Pour la première fois, les policiers qui étaient au Bataclan racontent ce qu’ils ont vécu

Le 13 Novembre de la BRI - Ep. 1 (3:05)

22h30 L’ARRIVEE AU BATACLAN
A 3 mois de l'ouverture du procès des attentats du 13 Novembre 2015, France 3 Paris Ile-de-France vous propose un document exceptionnel. Pour la toute première fois, ceux qui étaient face aux terroristes au Bataclan acceptent de témoigner... Le 13 novembre 2015, les policiers de la BRI viennent de terminer une grosse affaire d’enlèvement . Après les explosions au Stade de France, un message s’affiche sur leurs téléphones : « retour service » au 36 Quai des Orfèvres à Paris. Deux premiers groupes d’une douzaine d’opérateurs sont alors dirigés vers ce qui n’est alors qu’une rumeur de coups de feu sur des terrasses parisiennes, et des explosions au Stade de France (en appui du RAID) à Saint-Denis. C’est en route qu’ils reçoivent l’ordre de se diriger vers le Bataclan où des tirs d’armes automatiques ont été entendus. Plusieurs victimes sont déjà à déplorer aux abords de la salle de spectacle. La BAC 94N et la BAC 75N sont sur place. La FIR (Force d‘intervention Rapide) de la BRI de Paris est la première à arriver : une douzaine d’hommes équipés plus légèrement dont la mission est d’arriver sur site dans les 15 minutes qui suivent leur départ du 36 Quai des Orfèvres. Le reste des effectifs arrive à 22h45 avec les équipements balistiques plus lourds (armes et bouclier sarcophage Ramses). Un PC tactique est monté à l’extérieur dans un des commerces voisins. L’assaut donné au Bataclan est une première à l’échelon mondial : un attentat dans un lieu clos, avec terroristes armés de Kalachnikov et gilets explosifs, des otages utilisés en boucliers humains et des centaines d’autres retenus prisonniers dans l’enceinte sous la menace de djihadistes. Les policiers de la Brigade de Recherche et d’intervention de Paris nous racontent en exclusivité leur soirée. Un feuilleton réalisé par Laurence Barbry et Louise Simondet.

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Le 13 Novembre de la BRI - Ep. 2

23H15 LA NEGOCIATION Suite de notre feuilleton consacré au 13 Novembre 2015 de la BRI. Nous avons découvert l'arrivée de ces policiers d'élite, appelés au Bataclan où plusieurs terroristes avaient tiré sur la foule. Après 15 minutes de fouilles, ils localisent les djihadistes. Commence alors la deuxième phase de leur mission : la négociation. Pour la première fois depuis les attentats, plusieurs policiers de la BRI de Paris (opérateurs, négociateur, médecin, démineur) ont accepté de livrer leurs témoignages face caméra. Ils ont choisi France 3 Paris Ile-de-France. Un feuilleton réalisé par Laurence Barbry et Louise Simondet. Montage : Lisa Dubos

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Le 13 Novembre de la BRI - Ep. 3 (3:12)

00H18 L’ASSAUT Suite de notre feuilleton consacré au 13 Novembre de la BRI. Deux terroristes se sont retranchés dans un couloir du Bataclan avec une quinzaine d'otages. Cinq échanges téléphoniques ont été passés avec le négociateur de la Brigade de Recherche et d'Intervention. En vain, l'assaut semble inéluctable. Le 13 Novembre de la BRI, un document exclusif de Laurence Barbry, Louise Simondet. Montage Lisa Dubos

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Le 13 Novembre de la BRI - Ep. 4

00h18 A FIN DE L'ASSAUT ET LA LIBERATION DES OTAGES Suite de notre feuilleton consacré au 13 Novembre de la Brigade de recherche et d'intervention de Paris. Nous avons quitté ses policiers alors qu'ils venaient de donner l'assaut. L'un des terroristes a déclenché son gilet explosif mais le second est toujours en vie ; et plusieurs dizaines d'otages restent retenus prisonniers. Un feuilleton réalisé par Laurence Barbry et Louise Simondet. Montage : Lisa Dubos

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L’APRES BATACLAN Fin de notre feuilleton consacré au 13 Novembre de la Brigade de recherche et d'intervention de Paris. Les policiers qui étaient en première ligne, dans les colonnes d'assaut, nous ont raconté le déroulement de la prise d'otages et son issue. Un attentat sans précédent sur la forme qui a laissé des traces chez chacun d'entre eux. Une série signée Laurence Barbry, Louise Simondet et Lisa Dubos.

source:https://lalettrepatriote.com/pour-la-premiere-fois-les-policiers-qui-etaient-au-bataclan-racontent-ce-quils-ont-vecu/

Retard de l’assaut au Bataclan : le livre explosif sur les policiers de la Brigade d’intervention qui accuse

« C’est à cause de l’interdiction, inexpliquée, d’intervenir rapidement au Bataclan, imposée à la BI que vous devez de lire ce livre. Les autres problèmes auxquels ces policiers sont confrontés n’auraient pas suffi à les faire sortir de leur réserve s’il n’y avait eu ces délais imposés durant les attentats. C’est la goutte d’eau qui a décidé certains policiers à sortir de ce silence très ancré dans la culture policière. Malgré les risques de rétorsion auxquels ils s’exposent de la part de leur hiérarchie. »

Dans son nouvel ouvrage « BI : Brigade d’intervention » (éditions Le Cherche Midi), sorti le 23 janvier dernier, la journaliste d’investigation Laurence Beneux dévoile pour la première fois les coulisses de cette brigade d’élite ultraconfidentielle et révèle témoignages à l’appui les dessous de leurs exploits comme de leurs ressentiments. Un tableau édifiant de la police d’aujourd’hui qui promet de faire du bruit.

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Valeursactuelles.com

Nos remerciements à Victoria Valentini

Censure après l’attentat du Bataclan : les victimes et les témoins étaient sommés de ne pas critiquer l’islam

Vidéo inédite d'une témoin de l'attentat du Bataclan. On y apprend notamment que les musulmans menaçaient bien avant le jour de l'attentat et que la police était au courant de nombre de menaces. Bien des événements ont été cachés du grand public.

 

https://youtu.be/v2EdPIIiUXk

 

Après l'attentat, les journalistes ont sélectionné les déclarations des témoins en ne prenant que les témoignages faisant l'éloge du vivre-ensemble. Ce sont ces témoignages qui ont eu l'honneur des médias. Les autres ont été censurés.

Par contre, Patrick Jardin qui a perdu sa fille et qui n'a pas voulu jouer ce jeu hypocrite est aujourd'hui fiché S.

