Le chef de cabinet du président algérien : « L’immigration africaine est source de crime et d’autres fléaux »

Ahmed Ouyahia n’est pas favorable à l’accueil des migrants en Algérie, comme le souhaite le gouvernement. Et il le fait savoir. « Premièrement, ces gens-là sont venus de manière illégale », a rappelé, samedi 8 juillet, le secrétaire général du RND qui est également chef de cabinet du président Bouteflika.

« Deuxièmement, a-t-il ajouté sur Ennahar TV, la loi algérienne n’autorise pas le recours à la main d’œuvre étrangère. Aujourd’hui, nous avons des travailleurs chinois qui exercent dans le cadre des contrats conclus avec des entreprises chinoises. Mais ils ont des contrats de travail renouvelables ».

Mais l’accès à l’emploi n’est pas le seul problème que soulève Ouyahia. Le chef du RND va plus loin, en accusant les migrants d’être à l’origine de plusieurs fléaux dont le crime et la drogue. « Ces étrangers en séjour irrégulier sont source de crime, de drogue et de plusieurs autres fléaux », a affirmé le chef de cabinet de la présidence de la République.

« On ne dit pas aux autorités : jetez ces migrants à la mer ou au-delà des déserts. Mais le séjour en Algérie doit obéir à des règles. On ne laissera pas le peuple algérien souffrir de l’anarchie », a-t-il ajouté. « Et quand on me parle de droits de l’Homme, je dis : nous sommes souverains chez nous ».

Tsa-Algérie Via Fdesouche.com

L’Union européenne prépare un plan de réinstallation de réfugiés depuis cinq pays africains vers l’Europe. Les ONG applaudissent.

Christian Hofer: A noter que 4 pays sur 5 sont musulmans. Quant à l'Éthiopie, l'islam y culmine à 33%.

C'est une véritable islamisation régularisée par l'UE.

Quant au budget, on peut dores et déjà le multiplier par 10 pour chacun de ces "réfugiés". L'Afrique se décharge ainsi de ses responsabilités sur l'Europe.

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L’Union européenne prépare un plan de réinstallation de réfugiés depuis cinq pays africains dont la Libye. Les pays européens pourraient en accueillir plus de 37 000 éligibles au droit d’asile.

C’est une première. Les pays européens vont ouvrir des voies légales d’émigration pour une partie des réfugiés en Afrique. Accusée de fermer les yeux face au drame des migrants qui risquent leur vie en Méditerranée, l’Union européenne (UE) change de stratégie. Les 28 ministres de l’Intérieur discuteront aujourd’hui à Tallinn (Estonie) d’un plan d’action proposé par la Commission européenne pour venir en aide à l’Italie débordée par les arrivées de migrants. La semaine dernière, Rome avait menacé de fermer ses ports aux navires qui portent secours aux réfugiés.

Le plan élaboré par la Commission prévoit notamment un programme de réinstallation de réfugiés depuis cinq pays africains : la Libye, l’Égypte, le Niger, l’Éthiopie et le Soudan. Les États européens volontaires pour les accueillir recevront une aide s’élevant à 10 000 euros par migrant. Les réfugiés seront triés sur le volet. Seuls ceux éligibles au droit d’asile sont concernés par ce plan qui sera conduit avec le Haut Commissariat aux réfugiés (HCR). Les migrants économiques en seront exclus.

Un budget de 377,5 millions d’euros

Combien de réfugiés pourront bénéficier d’une protection en Europe sans mettre leur vie en danger et sans être otages des réseaux de passeurs ? Tout dépendra de la bonne volonté des pays membres. Les ministres devraient se mettre d’accord aujourd’hui sur le principe de ce plan, mais il n’est pas certain qu’ils s’engagent sur un nombre de réfugiés pour chaque pays.

Prudente, la Commission n’a d’ailleurs pas fixé d’objectifs chiffrés. Bruxelles a toutefois alloué un budget de 377,5 millions d’euros, qui permet de financer l’accueil de 37 750 réfugiés.

