Calabre, la Sardaigne".

 

Nous vous recommandons l' intervention de Matteo Salvini ICI à la manifestation de Cittadella (italien très clair)

NDR : le samedi 18 octobre une collaboratrice de lesobservateurs.ch sera présente sur la place du Dôme à Milan pour assister à la manifestation STOP A L'INVASION et vous fera un compte-rendu.

Australie : l’opération “Souveraineté des frontières” a un an.

Souveraineté des frontières : c'est comme ça que l'Australie a réussi à stopper les débarquements de clandestins.

Zéro débarquement en une année. Voilà le résultat au premier anniversaire de l'opération Souveraineté des frontières mis en œuvre par le gouvernement australien il y a tout juste un an pour endiguer l'immigration clandestine.

Cette opération est une sorte de Mare Nostrum à l'envers qui, en 12 mois, a stoppé complètement les flux de migrants. Depuis décembre dernier, une seule embarcation a réussi à rejoindre l'Australie, alors que, pendant la précédente administration (Australian Labor Party), les débarquements de clandestins étaient quotidiens, et où des centaines de migrants ont perdu la vie dans des naufrages.

Les médias australiens en parlent, à l'exemple de The West Australian, qui cite, une année après le début de l'opération, les paroles du ministre de l'immigration, Scott Morrison :

"La protection des frontières fonctionne et les passeurs le savent bien. Ils ne font plus d'affaires. Ils sont repartis d'où ils étaient venus". Selon lui, la drastique réduction des embarcations est directement proportionnelle au nombre de morts. De cette façon, l'Australie a sauvé des vies humaines.

L'action appelée "Souveraineté des frontière" a commencé le 18 septembre 2013, le jour suivant la victoire électorale de Tony Abbott. Il a mis en place une politique complètement opposée à celle du gouvernement italien, Mare Nostrum, commencée en octobre dernier. En Australie, les embarcations interceptées sont repoussées dans les eaux territoriales des pays d'où elles viennent et ne sont pas ramenées sur les côtes australiennes. Ce sont les navires de la Marine australienne qui repoussent les bateaux qui viennent le plus souvent d'Indonésie, un pays qui, soit repousse les migrants, soit les laissent libres de naviguer. C'est ainsi qu'en janvier dernier, un navire militaire australien a ramené en Indonésie une embarcation avec, à son bord, 45 personnes, venant majoritairement du Soudan et de la Somalie, et cela sans avertir les autorités indonésiennes, accusées par Canberra de dévier intentionnellement les flux migratoires en direction de l'Australie.

Selon la loi australienne, les bateaux de clandestins interceptés en mer doivent être repoussés dans les eaux territoriales indonésiennes ou conduits dans quelque île de l'océan Pacifique qui joue le rôle d'un Ellis Island moderne.

En vertu d'accords bilatéraux, l'île de Manus, voisine de la Papouasie Nouvelle Guinée et celle de Nauru, prennent en charge ces "boat-people". Dans ces îles, les migrants doivent attendre les décisions des autorités australiennes. Soit ils recevront le statut de réfugiés, ce qui leur permettra de s'installer dans un état de l'archipel, soit ils seront rapatriés.

Depuis 2013 les requérants d'asile ne sont plus accueillis sur le territoire australien. Le gouvernement Abbott travaille actuellement sur un partenariat avec le Cambodge qui, avec des contreparties économiques, pourrait accueillir les migrants. Cette ligne dure sur l'immigration a été saluée comme un extraordinaire succès par le ministre de l'immigration Morrison. Il a repoussé les accusations des Nations Unies, qui, début septembre, avaient dénoncé "la suite de violations des droits humains" réservés au migrants par Canberra.

La majorité de l'opinion publique appuie le gouvernement.

Source en italien (trad. pour lesobservateurs.ch par D. Borer)

Kyenge : “Les migrants partent en bonne santé mais tombent malades en Italie”

Par  Girolamo Minotto

Voilà ce qu'a répondu l'ex-ministre de l'Intégration Cécile Kashetu Kyenge à un journaliste qui lui demandait si ces arrivées massives de clandestins favorisaient l'émergence de maladies comme la tuberculose. Comme nous le voyons sur la vidéo, quand on lui demande ce qu'elle pense de la prise de position de Beppe Grillo (qui avait déclaré que les migrants amenaient des maladies comme la TBC), Kyenge répond que les migrants partent de chez eux en bonne santé ("più forti") mais qu'ils s'affaiblissent pendant le voyage et qu'ils peuvent attraper des maladies quand ils sont en Italie. Ensuite, elle se fend d'une analyse sur la Lega et son racisme, en disant que le Mouvement 5 Stelle de B. Grillo n'est pas raciste comme la Lega. (...), ce qui n'a rien à voir avec la question posée.

Il est clair qu'on ne pouvait attendre de Kyenge une position anti-immigration.

Mais si l'ex-ministre avait raison et que les migrants attrapaient des maladies en arrivant en Italie, la meilleure solution pour protéger leur santé serait fort simple : mettre fin à Mare Nostrum et bloquer les départ des bateaux sur sol africain. Oui ou non, Kyenge ?

Source

La Sardaigne nouveau lieu de débarquement des clandestins

Maintenant, les clandestins débarquent directement en Sardaigne.

Une mer calme et un vent favorable leur permet d'arriver dans des bateaux par petits groupes de 10 à 20. La quasi totalité d'entre eux se déclarent Algériens. La nouvelle route de la migration en provenance de l'Afrique du nord passe par le canal de Sardaigne. Durant le mois d'août, 6 débarquements ont eu lieu sur les côtes méridionales de la Sardaigne entre Treulada et Sant'Antioco.

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Les passeurs n'ont pu être retrouvés. Mais il est important de signaler que toutes les personnes arrivées en Sardaigne étaient en bonnes conditions physiques, secs et que certains avaient avec eux des habits de rechange. Ce fait pousse les enquêteurs à penser qu'ils viennent d'embarcations en mesure de traverser aisément la distance qui sépare la Sardaigne de la Tunisie et de l'Algérie (105 milles nautiques) et qu'ensuite ils mettent à la mer des barques au abord des eau territoriales non loin des rives. Ces soupçons ont été confirmés en voyant les barques par lesquelles les clandestins sont arrivés. Ce sont toutes des barques en bois, équipées d'un moteur extérieur, sans réserve de carburant, qui ne pourraient certainement pas faire la longue traversée qui sépare l'île des côtes nord-africaines.

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