Portland : Le suspect du meurtre du partisan de Donald Trump est “100% ANTIFA”

Un ancien militaire qui se dit «100% ANTIFA» et prêt pour la «guerre» fait l’objet d’une enquête sur la fusillade mortelle d’un partisan du président Trump à Portland.

Michael Forest Reinoehl, 48 ans, fait l’objet d’une enquête sur la mort d’Aaron Danielson, un «partisan» du groupe de droite Patriot Prayer qui faisait partie d’une caravane de partisans de Trump qui a inondé la ville samedi.

Il a été identifié en partie par son tatouage du poing « Black Power » sur son cou, ainsi que par un appel de sa soeur qui l’a reconnu sur la vidéo et les photos de l’attaque meurtrière.

«Nous avons contacté la police et confirmé que nous avons reconnu Michael sur les images».

 

 

Sa sœur a déclaré qu’il est séparé de la plupart de sa famille, y compris ses parents, depuis qu’il les a volés.

Reinoehl, qui a un fils et une fille, publie régulièrement des articles sur Black Lives Matter et les manifestations sur ses réseaux sociaux – qui sont maintenant inondés de menaces et de messages pro-Trump dans les commentaires.

«Chaque révolution a besoin de personnes qui sont disposées et prêtes à se battre», écrivait- il en juin, comparant cela à son temps dans l’armée.

«Je suis 100% ANTIFA! Je suis prêt à me battre pour mes frères et sœurs! » dit-il, insistant sur le fait qu’il ne «fuirait» pas la violence.

«Ce sera une guerre et comme toutes les guerres, il y aura des victimes», a-t-il écrit, appelant les manifestants et Antifa «mes frères d’armes».

Il affirme également avoir été touché par une balle en caoutchouc alors qu’il s’occupait de la «sécurité» lors de manifestations, et a récemment publié une vidéo d’un drapeau brûlé par une foule scandant «F – k Trump».

Reinoehl a été mis en examen lors d’une manifestation le 5 juillet pour possession d’une arme chargée dans un lieu public, de résistance à l’arrestation et d’interférence avec la police.

On lui a donné une date pour comparaître devant le tribunal plus tard ce mois-là, mais les allégations ont été abandonnées le 30 juillet avec une «non plainte», selon les archives judiciaires. Aucune raison n’a été donnée, et le bureau du procureur du district de Multnomah a déclaré qu’il examinait l’affaire.

Il a une série d’autres chefs d’accusation. Notamment avoir conduit avec son fils de 17 ans à 180km/h en juin.

Il a également été accusé d’avoir un pistolet Glock chargé, pour lequel il n’a pas de permis, lorsqu’il a été arrêté avec sa fille de 11 ans.

New York Post

30/08/2020

– “Hey! Hey! On en a un ici ! On a un supporter de Trump ici !”

– “Ici ?”

*Deux coups de feu*

 

 

Via Fdesouche

Allemagne : Les Antifas se préparent à attaquer des policiers et des opposants politiques

Selon les informations dont disposent les autorités de sécurité, l'"Action antifasciste" (Antifa) d'extrême gauche se prépare à des attaques contre des policiers, des opposants politiques et des extrémistes de droite présumés.

C'est ce qu'a rapporté le magazine d'information FOCUS, citant une analyse des risques réalisée par l'Office fédéral de la police criminelle et l'Office fédéral de protection de la Constitution.

Les autorités mettent en garde contre la "professionnalisation de l'usage de la violence"

Le document fournit par les deux autorités indique que le groupe Antifas et ses quelque 50 groupes de soutien régionaux "professionnalisent l'exercice de la violence" depuis un certain temps. Les extrémistes de gauche ont récemment calculé que leurs adversaires seraient gravement blessés. Même des assassinats ciblés sont concevables, rapporte le magazine d'information, en référence à une étude de l'Office de protection de la Constitution de Berlin.

Dans un dossier Internet complet, le mouvement Antifa de Berlin reconnaît expressément des douzaine d'attaques contre des opposants politiques ainsi que des attaques par le feu et la  peinture contre des biens immobiliers et des véhicules. Dans les texte, les victimes ridiculisées étaient pour la plupart des politiciens de partis de droite, des membres de sociétés d'étudiants, et des journalistes.

Les services de renseignements occidentaux possèdent des indications selon lesquelles des membres allemands du mouvement Antifa suivent un entraînement au combat avec la milice de gauche kurde YPG en Syrie. Selon le magazine d'information FOCUS, des photos sur Internet montrent de jeunes Européens avec des fusils d'assaut.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Focus.de


Rappels :

Suisse : pour le socialiste Fabian Molina, les antifa qui saccagent des villes sont des héros

Allemagne : Au parlement, la gauche soutient officiellement les extrémistes Antifas. « Merci aux Antifas »

Greta Thunberg photographiée avec un t-shirt des extrémistes de gauche « antifas »

L’ONU défend “la liberté d’expression” des… casseurs antifas

Seattle : les antifas s’approprient un « Etat autonome », sous la férule d’un gangsta rappeur, où le Blanc est discriminé

Portland (USA) : des Antifas brûlent des bibles et des drapeaux américains (Vidéos)

Portland (États-Unis) : un militant antifa pédophile poignarde un Noir pro-Trump au cours d’émeutes #BlackLivesMatters

Trump veut inscrire la mouvance «antifa» sur liste terroriste

L’Antifa veut établir un système anarcho-communiste en Syrie, avec le YPG/PKK (Analyste américain)

Dijon : la voiture de Marine Le Pen attaquée par des antifas

À Seattle, c’est déjà une réalité : des Antifa armés font la loi dans une « zone autonome » sans police

 

Portland (USA) : des Antifas brûlent des bibles et des drapeaux américains (Vidéos)

Des militants de gauche sont descendus dans les rues de Portland vendredi soir - comme ils le font tous les soirs depuis deux mois - pour protester devant le tribunal de Mark O. Hatfield, et ont brûlé des bibles et des drapeaux américains.

 

 

 

Vers minuit, les militants ont allumé un grand feu de joie composé d'un assortiment de déchets et de panneaux de bois volés dans les commerces du quartier. Les émeutiers ont brûlé des drapeaux américains et une pile de bibles.

 

Selon les journalistes présents sur le terrain, les militants Antifa et Black Lives Matter ont fait de nombreuses tentatives pour provoquer une réaction des agents des forces de l'ordre fédérales stationnés à l'intérieur du palais de justice.

À un moment donné, des émeutiers ont violemment frappé la porte de garage du palais de justice avec un bélier de fortune. Ils ont également mis le feu aux ordures à la sortie, obligeant les agents fédéraux à dégager les débris.

 

 

Les émeutes ont été moins intenses que les nuits précédentes en raison d'une participation réduite. "Les officiers fédéraux situés à l'intérieur du palais de justice n'ont pas été forcés de quitter le bâtiment au cours de la nuit", a déclaré le Département de la sécurité intérieure.

Néanmoins, la violence a persisté durant toute la nuit, les émeutiers ayant mis le feu aux trottoirs et tenté de s'introduire dans les commerces situés à proximité du palais de justice fédéral en démantelant les barrières en bois.

 

 

 

Le journaliste Andy Ngo de Post Millennial rapporte que "Les émeutiers qui se rassemblent à Portland arrachent les barricades d'une arcade proche du palais de justice fédéral. La police de Portland est au courant mais les laissera continuer car elle a reçu la directive de laisser les émeutiers tranquilles dans la plupart des cas". "Dans le centre-ville de Portland, des militants du Black Bloc (extrême gauche) tentent de s'introduire dans un commerce près du tribunal fédéral lors de la manifestation pacifique. Ils arrachent le bois qui recouvre les vitres".

 

 

Le département de la sécurité intérieure déclare qu'il ne quittera pas le palais de justice, ni Portland, en raison des violences en cours. Le secrétaire par intérim, Chad Wolf, a déclaré que le plan doit rester en place jusqu'à ce que le gouvernement fédéral soit assuré que toute activité violente cesse.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Thepostmillennial.com / Newsweek.com

Nos remerciements à Para bellum

 


Portland : Des vidéos choquantes montrent des émeutiers faisant rôtir une tête de cochon coupée en portant une casquette de policier et un drapeau américain

Les émeutiers de Portland ont été pris en vidéo par le journaliste Andy Ngo mettant un drapeau américain et une casquette de flic sur la tête coupée d'un cochon puis le faisant brûler pour tenter d'effrayer et de menacer les policiers.