La France participera très probablement à l’effort européen. Le plan a été mis au point après la rencontre à Paris, dimanche, des ministres de l’Intérieur français, allemand et italien, et de Dimitris Avramopoulos, le commissaire européen en charge des migrations.

La France pourra s’appuyer sur son expérience de la réinstallation de réfugiés syriens qui vivaient dans des camps au Liban et en Jordanie. Elle en a accueilli près de 10 000 depuis deux ans.

« Ce plan de réinstallation va dans le bon sens »

L’ouverture de voies légales était réclamée par les ONG et le HCR, alors que plus de 2 250 migrants sont morts noyés en Méditerranée depuis le début de l’année. « Ce plan de réinstallation va dans le bon sens », commente Carlotta Sami, porte-parole du HCR en Italie. L’agence onusienne a organisé mardi le transfert dans un pays occidental non précisé de six femmes réfugiées qui avaient été réduites en esclavage par une milice armée en Libye.

L’UE entrouvre sa porte à quelques dizaines de milliers de réfugiés, mais en contrepartie, elle durcit le ton à l’encontre des migrants économiques. Emmanuel Macron évalue leur nombre à « plus de 80 % du phénomène migratoire » en Italie. Le plan de Bruxelles prévoit d’expulser beaucoup plus de déboutés du droit d’asile et d’empêcher les départs de Libye des bateaux chargés de migrants en renforçant les moyens des garde-côtes libyens et européens.

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Paris : le camp de migrants de la Chapelle touché par une épidémie de gale

L’association Médecins sans frontières tire la sonnette d’alarme. Plus d’une centaine de cas de gale ont été recensés à proximité du centre d’accueil des réfugiés situé au nord de la capitale, et ce malgré les efforts des professionnels de santé.

Dans les rues de Paris, la gale prolifère dangereusement au point d’inquiéter les associations humanitaires. Selon Bruno Morel, directeur général d’Emmaüs Solidarité, 157 personnes auraient été diagnostiquées depuis novembre 2016 par le service de santé du centre d’accueil de migrants de la porte de la Chapelle (XVIIIe arrondissement), situé au nord de la capitale. De son côté, l’organisation non gouvernementale (ONG) Médecins sans frontières a dénombré près de 164 autres cas parmi les milliers de réfugiés qui dorment dans la rue dans des conditions d’hygiène déplorables.

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Via Contre-Info.com
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Angela Merkel fait les yeux doux à l’Afrique

Dans le cadre de la présidence du G20, Berlin multiplie les partenariats. La chancelière veut réduire le risque de crise migratoire

« Exiger et encourager ». Douze ans après, cette devise qui avait guidé les réformes du marché du travail en Allemagne est reprise par le gouvernement d'Angela Merkel pour sa politique de coopération avec l'Afrique. Dans le cadre de sa présidence du G20 , l'Allemagne a signé lundi des « partenariats réformateurs » avec trois pays africains, qui s'engagent à se réformer en échange d'investissements.

« Nous voulons créer de nouvelles incitations pour les Etats les plus réformateurs, a expliqué le ministre allemand du Développement, Gerd Müller. Ceux qui prouvent leur volonté politique de faire changer les choses pour leur pays et leur population bénéficieront d'un soutien accru. » Son ministère a débloqué jusqu'à 300 millions d'euros pour la Tunisie, la Côte d'Ivoire et le Ghana.

Cette initiative fait partie d'une vaste campagne de Berlin vis-à-vis de l'Afrique dans le cadre de sa présidence du G20. « S'il existe trop de désespoir en Afrique, il y a des gens qui se disent, 'nous devons aller chercher l'espoir ailleurs », a expliqué Angela Merkel lundi à Berlin lors d'une conférence avec des chefs d'Etats africains, les représentants de pays du G20 et d'institutions internationales et des patrons.

