Genève: Decathlon n’embaucherait-t-il que des frontaliers?

Le Groupement transfrontalier européen a lancé une campagne pour recruter du personnel français dans les magasins suisses. Avant de se rétracter peu après.

En effet, le Groupement transfrontalier européen (GTE) indiquait lundi sur son site web que le géant français recrutait en France pour ses futurs succursales suisses. Avant de se rétracter et de remodeler l'annonce quelques heures plus tard.

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Travailleurs pauvres en Europe : des chiffres alarmants

En dépit d'une amélioration de la conjoncture, la paupérisation des travailleurs s'aggrave en Europe et la situation est encore plus préoccupante chez les chômeurs. À l'heure où les populismes gagnent du terrain notamment en Italie, les défis pour l'économie européenne restent immenses.

La pauvreté s'accroît dans le monde du travail européen. Selon les derniers chiffres de l'Office européen de la statistique publiés il y a quelques joursla part des travailleurs pauvres en zone euro est passée de 7,3% en 2006 à 9,5% en 2016. Du côté de l'Union européenne à 28, ce taux est passé de 8,3% en 2010 (première année disponible) à 9,6% en 2016. Les effets de la crise et les mesures d'austérité ont contribué à cette paupérisation du monde du travail. Si la réduction du nombre de personnes confrontées au risque de pauvreté ou d'exclusion sociale est l'un des objectifs de la stratégie Europe 2020, les derniers chiffres relatifs à la population active indiquent que le pari est loin d'être gagné.

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De plus en plus de chômeurs pauvres

Les derniers chiffres de la Commission européenne sont particulièrement alarmants pour la population frappée par le chômage. Sur la décennie 2006-2016, la proportion de personnes sans emploi en risque de pauvreté a augmenté continuellement passant de 41,5% en 2006 à 48,8% en 2016. Dans l'union monétaire, cette part est passée de 39,2% à 48,9%. Évidemment, ces moyennes masquent des contrastes au sein du continent.

taux de risque

Parmi les États membres, l'Allemagne est le pays qui connaît le plus fort taux de chômeurs en risque de pauvreté (70,8%), suivie de très loin par la Lituanie 60,5%. Dans bien d'autres pays, des taux supérieurs à 50% sont également recensés en Lettonie (55,8%), Bulgarie (54,9%), Estonie (54,8%), République tchèque (52,3%), Roumanie (51,4%) ou la Suède (50,3%).

part des personnes au chômage

Entre 2006 et 2016, des contrastes apparaissent également en Europe. La Lituanie, la Hongrie et la République Tchèque ont connu de fortes hausses de la proportion de demandeurs d'emploi en risque de pauvreté. À l'opposé, quelques pays dont la France ont connu des baisses sur la même période.

Un salarié sur 6 est un travailleur pauvre

Selon Eurostat, la part des bas salaires parmi les salariés s'élevait à 17,2% dans l'Union européenne en 2014. "Cela signifie qu'ils gagnaient deux-tiers ou moins du salaire horaire national brut médian". Cette proportion varie énormément d'un État à l'autre et dessine une Europe à plusieurs vitesses. C'est en Europe de l'Est et du centre que les proportions de salariés à bas salaires sont les plus visibles (Lettonie, Roumanie et Lituanie ou Pologne). À l'inverse, la Suède, la Belgique et la Finlande affichent les taux les moins élevés du continent. Quant à la France (8,8%), elle se situe bien en dessous de la moyenne européenne.

Du côté de l'Allemagne, la situation des travailleurs pauvres est plus préoccupante. Les réformes "Hartz" mises en oeuvre en 2003 et 2005, ont favorisé le développement des mini-jobs faiblement rémunérés. La montée en puissance de ces emplois, ces dernières années, a contribué à une précarisation des travailleurs et un accroissement des inégalités de revenus, comme le rappelle une étude de la direction générale du Trésor.

"Cette performance sur le front de l'emploi doit pourtant être pondérée par la hausse des inégalités de revenus et de la pauvreté en Allemagne. Le taux de pauvreté a augmenté nettement entre 2000 et 2005, de 12,5% à 14,7%. La hausse est particulièrement marquée pour les personnes en emploi et plus encore pour celles au chômage."