Cet acte n'est pas seulement irrespectueux, il est vraiment écœurant.

 

[...]

Themix.net

L’ONU défend “la liberté d’expression” des… casseurs antifas

A lire également :

Ces ONG qui nous gouvernent – Les États-Unis échappent à une enquête internationale


Les Nations unies ont exprimé leur “profonde préoccupation”, vendredi 19 juin, après que le procureur général américain a qualifié les auteurs de récentes violences de “terroristes”.

Les Nations unies continuent de  s’emparer des combats les plus cruciaux de notre temps. Vendredi 19 juin, le compte Twitter de l’ONU Genève a exprimé les « profondes préoccupations » de l’organisation pour la « liberté d’expression » de groupes radicaux, comme les antifas.

Une atteinte à « la liberté de réunion pacifique »

« Les experts [du Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l’homme] expriment leur profonde préoccupation face à une récente déclaration du procureur général américain décrivant les antifas et d'autres militants antifascistes comme des terroristes nationaux, affirmant que cela porte atteinte au droit à la liberté d'expression et de réunion pacifique dans le pays », pouvait-on lire sur le média social.

[...]

Valeurs Actuelles

Brève histoire des Antifas : Partie I

  • Des preuves empiriques et quelques évidences montrent que les Antifas sont constitués en réseau, que ce réseau est mondial et qu'il est très bien financé. Leur organisation très horizontale comporte des dizaines et peut-être des centaines de groupes locaux.
  • L'objectif à long terme déclaré des Antifas, tant en Amérique qu'à l'étranger, est d'établir un ordre communiste mondial. Aux États-Unis, leur objectif immédiat est de faire chuter l'administration Trump.
  • La tactique préférée des Antifas aux États-Unis comme en Europe est d'obliger la police à réprimer leurs actes de violence extrême contre des biens publics et privés ; cette violence de la police serait la « preuve » que le gouvernement est « fasciste ».
  • Les Antifas ne sont pas seulement officiellement tolérés par le gouvernement allemand, ils sont également payés pour lutter contre l'extrême droite. - Bettina Röhl, journaliste allemande, Neue Zürcher Zeitung, 2 juin 2020.
  • « Par lâcheté, les Antifas masquent leur visage et gardent leurs noms secrets. Ils menacent constamment de passer à l'acte contre des élus et des policiers. Leur politique de destruction massive coûte des sommes importantes à la collectivité. » - Bettina Röhl, Neue Zürcher Zeitung, 2 juin 2020.

Aux États-Unis comme en Europe, la tactique préférée des Antifas est d'inciter la police à réprimer leurs actes de violence extrême contre des biens publics et privés ; la "preuve" serait ainsi apportée que le gouvernement est "fasciste".

Photo : une personne âgée fuit après avoir été brutalement battue par des Antifas de Rose City le 29 juin 2019 à Portland, en Oregon. (Photo de Moriah Ratner / Getty Images)

 

Le procureur général des Etats Unis, William Barr, a accusé les Antifas – un mouvement "antifasciste" – d'être à l'origine de la violence qui a marqué l'ensemble des manifestations consécutives à la mort de George Floyd aux États-Unis. « Les violences organisées et perpétrées par les Antifas et d'autres groupes similaires sont du terrorisme intérieur et seront traitées en conséquence », a-t-il déclaré.

Barr a précisé que le gouvernement fédéral disposait de la preuve que les Antifas avaient « détourné » des manifestations légitimes pour les transformer en « actes d'anarchie, en émeutes violentes, incendies criminels, pillages d'entreprises, destruction de biens publics, attaques contre des représentants des forces de l'ordre et des passants innocents, et même le meurtre d'un agent fédéral ». Peu auparavant, le président Donald J. Trump a demandé au ministère de la Justice des Etats Unis d'inclure les Antifas sur la liste des organisations terroristes.

À en croire un certain nombre d'universitaires et de médias sympathisants des Antifas, classer un mouvement contestataire aussi flou et aussi faiblement structuré dans la catégorie des organisations terroristes relève de l'impossible. Mark Bray, apologiste américain des Antifas et auteur de « Antifa: The Anti-Fascist Handbook » (Antifas : manuel de l'antifascisme), affirme que les Antifas « ne sont pas une organisation cohérente avec une chaîne de commandement unique ».

Des preuves empiriques et quelques évidences montrent que les Antifas fonctionnent en réseau, que ce réseau est mondial et qu'il est très bien financé. Leur structure organisationnelle, très horizontalisée, comporte des dizaines et peut-être des centaines de groupes locaux. Le ministère américain de la Justice enquête actuellement sur un certain nombre d'individus liés aux Antifas pour faire apparaître les structures de l'organisation.

Aux États-Unis, l'idéologie des Antifas, leurs tactiques et leurs objectifs, n'ont rien de nouveau ; ils sont la copie des Antifas d'Europe, soit des groupes dits antifascistes qui sous une forme ou une autre, ont été actifs, presque sans interruption depuis quasiment un siècle.

Qu'est-ce que les Antifas ?

Le mouvement Antifa est un mouvement insurrectionnel transnational qui, au moyen d'actions d'une extrême violence, s'efforce de renverser la démocratie libérale. L'objectif avoué à long terme des Antifas, tant en Amérique qu'à l'étranger, est de remplacer le capitalisme mondial par un système communiste mondial. Dans l'immédiat, les Antifas américains se sont donné pour but de renverser l'administration Trump.

Les Antifas considèrent l'application de la loi comme un pilier de l'ordre établi. Aux États-Unis comme en Europe, la tactique préférée des Antifas est d'obliger la police à réprimer leurs saccages de biens publics et privés apportant ainsi la "preuve" que le gouvernement est "fasciste".

Les Antifas affirment s'opposer au « fascisme », un terme péjoratif qu'ils utilisent pour discréditer ceux qui ne partagent pas leurs croyances politiques. Le dictionnaire Webster définit le « fascisme » comme « un système totalitaire incarné par un dictateur qui met en œuvre un nationalisme agressif, une politique militariste et souvent aussi raciste ».

Les Antifas eux, s'en tiennent à la définition marxiste-léniniste qui assimile le fascisme au capitalisme. « La lutte contre le fascisme est gagnée quand le système capitaliste a été brisé et qu'une société sans classe a été instaurée », indique le groupe allemand Antifa, Antifaschistischer Aufbau München.

L'agence allemande de renseignement intérieur BfV, dans un rapport spécial sur l'extrémisme de gauche, note que :

« La lutte des Antifas contre les extrémistes de droite est un écran de fumée. Leur véritable cible est « l'État démocratique bourgeois » qui, dans leur vision du monde gauchiste, accepte et promeut le « fascisme » comme une forme possible de gouvernement. A en croire les Antifas, le « fascisme » demeurerait enraciné dans les structures sociales et politiques du « capitalisme », ce qui les amène tout naturellement à lutter pour l'élimination du « système capitaliste ».

Matthew Knouff, auteur de An Outsider's Guide to Antifa : Volume II (Les Antifas vus de l'extérieur, le Guide : Volume II), explique l'idéologie Antifa ainsi :

« Les Antifas définissent le monde comme une bataille entre le fascisme, le racisme et le capitalisme – trois forces fondamentales toutes connectées entre elles. Pour les Antifas, le fascisme est l'expression finale, voire une étape du capitalisme lequel est défini comme un système d'oppression ; le racisme est un mécanisme oppressif lié au fascisme. »

Dans un essai intitulé "What Antifa and the Original Fascists Have In Common »,Ce que les Antifas et les fascistes authentiques ont en commun »), Antony Mueller, un Allemand professeur d'économie dans une université du Brésil, a décrit l'anticapitalisme militant des Antifas comme un antifascisme qui peine à dissimuler son propre fascisme :

« La gauche s'est approprié le concept de libéralisme pour lui donner un sens qui est aujourd'hui à l'opposé de sa signification d'origine et les Antifas utilisent une fausse terminologie pour dissimuler leur véritable agenda. Ils se disent « antifascistes » et désignent le fascisme comme leur ennemi, mais les Antifas sont d'abord et avant tout un mouvement fasciste.