Crainte que la pauvreté continue de miner un continent en plein boom démographique

L'Allemagne a accueilli plus d'un million de demandeurs d'asile depuis 2015 , essentiellement de Syrie ou d'Afghanisthan. Si le flot s'est depuis tari, elle redoute qu'il reprenne alors que la pauvreté continue de miner un continent en plein boom démographique. La population africaine devrait doubler d'ici à 2050.

Si les accords signés par le ministère du Développement l'ont été sur une base bilatérale, le ministère des Finances a scellé dans le cadre du G20 des « partenariats d'investissement » avec les mêmes pays, plus quatre autres (Côte d'Ivoire, Maroc, Rwanda, Sénégal, Ethiopie). La philosophie est cependant similaire : il s'agit d'encourager les réformes et les investissements durables.Ici, le gouvernement n'entend pas investir mais apporter une expertise qui permette au pays de solliciter des investisseurs privés et des institutions dont le FMI. « L'accord avec l'Afrique est le synonyme d'une approche complètement nouvelle dans le développement économique », veut croire le ministre des Finances Wolfgang Schäuble, qui invite les autres pays du G20 à faire de même.

Christian Hiller von Gaertringen, consultant indépendant sur les questions africaines, voit dans le manque de moyens une faiblesse. « Le ministère du Développement a également lancé un plan Marshall pour l'Afrique sans mettre un euro dedans », observe-t-il, regrettant par ailleurs l'absence de dialogue entre l'Allemagne et la France sur ces sujets. Il y a un sentiment de compétition profondément enraciné de part et d'autre ».

Les pays africains sont eux-mêmes prudents. « On ne manque pas de projets ni d'inititives, mais de résultats », a déclaré Alpha Condé, le président guinéen qui assure la présidence tournante de l'Union africaine. Il estime à quelque 360 milliards de dollars les besoins d'investissements en infrastructure de l'Afrique d'ici 2040.

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L’Europe confrontée au déferlement de réfugiés économiques africains

En Italie, les débarquements de migrants sont en hausse de plus de 40 %, soit 61.234 hommes, femmes et enfants depuis le début de l'année. Au 9 juin, les naufrages avaient fait 1 622 noyés, morts ou disparus, d'après l'Organisation internationale des migrations. Comme souvent l'UE y trouve matière à des règlements de comptes internes, plutôt qu'à des réponses décisives ou simplement concrètes.

En 2015, Angela Merkel et ses partenaires européens avaient conclu une année calamiteuse en fermant la route des Balkans, puis en obtenant de la Turquie qu'elle barre la mer Égée aux réfugiés de guerre, essentiellement syriens. Un bon million était déjà passé. En 2016, les Vingt-Huit ont voulu désamorcer l'autre déferlement migratoire - économique celui-là - venu d'Afrique. Ils ont tenté d'appliquer la recette turque à la Libye, plaque tournante des routes d'émigration qui partent de l'Ouest (Sénégal, Côte d'Ivoire, Guinée, Nigeria) et de la Corne de l'Afrique.

Dans l'affaire, Ankara s'est révélé comme un partenaire exigeant, mais fiable, à la surprise de beaucoup. C'est précisément ce qui fait défaut à Tripoli. La «bombe» africaine reste pour le moment sous contrôle, mais la mèche est allumée. Elle risque à tout moment d'exploser, avec son cortège de misère humaine et de retombées politiques. En Europe, les gouvernements respirent après les revers de l'extrême droite xénophobe. Mais ils auraient tort de détourner le regard.

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Le défi migratoire est aussi l'affaire d'une génération: en 2050, l'Afrique aura doublé sa population pour atteindre 2,5 milliards d'habitants, le quart de la planète. Il y a peu de chance que la croissance y rattrape la démographie. La chancelière Merkel vient justement de rappeler que c'est d'abord une question de bonne gouvernance, d'emploi et d'investissements européens à la hauteur.