La psychologue qui intervenait pour animer le groupe de victimes était de confession musulmane. Au cours de ces échanges, les victimes n'avaient pas le droit de prononcer le mot islam. C'était le mot tabou. La parole était donc bâillonnée.

Lors de son hospitalisation, les médecins lui ont demandé de se réconcilier avec l'islam.

Lors des élections présidentielles de 2017, Juliette Méadel, porte-parole du parti socialiste et secrétaire d'état en charge des victimes, a demandé à ce qu'il n'y ait pas de votes pour Marine Le Pen. Ce communiqué est passé dans toutes les associations de victimes.

Suite à cet attentat, cette femme témoin a déménagé dans un village du Pas-de-Calais et a reçu des dizaines d'insultes sur sa page Facebook. La raison? certains habitants de ce village, qui sont de gauche, ont défendu l'islam plutôt que les victimes.

 

Médine au Bataclan : les concerts du rappeur ont été transférés au Zénith de Paris

Les concerts du rappeur Médine, prévus au Bataclan les 19 et 20 octobre prochains, auront finalement lieu au Zénith de Paris, le 9 février 2019. La salle de concert parle d'«une volonté d'apaisement», le rappeur d'une décision «douloureuse».

Les concerts de Médine au Bataclan n'auront pas lieu. Un communiqué de la salle a annoncé ce 21 septembre que les concerts du rappeur étaient reportés et transférés «dans une autre salle parisienne».

«Médine et Le Bataclan ont décidé, dans une volonté d'apaisement, que les concerts initialement prévus au Bataclan, les 19 et 20 octobre 2018, soient reportés dans une autre salle parisienne. Nous espérons ainsi que Médine pourra accueillir son public dans les meilleures conditions qui soient», peut-on lire dans le communiqué.

Dans un tweet publié le même jour, le rappeur a fait part de la nouvelle du report de ses concerts, évoquant une décision «douloureuse». Il a également annoncé que c'est au Zénith de Paris qu'il donnera son prochain concert parisien, le 9 février 2019.

 

 

Plus tôt dans la journée, l'un des avocats des victimes de l'attentat du 13 novembre avait demandé l'ouverture d'une enquête contre le rappeur qui devait se produire en octobre au Bataclan, arguant que les paroles de plusieurs de ses chansons incitaient à la haine, la discrimination et la violence. «Je pense qu'une enquête doit être diligentée et que des poursuites doivent être engagées», a-t-il déclaré.

Depuis juin, la polémique ne cessait d'enfler. D'abord dénoncée sur les réseaux sociaux, puis reprise par des personnalités politiques de droite, la programmation de deux dates du rappeur Médine au Bataclan avait suscité de vives réactions. En cause notamment, les textes de certaines de ses chansons qui vilipendent la laïcité, ainsi que ses liens avec une association qui donne la parole à des prédicateurs islamistes. Un pedigree jugé incompatible avec la tenue d'un concert dans une salle désormais devenue l'un des symboles de la barbarie djihadiste en France.

Ses détracteurs dénonçaient principalement les paroles de la chanson Don't laïk, dont le clip a été diffusé en 2015 : «Crucifions les laïcards comme à Golgotha», «Si j'applique la Charia les voleurs pourront plus faire de main courante», «Marianne est une femen tatouée "Fuck God" sur les mamelles» ou encore «J'mets des fatwas sur la tête des cons».

Face aux critiques, le rappeur, qui assume une ligne provocatrice en tant qu'artiste, avait toutefois déjà reconnu avoir eu «la sensation d’être allé trop loin». Dans une interview accordée aux Inrocks en mars 2017, il déclarait ainsi : «La provocation n’a d’utilité que quand elle suscite un débat, pas quand elle déclenche un rideau de fer. Avec Don’t laïk, c’était inaudible et le clip a accentué la polémique. J’ai eu la sensation d’être allé trop loin.»

RT

Appel de 100 patriotes : pas de Médine au Bataclan, au nom du respect dû à nos morts

Tout est parti d’une mobilisation des Français sur les réseaux sociaux. La venue de Médine, rappeur islamiste, au Bataclan a été violemment critiqué. Puis, Patrick Jardin, père d’une des victimes du terrorisme islamiste, a appelé « à empêcher le crachat à la mémoire des victimes du Bataclan ».
Récemment, cinq associations patriotes (CNRE, Ligue du Midi, Résistance républicaine, Riposte laïque et SIEL) ont décidé de lancer un appel patriote à soutenir la démarche de Patrick Jardin, avant d’être rejoints par 100 signataires issus de divers horizons (politique, médias, société civile …).

L’appel de Patrick Jardin à empêcher le crachat à la mémoire des victimes du Bataclan nous a bouleversés. Nous ne pouvions pas laisser ce père éploré crier dans le désert et se retrouver seul, le 19 octobre au soir, face à Médine, face aux 1 500 spectateurs indifférents à la tragédie du 13 novembre 2015. 

Alors, les courriels et coups de fil ont été nombreux entre les responsables de 5 associations patriotes, CNRE, Ligue du Midi, Résistance républicaine, Riposte laïque et SIEL et nous avons décidé de lancer un appel patriote à soutenir la démarche de Patrick Jardin.

Le voici, ci-dessous. Nous avons passé 48 heures assez folles à faire circuler notre projet de texte pour trouver les 100 patriotes qui le signeraient, qui en feraient la promotion et le feraient connaître de leur famille de pensée. Elles sont toutes représentées, sauf celles qui n’ont pas voulu répondre à l’appel.

Nous voulions que chaque Français puisse se reconnaître dans cette Union des Patriotes qui se lève pour empêcher l’inimaginable, Médine chantant devant les corps encore chauds des victimes de terroristes islamistes.

Au 19 octobre devant le Bataclan ! 

Pas de Médine au Bataclan, au nom du respect dû à nos morts

Le 13 novembre 2015, une série d’attentats islamistes causaient, dans différents points de Paris, la mort de 130 personnes dont 89 seront exécutées, de manière barbare, au Bataclan. Des centaines d’autres resteront handicapées et traumatisées à vie.

Presque trois ans plus tard, cette salle de spectacle, qui appartient au Groupe Lagardère dont le Qatar est à présent le principal actionnaire, a osé proposer au rappeur islamiste Médine d’y tenir un spectacle, les 19 et 20 octobre prochains. Ce « chanteur » n’hésite pas à prôner ouvertement, sur des photos, le djihad, avec un sabre, appelle dans ses chansons, à crucifier les laïcards, se vante de « fêter les émeutes comme tu fêtes la Toussaint », avec des paroles ouvertement racistes et haineuses.