Pour faire face à ce risque de pauvreté, plusieurs millions d'actifs ont donc cumulé deux emplois voire plus, comme l'illustre le graphique ci-dessous pour réussir à joindre les deux bouts.

Travailleurs cumulant

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Nos remerciements à  Guylène

Rappels:

Allemagne. Bielefeld: la ville construit des maisons exclusivement pour les réfugiés. « Les Allemands sont jaloux. »

Allemagne: un bâtiment neuf et moderne à 480’000 euros pour des réfugiés syriens. Les simples habitants envieux.

Italie: l’un des Nigérians en prison pour le meurtre de Pamela logeait dans un hôtel 4 étoiles à la charge des Italiens.

Irlande. Lisdoonvarna: Malgré l’opposition massive de la population, la ville devra accueillir les migrants. « Les habitants sont sans défense face à la politique d’immigration de l’UE. »

La rénovation d’un ex-hôtel de luxe de Cologne pour loger des réfugiés aura coûté 9 millions d’euros

Suède: Seuls 3% à 4% des migrants peu qualifiés sont intéressés à se former professionnellement

Le gouvernement suédois a constaté que seuls entre trois et quatre pour cent des migrants nouvellement arrivés avec une mauvaise qualité d'éducation sont intéressés à participer à poursuivre des études ou des formations.

Le nouveau rapport, qui provient du Service suédois de l'emploi, montre que seulement trois à quatre pour cent des migrants qui sont venus en Suède au cours des deux dernières années ont manifesté leur intérêt à participer aux cours pour développer leur éducation.

Selon Sveriges Radio, Annie Rubensson, directrice de l'intégration et de l'établissement au service de l'emploi, a déclaré que les chiffres pourraient avoir un impact considérable sur les chances des migrants en matière d'emploi.

"Cela signifie que leurs chances d'obtenir un emploi diminuent considérablement", a ajouté Rubensson, "nous travaillons beaucoup pour motiver et nous redoublerons nos efforts dans les conseils pour informer de ce qui est nécessaire sur le marché du travail suédois".

 "Il n'est pas certain qu'ils soient conscients qu'en principe, ils ont besoin d'une éducation secondaire pour obtenir un emploi permanent en Suède", a-t-elle déclaré.

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Source1 Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Genève: Une offre d’emploi sur LinkedIn exclut les “candidats mâles astreints aux obligations militaires”

«Choquant! Illégal!» Le lieutenant-colonel Flavien Valloggia, président de l'Union des sociétés militaires genevoises (USMG), n'en décolère pas. Et il n'est pas le seul. Sous la publication qu'il a postée mardi sur son profil Facebook, ils sont nombreux à partager l'opinion de l'officier, également avocat dans le civil: «Honteux et Inadmissible!», «Scandaleux, à dénoncer!», «Inacceptable!».

Dans leur ligne de mire: l'offre d'emploi publiée sur le réseau social LinkedIn par une entreprise basée à Genève et qui exclut de manière explicite «les candidats mâles astreints aux obligations militaires» (voir ci-contre).

 

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Genève: Le canton perd des emplois et naturalise en masse. Les frontaliers toujours plus nombreux.

Le canton a perdu des emplois et attire moins. Les naturalisations sont nombreuses.

Le nombre d’emplois à Genève a diminué de 2,2% en un an. Sans que cela n’ait d’ailleurs empêché le nombre de frontaliers actifs de continuer de croître (+6,1% l’an dernier).

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Allemagne : Seulement 34’000 réfugiés sur 1’200’000 ont trouvé un emploi

Au cours des deux dernières années, 1,2 million de personnes sont arrivées en Allemagne pour demander l’asile. Les nouveaux chiffres du gouvernement montrent que le fait d’entrer au travail prend du temps.

Au total, 34 000 réfugiés ont trouvé du travail en Allemagne au cours des 12 derniers mois, ont indiqué les chiffres publiés lundi par l’Institut de recherche sur le travail (IAB) du gouvernement.

Près du quart (22%) de ceux qui ont trouvé du travail sont sous contrat temporaire.