En Libye, la perspective est sombre. Il y a six mois, un Conseil européen s'était fixé comme but «d'endiguer les flux» pour l'été. C'est raté, comme le constatera peut-être un autre sommet, convoqué le 22 juin. Cela fait trois ans que les marines de guerre italienne puis européenne font des ronds dans l'eau, à la limite des eaux territoriales libyennes. Épaulées par les ONG, elles ont sauvé 36.000 quasi-naufragés, largués tout près de là par les trafiquants négriers du XXIe siècle. Mais elles ne peuvent pas franchir la ligne, ni en découdre directement avec les passeurs, leurs matériels et leurs bases.

Une aide financière pour verrouiller les frontières

Au Nord, les Vingt-Huit ont commencé de former, entraîner et équiper des dizaines de gardes-côtes libyens qui, comme leurs collègues turcs, auraient la tâche que les Européens ne peuvent - ou ne veulent - pas assumer: faire barrage. Au Sud, l'UE négocie avec cinq pays d'origine ou de transit - l'Éthiopie, le Mali, le Nigeria, le Sénégal et surtout le Niger - des «conventions migratoires» prenant modèle sur l'accord noué avec Ankara: une aide financière contre un verrouillage des frontières à l'émigration.

D'autres réfléchissent à l'ouverture de camps sur le sol africain même, confiés à des organisations humanitaires. Il s'agirait, comme en Turquie, de retenir les candidats à la traversée et de faire le tri sur place entre réfugiés et migrants économiques, ceux-là bien plus nombreux et voués au retour à demeure. Les voisins de la Libye renâclent.

La Libye, déchirée entre factions surarmées, reste avec le nord du Sahara un trou noir de l'action humanitaire. «L'insécurité est un problème pour les migrants mais aussi pour toute l'assistance internationale, confie le responsable d'une grande institution. En fait, nous sommes plus libres de nos mouvements en Syrie et en Afghanistan.» Beaucoup mettent en doute la loyauté des gardes-côtes locaux, subventionnés par l'UE, mais souvent inféodés aux milices, aux potentats locaux et parfois même aux passeurs. D'une organisation à l'autre, le chiffrage des candidats en attente de traversée vers l'Italie varie de 300.000 à 1 million.

Le soupçon est que ceux qui les poussent au prix fort dans des rafiots répondent aux mêmes ordres que ceux qui les rattrapent un peu plus loin en mer. Entre deux tentatives, les migrants se retrouvent dans une trentaine de «centres de détention», souvent à la merci du racket et de l'esclavage sexuel. Moins de la moitié de ces camps ont pu être visités par le HCR. L'Europe continue de vivre «dans une dangereuse fiction», constatait récemment Arjan Hehenkamp, l'un des patrons de MSF.

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Des marchés aux esclaves en Libye: “Ce marché est tenu par des Libyens, des Ghanéens et des Nigériens.” selon l’ONU

L’Organisation mondiale pour les migrations dénonce l’existence de marchés aux esclaves en Libye et notamment dans le sud-ouest du pays.

Des migrants sub-sahariens rescapés témoignent que ces marchés aux esclaves sont tenus par des Libyens avec l’aide de ressortissants ghanéens et nigérians.

Le chef de mission pour la Libye de l’organisation mondiale pour les migrations, Othman Belbeisi, explique que les marchés se tiennent à ciel ouvert et qu’on peut y acheter un migrant pour quelques centaines d’euros.

 

Othman Belbeisi : “En allant sur ce marché, vous pouvez acheter pour 200 à 500 euros un migrant qui vous aidera chaque jour dans votre travail… Une fois achetée, cette personne vous est remise et elle passe sous votre responsabilité. Beaucoup s’enfuient, beaucoup sont maintenus attachés alors que d’autres sont prisonniers dans l’espace où chaque jour, ils sont forcés de travailler.”

Les témoignages recueillis par les Nations Unies font également état de femmes vendues comme esclaves sexuelles.

