Au camp surpeuplé de Lesbos (Grèce), une foule de migrants afghans attaque avec des bâtons les nouveaux arrivants, que les mauvaises conditions météo ainsi que des contrôles plus stricts en Europe, ont dirigé vers la Grèce.
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Au camp surpeuplé de Lesbos (Grèce), une foule de migrants afghans attaque avec des bâtons les nouveaux arrivants, que les mauvaises conditions météo ainsi que des contrôles plus stricts en Europe, ont dirigé vers la Grèce.
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Défaite des frondeurs de Syriza aux dernières législatives, relations avec Alexis Tsipras, faiblesse du gouvernement français, coulisses des négociations entre la Grèce et ses créanciers, plan d'aides voué à l'échec, avenir politique : Yanis Varoufakis, ancien ministre des Finances grec, revient sur son expérience du pouvoir et livre son analyse de la politique économique du gouvernement français. Pour lui, "Les réformes de M. Macron ne marcheront pas"
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Source et article ICI
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Merci à Pierre H
C’est un journal italien qui nous apprend qu’une militante de « No Borders » venue aider les immigrés illégaux, pardon les « réfugiés », à Vintimille, s’est faite violer par un immigré.
Mais, outre le viol, la jeune femme a aussi subi les pressions des autres militants immigrationnistes pour tenter de la contraindre à se taire.
Cette femme de 30 ans, militante chez « No Borders », une organisation qui depuis environ un mois a installé des bénévoles à la frontière entre l’Italie et la France, à Vintimille, pour aider les migrants.
Elle a été violé par un immigré sénégalais dans l’une des douches du camp pour réfugiés.
Selon des informations parues dans La Stampa, la femme aurait déclaré le viol au bout d’un mois, en expliquant à la police qu’elle était restée silencieuse tout ce temps, parce que certains militants de No Borders faisaient pression pour qu’elle se taise pour éviter les scandales et ne pas nuire à leur cause.
La femme a expliqué que le viol a été commis un samedi soir durant une fête, qu’elle a crié, appelé au secours, mais que personne ne l’a entendu en raison de la musique diffusée à plein volume.
La Suisse va soulager l'Italie et la Grèce en accueillant jusqu'à 1500 requérants d'asile enregistrés dans ces pays. Le Conseil fédéral a aussi décidé vendredi de dégager 70 millions de francs de plus pour l'aide en Syrie, Irak et dans la Corne de l'Afrique. «C'est une question de solidarité», a estimé la présidente de la Confédération Simonetta Sommaruga devant la presse. «On ne peut être solidaire que dans les moments difficiles et c'est un moment difficile. »
De Melilla jusqu'en Hongrie en passant par Malte, Lampedusa ou la Grèce.
Réduire les Européens, c'est à dire les Blancs, à l'état de minorité dans leurs propres pays ou les faire disparaître de la surface de la terre grâce à l'immigration massive, l'apologie permanente du métissage et la "diversité" imposée par la loi, et ce contre leur volonté, c'est un génocide en vertu des lois internationales !
https://www.youtube.com/watch?v=WVMf6eJyeao
Ci-dessus, Lesbos avant l'invasion
En Grèce, de violentes émeutes déchirent l'île de Lesbos. Les clandestins affrontent la police car ils estiment ne pas être assez bien traités par les Européens. Les habitants sont agressés dans leurs propres maisons et devant le niveau de fureur, certains préfèrent carrément y demeurer barricadés. Seule et unique solution à ce problème qui prend chaque jour plus d'ampleur: la remigration, c'est-à-dire le retour dans leurs pays d'origine de ces émeutiers étrangers !
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Les réfugiés refusent les paquets de la Croix-Rouge:
Nos lecteurs nous communiquent (merci à Lucie)
Enquête de la télévision allemande :
Parmi les biens publics que la Grèce doit vendre, il y a les 14 aéroports régionaux les plus rentables du pays qui doivent être vendus à une firme allemande, Fraport.
Le maire de Corfou, Kostas Nikolouzos (120 000 habitants, 1 million de touristes par an, chiffre en augmentation) : «L’aéroport rapporte beaucoup d’argent, pourquoi devrait-on le céder ? Nous sommes en crise, n’est-ce pas ? Si on se prive des moyens de produire de la richesse dans ce pays pour relancer l’économie, comment fera-t-on ensuite ?».
"Le mandat que j'ai reçu le 25 janvier a atteint ses limites", a-t-il déclaré lors de son intervention.