Les chiffres concernent les réfugiés des huit pays d’origine les plus importants, dont la Syrie, l’Irak, l’Afghanistan et l’Érythrée.

« Si nous parvenons à obtenir 50 pour cent d’entre eux dans le travail qui paie pour leur vie en cinq ans, ce serait certainement un succès », a déclaré Joachim Möller, directeur de l’IAB.

Mais il a prévenu que «ce serait une illusion de croire que nous parviendrons à trouver des emplois pour une proportion décente de réfugiés dans des emplois bien payés de l’industrie comme la fabrication automobile».

Möller a ajouté que les emplois temporaires étaient importants pour aider les réfugiés à avoir un pied dans la porte.

«Beaucoup d’entreprises sont sceptiques, donc le travail temporaire peut les aider à avoir une idée de quelqu’un. »

L’afflux de réfugiés a également créé entre 50 000 et 60 000 emplois pour les Allemands, avec des emplois supplémentaires dans des professions telles que les enseignants et les travailleurs sociaux susceptibles d’être nécessaires pour les années à venir, selon Möller.

« Si vous pensez à la réunification, l’Allemagne a déjà surmonté des défis très différents à l’afflux de réfugiés. »

Theloacl.de via Fdesouche.com

Le PS veut révolutionner le processus d’intégration

Maintien de l'ouverture des frontières et renforcement de l'intégration sur le marché du travail: tels sont les principaux axes de la politique migratoire prônée par le PS suisse.

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Le PS appelle à changer fondamentalement la façon d'envisager l'intégration, que ce soit par le biais de la formation ou de l'emploi. Il s'agit de lever les obstacles à l'intégration en permettant aux requérants de travailler, mais aussi d'accéder à des cours de langue dès le premier jour, a notamment plaidé la conseillère nationale Cesla Amarelle (VD).

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Article complet ICI

Emploi, chômage, migration…

« Créer des emplois » « inverser la courbe du chômage » voilà les mantras…

Mais est-il possible de « créer des emplois » si de plus en plus une seule machine fait le travail de centaines de personnes ?

Ci-dessous, la « distributions du travail » vécue en Inde en 1993.  Le jour où l'ordinateur va remplacer des centaines d’employés de poste ou de banque, que vont faire ces personnes ?

Il ne s’agit pas de malheureux paysans chassés de leurs terres par les changements climatiques. Les employés des postes ou banques sont les classes moyennes… Que vont faire ces gens quand leur travail sera pris par une machine ? Ils viendront chercher du travail…en Europe ?

Il y a 30 ans, la vallée dans laquelle je vis, était composée de 9 communes avec bureau postal. Aujourd’hui les communes sont regroupées et bientôt il n’y aura plus de poste car il faut épargner. « Epargner » c'est-à-dire que, au lieu que ce soit la poste qui paye des postiers, ce sera le contribuable qui payera l’indemnité des postiers qui seront au chômage ? Même les petits boulots disparaissent, les laveurs d'assiettes dans les restaurants sont remplacés par un lave-vaisselle et les balayeurs de rue par le camion-brosse alors que les aides dans les hôpitaux sont remplacées par des robots... Et les gens qui ont du travail construisent de nouvelles machines pour remplacer les travailleurs... qui les construisent...

La population continue d'augmenter alors que les emplois continuent de diminuer. Tôt ou tard la collision va être frontale …

On avait déjà oublié de contrebalancer l'abolition de la sélection naturelle grâce aux progrès de la médecine par le planning familial pour limiter les naissances. Ajoutons-y l’afflux des « migrants »… Est-ce que tout d’un coup on va se rendre compte qu’il y a trop de personnes sur notre petite planète?…

Et alors, on fait quoi ?

 Extraits de mon livre « Les oiseaux noirs de Calcutta »

Le bureau postal occupait un pavillon en face de l’hôtel. Les deux employés qui étaient assis devant leur guichet, avaient déposé leur tête sur leurs bras croisés, et ils dormaient.

-« Hm, hm ... » - dit Alice en frappant à la porte.

Ils regardèrent les cartes postales : trente cartes postales ! et toutes pour l’Europe !...