Cette insulte à la mémoire des victimes, à la souffrance de leur famille, cette provocation malsaine à l’encontre de la France et de ses morts innocents ne paraît pas émouvoir notre gouvernement. Pourquoi pas des concerts de Médine à Nice, à l’église de Saint-Étienne-du-Rouvray, à Magnanville, et partout où les coreligionnaires de Médine ont tué ? Qui pourrait accepter que des adeptes de l’idéologie d’Adolf Hitler osent monter un spectacle à Oradour-sur-Glane ?

Les Français, durement touchés dans leur chair par une série d’attentats sanglants et par de multiples agressions au camion, à la voiture, au couteau ou à la kalachnikov, ne peuvent accepter ce nouveau défi des islamistes qui, à cette occasion, testent les capacités de résistance de notre nation.

Si les « Gaulois » acceptent cela, sans réagir, la France sera la risée du monde, et nos compatriotes devront accepter bien d’autres humiliations par la suite. Ce nouveau défi est intolérable. Il est temps de mettre un coup d’arrêt à ce funeste scénario.

Au-delà de nos différences, nous appelons tous nos compatriotes à se rendre disponibles pour montrer, par leur présence massive devant le Bataclan, que la France n’est pas prête à se laisser humilier par Médine et ses complices islamistes, sur son propre sol.

Il en va de l’honneur des Français.

Tous devant le Bataclan, le 19 octobre à 18 heures.

Patrick Jardin, père de Nathalie, assassinée au Bataclan le 13 novembre 2015.

Henry Afonso, président de l’Union Gaulliste
Robert Albarèdes
, maire honoraire de Gréasque
Bernard Antony, président de l’Agrif et de Chrétienté-Solidarité
Anne Bastide, Ligue du Midi, Femmes en colère
Thomas Bégué, responsable du Bar associatif le Menhir-Bordeaux
Caroline-Christa Bernard, adhérente d’une Association des Victimes du Bataclan
Martial Bild, directeur de la rédaction et des programmes de TV-Libertés
François Billot de Lochner, président de la Fondation de Service politique
Jean-Claude Blanchard, conseiller municipal FN de Saint-Nazaire, conseiller régional Pays-de-Loire
Hugues Bouchu, Président des Amis Franciliens de Synthèse Nationale
Paule Bouvard, militante de la Ligue du Midi et du Cercle des Citoyens Patriotes
Thierry Bouzard, musicologue
Gérard Boyadjian, cinéaste, acteur
Gérard Brazon, ancien conseiller municipal de Puteaux
Claude Brovelli, ancien journaliste de la télévision française
Franck Buhler, membre Fondateur du Mouvement pour la France, Président du Conseil Départemental de la Résistance 82
Renaud Camus, écrivain, président du CNRE
Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque
Erick Cavaglia Administrateur Ligue du Midi Gard
François Célier, pasteur et écrivain
Jean-François Cerisier, lieutenant-colonel en retraite
Georges Clément, écrivain, président du Comité Trump
Jacques Clostermann, pilote de ligne
Christian Combaz, écrivain
Jean-Christophe Comet, fonctionnaire
Dan Corbet, trésorier de Résistance républicaine
Paul-Marie Coûteaux, écrivain
Gérard Couvert, Conseiller national Debout La France
Emmanuel Crenne, conseiller régional RN Occitanie
Hervé Cuesta, président d’une association d’Anciens Combattants
Jean-Michel Darqué, Ligue du Midi de Toulouse
Raphaël Delpard, Cinéaste et romancier
Charles Demassieux, écrivain
Alain de Peretti, président de Vigilance Halal
Henri Dubost, patron du Libre Journal de l’Identité à Radio Courtoisie
Ghislaine Dumesnil, conductrice de bus, présidente des Editions Riposte Laïque
Guillaume de Thieulloy, directeur du Salon Beige
Serge Federbusch, Ancien élu de Paris
Pierre Fortin, responsable de Résistance républicaine du Var
François Galvaire, président de la Meute-France
François Gaubert, général, conseiller régional RN en Occitanie
Jacques Ghedin, trésorier de Résistance républicaine
Philippe Gibelin, Président Nationalité-Citoyenneté-Identité
Jean-Cyrille Godefroy, éditeur
Jacques Guillemain, ancien officier de l’Armée de l’Air
Roland Hélie, président de Synthèse nationale
Véronique Hervouet, écrivain, psychanalyste, vice-présidente du Siel
Pascal Hilout, né Mohamed, Résistant à l’islamisation de la France
Fanny Idoux, ex-Truchelut, professeur de danse historique
Sébastien Jallamion, ancien policier
François Jay, président du Siel Bordeaux
Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France
Jean Lafitte, Chevalier de la Légion d’honneur, Commissaire colonel de l’Armée de l’Air en retraite
Bruno Lafourcade, auteur
Carl Lang, président du Parti de la France
Ronan Le Gall, porte-parole d’Adsav (Parti du peuple breton)
Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia
Nathalie Le Guen, conseillère régionale Nouvelle Aquitaine, conseillère municipale de Bègles
Hubert Lemaire, auteur
Christian Le Scornec, ancien conseiller régional Ile-de-France
Dominique Lescure, Administrateur Bloc Identitaire
Les Brigandes, groupe musical
Yves Maillard, capitaine de vaisseau honoraire
René Marchand, journaliste, écrivain
Éric Martin, Nouvelles de France
Samuel Martin, rédacteur-en-chef du quotidien Présent
Marcel Meyer, membre du CNRE
Nicole Mina, conseillère régionale Rassemblement national
Minurne Résistance, site patriote
Françoise Monestier, journaliste, secrétaire générale de Polemia
Claire Navarro, administrateur Cercle algérianiste Rhône-Ardèche
Karim Ouchikh, président du Siel, conseiller régional Île-de-France
Lucien Samir Oulahbib, auteur, enseignant, Président de resiliencetv.fr
Guy Pagès, prêtre
Caroline Parmentier, journaliste au quotidien Présent
Frédéric Pichon, avocat, vice-président du Siel
Gérard Pince, économiste, essayiste, président de la free world academy
Christian Piquemal, général, président du Cercle de Citoyens Patriotes
Guy Rolland,

Bataclan : la justice rejette le recours de victimes contre les « défaillances » de l’Etat

Le recours déposé par une trentaine de victimes des attentats du 13 novembre 2015 concernant les « défaillances » de l’État, notamment sur la détection des djihadistes et la sécurisation du Bataclan, a été rejeté mercredi par le tribunal administratif de Paris.

« Les éléments produits par les requérants ne permettent pas d’établir (…) que l’État aurait engagé sa responsabilité du fait d’un défaut de surveillance » des auteurs des attaques, indique le tribunal dans un communiqué de presse. Par ailleurs, « aucune faute ne peut être imputée aux services de police pour n’avoir pas mis en œuvre un dispositif de sécurité particulier autour de la salle de spectacle du Bataclan après le mois d’août 2015 », poursuit le texte.