Alexis Tsipras est confronté à une fronde de l'aile gauche de son parti, Syriza, depuis qu'il a conclu un accord avec les créanciers d'Athènes sur l'octroi d'un troisième plan d'aide financière à la Grèce en échange de nouvelles mesures d'austérité.
En concluant son intervention, Alexis Tsipras a demandé à nouveau la confiance des électeurs pour mettre en oeuvre son programme.
Un peu plus tôt dans la journée, un responsable gouvernemental avait affirmé que le prochain scrutin pourrait avoir lieu le 20 septembre.
La perspective d'élections anticipées à l'automne occupait les esprits depuis plusieurs semaines mais Alexis Tsipras a dû précipiter son calendrier après le refus d'un tiers des élus de son parti de soutenir le nouveau programme gouvernemental, le privant virtuellement de sa majorité au Parlement.
reuters/ebz/pym
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La focalisation de l’Europe sur les problèmes politiques et économiques de la Grèce serait une grave erreur, écrit le portail économique espagnol El Economista.
La Grèce est un pays relativement petit avec une population de 10 millions d’habitants. Les pays comme l’Italie ou la France, avec une population totale de 126 millions d’habitants, représentent un danger beaucoup plus important pour la stabilité de la zone euro, affirme le quotidien espagnol.
Suite
Les responsables de la zone euro ont fermé samedi 27 juin la porte des négociations avec Athènes après l'annonce fracassante d'un référendum sur les exigences des créanciers de la Grèce. Ce pays se dirige vers un défaut de paiement aux conséquences imprévisibles.
Il a expliqué que la partie grecque a rompu unilatéralement les négociations avec l'annonce dans la nuit de ce référendum prévu le 5 juillet. Cette réunion de l'Eurogroupe, la cinquième en dix jours, aurait pu être celle de la dernière chance, elle a au contraire entériné la rupture entre Athènes et ses partenaires.
Source
Les négociations entre le gouvernement grec et la Troïka ressemblent toujours à un dialogue de sourd. Alors, au jour le jour, le gouvernement d'Alexis Tsipras calcule s'il a encore des expédients pour rembourser la prochaine tranche de dette... L'image n'est pas sans rappeler celle d'un sportif dans une course de haies, trébuchant sur chaque obstacle mais n'ayant pas encore complètement perdu l'équilibre.
A moins d'une hypothétique renégociation de la dette grecque, que ses créanciers lui interdisent afin de sauvegarder leur propre bilan, le jeu se terminera bientôt. Mais sa conclusion pourrait prendre une autre forme que le Grexit, le Graccident et tous les autres vocables plus ou moins effrayants inventés pour évoquer les différents scénarios.
Contre toute attente, la sortie de la Grèce de la zone euro pourrait avant tout être progressive. Et elle pourrait même ne pas être décidée officiellement par les politiciens.
La décision surviendra non pas lorsque la Grèce n'aura plus assez d'argent dans les caisses pour payer ses créanciers, mais lorsqu'elle n'en aura plus assez pour payer à la fois ses créanciers et ses engagements intérieurs, une étape qui interviendra forcément avant.
Si la Grèce n'a plus qu'un milliard d'euros en caisse et qu'elle en doit un au FMI et un autre en versement de pensions et salaires, traitement de ses fournisseurs, etc., que faire? Qui aura l'argent et qui n'aura rien?
Sur la base de ce qu'il a fait par exemple début mars en décidant de piller les fonds de pension de retraite pour payer une échéance du Fonds Monétaire International, nous savons que le gouvernement grec prendra probablement une décision en faveur de l'international. Entre les obligations intérieures d'une part et les créanciers internationaux d'autre part, le gouvernement grec a jusqu'ici clairement décidé de sacrifier les premiers en faveur des seconds.
Mais que se passera-t-il lorsqu'il n'y aura plus d'euros dans les caisses et que tous ceux qui y reviennent seront entièrement phagocyté par le paiement de la dette publique? Que fera le gouvernement grec pour toutes les autres dépenses courantes? Supprimera-t-il d'un coup les rentes des retraités, des chômeurs, le salaire des fonctionnaires, le paiement de ses fournisseurs? On peut le concevoir, mais cette trajectoire risque de provoquer des troubles civils énormes, des faillites en cascade, voire un danger immédiat pour le régime - les militaires devenant parfois une catégorie de personnel assez chatouilleuse lorsqu'ils ne sont plus payés...
Le plus simple pour donner le change à la place serait d'émettre des reconnaissances de dettes. La méthode fut employée à de nombreuses reprises de part le monde - jusqu'en Californie où les affrontements politiques autour du budget, bloquant tous les paiements, amenèrent l'Etat fédéré à émettre des IOU (pour "I owe you", "Je te dois") en guise de salaires pour ses fonctionnaires en attendant que la situation se débloque.