D’autres témoignages racontent qu’une fois vendus les migrants sont victimes de torture et font l’objet de demande de rançons.

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Pourquoi la colonisation n’a pas été « un crime contre l’humanité » comme l’affirme Macron

Ndlr : article de BREIZH-INFO à ne pas manquer

Dans son interview à Echourouk News, Emmanuel Macron, le candidat des médias et du système à la présidentielle, est revenu sur la présence française en Algérie. « La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime, c’est un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face en présentant aussi nos excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avons commis ces gestes », a-t-il déclaré. Des propos qu’aucun autre acteur politique sérieux n’avait osé prononcer avant lui.

Ceux-ci ont provoqué de nombreuses réactions de colère, d’autant plus qu’Emmanuel Macron a déclaré vouloir bâtir une « vision d’avenir » commune avec l’Algérie et un pont entre les deux pays, alors même que la France connait de gros problèmes avec l’immigration en provenance de ce pays.

Concernant la notion de « crime contre l’humanité », si l’on s’en tient à ce qu’en dit la Cour pénale internationale, dont l’autorité est reconnue par 124 États pour juger les personnes accusées de génocide ou de crime de guerre, elle définit dans l’article 7 de ses statuts (PDF) les crimes contre l’humanité.

[...]

Et pourtant, de nombreux témoignages s’opposent à cette vision des choses. Qu’il s’agisse des propos de Kofi Yamgnane ou de ce Congolais qui déclare à un journaliste du Time : « [Les blancs] ont pris ce pays par la force, s’ils revenaient, cette fois-ci, nous le leur offririons. » , nombreuses sont les voix discordantes !

Un fait historique majeur explique à lui seul l’intérêt de la question des apports positifs de la colonisation : la roue était inconnue en Afrique subsaharienne avant son apport par les Européens.

Lire l'article complet sur breizh-info

Lire aussi sur le même sujet l'article de dreuz Macron vous racontez des foutaises ! La colonisation ne fut pas un crime contre l’humanité

 

Allemagne. Bade-Wurtemberg: Explosion du nombre de prisonniers africains. Les prisons n’arrivent pas à faire face.

Christian Hofer: A noter qu'en filigrane, une détention moyenne plus longue signifie que les crimes sont devenus plus graves. Lorsqu'on lie cette donnée à la provenance des prisonniers, cela indique tout le bienfait que ces Africains ont apporté à l'Europe.

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Stuttgart (dpa / lsw) - Dans les prisons de Bade-Wurtemberg, les espaces sont restreints. Le nombre de détenus a augmenté de 431 prisonniers pour culminer à 6'951 l'année dernière. La raison découle de périodes de détention plus longues et d'une augmentation des prisonniers de nationalité étrangère, a indiqué un porte-parole du ministère de la Justice vendredi confirmant un rapport du "Esslinger Zeitung" (samedi).

Par cette situation, le pays a atteint les limites de ses capacités. Selon le dernier rapport disponible de fin 2016, il existe 6'147 places de détention en milieu fermé - toutefois 112 places ne peuvent pas être utilisées en raison de mesures de construction. En milieu ouvert, il existe 1'074 places à disposition, en raison de travaux, 30 ne sont pas disponibles.

Le nombre de prisonniers en provenance des pays nord-africains d'Algérie, du Maroc et de Tunisie ainsi que du pays ouestafricain de Gambie a subi une hausse significative. Et dans le Land de Bade-Wurtemberg, une peine de prison dure à présent en moyenne 49,06 mois. A titre de comparaison, en 2011 un prisonnier devait purger en moyenne 41,04 mois. A Rottweil, une nouvelle maison d'arrêt pour 400 prisonniers est planifiée. Cependant, elle ne devrait pas être terminée avant 2020. (...)