Me Maktouf, à l’origine du recours, avait énuméré les « dysfonctionnements liés au défaut de surveillance et de vigilance des services de sécurité de l’État français », et la circulation des djihadistes au sein de l’espace Schengen.

Europe1

Médine et son album “Jihad” pas les bienvenus au Bataclan, dénoncent Le Pen et LR

Des élus de droite se mobilisent sur les réseaux sociaux contre les deux concerts que doit donner le rappeur en octobre.

Partie des milieux identitaires qui avaient très largement oeuvré à l'annulation du concert de Black M à Verdun, l'indignation s'est étendue aux hautes sphères du Front national et du parti Les Républicains. Ces samedi 9 et dimanche 10 juin, plusieurs élus et responsables de la droite et de l'extrême droite se sont vivement opposés aux deux concerts que doit donner le rappeur Médine en octobre au Bataclan à Paris.

A l'origine de leur courroux: les paroles délibérément provocatrices du rappeur qui avait signé un album intitulé "Jihad, le plus grand combat est contre soi-même" en 2005 ainsi qu'un titre "Dont Laïk" dans lequel il s'en prenait à l'hypocrisie de la laïcité, déclarant notamment "Crucifions les laïcards comme à Golgotha".

 

"J'ai toujours utilisé la provocation comme un 'piège positif'. L'idée est d'amener les gens par la provocation", assumait le rappeur en 2015 aux Inrocks. Depuis, celui-ci a mis de l'eau dans son vin. "La provocation n'a d'utilité que quand elle suscite un débat, pas quand elle déclenche un rideau de fer. Avec 'Don't laïk', c'était inaudible, et le clip a accentué la polémique. J'ai eu la sensation d'être allé trop loin", expliquait-il en 2017. Récemment, Médine a sorti un titre très consensuel dans lequel il exprime son rêve de pouvoir jouer au Bataclan. Mais plusieurs élus ont juré qu'ils feraient tout pour l'en empêcher.

"Aucun Français ne peut accepter que ce type aille déverser ses saloperies sur le lieu même du carnage du Bataclan. La complaisance ou pire, l'incitation au fondamentalisme islamiste, ça suffit!", a réagi sur Twitter la présidente du Rassemblement national (ex-FN) Marine Le Pen en reprenant les arguments de ses proches.

 

 

"Laisser un rappeur islamiste, qui se revendique 'islamo-racaille' et reprend l'imagerie du jihad, se produire au Bataclan: la dernière provocation en date. Pour l'honneur des victimes du 13 novembre, hors de question de laisser faire!", s'est indigné le sénateur FN des Bouches-du-Rhône Stéphane Ravier. "Notre mobilisation a stoppé la venue de Black M à Verdun, levons-nous tous pour faire barrage au concert de Médine au Bataclan. Pas de scène pour l'islamisme!", avait dénoncé auparavant l'élu régional Julien Odoul. "Une provocation inadmissible. Les familles des victimes ne sont pas respectées...", a enfin estimé de son côté le maire de Béziers, Robert Ménard.

Un temps cantonnés à l'extrême droite, ces arguments ont depuis été repris par des cadres du parti Les Républicains, dont le sénateur Roger Karoutchi ou encore la députée Valérie Boyer

Proche de Laurent Wauquiez, le député des Alpes-Maritimes Eric Ciotti en appelle à l'arbitrage d'Emmanuel Macron. "Si la liberté d'expression est un droit fondamental, il y a des symboles qui ne peuvent être profanés. Je demande au Président Emmanuel Macron d'interdire ce concert", indique l'élu dans un communiqué.

Source

Le rappeur Médine, qui fait l’apologie de l’islam, sera en concert au Bataclan.

Alors que Médine se produira à deux reprises en octobre au Bataclan, lieu d'une tragédie lors des attentats de Paris, une vague d'indignation s'est emparée des réseaux sociaux. L'artiste est en effet connu pour ses paroles particulièrement violentes.

Si la liberté d'expression est un droit fondamental, il y a des symboles qui peuvent aussi choquer. Ainsi, le rappeur Médine se produira les 19 et 20 octobre sur la scène du Bataclan, l'un des théâtres du drame des attentats de Paris en novembre 2015. Après l'annonce d'une deuxième date en avril dernier, les réseaux sociaux ont montré leur indignation sur la venue de Médine. Ce 8 juin, plusieurs internautes ont de nouveau relancé la polémique évoquant un «malaise» pour certains, un problème de «décence» pour d'autres.

 

Voici l'une de ses chansons:

"Crucifions les laïcards comme à Golgotha" "Si j'applique la Charia les voleurs pourront plus faire de main courante" "J'mets des fatwas sur la tête des cons"

 

 

 

 

Pourquoi ces concerts suscitent-ils la polémique ? Avant la tragédie de Charlie Hebdo en janvier de la même année, l'artiste avait écrit une chanson, «Don't laïk» (non laïque), dans laquelle il tenait des propos agressifs : «Crucifions les laïcards comme à Golgotha», «si j'applique la Charia les voleurs pourront plus faire de main courante», «Marianne est une femen tatouée "Fuck God" sur les mamelles» etc.

Médine évoque des fatwas à mettre sur la tête des cons et cite le nom de Pierre Cassen créant alors la polémique car la France vient d’être frappée par l’attentat de Charlie Hebdo. Enfin, en 2017,dans son titre « Grand Paris », le rappeur Médine insulte ouvertement les femmes françaises en les traitant de « Crasseuses de Souche ».

Le rappeur s'était expliqué en 2015, précisant que sa chanson était «une caricature tendue aux fondamentalismes, une caricature qui singe à la fois ceux qui font de la laïcité un outil d’exclusion, et à la fois ceux qui la subissent et l’expriment à travers une réaction d’hyper-identification de circonstance».

Malgré tout, Médine déchaîne encore les passions, notamment lorsqu'il annonce que ses concerts parisiens sont bientôt complets.

Source

Resistancerepublicaine.eu

Bataclan. Des familles de victimes demandent des comptes à l’Etat : “Les soldats avaient reçu l’ordre de ne pas intervenir.”

Deux ans et demi après l'attentat, dix-sept victimes et ayant droit portent plainte. Selon eux, si les soldats de l'opération Sentinelle, présents sur place, avaient pu agir, le bilan aurait été moins lourd.

Le soir tragique, alors que des centaines de victimes étaient prises en otage dans le Bataclan, huit soldats de l'opération Sentinelle, armés de Famas, des armes de guerre, n'ont pu, sur ordre de leur hiérarchie, intervenir aux côtés des policiers de la BAC (brigade anticriminalité) du Val de Marne arrivés les premiers et d'un commissaire de police, accompagné de son chauffeur, qui n'a pas hésité à rentrer dans la salle de concert et a tué l'un des terroristes.