Un IOU californien de 2008 (cliquez pour agrandir)
En Grèce, la chose se pratiquerait quasiment de la même façon. Plutôt que de payer 1'000 euros à un fonctionnaire, ce dont il serait bien incapable, le gouvernement grec lui donnerait plutôt un certificat - officiel, signé, sur un joli papier à motif etc. - inscrivant une dette de 1'000 euros au porteur. Ou peut-être dix certificats de reconnaissance de dette de 100 euros, histoire de rendre les transactions plus pratiques...
On l'aura compris, ces reconnaissances de dettes seraient de facto une nouvelle monnaie.
Compte tenu de l'attachement des Grecs à l'euro il n'est pas certain que le gouvernement d'Alexis Tsipras ose nommer ses reconnaissances de dettes "nouvelle drachme" ou quoi que ce soit qui évoque trop ouvertement une monnaie alternative, même si dans les faits elle joue exactement ce rôle. Mais que la nouvelle monnaie s'intitule à nouveau "drachme", "G-euro" ou quoi que ce soit d'autre n'a finalement aucune importance.
La coexistence en Grèce de l'euro avec une seconde monnaie officielle purement locale n'a rien de nouveau ; l'idée fut suggérée dès 2012 par un économiste de la Deutsche Bank. Mais elle semble avoir fait son chemin durant ces quelques années puisque c'est désormais par le biais de responsables européens qu'elle reviendrait sur le devant de la scène, selon des discussions formulées il y a moins d'une semaine.
La monnaie-papier n'est, par essence, rien d'autre qu'une reconnaissance de dette. Cette dette était initialement sensée être remboursable contre un équivalent-or auprès d'une banque centrale mais, depuis l'abandon de la convertibilité, la monnaie-papier a perdu toute signification. La seule caractéristique qu'elle conserve encore est celui du monopole légal: dans la zone euro, les reconnaissances de dettes émises par la banque centrale européenne, c'est-à-dire les euros, doivent être acceptés comme moyens de paiement. Un commerçant doit afficher ses prix en euros et ne peut théoriquement pas refuser le paiement d'une marchandise contre des euros.
On s'en doute, la nouvelle monnaie émise par le gouvernement grec n'aurait pas cette qualité, en particulier hors des frontières. Mais à l'intérieur du pays, elle trouvera forcément un usage - ne serait-ce que parce que beaucoup de gens n'auraient rien d'autre pour payer. Quel sera le cours entre cette nouvelle monnaie et l'euro? Quel "montant scriptural de reconnaissances de dette en euro de l'Etat grec" faudra-t-il aligner pour acheter un bien vendu à 100€? Certainement pas cent, on s'en doute, puisque pareille transaction reviendrait à échanger à 1 pour 1 une monnaie ayant court dans toute la zone euro contre une autre ne valant qu'en Grèce. Mais alors combien? Cent vingt? Cent cinquante? Mille? A ce stade, c'est pure spéculation. Cela dépendra non seulement des circonstances mais aussi du volume de nouvelle monnaie émis par le gouvernement - et à beaucoup de montagnes russes alors que la Grèce continue à s'empêtrer dans la crise économique.
Projet de billet de 500 Nouvelles Drachmes selon une étude du gouvernement grec
L'émission de reconnaissances de dettes par le gouvernement grec fera à nouveau de lui un émetteur de monnaie-papier, au minimum auprès de son public captif (fonctionnaires, fournisseurs, bénéficiaires de rentes), ce lui restituera un attribut de souveraineté abandonné lors du passage à l'euro.
Évidemment, l'euro authentique continuera d'avoir cours en Grèce et sera activement recherché, mais seuls les touristes et les acheteurs étrangers permettront de s'en procurer. Il en faudra pourtant, non seulement pour payer des marchandises importées en Grèce (comme du carburant) mais aussi parce que l'Etat grec, toujours autant aux abois lorsqu'il s'agira de payer des échéances de remboursement de la monstrueuse dette publique grecque, devra en disposer en quantité suffisante pour régler les échéances. La dette publique grecque a été creusée en euros, elle devra être payée en euros aussi longtemps qu'il est possible...
Comme on imagine aisément, l'arrivée d'une monnaie locale ne mettra de loin pas un terme aux problèmes financiers de l'Etat grec. Elle ne sera au mieux qu'un pis-aller et représentera surtout un point de non-retour. Si cette monnaie apparaît parce que l'Etat grec est en cessation de paiement en euro, on voit mal comment la situation pourrait s'améliorer alors même que cette nouvelle monnaie, sans cours à l'international, se répand progressivement dans les rouages économiques du pays. L'euro ne subsistera que dans quelques secteurs particuliers comme le tourisme et l'industrie d'exportation.