« Les miliciens Antifas ne luttent pas contre le fascisme, ils sont les authentiques représentants du fascisme. Le communisme, le socialisme et le fascisme sont unis au sein d'un registre anticapitaliste et anti-libéral.

« Le mouvement Antifa est un mouvement fasciste. L'ennemi de ce mouvement n'est pas le fascisme mais la liberté, la paix et la prospérité. »

Aux origines idéologiques du mouvement Antifa

Les origines idéologiques du mouvement Antifa remontent à l'Union soviétique d'il y a un siècle. En 1921 et 1922, l'Internationale communiste (Komintern) a développé la tactique dite du Front Uni pour « unifier les masses populaires par l'agitation et l'organisation » ... « au niveau international et dans chaque pays » contre le « capitalisme » et le « fascisme » - deux termes présentés comme interchangeables.

Le premier groupe antifasciste au monde, Arditi del Popolo (Les Audacieux du Peuple), est italien ; il a été fondé en juin 1921 pour résister à la montée en puissance du Parti fasciste national de Benito Mussolini, lui-même institué pour empêcher une éventuelle révolution bolchevique en Italie. Une bonne partie des 20 000 communistes et anarchistes d'Arditi del Popolo a rejoint plus tard les Brigades internationales pendant la Guerre civile espagnole (1936-1939).

En Allemagne, le Parti communiste allemand a créé le groupe paramilitaire Roter Frontkämpferbund (Ligue des combattants du front rouge) en juillet 1924. Le groupe a été interdit en raison de son extrême violence. Une grande partie des 130 000 miliciens a poursuivi ses activités dans la clandestinité ou dans des organisations locales de remplacement comme le Kampfbund gegen den Faschismus (Alliance de lutte contre le fascisme).

En Slovénie, le mouvement antifasciste TIGR a été créé en 1927, à la chute de l'Empire austro-hongrois, pour résister à l'italianisation des régions à dominante slovène. Dissous en 1941, TIGR était spécialisé dans l'assassinat de policiers et de militaires italiens.

En Espagne, les Milicias Antifascistas Obreras y Campesinas (Milices antifascistes ouvrières et paysannes) créées par le Parti communiste, ont été actives dans les années 1930.

Les Antifas modernes tirent leur nom d'un groupe appelé Antifaschistische Aktion (Action antifasciste), fondé en mai 1932 par les staliniens du Parti communiste d'Allemagne. Le terme « fasciste » qui signalait l'ennemi à combattre désignait en réalité tous les autres partis politiques pro-capitalistes d'Allemagne. Antifaschistische Aktion avait pour unique objectif d'abolir le capitalisme. Les 1500 miliciens du mouvement sont entrés dans la clandestinité en 1933, année de l'arrivée au pouvoir des nazis.

Une brochure en langue allemande – « 80 Jahre Antifaschistische Aktion » ("80 ans d'action antifasciste") - décrit dans les moindres détails l'histoire du mouvement Antifa depuis ses origines idéologiques dans les années 1920 jusqu'à nos jours. Ainsi, le document affirme que :

« L'antifascisme a toujours été fondamentalement anticapitaliste. C'est pourquoi le symbole de l'Antifaschistische Aktion n'a jamais perdu son pouvoir d'attraction ... L'antifascisme est plus une stratégie qu'une idéologie. »

Après-guerre, le mouvement Antifa allemand a réapparu sous diverses identités ; il s'est incarné ainsi dans les différents mouvements estudiantins radicaux des années 1960 puis, dans divers groupes insurrectionnels de gauche actifs tout au long des années 1970, 1980 et 1990.

La Fraction Armée Rouge (RAF), plus connue sous le nom de Bande à Baader, était un groupe marxiste de guérilla urbaine qui a perpétré des assassinats, des attentats à la bombe et des enlèvements afin d'inciter à la révolution. Les membres du groupe Baader considéraient l'Allemagne de l'Ouest comme un reliquat fasciste de l'ère nazie. En trente ans, la RAF a tué plus de 30 personnes et en a blessé plus de 200.

Après l'effondrement du gouvernement communiste en Allemagne de l'Est en 1989-1990, il est apparu que la RAF avait été équipée, abritée et entrainée par la Stasi, la police secrète de l'ancien régime communiste.

John Philip Jenkins, professeur émérite d'Histoire à l'Université Baylor, affirme que les tactiques de la RAF ne diffèrent en rien des tactiques utilisées par les Antifas aujourd'hui :

« Leur campagne terroriste avait pour but de déclencher une réponse agressive de la part du gouvernement ; les membres du groupe étaient persuadés que cette réponse déclencherait un mouvement révolutionnaire plus large. »

Ulrike Meinhof, a clairement expliqué la relation que les gauchistes de la RAF entretenaient avec la police : « Le type en uniforme est un porc, pas un être humain. Nous n'avons pas à lui parler et nous aurions tort de lui parler. En revanche, il est permis de tirer. »

Bettina Röhl, journaliste allemande et fille d'Ulrike Meinhof, affirme que les Antifas d'aujourd'hui sont un prolongement de la Fraction Armée Rouge. La seule différence tiendrait au fait que, contrairement à la RAF, les Antifas ont peur de révéler leur identité. Dans un essai de juin 2020 publié par le journal suisse Neue Zürcher Zeitung, Röhl a également attiré l'attention sur le fait que non seulement le mouvement Antifa est officiellement toléré par le gouvernement allemand, mais qu'il est aussi payé par lui pour lutter contre l'extrême droite :

« La RAF a idolâtré les dictatures communistes de Chine, de Corée du Nord, du Nord-Vietnam, de Cuba ; aux yeux de la Nouvelle Gauche ces régimes étaient des modèles sur la voie du communisme ...

« Le radicalisme de gauche qui fleurit en Occident et qui frappe brutalement aux portes de la Banque centrale européenne à Francfort à chaque sommet du G20 ou à chaque 1er mai à Berlin, a atteint le plus haut niveau d'intégration dans l'Etat, notamment grâce au soutien de quelques députés, journalistes et experts.

« Contrairement à la RAF, les Antifas n'ont pas de leaders connus. Par lâcheté, ses militants masquent leur visage et gardent leurs noms secrets. Les Antifas menacent constamment de passer à l'acte contre les élus et les policiers. Leurs dégâts matériels atteignent des montants insensés. Mais la députée Renate Künast (Verts) a critiqué devant les élus du Bundestag le maigre financement des groupes Antifa par l'État au cours des dernières décennies. Elle affirmait être préoccupée que « les ONG et les Antifas soient obligés de se battre pour obtenir de l'argent et que leurs contrats de travail soient des contrats à court terme qui courent d'une année sur l'autre ». Ces propos ont été applaudis par Alliance 90/Les Verts, la gauche et certains députés du SPD.

« On peut se demander si le mouvement Antifa n'est pas une sorte de RAF officielle, un groupe terroriste payé par l'Etat sous prétexte de « lutter contre la droite ».

Le BfV, les services de renseignement allemands, explique la glorification de la violence par les Antifas ainsi :

« Pour les extrémistes de gauche, le « capitalisme » est perçu comme un fauteur de guerres, de racisme, de catastrophes écologiques, un générateur d'inégalités sociales et un facteur d'embourgeoisement. Le « capitalisme » n'est pas pour les gauchistes un simple mode d'organisation économique ; le capitalisme détermine le social et le politique et porte en germe des réorganisations sociales et politiques radicales. Anarchistes ou communistes, tous font le même constat : la démocratie parlementaire, forme bourgeoise de gouvernement, doit absolument être "surmontée".

« Pour cette raison, les gauchistes ignorent ou légitiment les violations des droits de l'homme dans les dictatures socialistes ou communistes ou dans les États qu'ils estiment être menacés par l'Occident. Encore aujourd'hui, les communistes orthodoxes et les militants autonomes justifient, louent et célèbrent l'action terroriste de la Fraction Armée Rouge ou les terroristes étrangers de gauche qui se présentent comme les représentants de « mouvements de libération » ou même des « résistants ».