Ces policiers, sous-équipés, qui se faisaient tirer dessus par les terroristes armés de kalachnikov, ont demandé aux soldats de leur prêter leur Famas. Les militaires, obéissant au réglement, ne se sont pas départis de leur arme.

Ce n'est pas la première fois que des familles demandent à la justice de faire la lumière sur ce point. Gérard Chemla, avocat pénaliste à Reims, représentant quatre vingt autres victimes et ayant droit du Bataclan, avait, en 2016, fait une demande d'acte aux juges d'instruction « pour qu'ils enquêtent sur la non autorisation aux militaires de donner leur arme». « Le juge m'avait répondu : Je ne suis pas saisi de ces questions ». Maitre Chemla avait alors tenté un recours devant la Cour d'appel, qui n'avait pas eu de suite.

Les familles et leurs avocats souhaitent l'ouverture d'une enquête afin de comprendre pourquoi les soldats n'ont pu intervenir ce soir là. En 2016, une commission d'enquête parlementaire sur ces attentats, présidée par Georges Fenech, alors député (LR), ancien magistrat, avait tenté de faire la lumière. Pour ce dernier, «clairement, un ordre a été donné aux soldats Sentinelle de ne pas engager le feu alors qu'ils avaient en ligne de mire des terroristes ». « A la question : Qui a donné l'ordre aux soldats de ne pas intervenir ? On n'a jamais su, regrette Georges Fenech. Avec les autres parlementaires, on était sidérés ». Ce jeudi, le porte-parole du gouverneur militaire, interrogé », a indiqué «ne pas avoir eu connaissance de la plainte » et « ne pas avoir de commentaires à faire ».

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à Victoria Valentini

Les attentats de Paris et Bruxelles financés par les salaires, les allocations sociales et les allocations de chômage!

Il ressort de l'analyse du financement des attentats de Paris et de Bruxelles que "si Daech a apporté un soutien financier, la plus grande partie du financement des cellules s'est déroulée de manière autonome", est-il noté dans le rapport annuel de la Cellule de traitement des informations financières (CTIF), rapporte mercredi La Libre Belgique. Le financement extérieur étant sans doute marginal, les personnes impliquées semblent avoir utilisé des sources de financement et des techniques sans stratégie claire et parfois même sans sembler se soucier d'une possible détection.

Une partie importante des revenus transitant par les comptes en banque des personnes impliquées dans les attentats provenait de salaires, d'allocations de chômage ou d'autres allocations sociales. Des versements en espèces occasionnels ont aussi été observés, correspondant probablement aux revenus des activités illicites (stupéfiants, vols et recel), pour lesquelles certains étaient connus de la justice.

Il est difficile d'obtenir une image claire du financement des attentats car les auteurs faisaient un usage intensif d'argent cash, ressort-il aussi de l'analyse. Des applications et des systèmes de paiement comme Paypal ont également été fréquemment utilisés, ainsi que des cartes de débit prépayées, "probablement (...) parce qu'elles sont octroyées sans examen de solvabilité du client, ce qui n'est pas le cas des cartes de crédit classiques".

Source

Via CivilWarInEurope

France: Il tente de foncer dans la foule devant une mosquée pour se venger du Bataclan.

Selon le site internet du Parisien, un homme aurait déclaré avoir voulu «venger le Bataclan et les Champs-Elysées» en fonçant sur des gens en voiture.

Un homme a tenté jeudi de foncer en voiture dans la foule devant la mosquée de Créteil (Val-de-Marne), sans faire de blessés. Il a été interpellé par la police, a-t-on appris de source judiciaire, confirmant une information du Parisien.

Selon la source, sa voiture a heurté un mur et son mobile est incertain. Le parquet antiterroriste n'a pas été saisi. Selon le site internet du Parisien, il aurait déclaré avoir voulu «venger le Bataclan et les Champs-Elysées».

Source et article complet Source2

Sa fille est morte au Bataclan, on lui refuse les plateaux télé parce qu’il parle de vengeance et de vote FN

Patrick Jardin, père d’une victime du Bataclan :« Abdeslam devrait être écartelé sur la place publique. »

C’est le témoignage d’un homme meurtri, en colère, qui a été recueilli par Daniel Conversano dans une vidéo de plus d’une heure. Patrick Jardin est le père d’une victime de l’attentat islamiste du Bataclan. Il était devenu célèbre après avoir apostrophé Manuel Valls, croisé par hasard dans une gare parisienne.

Sans nouvelle de sa fille, il critiquait la lenteur des identifications et le flou dans lequel était maintenu les familles.
Peu après, il apprenait sa mort. Dans cet entretien offensif, Patrick Jardin dit toute sa détestation des politiciens et sa colère contre l’islam et l’immigration.
Il est interrogé par Daniel Conversano, fondateur du site Suavelos, youtubeur patriote et virulent opposant à l’immigration extra-européenne.

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 Sur la rencontre avec Manuel Valls : « J’aurais dû lui mettre mon poing dans la figure. »

C’était une scène étonnante, au lendemain des attentats. Alors en visite auprès des équipes de la SNCF, Manuel Valls voit Patrick Jardin passer au travers des gardes du corps pour lui demander des explications sur le manque d’informations des familles de victimes.
La conversation se finit bien et le conseiller spécial de Manuel Valls lui permettra même de reconnaitre le corps de sa fille en dehors des horaires normaux d’ouverture de l’institut médico-légal. Néanmoins, Patrick Jardin est clair lors de son entretien avec Daniel Conversano : « J’aurais du lui mettre mon poing dans la figure. »

Le mépris de tous les partis, sauf le Front national

Pour lui, les politiciens sont tout autant responsables des attentats que les terroristes : « J’ai une haine incommensurable pour les islamistes et les politiciens qui sont en grande partie responsables de ce qui nous arrive. »

Un seul parti échappe à sa vindicte : le Front national. S’il se montre prudent quant à la capacité du Front national à restaurer la sécurité en France, il soutient malgré tout ce parti. « Je ne sais pas si Marine Le Pen sera à la hauteur mais il faut essayer. »

Pour Patrick Jardin, la violence, seul moyen de rétablir l’ordre

Pour Patrick Jardin, la solution aux risques d’attentats est ferme mais nécessaire : Plutôt que d’allumer des bougies, il préconise de répondre à la violence « par la violence ». « Si un chef de gouvernement est persuadé, qu’il va y avoir des attentats, c’est à lui de prendre les mesures pour que ça n’arrive pas. C’est très simple. Il y a des zones de non droit, il n’y a qu’à envoyer l’armée avec des militaires pour nettoyer ça. »

Pour lui, la violence est la seule manière de rétablir l’ordre : « Je pense que c’est un peuple de pleutres et de couards qui ne respecte que l’autorité. Dans tous les pays arabes, là où il y a un despote à la tête, tout se passe bien » déclare-t-il notamment.