Si l'arrivée de la nouvelle monnaie donne un peu de répit à Athènes, il arrivera assez vite un moment où les reconnaissances de dettes auront fait un tour complet jusqu'à revenir dans les caisses du gouvernement. Les citoyens grecs s'empresseront d'utiliser cette nouvelle monnaie en priorité pour payer leurs impôts, et on voit mal comment l'Etat grec pourrait refuser une promesse qu'il émet lui-même! Les rentrées fiscales en euro s'étioleront rapidement et deviendront donc trop faibles pour permettre le remboursement de la dette publique. On reviendra donc au point de départ de la crise, le défaut grec.
Malgré tout, on ne peut exclure totalement l'hypothèse de l'émergence d'une monnaie grecque locale. Il s'agirait certes d'une hérésie pour les puristes de l'euro mais apparemment cette perspective est envisagée en haut lieu. De plus, cette solution à deux monnaies, relativement facile à mettre en place, aurait l'avantage de proposer une alternative - fut-elle temporaire - à la cessation de paiement pure et simple. Lorsqu'un gouvernement navigue autant à vue au jour le jour que l'équipe d'Alexis Tsipras, tous les expédients semblent sur la table pour gagner encore quelques semaines, quelques mois...
Dans la crise de la dette publique, procrastination et chemin de moindre résistance sont les deux principes majeurs qui ont prévalu jusqu'ici ; ceux-ci passent par la création d'une nouvelle monnaie en Grèce. Voilà pourquoi la nouvelle drachme pourrait bien faire son apparition, alors que les choses se précipitent.
Stéphane Montabert - Sur le web et sur Lesobservateurs.ch
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a mis en garde samedi à Athènes contre la menace que font selon lui peser les « forces populistes d’extrême droite » en Europe et notamment le Front national en France. Il faut « choisir entre le respect de la démocratie et le risque d’une poussée des forces populistes d’extrême droite en Europe« , a déclaré M. Tsipras dans un anglais hésitant, avant une entrevue avec le premier secrétaire du parti communiste français, Pierre Laurent.
« A cause de ces difficultés au sein de l’Union européenne, on constate une poussée radicale de (la présidente du Front national Marine) Le Pen et des forces d’extrême droite (…) Si l’on veut être proeuropéen, il faut respecter la démocratie dans l’Union européenne », a-t-il déclaré.
C'est une première en Grèce. La création d'un ministère de l'immigration vise à protéger «les droits» des migrants. Le droit du sol sera instauré: les enfants nés en Grèce se verront octroyer la nationalité grecque.
Un ferry qui navigue au large de l'île grecque de Corfou a envoyé un message de détresse ce mardi à la mi-journée, annonce le ministère grec de la Marine marchande.
Que reste-t-il de ce pays ?
La tutelle de la Troïka a rendu ce pays méconnaissable, en imposant une austérité sans fin.
Il est comme en situation de guerre, sauf que tous ne souffrent pas au même degré. Certains annoncent une résurrection pour bientôt, mais beaucoup, publiquement ou non, reconnaissent que l’impasse est totale, malgré quelques maigres résultats dans le secteur du tourisme notamment, et que la dette, si minime par rapport à celles de pays industrialisés qui font la morale, ne sera jamais payée. L’étau ne se desserre pas.
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Le patriarche grec orthodoxe Amvrosios de Kalavryta et Aigialeia a haussé la voix au sujet d'une loi anti-raciste liberticide que le gouvernement grec est en train d'approuver.
"Avec l'entrée en vigueur de cette loi anti-raciste, tous les gens qui seront patriotes risqueront la prison - a-t-il tonné -. Un prêtre qui viendrait à parler négativement (..) d'autres religions pourrait être condamné pour racisme et emprisonné. Nous deviendrons vite des étrangers dans notre propre pays. Je ne sais pas si je serai encore en vie, mais nos enfants deviendront les esclaves des musulmans. La Grèce est en train de disparaître, la foi est en train de disparaître....Il faut ranimer la flamme de la patrie et de la foi. La globalisation ne frappe plus à nos portes, elle est déjà entrée dans nos maisons" a-t-il conclu.
Cet homme est un vrai homme de religion. Un défenseur de l'ordre naturel contre l'avancée de l'entropie (=passage de l'ordre au désordre).
Source en italien (trad. pour lesobservateurs.ch par D. Borer)
Source en anglais