En Grande-Bretagne, Anti-Fascist Action (AFA), créé en 1985, a essaimé aux Etats-Unis. En Allemagne, l' Antifaschistische Aktion-Bundesweite Organisation(AABO) a été fondée en 1992 pour coordonner les efforts de petits groupes Antifa dispersés dans le pays.

En Suède, Antifascistisk Aktion (AFA), fondé en 1993, mène depuis trente ans des actions d'une violence extrême contre ses adversaires. En France, le groupe Action antifasciste, est connu pour sa farouche opposition à l'État d'Israël.

Après la chute du mur de Berlin en 1989 et l'effondrement du communisme en 1990, le mouvement Antifa a ouvert un nouveau front contre la mondialisation néolibérale.

Attac, créé en France en 1989 pour promouvoir une taxe mondiale sur les transactions financières, dirige désormais ledit mouvement altermondialiste qui, comme le Global Justice Movement, s'oppose au capitalisme. En 1999, Attac était présent à Seattle lors des violentes manifestations qui ont conduit à l'échec des négociations de l'OMC. Attac a également participé à des manifestations anticapitalistes contre le G7, le G20, l'OMC et la guerre en Irak. Aujourd'hui, l'association est active dans 40 pays, avec plus d'un millier de groupes locaux et des centaines d'organisations soutenant le réseau. La structure organisationnelle décentralisée et non hiérarchique d'Attac semble être le modèle utilisé par Antifa.

En février 2016, le Comité international de la Quatrième Internationale a jeté les bases politiques du mouvement mondial anti-guerre qui, comme les Antifas, accuse le capitalisme et le mondialisme néolibéral d'être la cause de chaque conflit militaire :

« Le nouveau mouvement anti-guerre doit être anticapitaliste et socialiste. Lutter sérieusement contre la guerre oblige à lutter pour mettre fin à la dictature du capital financier et du système économique qui est la cause fondamentale du militarisme et de la guerre. »

En juillet 2017, plus de 100 000 manifestants anti-mondialisation et Antifas ont convergé sur Hambourg pour protester contre la tenue du G20. Des émeutiers de gauche ont ravagé le centre-ville. Un groupe Antifa appelé « G20 Bienvenue en enfer » s'est vanté des méthodes utilisées pour mobiliser des groupes Antifa du monde entier :

« Les mobilisations au sommet ont été des précieux moments de rencontre et de coopération entre les groupes et réseaux anticapitalistes de gauche de toute l'Europe et du monde entier. Nous avons partagé des expériences et des combats, nous avons participé à des réunions internationales, nous avons été attaqués par des flics qui étaient soutenus par l'armée, nous avons réorganisé nos forces et riposté. Le mouvement antimondialisation a changé, mais nos réseaux perdurent. Nous sommes actifs localement dans nos régions, villes, villages et forêts. Mais nous luttons également au niveau transnational. »

Selon le rapport annuel des service de sécurité intérieure allemands :

« Les organisations gauchistes ont fait en sorte de sortir vainqueurs du débat public né des violentes manifestations qui ont eu lieu à l'occasion du sommet du G20. Avec des photos et des articles sur des violences policières présentées comme disproportionnées, ils ont promu l'image d'un État qui a déployé une sur-violence policière pour mettre en déroute des manifestations légitimes. Contre un tel État, ont-ils dit, la "résistance militante" n'est pas seulement légitime, elle est aussi nécessaire. »

La partie II de cette série examinera les activités antifas en Allemagne et aux États-Unis.

Soeren Kern, 12 juin 2020

Soeren Kern est Senior Fellow du Gatestone Institute de New York.

Source: Gatestone Institute

Les Antifas protestent à Londres à la suite de la victoire écrasante des Conservateurs

"Tory scum off our streets, Nazi scum off our streets !" [Les ordures nazis hors de nos rues] criaient les manifestants de gauche dans le centre de Londres.

Environ un millier de manifestants, dont beaucoup étaient masqués et portaient des symboles antifa, ont défilé dans les rues de la capitale britannique pour protester contre les résultats des élections britanniques. La veille, les conservateurs avaient remporté une victoire écrasante lors des élections, garantissant probablement le retrait de la Grande-Bretagne de l'UE à la fin du mois prochain.

 

 

 

 

Toutefois, des foules de manifestants se sont rassemblées vendredi soir pour contester la victoire de Johnson.

Plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés devant la résidence de Johnson à Downing Street, avant de marcher jusqu'à Trafalgar Square et au-delà, en brandissant des pancartes "Defy Tory Rule" et "Stop Islamophobia".

La capitale britannique est tombée dans le chaos alors que la police métropolitaine luttait pour contenir les manifestants liés aux groupes antifa, socialistes et communistes. Ils ont exigé une "révolution" et l'éviction des conservateurs.

Les manifestants ont désobéi aux ordres de la police et ont poussé les policiers qui tentaient de les bloquer sur certaines routes. À un moment donné, les agents ont brandi des matraques devant la foule pour l'amener à se conformer aux ordres.

[...]

Les manifestants tenaient des pancartes anti-Boris Johnson distribuées par le Parti socialiste ouvrier. D'autres, masqués, brandissaient des drapeaux antifa.

La manifestation chaotique en cours fait écho aux manifestations de gauche qui se sont transformées en émeutes aux États-Unis après la victoire électorale de Donald Trump en novembre 2016.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Thepostmillennial.com / Rt.com

 

Allemagne : Au parlement, la gauche soutient officiellement les extrémistes Antifas. “Merci aux Antifas”

La députée du parti de gauche Die Linke, Martina Renner, a été rappelée à l'ordre au Bundestag en raison d'un badge antifasciste sur son revers.

La politicienne a porté ce symbole serti du drapeau noir et rouge lors de son discours de jeudi, en réponse à une requête de l'AfD demandant l'interdiction du groupe extrémiste Antifa.

Le vice-président Wolfgang Kubicki (FDP), qui a présidé la réunion, l'a rappelée à l'ordre et a annoncé qu'il se réservait le droit de "prendre d'autres mesures de procédure".

Alors que la faction de gauche protestait, la coprésidente du parti Die Linke, Katja Kipping, a également reçu un rappel à l'ordre pour son "intervention".

 

https://youtu.be/pNoMODdlMOI

 

Sur Facebook, vendredi, Wolfgang Kubicki a expliqué sa décision plus en détail : "Tous les antifascistes ne sont pas des démocrates et certainement pas des défenseurs de la Constitution". Il considère "le port du badge de ce mouvement, qui légitime les attaques contre les policiers et les institutions de l'Etat et les pratique en partie activement, comme incompatible avec la dignité du parlement". Ceux qui remettent en question le monopole de l'État sur l'usage de la force et se considèrent comme légitimes pour employer eux-mêmes la force ne méritent aucun respect.

[...]

 

 

 

https://youtu.be/Pu6hYItZAXo

 

Sur Twitter, la vice-président du parti Die Linke, Martina Renner, a posté la vidéo de son discours, accompagné du commentaire "Merci Antifa".

Sous son tweet, on peut y lire des témoignages de soutien de ses amis de parti [ND Christian Hofer : Ainsi que des remerciements de la part d'Antifas].

Des politiciens d'autres partis ont également soutenu Martina Renner et ont critiqué Wolfgang Kubicki. Erik Marquardt, député européen des Verts, a d'abord tweeté : "L'antifascisme est le seul moyen de s'opposer fermement au fascisme".

 

 

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Welt.de

 

 

 

Les antifas parisiens ont voulu agresser Rodrigues et Drouet : Castaner complice !

le 2 février 2019 - par

Il est de tradition, dans la culture de gauche, d’expliquer que les hordes fascistes constituent l’armée de réserve du Grand capital, et servent à briser le mouvement ouvrier, quand il devient trop dangereux pour ses intérêts de classe.

