France : Quand le défenseur des droits s’engage pour le burkini

 Saisi par le Collectif contre l’islamophobie en France, dissous pour islamisme, il estime que son interdiction est discriminante.

Même dissous, le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) continue d’actionner ses relais. Le 22 décembre, les services du Défenseur des droits (DDD) ont envoyé un courrier comminatoire au président de la base de loisirs de Jablines-Annet, en Seine-et-Marne, propriété de la région Île-de-France. «Il m’apparaît que l’interdiction du burkini au sein de la base de loisirs est susceptible de constituer une discrimination», écrit George Pau-Langevin, adjointe de la Défenseure des droits. Une saisine fondée sur une plainte du CCIF. Lequel, accusé par le gouvernement de propager «avec constance une action de propagande islamiste», a été dissous le 2 décembre.

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Le Figaro

Nos remerciements à David Dobsky

Suisse : le « Conseil central islamique » derrière une opération baignade en burkini dans une piscine publique

Des femmes voulaient se baigner en burkini, jeudi à la piscine de Balsthal (SO). La police est intervenue. L’action était en fait planifiée par le Conseil central islamique de Suisse.

Selon plusieurs médias alémaniques, la femme a été interpellée par la surveillante avant même de pouvoir entrer dans l’eau. Mais la nageuse ne s’est pas laissé décourager. Certaines de ses amies ont alors commencé à filmer et photographier la sauveteuse, laquelle a alors appelé la police. La situation s’est apaisée à l’arrivée des forces de l’ordre.

[…]

Action de protestation

La femme interpellée n’est pas n’importe quelle baigneuse, mais une membre du Conseil central islamique de Suisse (CCIS). Sur son compte Twitter, le Conseil confirme qu’il s’agit d’une action planifiée afin de mettre en évidence une entrave à «un droit fondamental des musulmanes, à savoir la liberté de conscience et de croyance».

 

L’article dans son intégralité sur 20 Minutes

via Fdesouche

 

Belgique : les piscines n’ont pas le droit d’interdire le burkini alors qu’elles interdisent le short

L'ONU est bien entendu du côté des musulmans dans ces affaires.

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Un tribunal a tranché : une piscine publique ne peut interdire aux baigneuses le port du burkini pour des raisons d’hygiène ou de sécurité, affirme le tribunal de première instance de Gand dans deux de ses jugements, selon les journaux du groupe Mediahuis.

Interdire cette pièce de bain couvrante pour des raisons d’hygiène ou de sécurité n’est pas justifié, l’administration flamande elle-même ayant fourni des preuves scientifiques qu’il n’y avait pas de problèmes dans ces domaines.

Le centre interfédéral pour l’égalité des chances, Unia, avait déjà fait savoir à la Ville d’Anvers qu’il ne voyait aucun fondement juridique à une telle interdiction. Il avait déjà par le passé appelé à faire l’équilibre entre liberté de religion et égalité homme-femme dans ce débat. « Le burkini peut être perçu comme un vêtement avilissant ou comme un vêtement permettant à ses utilisatrices de participer à une activité sportive », rappelait-il encore en 2015.

A Gand, les piscines communales Ter Wallen (Merelbeke) et Van Eyck devront adapter leur règlement, même si des appels sont introduits dans les prochains jours.

Si la commune de Gand du bourgmestre sp.a Daniel Termont est la première visée, c’est bien du côté de la N-VA que sont venues les premières réactions à ces jugements. « Combien de personnes musulmanes sont demandeuses »du burkini, demande ainsi la secrétaire d’État à l’Egalité des Chances Zuhal Demir (N-VA), pour qui ce vêtement représente « une provocation volontaire » contre l’égalité.

Source : LeSoir.be

Via Suavelos.eu

 

Rappels:

Belgique. La charia et la ségrégation sexuelle dans les bus: le programme interpellant du parti Islam

Belgique : des manuels antisémites et prônant le djihad sont au cœur de la formation d’imams à Bruxelles, selon un rapport confidentiel

Belgique: Près de 40% des Turcs de Flandre disent que la religion devrait systématiquement prévaloir sur la loi belge

Belgique: les manuels xénophobes de la mosquée de Bruxelles. « On y décrit que tout musulman sunnite doit mener la guerre aux non sunnites. »

Belgique : Malgré l’interdiction de la polygamie, des centaines de pensions sont versées à des veuves polygames

 

 

Genève: Condamné pour avoir insulté une élue socialiste : « pas de piscines pro-muzuls salope! »

Un homme écope de jours-amendes avec sursis pour avoir injurié une conseillère municipale socialiste.