Le premier employé prit une carte postale en main et l’examina soigneusement, il ouvrit un tiroir, prit un timbre-poste, ferma le tiroir, donna le timbre avec la carte à son collègue,  qui prit avec l’index un peu de colle d’un petit pot, l’étendit sur le timbre, colla le timbre sur la carte et déposa la carte à l’autre bout des guichets. Ensuite le premier employé recommença avec la deuxième carte postale exactement la même procédure... et ensuite avec la troisième jusqu’à la trentième...

Ensuite ils firent un nouveau tour pour oblitérer tous ces timbres. Enfin, ils firent par écrit des comptes tout à fait exacts : 30 cartes postales x 11 roupies = 330 roupies... en... 73 minutes...

(…)

Pour changer les traveler’s chèques, ils allèrent à la Banque Nationale de Paris. Avec un tel nom Alice s’attendait à un service à l’occidentale. Elle dut donner ses chèques et son passeport et puis s’assoir et patienter. Il y avait tout un itinéraire bureaucratique à suivre. Pourquoi se dépêcher ? Les employés circulaient entre les bureaux. Les grands ventilateurs tournaient lentement et faisaient voleter les feuilles retenues par de grosses boules en verre appelées sulfures. Des plateaux chargés de tasses de thé circulaient. Un employé ouvrit son « attaché case » qui contenait un essuie-mains, une bouteille d’eau, un miroir et il commença à se peigner. Un autre sortit des toilettes avec la fermeture éclair de son pantalon encore à moitié ouverte. Les documents d’Alice flottaient quelque part au gré des ventilateurs nonchalants…

Elle s’impatienta et alla vers le guichet pour demander combien de temps il fallait encore attendre.

“Some time…”- répondit un employé.

“ Mais enfin –insista Alice – changer un chèque dans un hôtel ça dure deux minutes…”

“En effet – répliqua l’employé - ici nous ne sommes pas dans un hôtel, nous sommes dans une banque…”

Après “un certain temps”, Alice reçut son passeport, le certificat de change et tous les sous…une grosse liasse de roupies…  à quoi cela avait-il servi de s’énerver?

De la banque ils allèrent à la poste.

L’employé pesa le paquet et dit combien de timbres étaient nécessaires puis il envoya Alice à un autre guichet pour y acheter les timbres. Au milieu du bureau se trouvait une vaste table ronde sur laquelle trônait un pot de colle. Tout le monde prenait de la colle du bout de l’index et chacun collait ses timbres. Ensuite on retourna dans la file pour attendre son tour de présenter les envois à l’employé qui oblitéra les timbres et le paquet fut expédié…

(…)

Autre expérience à la poste :  L’employé pesa le paquet.

-“4,600kg… mais je ne puis expédier ce paquet car il n’est pas cousu dans une toile de coton”…

-“Le paquet est sûr car sous le papier il y a une feuille de plastique…”

-“ Je ne peux prendre cette responsabilité…”

-“Je la prends… pas de problème…”

-“Vous ne m’avez pas compris: je ne peux pas expédier ce paquet car la règle dit que tous les paquets doivent être cousus dans une toile en coton…”

Alice se demanda s’il s’agissait-là d’une règle qui subsistait encore de la période coloniale …

-“Mais comment voulez-vous que je couse mon paquet dans du coton? Où vais-je acheter un morceau de coton ?”

-“Ne vous inquiétez pas madame – dit quelqu’un derrière elle – je puis vous coudre votre emballage pour 30 roupies…”

Alice se retourna et se trouva nez à nez avec un jeune homme qui tenait une petite valise à la main. Ils sortirent, le monsieur ouvrit sa valise, y prit une feuille de plastique qu’il étendit sur le trottoir, s’y assit et invita Alice à s’assoir, puis il prit un morceau de toile en coton blanc, il mesura la grandeur du paquet, découpa, emballa, prit un fil et une aiguille et se mit à coudre le paquet…

-“Pendant que vous attendez vous pouvez déjà remplir les formulaires pour les douanes…”

Quand le paquet fut cousu il y apposa des cachets de cire et puis ils retournèrent au guichet pour acheter les timbres.