Dans ce contexte, il est intéressant de regarder ces images. Que voit-on ? Une milice très agressive, qui hurle « Paris, Paris, antifa » s’attaque au service d’ordre des Gilets jaunes, et menace l’intégrité physique de Jérôme Rodrigues, déjà gravement blessé la semaine dernière, et d’Éric Drouet. Il faut un moment exfiltrer les deux figures du mouvement pour assurer leur sécurité.

http://www.fdesouche.com/1151743-actexii-jerome-rodrigues-et-eric-drouet-exfiltres-de-la-manif-des-giletsjaunes-car-des-antifas-dextreme-gauche-auraient-voulu-les-agresser#

Le mouvement ouvrier, aujourd’hui, ceux qui remettent en cause les intérêts de classe des mondialistes, ce sont les Gilets jaunes. Ceux qui, protégés par Castaner, qui n’a jamais donné une consigne aux policiers pour procéder aux arrestations préventives des Black Blocs et des antifas, agressent ces résistants au Nouvel Ordre Mondial, ce sont les milices d’extrême gauche. Ce sont elles qui se livrent à de véritables ratonnades, dans les cortèges des Gilets jaunes, contre tout ce qui ressemble à un patriote. Ce sont elles qui ont agressé sauvagement un journaliste indépendant, d’origine asiatique, parce qu’il est accusé de ne pas être dans le camp du Bien.

https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=ogX2YH9p56E

L’ensemble de la gauche, sans la moindre exception, est complice de la violence de ces milices fascistes, parce qu’elles exercent une terreur sur les patriotes, et sur le seul parti qui s’oppose aux tenants de l’invasion migratoire et du mondialisme, le Front national. L’ensemble des partis, syndicats et associations ont toujours fermé les yeux sur les exactions de ces petits nazis en puissance, même quand leur service d’ordre était attaqué. Fait aggravant, l’ensemble de la gauche est complice de la grotesque mise en place de la commission parlementaire « contre les violences de l’extrême droite », alors que toute la classe politique sait que les seules violences dans les manifestations viennent des gauchistes et des racailles.

Ce régime, avec la complicité passive de toute la gauche, cherche depuis le début du mouvement des Gilets jaunes à les assimiler à l’extrême droite, pour le salir et le discréditer. Devant l’échec de la grossière manœuvre, il a lâché ses policiers, leur a donné des consignes de brutalité d’une violence inouïe, comme l’a démontré la manifestation de cet après-midi, à Paris et dans d’autres villes de France.

https://francais.rt.com/france/58730-paroles-gilets-jaunes-acte-12-il-etait-temps-mettre-visages-statistiques

Pour justifier ces agressions, il a laissé faire les gauchistes et les casseurs, depuis le début du mouvement.

Aujourd’hui, une nouvelle étape a été franchie, avec cette agression, de type fasciste, commise contre les Gilets jaunes, leur service d’ordre et leurs leaders. Il est temps que les principaux porte-paroles du mouvement aient un discours très clair. Ils doivent annoncer qu’ils ne veulent plus des casseurs gauchistes, Black Blocs et antifas, et exiger de ce régime qu’il prenne toutes les dispositions pour protéger les manifestations. Et hors de question de faire le coup des extrêmes, et de demander en même temps l’exclusion de ce que les médias appellent les groupes d’extrême droite. Eux ne brûlent aucune voiture, n’agressent aucun policier gratuitement, et ne cassent aucune vitrine.

Ce qui est donc à l’ordre du jour est un mot d’ordre clair des porte-paroles Gilets jaunes, après l’agression des milices gauchistes de ce jour : dehors les antifas, dehors les Black Blocs.

Il est temps d’exiger de Castaner, qui doit être considéré comme complice de cette agression, la dissolution des milices gauchistes !

Martin Moisan

source:

voir aussi: https://ripostelaique.com/lagression-du-journaliste-independant-leopold-jimmy-par-la-milice-antifa.html

 

La guerre civile viendra des banlieues

guerre-civile-4

   
Michel Garroté  --  Si un jour il y a une bascule qui doit vraiment impacter durablement le système, cela viendra des banlieues. Si c’est la police ou la gendarmerie, la plupart des effectifs ne sont pas formés à la guérilla qui va leur être menée en face par la mouvance libertaire/antifa/écologiste. La France, c’est le pays du manque de « cojones ». Chez les flics et l’État, comme chez les militants entre guillemets radicaux d’ailleurs.
-
C’est pour cela que ça se résume essentiellement à une guerre de position et à jouer à se faire peur. Hormis quelques rares déterminés et quelques cinglés, chacun a bien trop à perdre, c’est ce qui maintien l’équilibre. Mais c’est bien grâce à cet équilibre qu’on a réussi à faire reculer l’État à Sivens, que la ZAD est toujours là, et qu’à chaque fois qu’on veut vraiment quelque chose, on y parvient par le blocage ou la micro violence.
-
Mais la mouvance libertaire/antifa/écologiste ne croit pas du tout au Grand soir. Il y a un équilibre presque naturel. C’est de la guéguerre flics/militants, au même titre qu’il y a une guéguerre militants de gauche contre militants d’extrême droite. Cela ne va jamais bien loin, c’est stérile et cela se résume à quelques bagarres, agressions et parfois des dérapages un peu plus lourd quand un camp ou un autre a abusé de certains produits.
-
Si un jour il y a une bascule qui doit vraiment impacter durablement le système, cela ne viendra pas de chez les libertaires, ni de l’extrême droite d’ailleurs qui fantasme aussi dessus, mais des banlieues. Là, vous avez vraiment des gens qui n’ont rien à perdre, qui ont tout à gagner, qui ont encore un instinct animal que la mouvance libertaire/antifa/écologiste a perdu. Là – et malgré le fait que la mouvance libertaire/antifa/écologiste canalise la violence – il y a de la misère, de la souffrance, de la rage, de la colère, et ça explosera un jour au visage de ceux qui n’ont pas voulu la voir.
-
Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
-
Source :
-
https://www.breizh-info.com/2017/12/15/84372/zad-banlieues-manifestations-confessions-chocs-militant-autonome
-

Les “antifas” sont les nouveaux fascistes du 21ème siècle

antifas-1

   
Michel Garroté  --  J'aimerai revenir plus en détail sur un événement qui a été très brièvement mentionné sur Lesobservateurs.ch le 8 octobre 2017 : les trois "antifas" qui ont agressé physiquement le député FN Ludovic Pajot, 23 ans, viennent d’être jugés en comparution immédiate. Sursis, vice de procédure (provisoire) et remise en liberté "faute de preuves".

-
Le député a répondu à la journaliste Caroline Parmentier dans le quotidien Présent : J’ai été très choqué par la couverture médiatique de mon agression. D’abord : "Il aurait été agressé". Puis : "Il a été agressé mais ce n’est pas politique". Et enfin : "C’est politique mais ce ne sont pas des antifas". C’est bien évidemment parce que je suis un député du Front national. Ils bénéficient d’une grande indulgence et d’une protection médiatique.
-
Conclusion : primo, les "antifas" pratiquent le lynchage physique, comme les médias pratiquent le lynchage médiatique ; secundo, les "antifas" ne sont pas des anti-fascistes ; les "antifas" sont les nouveaux fascistes du 21ème siècle. Nous le savions déjà. Mais il est bon de le rappeler de temps en temps.
-
Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 18.10.2017

Lien vers l'un de nos articles, ici ; pour les autres tapez : "antifas nouveaux fascistes" 

Échec d’une attaque d’antifas contre une conférence de Bernard Lugan

Par Maxime Lépante

Le jeudi 3 mars 2016, à Clermont-Ferrand, l’historien Bernard Lugan a prononcé une conférence sur la Libye. Un groupuscule « antifasciste » local, fidèle aux traditions totalitaires de l’extrême-gauche, a tenté par tous les moyens, y compris criminels (agressions physiques), d’empêcher cette conférence d’avoir lieu. Nous livrons ci-dessous un récit détaillé des événements de cette soirée. (1)

Qui est Bernard Lugan ?

Bernard Lugan est un historien de renommée mondiale, spécialiste de l’Afrique, sur laquelle il a écrit plus de 30 livres. (2)

De 1984 à 2009, Bernard Lugan a été maître de conférences à l’université de Lyon III, où il a assuré différents cours sur l’histoire de l’Afrique et de la francophonie. Pendant cette période, il a aussi donné des conférences à l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale (IHEDN) ainsi qu’à l’École de Guerre (plus haut établissement de formation des officiers supérieurs des armées françaises) au sein du module « Histoire et géostratégie de la francophonie ». (3)

Le mousquetaire Bernard Lugan, lors de la conférence de Clermont-Ferrand.