Pour Patrick Jardin, « Abdelslam devrait être écartelé sur la place publique pour montrer en exemple à tous ses congénères. »

Censure de Patrick Jardin par Yann Barthès ?

Patrick Jardin affirme avoir été censuré par les médias. Il cite France 2 et surtout Yann Barthès qui aurait renoncé à l’inviter car son discours n’était pas conforme aux attentes de son public.

« Il y a des choses que vous ne pouvez pas dire dans les médias. J’ai été suivi pendant une journée et demi par les journalistes de France 2. Pour finir, je suis passé 15 secondes au journal télévisé le soir. Je les ai rappelés en leur demandant s’ils se foutaient de moi.
Ils m’ont répondu :
 « Vous comprenez, on ne peut pas dire tout ce que vous pensez. » »

« J’ai été appelé par Yann Barthès pour passer au Petit Journal. Je ne connaissais pas l’émission et je ne savais pas que c’était en direct. Si je l’avais su je n’aurais pas agi comme ça mais bon… Il me demande ce que je compterais dire. Je lui explique mon point de vue et il me répond : « Ah non je ne peux pas vous inviter, vous avez un discours qui ne colle pas. » »

Suite de l'article sur Resistancerepublicaine.eu

Paris: Le message glaçant d’un jihadiste depuis sa cellule

TERRORISME - Un membre de la filière djihadiste de Strasbourg a récemment été placé en garde à vue à Paris. D’après nos informations, il était semble-t-il au courant, avant le 13 novembre 2015, qu’un attentat impliquant plusieurs terroristes Français se préparait. Il n’a jamais donné l’alerte.

Ce 11 octobre 2016, au 36, quai des Orfèvres, un jeune homme de 25 ans doit répondre à une question qui obsède les enquêteurs de la section anti-terroriste de la Brigade criminelle : Mohamed Hattay savait-il avant le 13 novembre 2015 que plusieurs de ses amis djihadistes s’apprêtaient à commettre le pire attentat perpétré en France ?

Hattay est tout sauf un inconnu de la justice : il a été condamné en juillet 2016 dans une affaire de filière djihadiste strasbourgeoise à 8 ans de prison. Il avait rejoint les rangs de Daesh en Syrie entre 2013 et 2014 avec son frère Ali et d’autres jeunes Alsaciens radicalisés. L’un d’eux n’est autre que le frère de Foued Mohamed-Aggad, l’un des tueurs et kamikazes du Bataclan.

La garde à vue de Mohamed Hattay a pour origine une banale fouille de cellule. Le 14 novembre 2015, au lendemain donc des tueries, des surveillants de la prison de Nanterre (Hauts-de-Seine) découvraient un téléphone portable près du lit du jeune Français. En l’exploitant, au milieu de dizaines de photos et de vidéos de propagande de l’Etat islamique, les policiers tombaient sur un message glaçant datant du 11 octobre 2015.

Sur la messagerie instantanée WhatsApp, Hattay demande ce jour-là depuis sa cellule à l’un de ses amis djihadistes actuellement en Syrie - dans un message truffé de fautes d’orthographe - des nouvelles d’"Abou Foued", le nom de guerre de son ami Foued-Mohamed Aggad, alors présent dans la zone irako-syrienne.

"T’a pas des nouvelles dabou foued ? (…) Il va faire dogma (une opération kamikaze dans le jargon de l’Etat islamique) (…) Mais je sais pas, sa fait un moment kil devai la faire (…) Inshallah. Yavai plein de frere av lui français. Ils son cense le faire en meme temp il me semble". (sic)

A aucun moment Mohamed Hattay n’a cru bon d’alerter les autorités. Un mois seulement après cette discussion, "Abou Foued" et ses complices - Français et Belges - tuaient 130 personnes à Paris et au Stade-de-France.

"Ils ont pas perdu de temps...!"

Au lendemain des attaques, il reçoit sur son téléphone portable en prison un message d’un autre proche : "ca va frero ? Ils ont pas perdu de temps… !" (sic)

Source et article complet

Le mari d’une victime du 13 Novembre : « Les mots « fraternité » et « vivre ensemble » me donnent la nausée »

Joseph Anticevic, 47 ans, était au Bataclan le 13 Novembre, où il a perdu sa femme.

«Cette haine que j’essaie de contenir de toutes mes forces à chaque instant, je ne peux pas la cracher, je ferais peur à tant de monde. Mon discours dérange.» Il se dit lui-même «inécoutable», les mots «fraternité» et «vivre ensemble» lui donnent la nausée.

Il fait souvent le même cauchemar. La nuit, le jour, n’importe quand. Parfois, les images surgissent au milieu d’une discussion, sans prévenir. «Je me revois en train de marcher sur les cadavres pour m’enfuir. Le plus dur, ce n’est pas la vision, mais la sensation. Marcher sur des corps, le sang jusqu’au mollet, cette sensation est horrible.» Son visage grimace, puis se referme. Il dit : «Mon problème, c’est d’avoir survécu.»

Que le Bataclan rouvre aujourd’hui ses portes le rend complètement dingue. «Je tourne en rond depuis une semaine. Cette idée que des gens puissent faire la fête à l’endroit où elle a été assassinée, je ne peux pas le supporter. J’ai la rage.» Il voulait se pointer à l’ouverture avec une pancarte «Bon concert, amusez-vous bien». Ses amis l’ont dissuadé : «A quoi bon. Laisse faire, les gens sont passés à autre chose. Calme-toi, Jo.»

Il parle de cette société dans laquelle il ne se reconnaît plus, de ces discussions qu’il n’arrive plus à tenir parce que les gens «de toute façon ne peuvent pas comprendre». Il mime avec un certain talent (on a ri) ces personnes bien intentionnées qui posent leurs mains sur les siennes et disent avec compassion : «Sois fort, Jo, tiens bon. Pour les enfants.» «Comme si j’avais le choix, comme si je pouvais m’écrouler.» Ou bien ces «salut, ça va ?» que l’on dit par automatisme, forcément maladroits. Parfois, il arrive à répondre avec humour : «Oui, écoute, là, ça va super bien. Comment te dire, au top.» D’autres fois, il collerait bien des pains.

Libération

Attentat du 13 novembre : les neuf terroristes étaient arrivés en Europe en tant que réfugiés (Der Spiegel)

Tous les neuf auteurs de l’attaque de Paris, il y a un an, étaient arrivés camouflés en tant que réfugiés en Europe. Ce n’est pas un hasard : d’après les services secrets, des combattants de l’État islamique préparent spécifiquement des candidats aux procédures d’asile.