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

1750 migrants mercredi et jeudi, 1000 ce vendredi matin: “Il n’y a pas assez de navires pour prendre tous les migrants qui attendent”

Deux navires humanitaires ont annoncé avoir secouru plus d'un millier de migrants vendredi matin au large de la Libye.

Après le sauvetage de plus de 1750 migrants mercredi et jeudi, les gardes-côtes italiens, qui coordonnent les opérations dans la zone, ont parlé vendredi de «plusieurs opérations en cours».

«C'est un cauchemar absolu en ce moment. Nous sommes bien au-delà de notre capacité, nous avons secouru cinq embarcations et il y en a encore trois en attente», a déclaré sur Twitter Ed Taylor, responsable MSF à bord de l'Aquarius.

«Il n'y a pas assez de navires de secours dans la zone (...). Nous avons demandé du soutien mais personne n'est disponible», a-t-il ajouté.

Source

Théâtre : des Africains parviendront-ils à « brouter » (voler) une Suissesse ?

Christian Hofer: Libération arrive à prétendre que les Blancs sont racistes alors qu'ils sont victimes d'une telle arnaque. Une escroquerie qui démontre un racisme anti-Blancs écœurant puisqu'il vise a assécher économiquement un Européen crédule, jusqu'à le détruire. N'attendez pas les pleureuses des droits de l'homme et autres justiciers de pacotille pour s'en émouvoir: le Blanc est un salaud, et même volé par un Africain, il reste coupable.

Bien entendu, pour ce journal d'extrême gauche, l'excuse est toute trouvée: le colonialisme. Il n'y a visiblement personne pour leur rappeler que la Suisse n'a pas eu de colonie et que notre pays a contribué à hauteur de dizaines de milliards de francs à l'aide économique en Afrique pendant des décennies.

Il faut que le fantasme du "Blanc raciste" perdure, même devant les arnaques répugnantes dont les Africains sont responsables. Ainsi on leur donne toute légitimité d'haïr le Blanc, d'abuser de ses largesses, de violer ses femmes, d'agresser: absolument tout leur est dû, tout leur est excusé par avance.

Dès lors, on comprend mieux la minimisation de la criminalité de ces migrants dans nos contrées.

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Harangues, palabres, plans drague plus ou moins louches : au Tarmac, à Paris, la pièce de Marielle Pinsard se joue des codes amoureux de l’argot ivoirien.

Fruit d’une enquête de terrain menée entre Brazzaville, Cotonou et Abidjan, ce petit précis des nouveaux rapports amoureux n’évoque jamais Tinder ou d’autres applis de rencontres, pourtant devenues le passage obligé du dating dans les capitales occidentales. Quid du romantisme et des sentiments? Pour toute une génération d’Afrique de l’Ouest, ce sont la corruption et les conflits armés qui ont redéfini l’intimité. Si l’on a certes besoin de chaleur humaine, c’est d’abord l’argent qui manque, d’où le recours aux arnaques sur Internet – le «broutage» -ou dans la rue. Plumer les Blancs et se faire entretenir, c’est aussi, disent-ils, s’affranchir d’une dette coloniale. 

Tout est bon pour ferrer l’Européen, même le marabout et le gri-gri.

 

Si elles ne sont pas très éloignées d’une forme de tourisme sexuel ou de prostitution, les recettes de cette parade amoureuse évoquées avec gouaille et sourire enjôleur aux lèvres signalent en tout cas un rapport inégalitaire entre les partenaires, souvent sous-tendu par le racisme. [...]

Libération via Fdesouche.com

Nos remerciements à Didier S.

Suisse. Trafic de drogue dans un bar: La plupart des clients sont des délinquants africains

La police a fait une descente mardi soir dans le «Bar 66», à Vevey, connu pour servir de plaque-tournante du deal. Une vingtaine de clients ont été interpellés.