Opposé à toute forme de repentance historique, Bernard Lugan considère que la colonisation n’a été qu’une parenthèse dans l’histoire du continent africain, bien qu’elle ait bouleversé la vie de ses habitants. Selon lui, l’évolution de l’Afrique et l’histoire de ses habitants sont fortement marquées par l’ethnicisme (importance capitale de l’appartenance à une ethnie, expliquant les tensions et guerres inter-ethniques, et sous-tendant les transformations sociales et politiques).

À cause de cette thèse, Bernard Lugan s’est attiré la haine des innombrables marxistes et néo-marxistes qui infestent l’Université française (école tiers-mondiste). Pour ces derniers, la situation actuelle de l’Afrique (guerres, coups d’État, famines, massacres, pauvreté, violence domestique, etc.) est le résultat exclusif de la colonisation occidentale, dénoncée comme forcément néfaste – ce qui leur permet ensuite de diaboliser l’Occident et les Blancs, présentés comme des coupables éternels (racisme anti-Occidental et anti-Blancs).

Luttant sans faiblir contre les cabales de l’extrême-gauche, Bernard Lugan, entre 1990 et 2004, a intenté et gagné 17 procès contre les journalistes et médias qui l’avaient diffamé, lesquels ont été condamnés à lui verser des dizaines de milliers de francs de dommages et intérêts.

En avril 2015, Bernard Lugan est informé que toutes ses conférences planifiées dans les Écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (ESCC) sont annulées, sur intervention directe du gouvernement socialiste, en raison de ses critiques contre François Hollande pour avoir décidé d’envoyer à Sétif le secrétaire d’État aux Anciens combattants en guise de repentance, cautionnant ainsi « la réécriture de l’Histoire faite par les autorités algériennes », « au prix d’une nouvelle humiliation de la France ». (4)

Récit des événements du jeudi 3 mars 2016

En janvier 2016, l’Alliance Française de Clermont-Ferrand décide d’inviter l’historien Bernard Lugan à donner une conférence à l’École de droit de Clermont-Ferrand, où elle organise chaque année un cycle de conférences. (5)

Le mardi 1er mars, deux jours avant la conférence, un groupuscule d’extrême-gauche inconnu, la CARA (Cellule Antifasciste Révolutionnaire d’Auvergne) lance une campagne de propagande diffamatoire contre Bernard Lugan, publie sur Facebook un « communiqué » (truffé de fautes d’orthographe) exigeant l’interdiction de sa conférence sous peine de violences et annonce une manifestation devant l’École de droit. (6)

Les habituels procédés de l’extrême-gauche : calomnies, nazification, censure.

Le jeudi 3 mars, à 12h30, soit moins de 6 heures avant l’heure prévue pour la conférence (18 heures), la doyenne de la faculté de droit de Clermont-Ferrand, Christine Bertrand, se rend sur la page Facebook des prétendus « antifascistes » de la CARA pour déclarer qu’elle a demandé à l’Alliance Française de Clermont-Ferrand d’annuler cette conférence et que cette association vient d’acquiescer à ce scandaleux diktat.

Face à cette censure d’un universitaire réputé, un groupe de jeunes étudiants de Clermont-Ferrand, qui avaient envie d’assister à la conférence de Bernard Lugan, décide que le totalitarisme obscurantiste ne doit pas gagner et que la conférence doit se tenir coûte que coûte.

Ces jeunes étudiants, des membres du MAS (Mouvement d’Action Sociale) d’Auvergne (une organisation identitaire et différentialiste), et de l’Action Française Étudiante de Clermont-Ferrand (une organisation royaliste et nationaliste) réussissent, en moins de deux heures, à trouver et à louer une salle dans un hôtel Ibis situé en périphérie de la ville. (7)

La conférence, initialement prévue à 18 heures, est reportée à 19 heures, et cinq membres de l’Action Française Étudiante se rendent devant l’École de droit de Clermont-Ferrand, afin de pouvoir indiquer l’adresse de cet hôtel aux participants qui ne sont pas au courant de l’annulation de la conférence de Bernard Lugan par la doyenne Christine Bernard.

À 18h, devant l’École de droit, un commando de prétendus « antifascistes » de la CARA, avec le courage habituel des militants d’extrême-gauche, attaque les étudiants de l’Action Française, à 20 contre 5. Un jeune militant patriote se retrouve entouré par 5 nervis de la CARA, qui lui crachent dessus et finalement le frappent, devant deux policiers passifs.

Le commando d’extrême-gauche, devant l’École de droit de Clermont-Ferrand, peu avant le début de l’attaque criminelle contre les étudiants de l’Action Française.

Finalement, la conférence déplacée commence à 19h30, dans la salle de l’hôtel Ibis. Bernard Lugan entame son exposé, intitulé : « Libye – Géopolitique d’une déstabilisation ».

A 20h05, la porte de la salle de réunion s’ouvre, et un membre du service d’ordre annonce qu’un groupe d’extrémistes ultra-gauchistes de la CARA vient d’arriver devant l’hôtel Ibis et menace de l’envahir.

Une quinzaine d’étudiants de l’Action Française sortent de la salle de réunion, et vont faire face aux extrémistes, sur la pelouse devant l’hôtel. Il y a là une trentaine d’énergumènes, qui agitent des bâtons et des barres de métal en hurlant « frappez-les aux jambes ! » et qui lancent trois pavés de bonne taille sur les membres de l’Action Française.

Pour se protéger, les jeunes de l’Action Française mettent leurs casques de moto. À leur tête, Bernard Lugan, sans casque, s’exclame : « Pas de face à face, il faut les repousser tout de suite ! », puis il s’élance en criant « Occident vaincra ! ». En état de légitime défense, les jeunes de l’Action Française, utilisant des bombes de gaz lacrymogène, repoussent les 30 criminels de la CARA, qui détalent comme des lapins, en laissant tomber leurs bâtons et leurs barres de métal. Deux militantes de la CARA, qui ont été aspergées de gaz lacrymogène, et que leurs amis on courageusement abandonnées, s’asseyent sur le trottoir en pleurnichant et se voient inviter à venir assister à la conférence de Bernard Lugan – ce qui provoque chez elles des sursauts terrifiés, comme si on leur avait proposé de rencontrer le Diable en personne.

Les pavés, bâtons et barres de métal utilisés par le gang des terroristes de la CARA, lors de leur attaque contre l’hôtel Ibis.

Appelée par un colonel qui assistait à la conférence, la police arrive rapidement sur les lieux (un fourgon, deux voitures et deux motards). Un peu plus tard, les policiers retrouvent les criminels de la CARA sur le parking d’un hypermarché Leclerc, situé à environ 500 mètres de l’hôtel. L’un d’eux est interpellé pour outrage par les policiers et placé en garde à vue.

Le communiqué de la CARA, dans lequel ces malfaiteurs reconnaissent publiquement avoir attaqué l’hôtel Ibis. (8)

Le résultat de cette attaque d’antifas contre la conférence de Bernard Lugan est clair : une déroute complète pour le gang terroriste de la CARA, une charge fantastique couronnée d’un succès éclatant pour les jeunes étudiants de l’Action Française, 15 patriotes qui font déguerpir 30 fachos d’extrême-gauche, une défaite pour le totalitarisme et une victoire pour la liberté d’expression.

Reprenant sa conférence, Bernard Lugan, tout guilleret, déclare : « L’ethnologue que je suis est heureux de découvrir qu’une tribu que l’on croyait disparue au fin fond de l’Amazonie existe encore : le parti communiste maoïste ». Plus tard, Bernard Lugan ajoutera qu’il est tellement enthousiasmé par cet accueil chaleureux qu’il songe à revenir à Clermont-Ferrand pour y donner une autre conférence.

La conférence s’achève finalement à 21h. Malgré toutes les péripéties de la journée, elle a connu un franc succès : la salle était comble et, parmi les 60 participants, on comptait quatre hauts gradés de l’Armée française, des avocats, des chefs d’entreprise, des universitaires, etc.