 

facebook

 

Cette conseillère municipale PS en Ville de Genève vient d’apprendre que sa plainte pénale, déposée en décembre à la suite d’insultes publiées sur Facebook, a porté ses fruits. Un certain M.W., qui avait posté des propos sexistes accompagnés d’une photo de la socialiste après un débat au Conseil municipal sur le port du burkini, vient d’être condamné pour injure. Il écope d’une amende immédiate de 540 francs ainsi que de 30 jours-amendes avec sursis et un délai d’épreuve de trois ans. Il devra en outre payer les frais de procédure, s’élevant à quelque 500 francs.

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Genève: Port du burkini autorisé dans les piscines

Au centre de polémiques, le vêtement fait son entrée dans les piscines du bout du lac. Il reste prohibé à Lausanne.

Entré en vigueur le 1er septembre, il prévoit que «les tenues de bains sont autorisées». Une formulation générique qui permet au burkini, interdit jusqu’alors, de faire son entrée dans les bassins de la Cité de Calvin. Le port de cette tenue longue, qui couvre l’ensemble du corps excepté le visage, les mains et les pieds, se trouve régulièrement au cœur de polémiques.

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Vienne: une piscine interdit le burkini, une musulmane prétend que c’est raciste et organise une manifestation.

Les musulmans de Vienne envisagent d'organiser une action de protestation après qu’une piscine a interdit le port du burkini à une femme.

Le scandale a éclaté lorsqu'un employé de la piscine couverte Stadthallenbad a exigé qu'une jeune musulmane quitte cet établissement de Vienne, rapporte le Local.

Expliquant les causes de l'interdiction, l'administration de l'établissement se réfère aux règles qui stipulent que tous les costumes de bain doivent être produits dans des matériaux appropriés. Les responsables ajoutent que le costume en coton d'une des femmes n'était pas conforme à ces normes.

L’intéressée a qualifié la décision de l'administration de raciste et a déposé une plainte auprès de la Communauté islamique autrichienne et du Conseil consultatif antiraciste ZARA.

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Des Québécoises libres de porter le burkini à l’école

Radio-Canada a appris qu'au moins deux écoles secondaires du Grand Montréal offrant des cours de natation entre leurs murs considèrent le burkini comme un accommodement raisonnable, inscrit dans le code vestimentaire de l'élève. S'il est difficile de savoir combien de jeunes femmes bénéficient de cet accommodement, on constate que le port du burkini est couramment accepté dans trois commissions scolaires.

Pour certains, le burkini est un symbole d'inégalité, mais pour d'autres il n'est que le simple prolongement du hijab. Samira Laouni, une militante pour les droits des femmes musulmanes, applaudit la mesure adoptée par les trois commissions scolaires.

« Je trouve ça extraordinaire [...] je pense que nous sommes dans un pays de droits, de liberté de choix et chaque liberté doit être respectée dans son intégralité », soutient-elle.

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Voile, burqa, burkini et autres muselières islamiques