Avec l’appui de la brigade des stupéfiants, de la gendarmerie, dont sa brigade canine, et de Police Riviera, les inspecteurs de la Région judiciaire de l’Est vaudois de la Police de sûreté ont investi le Bar 66 et y ont interpellé et identifié une vingtaine de clients, en majorité des ressortissants d’Afrique subsaharienne et de Tunisie âgés de 18 à 48 ans. Ils étaient pour la plupart déjà connus des services de police.

Source et article complet

Suède: Des journalistes agressés par des migrants en plein jour et en pleine ville (Vidéo à voir absolument)

Christian Hofer: Des journalistes sont attaqués dans l'une des 55 no-go zones du pays où réside essentiellement la communauté somalienne, dont la religion largement majoritaire est l'islam. On perçoit très bien la valeur réelle de cet enrichissement pour laquelle les Suédois ont déroulé le tapis et déboursé tant d'argent: aucune reconnaissance, un mépris hallucinant, une violence instinctive et immédiate. Qui peut croire un seul instant que ces gens vont respecter l'Europe, nos us et coutumes?

Les journalistes essaient lamentablement de discuter et d'apaiser la situation pendant que ces Africains leur donnent des coups: Tous les peuples ne se valent pas, tous les peuples ne veulent pas la paix, tous les peuples ne préfèrent pas la discussion à la violence. Ici nous sommes dans une stratégie de la loi du plus fort et le Suédois ne comprend strictement rien à ce qui se passe, tétanisé par la bien-pensance. Tous ses repaires politiquement corrects volent en éclat. Et pire, c'est une personne handicapée qui vient à leur secours, la population préférant jouer à l'aveugle face à l'agression. C'est aussi cela une conséquence de nos sociétés visant la destruction du patriotisme, le déni de nos racines, la relativisation de nos traditions. Il n'y a plus aucune fierté à se défendre face à un agresseur africain puisqu'il est aussi légitime en Suède que n'importe quel Suédois selon la doxa de gauche.

Cela devient tellement banal que l'Européen s'y habitue désormais, Et c'est cela le pire: le renoncement de notre bien-être, de notre sécurité via une détérioration de nos conditions de vie graduelle, nos gouvernements nous interdisant toute réaction de protection, de fierté, de patriotisme.

 

 

https://youtu.be/gxuNALU5qEc

Droit du sol et immigration: Ils ont la nationalité française mais se fichent de la France

La grande majorité de ces jeunes d'origine africaine possède la nationalité française mais aucun ne se sent français.

Le droit du sol, ou comment détruire un pays européen tout au bénéfice d'une immigration qui n'est là que pour profiter. Une Europe africanisée ne sera rien d'autre qu'une Afrique bis, avec son lot de violences tribales, une économie mortifère, une démographie irresponsable et débridée: une régression sur tous les plans.

On rappelle que l'une des propagandes de la gauche est d'offrir un accès total à la nationalité, les politiciens de gauche militant sans cesse afin de brader nos passeports. Il est dès lors très facile de cacher la délinquance de ces immigrés.

Et l'un des objectifs consiste à détruire les racines autochtones, de détruire l'homogénéité des Européens et leurs civilisations tout en clamant que l'Europe n'est plus blanche désormais et qu'il faut "accepter l'islam et le multiculturalisme". Une haine de soi qui confine à la maladie mentale.

 

https://youtu.be/fR_2-RmXduo

 

 

Genève : séropositive et dépressive, une Ivoirienne ne peut être expulsée

Une Ivoirienne atteinte du VIH et de troubles psychiques ne peut être renvoyée dans son pays, faute d’accès aux soins.

Le Groupe sida Genève a gagné une bataille. La Chambre administrative a désavoué l’Office cantonal de la population et des migrations (OCPM) sur le renvoi d’une Ivoirienne séropositive. Elle estime que l’exécution du renvoi de cette femme arrivée en Suisse en 2007 «la priverait des soins essentiels nécessaires au traitement de ses affectations psychiques, engendrant un risque concret pour sa vie et son intégrité physique». Le critère du VIH seul n’a pas été déterminant, ses troubles psychologiques ont aussi été pris en compte.