Christine Bertrand, la honte de l’Université française

Comme nous l’avons rapporté plus haut, c’est la doyenne de l’École de droit de Clermont-Ferrand, Christine Bertrand, qui a demandé l’annulation de la conférence de Bernard Lugan, apportant ainsi son soutien au groupuscule d’extrémistes de la CARA (Cellule Antifasciste Révolutionnaire d’Auvergne), qui tentent de faire régner la terreur dans les rues de Clermont-Ferrand et qui attaquent avec des bâtons, des barres de métal et des pavés les participants à une conférence donnée par un historien réputé ! (9)

Cette collusion de Christine Bertrand avec un gang de criminels est une honte pour l’Université française, et constitue une claire violation de sa mission de diffusion de la culture ainsi que du principe de neutralité du service public. (10)

En 2014, Christine Bertrand a reçu la Légion d’honneur. Au vu de son comportement méprisable dans l’affaire qui nous occupe, c’est plutôt la Légion de déshonneur qu’elle mériterait. (11)

Il semble en effet que, pour Christine Bertrand, le droit à la liberté d’expression n’existe pas. Comment peut-on prétendre être une spécialiste du droit, et fouler aux pieds ce même droit ? Comment peut-on prétendre être universitaire, et censurer un universitaire ?

Mais il semble plus important, pour Christine Bertrand, de maintenir les étudiants de l’École de droit de Clermont-Ferrand dans une ignorance crasse, de s’opposer à la diffusion du savoir et de se compromettre avec un groupuscule de fanatiques armés de bâtons et de pavés.

La Cellule Antifasciste Révolutionnaire d’Auvergne (CARA)

Cette organisation extrémiste, coutumière des actions illégales et violentes, se réclame du communisme maoïste (on ne rit pas, s’il vous plaît). Il existe donc encore, en 2016, des hommes et femmes préhistoriques qui militent pour cette idéologie responsable de la mort de plus de 60 millions de personnes. (12)

Armés de bâtons et de pierres, outils naturels des pithécanthropes communistes et maoïstes, ces bons à rien passent leurs journées à vivoter des aides sociales qu’ils volent aux Français travailleurs et ne sortent de leurs cavernes qu’à la tombée de la nuit pour attaquer d’honnêtes citoyens qui s’intéressent à la culture et à l’histoire.

Il ne faut pas trop leur en vouloir : les criminels maoïstes, en bons hommes préhistoriques, n’ont pas encore accédé à l’écriture, ils ne savent donc pas lire et sont par conséquent incapables de décrypter les signes énigmatiques que contiennent les livres, qu’ils soient de Bernard Lugan ou d’autres auteurs. Et même s’ils savaient lire, ils refuseraient de le faire, car se cultiver ne fait pas partie du programme de l’extrême-gauche (« Du passé faisons table rase ! »).

Les antifascistes sont les vrais fascistes

Une fois de plus, cet événement prouve à quel point la déclaration de Winston Churchill était prémonitoire : « Les fascistes de demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes ».

Les méthodes des nervis de la CARA ressemblent, à s’y méprendre, à celles des nazis (qui, rappelons-le, étaient des socialistes) dans l’Allemagne des années 1930 : ainsi, en 1933, sous la direction de Goebbels (« Quand j’entends le mot culture, je sors mon revolver ! »), des membres des jeunesses hitlériennes organisèrent des boycotts contre « les professeurs indignes de nos facultés allemandes », qui culminèrent dans des autodafés géants, lors desquels des dizaines de milliers de livres « impurs » furent brûlés. (13)

Autodafé dans la nuit du 11 mai 1933, à Berlin : les extrémistes totalitaires de la CARA brûleront-ils bientôt les livres de Bernard Lugan, après avoir tenté d’imposer un boycott contre lui ?

Mais les comportements criminels de ces fachos d’extrême-gauche ne s’arrêtent pas là : en effet, ils ont aussi pour habitude de fabriquer des affiches qui portent, en gros caractères, la mention « WANTED », au-dessus des noms et des photos de militants identitaires prises sur Facebook, et de les coller dans les cités des banlieues de Clermont-Ferrand remplies de racailles musulmanes : ce qui constitue clairement des appels au meurtre.

État d’urgence non appliqué par les autorités

Depuis les attentats musulmans du 13 novembre 2015, la France vit sous le régime de l’état d’urgence : malgré cela, les autorités n’ont pris aucune mesure pour empêcher la manifestation illégale des fascistes de la CARA devant l’École de droit de Clermont-Ferrand.

Ainsi, les patriotes qui manifestent pacifiquement contre la jungle de Calais et les crimes des clandestins musulmans sont interpellés sur ordre du ministre de l’Intérieur, le méprisable Bernard Cazeneuve, mais les extrémistes maoïstes qui agressent physiquement des étudiants devant une Université sont laissés en liberté !

Et que dire de ces fanatiques de la CARA qui, alors que les attentats musulmans ensanglantent notre pays, ne trouvent rien de plus urgent ni de plus important à faire que de tenter d’empêcher un universitaire français de prononcer une conférence ?

Nous ne pouvons nous empêcher de penser que ces scélérats mériteraient d’être déchus de la nationalité française puis d’être expulsés vers l’Afrique, afin de leur donner l’occasion de vérifier le bien-fondé des thèses du professeur Lugan par des travaux pratiques de terrain.

Coïncidence symbolique à l’hôtel Ibis

L’hôtel Ibis, dans lequel a eu lieu la conférence de Bernard Lugan, est situé au numéro 30 de la rue Georges Besse. (14)

Or Georges Besse, PDG de Renault, a été assassiné, le 17 novembre 1986, par le groupe terroriste d’extrême gauche « Action directe », dont les membres se réclamaient… du communisme maoïste ! (15)

Ainsi, la victoire des patriotes sur les nervis de la CARA a-t-elle permis de venger partiellement la mémoire de Georges Besse, victime de la barbarie de l’extrême-gauche, et de mettre en déroute des fanatiques qui marchent sur les pas des terroristes du groupe « Action Directe »…

La folie totalitaire de la gauche

Le lendemain de cette conférence, un membre du comité NPA (Nouveau Parti Anticapitaliste) de Clermont-Ferrand appelait sur Facebook à… boycotter l’hôtel Ibis où s’était tenue la conférence de Bernard Lugan ! (16)

Louer une salle pour une conférence de Bernard Lugan, « cela ne devrait pas être autorisé puisque paraît-il nous sommes en démocratie ». Les fins gourmets apprécieront… Pour ce militant d’extrême-gauche, la « démocratie » n’est visiblement rien d’autre qu’un goulag géant, façon URSS.

Nous rendons hommage à la brillante intelligence de ce génie des temps modernes, et nous lui suggérons de boycotter les marques de vêtements que Bernard Lugan porte, les commerces qui ont le culot d’accepter que Bernard Lugan leur achète des bananes (d’Afrique noire, cela va de soi), les opérateurs qui acceptent que les appels téléphoniques de Bernard Lugan transitent par leur réseau, et surtout l’atmosphère terrestre, dont les molécules entrent ignominieusement dans les poumons de Bernard Lugan et en ressortent, sans s’être fait hara-kiri, pour aller infecter des millions d’innocents.

Pendant ce temps…

Pendant ce temps, les musulmans, que les gens de gauche aiment tellement, peuvent tranquillement continuer à nous massacrer.