   
Michel Garroté - Ci-dessous, les extraits d'une interview de notre ami Philippe Karsenty  avec Riposte Laïque. N’hésitez pas à faire circuler cette interview et à la partager sur les réseaux sociaux (voir lien vers source en bas de page). Mais pour mémoire, j'aimerais commencer par reproduire ici un résumé (paru en 2013 sur Les Observateurs) du combat de Philippe Karsenty dans le cadre de "L'Affaire al-Dura", véritable - et vrai - thriller politico-médiatique qui dépasse la fiction (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le 30 septembre 2000, un reportage de France 2 commenté par Charles Enderlin montre l’armée israélienne tuant un enfant palestinien au carrefour de Netzarim, dans la bande de Gaza. Le petit Mohammed Al-Dura est délibérément et longuement visé par des soldats. Commentaire d’Enderlin : « Ici, Jamal et son fils Mohamed sont la cible de tirs venus de la position israélienne (images de la position israélienne).
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Mohamed a 12 ans, son père tente de le protéger. Il fait des signes. Mais une nouvelle rafale, Mohamed est mort et son père gravement blessé ». Ce reportage a été réalisé par le cameraman palestinien Talal Abu Rahma qui a ramené les images à Enderlin, lui-même pas présent sur les lieux. Le reportage fait le tour du monde, fanatise les populations arabes et les mouvements pro-palestiniens et entraîne des violences sans précédent. Des manifestations se solderont par la mort de treize Arabes et d’un Juif. Le 12 octobre, deux réservistes de l’armée israélienne en civil sont lynchés par la foule de Ramallah aux cris de « vengeance pour Al-Dura ! ». La mort de l’enfant sera aussi invoquée pour décapiter le journaliste Daniel Pearl au Pakistan.
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Le reportage d’Enderlin est sans cesse instrumentalisé par les mouvements islamistes et « antisionistes », son nom fait l’objet d’innombrables « produits dérivés » alimentant la haine d’Israël. Des soupçons de falsification naissent rapidement. En 2002 déjà, la chaîne publique allemande ARD diffuse un reportage qui met en cause la version d’Enderlin et de son cameraman. Plusieurs indices concordants indiquent que les scènes tournées ce jour-là seraient en grande partie des mises en scène. Philippe Karsenty, homme d’affaire qui abandonnera son activité professionnelle pour consacrer toute son énergie à traquer le mensonge, parle dans un communiqué publié sur son site de « fausse mort, faux reportage, mascarade, supercherie, imposture médiatique ».
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France 2 a déclaré que des soldats israéliens avaient pris pour cible et tué un enfant sur la seule base du témoignage du cameraman Et ceci sans rien mettre au conditionnel, ni signaler que Charles Enderlin lui-même, qui faisait le commentaire, n’avait pas assisté à ce qu’il décrivait en termes tout à fait affirmatifs. Il devient même difficile de confirmer que l’enfant est mort. D’autres mystères alimentent la thèse de Karsenty: pas de trace d’un transport à l’hôpital, absence des balles qui sont censées avoir tué l’enfant et blessé son père, pas de trace de sang alors qu’il a forcément giclé lors des impacts, puis suinté des blessures, pas de témoins de cette longue scène, alors que le lieu est empli de gens de presse (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Voile, burqa burkini, muselière islamique :
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Riposte Laïque : Vous avez récemment fermement critiqué nombre d’institutions juives, en France, et notamment le CRIF. Pour quelles raisons ?
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Philippe Karsenty (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Je pense que le CRIF ne représente plus les Juifs de France. Je dis « plus » mais les a-t-il vraiment un jour représentés ? Le CRIF est devenu la courroie de transmission du pouvoir pour faire avaler les pilules amères aux Juifs de France qui sont de plus en plus désemparés. Les Juifs sont des Français comme les autres et ils n’ont pas besoin de représentants qui s’inclinent à la moindre sommation. Leur situation se dégrade année après année mais leurs représentants sont toujours aussi polis et dociles vis-à-vis des pouvoirs publics.
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Le chantage à la sécurité qu’exercent les politiques, quels qu’ils soient, ne leur facilite pas la tâche. N’est-il pas temps pour ces pseudo-représentants de se faire entendre ? Est-il acceptable que les médias publics français – l’AFP, France TV et Radio-France en tête – poursuivent leur diabolisation d’Israël et des Juifs sans que le CRIF ne réagisse ? Je ne le pense pas. Le dîner du CRIF est comique. La plupart des politiques y vont, de peur qu’on ne leur reproche leur absence mais, quand ils en parlent en privé, ils ne sont pas tendres. J’y suis invité chaque année et je n’y vais plus depuis bien longtemps.