Source

France : un commissaire témoigne « La criminalité de la population musulmane par rapport à celles d’autres religions est plus importante »

(…) Eric Stemmelen est Délégué national à la sécurité de Debout la France, commissaire divisionnaire honoraire de la police nationale, spécialiste des systèmes policiers étrangers et un expert reconnu des établissements étatiques sensibles et de la protection rapprochée des hautes personnalités

RT France : Ces dernières semaines, des policiers ont été agressés par des groupes de jeunes à Viry-Chatillon, Mantes-la-Jolie, la Seyne-sur-Mer. Comment expliquer cette escalade de violence à l’égard des policiers ?

Eric Stemmelen (E. S.) : L’explication est assez facile à donner. Cela fait à peu près 15 ans que cela dure et cela s’aggrave chaque année.

Toute la presse française parle des jeunes qui attaquent la police. Mais ce ne sont pas les jeunes, ce sont les jeunes d’origine africaine ou maghrébine.

En France on a l’interdiction de faire des statistiques ethniques, on n’a donc pas le droit de dire que ce sont des noirs, des blancs, des jaunes, etc. Or, en pratique, toutes ces agressions sont des agressions communautaristes, elles sont commises par des bandes de Français, pas par des étrangers. Ils se sentent impunis, puisqu’il faut prouver en droit français que tel individu a commis telle infraction. En d’autres termes, quand vous avez une agression commise par 50 personnes sur des policiers, dans la rue, n’importe où, il faut démontrer que tel coup a été porté par un tel individu, or, les gens à l’origine de ces agressions sont masqués. Il faut donc relever les traces d’ADN, les photographies, etc. Ce sentiment d’impunité est renforcé par le fait qu’en France il y a environ chaque année à peu près 90 000 peines de prison qui ne sont pas exécutées, faute de place dans les prisons. En outre, il y a une surpopulation pénale d’à peu près 25 000 personnes, alors que depuis 1875 il existe une loi qui dit : un détenu par cellule.

Vous avez donc la conjugaison de bandes des délinquants à l’origine des agressions et violences et de la communautarisation. ça n’est pas uniquement dans les banlieues parisiennes. En France c’est à peu près 750-800 zones de non-droit, des quartiers de ville où la loi républicaine ne s’applique pas ou s’applique mal. En plus, pour des incidents gravissimes, on envoie des CRS qui ne sont pas du tout adaptés pour faire des enquêtes. C’est une présence dissuasive, qui va durer quelques semaines, et, ensuite, les agressions continueront.

RT France : Mais les autorités françaises nient l’existence de ces zones de non-droit…

E. S. : Oui, c’est un mensonge d’Etat. Il y en a en France, on y applique la loi islamique ou même la charia. En plus, on a eu quelques affaires sensibles, notamment l’affaire Malik Oussekine en 1986, où un manifestant est mort d’une crise cardiaque à la suite du coup porté par les brigades d’intervention motorisées de la préfecture de police. Le gouvernement a interdit l’usage des motos tous-terrains, qui permettaient de chasser très rapidement les émeutiers.

Le pouvoir politique de gauche et de droite se permet d’intervenir en matière tactique, en matière de police, dans les aspects pratiques. C’est un cas unique dans le monde entier. Par ailleurs, il y a l’inquiétude politique d’avoir un mort sur les bras. On a eu des émeutes en 2005 : des jeunes français d’origine africaine se sont jetés pour échapper à un contrôle de police dans un transformateur électrique et sont morts. Il y a eu des émeutes pendant 15 jours en France. Mais c’était des émeutes raciales, et personne ne veut le dire. En France (…) vous avez 6% de la population musulmane. Dans les prisons françaises vous avez 60% des détenus qui font le ramadan. La criminalité de la population musulmane par rapport à celles d’autres religions est donc plus importante (…)

Source Via CivilWarInEurope