Maxime Lépante / article paru en premier sur RL

Notes :

1) On peut lire le communiqué de Bernard Lugan, sur ces événements, sur son blog :

Echec de la tentative de censure et d’intimidation physique sur Bernard Lugan à Clermont-Ferrand

http://bernardlugan.blogspot.fr/2016/03/echec-de-la-tentative-de-censure-et.html

2) On peut commander les livres de Bernard Lugan sur son blog :

http://bernardlugan.blogspot.fr/p/livres.html

Voici la liste détaillée des œuvres de Bernard Lugan :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Lugan#.C5.92uvres

3) Bernard Lugan

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Lugan

4) Affaire Lugan : l’épuration idéologique continue

http://www.bvoltaire.fr/aristideleucate/affaire-lugan-lepuration-ideologique-continue,171589

5) Les intervenants sont des personnalités du monde universitaire, des spécialistes reconnus, voire célèbres, dans leur domaine de compétences : Michel Serres, Jean-Marie Rouart, Laure Adler, Henri Mitterand, Jean Cluzel, Henriette Walter, Jean-Noël Jeanneney…

http://crdp-pupitre.ac-clermont.fr/alliancefr/index.php?id_compte=8&squelette=archive&rubrique=conference

6) Voir l’événement Facebook créé par ce groupuscule :

Pas de fascistes dans les facs ! Bernard Lugan dehors!

https://www.facebook.com/events/1122875061096679/

Voir aussi le « communiqué » de ce groupuscule :

https://www.facebook.com/events/1122875061096679/permalink/1122876991096486/

7) Mouvement d’Action Sociale Auvergne

https://www.facebook.com/MASauvergne/

Action Française Etudiante – Clermont Ferrand

https://www.facebook.com/actionfrancaiseclermont/

8) https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=750900988373677&id=413624052101374

9) Christine Bertrand, Doyen de l’École de Droit de l’Université d’Auvergne

http://www.droit.u-clermont1.fr/christine-bertrand.html

10) Notre collègue, Lucette Jeanpierre, a déjà dénoncé le comportement lamentable et méprisable de Christine Bertrand :

Christine Bertrand fayote auprès des antifas en censurant Bernard Lugan

http://ripostelaique.com/christine-bertrand-fayote-aupres-des-antifas-en-interdisant-bernard-lugan.html

11) Christine Bertrand chevalier de la Légion d’honneur (4 juillet 2014)

http://www.lamontagne.fr/auvergne/actualite/departement/puy-de-dome/clermont-ferrand/2014/07/05/christine-bertrand-chevalier-de-la-legion-dhonneur_11069902.html

12) Les crimes du maoïsme

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mao%C3%AFsme#Les_crimes_du_mao.C3.AFsme

13) Boycott des enseignants

https://fr.wikipedia.org/wiki/Autodaf%C3%A9s_de_1933_en_Allemagne#Boycott_des_enseignants

Les autodafés

https://fr.wikipedia.org/wiki/Autodaf%C3%A9s_de_1933_en_Allemagne#Les_autodaf.C3.A9s

Lieu et date des autodafés

https://fr.wikipedia.org/wiki/Autodaf%C3%A9s_de_1933_en_Allemagne#Lieu_et_date_des_autodaf.C3.A9s

14) Hôtel Ibis (Clermont-Ferrand Le Brezet Aéroport) : 30 rue Georges Besse, ZI Le Brézet, 63100 Clermont-Ferrand.

http://www.accorhotels.com/fr/hotel-9262-ibis-styles-clermont-ferrand-le-brezet-aeroport/index.shtml

Selon les participants à la conférence, les employés de l’hôtel Ibis ont été très professionnels.

15) Georges Besse

https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Besse

16) https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=1502212830086952&id=100008947474770

 

Les antifas veulent saboter la venue de Christoph Blocher à Genève

Appel contre la venue de Blocher et de Freysinger à Genève

52820

Christophe Blocher et Oskar Freysinger sont invités à Genève le lundi 31 août 2015 par la section genevoise de l’UDC. Ce meeting UDC pour préparer les éléctions du 18 octobre s’intitule “Rester libre” et est prévu à la Salle des fêtes de Carouge.

Ce parti bourgeois, populiste et islamophobe invite pour l’occasion ces deux sinistres personnages adulés par une bonne partie de l’extrême-droite européenne.

Christophe Blocher, le millionaire néo-conservateur

Blocher animait dans les années 80′ les activités du “Club des amis de l’Afrique du Sud”, une association suisse de soutien aux racistes sud-africains et contre la fin de l’Apartheid. En 2006, Christoph Blocher, alors ministre de la Justice, avait décidé de fermer de nombreux lieux de transit et d’hébergement pour limiter la capacité d’accueil des migrantEs.

Oskar Freysinger, le chou-chou des identitaires

Invité d’honneur lors des «Assises contre l’Islamisation de nos pays» organisé par le Bloc Identitaire à Paris le 18 décembre 2010, il a depuis collaboré à plusieurs reprises avec cette formation d’extrême-droite française. En 2013 des journalistes avaient remarqué la présence du drapeau du II Reich allemand (utilisé comme emblème par les néonazi), au domicile d’Oskar Frysinger, alors qu’il venait d’être fraichement élu conseiller d’Etat valaisan. Il a également eu des liens avec les ultra-nationalistes Filip Dewinter (Vlaams Belang) et Robert Spieler (Nouvelle droite populaire).

Freysinger et Fabrice Robert (ancien néo-nazi d'Unité Radicale, fondateur et leader du Bloc Identitaire)

 

Nous appellons à la mobilisation pour annuler cet événement et le saboter si nécessaire.

Il faut absolument mettre la pression sur la ville de Carouge et sur l’UDC afin qu’ils comprennent que Blocher et Freysinger ne sont pas les bienvenus!

Si la ville de Carouge et l’UDC n’annulent pas l’événement, les idées de sabotage peuvent être multiples et variées (transport, éléctricité, aération, …etc, utilisez votre imagination et votre créativité!).

Voici toutes les informations utiles pour participer à cette campagne contre l’UDC, et la venue de Blocher et de Freysinger:


 

Salle des fêtes de Carouge

Rue Ancienne 37, 1227 Carouge

Parking
Parking du Centre communal (accès rue Joseph-Girard 13 )
Parking Sardaigne

Contact
Service constructions, entretien et sports
Tél.: 022 307 89 60
Du lundi au vendredi, 8h30-11h30
Fax: 022 307 89 69
E-Mail: [email protected]

 

La mairie de Carouge

Nous appellons donc tous les K-rougeois et les K-rougeoises, les Genevois et les Genevoises, les corbeaux noirs et les moutons noirs, la gauche radicale et la gauche réformiste, les jeunes et les vieux/vieilles, à se mobiliser contre la tenue de ce meeting! Nous ne voulons pas d’islamophobes et de racistes à Carouge comme à Genève!

Noyons d-emails et de fax la mairie de Carouge! Occupons leur ligne téléphonique! Harcelons l’UDC!

 

Pas de cis-tra à Rouge-K! Contre l’UDC, Freysinger et Blocher!

Solidarité avec les migrantEs! A bas la xénophobie et l’islamophobie!

Nous sommes tous et toutes des Heimatmüde!

 

RAGE – Réseau d’Agitation Genève

Source

Les fachos sont de retour. Vêtus de rouge et de noir.

yohan ziehliPar Yohan Ziehli, Président Jeunes UDC Vaud, Conseiller communal

Après avoir violemment perturbé un rassemblement de l’UDC en gare de Zurich, après avoir saccagé plusieurs fois  les rues et les commerces de plusieurs villes suisses, après avoir agressé des opposants à maintes reprises, voici que les Antifas prévoient de continuer leur valeureux combat en « sabotant » un événement de l’UDC Genève, à savoir la venue de Messieurs Blocher et Freysinger dans le canton.

antifa twitter

 

Une grande habitude chez ces gens-là, qui aiment empêcher les réunions démocratiques et appliquer des principes qu’ils affirment combattre. Sur un site internet, ils donnent des tuyaux, pour saboter « l’aération », « les transports » et pour tenter de faire censurer l’événement par la commune.

En tant que révolutionnaires de canapés, il est fréquent qu’ils ne mettent pas leurs menaces à exécution, par manque de d’effectif ou de temps (ou alors pour se remettre d’une soirée trop arrosée, plus vraisemblablement) comme ce fut le cas en février 2014, lorsqu’ils renoncèrent à démolir le lieu de rassemblement des Jeunes UDC Vaud comme ils l’avaient annoncé.

Il arrive cependant aussi que ces perturbateurs violents se laissent réellement aller à leurs dérives et agissent comme les pires esprits dérangés du moment. Preuve en est le nombre impressionnant d’agressions et de destructions dont ils sont responsables.

Le tweet ci-dessous contient une vidéo, où les responsables se vantent de démolir la place fédérale et d’attaquer les passants.

antifa twitter3

Je pourrais continuer longtemps, mais ce serait faire trop d’honneur à ces tristes personnages.

Les fascistes sont de retour. Oui. Vêtus de rouge et de noir…

Note: je précise que les coordonnées Twitter ont été noircies dans l’unique but de ne pas faire de publicité à ces organisations.