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Le CRIF est mort, vive les Juifs ! Face aux défis que la société française doit affronter, les Juifs auront peut-être besoin de voir émerger un leadership – politique, intellectuel et cultuel – à la hauteur des enjeux actuels. Ranimer le CRIF pour en faire un acteur écouté ? Monter une autre structure réellement représentative ? Je ne sais pas mais en tout cas, le système actuel ne fonctionne pas. Et si les Juifs sont des Français comme les autres, la violence des attentats terroristes qui ont frappé la France depuis plusieurs années a montré aux Français qu’ils sont eux aussi des Juifs comme les autres je veux dire des cibles parmi tant d’autres.
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Riposte Laïque : Après le voile, la burqa et le burkini, la muselière bientôt en France ? Va-t-on un jour voir des muselières dans les rues de nos villes et de nos banlieues ? Alors, c’est compatible ou non ?
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Philippe Karsenty : La réponse ne peut se résumer à un oui ou à un non.  La France doit affronter une période difficile. Notre société est attaquée de toutes parts et elle ne semble pas savoir comment répondre. Nous sommes face à deux types de djihad. Le djihad violent et terroriste qui marque les esprits et meurtrit le pays. Ce djihad a aussi pour objectif de mettre à genoux nos économies, ce qu’il parvient à faire dans certains secteurs comme le tourisme. Le second djihad, qui m’inquiète peut-être encore plus, est le djihad civilisationnel.
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Les Frères Musulmans et d’autres organisations extrémistes testent nos sociétés pour voir jusqu’où ils peuvent aller. Souvenez-vous de la France et des pays arabes jusque dans les années 80. Le voile y était quasiment inexistant. Par la suite, les islamistes nous ont testés et sont parvenus à imposer la notion de « pudeur » et, par conséquent, de voile dans nos banlieues… et ailleurs. Il a fallu que le voile soit interdit dans les écoles. Nous avons vu ensuite arriver la burqa. Je me souviens que seule la droite et quelques élus de gauche ont voté en 2010 la loi qui l’interdisait.
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Cet été, nous avons observé la comédie du burkini à laquelle les médias ont donné une trop grande place car, comme toujours, nos médias font le jeu des islamistes qui excellent à occuper le terrain, tant physique que médiatique. Il me semble que la France se prépare à capituler une nouvelle fois face aux assauts des intégristes musulmans alors que nous devrions nous poser une question simple : est-ce que ces voiles, niqabs, hijabs et autres burqas doivent être traités comme des vêtements ou comme les uniformes de troupes tentées d’imposer leur modèle de société à la France ?
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Je sais qu’en disant cela je m’expose à une fatwa médiatique assez sévère mais cela doit être dit. Va-t-on bientôt nous expliquer que c’est une coutume ancestrale que nous devrions accepter et à laquelle nous devrions nous habituer ? Va-t-on un jour voir des muselières dans les rues de nos villes et de nos banlieues ? Je ne l’espère pas et c’est pour cela que je pense que l’occupation du terrain par les islamistes doit être régulée, si ce n’est stoppée.
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Riposte Laïque : Comment appréhendez-vous le problème des réfugiés venus d’Orient ?
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Philippe Karsenty : Je ne pense pas que ce soit une bonne idée de les accueillir en France. Je comprends le problème humanitaire créé mais je ne vois pas pourquoi ce serait à l’Europe de le régler. Même si seulement une infime partie des migrants se transformera en « réfujihadistes », nous ne pouvons pas nous permettre de prendre le risque d’une nouvelle attaque importée. De plus, l’immense majorité de ceux qui arrivent de Syrie, d’Afghanistan et d’autres pays de la région viennent avec, dans leur bagage intellectuel, une haine de l’Occident, des croisés et des Juifs qui est inculquée dans leur éducation, dès le plus jeune âge. Ne parlons pas de leur traitement des femmes.
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Regardez ce qui se passe en Allemagne et en Suède où les viols et les violences liés à ces arrivées se multiplient avec le silence complice des médias dominants, véritables idiots utiles de l’islamisation rampante de nos sociétés. Et comment ne pas être estomaqué quand on entend le Pape affirmer « Si je parle de violence islamique, je dois aussi parler de violence catholique » ? Le fait-il exprès ou bien est-il le marxiste que certains le soupçonnent d’être ? Je note que Jean-Luc Mélenchon a affirmé, ce dimanche 28 août 2016, en parlant du Pape « Celui-là, il est avec nous ». Pas très rassurant (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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https://lesobservateurs.ch/2013/06/27/enderlin-karsenty-epilogue-dune-des-plus-meurtrieres-tromperies-mediatiques/
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http://ripostelaique.com/apres-le-voile-la-burqa-et-le-burkini-la-museliere-islamique-bientot-en-france.html
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Arrêté anti-burkini : l’avocate de la ville de Nice met en avant des risques de « guerre civile »