-“Cela fait 460 roupies”

-“Mais ces timbres n’ont pas de colle…”

-“Venez avec moi, j’ai aussi la colle pour les timbres…”

Ils retournèrent s’assoir sur le plastique, l’homme prit dans sa valise un sachet en plastique dans lequel il conservait de la colle de farine. Il en prit sur l’index et colla les timbres, puis il enroula un exemplaire des formulaires pour le coudre  sur l’enveloppe de coton. Ils retournèrent au guichet.

-“Non, non, protesta l’emballeur, vous devez oblitérer les timbres tout de suite devant nous que je puisse être certain que le paquet de ma cliente parte et arrive  à destination sans entourloupe…”

L’employé oblitéra tous les timbres et confia le paquet à un autre employé qui l’emporta et alla le déposer dans un grand panier ad hoc…

-“Si vous avez des choses à faire à la poste – lui dit son emballeur – venez chez moi, je connais ces lascars, mais je connais aussi les ficelles et les trucs du métier.”

Alice comprit que si elle était restée à Calcutta, son emballeur serait devenu son postier privé. Elle l’aurait payé et lui aurait défendu ses intérêts. Voilà un marché honnête qui donnait du travail à tous.

Mais qu’allait-il se passer le jour où la poste indienne allait se moderniser comme la poste en Europe, avec des machines qui font le travail de centaines de personnes… Qu’allait-il se passer le jour où, dans les banques,  des centaines de  comptables qui faisaient encore tous les comptes à la main avec un crayon sur du papier, allaient être remplacés par un seul ordinateur…

Puis elle se rendit compte qu’elle avait oublié ses cartes postales. Elle retourna au guichet, demanda les timbres et se rendit compte que l’employé des timbres ne lui avait pas rendu la monnaie la première fois. Elle prit les timbres et paya en retenant les 20 roupies qu’il avait oublié de rendre et il ne protesta pas… Elle prit ses timbres et alla s’assoir à côté de l’emballeur, glissa un billet de 5 roupies sous son presse-papier, il poussa le sachet avec la colle vers elle, elle colla ses timbres , donna le paquet de cartes postales à l’emballeur et glissa encore un billet de 5 roupies sous le presse papier. L’emballeur sourit , hocha la tête de façon à dire combien il appréciait de travailler pour les gens qui comprennent les règles de bon entendement…

Alice regarda sa montre. Elle était arrivée à 10h et maintenant il était 13h. Ah, si les postes suisses travaillaient à ce rythme en période de fin d’année…

Le paquet mit 264 jours pour arriver à destination en Suisse, mais il arriva en parfait état.

Toute l’Inde fonctionnait à ce rythme, et encore… la poste fonctionnait bien…

Anne Lauwaert

Chômage en France: C’est de pire en pire

L’inversion de la courbe du chômage, ce n’est toujours pas pour maintentant. Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A (sans aucune activité dans le mois) s’est établi à 3.509.800 en France métropolitaine fin mars 2015, un record, a annoncé le ministère du Travail, ce lundi. 15.400 personnes de plus sont venues s’inscrire à Pôle emploi par rapport à la fin février soit une hausse de 0,4% sur un mois et de 4,9% sur un an.

5.590. 600 chômeurs en incluant les Dom.

En incluant les chômeurs ayant exercé une petite activité, le chômage touche 5.290.500 personnes en France métropolitaine fin mars 2015 et 5.590. 600 en incluant les Dom). Ce nombre augmente de 0,5 % au mois de mars et de 6,7 % sur les douze derniers mois.

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Le faux contrat de travail, sésame pour un permis de séjour en Suisse

En Suisse, des sociétés fantômes, sans activité réelle, vendent des documents de travail factices destinés à obtenir une autorisation de séjour.

Pour environ 3000 euros, il est aujourd’hui possible pour un ressortissant de l’Union européenne d’acheter un contrat de travail ­artificiel et de s’installer en Suisse. Toutefois, le document, libellé par une entreprise légalement implantée sur le territoire helvétique, n’offre aucune activité réelle à la clé. Les sociétés qui le commercialisent ne sont rien d’autre que des boîtes aux lettres.

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Tel est le scénario décrit en juin dans la Weltwoche. Selon le journal zurichois, certaines autorités cantonales s’avoueraient impuissantes.

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