 

Der Spiegel (Traduction FDS)

Bataclan : Testicules coupés, décapitations… Des tortures infligées aux victimes?

Extraits du rapport du député Georges Fenech (disponible ici), président de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats. ND Christian Hofer: voici le lien du rapport du 21 mars 2016 qui est visible sur le site de l'Assemblée Nationale française: rien de plus officiel donc!

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“Au moment de la tuerie, il y avait 6 militaires postés devant le Bataclan”

Les tueurs du vendredi 13 novembre 2015 sont installés sous les ors de la république.

Par Hildegard von Hessen am Rhein

C’est intentionnellement que désormais j’écris république avec un « r » minuscule.  En effet, lorsqu’il nous est révélé par le parlementaire belge, Georges Dallemagne, qu’ils se trouvent sous les ors de la république, les tueurs du 13 novembre, non, nous n’avons plus de république, plus d’honneur et nous avons la guerre.

Au moment du carnage, nous révèle le parlementaire belge sur RTL Belgique, la gendarmerie était sur place, ainsi que 6 soldats de la force « Sentinelle » qui assistaient à la tuerie sans bouger. Dalemagne affirme que la réglementation de la force « Sentinelle » ne prévoyait que leur autoprotection. J’ajoute que tous les soldats de cette force que vous voyez patrouiller dans Paris, armés de leur fusil d’assaut Famas sont vides de munitions … Ils ne sont que des pantins destinés à rassurer le populo, loin d’être en état de nous protéger :

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"Au moment de la tuerie, il y avait 6 militaires postés devant le Bataclan"

Un échange « badin », lors de la commission d’enquête à l’Assemblée Nationale confirme les allégations du parlementaire belge. Je n’imagine pas l’effarement des familles des victimes du Bataclan, du Carillon, du Petit Cambodge, de Casa Nostra, du Café Bonne Bière, de la Belle Equipe et du Comptoir Voltaire. 413 blessés, dont 99 grièvement. Le roi des bisounours qui déclarait : « Vous n’aurez pas ma haine » s’adressant aux islamistes, déclarera-t-il aux caciques, vrais responsables de la mort de sa compagne cette même phrase ? Est-il prêt à tendre une seconde fois sa très chrétienne autre joue ?

Voilà comment l’Obs tente de justifier l’injustifiable ; « La doctrine qui encadre l’action des militaires sur le sol français est très stricte. Elle prévoit notamment que les militaires ne peuvent agir dans l’hexagone que sous l’autorité policière. Par ailleurs, aucune unité mixte, composée à la fois de policiers et de militaires, ne peut passer à l’action ensemble. Il était donc impensable, pour les militaires de la force Sentinelle présents ce soir là dans le 11ème arrondissement de Paris, de pénétrer dans le Bataclan avant les hommes de la BRI ou encore à leurs côtés. » Et l’Obs de continuer : « Outre, ces attaques islamiques ont révélé des vieilles rivalités parmi les forces de sécurité, qui se livrent en coulisses un conflit larvé, dont l’enjeu est leur territoire respectif. »

Jusqu’à preuve du contraire, c’est le chef de l’Etat qui est le chef des armées, qui a pour premier devoir de nous protéger. Le massacre du vendredi 13 novembre 2015 a démontré qu’il est indigne de la fonction, pire, il ambitionne de se représenter. Un immense dégoût me submerge, plus encore à la pensée qu’il n’y a pas d’opposition politique pour dénoncer l’ignominie du vendredi 13 novembre 2015 et davantage encore, mon écoeurement s’adresse aux français, lobotomisés par les jeux et les vacances, indifférents, alors qu’ils devraient aller déloger cette fange qui s’incruste sous les ors de la république.

Hildegard von Hessen am Rhein

“L’heure de la revanche est arrivée”: les glaçants dialogues du Bataclan

"Planquez-vous", "Lève-toi ou je te tue", Le Parisien a publié vendredi les enregistrements sonores des déclarations des kamikazes, des spectateurs et de la police durant la tuerie du Bataclan le 13 novembre.

Le journal français a pu consulter la reconstitution de ce qui s'est dit durant les deux heures et demie de la tuerie dans la salle de concerts parisienne, durant laquelle 90 personnes ont trouvé la mort.

Il s'agit d'une retranscription de ce qui a été enregistré sur le dictaphone abandonné par un spectateur couplée à celle des échanges radio de la police durant la fusillade.

Ce document vient d'être remis à la justice par les enquêteurs de la brigade criminelle.

>> Le contenu des enregistrements:

"Planquez-vous!": la voix d'un spectateur est la première de l'enregistrement du dictaphone. Les trois kamikazes viennent d'entrer dans la salle.

"Je rêve ou quoi?": un autre spectateur s'exprime, incrédule.

Des bruits de balle et des cris de victimes.

"Y a du monde au Bataclan. Ça tire à la...": le premier message radio d'un policier à 21h56, alors que la tuerie a commencé neuf minutes plus tôt.

"Lève-toi ou je te tue!": la première déclaration d'un des terroristes après sept minutes de tirs.

"Couché ou j'tire!": le même homme donne un ordre contradictoire.

"Vous bombardez nos frères en Syrie et en Irak. Pourquoi on est ici nous? On est venus jusqu'en Syrie (sic) pour vous faire la même chose.": les premières revendications d'un des assaillants.

"Nous on est des hommes, on vous bombarde sur terre. On n'a pas besoin d'avion, nous. Voilà, vous avez élu votre président Hollande, voilà sa campagne. Remerciez-le": un autre kamikaze s'exprime.

Toujours des bruits de tirs et des cris.

"Celui qui essaie de faire le justicier je le tue. L'heure de la revanche est arrivée": un des terroristes dit ces phrases entre deux tirs de kalachnikov.

Douze minutes de tirs.

"Vous connaissez Daech? [...] Daech, c'est l'Etat islamique. Ils sont partout, en France, aux Etats-Unis. On va frapper partout.": un terroriste revendique pour la première fois l'appartenance à l'EI.

"Casse-toi, casse-toi enfoiré!": la dernière phrase d'un des terroristes vers 22h. Mis en joue par un policier, il reçoit une balle et sa ceinture d'explosifs se déclenche.

"Allahou Akhbar!": ses deux complices crient avant de monter à l'étage.

"On est en prise d'otages. Ils ont des ceintures explosives. Ne venez surtout pas sinon ils font tout péter.": un des spectateurs pris en otage à l'étage parle à la police.

"Parler avec un responsable.": vers 23h, les terroristes réclament un talkie-walkie.