L’avocate qui représente la ville de Nice déplore la décision du Conseil d’État d’empêcher les arrêtés anti-burkini pris dans une trentaine de communes françaises.

«Selon l’ordonnance du Conseil d’État, un arrêté comme celui de Nice peut être pris s’il y a un risque avéré de trouble à l’ordre public», a exposé Me Pauline de Faÿ, avocate au barreau de Paris, représentant la municipalité devant le tribunal administratif de Nice. «En l’espèce, non seulement il y a un risque avéré, mais il y a même déjà des troubles à l’ordre public», a-t-elle ajouté.

Assignée en justice, tout comme Nice, par la Ligue des droits de l’homme (LDH) et le Collectif contre l’islamophobie (CCIF), la ville de Menton a aussi argué devant le tribunal niçois d’un contexte particulier pour justifier son arrêté à l’audience mercredi. Son avocat, Me Fabrice Barbaro, a cité les sentiments racistes qui se développent dans une partie de la population de cette ville frontalière face à l’afflux de migrants africains, très nombreux dans la ville voisine Vintimille,en Italie.

Le Point

L’ONU défend le droit à porter le burkini

Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme a vivement défendu mardi le droit à porter le burkini, fustigeant les arrêtés pris en France contre cette tenue vestimentaire et estimant qu'ils favorisent la "stigmatisation" des musulmans.

Dans un communiqué, le Haut-Commissariat appelle "toutes les autorités locales ayant adopté des interdictions (...) à les annuler immédiatement".

"Les codes vestimentaires, tels que les décrets anti-burkini, affectent de manière disproportionnée les femmes et les filles et sapent leur autonomie en niant leur aptitude à prendre des décisions indépendantes sur leur manière de se vêtir", assure le communiqué.

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Rappel: En Arabie Saoudite, il est interdit d’avoir des bibles, des images religieuses et des chapelets ; s’ils sont détectés à l’aéroport, ils sont immédiatement confisqués.

Le président du CCIF qui poursuit quatre villes pour islamophobie a participé au Camp décolonial… interdit aux Blancs!

Christian Hofer: Le Matin traite le restaurateur du Cénacle de raciste mais passe sous silence un camp interdit aux Blancs.

Article complémentaire qui fait suite aux poursuites du CCIF alors que son président participe sans aucun problème au Camp décolonial de Reims, pourtant discriminant et qu'aucune officine antiracistes ne veut condamner.

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Sa tenue suscite le débat depuis le printemps dernier ou il avait même été condamné par la ministre de l’Education Nationale, Najat Vallaud-Belkacem. Mais ce week-end, le camp d’été décolonial, organisé par les deux militantes Sihame Assbague et Fania Noël, a bien eu lieu au centre international de la jeunesse de Reims.

Si une poignée de partisans du Front National était venue protester lors de la première journée, en ce deuxième jour, les abords du centre sont calmes. A l’intérieur, certains participants terminent leur petit-déjeuner quand d’autres prennent déjà place pour la conférence animée par le sociologue Marwan Mohammed : “Militer dans les quartiers au prisme des rapports de pouvoir dans la rue”.

 

Source

 

Arrêtés anti-burkini : quatre villes dont Nice et Fréjus assignées en justice par le comité contre l’islamophobie

Christian Hofer: A noter que ce collectif « entretient d'excellentes relations avec l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) » proche des frères musulmans.

Son président Marwan Muhammad se produit régulièrement en présence d'imams salafistes et a même déclaré :

« Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française. »

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Quatre villes de la Côte d'Azur ont été assignées en justice par le comité contre l'islamophobie (CCIF) pour obtenir la suspension de leur arrêté anti-burkini, a indiqué ce lundi l'avocat niçois de l'association. «J'ai déposé un référé liberté pour les communes de Nice, Roquebrune-Cap-Martin, Menton et Fréjus», précise Sefen Guez Guez.

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Burkini: la Ligue des Droits de l’Homme poursuivra les maires qui interdisent le burkini

Christian Hofer: A noter que les Droits de l'Homme ne sont pas reconnus dans l'islam puisque la liberté de religion n'existe pas chez les musulmans, ni l'égalité entre les hommes (les communautés non musulmanes sont persécutées dans de nombreux pays musulmans).

Ce qui ne prive évidemment pas cette ligue de défendre ce dogme.

Oui on est devenu totalement fou en Europe.

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Le Conseil d'Etat a tranché ce vendredi 26 août: l'arrêté dit anti-burkini pris par Lionnel Luca, le maire Les Républicains de Villeneuve-Loubet, est suspendu. Au micro de RTL ce matin, la président d'honneur de la Ligue des des droits de l'Homme, Michel Tubiana, s'est dit satisfait de cette décision. Il a par ailleurs annoncé être prêt à poursuivre les maires qui ne respecteraient pas la décision du Conseil d'Etat.

"Le Conseil a bien jugé. Il a rappelé que les maires ne détenaient pas des pouvoirs qui leur permettaient de faire tout et n'importe quoi. Mais que notamment ils devaient respecter la liberté de conscience, la liberté d'aller et venir et la liberté personnelle."

 

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Rappel: Selon la Cour européenne des Droits de l’homme, la Charia est incompatible avec les principes fondamentaux de la démocratie

Le maire de Londres, Sadiq Khan, condamne fermement l’interdiction du burkini en France

Bien évidemment, ce même Sadiq Khan se fiche éperdument lorsqu'il est interdit de porter la croix en Arabie Saoudite.

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Les maires de Paris et de Londres sont tombés d'accord : la polémique sur le port du burkini n'a pas lieu d'être en France et les arrêtés pris par plusieurs communes côtières sont une atteinte à la liberté des femmes de porter ce qu'elles souhaitent.

Sadiq Khan, de passage à Paris où il a visité en compagnie d'Anne Hidalgo et de Xavier Niel la station F qui sera à son ouverture en 2017 le plus grand incubateur de start-up au monde, a redit que c'était aux femmes seules de choisir la tenue qu'elles souhaitaient arborer.

"Ma position est simple : je suis fier d'être féministe (...) et je pense que personne ne devrait dire aux femmes quoi porter", a déclaré le maire travailliste à Paris, comme il l'avait déjà expliqué plus tôt jeudi dans une interview a quotidien Evening Standard.

"Personne ne devrait dicter aux femmes ce qu'elles doivent porter. Un point c'est tout. C'est aussi simple que cela", avait ainsi déclaré le premier maire musulman d'une grande capitale occidentale, dans un entretien au quotidien londonien Evening Standard. "Ce n'est pas juste. Je ne dis pas que notre modèle est parfait, mais l'une des qualités  de Londres, c'est que non seulement nous tolérons la différence, mais nous l'intégrons et nous la célébrons".

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France: Une mère de famille qui se baignait seins nus violentée par des adolescents. Elle finit le nez en sang et la culotte arrachée.

Jeudi dernier, plusieurs témoins racontent comment une femme en monokini a été agressée par un groupe de personnes au plan d'eau de Châteauneuf-sur-Charente

"Trop vêtue", ça ne va pas, "pas assez vêtue", ça ne va pas non plus ? Alors que l'actualité nationale s'enflamme sur le port du burkini, à Châteauneuf-sur-Charente, une quinzaine de personnes ont violemment reproché à une femme de se baigner en monokini. Plusieurs témoins de la scène racontent comment cette mère de famille d'une trentaine d'années est arrivée jeudi dernier au lieu de baignade du Bain des Dames avec son mari et leurs trois enfants, en portant juste un bas de maillot.

D'après eux, plusieurs adolescents lui auraient crié de cacher sa poitrine, chose qu'elle aurait farouchement refusée. Les esprits se seraient rapidement échauffés à tel point que la jeune mère de famille aurait été insultée, bousculée, pire frappée. Toujours selon les spectateurs passifs de cette agression, le groupe devenu violent lui aurait arraché la culotte de son maillot dans la bousculade. Nue, le nez en sang, la victime a fini par se rhabiller et quitter les lieux avec sa famille.