Des tentatives de communiquer par téléphone avec les assaillants, mais les appels passent mal.

"Putain, dépêchez-vous!": un spectateur.

"Arrête-toi! Casse-toi. Je fais sauter les otages.": un terroriste s'adresse à un policier.

"OK": la réponse du policier.

Presqu'une heure durant laquelle les forces d'intervention avancent et reculent, avec des cris de blessés qui réclament de l'aide et d'autres qui les prient de s'en aller pour éviter un nouveau bain de sang.

"Sortez-les de là, y en a marre": un policier qui s'impatiente

Quarante minutes plus tard, vers 0h20, l'assaut est donné dans la salle où s'étaient retranchés les terroristes.

Source

Eurabia – Rien a changé

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Depuis la "politique arabe de la France", rien a changé. La France, puis l'Europe, ont développé le concept de "l'Eurabia" avec la Ligue arabe ; puis le concept d'une Europe islamo-compatible avec les Etats membres de l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI). Résultat : depuis 2015, nous sommes submergés par une migration musulmane massive et nous sommes victimes d'attentats islamiques.
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A ce propos, dans La Libre Belgique, Joseph Junker écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Rien n’a changé parce que Charlie, et nous tous avec lui, avons continué à confondre liberté d’expression et provocations vulgaires. Et pourtant nous aurions pu nous détacher d’une conception pré-pubère de ce bien si précieux qu’est le droit d’affirmer haut et fort ce qu’on pense être juste. Et pourtant nous aurions pu cesser d’ériger en monument ce qui n’est en réalité qu’un reliquat de gaudriole estudiantine mal évacué.
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Joseph Junker : Le terrorisme ne doit pas nous faire changer de vie, dit-on ? Eh bien il se trouve que l’indignation profonde qui m’a soulevé le cœur après le lâche et ignoble assassinat des dessinateurs de Charlie n’a pas fait changer la bien faible estime dans laquelle je tenais ladite publication. Las ! Elle a continué à repousser toujours plus loin les frontière de la décence, avec en lamentable point d’orgue la "Une" stupide de la semaine dernière. Et tout a continué.
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Joseph Junker : Rien n’a changé parce qu’une partie de notre élite a continué d’affecter de croire que c’est en niant un peu plus nos racines, en faisant taire les cloches, en renommant les vacances de pâques et les marché de noël ou encore en retirant les crucifix des écoles catholiques qu’on allait recréer le vivre-ensemble. Comme si accéder aux exigences d’un laïcisme délirant, amalgamer terrorisme islamique, moine bouddhiste et frère catholique, renier tout patrimoine chrétien et endoctriner patiemment nos petites têtes blondes au nihilisme ambiant… pardon les "initier à la citoyenneté" pouvait être de quelque secours que ce soit face au défi posé par le radicalisme ! Et tout a continué.
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Joseph Junker : Rien n’a changé parce qu’une autre partie de notre élite s’est appliquée à prouver son (in)utilité en nous proposant des gadgets législatifs dispendieux et inutiles, comme si la perpétuité effective et la déchéance de nationalité allaient dissuader des kamikazes de frapper notre pays. N’est-ce pas la même élite pourtant qui refuse de regarder ses responsabilités en face, d’affronter le monstre qu’elle a elle-même créé par son clientélisme, son inconstance et son manque de vision ? N’est-ce pas elle qui toujours se complaît dans un somptueux déni, ne pensant qu’à refiler la patate chaude au gouvernement qui l’a précédé ou suivi ? Et tout a continué.
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Joseph Junker : Rien n’a changé parce que la Belgique est resté la Belgique : un Etat morcelé, où le moindre débat de fond ou même de forme mène à des discussions sans fin de marchands de tapis… pendant que rien ne se passe. Un Etat où la rationalisation des compétences n'est admissible qu'en la dispersant encore plus ; un Etat où de laborieux compromis sont érigés en dogmes et d'autant mieux observés qu'ils sont incompréhensibles. Un Etat faible, pour un pays qu'on aime. Et tout a continué.
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Joseph Junker : Rien n’a changé parce qu’après chaque attentat, on a ressorti les bougies, les larmes, les "Je suis...", les "vivre-ensemble", la "solidarité" et les minutes de silence bien nécessaires pour un temps, celui de l'émotion, mais qu'on n’est jamais allé plus loin. Les analyses qu'on aurait dû entendre, les grands débats et les solutions déterminées qui auraient dû s'imposer sont restés submergés sous un pathos nécessaire et compréhensible un temps, mais dont l’omniprésence a oblitéré toute réflexion de qualité. Et tout a continué
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Joseph Junker : Rien n’a changé parce que depuis toujours, questionner l’assimilation et la radicalisation d’une partie des communautés immigrées est resté un débat miné qui rend suspect celui qui s’avise de l’aborder (accusé de "faire le jeu de Daech"). Rien n'a changé parce qu'aujourd'hui encore il n'est pas toléré d'autre interprétation de ces évènements tragiques que celle qui nous est servie par ceux qui en sont co-responsables. Rien n’a changé parce qu'il n'est pas autorisé de préconiser autre chose que ce qui n'a pas marché jusqu'à présent... et que le débat sur ces questions en devient par conséquent l’apanage de quelques extrémistes de gauche et de droite en mal de castagne. Et tout a continué.
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Joseph Junker : Rien n’a changé parce que nous nous sommes enfoui la tête dans le sable syrien en refusant de choisir le moins mauvais camp. Nous nous sommes lavés les mains dans l'innocence de ceux qui ne font rien, ou plutôt qui laissent faire le sale boulot par les autres, les (vilains) Russes, les (méchants) Iraniens. Nous n'avons autorisé qu'au compte-goutte nos forces armées à frapper Daech en faisant semblant de ne pas s'allier à leur ennemi dictateur un peu trop encombrant, que nous n’osions ni aider ni combattre. Nous nous sommes indignés de la prise de Palmyre, mais n'avons aidé personne à la reconquérir. Et tout a continué.
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Joseph Junker : Rien n’a changé parce qu’une moitié de l’Europe a refusé depuis deux ans de voir le réfugié qui frappe à sa porte autrement que comme un importun à qui l'on n'a rien demandé. Rien n'a changé parce que l'autre moitié de l'Europe a versé dans l’angélisme, refusé de voir Cologne ni d’admettre le souci bien réel que cette vague d'immigration apportait au "bien commun". Rien n’a changé parce que ces deux Europe se sont réconciliées dans le dos de leurs citoyens au prix d’un deal sordide avec le Sultan Erdogan. Et tout a continué, conclut Joseph Junker (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté
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http://www.lalibre.be/debats/opinions/apres-charlie-rien-n-a-change-tout-a-continue-5702284a35708ea2d4324f1d
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