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Kamel Kabtane : « Un démenti cinglant pour ceux qui affirment que l’islam n’a aucune place en France, en Europe, en Occident »

La grande mosquée de Lyon appelle les musulmans à être « fiers de la France » après la suspension de l’arrêté anti-burkini d’une commune de la Côte d’Azur par le Conseil d’État aujourd’hui.

« Cette décision de justice a symboliquement vocation à servir de modèle » et « les musulmans doivent être fiers de la France et de son État de droit« , a réagi le recteur de la mosquée, Kamel Kabtane, dans un communiqué.

« A ceux qui affirment avec véhémence et non sans violence que l’islam n’a aucune place en France, en Europe, en Occident (…), le Conseil d’État apporte un démenti cinglant« , ajoute-t-il. « L’islam a toute sa place dans la République et il a droit aujourd’hui au cadre juridique dans lequel s’exerce la liberté de conscience du musulman, qu’il prie dans cette mosquée ou qu’il se baigne dans la mer« , insiste le recteur.

Le Figaro

Burkini: le maire de Sisco maintient son arrêté

Ange-Pierre Vivoni, le maire socialiste de Sisco (Haute-Corse), maintient son arrêté "anti-burkini", pris au lendemain d'une violente rixe entre des Marocains de Furiani et des villageois dans sa commune mi-août, malgré la suspension par le Conseil d'Etat d'un texte similaire.

La plus haute juridiction administrative française a suspendu aujourd'hui un arrêté municipal anti-burkini, celui de la commune de Villeneuve-Loubet (Côte d'Azur), avertissant les maires que toute interdiction de ces tenues de bain islamiques couvrantes devait s'appuyer sur des "risques avérés" pour l'ordre public.

"Je ne me sens pas concerné par la décision du Conseil d'Etat", a déclaré le maire à l'AFP. "Mon arrêté n'était pas de la prévention, je l'ai pris pour la sécurité des biens et personnes de ma commune, je risquais d'avoir des morts !", a-t-il expliqué.

Source

France: Le Conseil d’Etat suspend l’interdiction du burkini

Le Conseil d'Etat a tranché. Vendredi 26 août, il a ordonné la suspension de l'arrêté de Villeneuve-Loubet (Alpes-Maritimes) interdisant le burkini sur les plages. L’ordonnance du Conseil d’Etat précise que "l'arrêté litigieux a ainsi porté une atteinte grave et manifestement illégale aux libertés fondamentales que sont la liberté d’aller et venir, la liberté de conscience et la liberté personnelle".

Pdf de la décision:

322239827-Le-Conseil-d-Etat-invalide-l-arrete-anti-burkini-de-Villeneuve-Loubet

Le Conseil d'Etat souligne avec insistance que toute interdiction de ces tenues de bain islamiques très couvrantes devait s'appuyer sur des "risques avérés" pour l'ordre public. Dans cette décision de dernier recours, qui fera autorité pour toutes les juridictions administratives de France, le Conseil d'Etat rappelle à tous les maires qui ont invoqué le principe de laïcité qu'ils ne peuvent se fonder sur "d'autres considérations" que l'ordre public, "le bon accès au rivage, la sécurité de la baignade ainsi que l'hygiène et la décence"pour interdire l'accès aux plages.

Une décision qui fera date

Cette décision du Conseil d'Etat était très attendue, alors que le débat sur l'interdiction du burkini fait rage, en France. La Ligue des droits de l'homme ainsi que le Collectif de lutte contre l'islamophobie en France (CCIF), qui ont porté plainte, avaient demandé la suspension de l'arrêté. Mais ils demandaient aussi une grande décision de principe, consacrant la liberté de religion.

La décision fera date pour la trentaine de communes françaises ayant pris des arrêtés similaires, mais aussi pour l'exécutif. Le gouvernement comptait en effet sur le Conseil d'Etat pour trancher, au moins juridiquement, un débat qui n'en finit pas de s'envenimer et de diviser jusqu'en son sein. S'exprimant jeudi pour la première fois sur le sujet, le président François Hollande s'était bien gardé de s'avancer. Il avait appelé à ne céder ni à la "provocation" ni à la "stigmatisation", mettant en avant le "grand enjeu" de "la vie en commun"dans le pays qui compte la plus importante communauté musulmane d'Europe.

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